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mercredi 17 décembre 2025 - 16h22
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une aventure avec Kevin


J'avais fini mon travail dans la maison. Tout le monde était allé se coucher. J'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher moi aussi lorsque Kevin, le fils de la maison a frappé à la porte. Kevin venait souvent parler avec moi, je lui inspirai confiance et il me confiait des choses comme à personne d'autre. Ce soir là, Il avait le visage défait et avait besoin de se faire rassurer. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. Je l'ai senti alors se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait litteralement. Prise d'affection pour lui, j'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis plus fortement. Je ne résistais plus, nous nous sommes embrassés alors à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés et se sont déchainés d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- Kevin, nous nous laissons emporter !
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
- Mais Kevin ... je suis trop vieille pour toi !
J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps.
- Tu veux vraiment ? lui demandai-je, déjà acquise à une réponse positive
Il acquiesça avec un regard suppliant. Je l'emmènais alors avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, j'ai retiré ma chemise de nuit, et je lui ai dévoilé toute mon intimité
- Viens sur moi Kevin ..
... et je me suis offerte à lui.
- rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je te sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait.
Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
une aventure avec Kevin (E)
J'avais fini mon travail dans la maison. Tout le monde était allé se coucher. J'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher moi aussi lorsque Kevin, le fils de la maison a frappé à ...

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Le bureau venait de se vider


Il n'a pas perdu de temps. Je venais de terminer le nettoyage du bureau, après avoir fermé la porte derrière moi, Il m'a installé sur la desserte et a défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation.
Il s'affairait sur moi, écarta ma fine culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue qui glissa d'un coup dans ma fente, je me cambrai et d’un coup de rein, Il engloutit tout son sexe dans mon ventre jusqu’aux couilles.
Puissamment, il glissait dans mon ventre. Je l’aspirai de mes muscles, le pressai, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens.
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je resserrai mon vagin, il ne tenait plus. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. il déchargeait en moi. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’était chaud. Il ressortit, entra de nouveau, s’arrêta net, envoya une dernière giclée, le se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond de mon ventre, ne bougeant plus.
Il resta là, affalé sur moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repoussai, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. la verge ressortit, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Je me lèvai en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !

Plaquée contre le mur, Jeanne n’offre plus aucune résistance. Excité à l'extreme par son corps, ses seins, ses hanches, je n’y tiens plus. Ma main remonte sa robe. Elle me souffle à l'oreille.
- Oh oui ! fouilles-moi ! ... plus profond !
Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte !
par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
La robe de Jeanne tombe au sol. soutien-gorge de dentelle noire et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. elle ecarte les cuisses, je guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa grotte est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Une poussée, deux poussées
- Ohh Ouuii !
et je la remplis.

Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter.
Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !
Le bureau venait de se vider (E)
Il n'a pas perdu de temps. Je venais de terminer le nettoyage du bureau, après avoir fermé la porte derrière moi, Il m'a installé sur la desserte et a défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude ...

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le feu entre les jambes


Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, faisait monter mon desir de lui. J'étais là, contre lui, il était contre moi, dans l'attente de moi. Ses mains se risquaient à explorer mon corps, il caressait mes épaules. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui. Je lui caressais lentement les cheveux avec une infinie tendresse, je lui prenais les mains, les serrais, les embrassais. il me fixa tendrement, le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. Sa main effleura mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, s'introduisirent. Deux caresses intimes, je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main. Puis ... je retombai ... inerte, en sueur.
Je repris mes esprits.
J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. Je commençais à defaire sa ceinture, il me laissa faire, m'encouragant à continuer, et je libérais son sexe que naturellement je dirigeai vers le mien, je lui fis signe de venir, sans attendre ... Il me penetra doucement, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient. je l'accueillais en moi. J'étais comblée, remplie. Je l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... milles bulles éclataient. la tempête s’apaisa , Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! ....Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandit en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Libération !

Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se font plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompe... Des voiles se referment, le théâtre s’éteint. Elle perçoit ma chaleur humide, la moiteur mouillée qui s’épanche de son corps. ma respiration se fait plus profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis légère, toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre.
Il m'emmène chez lui.
Une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regarde ... l'effet ne tarde pas. Son sexe pulse, s’élève en longues ondulations. Il gonfle et se hausse. Il redevient raide et tendu. Il s’érige et se dresse dans une ascension irrésistible. Il brûle d’une fièvre ardente, Il est maintenant dur et rigide, C'est un manche, une gouverne. J'ai de nouveau envie de lui. Je serre mes cuisses, les frotte l’une contre l’autre, retrousse ma robe de nuit, découvre mes longues cuisses. Je monte sur lui, j'enfile son sexe trempé dans le mien, prend sa tête entre mes mains. Je plonge mon regard dans le sien et vient déposer un baiser enflammé sur ses lèvres. Je sens des reliefs noueux qui glissent dans mon ventre. Je coulisse sur lui Je me fait enveloppante, mes lèvres pulpeuses massent delicieusement son sexe bandé. Je le suçe, je me remplis de lui. Je l’aspire, l’absorbe, le relâche. Je sens la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentue. son sexe palpite, une sorte de vibration annonce l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclent de longs jets de sperme qui tapissent mes muqueuses. les soubresauts diminuent et laissent place à un épanchement bouillonnant de flots laiteux. Je reçois son offrande.
le feu entre les jambes (E)
Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, faisait monter mon desir de lui. J'étais là, contre lui, il était contre moi, dans ...

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Mon corps frémit sous le satin, je ressens des sensations troublantes sur mes seins. Je suis comme une feuille, toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil éffleurant, prête à me dénuder pour toi, lentement, jusqu’à nu.
J'ai besoin que tu viennes à moi sans faire de bruit… J'ai besoin d’amour cette nuit, J'ai envie de toi ! Viens ! Vite !

Aphrodisia - Dentelle
(E)
Mon corps frémit sous le satin, je ressens des sensations troublantes sur mes seins. Je suis comme une feuille, toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil éffleurant, prête ...

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Il me plaqua sur le lit


Il me plaqua sur le lit et défit nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens.
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.
je n'ai rien fait rien pour le retenir et je restais là, les cuisses écartées, béante. J'étais toute ouverte, comme je ne l'avais jamais été, obscène presque, Il m'a regardé fixement, s'est ravisé, est revenu sur moi, et m'a pénétrée de nouveau. En peu de temps, je recommençais à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me mis à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles, il n'y tint plus lui non plus, il bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi il n'en finissait pas de se vider La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois
En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
Il me plaqua sur le lit (E)
Il me plaqua sur le lit et défit nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Pui ...

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La chaleur de ses mains


Je sens ses doigts sur ma chemise de soie qui crisse doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, fait monter mon desir de lui. Je suis là, devant lui, contre lui, il est là, dans l'attente de moi. Ses mains se risquent à explorer mon corps, il caresse mes épaules. Je me laisse faire. Ses mains sont chaudes et douces. Il s’attarde. J'aime ses caresses. Je ferme les yeux, Petit à petit je m’abandonne à lui. Je lui caresse lentement les cheveux avec une infinie tendresse, je lui prend les mains, les serre, les embrasse. il me fixe tendrement, le feu a pris naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrent. Sa main effleure mes lèvres intimes qui s’entrebâillent. Ses doigts s’attardent, s'introduisent. Deux caresses intimes, je chavire. Tout mon corps se raidit, ma tête brinquebale, mes muscles se contractent. Je me mords les lèvres, Je resserre mes cuisses et j'emprisonne sa main. Puis ... je retombe ... inerte, en sueur.
Je reprend mes esprits, j'ai envie de lui, je le désire, violemment. Je l'attire vers moi, je défais sa ceinture, je libere son sexe, le dirige vers le mien, lui demande de venir, sans attendre ... Et Je me laisse pénètrer doucement, lentement, progressivement, mes chairs se distendent. je l'accueille en moi. Je suis comblée, remplie. Je remue, l'aspire en moi. il me tient par les hanches et il m’accompagne. Je le sens me fouiller, me remplir. je découvre de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. il colle son ventre contre le mien et s’immobilise, nous sommes completement emboités l'un dans l'autre. il se remet à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son membre. la caresse est douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrache quelques larmes. La tension va s’amplifiant. Je le sens gonfler et grandir en moi. je frissonne, je tremble.... Tout mon corps se met à vibrer à chaque penetration. Je pars ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâche, le ciel s’ouvre... Une marée s'écoule. Elle cède et se répand. Je m'abandonne à lui, me livre aux flots qui m'absorbent... Je m'abîme, sombre, m'anéantis... milles bulles éclatent. la tempête s’apaise , Il reste planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprends ses mouvements se remet à glisser en moi, mes seins ballottent. Je mords le coussin du canapé ... Il s’immobilise, sa verge se contracte au fond de mes entrailles. Il vient ! ....Il jaillit dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répand en moi. Un interminable frisson voluptueux court tout au long de mon échine. Libération !
Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se font plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompe... Des voiles se referment, le théâtre s’éteint. Elle perçoit ma chaleur humide, la moiteur mouillée qui s’épanche de son corps. ma respiration se fait plus profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis légère, toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre.
Il m'emmène chez lui.
Une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regarde ... l'effet ne tarde pas. Son sexe pulse, s’élève en longues ondulations. Il gonfle et se hausse. Il redevient raide et tendu. Il s’érige et se dresse dans une ascension irrésistible. Il brûle d’une fièvre ardente, Il est maintenant dur et rigide, C'est un manche, une gouverne. J'ai de nouveau envie de lui. Je serre mes cuisses, les frotte l’une contre l’autre, retrousse ma robe de nuit, découvre mes longues cuisses. Je monte sur lui, j'enfile son sexe trempé dans le mien, prend sa tête entre mes mains. Je plonge mon regard dans le sien et vient déposer un baiser enflammé sur ses lèvres. Je sens des reliefs noueux qui glissent dans mon ventre. Je coulisse sur lui Je me fait enveloppante, mes lèvres pulpeuses massent delicieusement son sexe bandé. Je le suçe, je me remplis de lui. Je l’aspire, l’absorbe, le relâche. Je sens la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentue. son sexe palpite, une sorte de vibration annonce l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclent de longs jets de sperme qui tapissent mes muqueuses. les soubresauts diminuent et laissent place à un épanchement bouillonnant de flots laiteux. Je reçois son offrande.
La chaleur de ses mains (E)
Je sens ses doigts sur ma chemise de soie qui crisse doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, fait monter mon desir de lui. Je suis là, devant lui, contre lui, il est là, dans l'attente de moi. Ses ma ...

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monté comme un étalon


Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu plus de puissance dans sa charge, me souleva, toujours empalée, me besogna debout un long moment, contre le mur, sur le secrétaire.
Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance encore supérieure à toutes celles qu’il venait de m’offrir. Il resta en moi, reprit très vite de la vigueur sous l’effet de mes ondulations et me prit sans ménagement sur le lit. il me fit l’amour de façon exquise, Il m’entreprit un long moment ainsi, m’offrant une nouvelle ribambelle d’orgasmes.
monté comme un étalon (E)
Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu ...

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un homme fort


Monsieur était un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proche, trop proche de moi. Je le voyais souvent regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Le contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentais rougir. Mais j'évitais de trop manifester ce que je ressentais.
Un jour, il s'est rapproché de moi et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant doucement mes reins. Je n'ai pas vraiment protesté. J'ai alors tres nettement senti contre moi un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. j'étais profondément perturbée. J'étais debout contre lui et me sentais plutôt instable Je l'ai alors senti m'aider à garder mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage.
Sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis quand même détaché de lui
- Monsieur ! Nous nous laissons emporter ! Nous somme en train de faire des bêtises !
Il m'a chuchoté de vagues excuses, je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à résister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour reprendre mes esprits. Il est venu s'asseoir à côté de moi, et, rapidement, sa main commença à me caresser les jambes
- Monsieur, vous êtes doux avec moi mais ... où voulez vous m'emmener ?
Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison et commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Monsieur, J'ai si chaud ... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase.
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et qu'il s'était installé entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Non, Monsieur, s'il vous plaît !
- arrêtez, je vous en supplie,
C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je résistais ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression.
- Oh Monsieur ! Non ! Ce n'est pas bien ! Je ne sais plus où j'en suis.
Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration.
Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'étais remplie de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi,
C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Oh Monsieur ! Non ! Que faites vous ? Retirez vous ! Il ne faut pas !
Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait en moi.
- Mon Dieu ... votre..sperme... à l'int...érieur de moi... Qu'avons nous fait ?
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui, je sentais également que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort,
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon !
Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer et ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé mon patron dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
un homme fort (E)
Monsieur était un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il ét ...

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Je le sentis trembler


Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. je l'ai senti tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre, je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée déclenchant un orgasme incroyable. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient.
Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Je le sentis trembler (E)
Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. je l'ai senti tirer un chargement incroyable de son sperme dans m ...

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il est venu derrière moi


J'etais en petite tenue dans la cuisine, j'avais dans mon corps le desir ardent d'étreintes amoureuses. C'est à ce moment qu'il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... j'ai senti entre mes jambes son pantalon pointer, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. Instinctivement, j'écartais les cuisses, prête en fait à m'offrir à lui, toute grande. Je l’ai alors senti ... impression puissante ... s’introduire en moi. Une sensation infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corp puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de cet homme, mon patron, qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ...
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou,

Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un nouvel spasme Il s'enfonca un peu plus, s'extraya, puis revint. Je fermais les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Son sexe plongeait en moi et gonflait en meme temps, occupant mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et repris ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- tu es prête ?
- Oui, maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il se mit à jouir lui aussiJe sentis un flot de me remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
il est venu derrière moi (E)
J'etais en petite tenue dans la cuisine, j'avais dans mon corps le desir ardent d'étreintes amoureuses. C'est à ce moment qu'il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... j'ai senti entre mes jambes son p ...

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Dès ma première sortie, j’ai remporté un vif succès. Les yeux mi-clos, avide de volupté, j’ai soudé mon corps à ceux de tous les petits jeunes gens de la ville ; j’ai insinué, presque inconsciemment, ma cuisse brûlante entre leurs genoux nerveux.
un dimanche après-midi, C’est un grand jeune homme pâle, assez bien habillé, aux traits fins, aux yeux hardis. Il m’a tout de suite remarquée, indifférent, semble-t-il à tous les regards jaloux des autres danseuses. Il m’explique en dansant qu’il est là pour quelques jours, appelé dans cette ville « pour affaires ». Grisée par sa voix chaude et liée à son étreinte souple, je lui réponds à peine, trop occupée à savourer l’intime et délicieux bonheur qui vient de m’envahir. Et lorsqu’il me reconduit à ma place, encore frémissante, un échange de regard suffit à nous faire comprendre que la prochaine danse, de nouveau, nous réunira. Un voluptueux slow, presque aussitôt, fait entendre ses premières mesures. Soudée à mon danseur, je cherche contre sa poitrine, un appui pour ma tête brûlante ; sa bouche effleure mes cheveux, et je sens couler sur ma nuque le souffle un peu rauque de son haleine. Sa main écrase la mienne comme un pauvre petit oiseau captif. À chaque balancement de la danse, son genou pénètre l’étau de mes cuisses consentantes. Et toute ma chair, du haut en bas, tremble au contact de son grand corps robuste.

En sortant du dancing, grisée de volupté, j’aspire l’air frais du dehors comme pour reprendre contact avec l’existence. Le soir, dans ma chambre, je m’apprête avec soin, m’ingéniant à être belle, à plaire par tous les moyens. Je me pare de ma plus belle robe. Sous ma robe, je porte une chemise de soie rose garnie de fines dentelles qui est mon grand orgueil, et une toute petite culotte de jersey de soie qui sangle ma croupe. En me hâtant vers le lieu de notre rencontre, je souris de sentir sur ma peau le soyeux contact de toutes ces jolies choses. La douceur de la chemise légère irrite délicieusement le bout de mes jeunes seins, et mon pantalon, très serré, pénètre à chaque pas entre mes rotondités comme une continuelle caresse.

Que dire de cette soirée ? Qu’elle fut une griserie sans fin. Le plaisir de me trouver assise à côté du bel étranger, de tremper mes lèvres chaudes dans le champagne pétillant qu’il n’avait pas hésité à commander, était rendu plus aigu par les regards jaloux de toutes mes petites camarades, qui suçaient rageusement leurs pippermints en m’épiant du coin de l’œil. Gamine de quinze ans, je suis ce soir une vraie femme, et je n’ai pas une seconde d’hésitation lorsque mon amoureux me propose d’aller prendre un verre à son hôtel.

Sa chambre est vaste, je n’ai d’yeux que pour lui, je suis avec ferveur le moindre de ses gestes. Avec tranquillité, il se débarrasse de son pardessus et de son chapeau, et en souriant, il m’aide à enlever mon manteau. Puis s’asseyant dans un fauteuil, il m’attire à lui et me prend sur ses genoux. Je suis bientôt sur lui comme une poupée brûlante soumise d’avance à tous ses jeux. Mes fesses rondes s’écrasent sur ses genoux. Appuyée contre lui, je meurtris mes seins sur la poitrine offerte. Sa main, presque brutale, me tient par la nuque, conduit mon visage vers le sien. Alors, sauvagement, sa bouche s’empare de la mienne ; j’ai entr’ouvert mes lèvres avides contre lesquelles s’écrase son baiser. Bientôt, sa langue me pénètre, vivante et chaude, et je bois comme une liqueur l’élixir d’amour qu’il me verse. Nos dents se heurtent, comme en un combat délicieux ; je ne demeure pas inactive, et ma langue s’enfonce à son tour dans la bouche de l’aimé, rencontrant la sienne. Elles se nouent, se mêlent ; nous goûtons avec extase cette subtile caresse qui exacerbe nos désirs. Pendant ce temps, sa main a glissé sur mon genou, et je la sens qui pénètre sous ma jupe. Je suis consentante à toutes ses hardiesses ; bientôt, la chaleur de cette main parcourt la peau de mes cuisses blanches. Elle remonte, et déjà je perçois son audacieux contact sur la soie de ma petite culotte, la caresse monte et m’enivre. Elle atteint maintenant le foyer brûlant de mon ardeur, et se niche au creux de mes cuisses, affirmant sa conquête.

J’ai renversé ma tête en arrière, et de ma gorge monte déjà un roucoulement d’amour. Ses doigts agiles, sans relâche, me prodiguent leur griserie. Puis, abandonnant la place, sa main se glisse sous moi, s’insinuant sous ma croupe, entre le linge et la robe. Je suis en quelque sorte assise sur cette main, que je sens palpiter, séparée de mes fesses par le mince écran de mon pantalon. Je perds les sens, et loin de chercher à l’arrêter, j’encourage son amoureuse besogne, me frottant contre l’homme, me soulevant légèrement pour mieux goûter sa caresse. De nouveau, sa bouche se pose sur la mienne. Je suis à demi pâmée, ma tête vide de pensée s’absorbe dans le délire de mes sens.

Alors il se lève, m’enlevant dans ses bras puissants, et il me porte sur son lit. J’ai conscience, brusquement, qu’il va se passer quelque chose de grave, que cet homme va faire de moi une femme. Mais pas une seule seconde ne me vient à l’esprit l’idée de m’y opposer ; il me semble que c’est là l’accomplissement normal, nécessaire, de ce qu’au fond de moi-même j’ai si souvent souhaité.

Je suis là, étendue, livrée d’avance à son plaisir. Il me contemple, avec une flamme étrange dans les yeux, une flamme de désir mêlée de ferveur. Il bride cependant la sauvagerie animale de son instinct ; et c’est avec des précautions infinies, presque dévotieusement, qu’il relève ma robe. J’apparais à ses yeux extasiés dans la blancheur de mon linge ; longuement, il me contemple, admirant le galbe de mes jambes fuselées, gainées de soie, la chair ambrée de mes cuisses que raye le satin noir des jarretelles, la courbe harmonieuse de mon ventre, gonflant comme en une provocation l’étoffe légère de ma culotte. Mon corps de gamine l’ensorcelle, et il boit du regard toutes ces formes déjà pleines, tout le pervers attrait de ce corps de quinze ans.

Doucement, sa tête descend le long de mon corps, et ses lèvres chaudes se posent sur mes cuisses. Ma peau frissonne, happée par cette délicieuse ventouse ; puis il remonte et couvre de baisers pressés mon ventre, par-dessus le pantalon. En même temps, ses mains se sont glissées de nouveau sous mon séant, et nerveusement, me pétrissent les fesses. Je suis folle de plaisir ; plusieurs fois, sa bouche a effleuré le fruit d’amour qui palpite sous le linge. Prise d’un tremblement, parcourue de spasmes, la gorge renversée, je crois entrevoir le ciel parmi les banales moulures du plafond que fixent mes yeux exorbités.

Mon ventre se durcit, mes fesses contractées emprisonnent sa main frôleuse dans leur interstice ; et j’ai l’impression que mon linge intime vient d’être inondé par le flux victorieux de mon plaisir débordant.

l’homme s’est redressé, et il s’est étendu sur mon corps qu’il écrase. Je remarque qu’à présent son souffle est rauque, son visage congestionné, ses yeux brillants de désir. Prenant sa tête entre mes deux mains tremblantes, je le contemple ; revenue soudain au sentiment de la réalité, je me sens un peu effrayée, et mes yeux implorent, légèrement craintifs. Un baiser profond dissipe vite mon angoisse, et ma chair, au paroxysme de la tension, attend la minute précise, l’acte qui la délivrera. Tout en m’embrassant, il a cherché autour de ma taille l’élastique qui retient ma fine culotte ; le linge glisse le long de mes cuisses, libérant mon ventre haletant. Moi-même, je l’aide dans cette besogne, et de mes pieds, je continue de faire glisser le pantalon le long de mes jambes. Je subis déjà sur toute ma chair le contact de son corps nerveux, et je perçois la brûlure de sa virilité triomphante.
Adieu l’enfance, les désirs inassouvis, les rêves lourds d’adolescente vicieuse ! Adieu tout mon passé ! Dans un don de tout moi-même, dans une volonté farouche d’abolir toutes mes angoisses, j’ouvre avec impudeur au mâle triomphant le secret de mon être.

Sous son effort fiévreux, une douleur terrible me traverse et m’arrache un cri déchirant ; il me semble qu’on vient de me percer le ventre ; et que d’ardentes flammes me dévorent. À travers mes yeux brouillés de larmes, je distingue, tendu vers moi, le visage farouche de l’homme en rut. Il se livre tout entier, sans souci de mes plaintes, à la chevauchée triomphante de l’amour. Peu à peu, en moi, la douleur s’atténue, et se fond doucement en une indicible volupté. Frémissante, je suis le rythme bienfaisant ; mes bras enveloppent le corps de mon amant, le soudent au mien ; mes ongles s’enfoncent dans sa chair, ma bouche hurle sous la sienne. Il me semble que mes reins sont entraînés malgré eux dans la danse voluptueuse, et mes hanches roulent avec furie, cherchant à accélérer encore la course au bonheur.

Le fluide du plaisir envahit mon être, coule dans mes veines, annihile mon esprit. Aux cris succèdent de douces plaintes, d’inconscients gémissements. Et soudain, au-dessus de moi, l’homme se redresse : avec un rauque grondement de bête il livre son corps au spasme, inonde mon être, amenant par sa possession la détente de mes nerfs. Je hurle, noyée dans le plaisir et longuement nos corps liés frissonnent, perdus dans un même infini...

... Mon amant me regarde. Les yeux mi-clos, pâmée dans le désordre de mon linge, j’ai le visage d’une pâleur de morte, et mes lèvres demeurent scellées, comme pour garder à jamais en moi les plaintes d’amour qui secouèrent ma gorge.

L’homme contemple avec surprise cette pâleur: pathétique visage d’une gamine de quinze ans qui vient de découvrir la force terrifiante, l’étrange mystère de l’amour...



Cette initiation devait modifier entièrement le cours de mon existence. Mon amant repartit deux jours après, regagnant la capitale, mais il ne partit pas seul. Abandonnant tout, ville natale, parents, travail, je me lançai dans l’inconnu, blottie contre l’homme que j’aimais.
La vie ardente de Paris m’émerveilla. Saisie par le rayonnement de la grande cité, il me sembla trouver là un cadre digne de mes aspirations. Les premiers jours de cette nouvelle existence furent pour moi un enchantement. Mon ami logeait dans un hôtel de Montmartre, où il occupait une chambre sans luxe, mais confortable. J’étais véritablement prise « par la peau », et ne vivais que pour le moment attendu où, dans le silence de notre chambre, la nuit venue, je me livrais à lui avec une folle ardeur. Il m’avait initiée à de subtiles caresses, et j’accédais à tous ses désirs, soumise comme une esclave, désireuse de le satisfaire.







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Je revis souvent Sergine. J’appris à connaître cette étrange femme qui avait su me faire si bien vibrer. Je me rendis bientôt compte que la blonde lesbienne était une femme dure, autoritaire, et que ses caprices sensuels n’avaient qu’un temps. Je ne fus pas longue à être remplacée auprès de Sergine, et mon chagrin ne sut pas l’attendrir. Toutefois, je faisais encore partie de sa bande ; j’avais déjà participé à un certain nombre d’escroqueries, et je me livrais au trafic des stupéfiants. C’est alors que se produisit un coup de théâtre qui devait me révéler le terrible orgueil de Sergine, et son véritable caractère.

Je venais de prendre part à une assez louche histoire qui avait été éventée par la police. Je risquais dix ans de prison si l’on m’avait découverte. Je demeurai chez moi, morte d’inquiétude, lorsqu’un coup de téléphone de notre chef de bande me convoqua chez elle. La belle fille me reçut assez froidement.
- Ma petite fille, me dit-elle, tu t’es conduit très maladroitement au cours de la dernière affaire, et tu mérites d’être punie. J’ai failli te livrer à la police ; mais j’ai réfléchi, et j’ai trouvé une autre punition qui me sera beaucoup plus utile. Tu vas entrer chez moi en qualité de femme de chambre, que tu le veuilles ou non.

Interdite, je reculai jusqu’au mur.
- Vous rêvez ! balbutiai-je.
- Ma foi non, répliqua en riant la belle Sergine. J’ai toujours rêvé de t’avoir comme soubrette. Je n’ai plus de domestique, et tu feras très bien l’affaire.

Révoltée, je m’avançai, menaçante.
- Je refuse. Et si vous continuez à me menacer de cet infâme chantage, je me plaindrai à la police et je vous dénoncerai !

Du coup, la lesbienne éclata d’un rire insolent.
- Ma pauvre petite, tu dois bien penser que je ne suis pas une enfant, et que tu ne pourrais assembler contre moi aucune preuve valable. Soumets-toi, tu vois bien que je suis la plus forte. Et si tu refuses, je téléphone à la police, et tu n’y coupes pas ; réfléchis !

Je dus me rendre à la raison.

Cette femme redoutable était maîtresse absolue de ma destinée ; et j’avais une telle frayeur de la prison que je m’avouai vaincue. Tête basse, je m’avançai vers Sergine.
- C’est bien, j’accepte, murmurai-je la rage au cœur.

En moi-même, je me disais qu’il me serait facile de m’échapper un jour, et que mieux valait, pour l’instant éviter de provoquer un courroux qui pouvait me perdre. Et puis, j’éprouvais toujours pour Sergine un vague sentiment de respect et d’adoration. Elle m’avait envoûtée.

Avec un regard de triomphe et d’insolent mépris, mon ancienne amie me regarda.
- À partir de maintenant, fit-elle lentement, tu es ma femme de chambre et j’exige de toi un respect profond et une obéissance absolue à tous mes ordres. Tu ne me parleras plus qu’à la troisième personne, et en m’appelant « Mademoiselle ». Tu t’occuperas de ma garde-robe, laveras mon linge, me donneras mon bain, m’habilleras et me déshabilleras. À toute heure de la nuit et du jour, tu devras être à ma disposition. Et maintenant, va à la cuisine, mets un tablier de soubrette et attends que je te sonne. Obéis !

La rage au cœur, je m’exécutai, dominée par cette dangereuse créature. Et mon calvaire commença.

Pendant quatre mois, je fus véritablement l’esclave de Sergine.

Je ne pouvais pas m’échapper car ma maîtresse ne me permettait pas de sortir, et m’enfermait dans l’appartement lorsqu’elle le quittait. Elle ressentait une jouissance morbide à m’humilier, à tout exiger de moi. Bien entendu, elle ne me donnait aucun salaire, et me soumettait à tous ses caprices. Lorsque j’avais commis une faute dans le service, elle me giflait sans ménagements. Elle m’obligeait à exhiber les tenues les plus fantaisistes, et exigeait que je porte sans cesse un corset terriblement serré, qui me broyait la taille et rejetait mes fesses en arrière, avec un impudique épanouissement.

Et cependant, je ne détestais pas mon exigeante maîtresse, et je ressentais même un plaisir obscur à lui donner son bain, à dévêtir son corps de déesse. Une chose, par exemple, me faisait terriblement souffrir ; Sergine ramenait souvent des amies de passage pour satisfaire ses goûts lesbiens ; et elle m’ordonnait de servir avec respect ces femmes que je considérais encore comme des rivales, bien que je n’eus plus aucun droit sur ma patronne.

C’est ainsi qu’éclata le drame qui devait me délivrer. Ce jour-là, énervée par de continuelles réprimandes, j’avais fait à Sergine une réponse insolente, ce qui m’avait valu d’être sévèrement giflée. Mais ma maîtresse méditait une punition plus terrible, plus humiliante.

Elle sortit dans la soirée, et ne revint qu’assez tard, accompagnée d’une femme très jeune et ravissante. L’inconnue, de taille moyenne, avait un visage délicieusement pur, rehaussé d’un savant maquillage. Elle portait un manteau de petit-gris, et une robe élégante de soie noire. Un petit chapeau noir coiffait délicieusement ses cheveux d’ébène.

Les deux amies étaient entrées directement dans la chambre à coucher, et presqu’aussitôt, Sergine me sonna. Je m’avançai dans la pièce où elles étaient assises, riant et fumant des cigarettes. Je demeurais devant elle, immobile, attendant les ordres. Avec insolence, l’inconnue me dévisagea, et envoyant au plafond une volute de fumée bleue, interrogea :
- C’est ta femme de chambre, Sergine ?

Ma maîtresse répondit avec un sourire.
- Oui, si on veut ; c’est plutôt mon esclave ; elle m’appartient entièrement.
- Ah très bien ! reprit l’autre en me regardant toujours. Approchez, ma fille... Tenez ce cendrier devant moi, que je n’aie pas besoin de me déranger !

La honte au front, j’obéis, dominée par le regard dur de Sergine qui me faisait signe de me soumettre.

Cinq minutes durant, je dus demeurer ainsi.

Enfin, ma maîtresse proposa :
- Si nous allions nous coucher ?

Et, me regardant, elle me désigna son invitée :
- Déshabille madame ! Et tâche d’être adroite.

Dédaigneuse, la jolie inconnue se leva, et s’avança vers moi. Alors, dominant ma rage, je dégrafai sa robe somptueuse, et la lui retirai avec mille précautions. La jeune femme était ravissante, moulée dans une courte culotte de soie et de dentelles, les seins pris dans un soutien-gorge de fines mailles d’or. Ses bas arachnéens étaient retenus par des jarretelles de soie bleu pâle qui dépassaient de son petit pantalon. Comme je ne me dépêchais pas suffisamment, elle eût un geste d’impatience :
- Eh bien ! qu’est-ce que vous attendez, voyons ! Et mon pantalon ?

Humiliée, je fis glisser la petite culotte de soie.
- Ma ceinture à présent. Et vivement !

Le ton était sec, cassant, n’admettait point de réplique. Avec une hâte fébrile, je m’attaquai aux jarretelles, égratignant d’une des boucles la peau tendre de la cuisse.
- Dites-donc, vous me faites mal, la boniche !
- Excusez-moi, balbutiai-je, je n’ai pas voulu vous faire mal !

La jolie fille me toisa.
- Vous ne pourriez pas me parler à la troisième personne, non ? Ça vous gênerait ?

À ce moment, Sergine qui assistait à mon humiliation, fît remarquer.
- Tu sais, chérie, tu peux la gifler si elle ne te donne pas satisfaction.
- Ah vraiment ? fit en riant l’inconnue. Eh bien, tiens attrape !

À toute violence, elle me lança deux gifles qui firent vaciller ma tête et me mirent les larmes aux yeux. Mais déjà la jeune femme s’installait dans un fauteuil et me tendait ses pieds.
- Tiens, enlève mes chaussures ! Et tâche d’être plus adroite !

Enfin elle fut nue et se blottit dans les draps de soie du grand lit. Rapidement déshabillée par mes soins, Sergine l’y rejoignit.

Les deux femmes enlacées soudèrent leurs corps et leurs bouches. Le baiser fut long, infini. Avec une rage folle, je contemplais les deux lesbiennes.

Mais l’invitée s’étira soudain avec coquetterie :
- J’ai soif !
- Tu as entendu, toi ? me dit durement Sergine. Madame a soif. Va chercher du champagne et deux coupes !

Je revins bientôt, portant le lourd plateau d’argent. La protégée de Sergine me regardait venir avec un sourire.
- Où dois-je poser ce plateau. Madame ?
- Tu n’as qu’à le tenir pendant que nous boirons, me répliqua Sergine.

Et comme je tendais les coupes aux deux femmes, la nouvelle venue fit remarquer.
- Tu m’as dit que c’était une esclave, Sergine ? Eh bien, une esclave doit servir ses maîtresses à genoux, il me semble. Ne pourrait-elle pas s’agenouiller ?

Ma patronne me fixa de ses yeux froids :
- Tu as entendu ? À genoux !

C’en était trop. Je demeurai immobile, semblant ne pas avoir entendu.
- Il me semble qu’elle n’obéit pas, hein ? murmura l’amie de Sergine. Ma parole, il faudrait une cravache !
- Mais j’en ai une, ma chérie dans cette armoire !
- Alors attends, je vais la dresser, moi, ton esclave !

Sautant lestement à bas du lit, la jeune invitée courut jusqu’au meuble, et en revint en faisant siffler une fine cravache de jonc. Avec adresse, elle m’en cingla les seins deux fois, par dessus mon corsage de soie.
- Allez, à genoux !

La douleur m’arracha un gémissement. Vaincue, je m’écroulai sur les genoux, et me mis à sangloter.

Sans y prendre garde, les deux lesbiennes me firent tenir ainsi une longue demi-heure. Elles buvaient tranquillement, s’interrompant pour s’embrasser sur la bouche ou se lutiner avec des petits rires énervés.

Enfin ma maîtresse me fit signe de me retirer. Mais son amie la retint.
- Comment, tu la congédies ? Mais laisse-là donc auprès de nous cette nuit ! Nous pouvons avoir besoin de ses services !

La belle lesbienne égrena un rire perlé :
- C’est vrai, et puis cela ne lui fera pas de mal de contempler nos amours !

Ivre du plaisir de m’humilier, elle m’ordonna :
- Debout ! Et reste là, au bout du lit ! Ne bouge pas, sinon je t’attache !

Alors, se tournant vers son amie, elle l’enlaça. Pétrifiée d’horreur, de rage et de honte, je contemplais les deux corps noués.

Avec impudeur, et sans doute pour me donner un spectacle plus complet, les tendres amies rejetèrent loin d’elles les couvertures. Une petite lampe brûlait dans un coin de la pièce, jetant une lumière rose sur les corps étendus. Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Mais j’étais loin de les admirer. Je dus m’avouer à moi-même que j’étais folle de jalousie. Les deux femmes haletaient, frénétiquement livrées l’une à l’autre. Doucement, Sergine glissa le long du corps de son amie pâmée ; sa tête blonde promena sur les jeunes cuisses la caresse de leurs boucles soyeuses, puis elle se fixa, comme happée au creux des cuisses, par le triangle sombre des voluptés. Sous le baiser précis, la jeune inconnue se raidit, et des hurlements de plaisir s’échappèrent en houles de sa gorge. Elle noua ses longues jambes fines autour du corps de son amie, et fondit bientôt dans le plaisir suprême, les seins agités de longs tressaillements.

Lorsqu’enfin les deux femmes se remirent de leur désordre amoureux, la jeune amie de Sergine jeta sur moi un œil moqueur.
- Eh, l’esclave ! fit-elle soudain, donne-moi mon pantalon, j’ai froid aux cuisses.

Presque machinalement j’obéis à l’ordre, et présentai la fine lingerie.
- Tu ne penses pas que je vais le mettre moi-même, non ? s’exclama la jeune femme. Allez, enfile-le-moi ! Et vite !

Je passai les pieds de la lesbienne dans les jambes de la petite culotte, et je la remontai doucement jusqu’aux cuisses. La femme ne daigna même pas se soulever. Je dus glisser mes mains sous les fesses rondes, et à grand’peine, je parvins enfin à remonter le pantalon jusqu’à la taille. Je sentais une étrange fureur sourdre en moi, et mon visage s’empourpra tout d’un coup.
- C’est commode une esclave, plaisanta la petite. Tu devrais me la prêter, Sergine, je la mettrais volontiers à mon service ! À coups de cravache, elle marcherait droit, je t’assure !

Ces insolences mirent un comble à mon exaspération. En un éclair, ma vraie nature triompha. La petite fille indépendante réapparut, délivrée enfin de cet amour féminin, qui avait failli ruiner ma vie, comme autrefois l’amour de l’homme. En moi ne subsista plus qu’une rage folle, furieuse, et un désir humain de me venger.

Du sang passait devant mes yeux, en voiles rouges et fugitifs. Alors je m’approchai du lit, et de toutes mes forces, je giflai l’insolente. Celle-ci poussa un cri et se redressa furieuse ; mais la colère décuplait mes forces. Je bondis sur le lit, les ongles en avant, et je labourai le visage de la lesbienne, traçant sur la peau fine des sillons sanglants. Sergine voulut intervenir, mais je lui assénai en pleine figure un coup de poing d’une telle violence qu’elle s’évanouit. Ne me possédant plus, je m’emparai de la cravache avec laquelle la jeune inconnue m’avait cinglé si cruellement les seins. Blottie au fond du lit, elle me regardait épouvantée et suppliante... mais l’heure n’était pas à la pitié. J’avais trop souffert. À furieux coups de cravache, j’attaquai ce fragile corps de femme, arrachant à la suppliciée des hurlements d’agonie. Sous les cinglades, je déchirai la petite culotte que je lui avais mise moi-même, j’entamai de coupures profondes les globes purs des seins, je balafrai son visage, lui mettant un œil en sang. Sous la douleur, elle s’évanouit, et son corps, couvert de meurtrissures et de raies sanglantes, s’affaissa sur celui de Sergine inanimée. J’étais vengée.

Il ne me restait plus qu’à m’enfuir avant que mes victimes ne revinssent à elles. Sans scrupules, j’emportai quelques bijoux de prix, du linge et des robes de ma maîtresse, hâtivement jetés dans une valise. J’estimais que ce n’était là que juste paiement des souffrances endurées. Et je m’enfuis, laissant la petite lampe rose éclairer le tragique enlacement des lesbiennes punies...

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mon destin me reprit. Guérie de l’amour des hommes ; dégoûtée de celui des femmes, j’étais prête pour la grande lutte qui servirait mes ambitions.

Je n’osai pas, cependant, recommencer ma vie galante. Je craignais trop que Sergine, très répandue dans tous les milieux de plaisir, ne retrouvât ma trace, et que sa vengeance fût terrible.

Que faire ? C’est alors que j’eus la sage idée de pénétrer dans les milieux du vrai monde, certaine d’y faire mon chemin. Pour cela, une seule chose m’était possible : m’engager dans une grande maison comme femme de chambre. J’avais appris ce métier à fond durant mon service forcé auprès de Sergine ; et je comptais beaucoup sur mon charme, sur mon expérience déjà lourde pour arriver à mes fins.

Prévoyante, je déposai en lieu sûr les quelques bijoux enlevés qui me constituaient une petite réserve. Et nantie de mon trousseau assez luxueux, de ma frimousse perverse et de mon ambition, je me mis en quête d’une place. J’avais alors dix-huit ans...

(E)

Dès ma première sortie, j’ai remporté un vif succès. Les yeux mi-clos, avide de volupté, j’ai soudé mon corps à ceux de tous les petits jeunes gens de la ville ; j’ai i ...

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place revée


J’ai trouvé la place rêvée. Je viens d’entrer en qualité de femme de chambre chez un riche banquier qui habite le quartier de l’Etoile. Cet homme est veuf, et n’a qu’un fils, élégant adolescent de dix-sept ans. L’hôtel particulier du banquier est un ravissant immeuble, entouré d’un joli jardin. Le personnel se compose d’un chauffeur, qui loge en ville, d’un valet de chambre et d’une cuisinière, ménage de vieux serviteurs grognons, stylés et discrets. Mon patron est un homme d’une quarantaine d’années, aux cheveux grisonnants sur les tempes, à la silhouette élégante, d’une distinction qui ne trompe pas. Je le trouve même assez séduisant ; j’aurais pu plus mal tomber. Dès le premier jour de mon service, il m’a regardée ... beaucoup
Lorsque je me suis présentée pour me faire engager, j’ai revêtu une robe presque austère, et me suis abstenue de tout maquillage ; mais à présent que je suis dans la place, je ne me gêne plus : advienne que pourra. Je m’habille de robes de soie courtes qui moulent mes formes. Je porte des bas de soie extra-fins et transparents ; et je me fais les yeux d’une façon provocante. Cela me vaut les foudres du vieux valet de chambre qui me regarde avec un air nettement désapprobateur. Mais son opinion m’est bien égale. Lorsque je sers à table, je m’arrange toujours pour frôler le banquier de ma poitrine aguichante, pour dévoiler en marchant mes jambes galbées. L’autre jour, il est entré dans sa chambre alors que je défaisais la couverture du lit. L’entendant venir, j’ai vivement retroussé ma robe jusqu’à mi-cuisse, feignant de rattacher une jarretelle rebelle. Il s’est arrêté sur le seuil, a souri à ce charmant spectacle, puis est entré en toussant discrètement. Avec une confusion feinte, j’ai rabattu mes jupes, et me suis remise à mon travail. Mais mon banquier était un peu congestionné. Depuis quelques jours, je l’affole positivement, cherchant par toutes les occasions à me mettre sur son passage, à lui faire admirer mes formes.

Par un bel après-midi de dimanche, mes collègues de l’office sont allés se promener ; je suis seule dans la maison avec mon patron, qui travaille dans la bibliothèque. Je me risque à lui demander timidement s’il ne désire pas de thé. Alors, se reculant de son fauteuil, il me dévisage.
- Merci, Mariette, merci... approchez donc
Je m’approche doucement, feignant la timidité. Souriant, il m’examine.
- je vous trouve charmante, oui charmante.
Doucement, il me prend la main, m’attire vers lui.
Les yeux baissés, je m’avance.
- Monsieur est bien bon...
Je le regarde, et, j’esquisse un petit sourire, il s’enhardit, et se levant, s’approche de moi.
Il a saisi ma tête entre ses deux mains, la hausse vers son visage. Mes lèvres s’avancent vers les siennes. Courbé sur moi, il m’embrasse violemment, cherchant tout de suite à violer ma bouche. Pour mieux le prendre au jeu, je résiste et oppose à sa langue hardie l’écran de mes petites dents blanches. Il lutte, le souffle un peu rauque, et tout contre mes yeux ses yeux implorent. Alors, doucement, je desserre les dents, entr’ouvrant ma bouche gourmande. Voracement, il s’y insinue, boit longuement la saveur de ma langue humide. Tout en m’embrassant, il se rassi, m’entraînant sur ses genoux. Volontairement je me fais lourde, cherchant à le pénétrer de la chaleur de mes fesses, à l’écraser de leur rondeur. Déjà sa main caresse et palpe ma jupe. Frémissants, ses doigts remontent sur mes cuisses, caressant leur peau satinée. Il monte, frôlant au passage mes jarretelles de soie. La soie fine colle à mon ventre, bride mes cuisses, moule avec indiscrétion mes fesses rebondies, s’insinuant dans leurs plus secrètes profondeurs. Ce toucher affole mon patron ; maladroitement, perdant tout contrôle, il fourrage mon linge, cherchant à pénétrer sous la culotte bien serrée. C’est le moment que je choisis pour me dégager, et pour me rajuster, rieuse, en le menaçant du doigt. Tel qu’il est, dans le désordre de sa chemise fripée, de sa cravate dénouée, de son visage en sueur, le banquier ne m’impressionne plus du tout, et il le sait bien. je le regarde avec un sourire chargé à la fois de promesses et de moquerie.
- Voyons, Mariette, supplie-t-il... revenez...
- Y pensez-vous, Monsieur, vous m’avez bien assez compromise...
Mais, tandis que je gagne la porte, il me poursuit, un peu haletant. - Mais alors, je vous reverrai, dites... bientôt ?
Je le menace du doigt.
- Peut-être... plus tard !
Enfin, je m’enfuis, rieuse, certaine de ma victoire proche.

Durant les jours qui suivent, je fais exprès de me montrer distante, presque austère. Mais lui ne me quitte pas des yeux. Plusieurs fois, il m’a couru après, espérant me trouver seule. Je me suis toujours arrangée pour déjouer ses plans ; il faut exaspérer le désir de l’homme.

Enfin, au bout de huit jours de ce manège, je me suis laissée aborder.
- Alors, Mariette, murmure-t'il... on se voit quand ?
Je me retourne, le regarde avec effronterie :
- Quand ? Ce soir, à onze heures si vous voulez, dans votre chambre...
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
À l’heure dite, descendant avec précaution les escaliers, je gagne la chambre du banquier, et frappe discrètement. Presque aussitôt la porte s’ouvre, l’homme me guettait. Je souris, car tout est prêt pour me recevoir. Une bouteille de champagne qu’il a dû chercher lui-même à la cave, dresse son capuchon d’or au-dessus d’un seau à glace. Les lumières sont tamisés, du parfum répandu dans la chambre. Je ne suis pas peu fière à l’idée que tout cela est en mon honneur, en consécration de ma beauté, de mes dix-huit ans effrontés. Dubanay est vêtu d’un élégant pyjama de soie. À ma vue, il ne peut retenir un sifflement admiratif. Je suis délicieusement coiffée, très maquillée, mais avec un soin attentif. Je suis chaussée de mules d’or ajourées, laissant à nu mes orteils aux ongles carminés. Enfin, je suis couverte d’un ravissant déshabillé de dentelles noires ; audacieusement ouvert, ce déshabillé laisse entrevoir mes seins nus dont j’ai fardé les pointes, et mon ventre emprisonné dans une affolante petite culotte de soie rose. Il ne cherche même pas à savoir comment une humble femme de chambre peut être aussi bien habillée : il est tout bonnement ensorcelé, fasciné par mon charme ; à peine entrée, je m’avance vers lui, et entourant son cou robuste de la liane souple de mes bras, je colle à lui mon corps parfumé, lui faisant sentir de la poitrine aux talons ma chair palpitante sous la soie. Ma bouche happe la sienne, et ma langue mouillée lui verse la liqueur d’amour. Affolé, l’homme m’entraîne sur le lit où nous roulons tous deux. Je me sens toutes les hardiesses, tout le pouvoir ensorceleur d’une grande courtisane, et je suis résolue à ne rien ménager. Déjà ma main audacieuse a glissé jusqu’à la virilité de l’homme, et cette caresse précise le fait tressaillir. Il presse mon corps au sien avec une violence inouïe. Ses mains, sous la dentelle de mon déshabillé, étreignent ma croupe bondissante, dont il sent la tiédeur à travers ma culotte.

M’arrachant à l’étreinte, je me lève d’un bond, pour enlever ma combinaison de dentelles que je jette au loin. L’homme se dévêt également, et nos corps nus se glissent sous les draps, pour reprendre leur lutte exaspérée. Toutefois, j’ai gardé ma fine culotte, pour énerver le mâle jusqu’à la dernière minute, et donner plus de valeur à l’abandon.
Lui, amoureux désordonné et impétueux, murmure des mots sans suite, délire, tout à l’adoration passionnée de mon jeune corps ; moi je ne ressens aucun désir ; l’amour est-il mort en moi ?
Il parcourt ma poitrine de baisers fous, s’attarde au bout des seins où il accroche ses lèvres. Puis il embrasse mon ventre pâle et lisse, et dans une intention précise, mord le frêle tissu de mon pantalon à la place la plus sensible. Il me supplie
- S'il te plait ! ... ta culotte ...
Un peu inquiète de ces déchaînements, je remonte d’une main caressante la tête de mon patron. En souriant, je fais non de la tête. Alors, il s’énerve encore davantage, pétrit mes fesses, écrase mes seins. Je juge qu’il ne faut plus résister. Doucement, aidée par l’homme impatient, je fait glisser ma fine culotte et la lance au bout de la piece. Ma chair nue se colle à la sienne et nos moiteurs lourdes se mêlent, à la sublime cadence de l’amour.

Sous la puissante pénétration de mon male devoreur, mes nerfs se contractent, et une sensation délicieuse m’envahit. Les soupirs qui m’échappent à présent ne sont plus feints. Mes hanches, mon ventre, mes reins, tout mon être se donne aux plaisirs de la chair. je ne sens pour l’homme qui me prend aucun sentiment profond ; au contraire, je le considère plutôt comme une proie, comme l’objet et le moyen de mes ambitions. Et lorsqu’il s’abat sur moi dans le délire de sa force débordante, je crie comme une bête jouissante, mais je sais bien qu’il n’est pas mon maître...
Dubanay est absolument fou de moi. Il satisfait tous mes caprices, toutes mes fantaisies, et est prêt à m’entretenir richement, loin de l’office et de la cuisine ! C’est alors que je commets une grave erreur qui compromet ma situation si bien commencée.

J’ai dit que Dubanay avait un fils de dix-sept ans ; gamin fin et racé, ce fils qui se nomme Edmond, me regarde souvent avec une expression bizarre, faite de crainte et d’envie. En rangeant la chambre du jeune Edmond, j’ai trouvé l’autre jour quelques livres oubliés qui m’ont donné à réfléchir. Ce sont des ouvrages exaltant les joies de la domination féminine ; depuis ce jour là, je regarde Edmond avec plus d’intérêt.

Mon amant vient de partir à l’étranger pour un voyage d’affaires de quinze jours. Son fils est seul à la maison. Etudiant, il est encore en vacances, ses cours n’ayant pas repris. Je m’aperçois qu’il tournaille bien souvent autour de l’office. C’est le moment d’agir ; Je suis occupée à faire du repassage à la lingerie. Soudain, le jeune homme entre, s’arrête devant moi, et aimablement murmure :
- Alors, toujours au travail, Mariette !
Je le regarde avec aplomb, les mains sur les hanches :
- Oui... et vous, vous ne faites rien, Monsieur Edmond ! Ça devrait bien être le contraire !
Un peu interloqué, le jeune homme me regarde :
- Mais... je ne demanderais pas mieux que de vous servir !
Souriante, je m’assieds, croisant haut les jambes. Edmond n’a d’yeux que pour moi. Il est visiblement charmé d’être tout près d’une aussi jolie femme de chambre, aux yeux si bien maquillés, aux jambes gainées de soie fine.
- Vous voudriez me servir ? Chiche ! Eh bien, repassez à ma place !
Un peu gêné, il saisit la chemise d’homme que je repassais, en approche le fer chaud. Mais je l’immobilise d’un geste.
- Attendez, je vous donne du linge
Me dirigeant vers un placard, je fouille dans mon linge personnel ; je choisis deux fines culottes un peu chiffonnées, l’une en soie rose bordée de dentelles, l’autre en jersey de soie bleu pâle. Je les mets sur la table devant lui.
- Tenez ! si vous voulez m'aider
Les joues du jeune homme s'emprourprent. Les mains tremblantes, il manie le linge de luxe, l’étale sur la table. Et pendant un quart d’heure, il repasse tant bien que mal mes petites culottes, sous mes yeux narquois. Sous prétexte de vérifier son travail, je me frotte à lui, le frôle de mes cheveux et de mon corsage gonflé.
- Ce n’est pas mal pour un début ! dis-je en le regardant effrontément dans les yeux.
Et comme il rougit de nouveau sans répondre, je me fais provocante, et m’approche de lui :
- Alors ça vous ferait plaisir de voir autre chose ?
- Oh oui... balbutie l’adolescent.
- Venez frapper à la porte de ma chambre demain matin à neuf heures. La cuisinière et le valet de chambre seront au marché. Je compte sur vous !
Lorsque Edmond, après avoir frappé à ma porte, pénètre dans ma chambre, je suis vêtue d’une très courte chemise de soie et d’une culotte semblable, je suis au milieu de la pièce, où règne le plus grand désordre. À l’entrée du garçon, je lève à peine la tête.
- Ah ! c’est vous, Edmond ! vous arrivez bien ! Je n’arrive pas à attacher mon soutien-gorge, vous allez m’aider !
Il s’avance, plus troublé que jamais.
- Excusez-moi, Mariette, je vous dérange...
J’ai peine à garder mon sérieux en sentant l’adolescent dont les mains tremblantes s’affairent avec les attaches de mon charmant soutif. Enfin, le travail est fait, non sans mal.
Puis je me dirige vers la porte, me retournant au moment de sortir.
je l’embrasse brusquement sur les lèvres, et je lui demande de me déshabiller, me plaisant à l’affoler au contact soyeux de mes dessous. Lorsque je fus à demi-nue, je m’allongeais sur mon lit, et je regardais Edmond bien en face.
J’avais gardé sur moi un petit pantalon de soie qui me bridait les fesses. Alors, folle d’un impudique désir d’humilier, je me mis sur le ventre, présentant à la convoitise du jeune homme les globes splendides gainés de soie. Il comprit l’invite et se précipita, mordant les fesses emprisonnées, couvrant de baisers fous toute la surface soyeuse du pantalon. Il s’enivrait de plus en plus à la saveur de ces caresses perverses, frottait son visage contre ma croupe houleuse. Et je mordais mon oreiller sous ce servile déchaînement. Soudain, il saisit à deux mains l’élastique de ma culotte, cherchant à découlisser le léger vêtement.

Lorsque le garçon fut parti, je m’enfonçai voluptueusement dans mes draps. J’étais profondément heureuse d’être la maîtresse aimée d’un riche banquier, et d’avoir par mon seul charme, réduit son fils en esclavage... Le jeune Edmond devint entièrement à ma merci.


Durant cinq ans, je continuai ce manège, et j’en obtins d’heureux résultats. Je fus dans différentes maisons bourgeoises, une femme de chambre arriviste et désirable, et partout, je fis des ravages dans les cœurs et dans les portefeuilles. Avec une audace qui m’a toujours réussi, je faisais du chantage au bon moment, et lorsque je quittais une maison, j’étais toujours certaine d’emporter avec moi de nouvelles garanties d’avenir. Sans pitié, je semais la discorde dans les meilleurs ménages, car pas un homme ne résistait à mon charme pervers.
Cependant, ces aventures troubles achevèrent de me donner le dégoût de l’homme. Et, sourdement, mes goûts lesbiens, qui avaient été autrefois si bien exaltés par la belle Sergine, me taquinèrent à nouveau. C’est à ce moment que je me plaçai chez une très belle et jeune Américaine, dont les passions hors nature étaient connues de tous.
Je devins amoureuse de cette jolie femme, et je réveillai à son service tous mes vieux instincts. Je sus bien vite me faire remarquer d’elle, et de servante, je devins amante passionnée.
Chaque jour m’apportait des débauches nouvelles, de plus subtiles étreintes. Le vice ancré au cœur d’une femme comme moi, n’a plus de limites. Très perverse, l’Américaine donnait chez elle des soirées intimes qui dégénéraient en orgies. C’est au cours d’une de ces orgies que je devais rencontrer celui qui allait prendre dans ma vie le rôle de protecteur définitif.

Après un souper au champagne, les couples grisés s’étaient répandus dans tous les recoins de l’appartement de l’américaine. Partout ce n’était que corps enlacés. Des femmes, débarrassées de leurs robes de soirée, étaient nouées entre elles, sur des coussins de velours sombre, échangeant d’une langue avide la douce gamme des caresses lesbiennes. Quelques hommes étaient mêlés aux groupes, et l’on voyait ça et là des amants pour qui la volupté se limitait aux étreintes normales.
Mon amie avait eu la fantaisie de s’unir, pour la soirée, à une petite jeune fille vierge qui lui plaisait fort. Connaissant les caprices sans suite de l’américaine, je n’en étais nullement jalouse. J’errais dans les chambres pleines d’amoureux soupirs, jetant sur toute cette luxure un œil froid et indifférent. C’est alors que je fus abordée par un homme d’un certain âge, que je n’avais pas remarqué durant le souper. Il paraissait éperdu de désir, et chercha à m’enlacer, avec des hoquets d’ivresse. Par lassitude, sans envie, je cédai à son caprice amoureux. Nous nous installâmes sur un divan, à l’abri d’un coin sombre. Et bientôt, j’étais mollement étendue, renversée en arrière, cachant sous l’écran de mes jupes la tête de mon partenaire, qui me prodiguait avec fougue d’ardentes caresses. Ces caresses me laissèrent absolument froide, mais mon fluide opérait sur l’homme : il était conquis. Je ne lui accordai rien de précis, et ne lui permis pas de déboutonner ma culotte. C’était là une tactique de ma part, et qui m’avait si souvent réussi. Enfiévré, énervé par la prison soyeuse qu’il ne pouvait franchir, l’homme était à ma merci. Je devais apprendre bientôt que c’était l’un des plus grands financiers, l’une des plus grosses fortunes de la capitale. Je résolus donc de me l’attacher. Rendez-vous fut pris pour le lendemain ; quelques jours après, j’étais devenue sa maîtresse, et il décida de m’entretenir princièrement. À l’heure qu’il est, je suis encore avec lui, et cette liaison dure depuis plusieurs années. J’ai lâché mon américaine, peu de temps après la fameuse soirée. Mais mes goûts sont demeurés lesbiens, et mon seul vrai plaisir sensuel est de conquérir les jeunes femmes qui éveillent mon désir.
place revée (E)
J’ai trouvé la place rêvée. Je viens d’entrer en qualité de femme de chambre chez un riche banquier qui habite le quartier de l’Etoile. Cet homme est veuf, et n’a qu’un fils, é ...

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Il n'a pas perdu de temps


Il n'a pas perdu de temps. Je venais de terminer le nettoyage du bureau, après avoir fermé la porte derrière moi, Il m'a installé sur la desserte et a défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation.
Il s'affairait sur moi, écarta ma fine culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue qui glissa d'un coup dans ma fente, je me cambrai et d’un coup de rein, Il engloutit tout son sexe dans mon ventre jusqu’aux couilles.
Puissamment, il glissait dans mon ventre. Je l’aspirai de mes muscles, le pressai, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens.
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je resserrai mon vagin, il ne tenait plus. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. il déchargeait en moi. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’était chaud. Il ressortit, entra de nouveau, s’arrêta net, envoya une dernière giclée, le se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond de mon ventre, ne bougeant plus.
Il resta là, affalé sur moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repoussai, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. la verge ressortit, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Je me lèvai en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !

Plaquée contre le mur, Jeanne n’offre plus aucune résistance. Excité à l'extreme par son corps, ses seins, ses hanches, je n’y tiens plus. Ma main remonte sa robe. Elle me souffle à l'oreille.
- Oh oui ! fouilles-moi ! ... plus profond !
Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte !
par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
La robe de Jeanne tombe au sol. soutien-gorge de dentelle noire et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. elle ecarte les cuisses, je guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa grotte est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Une poussée, deux poussées
- Ohh Ouuii !
et je la remplis.

Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter.
Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !
Il n'a pas perdu de temps (E)
Il n'a pas perdu de temps. Je venais de terminer le nettoyage du bureau, après avoir fermé la porte derrière moi, Il m'a installé sur la desserte et a défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude ...

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dans sa chambre


Seul depuis une semaine, Il m'avait emmené dans sa chambre, puis il m'avait installée dans son lit. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
dans sa chambre (E)
Seul depuis une semaine, Il m'avait emmené dans sa chambre, puis il m'avait installée dans son lit. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pén ...

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elle ne m'avait pas vu


Avec le bruit des machines, la femme de menage ne m'avait pas vu.
Sa main déboutonne le haut de son chemisier,
avant de disparaître dans son soutien gorge
et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gorge laisse bientôt s’échapper
ses seins généreux aux pointes maintenant durcies.
Sa respiration devient haletante,
Après avoir écarté un peu plus ses jambes,
sa main droite remonte entre ses cuisses, relève sa jupe.
Sa main y plonge afin de poursuive ses caresses intimes.
Sa main s’active, elle sollicite son clitoris.
Sa respiration se fait plus rapide,
son corps ondule sans retenue,
sa langue lèche outrageusement ses lèvres. ses yeux brillent.
Je m'avance lentement vers elle, et j'agrippe ses hanches.
désorientée, la jeune femme cesse brusquement ses caresses intimes.
- Oh Monsieur ! Je suis confuse !
Interrompue brutalement dans son rêve érotique,
Elle veut reprendre ses occupations sur la table de travail
mais je me presse contre elle, et je m'empare de ses seins
J'empoigne les beaux seins à travers le tissu. Je les libere.
Ils jaillissent énormes, d'un blanc laiteux parsemé de veines bleues.
Les bouts sont durs. Je les malaxe dans tous les sens,
la chair a un moélleux exceptionnel.
Je la plaque contre le mur, elle n’offre aucune résistance.
je n’y tiens plus. Ma main remonte sa robe.
Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte.
Je lui caresse un sein puis les deux,
Je me sens comme une bête. La tension est si forte !
Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire,
je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher,
redescendre et recommencer, encore et encore.
Je commence à la déshabiller. Sa robe tombe au sol.
soutien-gorge de dentelle noire et culotte en satin.
j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur.
Collé contre elle, je lui fais sentir ma vigueur de mâle
ma verge se dresse raide et dure entre ses cuisses.
Je glisse ma main sous sa culotte,
J'atteints sa vulve complètement trempée et distendue
Nous avançons lentement, je l'installe sur la table
moi lui barattant avec mes doigts ses intimités,
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres,
des frissons de plus en plus forts la secouent.
Elle devient toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément.
Elle se cambre dans un spasme violent et retombe, toute molle.
- Monsieur ! Vous me rendez folle !
mon sexe a doublé de volume et devient sensible, presque douloureux.
Je la tire vers moi, lui fais écarter les cuisses, je guide mon penis
je la pénétre lentement au plus profond de ses reins.
Elle gémit comme une petite fille.
J'empoigne ses fesses et la souleve au maximum
sa grotte est glissante, moelleuse et profonde.
Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement,
ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent.
Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse.
Son jus tiède m'inonde le bas ventre.
Elle se met soudain à trembler de tous ses membres
et a un spasme violent la désarçonne et la fait rouler à côté de moi.
Comme je n'ai pas encore joui. j'enfonçe de nouveau mon sexe dans sa fente
et fait coulisser mon gland. Et je pars en de longues giclées dans son ventre.
Une poussée, deux poussées
- Ohh Ouuii !
et je la remplis.
- Oh Monsieur ! Qu'avons nous fait ?
elle ne m'avait pas vu (E)
Avec le bruit des machines, la femme de menage ne m'avait pas vu.
Sa main déboutonne le haut de son chemisier,
avant de disparaître dans son soutien gorge
et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gorge ...

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Mon corps s'est offert à lui


Mon corps peu à peu s'est offert à lui. Il m'a pénétré lentement, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa puissante penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélèra, j'étais maintenant totalement ouverte chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, satisfait. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles. Je fermais les yeux. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un curieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Vous êtes bien ? ... Vous êtes prête à aller jusqu'au bout ?
- Oui mais pas tout de suite ... Pas encore ...
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que je commencais à aimer. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Louise, je crois que je viens ! Vous voulez que je me retire ?
- Non ! Restez !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je. Venez ! Vite !
- bien au fond !
Je me cabrai pour qu'il vienne vite, il accelera ... puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard
Il emit un long rale. Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. Il me remplissait le ventre. Il semblait en avoir des litres! Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Louise ! C'est si bon !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais avec tendresse sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné.
Mon corps s'est offert à lui (E)
Mon corps peu à peu s'est offert à lui. Il m'a pénétré lentement, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il re ...

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Il était monté comme un taureau


Lucien, le jardinier, avait un faible pour moi, un faible qui n'était pas faible. Il était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance et il savait me le prouver. Apres m'avoir installé ce matin-là sur ce matelas déposé au fond de la remise, il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Je sentais son enorme queue raide qui glissait dans mon ventre pour me lubrifier. Puis il s’immobilisa. Je ressentis une sensation d'envahissement, de puissance et de chaleur intime, Il s'enfonca à nouveau, jusqu'au fond. Un puissant sexe mâle était enfoncé en moi, je le sentais vivre dans ma chair. Ce sexe était enorme et brulant, il était planté en moi, immobile. J'avais l’impression d'être remplie.
Son souffle devenait brûlant, il triturait mes seins, les palpaient en tous sens, je sentais la puissance indécente de ses mains, la saveur de ses doigts, Je le sentis palper les rondeurs de mes fesses, j'étais fascinée par le vacillement de ses yeux, il profitait de ma chaleur, de mon odeur. Je jouissais de sa vigueur !
Il durcissait ! ... et s'allongeait dans mon ventre ! Il bandait comme un Seigneur dans mes chairs tuméfiées ! Je sentais en moi la raideur et la taille insolente de sa queue, j'avais envie, là, tout de suite, de me faire posséder, de me faire envahir, de me faire baiser. Il glissait longuement en moi, ondulait à plaisir, allait dans tous mes recoins.... Puis il mit plus de puissance dans sa charge, me laboura, me besogna, me prit sans ménagement et, sous l’effet de ses ondulations, m’offrit une ribambelle d’orgasmes.
Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance infinie, giclant en moi sa liqueur douce amère, en plusieurs jets successifs. Il m'abreuvait de son liquide épais, se lâchant et jouissant sans limites au fond de mon ventre
Il resta en moi immobile un moment, mais reprit vite de la vigueur, il me fit l’amour ainsi de façon puissante une demi-douzaine de fois. Puis je sentis son sexe, toujours enfoncé en moi, diminuer doucement de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s'échappa totalement, me laissant allongée, exsangue après cette fougueuse épopée. je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un curieux bruit de succion et de glissement mouillé, liberant un flot de semence accompagné d’un torrent de son jus qui me coula délicieusement entre les fesses, J’étais aussi épuisée que lui, La tourmente fit place à un calme absolu. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur mes cuisses trempées de sperme me donnait le frisson.
Il était monté comme un taureau (E)
Lucien, le jardinier, avait un faible pour moi, un faible qui n'était pas faible. Il était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance et il savait me le prouver. Apres m'avoir installé ce matin-là s ...

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figée, paralysée, hypnotisée


Nous étions tous les deux allongé dans la paille de la grange, je découvrais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Il était en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage, puis il pris ma main et l'amena directement sur son sexe outrageusement bandé.
- Touche ! Regarde ! Sens ! comme mes bourses sont pleines !
- Mon sperme est tout chaud et prêt à gicler dans ton ventre.
J'étais litteralement figée, sa verge et ses bourses glissant dans ma main moite. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Je ne résistais pas, nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent passionnément. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre.
J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.

Je n’avais pas osé lui dire oui. Je voulais refuser, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent, j'ai finis par ceder à ses avances. Je lui ai offert mon ventre

Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.















Il était encore en pleine érection. Il bandait devant moi et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais toujours abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme puissant. Mes jambes avaient de la difficulté à me soutenir. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses..... glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons gros, et durs avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.

Il a joui en moi. Je retiens dans mon ventre son sperme chaud. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses.
Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le sol, ouverte, obscène presque,
Je relève la tête vers lui, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie. Il s'approche de moi, pose son sexe qui durcit sur le mien, il caresse ma fente avec son gland, le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. C'est le paradis ! Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je ressens son plaisir monter. Le mien aussi. Il s'enfonce puissemment, écarte bien mes chairs rosées, il me le met tout au fond, fait durer le plaisir. Il accélère maintenant. Oui ... Je n'en peux plus. Je jouis ! et luii aussi ! Mon vagin se contracte et des spasmes formidables soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par gicler une nouvelle fois en moi. Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui,
Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes.

Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Je m'assoupis dans ses bras puissants... Puis une fois réveillés, Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
figée, paralysée, hypnotisée (E)
Nous étions tous les deux allongé dans la paille de la grange, je découvrais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Il était en pleine ...