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mercredi 17 décembre 2025 - 08h23
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J’aime le naturel, la soie et la dentelle


Cher Louis,

J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir votre esprit excité,
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ??

A vous de rêver, A vous d’imaginer
Ce dont mon corps a besoin ou envie
Votre regard me met de l’eau au corps,
De ma bouche jusqu’aux lèvres suppliant des "encore..."

Et mes yeux noisette bordés de noir
Demandent corps et âme de vous revoir.
Je suis grande mais j’aime plaire à genou
Honorer votre grandeur et délicieux bijou

Je m’égare à nouveau je vous connais à peine
Et pourtant déjà l’excitation coule dans mes veines
Déjà nos écrits faits de petits rien
Resserrent et renforcent notre intime lien

Effleurez-moi avec vos mots
Tourmentez moi donnez moi chaud
Mon corps frémit déjà sous le satin,
Eveil de sensations troublantes sur mon sein,

Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à votre œil éffleurant, lentement, jusqu’à nu.
Je suis comme cette feuille qui rougit dans un long frisson
Et s’enflamme tel un buisson, désespérant d'être cueillie

Je suis comme cette feuille qui tourbillonne autour de vous
pour finir délicatement mon vol léger, là, posée sur vous
Fragile au creux de vos bras, pour y rester une nuit.

J'ai besoin d’amour cette nuit,
que vous veniez à moi sans faire de bruit…
J'ai envie de vous ! Mon amour !
Venez ! Vite !

Aphrodisia - Dentelle
J’aime le naturel, la soie et la dentelle (E)
Cher Louis,

J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir votre esprit excité,
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ??

A vo ...

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le goût de mon corps (2)


Sens, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Donne moi des frissons, fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins.

Mes pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Je veux que tu viennes à moi doucement, tendrement.
Je veux que tu viennes en moi lentement, puissament.
Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps

Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe,
Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre

Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
Prends moi ! Je t'en prie !

Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair.
Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi,
Je veux te faire sentir la caresse de mon ventre.
Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir.

Cette nuit c'est toi qui m'aimes sans que rien ne te retienne
Pour une fois, prends les devants. Apprends moi tous tes secrets
Fais-moi l'amour sans retenue et sans gène
Deviens mon roi et je serais tout entiere à toi

Tu es là, Je te sens, sillonnes-moi de ton membre,
Prend le temps, arrêtes-toi, un moment
Et puis maintenant, reprends ta course folle
au plus profond de moi


le goût de mon corps (2) (E)
Sens, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Donne moi des frissons, fais-moi rêv ...

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J’aime le naturel, la soie et la dentelle


Cher Louis,

J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir ton esprit excité,
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ??

A toi de rêver, A toi d’imaginer
Ce dont mon corps a besoin ou envie
Ton regard me met de l’eau au corps,
De ma bouche jusqu’aux lèvres suppliant des "encore..."

Et mes yeux noisette bordés de noir
Demandent corps et âme de te revoir.
Je suis grande mais j’aime plaire à genou
Honorer ta grandeur et ton délicieux bijou

Je m’égare à nouveau je te connais à peine
Et pourtant déjà l’excitation coule dans mes veines
Déjà nos écrits faits de petits rien
Resserrent et renforcent notre intime lien

Effleure-moi avec tes mots
Tourmente moi, donne moi chaud
Mon corps frémit déjà sous le satin,
Eveil de sensations troublantes sur mon sein,

Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à ton œil, m' éffleurant, lentement, jusqu’à nu.
Je suis comme cette feuille qui rougit dans un long frisson
Et s’enflamme tel un buisson, désespérant d'être cueillie

Je suis comme cette feuille qui tourbillonne autour de toi
pour finir délicatement mon vol léger, là, posée sur toi
Fragile au creux de tes bras, pour y rester une nuit.

J'ai besoin d’amour cette nuit,
que tu viennes à moi sans faire de bruit…
J'ai envie de toi ! Mon amour !
Viens ! Vite !

Aphrodisia - Dentelle
J’aime le naturel, la soie et la dentelle (E)
Cher Louis,

J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir ton esprit excité,
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ??

A toi ...

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Mon corps frémit déjà (Aphrodisia - Dentelle)


mon chéri,

Je suis seule ce soir, trop seule dans ma chambre trop vide
mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations sur mes seins,
De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour toi le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si tel est ton désir

Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à ton œil éffleurant,
prête à me dénuder pour toi, lentement, jusqu’à nu.

Si tu viens, je prendrai tes lèvres dès la porte.
Nous irons, sans parler, dans l'ombre et les coussins,
tu m'y feras tomber, longue comme une morte,
et, passionnément, tu chercheras mes seins.

Le bruissement de ma douce lingerie
qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Et ce désir qui monte en murmurant ton nom
C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons
Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu
Il me coupe le souffle et je respire à peine
Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau,
Je veux sentir en toi un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau

J'ouvrirai pour toi mon lit, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisserai, consentante, t'offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
T'offrant ma chair nue, prête a te recevoir
Mon corps se fera dunes, courbures incendiaires,
Sous tes doigts agiles, pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de te satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.

Tu me feras l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai besoin d’amour cette nuit, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à te satisfaire de tout mon corps
J'ai besoin que tu viennes à moi, sans faire de bruit…
J'ai besoin que tu viennes en moi, dans la douceur de mon lit
et que tu m'infuses enfin le meilleur de toi !
Viens ! Vite ! Je t'attends !
Mon corps frémit déjà (Aphrodisia - Dentelle) (E)
mon chéri,

Je suis seule ce soir, trop seule dans ma chambre trop vide
mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations sur mes seins,
De mes lèvres douces, humides, à ...

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lettre à mon amant (à lire entre les lignes) (George Sand)


Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit
- là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
- affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
- vous dévoiler sans artifices mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
- Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
- sincère, capable de vous offrir l’affection
la plus profonde comme la plus étroite
- amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
- âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
- difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
- faire oublier par l’amour où je veux me
mettre.

Georges Sand
lettre à mon amant (à lire entre les lignes) (George Sand) (E)
Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit ...

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lettre à un amant (à lire entre les lignes) (George Sand)


A mon jeune ami (lu entre les lignes)

(Je suis très émue de vous dire que)
j’ai toujours une envie folle de me faire
baiser et je voudrais que ce soit
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
cul, et si vous voulez me voir aussi
toute nue, venez me faire une visite.
Je vous prouverai que je suis la femme
la plus profonde comme la plus étroite
que vous puissiez rêver, puisque votre
bite est bien longue, bien dure et souvent
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
mettre.

Georges Sand
lettre à un amant (à lire entre les lignes) (George Sand) (E)
A mon jeune ami (lu entre les lignes)

(Je suis très émue de vous dire que)
j’ai toujours une envie folle de me faire
baiser et je voudrais que ce soit
par vous. Je suis prête à vous m ...

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mail amoureux, à mon amant


Mon amour,

Pour notre première nuit, chez moi, j'ai revêtu pour vous mon bel ensemble de nuit en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Je crois que vous aimerez. Je sens déjà votre regard brulant et vos gestes de douceur. Toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux, je suis prête à être effleurée de vos mains, lentement, jusqu’à nue.
Vous le savez, j’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle. Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de vous impatiente de finir délicatement au creux de vos bras, pour y rester toute la nuit. Vous me toucherez, me caresserez au travers de ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur !

J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir votre esprit excité, Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein, Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! J'aime ce contact soyeux sur mon entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente Ma douce lingerie est prête à glisser consentante, vous offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent vos mains, mon corps, pour vous, se fait dunes, courbures incendiaires, sous vos doigts pénétrants mes humides frontières. Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon si beau mâle.
Ecoutez, touchez, respirez, goûtez, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche vos baisers. J'aime l’odeur de vos mains quand vous me caressez, de liqueurs et de sucre mêlés ; J'aime l’odeur de votre corps quand vous vous approchez, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ; Faites-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Faites-moi vibrer et trembler. Réveillez mes sens endormis. Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes, Sentez ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite
Ecoutez mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Effleurez-moi avec vos mots, avec vos doigts, avec votre corps, tourmentez moi, donnez moi chaud
J'ai besoin d’amour cette nuit, Je veux que vous veniez à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement, Je veux que vous veniez en moi, lentement, puissament. Je veux que vous vous enfonciez, jusqu'au fond de mon corps Je veux que votre chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi, Je veux sentir votre souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint, Je veux que que vous me preniez tout, que le contrôle vous échappe, Je veux votre jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre. J'ai envie de vous mon amour ! Venez ! Vite !

mail amoureux, à mon amant (E)
Mon amour,

Pour notre première nuit, chez moi, j'ai revêtu pour vous mon bel ensemble de nuit en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Je crois que vous aimerez. Je sens déjà votre ...

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message photo


- Très cher Louis

- Vous venez de recevoir cette photo.
- Regardez moi ! Dans les yeux ! Je ne rêve qu'à vous !
- Je bois votre regard ! Je goute la douceur de vos bras
- Sentez-vous mes seins qui sur vous se frottent doucement ?
- Sentez vous mes mains vagabondes qui caressent vos flancs ?
- Ne dissimulez rien ! J'aime vous sentir, sentir votre désir qui se dresse contre moi,
- Vite ! Donnez moi vos lèvres chaudes ! Caressez mes lèvres à votre guise.
- Prenez-moi comme on cueille un fruit, dégustez moi avec délice et gourmandise,
- Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir intense, appuyé, infini,
- Je veux vous me dévoriez avec de tendres baisers, que vous me disiez tout bas vos plus folles pensées.
- Je veux que vous m'emmeniez au paradis, que vous me donniez de la magie de la passion et du plaisir
- Mon corps dans vos bras se fait dunes, courbes incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant.
- Je veux que mon corps chaud vous enveloppe, vous enflamme, qu'il vous brûle.
- Je veux que mes seins lourds qui vous troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées.
- Sentez-vous ce plaisir qui monte, et ces frémissements ?
- Sentez-vous la chaleur de mon corps qui vous enveloppe doucement ?
- Vous sentez, cette douce humidité ? Je suis prête !
- Je vous offre ma chair nue, découverte, chaude. Je sublime cet instant,
- Sous vos doigts pénétrants, n'hésitez pas à franchir mes humides frontières.
- Devenue faible proie, je suis prête à glisser avec vous dans l’ultime.
- Je suis prête à me donner à vous tel un cadeau sucré !
- Je veux que vous m'aimiez, sans retenue ! que vous fassiez de moi votre déesse !
- Je veux être comblée de vos prouesses ! Faites moi rougir de plaisir...
- De votre corps, je veux tout ! Que vos lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent.
- Que votre bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux vous sentir pénétrer dans ma chair, m'explorer, me perforer, brutalement, sans concession. Je veux que vous me fassiez jouir, que vous m'enflammiez, que vous m'essouffliez, que vous me finissiez,
- Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, vous vous libèriez en moi,
- que vous me donniez votre sève chaude, que vous me remplissiez de vous, de votre liqueur douce amère,
- qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres tout au fond de moi.
- Je veux que vous m'abreuviez de votre onction liquide,
- que vous fassiez jaillir votre miel d'homme, que vous m'inondiez de vous !
- Emmenez moi vite ! Et sans attendre ... Aimons-nous !
message photo (E)
- Très cher Louis

- Vous venez de recevoir cette photo.
- Regardez moi ! Dans les yeux ! Je ne rêve qu'à vous !
- Je bois votre regard ! Je goute la douceur de vos bras
- Sentez-vous mes seins qui s ...

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Tu as été très tendre


- Tu as été très tendre, un ange de douceur.
- Tu m'as prise, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle.
- Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque.
- Je me tournais vers toi sans cesse à la recherche de contact,
- l'envie que tu me touches, que tu me frôles,
- que tu m'enlaces de tes langoureuses caresses sans cesse répétées.
- Tu me caressais avec un maximum de tendresse
- comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin.
- Et j'en redemandais sans cesse,
- mon corps tout entier était là pour te dire que j'adorais ça,
- que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction.
- J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle,
- Je t'ai pris dans mes bras et je t'ai enbrassé,
- tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice.
- J'avais envie de t'aspirer lentement, goulûment en moi,
- tu m'as rendue insatiable et enflammée.
- Je me suis enfilée sur toi, allant et venant, te retenant au niveau des épaules, lentement.
- Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie.
- Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés.
- Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance.
- Je voulais aussi ta force animale quand tu t'empares de moi,
- Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier.
- Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition
- la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de toi, mon homme,
- une jouissance profonde, puissante, énorme qui m'a envahie et m'a remplie de ton liquide de vie !
- Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore,
- qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout.
- C'était bon, merveilleux, pétillant...

- Longue, douce et sensuelle a été notre nuit, tu m'as touchée au coeur, toi mon amant-ami
- Je t'attendais impatiemment depuis six longs mois et enfin, nous sommes ensemble toi et moi.
- Tu m'as fait tout simplement l'amour, comme si tu me connaissais depuis toujours
- Serre-moi fort dans tes bras ! Tu es maintenant à moi, tu es mon Roi.
Tu as été très tendre (E)
- Tu as été très tendre, un ange de douceur.
- Tu m'as prise, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle.
- Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuq ...

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le goût de mon corps


Mon tendre amant,

Chaque nuit, je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui vous effleure le sexe, l'enveloppe doucement, l'enserre fermement, l'affermit tendrement. Je vous invite alors à venir me rejoindre. Vous vous glissez alors dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur. Petit à petit, vous vous fondez en moi, nos corps à l'unisson, mon ventre qui se soulève doucement, vos yeux qui brillent de mille feux, mes douces contractions qui vous caressent au fond de ma chair onctueuse et chaude.

Vous vous enfoncez en moi, très lentement, pour remonter plus lentement encore, afin de bien sentir la houle qui me soulève, longuement, Puis, le rythme qui s'accélère, mon ventre qui vous enserre, votre souffle qui se creuse, tout mon corps qui se cambre, et mes seins qui se dressent, un long râle de plaisir qui marque votre jouissance. Vous vous laissez emporter... tout votre corps se contracte, la vague m'étreint, vous explosez, vous jouissez, un geyser jaillit, un autre lui succède, vous hurlez votre plaisir, nos corps soudés au rythme de nos spasmes...

Et le feu qui s'éteint, doucement. Nos lèvres qui se rejoignent, nos langues qui se confondent dans un dialogue sans bruit, parlant de plaisirs et de jouissances, de désirs renaissants... nous nous embrassons. Un dernier baiser, un dernier sourire, un geste de la main...

Nuit après nuit, depuis un mois, je revis cette scène, seconde par seconde: je revis l'offrande que vous me faites de votre plaisir, la folle explosion que vous me procurez... Je n'en peux plus.

Tendrement. Votre tendre amante




Mon tendre amant,

Chaque nuit, je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui t'effleure le sexe, l'enveloppe doucement, l'enserre fermement. Ton sexe qui se glisse dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur. Petit à petit, tu te fonds en moi, nos sexes à l'unisson, mon ventre qui se soulève doucement, tes yeux qui brillent de mille feux, mes contractions qui te massent. Puis, le rythme qui s'accélère, mon ventre qui t'enserre, ton souffle qui se creuse, tout mon corps qui se cambre, et mes seins qui se dressent, un long râle de plaisir qui marque ta jouissance
Et le feu qui s'éteint, doucement, tandis que je me glisse sur toi. Nos lèvres qui se rejoignent, nos langues qui se confondent dans un dialogue sans bruit, parlant de plaisirs et de jouissances, de désirs renaissants... mon sexe qui suçe le tien, les doux mouvements de ma croupe, nos mouvements qui s'amplifient.
Tu t'enfonces très lentement, pour remonter plus lentement encore, afin de bien sentir la houle qui me soulève, Tu te laisses emporter... tout ton corps se contracte, la vague m'étreint, tu exploses, tu jouis, un geyser jaillit, un autre lui succède, tu hurles ton plaisir, nos corps soudés au rythme de nos spasmes... longuement, nous nous embrassons.
Un dernier baiser, un dernier sourire, un geste de la main...
Nuit après nuit, depuis un mois, je revis cette scène, seconde par seconde: je revis l'offrande que tu me fais de ton plaisir, la folle explosion que tu me procures... Je n'en peux plus.
Tendrement
Ta tendre amante

De mes lèvres humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour toi le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si puisque tel est ton désir
Mes lèvres pour toi sont entrouvertes, d’un désir intense, infini,
T'offrant ma chair nue, prête a te recevoir
Mon corps se fait dunes, courbures incendiaires,
Sous tes doigts agiles, pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de te satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.
J'ai besoin de ton amour jusqu'à la déraison !
Je suis prête à te satisfaire de tout mon corps
J'aime que tu viennes à moi, J'aime que tu viennes en moi
Tu es mon bel amant

Tu me réchauffes de ton corps
tu me caresses de tes seins lourds et beaux
je les les masse avec douceur
ils sont mous et tendres
ton regard brille
ton visage s'éclaire
tes seins pendent comme des fruits murs se frottent contre mon torse
j'effleure de mes lèvres tes mamelons pointus
tu te cambres
tu me fais entrer
dans la chaleur de ton intimité
nos yeux s'illuminent
tu vas tu viens
avec joie et jouissance
tu m'embrasses partout
et me conduis au paradis
je ne sais plus où je suis
nous sommes secoués
d'un indicible frisson
qui nous ébranle
la vague se retire lentement
nous laissant épuisés
nous restons ainsi en silence
sans bouger
unis l'un à l'autre
pour nous redire sans un mot
je t'aime à la folie
le goût de mon corps (E)
Mon tendre amant,

Chaque nuit, je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui vous effleure le sexe, l'enveloppe doucement, l'enserre fermement, l'affermit tendrement. Je vous invite alors à ...

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courrier de remerciements


Tres cher Louis,

Seule dans mon lit, dans cette chambre trop froide,
privée de votre douce chaleur à mes cotés,
je revis chaque instant de cette douce soirée d'hier
Vous avez été si ardent, directif, si câlin, joueur, félin et attentif.
Vous m'avez donné et pris sans retenue,
Vous avez su user et abuser de mon corps,de mes sens, de mes forces.
Je ne vous connaissais pas si ardent, si performant.
Vous m'avez appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je vous ai offert ma bouche, mes mains, mon ventre et mes seins.
Vous avez été un vrai mâle, infatigable de votre corps.
Vos premières jouissances furent rapides, furent violentes.
Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
Nous fîmes l'amour longtemps. vous étiez un peu malhabile.
Je vous ai révélé comme un amant exemplaire,
J'ai aimé vos caresses appuyées, de vos enlacements enfiévrés.
Je vous ai découvert pervers et imaginatif alors que je ne vous connaissais que passif et classique.
J'ai été là au bon moment, où vous aviez besoin de vous sentir mâle.
J'ai aimé ces mots impudiques qu'à mon oreille, vous avez murmuré.
Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés.
J'entends encore vos gémissements, mes cris rauques
quand je vous sentais vous crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
J'espere vous avoir satisfait de mon corps, de mes sens et de mes rondeurs.
J'ai tenté de faire au mieux avec un partenaire si parfait
Vous m'avez comblée ! au propre et au figuré ! quelle générosité !
J'ai senti votre sève jaillir comme une eau vive, dans mon corps brulant.
Vous m'avez donné un immense plaisir. Quel délicieux plaisir de la chair,
Je garde dans ma chair un souvenir de vous
Je vous laisse en cadeau ce charmant bout de tissu de soie et de dentelle
Gardez le en souvenir de moi ! Ce sera le trophée de notre doux exploit
Donnons nous un nouveau rendez-vous, pourquoi pas ?
Retrouvons nous demain ? à la même heure ?
C'était si bon ! Vous avez ensorcelé votre belle secrétaire !
Vous êtes devenu mon bel et vigoureux amant !
courrier de remerciements (E)
Tres cher Louis,

Seule dans mon lit, dans cette chambre trop froide,
privée de votre douce chaleur à mes cotés,
je revis chaque instant de cette douce soirée d'hier
Vous avez ét&eacu ...

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Te souviens-tu de cet instant magique


Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, tu t'en souviens ? et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. J'en étais bouleversée. Et pendant que tu me câlinais très sensuellement, je t’ai senti tout doucement t'enfoncer en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Tu es resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je te sentais grossir et t'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Tu faisais de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans tes mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Toi, mon amant d'un soir, tu t'es mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encouragaient. Tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Tu continuas tes va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui te remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour te faire perdre complètement le contrôle de tes actes. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a tes épaules, et passai mes jambes autour de tes hanches pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer ta belle colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur tes fesses électrisait ce délicieux moment de tendresse amoureuse.

Tu as alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais ton sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chacune de tes penetrations en creusant les reins pour que tu puisses aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur ton sexe béni. Tu m'as empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ta proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque tu as encore ralenti le rytme de tes intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti ton sexe gonfler encore et puis ...

Le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi, tu t'es arrêté de bouger ... puis, tu as explosé en moi. J'ai senti le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de ta divine colonne de feu.

A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier. Je revenais lentement à la réalité et laissait glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder ton beau dard de toi, mon beau mâle. Tes dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et ta nuque de toi, mon délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de mon bel homme pour une dernière étreinte.

Tu fus total, amant, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Tu donnas et pris sans retenue. Tu as su user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je t'ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je t'ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Tu étais infatigable de ton corps. Tes premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, et tes cris rauques quand je te sentais te crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Tu as été un amant exemplaire, j'ai aimé tes caresses appuyées, tes enlacements enfiévrés, le plaisir que nous partagions ensemble.
Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'ai été là au bon moment, où tu avais besoin de te sentir mâle.
Te souviens-tu de cet instant magique (E)
Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, tu t'en souviens ? et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir ...

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Monsieur mon Amour,


Monsieur mon Amour,

vous avez été méchant avec moi. Notre réveil fut aussi doux qu’il peut l’être lorsque la sonnerie nous fait part de son ordre de se lever. J’ai senti la force de vos bras m’entourer, me câliner. Vos lèvres sont venues se perdre sur l’arrondi de mon épaule. Mon gémissement vous fit rire et vos dents se sont plantées dans ma nuque. Mon corps ne pouvait que réagir à votre faim et se tendit plus qu’il n’aurait sans doute dû le faire, car l’appétit vous vint autant qu’il me prit en otage.
Je salivais déjà à l’idée de vos mains sur ma peau brûlante. Comment vouliez-vous que je reste indifférente ou vertueuse, vos doigts se refermant avec fermeté sur la pointe de mon sein ? Que l’enfer s’ouvre devant moi, j'aime cette prise en paume que vous m’octroyez avec piété. Je la psamoldais, vous suppliais de continuer plus fort encore !
Vous me retourniez vers vous. Votre regard était intense. Je savais ce que vous envisagiez. Soudain, votre visage plongea, vos dents attrapèrent le téton durci. Ma main se crispa sur votre nuque et vous retint pour que votre délicieuse torture ne s'arrêta pas. Je hurlais de plaisir, ondulais à la recherche du contact de votre sexe, le mien ruisselait. J'avais envie de vous mordre, mais vous me refusiez cette petite compensation. Votre sourire en disait long sur votre désir, votre contentement au jeu qui nous animait.
La lave en fusion se répandait dans mes veines et offrait à ma peau la sensibilité la plus intense que je pouvais supporter. Mon esprit s'évadait sous la pression de vos doigts. Le feu de la terre m'embrasait toute entière me faisant écarter mes cuisses largement.
Cri de délivrance, je recevais votre cierge violemment en ma chapelle et des larmes pieuses coulaient sur mes joues, remerciement pour votre âme charitable. Mes seins se dressaient sous le plaisir que vos coups de reins graduels me procuraient.
Votre regard plongea dans le mien et votre sourire me fit craindre le pire... vous vous retirâtes en me lançant :
« Il vous faut vous rendre à la douche, Madame ma Maîtresse… Allez, allez, votre ascension ne sera que pour ce soir. »
Méchant, vous dis-je !! voilà ce que vous fûtes pour moi… aussi pensez bien que je me ferai joie de vous ouvrir les portes de l’enfer et de vous faire hurler chaque plaisir que je vous infligerai, Monsieur mon Amour. De mes doigts, mes mains, ma bouche, ma langue, je vous ferais découvrir tout l'étendu de mes vices.

Votre pieuse Louve, Maîtresse de tous vos tendres tourments.

Monsieur mon Amour, (E)
Monsieur mon Amour,

vous avez été méchant avec moi. Notre réveil fut aussi doux qu’il peut l’être lorsque la sonnerie nous fait part de son ordre de se lever. J’ai senti la force ...

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ces vêtements dans lesquels tu te sens bien


Porte ces vêtements dans lesquels tu te sens bien,
Coiffe tes cheveux selon ton humeur de ce jour,
Laisse l'eau couler sur ton corps, touche-le avec amour
Car je sais que tu veux sentir mes yeux dans les tiens.

Ouvre les yeux, baille, sois déjà belle de bon matin,
Tu peux me faire confiance pour te faire la cour,
Sois à moi, n'aies pas peur de me mettre à la bourre,
Ce que je veux? Sentir ton corps contre le mien.

Mets sur tes yeux ces lunettes qui te rendent belle,
Même à ton travail, prends l'appel...
Et je te dirai alors que j'ai envie de toi.
Je me couche à mon tour, mon torse contre ton dos,

Tu exiges de moi que je te dise de doux mots;
Tout cela fait que tu es amoureuse de moi.

ces vêtements dans lesquels tu te sens bien (E)
Porte ces vêtements dans lesquels tu te sens bien,
Coiffe tes cheveux selon ton humeur de ce jour,
Laisse l'eau couler sur ton corps, touche-le avec amour
Car je sais que tu veux sentir mes yeux dans les tiens.

Ou ...

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Te souviens-tu


Tu es venu sur moi, tu m'as souris, Je t'ai accueilli. Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Ta verge glissait dans mon ventre. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se sont fait plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Ta verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle finit par occuper mon espace tout entier.
Tu me demandais si j'étais bien. Je te repondais que j'étais delicieusement bien avec toi. Tu t'es agrippé alors alors à mes épaules et tu as repris tes longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître nos sensations. Tu me regardais avec tendresse. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, tu m'as pénetrée plus profondément, j'ai été prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me suis concentrée sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. Tu me demandais si je voulais maintenant, Je te demandais de continuer un moment. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! t'ai-je dis
Tu as saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, tu poursuivais ta chevauchée. Je jouissais encore et tu continuais. Puis tu t'arrêtas net et tu crispa ton regard ..... Je t'ai alors senti venir, m'envahir de ta semence chaude par plusieurs jets successifs. Je sentais ta sève me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin tu t'es éffondré avec des grondements d'ours blessés. J'ai caressé amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Te souviens-tu (E)
Tu es venu sur moi, tu m'as souris, Je t'ai accueilli. Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Ta verge glissait dans mon ventre. Tu t'enfonç ...

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Je porte cette lingerie dans lesquels je me sens bien,
Je coiffe mes cheveux selon mon humeur de ce jour,
Je laisse l'eau couler sur mon corps, le touche avec amour
Car je sais que tu veux sentir mes yeux dans les tiens.

Ouvre les yeux, baille, je suis déjà belle de bon matin,
Je peux te faire confiance pour me faire la cour,
Sois à moi, n'aies pas peur de me mettre à la bourre,
Ce que je veux? Sentir ton corps contre le mien.

Tu exiges de moi que je te dise de doux mots;
Tout cela fait que tu es amoureuse de moi.
je te dirai alors que j'ai envie de toi.

J’aime me faire belle, de soie et de dentelle Ou alors rien du tout, excitante et rebelle. Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue Révélant mes courbes à votre œil amoureux m'éffleurant, lentement, jusqu’à nu. Je suis comme cette feuille qui rougit dans un long frisson et s’enflamme tel un buisson, désespérant d'être cueillie. Je suis comme cette feuille qui tourbillonne autour de toi pour finir délicatement mon vol léger, là, posée sur toi, fragile au creux de tes bras, pour y rester une nuit.
Combinaison de soie, de dentelle, de couleur Douce caresse de ma douce lingerie ! J’aime me sentir pleine du désir de mon homme J’aime savoir ton esprit excité, Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ?? Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mon sein, Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! J’aime ce contact soyeux sur mon entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui entre dans ma fente
Ma douce lingerie est prête à glisser consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, mon corps se fait dunes, courbures incendiaires, Sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, prête à glisser dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, Buvant au creux de mon corps, des replis de l’intime, L’oued libérateur, femelle de mon mâle. Effleure-moi avec tes mots Tourmente moi donne moi chaud J'ai besoin d’amour cette nuit, que tu viennes à moi sans faire de bruit…J'ai envie de toi ! Mon amour !
Viens ! Vite !
(E)
Je porte cette lingerie dans lesquels je me sens bien,
Je coiffe mes cheveux selon mon humeur de ce jour,
Je laisse l'eau couler sur mon corps, le touche avec amour
Car je sais que tu veux sentir mes yeux dans les tiens.

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rondeurs charnues (Bertino le Pascalois)


La rondeur de tes fesses au galbe rebondi
Fait souffler sur mon corps un vent de folie
De ces rondeurs charnues quasi miraculeuses
Tout en bas de tes reins à la texture pulpeuse
M'invite fébrilement a promener mes doigts
Pour me perdre un instant dans ce sillon de soie
Oui ma douce maîtresse, tes fesses sont un cadeau
Qui ravit mes sens en bas et tout en haut.

Bertino le Pascalois
rondeurs charnues (Bertino le Pascalois) (E)
La rondeur de tes fesses au galbe rebondi
Fait souffler sur mon corps un vent de folie
De ces rondeurs charnues quasi miraculeuses
Tout en bas de tes reins à la texture pulpeuse
M'invite fébrilement a promener ...

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Je suis trop seule ce soir


Monsieur

Je suis trop seule ce soir, dans ma chambre trop vide
J'ai bien compris ce que vous m'avez dis hier
Et ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin,
Je ressens des sensations troublantes sur mes seins,
De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour vous le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si tel est votre désir
Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à votre œil éffleurant,
prête à me dénuder pour vous, lentement, jusqu’à nu.
Le bruissement de ma douce lingerie
qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Et ce désir qui monte en murmurant votre nom
C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons
Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu
Il me coupe le souffle et je respire à peine
Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux
Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau,
Je veux sentir en vous un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau
A vos mains mes courbes sont offertes
A vous, la douceur de ma peau sous votre caresse experte
A votre bouche je vous offre ma peau douce, avant les secousses
sachez mordre mes rondeurs avant les chaleurs
humez le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes
écoutez bruire le plaisir quand votre sexe vient à grandir
aux portes que vous venez d'ouvrir...
A votre désir mon corps vous est offert
J'ouvrirai pour vous mon lit, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisserai, consentante, vous offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Vous offrant ma chair nue, prête a vous recevoir
Mon corps se fera dunes, courbures incendiaires,
Sous vos doigts agiles, pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de vous satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.
Vous me ferez l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai besoin d’amour cette nuit, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à vous satisfaire de tout mon corps
J'ai besoin que vous veniez à moi, sans faire de bruit…
Venez ! Vite ! Je vous attends !

Je suis trop seule ce soir (E)
Monsieur

Je suis trop seule ce soir, dans ma chambre trop vide
J'ai bien compris ce que vous m'avez dis hier
Et ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin,
Je ressens des sensations troublantes s ...

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de soie, de dentelle, de couleur


Mon amour,

Pour notre première nuit, j'ai choisi pour toi ce bel ensemble de nuit en soie de couleur chair et en fines dentelles de calais. Car j'aime que tu me trouves belle. J'ai besoin de ton regard brulant, de tes gestes de douceur. Toute de dentelles vêtue, impatiente de révéler mes courbes à ton œil amoureux, je suis prête à être effleurée de tes mains, lentement, jusqu’à nue. Je serais en soie et en dentelle, ou encore, rien du tout, excitante et rebelle, à toi de me dire
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de toi impatiente de finir délicatement au creux de tes bras, pour y rester toute la nuit.
J'ai hâte que tu regardes, touches, caresses ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur ! J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir ton esprit excité, Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein, Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! Sens-tu ce contact soyeux sur mon entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
Ma douce lingerie est prête à glisser consentante, t'offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent tes mains,
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.

Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle d'un si beau mâle. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Je veux sentir l’odeur de tes mains quand tu me caresses, de liqueurs et de sucre mêlés ; J'aime l’odeur de ton corps quand tu t'approches, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ; Fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Réveille mes sens endormis, jusqu’au bout de mes fantasmes, Ma chair s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite Mes pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Effleure-moi avec tes mots, avec tes doigts, avec ton corps, tourmente moi, donne moi chaud J'ai besoin d’amour cette nuit,

Je veux que tu viennes à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement, Je veux que tu viennes en moi, lentement, puissament. Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi, Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint, Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappes, Je veux ton jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre. J'ai envie de toi mon amour !
Viens ! Vite !



Combinaison de soie, de dentelle, de couleur. Douce caresse de ma douce lingerie
J’aime me sentir pleine du désir de mon homme J’aime savoir votre esprit excité,
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ? A vous d'imaginer !
Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! J’aime ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui entre dans ma fente
Venez vite ! Je vous attends !
de soie, de dentelle, de couleur (E)
Mon amour,

Pour notre première nuit, j'ai choisi pour toi ce bel ensemble de nuit en soie de couleur chair et en fines dentelles de calais. Car j'aime que tu me trouves belle. J'ai besoin de ton regard brulant, de tes gestes ...

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(E)
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Pour notre première nuit, mon amour, j'ai choisi pour vous cet ensemble de nuit
en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Car j'aime que vous me trouviez belle.
J'aime votre regard brulant et vos gestes de douceur
Je suis toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux
prête à être effleurée de vos mains, lentement, jusqu’à nue.
J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de vous
espérant finir délicatement au creux de vos bras, pour y rester toute la nuit.
Regardez, touchez, caressez ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur !
J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir son esprit excité,
Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! Sentez-vous ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
Regardez moi ! Touchez moi, caressez moi. Ma douce lingerie est prête à glisser consentante,
vous offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent vos mains,
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous vos doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
Regardez. Ecoutez, touchez, respirez, goûtez, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche vos baisers.
J'aime l’odeur de vos mains quand vous me caressez, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de votre corps quand vous vous approchez, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
Faites-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Faites-moi vibrer et trembler.
Réveillez mes sens endormis. Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
Sentez ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite
Ecoutez mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Effleurez-moi avec vos mots, avec vos doigts, avec votre corps, tourmentez moi, donnez moi chaud
J'ai besoin d’amour cette nuit,
Je veux que vous veniez à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement,
Je veux que vous veniez en moi, lentement, puissament.
Je veux que vous vous enfonciez, jusqu'au fond de mon corps
Je veux que votre chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir votre souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que vous me preniez tout, que le contrôle vous échappe,
Je veux votre jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre
Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
J'ai envie de vous mon amour ! Venez ! Vite !
Prenez moi ! Je vous en prie ! Maintenant !
(E)
Pour notre première nuit, mon amour, j'ai choisi pour vous cet ensemble de nuit
en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Car j'aime que vous me trouviez belle.
J'aime votre regard brulant et vos gest ...

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Pour notre première nuit, mon amour, j'ai choisi pour toi cet ensemble de nuit
en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Car j'aime que tu me trouves belle.
J'aime ton regard brulant et tes gestes de douceur
Je suis toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil amoureux
prête à être effleurée de tes mains, lentement, jusqu’à nue.
J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de toi
espérant finir délicatement au creux de tes bras, pour y rester toute la nuit.
Regarde, touche, caresse ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur !
J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir son esprit excité,
Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! Sens-tu ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
Regarde moi ! Touche moi, caresse moi. Ma douce lingerie est prête à glisser consentante,
t'offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent tes mains,
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
J'aime l’odeur de tes mains quand tu me caresses, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de ton corps quand tu t'approches, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
Fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler.
Réveille mes sens endormis. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
Sens ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite
Ecoute mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Effleure-moi avec vos mots, avec tes doigts, avec ton corps, tourmente moi, donne moi chaud
J'ai besoin d’amour cette nuit,

Je veux que tu viennes à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement,
Je veux que tu viennes en moi, lentement, puissament.
Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps
Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappes,
Je veux ton jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre
Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
J'ai envie de toi mon amour ! Venez ! Vite !
Prends moi ! Je t'en prie ! Maintenant !
(E)
Pour notre première nuit, mon amour, j'ai choisi pour toi cet ensemble de nuit
en soie de couleur crème et en fines dentelles de calais. Car j'aime que tu me trouves belle.
J'aime ton regard brulant et tes gestes de ...

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J'aime que vous me trouviez belle


Cette robe de soie et de dentelles, je l'ai choisi pour toi, mon amour,
Pour notre première nuit, car je veux que tu me trouves belle.
Je suis toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil amoureux
prête à être effleurée de tes mains, lentement, jusqu’à nue.
Je suis comme une fleur, impatiente d'être cueillie de tes mains
et de finir délicatement au creux de tes bras, pour y passer toute la nuit.
J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle
J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir son esprit excité,
Regarde, touche, caresse ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur !
Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! Sens-tu ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
Toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil amoureux
Je suis prête, à être effleurée de tes mains, lentement, jusqu’à nue.
Regarde moi ! Touche moi, caresse moi. Ma douce lingerie est prête à glisser consentante,
t'offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent tes mains,
J'aime ton regard brulant et tes gestes de douceur
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de toi
espérant finir délicatement au creux de tes bras, pour y rester toute la nuit.
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
J'aime l’odeur de tes mains quand tu me caresses, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de ton corps quand tu t'approches, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;

Fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler.
Réveille mes sens endormis. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
Sens ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite
Ecoute mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Effleure-moi avec tes mots, avec tes doigts, avec ton corps, tourmente moi, donne moi chaud
J'ai besoin d’amour cette nuit,
Je veux que tu viennes à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement,
Je veux que tu viennes en moi, lentement, puissament.
Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps
Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe,
Je veux ton jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre
Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
J'ai envie de toi mon amour ! Viens ! Vite !
Prends moi ! Je t'en prie ! Maintenant !




Cette robe de soie et de dentelles, je l'ai choisi pour vous, mon amour,
Pour notre première nuit, car j'aime que vous me trouviez belle.
Je suis toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux
prête à être effleurée de vos mains, lentement, jusqu’à nue.
Je suis comme une fleur, impatiente d'être cueillie de vos mains
et de finir délicatement au creux de vos bras, pour y passer toute la nuit.
J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle
J’aime me sentir pleine du désir de mon homme. J’aime savoir son esprit excité,
Regardez, touchez, caressez ma douce robe de soie, de dentelle, de couleur !
Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! Sentez-vous ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
Toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux
Je suis prête, à être effleurée de vos mains, lentement, jusqu’à nue.
Regardez moi ! Touchez moi, caressez moi. Ma douce lingerie est prête à glisser consentante,
vous offrant mon corps de femme, paré de mes deux seins lourds qui attendent vos mains,
J'aime votre regard brulant et vos gestes de douceur
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de vous
espérant finir délicatement au creux de vos bras, pour y rester toute la nuit.
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous vos doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
Regardez. Ecoutez, touchez, respirez, goûtez, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche vos baisers.
J'aime l’odeur de vos mains quand vous me caressez, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de votre corps quand vous vous approchez, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;

Faites-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Faites-moi vibrer et trembler.
Réveillez mes sens endormis. Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
Sentez ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite
Ecoutez mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Effleurez-moi avec vos mots, avec vos doigts, avec votre corps, tourmentez moi, donnez moi chaud
J'ai besoin d’amour cette nuit,
Je veux que vous veniez à moi sans faire de bruit, doucement, tendrement,
Je veux que vous veniez en moi, lentement, puissament.
Je veux que vous vous enfonciez, jusqu'au fond de mon corps
Je veux que votre chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir votre souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que vous me preniez tout, que le contrôle vous échappe,
Je veux votre jet de vie, qu'il jaillisse en moi, qu'il ensemence ma terre
Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
J'ai envie de vous mon amour ! Venez ! Vite !
Prenez moi ! Je vous en prie ! Maintenant !









J'aime que vous me trouviez belle (E)
Cette robe de soie et de dentelles, je l'ai choisi pour toi, mon amour,
Pour notre première nuit, car je veux que tu me trouves belle.
Je suis toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton ...

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lettre à mon amant (à lire entre les lignes) (George Sand)


Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit
- là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
- affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
- vous dévoiler sans artifices mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
- Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
- sincère, capable de vous offrir l’affection
la plus profonde comme la plus étroite
- amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
- âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
- difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
- faire oublier par l’amour où je veux me
mettre.

Georges Sand
lettre à mon amant (à lire entre les lignes) (George Sand) (E)
Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit ...

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lettre à un amant (à lire entre les lignes) (George Sand)


A mon jeune ami (lu entre les lignes)

(Je suis très émue de vous dire que)
j’ai toujours une envie folle de me faire
baiser et je voudrais que ce soit
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
cul, et si vous voulez me voir aussi
toute nue, venez me faire une visite.
Je vous prouverai que je suis la femme
la plus profonde comme la plus étroite
que vous puissiez rêver, puisque votre
bite est bien longue, bien dure et souvent
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
mettre.

Georges Sand
lettre à un amant (à lire entre les lignes) (George Sand) (E)
A mon jeune ami (lu entre les lignes)

(Je suis très émue de vous dire que)
j’ai toujours une envie folle de me faire
baiser et je voudrais que ce soit
par vous. Je suis prête à vous m ...

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Si tu viens (d'après Lucie Delarue-Mardrus)


Si tu viens, je prendrai tes lèvres dès la porte,
Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins,
Tu my feras tomber, longue comme une morte,
Et, passionnément, tu chercheras mes seins.
A travers mon bouquet de corsage, ta bouche
Prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs,
Et m'écoutant gémir du baiser qui les touche,
Tu me désireras, jusqu'aux pleurs, jusqu'aux pleurs !
Tes lèvres sur mon sein, je veux que ta main droite
Fasse vibrer mon corps - instrument sans défaut -
Que tout l'art de l'Amour inspiré de Sapho
Exalte cette chair sensible intime et moite.
Mais quand le subtil et délicieux plaisir
Me cambrera, livrée, éperdument ouverte,
Puissé-je retenir l'élan fou du désir
Qui crispera tes doigts contre mon col inerte !
Si tu viens (d'après Lucie Delarue-Mardrus) (E)
Si tu viens, je prendrai tes lèvres dès la porte,
Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins,
Tu my feras tomber, longue comme une morte,
Et, passionnément, tu chercheras mes seins.
A traver ...

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Je repense à cet instant magique


Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant qu'il m'embrassait passionnément, j'ai senti sa vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes puis, je l’ai senti tout doucement s'enfoncer en moi, il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient glissant tres agréablement dans mes chairs. Je le sentais grossir et s'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Il faisait de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Mon amant d'un soir s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a ses épaules, et passai mes jambes autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait ce délicieux amant.
Il a alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, s’est arrêté de bouger ... puis, il explosa en moi. Je sentis le jet puissant de mon fougueux amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de ce délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de ce bel homme pour une dernière étreinte.
Je repense à cet instant magique (E)
Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant qu'il m'embrassait passionnément, j'ai senti sa vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes pui ...

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j'aime tes caresses


J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse,
désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre
Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes doigts plus bas,
Ecarte vite ma robe de satin sur mes lèvres en offrande
Viens vite explorer mon jardin secret gorgé de parfums de désirs
J'aime tes mains glissant le long de mes reins, caressant doucement mes seins
J'aime tes fesses que j'effleure dans l’allégresse,
que je palpe dans une caresse dans nos jeux pleins de tendresse
J'aime tes lèvres qui me transmettent ta fièvre
J'aime tes tendres caresses sur ma douce lingerie !
J’aime le contact soyeux sur mon entre cuisse
J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente
Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu serres nos corps jusqu’à la douleur.
Tu dessines dans le vide des arabesques d’or.
D'une main habile, tu t'invites entre mes cuisses
Tu y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux
D'une main tu caresses, de l'autre, tu pénètres cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Mes lèvres sont entrouvertes, ton doigt glisse en dedans, pénétration brève
Main tiède égarée, rondeurs serrées, sillon secret, sensations affolantes
fluidité de la soie, pudeur de mes cuisses, moiteur sous le tissu, main tiède affolée,
sombre gorge, portes secrètes, faille offerte, chasteté de dentelle,
Et ce frémissement si doux qui se diffuse dans ma toison
Ma lingerie m'aide à m'offrir à toi et à colorer ton désir.
Tes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup,
ton doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse.
Envie de te perdre totalement entre mes lèvres.
Ta main part à ma découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme.
Mes cuisses, douces comme la soie, se desserrent
et tu sens maintenant la ligne de partage de ma chair.
Et c'est enfin la pleine rivière que tu remontes sans effort,
Un doigt, c'est trop peu. Deux, c'est mieux. Trois, je soupire. Quatre, j'expire
Tu visites mon ventre. Tu agaces mes muqueuses.
Digital en mon antre, comme un espace inconnu, une autre voie...
doigts brandis dans mon sexe en fusion, extrême onction Sueur, jouissance, passion !
Rougissante, je suis au supplice, et je rêve qu'en glisse, tes doigts fins effleurent mon clitoris
Mes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous tes doigts
Enfonce tes doigts plus profondément, écoute mes gémissements réguliers.
Je suis proche de l’orgasme, tout mon corps se crispe sous l’effet du plaisir.
Mes muscles se détendent, se contractent, puis se détendent encore.
De légers spasmes font tressauter mon corps glissant de sueur et de musc
L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés entre nos bouches. je ne connais pas ton nom...






D'une main vous caressez, de l'autre vous pénètre cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Entre mes cuisses tièdes, tu viens de glisser ta main,
et d'instinct je m'ouvre pour que ton doigt s'insinue dans ma fentine suintante;
Telle une chatte je ronronne, mais mes joues soudain virent a un beau rouge écarlate;
Pour bien garder prisonnière cette main au creux de mon écrin,
tu la serres comme dans un étau de tous tes muscles génitaux;
Puis tu laisses échapper un soupir avant de m'inonder de ton miel.

Mes doigts effleurent, s’attardent, puis s'introduisent. Deux caresses intimes. Tout ton corps se raidit,
ta tête brinquebale, tu chavires, une coulée de plaisir se répand dans ton corps.
tes muscles se contractent, ton cœur bat la chamade. Tu te mords les lèvres,
Tes cuisses se resserrent et emprisonnent la main. Tu me fixes du regard ... et tu me souris

Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifie.
Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues,
t'arrachant des gémissements à chaque pénétration.

La tendre humidité , l 'émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée,
Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense , Qui ouvre ses pétales mille fois désirés.
De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres Sublimes et si douces, imprégnées de ton miel,
Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, Puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel.

Un bouton qui cede, ta robe que j'écarte, et sous mes doigts, soudain, une douce toison, pour un autre plaisir, douce exploration
J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir,
Je te sens trembler et tu m'entends gémir. tes seins contre moi qui se frottent doucement...
et je sens le velours de ta langue qui glisse en même temps sur ma peau enfiévrée...
Audacieux, j'explore le plus petit recoin, jusqu'à venir me perdre au creux de ta féminité...
Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas.

Je ne sens ma main vraiment vivante que quand elle s’enfonce entre tes deux cuisses
pour y chercher ton sexe qui se laisse découvrir comme un beau fruit dans l’herbe

Ma main sculpte tes seins et l'autre te dessine.
Aux flots de tes cheveux, tombant sur tes épaules, Je glisse mon visage et ma joue te ravine,
Mes lèvres te goûtant, baisers que tu me voles.
Un peu comme un aveugle, en te prenant les mains, Je te découvre en braille et cherche tes chemins.
Comment me détacher, mes doigts que tu enserres, Le soc de ma charrue labourant en tes terres.
Tu ronronnes féline et, mi-femme, mi-chatte, Tu me dis "je suis sage" et puis, d'un coup de patte,
Tu m'affoles indécente et tu fais connaissance De mes sens en attente qui te sont renaissance.
Tu es là, assouvie de nos folles amours, Tu rêves alanguie au fil de ce parcours,
Mon livre entre tes doigts, repos de la guerrière, Pour que ton âme vaque en vague cavalière.

Ma main t'entre-baille, vivante rose de cyprès, et tout de suite travaille, d'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d'œuvre de la nature, vit d'oiseau, pine en miniature,
bouton subitement durci, qui, dans l'écartement des lèvres, tout baigné d'amoureuses fièvres,
dresse la tête et bande aussi.

Ma main tout doucement, se pose sur ton genou, Elle reste là, figée, n’ose pas d’avantage,
Se permettre autre chose serait un rêve fou, pourtant tant de trésors et tant d’autres rivages.
Et voilà que ma main se permet une avance, elle doit se sentir bien car elle s’arrête à nouveau,
L’endroit est doux et chaud et mérite une danse, une cuisse qui vibre, rien ne sera plus beau.
Mais pourtant sans attendre elle remonte un peu plus, sous la jupe à présent la voici qui découvre,
Comme un léger barrage en un bout de tissu, sans frapper à la porte la voilà qui l’entrouvre.
La main a dû trouver là sa destination, car elle ne bouge plus de cet endroit divin,
Et voilà qu’elle s’endort dans un léger frisson, rêvant à d’autres lieux, et à d’autres câlins.

ma main tremblante avance vers tes flancs. Contact. Douceur.
sur ton ventre, peau de pèche velouté fragilité Contact soyeux. Découverte.
Ma main glisse et s'égare, tes cuisses s'ouvrent. mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé.
Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, si délicatement offert.
Mes doigts gênés s'égarent et avancent en terre inconnu. Raidissement soudain de ton corps, tétanie passagère.
Regard vers tes yeux, mon amour ... C'est bon ? Encore ? Je continue ... ?
C'est toi qui le demande, tu diriges ma main, mes doigts,
les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas...
Tu me nommes les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief,
de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir.

Ouvre tes jambes, prends mes flancs.
Dans ces rondeurs blanches et lisses, ouvre tes genoux tremblants …
ouvre tes cuisses, ouvre tout ce qu’on peut ouvrir
Dans les chauds trésors de ton ventre, j’inonderai sans me tarir L’abîme où j’entre.

Source d'amour, fontaine de douceur, joli petit ruisseau apaisant toute ardeur, mal et langueur
ô lieux solacieux et gracieux séjour délicieux, voluptueux, plus que tout autre au monde
Petit sentier qui droit mène à la bonde d'excellent bien et souverain plaisir,
Heureux sera cil duquel le désir contentera qui prendre te pourra et qui de toi pleinement jouira

Je te salue, Ô merveillette fente, qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis, qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente l’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles: Tous vers galans devraient, pour t’honorer,
A beaux genoux te venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles!

Pierre de Ronsard (1570)
j'aime tes caresses (E)
J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse,
désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre
Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes ...

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(E)
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confidences


Tu es sur moi ! Tu viens en moi ! J'aime ce glissement onctueux,
j'aime cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défais, plonge, me retire. J'avale ton corps. Tu es ma flèche, fichée dans ma chair,
J'ai le corps frémissant. Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
Courtisane lascive, soumise et attentive, au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.
Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir,
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément.
Ton corps collé au mien. Tu me pénètres de nouveau, totalement.
Je te sens en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud.
Mes jambes écartées pour mieux te recevoir, mes jambes resserrées pour mieux te retenir.
La jouissance monte en moi femme révélée.
Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis.
Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense.
Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance.
Naître à nous-mêmes en même temps. Enflammée jusqu'au cœur.
Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
confidences (E)
Tu es sur moi ! Tu viens en moi ! J'aime ce glissement onctueux,
j'aime cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te d&eac ...

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Pour notre première nuit, mon amour,
J'ai choisi pour vous ce magnifique ensemble de nuit
en soie couleur crème et en fines dentelles de calais.
Car j'aime que vous me trouviez belle.
J'aime votre regard brulant et vos gestes de douceur
(E)
Pour notre première nuit, mon amour,
J'ai choisi pour vous ce magnifique ensemble de nuit
en soie couleur crème et en fines dentelles de calais.
Car j'aime que vous me trouviez belle.
J'aime votre regard bru ...

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De dentelle et de soie douce caressée
Modelant mon corps, soutenant mes seins
Ronds et doux offerts à ton regard d'amant affamé
Je suis là en tes bras d'amoureux, jamais las
En tes mains de tendresse glissant avec douceur
au long de mon dos d'amoureuse sans fatigue
Caressant mes hanches houleuses
Jusqu'à m'arracher des plaintes d'offrande
à l'amour désiré

De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De mes lèvres douces, humides, à ma fleur que tu butines,
De mes jolies petites faiblesses, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour toi le goût de mon corps,
tous tes arômes et plus encore.
Senteurs sucrées de longues nuits,
parfums secrets et interdits.

touche et relève ma douce lingerie de soie
A tes mains mes courbes sont offertes
à toi, la douceur d'une peau sous ta caresse experte
A ta bouche je t'offre ma peau douce,
avant les secousses
sache mordre mes rondeurs avant les chaleurs
hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes
écoute bruire le plaisir quand ton sexe vient à grandir
aux portes que tu viens d'ouvrir...
A ton désir mon corps t'est offert
(E)
De dentelle et de soie douce caressée
Modelant mon corps, soutenant mes seins
Ronds et doux offerts à ton regard d'amant affamé
Je suis là en tes bras d'amoureux, jamais las
En tes mains de tendre ...

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Mon corps frémit déjà (Aphrodisia - Dentelle)


Ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin,
Je ressens des sensations troublantes sur mes seins,

De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour vous le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si tel est votre désir

Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à votre œil éffleurant,
prête à me dénuder pour vous, lentement, jusqu’à nu.

Le bruissement de ma douce lingerie
qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Et ce désir qui monte en murmurant votre nom
C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons
Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu
Il me coupe le souffle et je respire à peine
Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux
Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau,
Je veux sentir en vous un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau

Si vous venez, je prendrai vos lèvres dès la porte.
Nous irons, sans parler, vers mon lit paré de ses coussins,
Vous m'y ferez tomber, longue comme une morte,
et, passionnément, vous chercherez mes seins.

J'ouvrirai pour vous mon lit, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisserai, consentante, vous offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Vous offrant ma chair nue, prête a vous recevoir
Mon corps se fera dunes, courbures incendiaires,
Sous vos doigts agiles, pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de vous satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.

Vous me ferez l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai besoin d’amour cette nuit, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à vous satisfaire de tout mon corps
J'ai besoin que vous veniez à moi, sans faire de bruit…
Venez ! Vite ! Je vous attends !
Mon corps frémit déjà (Aphrodisia - Dentelle) (E)
Ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin,
Je ressens des sensations troublantes sur mes seins,

De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, &agra ...

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(E)
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sms - textos


J'ai mon joli corsage de soie
Je n'ai pas mis de soutien-gorge !

je veux ton souffle dans mon cou,
je veux goûter tes lèvres.

Tes lèvres sur mes seins
Vite ! Je n’en peux plus !

Je le sens bien ferme
Laisse moi te faire du bien

Tu m'excites !

Tes mains sur mes seins,
Et ta queue ... en moi ! bien au chaud !

J’ai chaud. Je suis en manque !

Je te veux avec moi !
Je te veux ... en moi !

Je rêve à ta façon de bouger en moi…
je frissonne

Je suis seule sous ma couette, j’ai froid !
Ton odeur dans nos draps me nargue,
Reviens vite !

J’ai un petit creux, je te croquerai bien
morceau par morceau

mon corps te réclame. Viens !

Je suis nue sous ma robe,
je commence à avoir froid. Ne tarde pas !

Je repense à ce que tu m’as fait.
Tu es un vrai magicien

Je sens ta sève se rependre en moi !

Mets ta langue où tu sais…
Non te t’arrête pas !

Je suis entrain d’acheter
une nouvelle lingerie :
dentelle ou soie ?

Tu sais parler aux femmes,

J’imagine mon corps sur le tien

On ne m’avais jamais fait l’amour comme ça

Je vais dans la remise ... Tu viens ?

sms - textos (E)
J'ai mon joli corsage de soie
Je n'ai pas mis de soutien-gorge !

je veux ton souffle dans mon cou,
je veux goûter tes lèvres.

Tes lèvres sur mes seins
Vite ! Je n’en peux plus !