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![]() | fin de soirée 2Il est beau, il est là, il a pris ma main, tendrement, puis mon cou, doucement, puis mes lèvres, collées contre les siennes ! J'ai l'impression d'être en plein océan, Mon cœur tangue, mon corps chavire ! Et je me laisse aller sur ces vagues qui chantent à nos pieds, Je ne vois que le ciel étoilé, ses mains minces et dorées, Et ses yeux la couleur des noisettes, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, Il me fait tressaillir. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. - Regardez moi ! Dans les yeux ! Je bois votre regard ! Je goute la douceur de vos bras - Sentez-vous mes seins qui sur vous se frottent doucement ? - Sentez vous mes mains vagabondes qui caressent vos flancs ? - Ne dissimulez rien ! J'aime vous sentir, sentir votre désir qui se dresse contre moi, - Vite ! Donnez moi vos lèvres chaudes ! Caressez mes lèvres à votre guise. - Prenez-moi comme on cueille un fruit, dégustez moi avec délice et gourmandise, - Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir intense, appuyé, infini, - Je veux vous me dévoriez avec de tendres baisers, que vous me disiez tout bas vos plus folles pensées. - Je veux que vous m'emmeniez au paradis, que vous me donniez de la magie de la passion et du plaisir - Mon corps dans vos bras se fait dunes, courbes incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant. - Je veux que mon corps chaud vous enveloppe, vous enflamme, qu'il vous brûle. - Je veux que mes seins lourds qui vous troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées. - Sentez-vous ce plaisir qui monte, et ces frémissements ? - Sentez-vous la chaleur de mon corps qui vous enveloppe doucement ? - Vous sentez, cette douce humidité ? Je suis prête ! - Je vous offre ma chair nue, découverte, chaude. Je sublime cet instant, - Sous vos doigts pénétrants, n'hésitez pas à franchir mes humides frontières. - Devenue faible proie, je suis prête à glisser avec vous dans l’ultime. - Je suis prête à me donner à vous tel un cadeau sucré ! - Je veux que vous m'aimiez, sans retenue ! que vous fassiez de moi votre déesse ! - Je veux être comblée de vos prouesses ! Faites moi rougir de plaisir... - De votre corps, je veux tout ! Que vos lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. - Que votre bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent. - Je veux vous sentir pénétrer dans ma chair, m'explorer, me perforer, brutalement, sans concession. Je veux que vous me fassiez jouir, que vous m'enflammiez, que vous m'essouffliez, que vous me finissiez, - Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, vous vous libèriez en moi, - que vous me donniez votre sève chaude, que vous me remplissiez de vous, de votre liqueur douce amère, - qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres tout au fond de moi. - Je veux que vous m'abreuviez de votre onction liquide, - que vous fassiez jaillir votre miel d'homme, que vous m'inondiez de vous ! - Emmenez moi vite ! Et sans attendre ... Aimons-nous ! | fin de soirée 2 (E) Il est beau, il est là, il a pris ma main, tendrement, puis mon cou, doucement, puis mes lèvres, collées contre les siennes ! J'ai l'impression d'être en plein océan, Mon cœur tangue, mon corps chavir ... |
![]() | tendre soiréeMon cœur tangue, mon corps chavire ! Je ne vois plus que ses yeux, couleur des noisettes, mes seins s'affermissent contre lui et deviennent sensibles. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, Il me fait tressaillir. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Il y a moins de danseurs, les lumières s'assombrissent, Sa peau est douce et chaude. son souffle chaud, sa jambe se glisse un peu plus entre les miennes, son bras, entoure ma taille, nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Il me serre contre son ventre. Je sens plus bas sur son corps un renflement qui me donne le vertige. Les lumières sont plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Le contact de son relief explicite me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille. - Ne restons pas !ç!, je vous emmène dans ma chambre ! Sa chambre est au bout du couloir. A peine la porte refermée, nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il ouvre mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge, je déboutonne sa chemise, son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je défais sa ceinture et glisse une main dans son pantalon. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille, mes seins durcissent, sa bouche me fait frémir. le tire vers moi. Il m'allonge sur le lit. J'écarte les cuisses. Je dirige son sexe au bon endroit, je m'offre toute grande. - Je suis prête ! Venez ! Et je le sens venir en moi, il s'enfonce dans mes chairs. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son sexe palpite dans mon ventre, de plus en plus vite. Je suis secouée d'une série de spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. accélère ... et se fige dans un râle discret, il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement. Je suis comblée. - Vous êtes bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... - Vous voulez ? Maintenant ? - Non ... encore un peu ! Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mes entrailles me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue de plus belle. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot de lave chaude me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. Je m'étire contre lui. Un cri murmuré, caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. L'envie de jouir, de sentir son sexe doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant. Le voici qui me prends, me soulève. Je vacille. Ma robe est sans dessus dessous. Nous quittons le monde. Il souffle, s'impatiente, degraphe mon corsage. Il se couche sur moi, écartant mes jambes de ses mains volontaires. Je lui souris. Il rougit. La jouissance monte, nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il ouvre mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge. Je deboutonne sa chemise, son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau. Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je défais sa ceinture et glisse une main dans le pantalon. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille. mes seins durcissent, Sa bouche me fait frémir. le tire vers moi J'écarte les cuisses Je dirige son sexe, je m'offre toute grande. La pénétration commence, il s'enfonce dans mes chairs. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son membre palpite dans mon ventre, de plus en plus vite. Je suis secouée d'une série de spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. accélère ... et se fige dans un râle discret. Il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement Je suis comblée de lui. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mesentrailles me fait perdre toute retenue. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je viens Et soudain, l'éclair. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en dehors de moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. | tendre soirée (E) Mon cœur tangue, mon corps chavire ! Je ne vois plus que ses yeux, couleur des noisettes, mes seins s'affermissent contre lui et deviennent sensibles. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, I ... |
![]() | fin de soirée 3Nous montons vers la chambre. La porte est refermée, il m'embrasse fiévreusement, je m'agrippe à son cou. Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. Je m'étire contre lui. Un cri murmuré, caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. L'envie de jouir, de sentir son sexe doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant. Le voici qui me prends, me soulève. Je vacille. Ma robe est sans dessus dessous. Nous quittons le monde. Il souffle, s'impatiente, degraphe mon corsage. Il se couche sur moi, écartant mes jambes de ses mains volontaires. Je lui souris. Il rougit. La jouissance monte, nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il ouvre mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge. Je deboutonne sa chemise, son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau. Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je défais sa ceinture et glisse une main dans le pantalon. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille. mes seins durcissent, Sa bouche me fait frémir. le tire vers moi J'écarte les cuisses Je dirige son sexe, je m'offre toute grande. La pénétration commence, il s'enfonce dans mes chairs. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son membre palpite dans mon ventre, de plus en plus vite, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient, accélère ... et se fige dans un râle discret il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement Je suis comblée de lui. Il coulisse dans mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je viens Et soudain, l'éclair. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mesentrailles me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en dehors de moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | fin de soirée 3 (E) Nous montons vers la chambre. La porte est refermée, il m'embrasse fiévreusement, je m'agrippe à son cou. Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. Je m'étire contre lui. Un cri murmuré, caresse ... |
![]() | tendre soiréeNous sommes assis, seuls dans cette grande salle à manger, quasiment vide, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre. Je suis emprunté, ému, tremblant, transi, amoureux... Assis côte a cote, nos genoux au contact. Vais-je plus loin ? Je m'aventure, je glisse une main moite et tremblante. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Ma main s'égare sur la cuisse, encore couverte du tissu soyeux d'une douce combinaison, nouvelle barrière infranchissable ... Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact de sa peau douce ... et chaude. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts tentent d'épouser la forme ... le tissu gêne, les cuisses s'écartent, se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir. Elle s'ecarte et me lance dans l'oreille - Montons dans ma chambre. Nous nous retrouvons assis tous les deux sur son lit à nous regarder en se demandant qui va faire chavirer l'autre. Reprendre son souffle avant la suite... D'abord cueillir sa bouche... sa langue fraîche et encore maladroite, comme la mienne, dans un tendre et long baiser. Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur son dos, encore couvertes du corsage de soie. A travers le tissu soyeux, le léger relief du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... coupés courts sur la nuque, revenir sur le cou... Stratégie de mouvements volontairement lascifs qui doivent apparaître naturels et que je calcule, millimètre après millimètre... Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, Corps alanguis, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, s'électrisent. Ma main caresse son cou, descend, s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? comment passer cette barrière ? Le baiser cesse, le buste s'avance, des mains fines... Les doigts qui défont un bouton, puis un autre, un à un, avec lenteur et difficultés sous le coup de l'émotion, le chemisier s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'une splendide gorge, compressée par les bonnets blancs opalescents à la limite de la transparence laissant deviner des seins comprimés, des bouts rosâtres bruns, mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se dévêt pour moi, ou les épaules nues, légèrement en avant, ou cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! ses lèvres recollent aux miennes... Ma main, encore timide, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre. Descente vers un ventre chaud. Jeu de doigts. Découverte des corps. Charme du contact peau à peau... Exaspération des nerfs, des sens. Premiers effets d'un souffle que j'écoute, que je guette qui s'ébauche. Et nos bouches qui se soudent. Légère contorsion du bassin qui se découvre, robe qui se relève sur les cuisses. Jambes qui s'écartent, culotte de soie qui glisse discrètement, Tension extrême dans mon pantalon... je tente de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Jamais plus je ne retrouverai cette émotion ni avec elle, ni avec d'autres. La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur déjà éprouvée et déjà renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche, velouté. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. La main glisse et s'égare, les cuisses s'ouvrent. Les doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espéré, tant convoité. Ici, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terrain inconnu. Raidissement soudain du corps, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers les yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? C'est elle qui le demande c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure blonde. Ses bras m'enserrent, m'étouffent presque. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas la main explore, palpe, tâte, tâtonne encore. Elle joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et teste la vigueur de mon désir. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Me voilà nu... Mon sexe est raide, tendu, excité, tressaillant. Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, elle me signifie qu'elle est prête, qu'elle m'attend... Et c'est moi qui recule, tergiverse. mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses s'ouvrent et se ferment comme un appel. Elle s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... J'hésite encore ... puis me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais, d'un doux et long baiser, cueillir ses lèvres. Ses mains se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles appuient, m'incitent à m'avancer. Mon sexe est en contact avec le sien. Comme par enchantement il trouve le chemin. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, ses mains me bloquent immédiatement, m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains largement appliquées sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Cette fois j'appuie ma pression, bute et force légèrement le passage. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament un va-et-vient qui nous mène rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute - « Je t'aime ». Et nous nous sommes serrés l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. Je m'en souviens comme si c'était hier. | tendre soirée (E) Nous sommes assis, seuls dans cette grande salle à manger, quasiment vide, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre. Je suis emprunté, ému, tremblant, transi, amoureux... Assis côte a cote, nos genoux a ... |
![]() | ma saveur (Oscar Wilde)Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur, Je saisirai la souche de mon désir fébrile Pour écarter mes lèvres pleines de saveur En y accueillir la sève de ton plaisir érectile. Pour que tes yeux se plissent, que ton regard se trouble, J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton corps, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, ta sève va jaillir. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je sens tout ton amour s'incruster sous ma peau Et mon âme fragile se mêle à la tienne. Oscar Wilde - Sofifée | ma saveur (Oscar Wilde) (E) Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur, Je saisirai la souche de mon désir fébrile Pour écarter mes lèvres pleines de saveur En y accueillir la sève de ton plaisir érectile. |
![]() | audaceAllongée sur le divan, sa robe légère étalée, je sentais à travers le tissu la douceur et la chaleur de sa peau. Ma main s'était glissée sous son corsage. Sa peau etait chaude, un peu moite. Je la carressais avec douceur, elle aimait cela. Ses reins se creusaient, sous le desir qui montait en elle, elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posa une de ses mains sur la mienne, la pressant, avec un petit sourire sur le coin de ses lèvres nous sommes arrivés chez moi, Jusqu'où allions-nous aller ? Elle m'a suivi dans la chambre, j'ai mis un peu de musique, ouvert les volets restés fermés. Elle s'est assise sur le lit, son regard etait une invitation à lui tout seul, les jambes croisées, légèrement en arrière elle s'appuyait sur ses mains. Elle remarqua mon regard qui remontait, le long de ses jambes, elle les ouvrit doucement, sa toison etait dans la lumière, claire, presque blonde. Je m'approchais d'elle doucement , je remontais doucement mes mains le long de ses mollets, soulevant sa jambe. Elle se laissa glisser sur le lit, je la rejoignis, nos deux corps l'un contre l'autre, j'embrassais sa bouche, ses levres. je decouvris un sein, il etait encore dur, bien rond, si sensible. je le sentis dur sous ma langue. la salive qui j'y deposais doucement etait notre lien, je tournais autour de son teton doucement , puis relevant un peu la tete, j'emis un souffle leger, un frisson la parcoura, J'avais descendu, le haut de sa robe, jusqu'à son ventre, ses seins etaient là devant moi me pointant fièrement, elle etait si frêle, si jeune, si désirable à la fois. J'embrassais son ventre, je jouais de la langue, elle se tendait tendrement émettant de petits gemissements, presque inaudible.Je faisais glisser sa robe , le long de ses jambes, elle etait nue contre moi, j'aimais son corps, elle etait vraiment tres belle, fine, douce, si fragile d'apparence. J'embrassais son corps, avec envie et delactation. Je posais mes mains entre ses jambes, passais un doigt sous les levres fines , legèrement gonflées de plaisir et d'envie. Je les caressais, tendrement, doucement, sensible aux reactions que je faisais naitre en elle, variant les vitesses, la pression, les faisant rouler sous mes doigts, Tous mes sens en eveils, pour mieux la ressentir, je la sentais se retenir, se contenir,la pression se faisant de plus en plus forte, oprressante. elle venait je le sentais, elle agrippa ma tete se contractant d'un coup tandis que sa gorge lachait un rale long, suivie d'autres contractions alletantes. Je remontais vers sa bouche et l'embrassait, son souflle et sa respiration etait courte, presque inaudible, mes mains parcouraient son corps carressant ses flancs, un sein, le contour de ses hanches, remontant le long de ses jambes , J'embrassais son corps, deposais sur elle milles baisers tendres, je ne voulais pas la brusquer, être sûr de son désir. elle avait les yeux brouillés, humides, Une larme coula sur sa joue , telle la rosée du matin, perlant sur une fleur, je me plaçais au dessus d'elle, elle prit mon sexe dans une main et commençait à se carresser avec. Parcourant, la chaleur humide de ses levres intimes. frottant son clitoris et redescendant doucement à l'interieur de ses levres. Je sentis sous mon gland l'orifice, je prenais le temps , je la voulais detendue autant que possible. je sentais sa vulve se dilater quelque peu et mon gland s'aventurait, chaque fois un peu plus, je continuais à l'embrasser, j'avais pris une de ses mains, nos doigts etaient entrelacés et à chaque pression je serrais aussi sa main. Le gland etait rentré. son vagin etait doux, chaud et etroit, je continuais ma lente penetration, et c'est son corps qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison. j'etais si bien, que je ne me rendis meme pas compte du temps. Cela m'a semblé une eternité de douceur et de plaisir controlé. son souffle etait lent , aussi lent que la penetration, sans doute et plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Presque etonné, j'atteignis le fond, je restais un moment en elle sans bouger , toujours en exerçant une legere pression, elle avait les yeux fermés, Elle etait resté offerte, la bouche ouverte, tout son corps, tout son esprit etait figé sur la douce penetration et les sensations qu'elle engendrait. Je l'embrassais , passant ma main dans ses cheveux, carressant son visage. Doucement je commençais le va et vient, elle avait les yeux grand ouvert, etonnée je pense , elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas , pas maintenant pas encore, elle devait profiter de ce moment , je devais tenir , encore un peu, quelques minutes . Son souffle devint court , plus saccadé, elle se mordait les levres, recherchait ma bouche, serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre, les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes, mes va et viens etaient devenu des asssauts, je m'arquais en elle, accelerant sans cesse le rythme, nos regards, nos doigts entrelacés, nos sexe unis dans un meme elan, un même desir, cette envie folle qui nous etreignait, la bouche ouverte elle redressa la tete,dans un rale profond et mordit dans la chair de mon epaule, je n'en pouvais plus , encore un assaut, tenir encore un peu, un autre, encore un .... et ... oui ! et enfin la liberation dans un gemissement liberateur, mon sexe dur vibrant en elle, ne cessant ses contractions, se liberant enfin. je l'embrassais encore et encore restant en elle de longues minutes, l'un sur l'autre, comme pour faire durer ce moment inoubliable, j'aurais aime en cet instant, que pour nous deux, le temps s'arrete ! | audace (E) Allongée sur le divan, sa robe légère étalée, je sentais à travers le tissu la douceur et la chaleur de sa peau. Ma main s'était glissée sous son corsage. Sa peau etait chaude, un peu ... |
![]() | un homme fortLouis est un homme fort, bien bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés sur la piste de danse, comme moi, il adorait danser. Je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti sa vigueur masculine sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu plus contre ce relief indécent. ce qui ne faisait que m'exciter davantage, Il ne resta pas longtemps sans réaction. Sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue à la recherche de la mienne, tout en me serrant contre lui, je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit - Soyons sages ! Nous sommes en train de faire des betises ! Il m'a chuchoté de vagues excuses, m'obligeant à l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commençait à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à faire face à la situation, je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Mes genoux fléchissaient J'avais absolument besoin de reprendre mes esprits. Mais il me relança - tu es une si belle femme ! j'ai alors senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le satin de ma lingerie. il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. - Louis ! Il avait touché un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Malgré un léger gémissement, je l'ai laissé faire, je m'en étonne moi même. Il a alors délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Louis, J'ai si chaud... on va trop loin ! il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je guettais toutes les sensations de mon corps, et je commencais à sentir monter l'orgasme. Il avait relevé ma robe de soie et ouvert son pantalon sans que je réalise bien. C'est alors que j'ai senti le contact de son sexe massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... - Louis ! Que fais-tu ? C'est alorsqu'il commença à pousser en moi son gland. - Non Louis, arrêtes, on ne peut pas faire çà...on n'a pas de protection ! - Mon amour ! juste un peu ! S'il te plait ! pour me sentir en toi quelques instants ... - On ne doit pas ! Tu joue de ma résistance ! - Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, - non, Louis s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie ! J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir et s'allonger de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. - Oh Louis ! Il entrait en moi et ressortait, me pénétrant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son combleJ'ai recommencé à protester du bout des lèvres, - Qu'est-ce qu'on est en train de faire ! Ce n'est pas bien ! mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi,j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. - Non Louis ! Arrête ! Je ne suis pas protégée ! C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. - Oh Nooon ! ... Louis ! Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait avec tant de force que je pouvais ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus. - Mon Dieu, Louis ! ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. - Oh que c'est bon ! tu est en train de vaincre toutes mes résistances ! - Laisse toi faire ! C'est tellement bon ! La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. - Louis ! Qu'est-ce que nous avons fait ! J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Pierre continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. - Je suis dans ton ventre ! C'est si bon ! - Je suis remplie de toi ... et c'est vrai que c'est bon ! Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre s'est de nouveau mis à haleter - je sens que je vais jouir encore ! - restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît ! Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de mes muqueuses et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. - Louis ! Tu m'as épuisée ! Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, J'ai pu entendre un bruit de succion terriblement érotique je me suis redressée lentement et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, le long de mes jambes. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me redresser, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. | un homme fort (E) Louis est un homme fort, bien bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés sur la piste de danse, comme moi, il adorait danser. Je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'éta ... |
![]() | FatimaJ'apportai les journaux dans ce petit pavillon. Une belle femme, méditerranéenne vient m'ouvrir. Elle est en peignoir et vient chercher son courrier… Environ 40 ans, des cheveux bruns negligemment attachés en chignon, et un peignoir suffisement echancré pour laisser deviner une chemise de nuit de soie bordée de délicieuses dentelles dévoilant de surcroit de belles poitrines genereuses. Je dois lui faire signer un reçu de lettre recommandée. Elle me fait rentrer chez elle et m'installe dans la cuisine. Elle me regarde avec une intensité qui me trouble et m'affole un peu. Je m'assoie, lui presente la lettre et le reçu. Elle se penche pour signer, devoilant sous son peignoir la naissance de deux seins splendides. J'ai chaud. Ses seins sont en saillie sous le tissu. Je touche involontairement ses longs cheveux, Je sens un entetant parfum et le fugitif contact de sa peau. Je perds tous mes moyens. Elle rapproche alors son corps et son sein s'appuie maintenant sur mon epaule. J'engage la conversation: - Vous êtes seule dans cette grande maison ? - Oui. La solitude me pèse. Vous voyez, votre présence me change les idées. Son sourire me déstabilise au plus haut point. Je lui prends la main affectueusement, elle me répond en me prenant le bras et en me remerciant de ma bienveillance. Quelque peu troublé, je m'écarte pour reprendre mes esprits. - Je m'excuse, mais je dois continuer ma tournée ! - Je vous en prie ! restez ! Je ne sais plus quoi faire ! Je n'en peux plus. Elle se lève face à moi, approche son visage, je la sens tressaillir. Elle attire mon visage vers le sien, elle me donne ses lèvres ..... et sans attendre, s'abandonne dans un long baiser qui me laisse figé - Je m'appelle Fatima ! Elle me prend la main et m'emmène à coté, dans sa chambre, referme la porte et me tend de nouveau ses lèvres. Le baiser est intense. Je caresse en même temps la soie de son chemisier, j'y insinue ma main. Je découvre ses seins, les explore tendrement, ceux-ci, très sensibles, se raffermissent sous la caresse, je sens ses pointes se dresser sous mes doigts. Sa main palpe la bosse à travers l’étoffe rugueuse de mon pantalon. La mienne descend à présent sur la soie de sa combinaison, se glisse dans la fente du tissu pour caresser la peau, toujours lentement, elle remonte sa cuisse, sa peau est chaude et douce. mes doigts atteignent la dentelle de sa petite culotte. Sous la caresse, ses cuisses s’ouvrent et son bassin s’avance, impatient, je sens le désir monter profondément de mon ventre et du sien. Franchissant l’ultime barrière du léger tissu, mon doigt se pose sur sa vulve, toute humide, je la masse par de petits mouvements circulaires. Asphyxiée par l’émotion, elle bascule sa tête en arrière pour reprendre son souffle. Elle souleve son bassin afin de m'aider à retirer sa combinaison. Je fais glisser son petit slip le long de ses cuisses, pour le laisser tomber au sol, mes mains viennent se glisser sous ses fesses et s'introduisent dans sa fente, elle ressent une violente sensation, une décharge électrique un orgasme semblant durer une éternité envahit son corps entier, la déchire, lui arrache des cris, je la maintiens fermement par les hanches, des spasmes parcourent encore ses muscles. Les contractions s’espacent. J'en profite pour l'allonger sur le lit et la rejoindre. Je recommence alors à stimuler le clitoris, d’abord imperceptiblement, puis plus rapidement. A l’aide de petits mouvements rapides, je la fais alors jouir une deuxième fois, aussi fort que la première, elle s'est raidie, au bord de la crampe, son corps est retombé ensuite, s’abandonnant à la douce torpeur qui suit une telle explosion d’énergie. Quand elle rouvre les yeux, je suis penché sur elle, je lui souris en lui caressant la joue, nous echangeons un long regard, elle me sourit, ma bouche vient se poser sur ses lèvres, ses mains s’aventurent sur ma peau. Nous nous embrassons pendant que mes mains la caressent, la palpent, la fouillent ! Enfin, elle me guide et je la pénètre profondément. Elle sent qu'elle ne va pas tarder à jouir encore ! Je redouble d’ardeur, elle sent ma verge aller et venir de plus en plus vite. Elle sent mon sexe aller et venir si délicieusement en elle. Elle est comblée. Je la prend de plus en plus vigoureusement, elle se met à gémir, je redouble d’ardeur, je vais et je viens de plus en plus vite le long de son vagin tendu et luisant. J' explose enfin, en criant ma jouissance, elle vient en même temps. Elle me caresse les bourses. Je me cabre et m'enfonce au plus profond de son vagin, je répands ma semence chaude, au fur et à mesure de ses spasmes. L’extase terminée, nous nous ecroulons, terrassés par un nouvel orgasme, exténués et heureux. | Fatima (E) J'apportai les journaux dans ce petit pavillon. Une belle femme, méditerranéenne vient m'ouvrir. Elle est en peignoir et vient chercher son courrier… Environ 40 ans, des cheveux bruns negligemment attachés en chi ... |
![]() | comme une semence qui germePassé le genou où ma main se creuse, comme une semence qui germe en soulevant la terre, Je vais vers ton ventre comme vers une ruche endormie. Plus haut ta peau est si claire que tes jambes en sont nues et mon regard s'y s'use comme au plus tranchant d'un éclat de soleil. Au-delà, je sens ta douce lingerie qui sert à t'offrir à moi et à colorer mon désir. Tes cuisses, douces comme la soie, se desserrent et je sens maintenant la ligne de partage de ta chair. Mes doigts vont se fermer sur le seul point du monde où se carbonisent des hauteurs entières de jour. Et c'est enfin la pleine rivière que je remonte sans effort, parce que tes seins s'y élèvent comme deux cailloux à fleur d'eau. Un doigt, c'est trop peu. Deux, c'est mieux. Trois, tu soupires. Quatre, je t'inspire. Cinq, tu expires Je suis dans ton ventre. J' habite soudain en toi. Digital en ton antre, comme un espace inconnu, une autre voie... A ton étonnement succède l'action, mes doigts brandis dans ton sexe en fusion, extrême onction. Sueur, jouissance, passion ! | comme une semence qui germe (E) Passé le genou où ma main se creuse, comme une semence qui germe en soulevant la terre, Je vais vers ton ventre comme vers une ruche endormie. Plus haut ta peau est si claire que tes jambes en sont nues et ... |
![]() | au goût de tes caressesMon corps s'est réveillé au goût de tes caresses Et le temps s'est figé au miel de nos baisers, Le monde entier s'est tu à nos mots murmurés. A l'éclat de tes yeux, je me suis crue déesse. Mais je sais qu'au-delà des murs de cette pièce La vie reprend ses droits t'emportant loin de moi Et me livre à l'oubli, compagnon triste et froid. Je sombre amèrement au puits de ma détresse. Voici qu'au soir tombé mon amant tu reviens Drapé des souvenirs et des élans du jour Tu effleures mon grain d'un stylo plein d'amour. Je m'abandonne alors à toi, mon écrivain. | au goût de tes caresses (E) Mon corps s'est réveillé au goût de tes caresses Et le temps s'est figé au miel de nos baisers, Le monde entier s'est tu à nos mots murmurés. A l'éclat de tes yeux, je me suis crue ... |
![]() | La lune est bien rondeSoirée mondaine, musique douce. Nous nous retrouvons sur la terrasse après une danse tres lascive. Appuyée sur la rambarde, reveuse, elle contemple les astres dans la nuit. Je suis derrière elle, je m'appuie contre elle, légèrement. Elle me murmure: - La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ? J'acquiesce. Elle semble apprécier ma presence. Discrètement, je glisse doucement mes mains sur ses hanches. Elle soupire : - Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ? J'accentue la pression sur son bassin, et je caresse ses hanches de bas en haut - Elle mérite d'etre explorée, vous ne trouvez pas ? Je me serre encore un peu plus contre elle puis, Elle est contre moi, son cou contre mes levres, les yeux fermés, laissant échapper de tendres gémissements au gré de mes caresses. Je suis bien contre elle. Mes paumes emprisonnent très doucement ses seins que je devine souples sous un corsage de soi légère - la nuit est douce ! ... Vos mains aussi ! Je recommençe, sentant cette fois-ci une douce chaleur. Je glisse mes mains sous ses seins pour les palper, les soupeser, puis les serrer doucement. - La lune a de belles rondeurs ! ... Comme moi ? Tout en continuant de l’embrasser dans le cou, je glisse mes main sous son corsage. Elle ne porte pas de soutien gorge. Mes mains effleurent des rondeurs laiteuses, je sens sous mes doigts ses seins se durcir. Je caresse lentement ses petits mamelons fermes et souples. Je n'arrive plus à dissimuler un relief indécent. Elle soupire et se frotte un peu plus contre moi. Je lui mord doucement le cou. Je me penche vers elle et la violence de son odeur de femme me suffoque et m’excite à tel point que je dois me retenir pour ne pas me jeter sur elle et assouvir mon envie d'elle sans plus tarder. - La lune est prête à être explorée ! ... moi aussi ! Je la serre contre moi et, au travers de sa robe, je la sens prête à s’ouvrir. Comme mes mains descendent le long de son dos, puis remontent sous la jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : Elle agite le bassin, glisse une main derrière elle et teste mes reliefs, les caresse et les masse doucement. Elle semble les juger prometteurs. D'un mouvement rapide, elle tourne la tete, me fusille du regard. - Je n'ai rien sous ma robe ! Elle se retourne ... m'embrasse sur les lèvres, puis elle sort mon sexe déjà bien raide de mon pantalon, le serre doucement et délicatement. Elle relève sa jupe et dirige mon sexe, elle l'ajuste sur ses lèvres trempées. - Venez, dépêchez-vous, je suis prête ! Je m'introduis. Elle gemit doucement. Je lui mords le cou. Je reprend ses seins, les serre. Elle gémit. Mes mouvements se font de plus en plus rapides. Son corps tremble de partout. Des gouttes de sueurs le recouvrent entièrement. Ses cheveux sont en bataille. Ses yeux sont hagards. Je ne peux résister plus longtemps. Je m'enfonçe d’un coup, la fusée part ! ... j'éjacule au fond de son ventre, je gicle abondemment par jets successifs. Elle s'immobilise, s'affaisse. Je ressors mon sexe dans un bruit de succion Elle se retourne et me sussurre: - Ne me laissez-pas comme ça ! L'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Elle est maintenant face à moi. Je la serre contre moi, je lui prend le visage à deux mains et lui donne un baiser tendre. Mon sexe se dresse à nouveau. Je sens des faiblesses dans ses jambes, Elle s'accroche à mon cou et se colle contre moi. Avec délicatesse, je caresse ses seins qui durcissent à nouveau. Ma main remonte le long de ses jambes, glisse entre les deux cuisses. Ses jambes s'écartent, son corps se tend. Et c'est une pénétration amoureuse ample et suave. Je m'enfonce loin très loin dans son puit déjà trempé de nos sécrétions. Elle m'enserre. Elle veut me garder sans bouger. Le rythme est d'abord calme, lent. Nous nous murmurons à l'oreille des mots sans suite, Nous accélèrons la cadence et bientôt, à grands coups puissants, je plonge et ressors de ce ventre acceuillant. Le plaisir monte de plus en plus fort, et c'est l'explosion simultanée. Le coup de tonnerre passé, nous restons réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment. | La lune est bien ronde (E) Soirée mondaine, musique douce. Nous nous retrouvons sur la terrasse après une danse tres lascive. Appuyée sur la rambarde, reveuse, elle contemple les astres dans la nuit. Je suis derrière elle, je m'appuie cont ... |
![]() | il était seul comme moiPierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui. je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. j'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Pierre m'a proposé de continuer la soirée dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit - retournons au salon de l'hôtel, sinon nous allons faire des betises Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Pierre, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici ! Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Je m'arreterai dès que tu me le diras. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. - Oh Pierre ! - S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants... - Oui ... mais tu t'arretes ! - Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment ! et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, - non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie ! J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. - Oh Pierre ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...! - Helene ! C'est si bon ! - oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon ! Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. - Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! , - Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais ! J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît ! Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | il était seul comme moi (E) Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai t ... |
![]() | un soir avec MaryNos corps se rapprochent et maintenant se frôlent. Nous sommes joue contre joue. Nos bras s’enlacent, je me sens bien, elle peut deviner sur mon corps les premiers effets de mon trouble. Les yeux fermés, elle se laisse aller au lent mouvement de la musique, Mes mains sont plus fermes dans son dos et sur sa hanche. Je dépose mes lèvres sur son front, et les fait glisser petit à petit vers sa joue. Contact avec le coin des lèvres. Elle ne réagit pas, garde les yeux fermés. Nouveau contact, elle tourne légèrement la tête et je sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres se rejoignent, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Elle, se pend littéralement à mon cou. Elle se serre contre moi, je suis submergé par un désir violent. Je commence à caresser le dos puis sa nuque, elle est toujours accrochée à son cou, Je l’emmène discrètement dans un coin plus sombre de cette grande salle. Sa peau est chaude, son contact apaisant et tranquille. Je glisse mes doigts dans le décolleté, en écartant doucement le tissu, Je détache un, puis deux boutons, elle ne réagit pas. Mes doigts rencontrent une douce dentelle qui abrite une poitrine ronde et ferme. Elle se serre contre moi. Je glisse ma main derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge et libère ses poitrines qui s'affaissent. Elle se presse contre moi pour prolonger la caresse. Ses joues rougissent, elle me regarde, gourmande, reconnaissante. Je glisse mes mains sur sa longue robe fendue, je m'immisce dans l'ouverture, je remonte, franchis la limite des bas, entre au contact d'une peau douce, tendre et chaude. Elle se serre plus fort contre mon cou, elle semble approuver. J'atteins le fin tissu d'une culotte de soie et, doucement, le tire vers le bas. Elle me fixe d'un regard interrogateur, mais, tout en se serrant à mon cou, commence à se tortiller pour me faciliter la tache, et je sens la fine lingerie glisser lentement le long de ses cuisses, apparaître sous la jupe, pour enfin se retrouver au sol. Je ne me tiens plus. Son ventre contre le mien, comme si elle testait la vigueur de mon désir Je retrousse sa robe, caresse la peau chaude de ses cuisses et de son ventre. Nos corps se cherchent. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. Elle s'offre, les cuisses écartées. Elle m'attrape par la chemise, recherche ma bouche pour regoûter ma salive. Elle glisse fébrilement sa main dans mon pantalon, saisit mon sexe, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle plonge alors son regard dans le mien, dit oui de la tête et guide mon sexe vers le sien. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud, un étui doux et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale doucement, interminablement, ralentit sa descente, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Son regard devient vitreux, elle me presse pour que je m'enfonce encore plus loin, reprend son élan et recommence. Elle me sent maintenant arriver au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Je sens monter quelques tremblements, je sens ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s’évanouir. Elle pousse un cri déchirant qui déclenche ma propre jouissance et j'explose dans son ventre et continue à lui donner jusqu’à la dernière goûte de mon sperme chaud. Enfin, épuisée, elle s’affaisse, Je suis toujours en elle, mais me retire dans un agréable bruit de succion. Elle m'essuie avec un mouchoir et me sourit avec tendresse et gratitude. | un soir avec Mary (E) Nos corps se rapprochent et maintenant se frôlent. Nous sommes joue contre joue. Nos bras s’enlacent, je me sens bien, elle peut deviner sur mon corps les premiers effets de mon trouble. Les yeux fermés, elle se laisse al ... |
![]() | C'était une belle femme brune, chemisier blanc, poitrine bien galbée, à peine masquée par la dentelle noire de son soutien gorge. Elle quitta ses chaussures, sa jupe et son chemisier devoilant des fesses bien remontées, contenues dans un slip en dentelle noire. Elle s'installa à plat ventre, bras le long du corps; il dégrafa son soutien gorge, et commença à parcourir son corps de mille effleurements. Sa peau était douce et lisse, et réagissait par endroits en de léger frissons. Il se saisit alors de la fiole d'huile, et laissa couler un mince filet le long de son dos. Elle ne put réprimer un mouvement de cambré très suggestif avant de se ressaisir. Le massage se fit alors plus appuyé, les pressions glissées parcouraient dans le détail les mollets, les cuisses , les fesses, le dos, les épaules et le cou, en alternance. Barbara commençait à s'abandonner, laissant son corps onduler au rythme du massage. Il se proposa alors de lui retirer ses sous vêtements, qui constituaient un obstacle au passage de ses mains à certains endroits. Il se saisit du soutien gorge, puis fit glisser lentement le slip jusqu'à l'extrémité de ses jambes. Insidieusement, elle ouvrit légèrement les cuisses, laissant entrevoir sa fente rosée et humide. Tout en massant ses fesses d'une main, il insinuait maintenant un doigt à la périphérie de la vulve. Il la sentait brûlante et gonflée. Barbara ne pouvait se retenir de faire onduler son bassin à chacun de ses gestes, elle était dans un état semi-fébrile. Il lui demanda alors de relver le torse, jambes à demi fléchies. Il pouvait voir les pointes de ses seins qui paraissaient tendues à leur maximum. Il caressa la partie interne de ses cuisses et de son ventre, appliquant des mouvements circulaires. Elle écarta ses cuisses, toujours un peu plus, découvrant son intimité ruisselante. Il titilla encore les contours de sa vulve puis dirigea ses mains vers l'un de ses seins. Il se saisit de la partie charnue d'une main, tandis que l'autre pinçait précautionneusement le téton. Il fit de même avec le deuxième sein, puis réalisa de larges mouvements qui massaient en profondeur toute sa poitrine. Il sentait sous ses paumes les tétons érigés, et sous ses doigts les galbes fermes et arrondis. Il étendit ensuite ces mouvements au ventre et à la taille. Barbara était toujours plus brûlante et plus ondulante, chaloupant de tout son corps. Il lui demanda alors de poser ses avants bras en appui sur la table. Tandis qu’elle s’exécutait, troublée et silencieuse, il s’installa sur un second siège juste derrière elle de sorte que son torse vienne à peine au contact de son dos, et qu’elle puisse sentir son souffle chaud courtiser la naissance de son cou. Il déposa ses mains au contact de la taille de Barbara, qui se dessinait comme les flancs d’un violoncelle. La chair était chaude et accueillante. Il commença par faire glisser ses pouces de bas en haut, au niveau de ses reins. A chaque passage, elle laissait son dos se cambrer à son extrême limite, afin de le sentir prendre possession de son bassin. Il étendait progressivement la zone du massage , effectuant de larges mouvements sur ses fesses, le mielleux de sa taille Leurs deux corps semblaient exécuter une danse amoureuse, faite de vagues ondulantes charnelles. Quand il arriva au niveau du cou, il effectua de petits pétrissages sur ses muscles délicats. Il les sentit fondre et s’épanouir doucement sous ses doigts , et ne put réprimer quelques baisers que son souffle chaud déposa en une bise légère. Barbara y répondit instinctivement en basculant sa tête en arrière jusqu'au contact de son épaule ; et en reculant sa croupe qui prit toute la dimension de sa virilité exacerbée. Il effleura son ventre de sa main gauche, réservant sa main dominante pour taquiner la racine de sa poitrine. Elle se recula légèrement pour qu’il en prenne davantage possession. Il se saisit alors pleinement de ses seins impudemment tendus, frictionnant les mamelons avec le creux de ses paumes, et malaxant la partie charnue, générant sursauts et frissons. Elle ouvrit ses jambes toujours un peu plus, et une forte odeur de sexe, aux contrastes musqués et ambrés diffusa dans la pièce. Alors qu’il parcourait d’une main l’intérieur de ses cuisses, elle s’en saisit délicatement et l’amena sur son entrejambe. c’était très chaud, presque brûlant, il avait l’impression de tremper ses doigts dans une sorte de puit de plaisir. Barbara, les cuisses grand ouvertes, oscillait au même rythme que lui. Elle prenait maintenant sa respiration à pleins poumons pour soupirer violemment ; c’était très différent des gémissements habituels des femmes, souvent surfaits et volontairement marqués ; il s’agissait de cris puissants et directs, Ils étaient à chaque fois plus forts et plus violents, annonçant la jouissance imminente. Celle-ci vint sous la forme d’une contraction violente de tout le corps de Barbara , qui se plaqua de toutes ses forces contre lui. Il sentit sous ses doigts le resserrement de la vulve mouillée de cyprine, puis son lent relâchement qui accompagnait la détente de ses muscles. Sentant qu’elle reprenait lentement pied à la réalité, il lui glissa de petits baisers dans le cou, ponctués de mots tendres. Rendez-vous fut pris pour le lendemain, mais cette fois ci pour un massage plus intime ... voire plus ... | (E) C'était une belle femme brune, chemisier blanc, poitrine bien galbée, à peine masquée par la dentelle noire de son soutien gorge. Elle quitta ses chaussures, sa jupe et son chemisier devoilant des fesses bien ... |
![]() | Merveilleuse inconnueJ'entre en toi, lentement, puissement. Je m'arrête, reviens, ressors. Tes lèvres me happent, m'attrapent, m'emprisonnent. Tes parois se contractent pour m'aspirer en toi. Tu halètes et soupires au même rythme que moi. Tout mon corps imprime le mouvement et le rythme. Je me cambre, je laisse mes mains, je monte et descend le long de mes jambes. Je suis ton rythme et les mouvements de ton corps, comme une onde, se propagent à mon corps. Je vais et je viens, de plus en plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne pense plus, je bande, mon corps disparaît dans le tien, ma verge te bourre, t'enfonce, revient et repart. Je sens mon sperme qui monte, progresse par paliers, accentue sa pression, Il monte encore, je me tends, je te bloque ... Oh Oui ! Ca y est ! C'est la première giclée. Chaude, visqueuse, J'explose au fond de ton vagin. puis une seconde et une troisième. Nous gardons le rythme, continuons à nous agiter dans tous les sens. Je t'ai remplis de moi. Les salves faiblissent. Le rythme se ralentit, s'adoucit. Je sors de ton ventre, lentement. Mon sexe glisse hors de tes lèvres trempées. Mes jambes glissent le long de tes cuisses, Tu te penches vers mon sexe déjà mollissant. Tu caresses mes cheveux. Merveilleuse inconnue. tu entres en moi, lentement, puissement. Tu t'arrêtes, tu reviens, tu ressors. Mes lèvres te happent, t'attrapent, t'emprisonnent. Mes parois se contractent pour t'aspirer en moi. Tu halètes et soupires au même rythme que moi. Tout ton corps imprime le mouvement et le rythme. Tu te cambre, laisse tes mains, monter et descendre le long de mes jambes. Tu suis mon rythme et les mouvements de mon corps, comme une onde, se propagent à ton corps. Tu va et tu viens, de plus en plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Tu ne penses plus, tu bandes, ton corps disparaît dans le mien, je sens ta verge qui me bourre, m'enfonce, revient et repart. Je sens ton sperme qui monte, progresse par paliers, accentue sa pression, Il monte encore, Tu te tends, tu te bloques ... Oh Oui ! Ca y est ! Je la sens , c'est la première giclée. Chaude, visqueuse, tu exploses au fond de mon vagin. puis une seconde et une troisième. Nous gardons le rythme, continuons à nous agiter dans tous les sens. Tu m'as remplis de toi. Les salves faiblissent. Le rythme se ralentit, s'adoucit. Tu sors de mon ventre, lentement. Ton sexe glisse hors de mes lèvres trempées. Tes jambes glissent le long de mes cuisses, Je me penche vers ton sexe déjà mollissant. Je caresse tes cheveux. Merveilleux inconnu. | Merveilleuse inconnue (E) J'entre en toi, lentement, puissement. Je m'arrête, reviens, ressors. Tes lèvres me happent, m'attrapent, m'emprisonnent. Tes parois se contractent pour m'aspirer en toi. Tu halètes et soupires au m&e ... |
![]() | effleurementsDouces paroles, effleurements furtifs, son chemisier frotte doucement sur la pointe des seins, douce chaleur qui irradie le ventre, oppresse la poitrine, respiration rauque, débit saccadé, profonds baisers qui laissent pantois, Je l'emmene vers la chambre, transport chaotique, et délicatement, je l'allonge sur le lit, jupe glissée le long des hanches, dos cambré pour faciliter l'opération, corps allongés, exploration du corps feminin, seins tendus, pointes dressées, ventre vibrant d'un désir ardent, mon sexe à peine dévoilé, brillant d'humidité, jeu de bouche et de langue sur le corps abandonné aux caresses, nous sommes serrés l'un contre l'autre, les deux corps s'épousent, les lèvres se joignent, les langues tournoient, les mains à la découverte du corps de l'autre. Ondulation lascive. sa main glissées sous ma veste, descente le long du dos, ma paume de main qui englobe un sein, le petrit, bouche dans son cou, souffle d'air chaud, spasme de plaisir, Son chemisier est lentement deboutonné et doucement écarté, glissant sur les épaules et le long des bras. baisers de bouches, pointes de langue, peau douce et frémissante. décharge électrique qui vrille les reins, langue qui tourbillonne autour d'une pointe de sein. souffle rauque, tétons durcis qui s'écrasent contre ma poitrine, le ventre qui se tend à la rencontre de l'autre. bouches qui se retrouvent, dents qui s'entrechoquent, les langues reprennent leurs explorations mutuelles, mes mains glissent sous sa jupe, peau tendre des cuisses, fesses libres de tout tissu, doux sillon humide de desir. Ses jambes sont secouées de tremblements, son ventre noué de contractures, redoublement de gémissements, mes doigts sont sous les bords de la dentelle. Ses jambes s'écartent, souffle d'air tiède sur le sexe feminin, mes doigts qui explorent, remontent, l'intérieur des jambes, doucement ouvertes, son corps arqué, exploration de tous les moindres replis, parfum enivrant de nectar, sa tête noyée dans les brumes de l'intense plaisir, vagues de l'orgasme naîssant au creux de ses reins et qui déferle dans tout son corps, torsion et gémissements sans discontinuer, lame de fond vers des sommets inexplorés d'un plaisir violent. paroxysme de jouissance. Elle jouit ! Sa peau est douce et chaude sous mes doigts, ses jambes écartées accueillent mon corps, mon sexe frole le sien. elle mouille ! elle m'attend. Elle ne bouge plus, ses yeux ouverts fixent le plafond. Mon pénis turgescent se frotte le long de sa vulve, l'humidifiant de son liquide, et ... je la penetre, lentement. Pamoison, jouissance intense, son sexe s'ouvre comme une fleur, sensations indescriptibles d'une lente progression dans son puits d'amour, centimètre après centimètre, prise de possession, les parois de son ventre m'épousent étroitement. Je la pénètre avec douceur, elle me reçoit tendrement. Je glisse en elle avec délice, je vais et je viens, doucement, amplement. Je la pénétre à fond, c'est chaud ... Je ressors, je reviens, plus profondement. Je touche le fond, mes bourses touchent sa peau, elle me serre dans ses bras et gémit doucement. Ses muscles intimes me serrent. Bien enfoncé en elle, je glisse dans son ventre, Planté au fond du vagin bouillant qui se serre convulsivement, son corps se cabre, ses hanches ondulent, le pubis se tend, ses jambes s'enroulent autour de mes cuisses, doux va et vient, gerbe d'étincelles venant éclater en cris et gémissements, cadence accelerée, râles, tant le plaisir est intense, les bras qui se referment sur les épaules, les doigts qui se crispent, les ongles qui se plantent dans la peau, elle jouit de nouveau, un long feulement rauque finissant en un râle de pure extase, orgasme ravageur, brusque accélération, coups de langues et caresses profondes, lèvres serrées autour de la verge tendue sentant le corps de l'autre, répondre par de violentes crispations incontrôlées, vagues de plaisir. Ma penetration se fait profonde, quelques mouvements ... dans un fourreau brûlant qui serre convulsivement ma verge. Paroxisme de la tension. Je vais venir ! Je viens ! Explosion. Jaillissement. Je jouis plus fort que jamais, j'inonde son intérieur. Ma semence gicle, remplit, envahit le vagin dans un grognement de plaisir. longs jets brûlant ... jouissance au plus profond d'elle, nouvelle explosion de plaisir la laissant totalement épuisée, repue, vidée de toutes forces. mêlée de deux corps, brume érotique, brouillard sensuel. Pendant cinq minutes, nous sommes compressés l'un contre l'autre, moi au plus profond d'elle et elle autour de moi. Nous nous parlons, en même temps, décrivant à l'autre des choses que nous n'avions jamais senti. Je m'endors en elle, c'est magique. Des voiles se referment, la tension se relâche, ma chaleur humide s’épanche de son corps. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Je reste planté en elle, immobile ... Une lourdeur pesante envahit ses membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... nos corps sont repus... Nous avons fait l'amour avec douceur et joui tout les deux à l'unisson. | effleurements (E) Douces paroles, effleurements furtifs, son chemisier frotte doucement sur la pointe des seins, douce chaleur qui irradie le ventre, oppresse la poitrine, respiration rauque, débit saccadé, profonds baisers qui laissent pantois ... |
![]() | course tendre- Ton désir est là. Je le sens bien ferme ! il est prêt, moi aussi - Sens tu bien mon doux nid qui s'ouvre pour toi ? - Ferme avec moi tes yeux ! Je suis prête ! Viens ! ... - Enfonce toi doucement, par glissades subtiles. - Oh Oui ! Je te sens bien, continue tes caresses ! - Prend le temps, arretes-toi et sens la douceur de mon ventre. - Commence ta course tendre au plus profond de moi, - Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir. - Je m’ouvre à toi, je t'aspire en moi, - sensation délicieuse et presque douloureuse. - A présent tu es mien, je suis tienne. - J'aime ton sexe qui glisse dans ma chair - Tu es bien ferme en moi, tu es dur et moelleux ! - Ne bouges pas. Pas encore ! Une bulle lumineuse nous coupe du monde. - Je te sens grossir, durcir et t'allonger, tu investis mon ventre chaud ! - J'aime ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint. - J'aime ton regard brulant et tes gestes de douceur - J'aime quand ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi. - Savoure-tu cette douce sensation dans nos corps, - ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre. - tu appartiens à mes entrailles, tu fais partie de moi, tu m’habites. - Tout s'estompe, je ressussite, - je me creuse pour toi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de toi. - Tu modules le rythme, tu glisses, léger, agile, et j'ondule pour toi, fluide, féline. - Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps, le flux et le reflux, et de brefs murmures, - Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre, - tu t'enfonces, je te guide, de ma tendresse, de mon envie. - Tu as fermé les yeux, tu te tends, tu te crispes, - tu haletes, tu gemis, tu jouis de mon corps... - Tu recules, tu reviens. A chaque poussée tu vas un peu plus loin. - C'est bon ! tu frayes son chemin. C'est divin ! - Sens tu les contractions qui pulsent dans ma vulve et qui caresse ton gland. - J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. - J’aime les soubresauts qui t’agitent, j'aime ton sexe qui investis le mien - Plus loin, vas plus loin, Ne te retiens plus, gonfle bien ta verge ! Investis moi, - Oui ! Encore ... Je te sens et c'est bon ! Tu es en moi, au plus profond de moi. - Mets le moi bien profond ! Oh Oui ! continue … - Je sens tes testicules caresser mes cuisses, c'est délicieux. Tu me remplis, complètement. - Savourons cet instant. Donne moi tes lèvres fraiches. - Enfonce-toi plus franchement, que le monde disparaisse, - Va et viens dans mes chairs, glisse sur mes muqueuses. - Fouille moi avec tes doigts, ta langue, tes mains - Ecoutes mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un muscle palpitant, - Sens les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. - Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. - Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. - Regardes moi, regarde mes larmes salées que je laisse s'écouler. - Je veux que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe, - Je veux ton jet de vie ! Qu'il se libère en moi, qu'il me remplisse. - Je veux que tu rechauffes mon corps de ta semence chaude, - Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre. - Je suis prete ! Maintenant ! Remplis-moi, donnes moi le meilleur de toi - Oui, maintenant ... Enfonce-toi ! bien au fond. Je te sens ! .... - Plus vite mon amour ! Accélère maintenant ! Tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi. - Donnes moi ta liqueur de vie. Lance-moi bien ta semence ... bien au fond de mon ventre... - Tu me rends folle !! ne t'arrête pas , maintenant ! Remplis moi ! - Ouuuii , Cà y est ! Tu jaillis. Douce chaleur liquide. Oh c'est chaud ! Oh c'est bon ! - Je sens ta semence envahir mon ventre ! Oh ! Mon Amour ! ... C'est doux, tu me remplis ... - Mon Dieu ... agrippe moi ! je jouis, moi aussi ! Viens ... vite ! Oh oui ! remplis-moi encore ... - Mon ventre tressaille. Je suis prise, je te laisse me finir, - Je suis remplie de toi, transportée, transgressée et c'est bon ! - J'aime ton corps éperdu au moment de l'orgasme, ta verge gonflée de sève qui se vide dans mon ventre, - J'aime tes râles de plaisir. Je sens ton sperme chaud couler sur mes muqueuses, - J'aime ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes. Ton sexe bouillant m'irradie de chaleur. - Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi, je t’étreins. - Met ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque. - Mes mains dans le creux de tes reins, sur ta peau lisse et douce. - Tu es blotti contre moi, inerte et si vivant. Je me sens riche de toi, toujours en moi, - Sens mon parfum sur ta peau. La nuit est mon histoire, tu es ma délivrance. - Je te sens apaisé, vidé, je suis comblée, je rêve d’éternité, - Je veux qu’en cet instant le temps se décompose, - Je bouscule ta vie. Tu me donnes ta douceur, ta tendresse, ta fraîcheur ... - Tu es beau et souverain ... Je t'embrasse, te caresse... Je te laisse glisser hors de moi... - Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. - Tu m’aimes. Je t'aime. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. | course tendre (E) - Ton désir est là. Je le sens bien ferme ! il est prêt, moi aussi - Sens tu bien mon doux nid qui s'ouvre pour toi ? - Ferme avec moi tes yeux ! Je suis prête ! Viens ! ... - Enfonce toi doucement, pa ... |
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![]() | Comme un chant qui naît (Paul Eluard)Toute tiède encore du linge annulé Tu fermes les yeux et tu bouges Comme bouge un chant qui naît Vaguement mais de partout Odorante et savoureuse Tu dépasse sans te perdre Les frontières de ton corps Tu as enjambé le temps Te voici femme nouvelle Révélée à l’infini. Paul Eluard (1895-1952) | Comme un chant qui naît (Paul Eluard) (E) Toute tiède encore du linge annulé Tu fermes les yeux et tu bouges Comme bouge un chant qui naît Vaguement mais de partout Odorante et savoureuse Tu dépasse sans te perdre Les fronti&e ... |
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![]() | Je l'ai senti vibrerJe l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux vibrant de tous ses membres et lachant un long râle - Oh Marie ! Sa sève humide s'est rependu en moi en plusieurs vagues chaudes. C'était bon ! Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi Nous sommes restés ainsi un moment l'un dans l'autre, amoureusement enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, mon bel amant ! | Je l'ai senti vibrer (E) Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux vibrant de tous ses membres et lachant un long râle - Oh Marie ! Sa s&eg ... |
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![]() | comme dans un rêve éveilléJe restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. | comme dans un rêve éveillé (E) Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, ... |
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