![]() | Il est là, a deux pas de moiTu es là, a deux pas de moi, et tu ne fais rien, tu ne réagis pas. Tu ne me regardes même pas. Et moi je reve de tes mains, je rêve des caresses que tu pourrais me faire. Je n'ai pas mis de soutien-gorge, l'a-tu remarqué ? Je rêve que tu te places derrière moi, que tu glisses doucement tes belles mains sous mes seins, que tu découvres leur douceur, leur rondeur, ils sont à peine comprimés dans mon corsage moulant. Je rêve que tu promènes tes mains délicatement le long de mes lourdes poitrines, puis les serres doucement, et recommençes, que tu les palpes, les caresses à loisir. Ca y est ! Il m'a vu ! ... Il me fixe dans les yeux ! .... Je le fixe .... il comprend ! Ca y est ! Tu viens ! vers moi ! tu te places derrière moi ! je ferme les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de tes chaudes caresses. Je sens déjà ta douce chaleur. Tu es maintenant contre moi, tes lèvres sur mon cou, Tes deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. J'aime tes mains chaudes qui pressent légèrement mes volumes mammaires, Tu les palpes doucement, en apprécie la souplesse, tu les rapproches l'un de l'autre. Tu les lâches ... Tu vois ? ils reviennent en place dans de légers tremblements. Tu enfonçes tes doigts, dans ma chair laiteuse, tu agaces mes tétons. C'est bon ! Je ressens des ondes de chaleurs. Tes doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre. Immobile, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. la tête penchée de coté, je laisse échapper un gémissement continu de plaisir au gré de tes caresses. Mon dieu ! ... Quelle heure est-il ? ... Le classeur ! ..... Ressaisisons nous, Allons ! Je vais lui faire signer Tu es toujours concentré sur ton bureau Tu ne m'as pas regardé un seul instant J'ai repris mes esprits ... j'ai tout simplement ... rêvé ! Il est là, a deux pas de moi, et il ne fait rien, ne réagit pas. Et moi je reve de ses mains, je rêve des caresses qu'il pourrait me faire. Je n'ai pas mis de soutien-gorge, l'a-t'il remarqué ? Je rêve qu'il se place derrière moi, qu'il glisse doucement ses mains sous mes seins, qu'il découvre leur douceur, leur rondeur, à peine comprimés dans mon corsage moulant. Je rêve qu'il promène ses mains délicatement le long de mes lourdes poitrines, puis les serre doucement, et recommençe, qu'il les palpe, les caresse à loisir. Il m'a vu ! ... Il me fixe dans les yeux ! .... Je le fixe .... il comprend ! Ca y est ! Il vient ! vers moi ! se place derrière moi ! je ferme les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses chaudes caresses. Je sens déjà sa douce chaleur. Il est maintenant contre moi, ses lèvres sur mon cou, Ses deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. J'aime ses mains chaudes qui pressent légèrement mes volumes mammaires, Il les palpe doucement, en apprécie la souplesse, il les rapproche l'un de l'autre. Il les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Il enfonçe ses doigts, dans ma chair laiteuse, il agace mes tétons. Je ressens des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre. Immobile, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. la tête penchée de coté, je laisse échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. Mon dieu ! ... Quelle heure est-il ? ... Le classeur ! ..... Ressaisisons nous, Allons ! Je vais lui faire signer Il est toujours concentré sur son bureau J'ai repris mes esprits ... j'ai tout simplement ... rêvé ! | Il est là, a deux pas de moi (E) Tu es là, a deux pas de moi, et tu ne fais rien, tu ne réagis pas. Tu ne me regardes même pas. Et moi je reve de tes mains, je rêve des caresses que tu pourrais me faire. Je n'ai pas mis de soutien-go ... |
![]() | une belle femme toute en retenueLouise, secrétaire à mon service depuis une semaine, était une très belle femme malgré ses 50 ans, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme et de retenue. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop austères, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte ... Il m'arrivait parfois, lorsque je la voyais travailler dans le bureau, de me caresser discrètement jusqu’à la jouissance, j'imaginais alors Louise juste revêtue d'une combinaison de soie noire, se lover contre moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules. Je cherchais tous les prétextes visant à provoquer depuis un rapprochement moins professionnel, plus intime. Et ce jour là, était-ce in signe de sa part, à la veille de son départ, elle m'était apparue épanouie,toute en séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une généreuse poitrine. Sa jupe moulait à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je savais que sous le tissu noir moiré se cachait le beau corps d'une femme, prête, j'en étais convaincu, à être dévorée par un amant affamé de sa maturité érotique. Louise, semblait émue par mon regard. J'en avais baissé les yeux, profondément troublé par ce qui était en train de se passer entre nous. Nous nous somme regardés un moment. Puis, osant l'insensé, je lui avais proposé de finir la soirée chez moi, Une fois à la maison, j'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules, Les joues de Louise s’étaient empourprées. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Louise, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage échancré, et qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps, qu'elle s’abandonnait doucement vers cet état si doux et si particulier qu'est le début de l'abandon, elle semblait absente lorsque, dans son cou, elle avait ressenti ma bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin futur amant. J'avais enrobé Louise de mes bras. elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques, elle m'avait embrassé avec de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune des respirations de Louise, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé une troublante gourmandise de dévorer ses seins. Avec une douceur presque féminine, j'avais défait un à un les boutons de son corsage, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses belles dentelles intimes ... Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais mon effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle pouvait deviner dans mon regard que j'allais l'aimer, moi cet homme de rencontre si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas, je lui avais clamé : - Louise, j'ai envie de vous ! Elle avait écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte était en train de se donner à moi, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était encore malhabile, imprégnée de désir et de timidité, mais les yeux de Louise reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle plutôt volubile, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité que j'interprétais comme un signe d'encouragement, alors même que Louise, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Venez. Je vous offre mon corps ! J'avais parcouru chaque parcelle de sa peau sous ses frémissements érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore, tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Elle devait aimer faire l’amour, s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi cet homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté. Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi. - J'ai envie de vous sentir ... de vous sentir en moi ! Venez ! Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Louise avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Je veux que vous vous perdiez en moi, m'avait-elle murmuré, - aimez moi et donnez moi tout de vous ! Au bord des yeux noirs de Louise deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, m'unissant à Louise, désormais ma maîtresse. - Louise, je suis chez vous ! c'est si bon ! Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Louise se révélait bien plus amante que je n’y croyais. J'étais sous le charme de cette femme, Louise, qui pouvait, à la moindre caresse, frissonner avant que de se perdre très rapidement dans un plaisir intense. Étaient-ce ses fantasmes qui guidaient la montée du désir, ou bien le désir qui esquissait ses fantasmes. Le fait est, qu’elle était capable de jouir très rapidement, et, très fièrement je m'en étais approprié la légitimité. Je n'avais pas vraiment tort, elle avait confiance en moi, cette confiance qu’elle avait perdu envers la gente masculine. L’honnêteté sentimentale dont je l’honorais, cette générosité peu coutumière chez la plupart de ses rares amants, ces deux qualités essentielles l’avaient émue engendrant une jouissance particulière, doux mélange de tendresse et de jouissance sexuelle. J'avais emporté Louise à moitié nue dans mes bras et l’avait déposée amoureusement sur le lit défait. Avant de se lover contre moi, elle m'avait délicatement défait ma chemise, puis me l'avait ôtée en faisant glisser ses mains fiévreuses sous le tissus de coton. Nous nous étions allongé tous les deux, nos membres enchevêtrés, nos peaux et nos odeurs mélangées, et Louise avec tendresse et sensualité avait laissé longtemps ses doigts parcourir la ma poitrine. Elle aimait ces moments de tendresse qui succèdent à l’impétuosité de la jouissance, puissante, démesurée. Elle aimait ce silence qui s’instaure alors, où l’on peut entendre à nouveau les battements des cœurs s’harmoniser. Elle avait savouré ces instants comme un vrai bonheur presque insolite. - Vous savez Armand, m'avait-elle murmuré, j’ai cruellement manqué de tendresse, dans mon enfance, puis ma jeunesse. Je ne parle pas d’amour, de l’amour, j’en ai eu sous des formes détournées... Emu par cette maîtresse femme redevenue enfant, je caressais les cheveux déliés de Mathilde, de la tendresse au bout des doigts. | une belle femme toute en retenue (E) Louise, secrétaire à mon service depuis une semaine, était une très belle femme malgré ses 50 ans, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme et de retenue. Sa f& ... |
![]() | Tania, ma secrétaireTania, ma secrétaire était éblouissante, provocante même, un regard redoutable, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile nettement visible sous le corsage transparent ... j'avais le tournis. Ce jour là, elle n'avait pas mis de soutien-gorge, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs froides. La journée était avançée, nous discutions de tout et de rien, il m'arrivait parfois de la prendre par le bras, pour la prendre à témoin ou lui montrer quelque chose, elle ne s'en offusquait pas, bien au contraire, - Je suis content de travailler avec vous avec vous ! j'aime votre façon d'animer le service elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Je lui glissai à l'oreille: - Allons nous distraire ce soir, nous avons assez travaillé ! - Vous m'emmenez ? Je pris Tania sous le bras en la guidant vers la sortie du bureau. Nous nous sommes retrouvés dans une boite proche, elle m'incita sans attendre à la faire danser, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, toute en confiancet. - Je me sens bien avec vous ! me glissa-t'elle à mi-voix dans l'oreille Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes faisant immediatement gonfler mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. Elle me dit simplement - Restez tranquille ! ... et faites-moi danser ! Elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient. La musique enchaîna sur un blues sensuel. Elle colla encore plus etroitement son bassin contre le mien - laissez-vous aller ... oui ! comme ça ! Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Tania ne semblait rien remarquer, mais sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle laissait ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes en me fixant d'un regard gourmand. - Serrez-vous bien contre moi ! N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. - Vous êtes un bel homme ! ... plein de vigueur ! Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin. - Serrez moi encore contre vous ! ... Je vous sens bien ! ... Vous dansez divinement bien, J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors une fine culotte légèrement trempée. Tania se releva légèrement, se dégagea de moi - Mais que faites vous ? Je la plaquai alors énergiquement contre mon sexe. - Allons ! ... il faut être sage ! Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir, et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe, - Mais ! ... Mmmhhh ! ... Quelle vigueur ! elle me regarda avec une intensité que je ne lui connaissais pas, puis elle plaça ma verge bandée à l'entrée de sa vulve trempée - Je suis étroite et profonde ... Ca vous dit ? ... Venez ! et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle. Il glissait dans un magma liquide. je le sortis un peu et, de nouveau, la pénétrai jusqu'à la garde, ses fesses s'offraient à moi. Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps, Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante. Je n'en pouvais plus. J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Nous sommes restés un moment inertes, tetanisés. Nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le "désarrimage". Pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! - Je ne vous savais pas aussi doué ! - Si vous voulez, rentrons chez moi pour terminer la soirée ! Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait là ! A peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe. Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle. Nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit | Tania, ma secrétaire (E) Tania, ma secrétaire était éblouissante, provocante même, un regard redoutable, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile nettement visible sous le corsage transparent ... j'avais le tour ... |
![]() | l'ancienne secretaire du patronJulie était une belle femme brune, souriante, une quarantenaire épanouie. Deux de ses petits détails physiques me rendaient faible. Le premier était sa peau, une véritable peau à parfum qui fixe à peu n'importe quelle fragrance tout en la sublimant avec l'odeur naturelle de sa propre peau, une femme admirable de beauté. Ce mercredi Julie se pointa au bureau: - Bonjour Alex, le patron est là ? - Non, il s'est absenté. - Je peux venir te tenir compagnie ? - oui, bien sur. - Il fait chaud ! Je t'embrasse mais, je te préviens, je colle de partout ... Je l'invitai à se mettre à l'aise. Elle s'installa assise sur le bureau. En même temps qu'elle me parlait, elle n'avait de cesse de croiser et de décroiser les jambes. Tous les deux ou trois mouvements de ciseaux, elle réajustait soigneusement sa robe dégageant négligemment les dentelles de sa combinaison. Je lui offrais un petit café et de delicieux chocolats fondants, Julie se saisit des chocolats directement entre l'index et le pouce, je me délectais de la regarder arrondir ses lèvres pour porter à la bouche chaque chocolat avec une sensualité gourmande. D'ailleurs, elle ne se contentait plus de les mettre entre ses levres, elle les suçait chacun quelques secondes avant de les cranter d'un coup de dent. Julie écartait machinalement les jambes, histoire de s'aérer un peu plus. Elle perçut alors rapidement le trouble que déclenchait chez moi cette position et me tança ironiquement un: - ça va ? Alex ? Elle m'offrait un angle de vue des plus excitants sur son corps, je me trouvais dans la situation d'un insecte paralysé par le venin de son prédateur, les mots ne me sortaient plus de la bouche et la sueur me venait au front. Dans une divine proportion se mélangeaient l'odeur sucrée de sa peau, son eau de parfum et une douce effluve enivrante chargée de phéromones ... Par le hasard des courants d'air, le ventilateur faisait office de seringue et m'administrait cette drogue à hauteur de narines. - Ne reste pas comme ça devant moi, je suis en pleine ovulation et tu m'excites ! me lâcha Julie. Je restais encore sous le coup de son envoûtement, incapable d'articuler la plus simple des phrases, - Tu n'imagines pas comme je mouille ! . J'essayais de dissimuler un relief genant sur mon pantalon. - Et en plus, je vois que je ne te laisse pas de marbre ... N'est-ce-pas ? ». Toujours assise en face de moi, Julie s'avança vers mol. Puis elle me declara tout de go: - Tu ne me ferais pas quelques douceurs ? Il paraît que tu fais ça comme un dieu ! Dans le creux de mon oreille, elle lâcha quelques mots sans ambiguïté que la pudeur lui défendait sans doute de prononcer à haute voix. Elle souriat de me sentir honteux. Honteux d'une excitation qui devenait douloureuse. Elle ne cessait de me dévisager tout en se tripotant les seins. Cela semblait l'exciter. Elle s'approcha de moi. me posa d'entrée un baiser appuyé sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, je la regardais avec des yeux luisants. Elle ne portait rien sous sa robe, et elle s'amusait à sentir mon regard que j'essayais de faire discret sur ses seins. - ils te plaisent ? Prends les, palpe les Elle me prit la main et la posa sur son sein. Je la caressai à travers la soie. - Attends ! Je m'aère un peu, tu permets ? Elle défit un premier bouton de son corsage. - Tu veux continuer ? me demanda-t'elle Je m'appliquai à poursuivre le travail, degageant ses belles poitrines, lourdes et fermes à la fois, il faisait chaud. Elle me caressa le torse, puis, plus bas, mon entrejambe de plus en plus volumineux. Elle me glissa à l'oreille: - Tu es mur, je vois ! C'est pour moi ? Sa robe de soie épousait la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glisserent sur le satin avec de longs va et vient puis je descendis ma main plus bas. - Là sous ma robe, Oui !, … Vas-y, doucement. Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Elle commençait à soupirer. Ses caresses devenaient insistantes. Je glissai mes doigts sous la soie, j'écartai le satin dévoilant sa vulve trempée. et je commençai à la masturber doucement, profondément. Elle gémissait de manière délicieusement érotique. - Mmmmhh ! Tu sais faire ! m'avoua-t'elle en me glissant un baiser sur les lèvres - Continue, c’est très agréable. Tu es très doux ! J'alternais caresses profondes et sensuelles. - Attends, ma culotte te gêne. tire-la vers le bas, je veux mieux sentir tes doigts. C'est alors qu'elle eut son premier orgasme, ses premiers frissons. Elle me prit alors la main pour que je continue à la masturber Puis, elle me regarda avec insistance: - Je suis trempée ! Et toute ouverte ! Je suis prête ! Je sens que toi aussi ! Viens ! Puis elle me guida au sol sur le tapis et vint contre moi, dans la position du lotus, ses jambes croisées dans mon dos et les miennes dans le sien. De ses grandes lèvres, elle enserra mon gland écarlate puis, avec la précision du chirurgien, aspira mon sexe dans son vagin exacerbant la sensation des afflux sanguins qui irriguaient ma verge. Ma pénétration fut absolument divine ! Elle m'encouragea avec passion - Met le moi bien profond ! ... Oui ! C'est bon ! Je te sens bien ! Je te sens fort, puissant, fougueux. - Donne moi tes lèvres, vite ! Et prend mes seins! - Laisse toi aller, je suis à toi ! ... Baise-moi fort ! ... Puis elle alla et vint d'avant en arrière avec une précision quasi millimétrique. À mon tour, je sentais se former en elle les contractions circulaires qui annoncent l'orgasme, - Encore ... Plus vite ! .... Maintenant ! ... elle y mit les mots qui allaient m'achever - Tu aimes ? Tu aimes quand je t'aspire avec mes muqueuses gourmandes ? Il ne m'en fallut pas plus. De ces quelques mots, Julie m'arracha un bruyant râle de jouissance. - Oui! Vas-y ! .... OUIII ! .... Oh que c'est bon ! Elle se rhabilla rapidement - Il faut que je file ! tu embrasseras Lea de ma part ! Et elle prit congé après m'avoir filé un patin gourmand | l'ancienne secretaire du patron (E) Julie était une belle femme brune, souriante, une quarantenaire épanouie. Deux de ses petits détails physiques me rendaient faible. Le premier était sa peau, une véritable peau à parfum qui fixe &ag ... |
![]() | une secrétaire gourmandeElle était élégante, éblouissante, un regard gourmand, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Une robe noire près du corps laissant percevoir la dentelle de ses dessous. Elle me donnait des sueurs froides. La journée était avançée, nous discutions de tout et de rien, il m'arrivait parfois de la prendre par le bras, pour la prendre à témoin ou lui montrer quelque chose - Vous allez bien ? Je suis content de travailler avec vous avec vous ! - Moi aussi vous savez, j'aime votre contact, j'aime votre façon d'animer le service elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Je lui glissai à l'oreille: - Allons nous distraire ce soir, nous avons assez travaillé ! - Si vous voulez ! Je vous fais confiance ! Je pris Tania sous le bras en la guidant vers la sortie du bureau. Nous nous sommes retrouvés dans une boite proche, elle m'incita sans attendre à la faire danser, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasait sans complexe contre mon torse, déclenchant chez moi une salve de frissons. Son bassin se plaquait contre le mien et elle ondulait très lentement. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Un relief gênant, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. Elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient. - Je me sens bien avec vous ! me glissa-t'elle dans l'oreille en laissant ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes. La musique enchaîna sur un blues sensuel - Serrez vous bien contre moi et laissez-vous aller, me murmura-t'elle avec un sourire plein de malice - ... oui ! comme ça ! Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mes reliefs me trahir tellement nous étions proches. Elle feignait de ne rien remarquer, mais sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin. - Serrez moi encore un peu plus contre vous ! me souffla-t'elle dans un souffle plaintif Je l'entendis alors gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors une fine culotte légèrement trempée. Tania se releva légèrement, se dégagea de moi - Louis ! Que faites vous ? ... Vous n'êtes pas très sage ! Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir, et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe, puis me regarda avec une intensité que je ne lui connaissais pas. Elle me fusilla du regard - Je n'ai plus rien sous ma robe ! ... Venez ! Elle attrapa ma verge bandée qu'elle plaça à l'entrée de sa vulve trempée et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle. Son regard devenait vitreux, ses yeux à moitiés fermés. Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient. Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps, Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante. J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Nous restions un moment inertes, tetanisés, nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le "désarrimage". Pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Une fois "désarrimés" elle m'embrassa à pleine bouche pendant un bon moment - Rentrons chez moi ! Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait là ! A peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe. Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit | une secrétaire gourmande (E) Elle était élégante, éblouissante, un regard gourmand, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Une robe noire près du corps laissant percevoir la dentell ... |
![]() | l'amour interditLa réunion du patron et de ses associes se prolonge, Je regarde discrètement la secrétaire de direction qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté dévoilant des seins généreux qui remuent au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie. Elle me fixe depuis un moment, elle provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle se lève, vient vers moi et me glisse à l'oreille - pendant qu'ils discutent, Venez, je veux vous montrer quelque chose ! Je me lève en m'excusant, et je la suis dans le couloir. Nous arrivons dans une remise, elle se retourne brusquement, se presse contre moi, se frotte et m'embrasse sur la bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. - J'ai vu votre regard ! J'ai envie ! et je sais que vous aussi ! Elle ferme la porte derrière moi, et me repousse à l'intérieur de la remise. Je me retourne vers elle, je vois la robe legere tomber a terre. elle se penche en soutenant ses seins qui prennent un relief impressionnant. - Vous êtes folle. - Ils discutent. Nous avons tout le temps ! elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living. - Oh c'est bon ! ... Merci ! | l'amour interdit (E) La réunion du patron et de ses associes se prolonge, Je regarde discrètement la secrétaire de direction qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté dévo ... |
![]() | il avait l’air stresséUn vendredi soir, on était en train de terminer un rendez-vous dans son bureau alors qu’il dialoguait avec quelqu'un au téléphone. Il avait l’air tellement stressé et abattu que j’ai vraiment eu envie de faire quelque chose. - Laissez-moi faire, lui lançai-je en me positionnant derrière lui J'ai commencé à lui masser les épaules. J’étais trop heureuse de toucher enfin ce corps musclé et ces belles épaules bien dessinées. Quand il a enfin raccroché, il s’est laissé aller à la pression de mes doigts et il a fermé les yeux. - Détendez-vous, Louis, lui ai-je sussuré en jetant sur lui un regard velouté. J’ai alors commencé à lui masser les bras, le torse, puis, descendant mes mains plus bas, à la lisière de son abandon … je lui massai le bas du ventre. Il avait toujours les paupières closes. Je ne pensais pas que j’oserais en arriver là si facilement mais ses yeux fermés m’encourageaient à aller plus loin. Il ne disait toujours rien et se laissait faire. J’ai quand même senti le relief tres explicite de son pantalon qui le trahissait. J’en ai conclu que mon massage produisait son effet. Je continuais donc, pensant que ça nous aiderait tous les deux à faire retomber le stress de la semaine. - Vous permettez ? lui demandai-je en m'installant franchement sur ses genoux J'ai desserré son pantalon pour atteindre un sexe énorme, beaucoup trop à l'etroit. Je l’ai pris en main et je l'ai massé doucement et soigneusement, le sentant frémir à chaque passage de mes doigts. Je continuais à le masser avec cette fois-ci, mon corps tout entier. Je sentais tres distinctement contre ma vulve ouverte son sexe, épais et dressé. Son excitation me faisait redoubler mes massages intimes et une douce chaleur me gagnait. Il déposait en même temps des baisers sur ma nuque tout en remontant ma jupe sur mes cuisses. Je mouillais terriblement. J’avais très envie de m’offrir à ce patron si charmant et qui, selon moi, méritait toutes sortes de tendres attentions. - Louise, vous êtes trop bonne avec moi , murmura-t-il à mon oreille. J’ai frissonné en offrant encore mon cou à ses baisers humides. - Vous provoquez chez moi un intense désir ! a-t-il ajouté Ma jupe était totalement remontée et il pouvait sentir et découvrir, ma peau caramel et chaude qui s’étalait sous ses yeux brillants. Les vagues de plaisir me picoraient les petites lèvres et gagnaient mon vagin par de fortes montées de chaleur qui envahissaient mon bas-ventre. Sa salive se mélangeait à mes sécrétions odorantes. On commençait déjà à suinter le sexe et à sentir nos odeurs de corps vibrants d’excitation.J’ai ouvert mon corsage pour dégager mes seins et les lui offrir. Je l'excitais dans mon soutien-gorge noir pigeonnant genereusement, ma jupe remontée. À la fois convenable, élégante, et irrésistible. Il bandait de plus en plus contre moi. Je voulais qu'il me prenne, qu'il m'empale, qu'il me baise. Je sentais ce mat rigide contre ma fente, prête à l’avaler toute entière et l’appelait de ses spasmes et de la mouille qui me lubrifiait. Il m’excitait beaucoup trop pour que je me retienne encore. Sans attendre plus longtemps, je me suis enfilé tout naturellement sur son mat, dur comme le bois, et j’ai senti cette verge dressée me traverser comme un bloc compact de plaisir et de chaleur. Sa peau glissait contre la mienne à mesure que celle-ci entrait en moi et je me délectais de cette sensation de m’emplir de lui, qui comblait ce vide désirant qui appelait son chibre pour éteindre le feu de mes désirs. Mon bel étalon a commençé à me donner des petits coups de queue dans ma chatte offerte. Les jambes toujours écartées, je me cambrais à fond pour qu’il puisse bien me pénétrer. Il me baisait avec ardeur, Mon soutien-gorge baillait sur mes pointes de seins et il pouvait les triturer à mesure qu’il me sautait sous ma jupe retroussée. Je le sentais emporté par ses allers-retours en moi, haletant dans mon dos, palpant mes fesses et mes hanches, s’émerveillant de leur galbe. J’étais trop heureuse de lui changer les idées et d’en profiter au passage – je voulais que chaque centimètre de moi, chaque geste de ma part, lui fasse tourner la tête et rende ce moment complice inoubliable. Je voulais lui faire oublier jusqu’à l’existence de sa femme. Je m’abandonnais de plus en plus et me laissait aller à des cris étouffés. Sa pénétration était tellement moite et ferme, et je sentais leurs répercussions de plaisir jusque dans mes tétons dressés. Avec ses mains, il m’écartait, je me sentais encore plus à sa merci et encore plus soumise. Comme il voyait que j’aimais, il a continué à m’agripper les hanches en y enfonçant ses ongles. Un pur bonheur, une vraie douleur orgasmique ! J'ai ôté mon soutien-gorge et je me suis empalée un peu plus sur son sexe. Il me regardait, tel un animal en rut, défiguré par sa luxure et ce spectacle de mon patron d’habitude si propre et et sage, transfiguré désormais dans notre étreinte, me faisait tourner la tête. Il commençait vraiment à se lâcher, ça m’a plu et je me répandais moi-même en mouille autour de sa tige de chair chaude et soyeuse. et je sentais la chaleur du plaisir irradier ma poitrine. Le frétillement de sa queue en moi allié à ces titillements délicieux me faisait frémir de joie et je commençais à sentir l’appel irrépressible de l’orgasme qui donne des frissons partout et fait que je me transforme en animal, entièrement tournée vers l’objet de ma convoitise : la jouissance. J'ai redoublé mes caresses sans le quitter des yeux pour enfin larguer les amarres et me tordre dans une apothéose de plaisir qui m’a sûrement déformée le visage. Stimulée par mon orgasme, il a accéléré sa baise et s’est mis à me sauter rudement, les yeux à demi-fermés, en grognant et en poussant des « ah » qui annonçait l'explosion. Sa queue bandée me pilonnait encore. Mes formes bougeaient sous ses coups de boutoir, mes seins et mes hanches bringuebalaient, traversés de spasmes. Puis mon cher patron a inondé mon ventre et mon entrejambe de son foutre, dégoulinant de mon nombril et tâchant les poils de ma toison déjà humides de mes propres émois. J’adorais avoir reçu tout ce sperme de lui sur moi, de ma bouche à ma chatte. - qu’est-ce que c’était bon ! » a-t-il soufflé en s’écroulant dans son fauteuil et en m’attirant à nouveau sur ses genoux. Je me suis blottie contre lui, nue, avec pour seule tenue ma petite jupe qui faisait maintenant office de ceinture tant elle avait été malmenée. Il m’a chaudement remerciée pour mon dévouement de secrétaire exemplaire et m’a confiée que notre petit moment d’égarement lui avait fait beaucoup de bien. Depuis, quand je vois qu’il est stressé par le boulot ou qu’il me parle de ses difficultés avec sa femme, je lui propose régulièrement de remettre le couvert pour le détendre – et pour en profiter moi-même. Mon boss dit rarement non et nous profitons tous les deux de cette liaison rendue torride par notre rapport hiérarchique. Sans vouloir me vanter, j’observe qu’il est beaucoup plus détendu en ce moment ! | il avait l’air stressé (E) Un vendredi soir, on était en train de terminer un rendez-vous dans son bureau alors qu’il dialoguait avec quelqu'un au téléphone. Il avait l’air tellement stressé et abattu que j’ai vraiment eu ... |
![]() | soulager le patronUn lundi, Il avait l’air tellement stressé et abattu que j’ai vraiment eu envie de faire quelque chose. - Vous avez besoin d'être soulagé, il faut decharger toute votre tension accumulée - Laissez-moi faire, lui lançai-je, je vais m'installer sur le bureau et c'est avec moi que vous allez vous soulager, vous allez me donner toute cette pression accumulée - Vos bourses sont pleine et votre sex enorme, venez ! J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour l'exciter encore un peu plus. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre fascination et affolement. Cette femme offerte qui était prete à le soulager, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience. Puis, d’un coup de rein, il s'est enfoncé en moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses trempées. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion terriblement erotique, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Reprenant de la vigueur, Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis ! | soulager le patron (E) Un lundi, Il avait l’air tellement stressé et abattu que j’ai vraiment eu envie de faire quelque chose. - Vous avez besoin d'être soulagé, il faut decharger toute votre tension accumulée - Lai ... |
![]() | la femme du patron (2)Bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Bruit d'élastique. Un silence. Je sens son parfum qui m'ennivre. Elle est là, contre moi, tout contre, le contact d'une main, l'autre main sur mon ventre. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents. mon pantalon qui glisse furtivement vers le bas. Je sens venir sur moi son corps de femme. Ses jambes nues s'enroulent autour de mes reins. Je suis sa proie. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. Je sens sur moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sa chaleur m'envahit. Son parfum est discret, entêtant. Elle parcourt ma peau de ses levres humides. Je me cambre sur le canapé. Le désir enfle en moi. Je sens sa poitrine au contact de ma peau. Je caresse ses cheveux, son visage, je dessine ses traits. Je saisis ses chairs à pleines mains. La sensation me comble. Sa respiration s'accélere. Je sens mon membre, dur comme du marbre, au contact de ses levres intimes. Je suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort, puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Je sens un corps voluptueux. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montent en intensité au rythme de son bassin, je commence à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus. | la femme du patron (2) (E) Bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Bruit d'élastique. Un silence. Je sens son parfum qui m'ennivre. Elle est là, contre moi, tout contre, le contact d'une main, l'autre main sur mon ventre. Sa chaleur m'envahit ... |
![]() | Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer devant l'ordinateur afin d'accéder à mon clavier et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'eu un petit sursaut d'excitation. Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et je l'ai entendue pousser un petit soupir. j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur, j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs se glisser dans la conversation de ma jolie secrétaire remplaçante. Elle me laissait libre apparement de lui caresser ses belles poitrines. Je promenais donc délicatement mes mains le long de ses seins, en jouant doucement avec les tétons à travers son corsage. Malgré quelques soupirs très prometteurs, nous ne cessions pendant tout ce temps de parler de programmation... jusqu'à ce que ... une de ses mains se pose sur la mienne et commence à la diriger dans l'échancrure de son chemisier. Voyant là un feu vert à mes audaces, j'ai aussitôt plongé les deux mains dans le décolleté, et j'ai recommencé mon doux massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sous la barrière du tissu. Prise de quelques chaleurs, Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins gonflés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les soupesant, lui arrachant à chaque fois un long ronronnement de satisfaction et, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses deux beaux seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper, avec des tétons, bien durs, une large aréole à la base. Désormais libres de tout tissu, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna se renversa alors sur sa chaise dans une position de quasi abandon, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus au gré de mes caresses. Puis elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais alors ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude, elle poussa un long soupir, releva la tête, en cabrant son corps et en écartant plus largement ses cuisses. Je bandais affreusement et elle s'en aperçut. Cette vision déclencha la suite de l'histoire D'un coup, elle se dégagea de mon emprise et se diriga rapidement vers la porte du bureau à laquelle elle donna un tour de clé. Elle revint vers moi ... me fixa puis, d'un geste prompt, se débarrassa de sa petite culotte qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Me fixant toujours dans les yeux, elle caressa le relief indécent de mon pantalon, commença à défaire ma ceinture, à ouvrir la fermeture éclair et finalement libéra un sexe énorme, dur, pointant à la verticale. Sans attendre, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers le sien, puis elle s'enfonça lentement sur mon pieu tendu à l'extrême, mon gland commença à glisser entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. Elle s'enfonça sur mon sexe jusqu'au fond, laissa échapper un cri, et se laissa coulisser ensuite à un rythme beaucoup plus soutenu. J'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme s'accéléra encore, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, cela n'a pas tardé, je déchargeais alors à quatre reprises, et je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible. Lentement elle se retira, attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour essuyer ma semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, Elle remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice. Quelques jours plus tard ma secrétaire titulaire était de retour, bronzée, en pleine forme. - Comment a été l'intérimaire ? - Très bien, vous pouvez la retenir pour vos prochains congés. | (E) Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine & ... |
![]() | entretien d'embauche- Je m’appelle Viviane. Et toi ? - Jérôme. - Jérôme. C’est mignon, ça te va bien ! ... Je pense que tu dois avoir de bonnes dispositions ! À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien ce jeune stagiaire était attirant. Je voulais le mettre à l'épreuve - Jerome ! J'ai besoin de savoir ce que tu sais faire ! - Tu sens mon corps contre toi ? Je suis toute chaude ! - Caresse mes seins ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les ! - Jérôme, je veux que tu me prennes, là sur mon bureau. Et, d’une main sèche, je jetai au sol les dossiers qui l’encombraient. Ma jupe de tweed les rejoignit presqu’aussitôt. Puis, assise sur le bureau, ma jupe à demi roulée sur mes cuisses légèrement écartées, je lui désignai de l’index ma cible sans détour. L'attirant vers moi, je défis nerveusement sa ceinture. Le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, » - Maintenant, montre moi ce que tu sais faire ! - Tu sens ? ... comme je mouille ! .... Tu vas me le mettre bien profond ! Il ne perdit pas de temps, Il s'affaira sur moi, sortit sa queue, glissa son gland sur ma fente, je me cambrai et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe en moi jusqu’aux couilles. Je l' aspirai d'un coup dans mon ventre chaud. et je l'encourageai - Colle toi à moi ! Que je te suçe, que je t'aspire ! Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Je l’aspirai de mes muscles intimes, le pressait et cela ne faisait que l’exciter davantage. Il s'enfonçait encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l''aidais dans ses va et viens. Il était bientôt sur le point de non retour. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. - Maintenant ! Vite ! Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Il accelera, Je le sentis trembler lorsqu'il atteignit le fond. Il poussa alors un cri rauque. Je resserrai mon vagin, il ne tint plus, il déchargea en moi. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. À chaque secousse je sentis ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, envoyait une dernière giclée, se vidait, puis s’enfournait jusqu’au fond, ne bougea plus. Une fois les spasmes apaisés, je le laissai glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui. - Eh bien mon ami, qu'est-ce que tu m'en amis ! une générosité et une efficacité très prometteuse ! Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je me lèvais en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coulait toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis ! - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. - Oh c'est bon ! ... Tu es bon pour le service ! Merci ! | entretien d'embauche (E) - Je m’appelle Viviane. Et toi ? - Jérôme. - Jérôme. C’est mignon, ça te va bien ! ... Je pense que tu dois avoir de bonnes dispositions ! À lire le désir qui dé ... |
![]() | exploration plus intimeJe me plaçais derrière elle, et je posais ma main sur son épaule pour l'encourager. Elle était face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de mes gestes affectueux. Encouragé, je glissai l'autre main sur l'autre épaule, puis plus bas, dans l'échancrure de son large décolleté. Je promenais délicatement ma main sur le haut de son sein que je sentis frémir et grossir, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J'écrasais les tétons à travers le vêtement, provoquant chez elle de violents soupirs. Pendant tout ce temps, nous n'avions cessé de parler de programmation... Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement. Ses cuisses s’ouvrirent, ses petites lèvres s’entrebâillèrent. Mes doigts effleuraient, s’attardaient, puis s'introduisirent en elle. Je sentais sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifia. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Deux caresses plus intimes, plus profondes, tout son corps se raidit, sa tête brinquebala, elle chavira, une coulée de plaisir se répandit dans son corps. Ses muscles se contracterent, son cœur battait la chamade. Elle se mordit les lèvres, ses cuisses se resserrerent et emprisonnaient ma main. Puis ... Elle retomba ... inerte, en sueur. À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien cette femme était attirante. Quand sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Puis nos langues se confondirent longuement. - Je m’appelle Viviane. Dit-elle entre deux soupirs. Et vous ? Jérôme. C’est charmant, ça vous va bien. Et soudain, d’une main sèche, elle lâcha sur le sol les dossiers qui l’encombraient, elle se dégagea, se diriga vers la porte du bureau, elle donna un tour de clé. Puis revint vers moi. Sa jupe partit presqu'aussitôt au sol. Puis, assise sur le bureau, son collant noir à demi roulé sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index sa chatte brune comme une cible sans détour. - Jérôme, je veux que vous me preniez, là sur votre bureau. D'un geste prompt elle se débarrassa de sa petite culotte noire qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Elle me fixa dans les yeux puis caressa mon pantalon, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers elle. Et elle s'enfonça lentement sur mon pieu. Elle guida ma queue tendue à l'extrême, mon gland turgescent glissait entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient . Je continuais le mouvement du gland dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. d'un coup, n'y tenant plus, elle s'enfonçait sur mon sexe jusqu'au fond. Elle laissa échapper un cri, elle se laissait coulisser maintenant à un rythme beaucoup plus soutenu, j'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme de mes coup de queue s'accéléra encore, mon bas ventre claquait contre le sien, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, je déchargeais alors à quatre reprises, je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible que je continuais à faire aller et venir en elle plus doucement. Lentement elle se retira. Elle attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour recueillir la semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice. Quelques jours plus tard ma secrétaire était de retour, bronzée, en pleine forme. - Ca été l'intérimaire ? - Oui très bien , vous pouvez la retenir pour vos prochains congés. | exploration plus intime (E) Je me plaçais derrière elle, et je posais ma main sur son épaule pour l'encourager. Elle était face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de mes gestes affectueux. Encouragé ... |
![]() | sous la tableNous sommes assis, cote à cote, dans cette grande salle de reunion de l'hotel. Je lui parle ... de tout, de rien, elle m'écoute avec attention, comme si elle buvait mes paroles. Nos genoux sont au contact. Elle ne fait rien pour éviter ce contact. Vais-je plus loin ? Tout en continuant à parler, je m'aventure, je glisse sous la table une main moite et tremblante sur son genou dénudé. Elle me laisse faire. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu. Son regard devient vitreux, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Je sens alors une main chaude et douce qui se pose sur la mienne. Elle semble m'encourager à poursuivre La mienne, quitte son genou et s'égare alors un peu plus loin sous sa jupe, glisse sous une douce combinaison de nylon, et arrive au contact de la cuisse, encore couverte du tissu soyeux d'une douce culotte, nouvelle barrière infranchissable ... Elle ne fait toujours rien pour faire cesser ce jeu. Ses yeux brillent un peu plus. Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact d'une douce toison. Elle ferme les yeux. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts atteignent une zone humide, se glissent, enveloppent, épousent ... le tissu gêne, ses cuisses s'écartent ... puis se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir. Ses cuisses s’ouvrent de nouveau, ses petites lèvres s’entrebâillent. Mes doigts effleurent, s’attardent, decouvrent une fente profonde, humide et moite, ils s'introduisent. l'humidité s'intensifie. Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des gemissements à chaque pénétration. Deux caresses plus intimes, plus profondes, tout son corps se raidit, sa tête brinquebale, elle chavire, une coulée de plaisir se répand dans son corps. Ses muscles se contractent, son cœur bat la chamade. Elle se mord les lèvres, ses cuisses se resserrent et emprisonnent ma main. Puis ... Elle retombe ... inerte, en sueur. Je relève la robe sur les cuisses. Ses jambes qui s'écartent, je tire doucement la culotte de soie qui glisse discrètement, Tension extrême dans mon pantalon... je tente de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques où son corps se devoile à mes mains, nu, vulnérable. Ma main tremblante avance vers le ventre, peau de pèche, velouté. Contact soyeux avec les premiers poils. La main glisse et s'égare, les cuisses s'ouvrent. Les doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espéré, tant convoité. Ici, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terrain inconnu. Raidissement soudain du corps, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers les yeux de ma promise... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? Continuer ? C'est elle qui semble le demander, c'est elle qui prend en main les choses. Elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. Sa main explore à son tour, palpe, tâte, tâtonne encore. Elle joue et apprend. Elle glisse sous mon pantalon dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure. Elle reprend son souffle et teste la vigueur de mon désir. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... voilà mon sexe nu, raide, tendu, excité, tressaillant. Son regard remonte vers mes yeux. Elle s'ecarte et me fusille du regard - Ne restons pas là ! Viens ! Nous sommes dans la remise, la porte est refermée. Nous nous retrouvons face à face, les yeux dans les yeux, en se demandant qui va faire chavirer l'autre. Reprendre son souffle avant la suite... D'abord cueillir sa bouche... Je m'approche, elle tend ses lèvres en regardant les miennes. Nos lèvres se rejoignent, c'est un premier baiser. Sa langue fraîche et un peu maladroite, comme la mienne, se rejoignent. Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent dans son dos, encore couvertes du corsage de soie. A travers le tissu soyeux, le léger relief du soutien-gorge. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux, revenir sur le cou... Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps. Nos corps sont au contact, se cherchent, s'électrisent. Ma main caresse son cou, descend, s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Le baiser cesse, Les doigts qui défont un bouton, puis un autre, un à un, sous le coup de l'émotion, le chemisier s'ouvre. Vision et découverte d'une splendide gorge, mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se dévêt pour moi, ou les épaules nues, légèrement en avant, ou cette poitrine qui va se libérer, pour moi, ses lèvres recollent aux miennes... Ma main, encore timide, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre. Descente vers un ventre chaud. Jeu de doigts. Découverte des corps. Charme du contact peau à peau... Exaspération des nerfs, des sens. Et nos bouches qui se soudent. La robe qui se relève sur les cuisses. Jambes qui s'écartent, culotte de soie qui glisse discrètement, Tension extrême dans mon pantalon... je tente de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques où son corps apparaît nu, vulnérable. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure blonde. Ses bras m'enserrent, m'étouffent presque. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, elle me signifie qu'elle est prête, qu'elle m'attend... Et c'est moi qui recule, tergiverse. mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses s'ouvrent et se ferment comme un appel. Elle s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... J'hésite encore ... puis me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais, d'un doux et long baiser, cueillir ses lèvres. Ses mains se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles appuient, m'incitent à m'avancer. Mon sexe est en contact avec le sien. Comme par enchantement il trouve le chemin. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, ses mains me bloquent immédiatement, m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains largement appliquées sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Cette fois j'appuie ma pression, bute et force légèrement le passage. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament un va-et-vient qui nous mène rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute - « Je t'aime ». Et nous nous sommes serrés l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. Je m'en souviens comme si c'était hier. | sous la table (E) Nous sommes assis, cote à cote, dans cette grande salle de reunion de l'hotel. Je lui parle ... de tout, de rien, elle m'écoute avec attention, comme si elle buvait mes paroles. Nos genoux sont au contact. Elle ne fait rien po ... |
![]() | devant l'ordinateurPendant qu'il m'expliquait l'exploitation de la base de données, Je sentis tout d'un coup un frisson ébranler tout mon corps. Je sentais tres distinctement ses doigts remontant sous ma robe qui crissait doucement. La chaleur de ses mains commençait à m'exciter sérieusement. Ses mains commençaient à explorer ma peau. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. Je ne refusais pas ses caresses. Je fermais les yeux, je sentais mes seins gonfler dans mon corsage serré. Petit à petit je m’abandonnai à lui, sentant monter dans mon corps mon desir de lui. le feu prenait naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. Sa main effleura mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, s'introduisirent. Deux caresses intimes, je chavirai à deux doigts de son visage. Tout mon corps se raidissait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main. Puis ... je retombai ... inerte, en sueur. Je repris mes esprits. J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. Je lui mis ma main dans ses cheveux que je caressais lentement, avec une infinie tendresse. il me fixa tendrement, Je suis allé rapidement fermer la porte du bureau et je l'ai attiré vers moi, je défis sa ceinture, pour libérer son sexe, je le dirigeai vers le mien, et lui demanda de venir, sans attendre ... Et Je me laissai pénètrer doucement, lentement, progressivement, mes chairs se distendaient. je l'accueillais en moi. J'étais comblée, remplie. Je remuai, l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... milles bulles éclataient. la tempête s’apaisa , Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! ....Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandit en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Libération ! Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se font plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompe... Des voiles se referment, le théâtre s’éteint. Elle perçoit ma chaleur humide, la moiteur mouillée qui s’épanche de son corps. ma respiration se fait plus profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis légère, toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre. Il m'emmène chez lui. Une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regarde ... l'effet ne tarde pas. Son sexe pulse, s’élève en longues ondulations. Il gonfle et se hausse. Il redevient raide et tendu. Il s’érige et se dresse dans une ascension irrésistible. Il brûle d’une fièvre ardente, Il est maintenant dur et rigide, C'est un manche, une gouverne. J'ai de nouveau envie de lui. Je serre mes cuisses, les frotte l’une contre l’autre, retrousse ma robe de nuit, découvre mes longues cuisses. Je monte sur lui, j'enfile son sexe trempé dans le mien, prend sa tête entre mes mains. Je plonge mon regard dans le sien et vient déposer un baiser enflammé sur ses lèvres. Je sens des reliefs noueux qui glissent dans mon ventre. Je coulisse sur lui Je me fait enveloppante, mes lèvres pulpeuses massent delicieusement son sexe bandé. Je le suçe, je me remplis de lui. Je l’aspire, l’absorbe, le relâche. Je sens la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentue. son sexe palpite, une sorte de vibration annonce l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclent de longs jets de sperme qui tapissent mes muqueuses. les soubresauts diminuent et laissent place à un épanchement bouillonnant de flots laiteux. Je reçois son offrande. | devant l'ordinateur (E) Pendant qu'il m'expliquait l'exploitation de la base de données, Je sentis tout d'un coup un frisson ébranler tout mon corps. Je sentais tres distinctement ses doigts remontant sous ma robe qui crissait doucement. La chaleur d ... |
![]() | Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, son sexe dur, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur, Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux couilles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. | (E) Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remon ... |
![]() | un logiciel guère familierCe logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer devant l'ordinateur afin d'accéder à mon clavier et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'eu un petit sursaut d'excitation. Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et je l'ai entendue pousser un petit soupir. j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur, j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs se glisser dans la conversation de ma jolie secrétaire remplaçante. Elle me laissait libre apparement de lui caresser ses belles poitrines. ----------------------------------- Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. -------------------------------------- Je promenais donc délicatement mes mains le long de ses seins, en jouant doucement avec les tétons à travers son corsage. Malgré quelques soupirs très prometteurs, nous ne cessions pendant tout ce temps de parler de programmation... jusqu'à ce que ... une de ses mains se pose sur la mienne et commence à la diriger dans l'échancrure de son chemisier. Voyant là un feu vert à mes audaces, j'ai aussitôt plongé les deux mains dans le décolleté, et j'ai recommencé mon doux massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sous la barrière du tissu. Prise de quelques chaleurs, Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins gonflés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les soupesant, lui arrachant à chaque fois un long ronronnement de satisfaction et, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses deux beaux seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper, avec des tétons, bien durs, une large aréole à la base. Désormais libres de tout tissu, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna se renversa alors sur sa chaise dans une position de quasi abandon, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus au gré de mes caresses. Puis elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais alors ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude, elle poussa un long soupir, releva la tête, en cabrant son corps et en écartant plus largement ses cuisses. Je bandais affreusement et elle s'en aperçut. Cette vision déclencha la suite de l'histoire D'un coup, elle se dégagea de mon emprise et se diriga rapidement vers la porte du bureau à laquelle elle donna un tour de clé. Elle revint vers moi ... me fixa puis, d'un geste prompt, se débarrassa de sa petite culotte qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Me fixant toujours dans les yeux, elle caressa le relief indécent de mon pantalon, commença à défaire ma ceinture, à ouvrir la fermeture éclair et finalement libéra un sexe énorme, dur, pointant à la verticale. Sans attendre, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers le sien, puis elle s'enfonça lentement sur mon pieu tendu à l'extrême, mon gland commença à glisser entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. Elle s'enfonça sur mon sexe jusqu'au fond, laissa échapper un cri, et se laissa coulisser ensuite à un rythme beaucoup plus soutenu. J'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme s'accéléra encore, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, cela n'a pas tardé, je déchargeais alors à quatre reprises, et je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible. Lentement elle se retira, attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour essuyer ma semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, Elle remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice. Quelques jours plus tard ma secrétaire titulaire était de retour, bronzée, en pleine forme. - Comment a été l'intérimaire ? - Très bien, vous pouvez la retenir pour vos prochains congés. | un logiciel guère familier (E) Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine & ... |
![]() | indifferenceIl ne voit rien, ne réagit pas, Il ne me regarde même pas. Je reve de lui, de ses caresses ... mais il ne voit rien, Je rêve qu'il vienne derrière moi, qu'il glisse ses mains sous mes seins, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge qu'il découvre leur douceur, qu'il les serre doucement, qu'il les palpe, les caresse à loisir, je l'imagine, il est là, contre moi, mon cou contre ses levres, je ferme les yeux, laissant échapper quelques soupirs. Ses deux mains chaudes se posent maintenant en coupe sous mes seins Je sens ses mains chaudes sur mes volumes mammaires, Il enfonçe ses doigts, dans ma chair laiteuse, Ses doigts n'en finissent pas de me traire, Je suis au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre. Immobile, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Mais ... Je rêve. | indifference (E) Il ne voit rien, ne réagit pas, Il ne me regarde même pas. Je reve de lui, de ses caresses ... mais il ne voit rien, Je rêve qu'il vienne derrière moi, qu'il glisse ses mains sous mes seins, lé ... |
![]() | Eva, la secrétaire remplaçanteCe logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Eva la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux noirs, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer debout près de moi, à ma droite afin d'accéder à mon clavier d'ordinateur et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'ai eu un petit sursaut d'excitation. Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et j'ai entendu Eva pousser un petit soupir de contentement. à l'occasion d'une question, j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur, j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs de plaisir se glisser dans la conversation. -------------------------- Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. Je me plaçais derrière elle, et je posais mon autre main sur son deuxième sein. Elle s'est aussitot positionnée face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de lui pétrir ses belles poitrines. Je promenais délicatement mes mains le long de ses seins, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J'écrasais les tétons à travers le vêtement, provoquant des violents soupirs de la part de Christa. Pendant tout ce temps, nous n'avions cessé de parler de programmation...Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement. --------------------------- Soudain, elle se dégagea et m'échappa. Elle se diriga vers la porte du bureau, elle donna un tour de clé. Puis d'un geste prompt elle se débarrassa de sa petite culotte noire qu'elle jeta négligemment sur mon bureau, Je la laissais revenir vers moi, toujours assis sur mon fauteuil, m'écartant du bureau. Elle vint vers moi, me fixa dans les yeux puis caressa mon pantalon a hauteur de mon sexe dur comme une barre, elle défit ma ceinture et fit glisser la fermeture éclair de mon pantalon. elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant à la verticale. Et elle s'enfonça lentement sur mon pieu. Elle guida ma queue tendue à l'extrême, mon gland turgescent glissait entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient . Je continuais le mouvement du gland dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. d'un coup, n'y tenant plus, elle s'enfonçait sur mon sexe jusqu'au fond. Elle laissa échapper un cri, elle se laissait coulisser maintenant à un rythme beaucoup plus soutenu, j'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme de mes coup de queue s'accéléra encore, mon bas ventre claquait contre le sien, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, je déchargeais alors à quatre reprises, je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible que je continuais à faire aller et venir en elle plus doucement. Lentement elle se retira. Elle attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour recueillir la semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice. Quelques jours plus tard ma secrétaire était de retour, bronzée, en pleine forme. - Ca été l'intérimaire ? - Oui très bien , vous pouvez la retenir pour vos prochains congés. | Eva, la secrétaire remplaçante (E) Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Eva la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux noirs, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine &ag ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, devant l'ecran de lecture, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, les bras autour de sa taille. Lise, ma nouvelle secrétaire se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, devant l'ecran de lecture, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, les bras autour de sa taille. Lise, ma nouvelle secrétaire se détendit et sa respiration se fit ... |
![]() | derrière l'écranIl s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. | derrière l'écran (E) Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, lég&egrav ... |
![]() | Je m'offre à la caresseIl m'a installé doucement sur la desserte, dans une douce penombre, nos corps se rejoignent, au ralenti, il me caresse, m'embrasse, je me laisse emporter. Je ferme les yeux, je m'offre à sa caresse, si lourde, si légère. Le silence d'une plainte. Ce trop plein de désir, Son souffle sur mon cou, Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, nos corps se frôlent. Et, subrepticement, un pantalon qui tombe, une culotte qu'il écarte et l'impression divine, nous glissons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. Il n'y a plus que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Il ne sait rien de moi. Il n'y a pas de fin. | Je m'offre à la caresse (E) Il m'a installé doucement sur la desserte, dans une douce penombre, nos corps se rejoignent, au ralenti, il me caresse, m'embrasse, je me laisse emporter. Je ferme les yeux, je m'offre à sa caresse, si lourde, si lég&eg ... |
![]() | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kgBlonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette belle plante, stagiaire dans mon service, avait des formes à faire bander tout le personnel. J'avais la quarantaine, je travaillais dans le quartier Montparnasse. Nous étions tous les deux dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue à chaque fois se mettait a se lever. Je me mettais à bander sans détour et elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excité, je lui ai proposé ce soir là de la ramener en taxi. Elle habitait dans le 15ème. Nous étions à peine installés sur la banquette arriere que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées. Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma queue raide, déjà gorgée de sang. Je petrissais joyeusement ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses pointes. La fille, peu farouche, se laissait tripoter sous les regards ébahis des voisins qui se serraient eux aussi. Nous avons grimpé quatre à quatre les escaliers de cette immeuble ancien. Sabine m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter le plus vite possible entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser et ... pour me calmer, j'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit. Elle est montée sur moi après avoir simplement fait tomber sa robe, faisant frotter sur moi sa combinaison de nylon. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en profitais pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait à tout rompre … Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés. Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre.Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg (E) Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette belle plante, stagiaire dans mon service, avait des formes à faire bander tout le personnel. J'avais la quarantaine, je travaillais dans le quartier Montparnasse. Nous étions tous les deux da ... |
![]() | dans l'arrière bureauIl est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma jupe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le nylon de ma petite culotte. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Je m'arreterai dès que vous me le direz. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourait mon ventre et remontait doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènaient sur mon bras, remontaient vers mon cou, caressaient mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. Je sentis mon bassin onduler au rythme de ses baisers, j’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et j’en profitais pour promener son gland sur mes levres ouvertes, c’était bon. Puis, j'avançais un peu mon bassin pour lui faire sentir que j'étais prête. Adossé au mur du bureau, lui contre moi. un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, dans l'attente fievreuse d'un penetration imminente, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus plus vite, au plus profond de moi... C'est alors qu'une onde intense s'est mise a irradier mon dos, il commencait àme pénétrer, une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient progressivement, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme. il entrait en moi, dans un mouvement long et puissant, J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi, je sentais son bassin venir au devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Je sentis son gland buter au fond de mon vagin, je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins, je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon… Il s’est immobilisé, profondément fiché dans mon ventre... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement. Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il coulissait en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait, telle la lave d'un volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, Il ahanait, je gémissais, il allait et venait en moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je gemissais mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos, et puis ... ca y est, il est venu, les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, et je l'ai senti decharger dans ma chair une gerbe chaude, un jet liquide jaillissait et se repandait au fond de mon mon ventre il jouissait, il éjaculait, il inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Puis il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous nous sommes quitté. | dans l'arrière bureau (E) Il est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très ... |
![]() | Adossé au mur du bureauAdossé au mur du bureau, lui contre moi. un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, dans l'attente fievreuse d'un penetration imminente, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... C'est alors qu'une onde intense s'est mise a irradier mon dos, il entrait en moi, dans un mouvement long et puissant, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’est immobilisé, profondément fiché dans mon ventre... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il coulissait en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait, telle la lave d'un volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, Il ahanait, je gémissais, il allait et venait en moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je gemissais mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, et je sentis dans ma chair un jet liquide jaillir et se repandre sur mes muqueuses ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie | Adossé au mur du bureau (E) Adossé au mur du bureau, lui contre moi. un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, dans l'attente fievreuse d'un penetration ... |
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![]() | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (2)Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. M'attirant vers elle, elle défit nerveusement ma ceinture et le temps d'écarter et de baisser rapidement sa fine culotte, - Tu sens ? ... comme je mouille ! .... - Sens mon corps contre toi ! Je suis toute chaude ! - Donne moi vite tes lèvres ... et ta langue ! ... - Caresse mes seins ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les ! ... - C'est bien ! Elle s'affairait sur moi, écartant mon pantalon, sortant ma queue, puis glissant mon gland le long de sa fente, Elle se cambra et d’un coup de rein, elle engloutit mon sexe, l'absorbant jusqu’aux couilles. Et je me sentis alors aspiré dans son ventre chaud. - Je te veux bien profond ! - Colle toi à moi ! Que je te suçe, que je t'aspire ! - Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (2) (E) Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. M'attirant vers elle, elle défit nerveusement ma ceinture et le temps d'écarter et de baisser rapidement sa fine culotte, - Tu sens ? ... comme je mouille ! .... ... |
![]() | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (3)Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. - Plus vite ! J'étais bientôt sur le point de non retour. Je lui fis savoir - Non ! Pas tout de suite ! Continue ! Bien au fond ! Je veux te sentir bien long ! J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. Je tentai de me retirer ... - Non ! Reste ! Bien au fond ! - Maintenant ! Vas-y ! Decharge ! J'accélerai, Je la sentis trembler lorsque j'atteignis le fond. Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, elle pouvait sentir mes jets de foutre. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coule dans sa fente. Elle se lèva en vitesse,sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'en a mis ! Une fois les spasmes apaisés, elle se laissa glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose. | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (3) (E) Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. - Plus vite ! J'& ... |
![]() | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (3)Elle avait fermé le bureau et s'était installée à califourchon sur moi. Plantée su mon sexe droit comme un mat, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. - Plus vite ! J'étais bientôt sur le point de non retour. Je lui fis savoir - Non ! Pas tout de suite ! Continue ! Bien au fond ! Je veux te sentir bien long ! J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. Je tentai de me retirer ... - Non ! Reste ! Bien au fond ! J'accélerai, Je la sentis trembler lorsque j'atteignis le fond. Elle resserra son vagin - Maintenant ! Vas-y ! Decharge ! Je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle, par salves successives. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, je lui remplissais le vagin de mon foutre, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restais là, épuisé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle se lèva en vitesse, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'en a mis ! Une fois les spasmes apaisés, elle se laissa glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose. | entretien d'embauche (Jacques Lucchesi) (3) (E) Elle avait fermé le bureau et s'était installée à califourchon sur moi. Plantée su mon sexe droit comme un mat, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exci ... |
![]() | sur une desserte du bureauIl m'installe rapidement sur une petite desserte près de la baie vitrée et pénètre mon corps sans attendre. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Je viens Et soudain, l'éclair. Je tremble, je vibre, me contracte, je jouis. Un gigantesque frisson se met a m'envahir tout le long de l'échine et s'installe dans ma nuque, je sens mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sent et ... d’un coup de rein, il s'enfonce au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’immobilise au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Il se redresse lentement, se retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tente de le retenir Il n’en finit plus de sortir, il s’arrête, une seconde, deux... et de nouveau il reprend vigueur, entre en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense se met a irradier mon dos, mon pouls bat de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’immobilise, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage se crispe... Encore une fois, tout mon corps est ébranlé, je sens mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonte lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressort. C’est violent, et bien vite, le plaisir est là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippe, le suçe, le serre, de plus en plus fort, je m’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquent une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continue à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux : Son plaisir s’annonce, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’ai chaud... Je suis en nage…Je halète, je soupire, il ahane, ses yeux sont rouges et exorbités, je gémis, il va et viens furieusement, j’enroule mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils...J'hurle mes encouragements. Il me répond d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tend, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sens alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repand dans mon ventre, quelques secondes, et il retombe lourdement sur moi, et dans mon oreille, il me souffle : “Oh... Marie...” il reste affalé sur moi, amorphe... il m'a remplie | sur une desserte du bureau (E) Il m'installe rapidement sur une petite desserte près de la baie vitrée et pénètre mon corps sans attendre. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèv ... |
![]() | chaude et mouilléeNos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous ma robe légère, la douceur de ses mains et le relief indecent de son desir qui se lève. Il défait nerveusement sa ceinture. Je suis chaude et mouillée d'excitation. Il s'affaire sur moi. Plaquée contre le mur, je n’offre désormais plus aucune résistance et suis même de plus en plus excitée. Mes mamelles gonflent, ma respiration est courte. Il me caresse un sein puis les deux, je guide sa main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je le sens comme une bête. La tension est si forte ! Sa main se glisse, explore, s'immisce. Ma peau est chaude, un peu moite. Il me caresse avec ardeur. Mes reins se creusent, je ferme les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, Je veux ce corps, je veux le sentir en moi, je veux qu'il me penetre, qu'il me fasse monter au ciel, s’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. D'une main habile, il s'invite entre mes cuisses et palpant mon entrejambe, il y prend en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main il caresse, de l'autre il pénètre mon insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, je suis au supplice. Humidité abondante, majestueuse. Envie qu'il se perde totalement entre mes lèvres ouvertes. Parfum de femme. Mon orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches. Il reprends ses carresses par des mouvements legers, puis de plus en plus precis. J'attrape sa bouche, je suçe ses levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Il s'agite sur moi, comme une bête. La tension est si forte ! Sa main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation. Il relève ma robe, ma combinaison de nylon, j'abaisse fiévreusement ma culotte en satin, il degraphe mon soutien-gorge. ecarte ma fine lingerie, il respire mon odeur. Je baisse son pantalon qui tombe. Il sort sa queue et glisse son gland sur ma fente, je me cambre et le temps d'écarter et de baisser completement ma fine culotte, je le sens s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glisse dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux bourses. J'ecarte mes cuisses, je m'offre à lui, guide son sexe entre mes lèvres intimes, ma vulve est glissante, moelleuse et profonde. Il s'enfonce ... il s'immisce .... Pénétration .... onctueuse. Il va et vient ... lentement, puissement, mes muqueuses l'aspirent, le palpent, le serrent. Il s'enfonce en en moi, me pénètre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement affolant. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il me serre, je le dévore. Il s’enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il se penche vers moi, je lui souris. Je perds pied. Il va et vient, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller. Il se donne, je le prends, ronronnements, feulements. Il se retire, laissant le vide. Je me débats, je le reprend. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement. Le sentir en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud. Mes jambes écartées pour mieux le recevoir, mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Il est ma flèche, fichée dans ma chair, mon corps est frémissant. Il remue en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de son corps, je me plie sans effort, Très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je sens qu’il est sur le point de non retour. Il accélere, il tremble et se fige au fond de moi. Il pousse un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sens qu’il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Il décharge en moi en salves successives. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c'est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaisse sur moi, épuisé. Je suis aussi épuisée que lui. | chaude et mouillée (E) Nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous ma robe ... |
![]() | l'air déja chaudelle avait une robe légère, Je sentais sous le tissu, la douceur de sa peau. Petit à petit, mon sexe dur s'est glissé sous la robe. Sa peau etait chaude, un peu moite Je la carressais avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posa, une de ses main sur la mienne, et me guida vers des endroits plus intimes je repris mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Elle ecarta encore ses jambes, elle s'offrait à moi, Je m'enfonçai en elle, lentement, naturellement mon sexe dur, glissant, tournoyant dans ses chairs et son bassin, comme le reflet de mes carresses, s'agita. Sa tete en arriere, m'offrait une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, Ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en elle Elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant les cuisses sur mon sexe encore dur, | l'air déja chaud (E) elle avait une robe légère, Je sentais sous le tissu, la douceur de sa peau. Petit à petit, mon sexe dur s'est glissé sous la robe. Sa peau etait chaude, un peu moite Je la carressais avec douceur, elle semblait ... |
![]() | canapéIl m'avait installé sur le canapé de son bureau et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance incroyable. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il resta en moi, reprit très vite de la vigueur sous l’effet de mes ondulations et me reprit sans ménagement. il me fit l’amour de façon exquise, un long moment, m’offrant une nouvelle ribambelle d’orgasmes. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Quelle après-midi ! Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis ! ------------------------------------------------------ De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins, De mes lèvres douces, humides, à ma fleur que tu butines, De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses, Je sais pour toi le goût de mon corps, tous tes arômes et plus encore. Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits. Plaquée contre le mur, Angela n’offre plus aucune résistance. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. La robe d'Angela tombe au sol. soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. elle ecarte les cuisses, je guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Une poussée, deux poussées - Ohh Ouuii ! et je la remplis. | canapé (E) Il m'avait installé sur le canapé de son bureau et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le ... |
![]() | Tout va trop viteElle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Le repas du patron et de ses associes s'était prolongé, la maitresse de maison semblait s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. une belle femme. un large décolleté dévoilant des seins généreux qui remuent au rythme de sa respiration, lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie. Elle m'avait fixé depuis un moment, elle me provoquait. il faisait chaud. J'étais en émoi. Elle s'en était aperçue. Elle s'était lèvée, et m'avait entrainé dans le couloir. Elle s'était pressée contre moi, m'embrassant sur la bouche avec un parfum intense, elle m'avait ainsi entrainée sur ce canapé sur lequel elle est en train de me prendre d'assaut. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living. - Oh c'est bon ! ... Merci ! | Tout va trop vite (E) Elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre con ... |
![]() | sensations diffusesLa chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, m'affolait tout en faisant monter mon excitation. Il me tenait contre lui par les reins. J'étais là, assise sur le bureau, completement sous son contrôle. Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement. Ses mains se risquaient à explorer mon corps, il caressait mes épaules. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui, je mouillais abondement. J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. J'étais prête ... J'ai desseré sa ceinture, je l'ai aidé a retirer ma fine culotte. Et Je me suis laissée pénètrée, lentement, puissement. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. Sa verge grossissait et s'allongeait dans mon ventre. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. Tout mon corps se mit à vibrer. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... milles bulles éclataient. la tempête s’apaisa , Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis son epaule Je lui demandai de venir, vite, sans attendre ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! ....Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandit en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Libération ! | sensations diffuses (E) La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, m'affolait tout en faisant monter mon excitation. Il me tenait contre lui par les reins. J'étais là, assise sur le bureau, completement sous son contrôle. Je sentai ... |
![]() | sur le canapéElle adorait se faire tripoter et se faire pénétrer lorsque nous nous retrouvions seuls le soir dans le bureau. Nous fermions la porte, elle venait s'installer sur le grand canapé et elle s'offrait à moi. J'adorai sa chair souple et chaude. Elle savourait ces douces penetrations en me regardant fixement, je prenais alors ses seins en main les palpant doucement, puis les laissais ballotter ce qui réveillait ma vigueur ! Je me laissais aller alors à bander comme un cheval au fond de son ventre, elle remuait doucement son bassin pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, avec des bruits mouillés terriblement excitants. Elle absorbait ma verge avec gourmandise en surveillant mes réactions Je la voyais disparaître entre ses grandes lèvres. Aspirée, sucée, absorbée, digérée, elle s'enfonçait comme dans du beurre, enrobée de ses sécrétions, tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, son vagin coulait sur sur ses cuisses. Je coulissais en elle avec un bruit de succion terriblement érotique. Le canapé se tachait de nos sécrétions, Je pétrissais ses seins. Puis elle se mettait à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle se mettait à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens. Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispait. Un dernier coup de rein Je ne me retenais plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme giclait en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandait dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroulait finalement en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahissait ! En me retirant, ma queue émettait un indécent bruit de siphon. Elle se redressait alors, ramassait ses affaires et sortait du bureau. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager Une heure plus tard, je vis la porte s’ouvrir. Elle rangea mes affaires et vint s'asseoir à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement son corsage, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux. Puis, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu. | sur le canapé (E) Elle adorait se faire tripoter et se faire pénétrer lorsque nous nous retrouvions seuls le soir dans le bureau. Nous fermions la porte, elle venait s'installer sur le grand canapé et elle s'offrait à moi. J'adora ... |
![]() | Vite ! ici, maintenant !Nous nous sommes dirigés rapidement dans l'alcôve, à l'abri des regards, Excitée comme moi à l'idée de nous adonner violemment au plaisir de l'amour pulsionnel, dans cet arrière bureau, elle attrapa ma bouche et me supplia. - Donne moi vite tes lèvres ... et ta langue ! ... - Caresse mes seins ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les ! - Sens mon corps contre toi ! Je suis toute chaude ! Je n'en peux plus ! Elle se pressa contre moi, se frotta et m'embrassa sur la bouche. son parfum était intense, Je restai un moment sans réagir. Elle appuya ses caresses. elle semblait déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient. - J'ai envie ! et je sais que toi aussi ! Elle ondulait du bassin, collant son ventre contre le mien, Je ne réalisai pas encore totalement ce que nous étions en train de faire, Tout allait trop vite, mais ses baisers auxquel je lui répondais avidement chassaient peu à peu toute pensée raisonnable, ma main exploraient déjà sa peau douce, glissant entre ses deux cuisses - Tu sens ? ... comme je mouille ! Mes doigts palpaient sa vulve trempée et y pénétrerent par de petites incursions, je la sentis sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je faisais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle était chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écartai son chemisier, puis son soutien-gorge. Les pointes de ses seins étaient dures comme l'acier, chaudes comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements déjà à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous étions à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouillait comme une fontaine ! Je caressai ses seins, bien souples et bien fermes. Ma bouche cherchait sa bouche. Je bandais sans retenue contre elle, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnaient une cambrure de rêve. Le frottement de ses seins sur mon torse excitait mes sens, mon sexe se lèva et glissa entre ses deux cuisses. Ses mains prirent mes bourses puis entourerent ma verge, c'était divin ! je caressai ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissaient doucement contre mon torse. je savourai cette chair élastique, mon sexe durcissait. Mon pénis grossissait dans sa main. Je sentais la jouissance qui me gagnait. - Tu vas me le mettre bien profond ! D'accord ? Elle s'accrocha à mon cou. ses jambes s'écarterent. Elle en voulait plus ! Ses levres intimes s'ouvrirent. Je les sentais, tendres et fragiles ... Elle ne disait rien, les yeux fermés, elle m'attendait. Elle s'accrochait à moi, elle me serrait, se frottait à mon sexe qui se faisait plus insistant. Je malaxais ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tira vers elle, prit mes mains et les posa sur ses hanches, - Viens vite me le mettre ! Elle sortit mon sexe, l'ajusta à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... l'aspira tel un poulpe chaud et visqueux absorbant sa proie, je m'enfonçais dans son ventre brulant... je me me perdais en elle. Un glissement onctueux, un frottement suave. Elle ondulait, me suçait, m’aspirait, me tirait en jouant de mon corps. Nous glissions délicieusement l'un dans l'autre : Je sentais ses muqueuses se dilater, se contracter pour m'aspirer plus loin... Je glissais en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Elle se masturbait allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais toute entière autour de mon mat, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Je l'embrassai dans le cou, tout son corps frémissait … elle suintait de cyprine. - Colle toi à moi ! Que je te suçe, que je t'aspire ! Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangeaient, ses yeux étaient fermés. Elle s’abandonnait, liquide, légère, je voyageais en elle. Des bruits delicieux de succion accompagnaient mes pénétrations, je m'agrippai à ses hanches, je me mettais à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propageait dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortillait, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. Le climat montait et je sentais mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se firent plus désordonnés, son corps sembla animé d’oscillations qui échappaient à son contrôle. Elle voulait avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flattait doucement mon gland. Elle s’enroulait, se défaisait, plongeait se retirait. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Le rythme s'accélèra de plus en plus, je sentis son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidissait, ses muscles se contractèrent, elle me serra très fort ... et partit !... Elle se déchaîna, se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agita frénétiquement. Mon excitation atteingnit un paroxysme qui se termina en une tétanisation totale, elle se cabra et me supplia de conclure - Maintenant ! Vite ! Je me plantai en elle, ma verge bandée au fond de son vagin. un trait monta, puissant et massif. Le trait m’échappa ! ... et d’un souffle, je vidais une première fois ma joie en elle, je me libèrai en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suça et aspira ma queue qui se vidait, suça tout, ne gâcha rien, ne perdit rien. Je restais collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continuai à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle fut secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relâcha finalement en me souriant, se relèva, à la recherche de ses sous-vêtements, enfila sa culotte. Je passai derrière elle, et lui agrafai son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrassai dans le cou, et l'enlaçai pour aller caresser ses seins. - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. Elle remit sa robe, puis colla son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressortis, elle est déjà retournée au bureau - Oh c'est bon ! ... Merci ! - Tu sens mes seins sur ton torse qui se frottent doucement ? - Je sens ton sexe qui grandit et s'allonge en moi ! - Prends moi encore ! Bien au fond ! J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser de nouveau dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, fasciné par ses gros seins se balançant doucement devant mes yeux, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle. Agitant vivement ses hanches, elle se fit joyeusement coulisser sur moi et moi, je goutai les moiteurs chaudes de ce cocon de chair m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayais d'en faire autant. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées : - Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se sont mis à vibrer. Elle m'aspira fort. Sous ses baisers brûlants je me sentais défaillir contre son corps agité de plusieurs spasmes violents. Et dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante, je laissai jaillir dans son ventre une chaude liqueur, fruit de mon orgasme. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du ventre de Lea. Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea se separa de mon corps devenu trop lourd, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal : - Tu m'en as mis des litres, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout… - C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - J'ai adoré ! On va remettre ça ! | Vite ! ici, maintenant ! (E) Nous nous sommes dirigés rapidement dans l'alcôve, à l'abri des regards, Excitée comme moi à l'idée de nous adonner violemment au plaisir de l'amour pulsionnel, dans cet arrière bureau, elle a ... |
![]() | Plaquée contre le murNos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous sa robe légère, la douceur de sa peau. Plaquée contre le mur, elle n’offre désormais plus aucune résistance et semble même de plus en plus excitée. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! Par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Ma main se glisse, explore, s'immisce. Sa peau est chaude, un peu moite Je la caresse avec ardeur. Ses reins se creusent, elle ferme les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. D'une main habile je m'invite entre ses cuisses et palpant son entrejambe, j'y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main je caresse, de l'autre je pénètre son insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, elle semble au supplice. Humidité abondante, majestueuse. Envie de me perdre totalement entre ses lèvres ouvertes. Parfum de femme. Son orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches. Je reprend mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Elle attrape ma bouche, suçe mes levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Je m'agite sur elle, comme une bête. La tension est si forte ! Ma main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation. Je relève sa robe, sa combinaison de nylon, j'abaisse fiévreusement sa culotte en satin, je degraphe le soutien-gorge. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Elle baisse mon pantalon qui tombe. Elle ecarte ses cuisses, elle s'offre à moi, me guide, guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je m'immisce .... Pénétration .... onctueuse. Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je m'enfonce en elle, la pénètre, la comble, le plaisir monte en vagues, son ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. J'ondule, elle m'aspire, je râle, elle gémis. Je la serre, elle me dévore. Je m’enfonce ... loin, très loin. Elle m’enroule, me défais, je plonge, me retire. Elle avale mon corps. Je me penche vers elle, elle sourit. Je perds pied. Je vais et je viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller. Je me donne, elle me prend, ronronnements, feulements. Je me retire, laissant le vide. Elle se débat, elle me reprend. complètement, passionnément. Mon corps collé au sien, je la pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en elle, grossir, durcir et m'allonger, investir son ventre chaud. Ses jambes écartées pour mieux me recevoir, ses jambes resserrées pour mieux me retenir. Je suis sa flèche, fichée dans sa chair, son corps est frémissant. Je remue en elle la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de mon corps, elle se plie sans effort, Je m'enfonçe en elle, lentement, naturellement. Précipices de saveurs. Mon sexe dur, glissant, tournoyant dans ses chairs et son bassin, comme le reflet de mes carresses, elle s'agite. Sa tete en arriere, m'offre une gorge tendue, nos mains semblent avoir trouver un rythme commun. Ses cuisses se serrent, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui monte en elle Elle exprime sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippe à moi, serrant les cuisses sur mes doigts, Accélération. Elle tend ses lèvres, me caresse le torse. Sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je la fais monter au ciel, elle s'y accroche, redescend et recommence, encore et encore. Je l'empoigne, elle me griffe, me harnache, Râles, bruits de succion, parfums d'orgasme. Une poussée, deux poussées Quelques aller-retour, râle assourdissant. Je décharge ... et je la remplis. Elle me sourit et en veut encore. Cette secrétaire nymphomane est insatiable. Au fond de la remise, elle me colle littéralement, soutien-gorge a moitié défait. - Baise-moi encore ! ... dépêche toi ! Je n'en peux plus ! Elle me prend les mains qu'elle plaque sur ses seins. puis elle empoigna ma verge. Je n'en peux plus. Elle relève sa robe et guide mon sexe vers le sien, je sens mon gland aspiré dans son puit humide et chaud. Elle s'excite sur moi, puis se fait coulisser de plus en plus vite, tout en m'embrassant la bouche avec avidité, je lui léche les seins, elle gémit de plus en plus fort, j'accélére la cadence, Elle se déhanche de plus en plus. Je la baise. Elle s'excite. Nous sommes ivres de l'odeur du nos sexes. Elle est chaude, elle a ses fesses rebondies. Je bande comme un cheval, elle me pétrit le sexe, les bourses à pleines mains. Je me met à petrir ses seins, fermes et opulents. je n'ai qu'une hâte, celle de gicler ma sève dans son ventre. elle est si mouillée que je sens sa culotte trempée collée contre sa peau. je palpe sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours au fond de son ventre, elle accélére sans cesse le rythme, elle grogne, elle va venir… Des spasmes soudain secouent son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion, puis, mon corps se raidit. Je sens mon liquide chaud couler dans son ventre. Je ne connais pas son nom. Au plus profond de son corps, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. la jouissance qui monte en elle femme révélée. Je l'investis, brutalement, sans concession, je la finis. Elle jouit. Enflammée jusqu'au cœur. Nous sommes essoufflés, et nos yeux sont heureux. | Plaquée contre le mur (E) Nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous sa robe ... |
![]() | sur la consoleAssise sur la console, elle me maintenait prisonnier de ses bras, de ses jambes, elle m'agrippai, me suçait, me serrait, en rythme et de plus en plus fort, je l’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans nos deux corps, je continuais à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : mon plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, je ahanais, ses yeux etaient rouges et exorbités, elle gémissait, j'allais et venais furieusement, tandis qu'elle enroulait ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Elle hurlait ses encouragements. Je lui répondis d’un râle puissant annonciateur de la liberation... et puis ... les yeux crispés, tout mon corps se tendit, comme tétanisé, je me raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se repandit dans son ventre ... je l'avais remplie ... je l'avais baisée ! Assise sur la console, je le maintenais prisonnier de mes bras, de mes jambes, je l’agrippai, le suçai, le serrai, en rythme et de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre ... il m'avait remplie ... Il m'avait baisée ! | sur la console (E) Assise sur la console, elle me maintenait prisonnier de ses bras, de ses jambes, elle m'agrippai, me suçait, me serrait, en rythme et de plus en plus fort, je l’entendis émettre un râle à la fois rauque et a ... |
![]() | Il s'affaissa, épuiséLes spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, ce beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors du bureau. | Il s'affaissa, épuisé (E) Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa sur moi, & ... |
![]() | Nous venons de faire l'amourNous venions de faire l'amour. Julien venait de se retirer de moi. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps, je ressentais une douce brûlure. Je me sentais lasse, Son liquide coulait toujours entre mes jambes. La tourmente avait fait place à un calme absolu, à une détente totale Je n’osais pas lui dire oui. J’ai bien failli refuser, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il a su me convaincre. je lui ai offert mon ventre, dans lequel il s'est répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon ! Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque. Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il est toujours là, contre moi, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie et se remet à bander, sans complexe. Je luis souris. Il s'approche de moi, Il caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Cette douce intrusion me ravit et reveille mes sens. Il s'enfonce doucement, écarte bien mes chairs rosées, il me le met tout au fond et fait durer le plaisir. C'est le paradis ! Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Je n'en peux plus. Je jouis ! Il s'agrippe à mes hanches. Je ressens son plaisir monter. Le mien aussi. Mon vagin se contracte et une serie de spasmes soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par gicler une nouvelle fois en moi. Il se vide, n'en finit plus de se vider! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui, J'avais 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adorais lorsqu'il me faisait l'amour | Nous venons de faire l'amour (E) Nous venions de faire l'amour. Julien venait de se retirer de moi. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps, je ressentais une douce brûlure. Je me sentais lasse, Son liquide coulait toujou ... |
![]() | troublant modeleMon jeune modèle était désormais totalement concentrée sur ce qu'elle devait faire pour moi. Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis le creux de ses reins avant de redescendre le long de ses jambes finement galbées. Je passai un doigt d’ébène dans ses longs cheveux ondulés, avant de me noyer dans le bleu profond de son regard tourmenté. Je frôlai ses joues, comme essuyant une larme imaginaire, puis déposai sur ses lèvres un rouge vermeil qu’elle me renverrait en baiser. Ma main revela ensuite les contours gracieux de ses seins, ornant de rose et de brun les dunes satinées de sa poitrine tendue puis j'effleurais les plis discrets d’un souffle de hâle tout en voilant de gris le nid discret au creux de ses cuisses, m’imaginant les entrouvrir avant de m’y glisser et d’y mourir. Elle me regarda d’un sourire malicieux qui me mit bien plus mal à l’aise qu’une quelconque réprimande. Elle reprit ensuite la pose dans un immobilisme statuesque. Je terminai alors consciencieusement d’orner ses longues jambes de mille reflets roses puis achevai mon travail par les nombreux détours de ses pieds fragiles. Elle était toujours nue, allongée devant moi, mais je n’osais même plus la regarder. Pourtant, lorsque je relevai enfin les yeux, elle souriait. Puis, à ma grande surprise, elle approcha ses lèvres des miennes et y glissa un furtif baiser avant de me chuchoter dans le creux de l’oreille : - vous devriez apprendre à maîtriser vos émotions ! Son sourire s’agrandit encore un peu plus. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras. De serrer son corps nu contre le mien et de l’embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme. Elle s’aperçut de mon trouble, me fit un leger baiser sur la joue, sans détacher son regard du mien, Elle laissa glisser sa robe sur le sol, lentement, pleinement consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Elle alla ensuite s’étendre sur le sofa et prit la pause. je me sentais encore plus nu qu’elle. Elle resta immobile, en attente; Retenant le frisson qui menaçait mon corps, contrôlant la faiblesse qui s’emparait de mes jambes, j’écartai le canevas. Tout en me dirigeant vers elle, je guettai ses réactions, craignant un recul; elle n’en fit rien. Tendant ma main vers elle, j’effleurai son cou; ce qui lui fit à nouveau fermer les yeux. Doucement, j’attirai son corps contre le mien, sa chaleur affectant mes sens de plus en plus . Je decidai de la peindre en utilisant son corps comme toile, mes mains et ma bouche pour pinceaux. De ses mains douces, elle me devetit dans un geste sensuel rempli d’anticipation et de hâte. La tête me tournait légèrement, et je ne résistais pas aux impulsions qui me traversaient…. je l’entraînai doucement vers la moquette douce. Elle était maintenant allongée, en attente, un fruit prêt à être savouré. Je la regardais droit dans les yeux, toujours craintif de l’entendre me dire non …. mais elle était autant sous l’emprise du moment que moi. Je l’embrassai longuement, langoureusement, ma langue sondant la sienne, tout d’abord doucement puis dans un crescendo d’intensité enivrant. Je laissai ensuite mes lèvres suivre les contours de son cou; Sa peau était plus douce que la soie, et sa chaleur me la rendait que plus excitante. je continuais l’exploration de son corps voluptueux, parcourant ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur. ce fût ma main qui se mît à explorer les parois de son sexe, mes doigts glissant à répétitions sur ses levres humides. Chaque soubresaut de son corps sous mes caresses devenait un encouragement à aller encore un peu plus loin. Je jouais doucement , de mes doigts, de son bouton de plaisir gonflé à souhait… Je me délectais de la douce odeur de son sexe, de sa moîteur. Une lueur de malice dans les yeux, elle reçu mon baiser. Féline, sensuelle, elle se replia sur elle même, en parcourant mon corps avec sa langue et ses mains. Mes sens envahis de toute part ne pouvaient plus que succomber. Puis elle s’arrêta, mon corps allongé sur le sien, elle me fit voir le plus beau des regards; plein d’attente, de désir ... je me déplaçai doucement vers ses jambes, les embrassant doucement, presqu’en frôlement, remontant ses cuisses. Le bruit de plus en plus saccadé de sa respiration, les tortillements de plaisir de son corps, ses gémissements s’intensifiaient. Je glissai ma langue à nouveau sur ses seins, suçant doucement ses mamelons durs et droits, puis les caressant de mes mains….. Déposant mes lèvres contre les siennes, ma langue contre la sienne, je sû qu’il était temps…. Mon sexe bandé chercha doucement et naturellement la voie de ses lèvres intimes … les effleura ... puis les pénétra doucement, sous un gémissement approbateur. Lentement, mon sexe glissa en elle, et je goûtai pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude …. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fit réagir … Quand la jouissance vint, je crû un moment que je perdais la tête en même temps que ma sève chaude s’écoulait dans son jardin secret… nos corps étaient simultanéments pris de secousses convulsives. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, assouvis. Tout ce que je voulais, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. au bout d,un moment, elle se releva, me regardant du regard le plus beau, le plus clair qu’elle pouvait, et se rhabilla en silence, elle vint déposer un furtif baiser sur mes lèvres, puis, sans même se retourner, franchit la porte de mon studio…. Plus jamais je n’ai travaillé dans ce studio sans revoir son image, son corps nu et ses formes de panthère, mais plus jamais je n’ai fait l’amour avec un de mes modèles; ça n’aurait été que tenter de retrouver un paradis perdu, un rêve terminé… | troublant modele (E) Mon jeune modèle était désormais totalement concentrée sur ce qu'elle devait faire pour moi. Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthèr ... |
![]() | troublant modeleMon jeune modèle était désormais totalement concentrée sur ce qu'elle devait faire pour moi. Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis le creux de ses reins avant de redescendre le long de ses jambes finement galbées. Je passai un doigt d’ébène dans ses longs cheveux ondulés, avant de me noyer dans le bleu profond de son regard tourmenté. Je frôlai ses joues, comme essuyant une larme imaginaire, puis déposai sur ses lèvres un rouge vermeil qu’elle me renverrait en baiser. Ma main revela ensuite les contours gracieux de ses seins, ornant de rose et de brun les dunes satinées de sa poitrine tendue puis j'effleurais les plis discrets d’un souffle de hâle tout en voilant de gris le nid discret au creux de ses cuisses, m’imaginant les entrouvrir avant de m’y glisser et d’y mourir. Elle me regarda d’un sourire malicieux qui me mit bien plus mal à l’aise qu’une quelconque réprimande. Elle reprit ensuite la pose dans un immobilisme statuesque. Je terminai alors consciencieusement d’orner ses longues jambes de mille reflets roses puis achevai mon travail par les nombreux détours de ses pieds fragiles. Elle était toujours nue, allongée devant moi, mais je n’osais même plus la regarder. Pourtant, lorsque je relevai enfin les yeux, elle souriait. Puis, à ma grande surprise, elle approcha ses lèvres des miennes et y glissa un furtif baiser avant de me chuchoter dans le creux de l’oreille : - vous devriez apprendre à maîtriser vos émotions ! Son sourire s’agrandit encore un peu plus. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras. De serrer son corps nu contre le mien et de l’embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme. Elle s’aperçut de mon trouble, me fit un leger baiser sur la joue, sans détacher son regard du mien, Elle laissa glisser sa robe sur le sol, lentement, pleinement consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Elle alla ensuite s’étendre sur le sofa et prit la pause. je me sentais encore plus nu qu’elle. Elle resta immobile, en attente; Retenant le frisson qui menaçait mon corps, contrôlant la faiblesse qui s’emparait de mes jambes, j’écartai le canevas. Tout en me dirigeant vers elle, je guettai ses réactions, craignant un recul; elle n’en fit rien. Tendant ma main vers elle, j’effleurai son cou; ce qui lui fit à nouveau fermer les yeux. Doucement, j’attirai son corps contre le mien, sa chaleur affectant mes sens de plus en plus . Je decidai de la peindre en utilisant son corps comme toile, mes mains et ma bouche pour pinceaux. De ses mains douces, elle me devetit dans un geste sensuel rempli d’anticipation et de hâte. La tête me tournait légèrement, et je ne résistais pas aux impulsions qui me traversaient…. je l’entraînai doucement vers la moquette douce. Elle était maintenant allongée, en attente, un fruit prêt à être savouré. Je la regardais droit dans les yeux, toujours craintif de l’entendre me dire non …. mais elle était autant sous l’emprise du moment que moi. Je l’embrassai longuement, langoureusement, ma langue sondant la sienne, tout d’abord doucement puis dans un crescendo d’intensité enivrant. Je laissai ensuite mes lèvres suivre les contours de son cou; Sa peau était plus douce que la soie, et sa chaleur me la rendait que plus excitante. je continuais l’exploration de son corps voluptueux, parcourant ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur. ce fût ma main qui se mît à explorer les parois de son sexe, mes doigts glissant à répétitions sur ses levres humides. Chaque soubresaut de son corps sous mes caresses devenait un encouragement à aller encore un peu plus loin. Je jouais doucement , de mes doigts, de son bouton de plaisir gonflé à souhait… Je me délectais de la douce odeur de son sexe, de sa moîteur. Une lueur de malice dans les yeux, elle reçu mon baiser. Féline, sensuelle, elle se replia sur elle même, en parcourant mon corps avec sa langue et ses mains. Mes sens envahis de toute part ne pouvaient plus que succomber. Puis elle s’arrêta, mon corps allongé sur le sien, elle me fit voir le plus beau des regards; plein d’attente, de désir ... je me déplaçai doucement vers ses jambes, les embrassant doucement, presqu’en frôlement, remontant ses cuisses. Le bruit de plus en plus saccadé de sa respiration, les tortillements de plaisir de son corps, ses gémissements s’intensifiaient. Je glissai ma langue à nouveau sur ses seins, suçant doucement ses mamelons durs et droits, puis les caressant de mes mains….. Déposant mes lèvres contre les siennes, ma langue contre la sienne, je sû qu’il était temps…. Mon sexe bandé chercha doucement et naturellement la voie de ses lèvres intimes … les effleura ... puis les pénétra doucement, sous un gémissement approbateur. Lentement, mon sexe glissa en elle, et je goûtai pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude …. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fit réagir … Quand la jouissance vint, je crû un moment que je perdais la tête en même temps que ma sève chaude s’écoulait dans son jardin secret… nos corps étaient simultanéments pris de secousses convulsives. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, assouvis. Tout ce que je voulais, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. au bout d,un moment, elle se releva, me regardant du regard le plus beau, le plus clair qu’elle pouvait, et se rhabilla en silence, elle vint déposer un furtif baiser sur mes lèvres, puis, sans même se retourner, franchit la porte de mon studio…. Plus jamais je n’ai travaillé dans ce studio sans revoir son image, son corps nu et ses formes de panthère, mais plus jamais je n’ai fait l’amour avec un de mes modèles; ça n’aurait été que tenter de retrouver un paradis perdu, un rêve terminé… | troublant modele (E) Mon jeune modèle était désormais totalement concentrée sur ce qu'elle devait faire pour moi. Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthèr ... |
![]() | dans son bureau- Mon dieu, que t'es-t'il arrivé Lucille ? - Eh bien ... j'ai cede à ses avances. Tu veux que je te raconte ? Avec tous les details ? Il a fermé la porte du bureau, il est venu vers moi, a ouvert son pantalon, relevé ma jupe et em me serrant les flancs, d’un coup de rein, il s'est enfoncé en moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses trempées. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie ! Lentement, comme à regret, il s'est retiré de moi. J'ai senti sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J’étais aussi épuisée que lui. Je me regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il venait de jouir en moi, et me laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses. Je me sentais sans force. Je n’osais pas lui dire oui. J’avais failli refuser, mais il a su s'y prendre et je lui ai cedé mon corps et mon ventre, dans lequel il a joui abondemnt et s'est répandu en une apothéose Ce n'est pas fini. Il était toujours là devant moi, il me fixa à nouveau avec un regard d'envie, se remit à bander, sans retenue. Il revint vers moi, posa son sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil sur le mien, le poussa un peu en moi, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement excitant. Il s'enfonca bien au fond, écarta bien mes chairs rosées et fit durer le plaisir. puis Il accélèra dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Je jouissais, lui aussi ! Il se vidait de nouveau dans mon ventre, n'en finissait plus de se vider en moi ! Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 20 ans, j'étais sa jeune secretaire, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il avait tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Apres m'avoir baisé deux fois dans ce petit bureau, Il s'est rhabillé en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres , il s'est rapidement glissé hors du bureau. | dans son bureau (E) - Mon dieu, que t'es-t'il arrivé Lucille ? - Eh bien ... j'ai cede à ses avances. Tu veux que je te raconte ? Avec tous les details ? Il a fermé la porte du bureau, il est venu vers moi, a ouvert son pantalon, r ... |
![]() | une femme mysterieuseUne femme mystérieuse, nous la pensions seule Nous l'avons carressée, mille fois, Laissant libre cours à nos inconscients Regards troublés, désirs naissants, Nous la sentions à la fois proche et rebelle, Une main sur sa taille, chaude caresse, un rêve, L'ensorceler La faire notre. Elle est belle. Où sont ses failles...? A la fin de la danse Elle nous avait mis en transe De sa souplesse sensuelle De son décolleté offert A nos yeux comme des fenêtres A nos âme de poètes ! Car nos yeux, d'une même lueur ont luit : Cette femme, nous allions l'aimer ! De concert, en symbiose, D'une même flamme, D'une même tendresse, Des mêmes caresses ! Pour la porter au pinacle, (Cyr) Sur sa peau douce… caresses et passes, Nos sexes face à face, se glissent en elle et s’effacent, Se faufilent dans sa chair … Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse… Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur nos peaux douces et lisses… Qui jouissent. (Prune) | une femme mysterieuse (E) Une femme mystérieuse, nous la pensions seule Nous l'avons carressée, mille fois, Laissant libre cours à nos inconscients Regards troublés, désirs naissants, Nous la sentions à la fo ... |
![]() | Venus rustique (Guy de Maupassant)Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent Et sortent Et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance Double étalons Double évanescence ! Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere Et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir ! (Cyr) Ils se pressent contre moi, émus, tremblant beaucoup, Me mangent de baisers en me serrant le cou, Tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, Muette, je tends la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant) Pour l'un j'e suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise Le brun est impudique Le blond est angélique Mais les deux sont phalliques Comme 2 soleils magiques Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils soient ardents J'ai comme le sentiment Que j'ai tout le temps Pour ces deux amants Car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Lentement, ils jouent de mon corps, Eveillant au désir, le grain de ma peau, Caressant mes seins avec douceur, Me faisant découvrir mille plaisirs, M'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, Allant et venant, m'oubliant, Pour mieux me faire vibrer, Et revenir en vainqueurs, Pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB) Une fois les deux tiges dans leur chaude chair Alternativement, et même, parfois, de concert... Vingt fois léchés, sucées, branlées Jusqu'à satiété ! Jane callipyge En une galipette Présente sa douce ornière... Devant cet appel à la fête lui, large et bien bandé, S'introduit et glisse au plus profond de la sombre marée Jane poussant un cri comblé reçoit en sa vulve ouverte De Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. De hi de han en va en viens Les deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui... L'encule Et l'autre, qui dans son ventre fond... Sur la peau douce… caresses et passes, Leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, Se faufilent… Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse… Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ils jouissent. (Prune) Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir Elle se retrouve aux anges Par les coups de reins de l'un Qui s'aventure dans ses profondeurs Et l'autre vole soupirs et cris Tant la promenade de son ami Lui fait voir mille couleurs Alors elle suce et aspire les boules, les glands et les pénis tout entiers ! A chaque passage sur son clitoris Un frisson de délice Lui parcours l'échine Et la rend plus que jamais... féline ! | Venus rustique (Guy de Maupassant) (E) Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent Et sortent Et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance Double étalons Double évanesc ... |
![]() | l'un et l'autre tour à tourQuand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Si je suis en tristesse L'un se met aux caresses Et l'autre avec adresse Me parle de mes fesses Pour l'un je suis l'acquise Pour l'autre l'insoumise Mais les deux m'ont conquise Ils sont tellement mignons Tous deux à leur façon Et le brun et le blond Mes amants polissons Le brun est impudique Le blond est angélique Mais les deux sont phalliques Comme 2 soleils magiques Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils soient ardents J'ai comme le sentiment Que j'ai ma foi du temps Pour un troisième amant Moi j'aime un point c'est tout Peut être un point de trop Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent Et sortent Et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance Double étalons Double évanescence ! Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere Et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir ! (Cyr) Ils se pressaient contre moi, émus, tremblant beaucoup, Me mangeaient de baisers en me serrant le cou, Tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, Muette, je tendais la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant) Pour l'un j'étais l'acquise Pour l'autre l'insoumise Le brun fut impudique Le blond fut angélique Mais les deux furent phalliques Comme 2 soleils magiques Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils fussent ardents J'avais comme le sentiment Que j'avais tout le temps Pour ces deux amants Car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Lentement, ils ont joués de mon corps, Eveillant au désir, le grain de ma peau, Caressant mes seins avec douceur, Me faisant découvrir mille plaisirs, M'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, Allant et venant, m'oubliant, Pour mieux me faire vibrer, Et revenir en vainqueurs, Pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB) Une fois les deux tiges dans leur chaude chair Alternativement, et même, parfois, de concert... Vingt fois léchés, sucées, branlées Jusqu'à satiété ! Jane callipyge En une galipette Présente sa douce ornière... Devant cet appel à la fête lui, large et bien bandé, S'introduit et glisse au plus profond de la sombre marée Jane poussant un cri comblé reçoit en sa vulve ouverte De Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. De hi de han en va en viens Les deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui... L'encule Et l'autre, qui dans son ventre fond... Sur la peau douce… caresses et passes, Leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, Se faufilent… Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse… Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ils jouissent. (Prune) Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir Elle se retrouve aux anges Par les coups de reins de l'un Qui s'aventure dans ses profondeurs Et l'autre vole soupirs et cris Tant la promenade de son ami Lui fait voir mille couleurs Alors elle suce et aspire les boules, les glands et les pénis tout entiers ! A chaque passage sur son clitoris Un frisson de délice Lui parcours l'échine Et la rend plus que jamais... féline ! | l'un et l'autre tour à tour (E) Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Si je suis en tristesse L'un se met aux caresses Et l'autre avec adresse Me parle de mes fesses Pour l'un je ... |
![]() | Afin de divertir sa gourmande nature Annabelle ma secretaire m’apprit l’art du cunnilingus J’avais des théories bien suivi le cursus Mais rien ne vaut l’essai en réelle posture Elle se disposa sur la table du bureau Et ouvrit sans pudeur son compas de Vénus À ses lèvres les miennes offrant un doux chorus Ma langue vint ouvrir la charmante scissure. Le léchage soyeux de l’écrin de velours Devait être attentif sans forcer le parcours Et la liqueur venant guidait ma réussite D’une affamée recherche exaspérant le puits Je fus présent partout dévorant sans limite Mais Annabelle me dit vous oubliez le fruit. Carimo | (E) Afin de divertir sa gourmande nature Annabelle ma secretaire m’apprit l’art du cunnilingus J’avais des théories bien suivi le cursus Mais rien ne vaut l’essai en réelle posture Ell ... |
![]() | - Louis, au bureau, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné. J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience. | (E) - Louis, au bureau, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné. J'ai alors écarté mes cuisses avec une ind&ea ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je ... |
![]() | surpris dans l'actionElle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Nous n'avions pas remarqué que la porte du bureau s'était ré-ouverte. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. - Plus vite ! J'étais bientôt sur le point de non retour. Je lui fis savoir - Non ! Pas tout de suite ! Continue ! Bien au fond ! Je veux te sentir bien long ! J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. Je tentai de me retirer ... - Non ! Reste ! Bien au fond ! - Maintenant ! Vas-y ! Decharge ! J'accélerai, Je la sentis trembler lorsque j'atteignis le fond. Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, elle pouvait sentir mes jets de foutre. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. C'est à ce moment que nous fumes surpris par le patron Je restais là, affalé contre, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coule dans sa fente. Elle se lèva en vitesse,sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, - Je ne vous derange pas, j'espère ! - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'en a mis ! Genés, je me laissai glisser hors d'elle, dans un bruit de succion terriblement erotique, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose. | surpris dans l'action (E) Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Nous n'avions pas remarqué que la porte du bureau s'était ré-ouverte. Je m'enfonçai encore plus loin dan ... |
![]() | Il venait de retirer mon soutien-gorge, dévoilant mes poitrines saillantes sous ses yeux. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mes seins. Il m'affolait litteralement. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma robe et remontait sous ma combinaison. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits. - Nous sommes en train de faire des bêtises ! Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui. J'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Vous êtes bien ? me demanda-t-il en m'embrassant sur le front - Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon ! Mon bel amant d'un jour s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce bel amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je, Je suis prête ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre électrisait son ardeur. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau. Il fut un amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Entre tes cuisses tièdes, je viens de glisser ma main, et d'instinct tu t'ouvres pour que mon doigt s'insinue dans ta fentine suintante; Telle une chatte tu ronronnes, mais tes joues soudain virent a un beau rouge écarlate; Pour bien garder prisonnière cette main au creux de ton écrin, tu la serres comme dans un étau de tous tes muscles génitaux; Puis tu laisses échapper un soupir avant de m'inonder de ton miel. Mes doigts effleurent, s’attardent, puis s'introduisent. Deux caresses intimes. Tout ton corps se raidit, ta tête brinquebale, tu chavires, une coulée de plaisir se répand dans ton corps. tes muscles se contractent, ton cœur bat la chamade. Tu te mords les lèvres, Tes cuisses se resserrent et emprisonnent la main. Tu me fixes du regard ... et tu me souris Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifie. Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues, t'arrachant des gémissements à chaque pénétration. La tendre humidité , l 'émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée, Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense , Qui ouvre ses pétales mille fois désirés. De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres Sublimes et si douces, imprégnées de ton miel, Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, Puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel. Un bouton qui cede, ta robe que j'écarte, et sous mes doigts, soudain, une douce toison, pour un autre plaisir, douce exploration J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir, Je te sens trembler et tu m'entends gémir. tes seins contre moi qui se frottent doucement... et je sens le velours de ta langue qui glisse en même temps sur ma peau enfiévrée... Audacieux, j'explore le plus petit recoin, jusqu'à venir me perdre au creux de ta féminité... Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas. Je ne sens ma main vraiment vivante que quand elle s’enfonce entre tes deux cuisses pour y chercher ton sexe qui se laisse découvrir comme un beau fruit dans l’herbe Ma main sculpte tes seins et l'autre te dessine. Aux flots de tes cheveux, tombant sur tes épaules, Je glisse mon visage et ma joue te ravine, Mes lèvres te goûtant, baisers que tu me voles. Un peu comme un aveugle, en te prenant les mains, Je te découvre en braille et cherche tes chemins. Comment me détacher, mes doigts que tu enserres, Le soc de ma charrue labourant en tes terres. Tu ronronnes féline et, mi-femme, mi-chatte, Tu me dis "je suis sage" et puis, d'un coup de patte, Tu m'affoles indécente et tu fais connaissance De mes sens en attente qui te sont renaissance. Tu es là, assouvie de nos folles amours, Tu rêves alanguie au fil de ce parcours, Mon livre entre tes doigts, repos de la guerrière, Pour que ton âme vaque en vague cavalière. Ma main t'entre-baille, vivante rose de cyprès, et tout de suite travaille, d'un doigt léger, le clitoris. Fin chef-d'œuvre de la nature, vit d'oiseau, pine en miniature, bouton subitement durci, qui, dans l'écartement des lèvres, tout baigné d'amoureuses fièvres, dresse la tête et bande aussi. Ma main tout doucement, se pose sur ton genou, Elle reste là, figée, n’ose pas d’avantage, Se permettre autre chose serait un rêve fou, pourtant tant de trésors et tant d’autres rivages. Et voilà que ma main se permet une avance, elle doit se sentir bien car elle s’arrête à nouveau, L’endroit est doux et chaud et mérite une danse, une cuisse qui vibre, rien ne sera plus beau. Mais pourtant sans attendre elle remonte un peu plus, sous la jupe à présent la voici qui découvre, Comme un léger barrage en un bout de tissu, sans frapper à la porte la voilà qui l’entrouvre. La main a dû trouver là sa destination, car elle ne bouge plus de cet endroit divin, Et voilà qu’elle s’endort dans un léger frisson, rêvant à d’autres lieux, et à d’autres câlins. ma main tremblante avance vers tes flancs. Contact. Douceur. sur ton ventre, peau de pèche velouté fragilité Contact soyeux. Découverte. Ma main glisse et s'égare, tes cuisses s'ouvrent. mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, si délicatement offert. Mes doigts gênés s'égarent et avancent en terre inconnu. Raidissement soudain de ton corps, tétanie passagère. Regard vers tes yeux, mon amour ... C'est bon ? Encore ? Je continue ... ? C'est toi qui le demande, tu diriges ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Tu me nommes les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Ouvre tes jambes, prends mes flancs. Dans ces rondeurs blanches et lisses, ouvre tes genoux tremblants … ouvre tes cuisses, ouvre tout ce qu’on peut ouvrir Dans les chauds trésors de ton ventre, j’inonderai sans me tarir L’abîme où j’entre. Source d'amour, fontaine de douceur, joli petit ruisseau apaisant toute ardeur, mal et langueur ô lieux solacieux et gracieux séjour délicieux, voluptueux, plus que tout autre au monde Petit sentier qui droit mène à la bonde d'excellent bien et souverain plaisir, Heureux sera cil duquel le désir contentera qui prendre te pourra et qui de toi pleinement jouira Je te salue, Ô merveillette fente, qui vivement entre ces flancs reluis; Je te salue, Ô bienheureux pertuis, qui rend ma vie heureusement contente! C’est toi qui fais que plus ne me tourmente l’archer volant qui causait mes ennuis; T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente. Ô petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil folet mollement crespelu, Qui à ton gré domptes les plus rebelles: Tous vers galans devraient, pour t’honorer, A beaux genoux te venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles! Pierre de Ronsard (1570) Laisse ma main glisser doucement entre tes cuisses, laisse moi, s'il te plait, effleurer tes lèvres intimes, je les sens s'attendrir et s'ouvrir sous mes doigts. Ta respiration se fait haletante, Laisse moi poursuivre ma caresse, enfoncer mes doigts plus profondément en toi, tes gémissements m'encouragent. Je sens tes mains glisser dans mes cheveux que tu agrippes avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres je sens tes doigts se crisper dans ma chevelure Ta respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. tout ton corps se crispe. Puis tes muscles se détendent, j’achève de te faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de ton sexe brûlant. Tu as encore un ou deux sursauts puis tu soupires longuement je sens une peau douce, humide, gonflée, qui s'ouvre comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonce entièrement dans des profondeurs inconnues, Je déclenche chez toi des feulements à chacune de mes pénétrations. Oh tendre humidité ! émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée, Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense, Qui ouvre ses pétales mille fois désirés. De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres, sublimes et si douces, imprégnées de ton miel, Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel. Tu écartes les jambes doucement, tu t'ouvres, tu t'offres à moi ! Sens mes doigts qui s'aventurent, se glissent dans la moiteur d'une jungle suave. comme aspirés dans la fente brûlante et lisse. Ils pénètrent avec facilité cet antre de feu liquide. mes doigts sont comme aspirés, sucés, engloutis, tel des sables mouvants. J'entends ton halètement, bien perceptible, ta tête est maintenant légèrement inclinée, ta bouche s'est entrouverte sur une étrange grimace, Laisse-moi t’approcher. Laisse-moi te toucher toute et te fragmenter par petites touches Laisse-moi ma plurielle de fond en comble te dévaster Trouver réunies au secret ma soif et mon ruisseau ma verdure et ma faim Lécher jusqu’au cœur notre vaste complot Laisse mon corps immobile entrer chez lui par les seuils de ton corps inamovible Laisse s’accomplir à l’infini vertigineux du temps vertical cette opération-extase infiniment longue et Infiniment aimable Que mon désir me conduise à tes seins et que le satin soit la doublure de ma bouche tissé sur ton cœur battant Laisse-moi connaître ton sexe et qu’il soit ou non de velours laisse-moi le bercer. Laisse-moi recueillir l’huile prodigieuse de cette amande douce pour en lisser les feuillages de ta vulve Laisse-moi naviguer en toi. Laisse-moi faire ce naufrage dont nous rêvions et laisse-moi en ta perdition Laisse-moi aborder au clitorivage heureux de ton corps heureux laisse-moi m’y reposer. Laisse-moi me reposer en toi de cette définitive splendeur Mes lèvres sur ses joues, effluves de ton parfum. Mes mains entre tes seins qui les massent et les serrent. Mes mains qui descendent, et remontent. Frissons. Mes mains entre tes jambes et tes jambes qui me serrent, et toi qui ondules, lentement, doucement, la bouche entr'ouverte. Je sens l'humidité qui perle entre tes cuisses, tu m'excites. Ton murmure qui se prolonge est, manifestement, une invitation. Ma main effleure ton sexe, descend, remonte, se frotte. Tu ondoies, tu m'excites, tu me pinces, tu m'incites. Tu m'enlaces, tu agrippes mes chairs. Nos corps se frottent, s'excitent, lascivement. Tu t'accroches à mon cou, je caresse ta vulve. Nos ombres glissent. En silence. Contact moelleux. ma chemise qui vole, tes dessous qui s'esquivent. Un sein dans ma main, s'affermit. Ta peau chaude, ton odeur, ton doux râle me grisent. Ton corps abandonné, tes jambes ecartées, tu attends, je me tend. Ma main s'attarde, explore, s'introduit dans le puit. Tu gémis. Je m'active. Tu te cambres, Je m'attarde. Tu ondules, de plus en plus vite, tu rales de plus en plus fort. Et tu jouis, longuement, dans une plainte heureuse. Je cherche un petit bois touffu, que vous portez, Aminthe, qui couvre s’il n’est pas tondu un gentil labyrinthe. Tous les mois, on voit quelques fleurs colorer le rivage ; Laissez-moi verser quelques pleurs dans ce joli bocage. ---------------------------------- -Allez-, monsieur, porter vos pleurs sur un autre rivage ; Vous pourriez bien gâter les fleurs de mon joli bocage ; Car, si vous pleuriez tout de bon, des pleurs comme les vôtres Pourraient, dans une autre saison, m’en faire verser d’autres. --------------------------------- -Quoi ! Vous craignez l’événement de l’amoureux mystère ; Vous ne savez donc pas comment on agit à Cythère ; L’amant modérant sa raison, dans cette aimable guerre, Sait bien arroser le gazon sans imbiber la terre. --------------------------------- -Je voudrais bien mon cher amant, hasarder pour vous plaire ; Mais dans ce fortuné moment on ne se connaît guère. L’amour maîtrisant vos désirs, vous ne seriez plus maître De retrancher de nos plaisirs ce qui vous donna l’être Voltaire Ce soir, mon amant, me donneras tu ta bouche, aux fumets de tourbe celtique, de fjord profond et habité de monstres, d'embruns, de vents du Nord ? Ce soir, mon amant, me donneras tu ton cou, aux effluves de mousse, de lichens ténébreux, d'écorces, de châtaignes, d'automne ? Ce soir, mon amant, me donneras tu tes épaules aux essences de pierre, de marbre davidien, de grès lisse et rond, à lécher ? Ce soir, mon amant, me donneras tu, tes bras, aux bouquets de soieries, d'indiennes, de pampres capiteux, et rassurant, de nid ? Ce soir mon amant, me donneras tu, ton ventre, d'où s'exhale la vie, le rouge des furies, la chaleur enfiévrée de l'envie, le tison ? Ce soir, mon amant, me donneras tu tes mains, au parfum d'encre noire, de papier raturé, de poudre de fusain, de pigments sur vélin ? Ce soir, mon amant, me donneras tu ton sexe, aux odeurs de rebelle, de blouson noir, de cuivre saxophoniste, de cri ? Ce soir, mon amant, donneras tu ton sexe aux arômes du mien ? Tes doigts attisent mon feu Et me pénètrent lentement Libérant doucement Du plaisir, le tendre aveu Plus mon jus te mouille Plus tu me fouilles Puis m'en barbouille Nos langues se caressent Au-delà de tes doigts Ont envie de tendresse Et laisse parler leur émoi Lorsque nous tremblons l'un contre l'autre, lorsque nos corps, deviennent à nous, Lorsque chacun de nous s'appartient dans l'autre et qu'ensemble nous avançons, C'est alors aussi la teneur du printemps qui passe dans nos corps et qui se connait Les lumières de la salle sont éteintes, restent quelques murmures. Tu as capturé ma main dans la tienne doucement m’entraîne vers tes lèvres tièdes et joue de mes doigts dans ton repaire humide... Mon regard troublé, le tien incandescent, ma main toujours dans la tienne lentement descend En voyage sous le soyeux de ta robe légère jusqu'à la naissance de tes cuisses qui s'ouvrent et s'abandonnent. Nos souffles s'accélèrent, tu fais glisser ma main, tu frissonnes doucement et t'offre à mes doigts qui s'animent... ton souffle au sommet du plaisir s’apparente à un léger soupir. Je rêve de ta tête sur mon épaule, que tu t'endormes, t’envoles lorsque mon visage glisse méticuleux le long de ta poitrine, au plus doux et atteindre en caresse de ta joue le renflement palpitant de mon corps. Pourvu que le film se prolonge encore et encore, que tu puisses de tes lèvres ingénues, en douce vague effleurer le velouté de ma dague la relâchant légèrement de sa prison devenue exiguë. Le temps de s'étourdir de cette flagrance secrète de laisser jaillir cette première perle de liqueur céleste qui déjà vous cambre, vous fait glisser discrètement. La séance se termine, lentement, la salle s'éclaire peu à peu, le temps de se ressaisir. Mais déjà tu m'entraînes au dehors, m'enlace dans un corps à corps, en un long baiser qui reconnaît la présence de mon envie. Pourvu qu’il fasse nuit. Pourvu qu'il y est de belles portes cochères perdues au cœur d’une rue sombre dans la chaleur de la nuit légère. Ma main caresse ton ventre chaud, glisse entre tes cuisses, effleure tes lèvres intimes, Ton corps languissant à un léger sursaut. Je caresse avec douceur. Tes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous mes doigts Ta poitrine se soulève par saccades, ta respiration se fait haletante, Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en toi, encouragé par ses gémissements réguliers. Tes mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. elle est proche de l’orgasme tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, elle se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme. Ma main tendre feuille tes pétales effeuille La rosée d'amour sème bientôt son miel, tu aimes... et t'ouvres, t’épanouis, laissant couler tes envies Le nœud de mon charme, douce et troublante arme, pointe et glisse à l'arcade de ton centre En toi lentement entre, fière aubade Tes pétales m'enroulent, me happent. Mes épaules tu attrapes Et tandis que tu te suspends à ces branches, j'entame une danse des hanches langoureuse et sinueuse à la fois pour avancer dur et souple en toi... Mon tronc de sève s'y gonfle L'écorce douce envoie des ondes Dans ton ventre plume, Mon désir y ronfle De bonheur au monde Qui s'allume | (E) Il venait de retirer mon soutien-gorge, dévoilant mes poitrines saillantes sous ses yeux. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mes seins. Il m'affolait litteralement. Sa main au b ... |
![]() | Sa bouche est tropicaleSa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil J'aime quand sa langue douce Au sortir de sa bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que ses lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou... De mouvements lascifs En caresses secrètes C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit. Et je ne sais plus de ses lèvres, De sa langue ou ses doigts caressants Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements. Offert comme une femme, A elle comme un amant, Car je sais qu'elle prend Le plaisir qu'elle me donne Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps La source de sa flamme ! | Sa bouche est tropicale (E) Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil J'aime quand sa ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je ... |
![]() | derrière elleje me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. Je posai une main sur un sein puis mes les deux englobant ses deux seins Deux poitrines bien rondes, harmonieusement dessinées, légèrement comprimées dans un soutien-gorge trop étroit. je glissai une main sous le soutien-gorge, je découvrais pour la première fois au toucher ses douces et souples poitrines. Je defis promptement l'attache du soutien-gorge. Je promenais mes mains délicatement sous ses seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Je les palpai, les caressai à loisir. Elle fermait les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de mes caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Mes deux mains chaudes, en coupe sous ses seins, les pressaient tendrement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapprochai l'un de l'autre. Je les lâchai ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir ses pointes. J'enfonçai mes doigts, dans sa chair laiteuse, et écrasai ses tétons lui declenchant des ondes de chaleurs, elle se cambrai pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entendais geindre. Elle essayait de respirer lentement et profondément, elle était affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses. Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement. je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. Je sentais sous le tissu de sa robe légère, la douceur de sa peau, chaude, un peu moite. Je la carressai avec tendresse, et douceur. Glissant mes mains sous le fin tissu du soutien-gorge, j'englobai désormais la totalité de ses seins que je caressai et palpai avec beaucoup de douceur, érigeant ses pointes sensibles. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, sa bouche légèrement entre-ouverte, L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | derrière elle (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. Je posai une main sur un sein puis mes les deux englobant ses deux seins ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je ... |
![]() | Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque,Apres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et presque aussitot, j'ai senti son sexe au contact du mien, j'étais affolée, mais tres receptive à la fois, j'ai alors senti son gland écarter ma vulve dejà trempée, il s'est doucement, mais puissement enfoncé en moi, en me fixant d'un regard intense, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est retiré doucement un moment, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir. Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête ... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Son sexe long et dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé, je sentais mes muscles se contracter. Il se planta une nouvelle fois dans mes entrailles, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations fortes dans tout mon corps, J'avais les yeux mouillés d'excitation et il continuait à coulisser en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait. J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait , j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé, il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe: je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, puis il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie | Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, (E) Apres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et ... |
![]() | je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe, - Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle. je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante. - Vous en êtes où ? lui demandai-je Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle. - Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête ! c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée - Venez, je vous emmène chez moi ! | (E) je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je ... |
![]() | Elle est assise à quelques mètres de moiElle est assise à quelques mètres de moi, me jette des regards furtifs par moments, ses poitrines somptueuses à l'étroit dans un corsage de soie moulante. Elle n'arrête pas de jeter des regards fugitifs dans ma direction. Elle me provoque, et je rêve déjà des caresses que je pourrais lui faire. Je rêve de me placer derrière elle, de glisser doucement mes mains sous ses seins, de découvrir la douceur de ses poitrines généreuses et bien visibles sous son chemisier. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge discret. Je rêve de promener mes mains délicatement le long de ses seins, puis les serrer doucement, et recommençer. Je sens déjà sa douce chaleur. Je rêve de les palper, les caresser à loisir. Elle ferme les yeux Ca y est, Elle est maintenant contre moi, son cou contre mes levres, laissant échapper quelques soupirs au gré de mes chaudes caresses. Sa douce chair laiteuse contraste avec ses aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Mes deux mains chaudes se posent maintenant en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. Je plaque ensuite mes doigts sur ses mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Je recommence plusieurs fois, empoignant cette fois ses seins à pleine main. Elle sent bien maintenant mes mains chaudes qui pressent légèrement ses volumes mammaires, les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapproche l'un de l'autre. Je les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir ses pointes. J'enfonçe mes doigts, dans sa chair laiteuse, j'effectue de petits cercles concentriques et écrase ses tétons. Elle ressent des ondes de chaleurs. Mes doigts n'en finissent pas de la traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entends geindre. Immobile, elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Je pétris ses seins, les frotte l'un contre l'autre, les déplaçe, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpe, les caresse. Elle est affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses. - Monsieur je vous apporte le classeur à signer ? Je sursaute, je reprends mes esprits. J'ai rêvé ! | Elle est assise à quelques mètres de moi (E) Elle est assise à quelques mètres de moi, me jette des regards furtifs par moments, ses poitrines somptueuses à l'étroit dans un corsage de soie moulante. Elle n'arrête pas de jeter des regards fugitifs dan ... |
![]() | une belle femme toute en retenueLouise, secrétaire à mon service depuis une semaine, était une très belle femme malgré ses 50 ans, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme et de retenue. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop austères, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte ... Il m'arrivait parfois, lorsque je la voyais travailler dans le bureau, de me caresser discrètement jusqu’à la jouissance, j'imaginais alors Louise juste revêtue d'une combinaison de soie noire, se lover contre moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules. Je cherchais tous les prétextes visant à provoquer depuis un rapprochement moins professionnel, plus intime. Et ce jour là, était-ce in signe de sa part, à la veille de son départ, elle m'était apparue épanouie,toute en séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une généreuse poitrine. Sa jupe moulait à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je savais que sous le tissu noir moiré se cachait le beau corps d'une femme, prête, j'en étais convaincu, à être dévorée par un amant affamé de sa maturité érotique. Louise, semblait émue par mon regard. J'en avais baissé les yeux, profondément troublé par ce qui était en train de se passer entre nous. Nous nous somme regardés un moment. Puis, osant l'insensé, je lui avais proposé de finir la soirée chez moi, Une fois à la maison, j'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules, Les joues de Louise s’étaient empourprées. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Louise, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage échancré, et qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps, qu'elle s’abandonnait doucement vers cet état si doux et si particulier qu'est le début de l'abandon, elle semblait absente lorsque, dans son cou, elle avait ressenti ma bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin futur amant. J'avais enrobé Louise de mes bras. elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques, elle m'avait embrassé avec de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune des respirations de Louise, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé une troublante gourmandise de dévorer ses seins. Avec une douceur presque féminine, j'avais défait un à un les boutons de son corsage, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses belles dentelles intimes ... Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais mon effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle pouvait deviner dans mon regard que j'allais l'aimer, moi cet homme de rencontre si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas, je lui avais clamé : - Louise, j'ai envie de vous ! Elle avait écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte était en train de se donner à moi, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était encore malhabile, imprégnée de désir et de timidité, mais les yeux de Louise reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle plutôt volubile, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité que j'interprétais comme un signe d'encouragement, alors même que Louise, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Venez. Je vous offre mon corps ! J'avais parcouru chaque parcelle de sa peau sous ses frémissements érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore, tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Elle devait aimer faire l’amour, s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi cet homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté. Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi. - J'ai envie de vous sentir ... de vous sentir en moi ! Venez ! Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Louise avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Je veux que vous vous perdiez en moi, m'avait-elle murmuré, - aimez moi et donnez moi tout de vous ! Au bord des yeux noirs de Louise deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, m'unissant à Louise, désormais ma maîtresse. - Louise, je suis chez vous ! c'est si bon ! Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Louise se révélait bien plus amante que je n’y croyais. J'étais sous le charme de cette femme, Louise, qui pouvait, à la moindre caresse, frissonner avant que de se perdre très rapidement dans un plaisir intense. Étaient-ce ses fantasmes qui guidaient la montée du désir, ou bien le désir qui esquissait ses fantasmes. Le fait est, qu’elle était capable de jouir très rapidement, et, très fièrement je m'en étais approprié la légitimité. Je n'avais pas vraiment tort, elle avait confiance en moi, cette confiance qu’elle avait perdu envers la gente masculine. L’honnêteté sentimentale dont je l’honorais, cette générosité peu coutumière chez la plupart de ses rares amants, ces deux qualités essentielles l’avaient émue engendrant une jouissance particulière, doux mélange de tendresse et de jouissance sexuelle. J'avais emporté Louise à moitié nue dans mes bras et l’avait déposée amoureusement sur le lit défait. Avant de se lover contre moi, elle m'avait délicatement défait ma chemise, puis me l'avait ôtée en faisant glisser ses mains fiévreuses sous le tissus de coton. Nous nous étions allongé tous les deux, nos membres enchevêtrés, nos peaux et nos odeurs mélangées, et Louise avec tendresse et sensualité avait laissé longtemps ses doigts parcourir la ma poitrine. Elle aimait ces moments de tendresse qui succèdent à l’impétuosité de la jouissance, puissante, démesurée. Elle aimait ce silence qui s’instaure alors, où l’on peut entendre à nouveau les battements des cœurs s’harmoniser. Elle avait savouré ces instants comme un vrai bonheur presque insolite. - Vous savez Armand, m'avait-elle murmuré, j’ai cruellement manqué de tendresse, dans mon enfance, puis ma jeunesse. Je ne parle pas d’amour, de l’amour, j’en ai eu sous des formes détournées... Emu par cette maîtresse femme redevenue enfant, je caressais les cheveux déliés de Mathilde, de la tendresse au bout des doigts. | une belle femme toute en retenue (E) Louise, secrétaire à mon service depuis une semaine, était une très belle femme malgré ses 50 ans, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme et de retenue. Sa f& ... |
![]() | Tania, ma secrétaireTania, ma secrétaire était éblouissante, provocante même, un regard redoutable, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile nettement visible sous le corsage transparent ... j'avais le tournis. Ce jour là, elle n'avait pas mis de soutien-gorge, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs froides. La journée était avançée, nous discutions de tout et de rien, il m'arrivait parfois de la prendre par le bras, pour la prendre à témoin ou lui montrer quelque chose, elle ne s'en offusquait pas, bien au contraire, - Je suis content de travailler avec vous avec vous ! j'aime votre façon d'animer le service elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Je lui glissai à l'oreille: - Allons nous distraire ce soir, nous avons assez travaillé ! - Vous m'emmenez ? Je pris Tania sous le bras en la guidant vers la sortie du bureau. Nous nous sommes retrouvés dans une boite proche, elle m'incita sans attendre à la faire danser, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement. - Je me sens bien avec vous ! me glissa-t'elle à mi-voix dans l'oreille Elle laissait ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes en me fixant d'un regard gourmand. - Serrez-vous bien contre moi ! Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. Elle me dit simplement - Restez tranquille ! ... et faites-moi danser ! Elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient. La musique enchaîna sur un blues sensuel. Elle colla encore plus etroitement son bassin contre le mien - laissez-vous aller ... oui ! comme ça ! Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Tania ne semblait rien remarquer, mais sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. - Vous êtes un bel homme ! ... plein de vigueur ! Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin. - Serrez moi encore contre vous ! ... Je vous sens bien ! ... Vous dansez divinement bien, J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors une fine culotte légèrement trempée. Tania se releva légèrement, se dégagea de moi - Mais que faites vous ? Je la plaquai alors énergiquement contre mon sexe. - Allons ! ... vous voulez plus ? Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir, et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe, - Mais ! ... Mmmhhh ! ... Quelle vigueur ! elle me regarda avec une intensité que je ne lui connaissais pas, puis elle plaça ma verge bandée à l'entrée de sa vulve trempée - Je suis étroite et profonde ... Ca vous dit ? ... Venez ! et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle. Il glissait dans un magma liquide. je le sortis un peu et, de nouveau, la pénétrai jusqu'à la garde, ses fesses s'offraient à moi. Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps, Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante. Je n'en pouvais plus. J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Nous sommes restés un moment inertes, tetanisés. Nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le "désarrimage". Pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! - Je ne vous savais pas aussi doué ! - Si vous voulez, rentrons chez moi pour terminer la soirée ! Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait là ! A peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe. Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle. Nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit | Tania, ma secrétaire (E) Tania, ma secrétaire était éblouissante, provocante même, un regard redoutable, des formes somptueuses, une poitrine genereuse et legerement mobile nettement visible sous le corsage transparent ... j'avais le tour ... |
![]() | l'amour interditLa réunion du patron et de ses associes se prolonge, Je regarde discrètement la secrétaire de direction qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté dévoilant des seins généreux qui remuent au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie. Elle me fixe depuis un moment, elle provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle se lève, vient vers moi et me glisse à l'oreille - pendant qu'ils discutent, Venez, je veux vous montrer quelque chose ! Je me lève en m'excusant, et je la suis dans le couloir. Nous arrivons dans une remise, elle se retourne brusquement, se presse contre moi, se frotte et m'embrasse sur la bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. - J'ai vu votre regard ! J'ai envie ! et je sais que vous aussi ! Elle ferme la porte derrière moi, et me repousse à l'intérieur de la remise. Je me retourne vers elle, je vois la robe legere tomber a terre. elle se penche en soutenant ses seins qui prennent un relief impressionnant. - Vous êtes folle. - Ils discutent. Nous avons tout le temps ! elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living. - Oh c'est bon ! ... Merci ! | l'amour interdit (E) La réunion du patron et de ses associes se prolonge, Je regarde discrètement la secrétaire de direction qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté dévo ... |
![]() | dans l'arrière bureau- Louise, ils sont tous partis ! A peine achevé sa phrase le patron pris ma tête dans ses mains et posa un baiser sur mes lèvres. Surprise, je ne réagissais pas vraiment. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins contre lui. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. Pierre, mon patron, était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, il était seul comme moi, je le trouvais charmant. Je n'étais pas insensible à son corps et ce contact maintenant sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. - Monsieur, je crois qu'on est en train de faire des bêtises ! J'étais émoustillée. Je me laissais entrainer. Je me sentais plutôt instable et je l'ai senti m'aider à garder mon équilibre pendant que je réajustais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, puis, sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui - Monsieur ! Nous devons nous ressaisir ! Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après avoir serrée contre lui une si jolie femme. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Monsieur, J'ai si chaud ... je devrais déjà être partie ! Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Louise, Je m'arreterai dès que vous me le direz. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner, mais il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. - Monsieur ! Que faites vous ? Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. - Monsieur ! Il faut vous retirer ! - S'il vous plait, Louise ! j'ai juste besoin de me sentir en vous quelques instants... - Ce n'est pas bien ! ... Alors, oui ... mais juste un moment, - Oh oui ! ... comme çà ! .... juste un petit moment ! Mais il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, mais sans grande conviction - C'est vrai que c'est bon ! Mais il faut vous retirer maintenant J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. - Monsieur ! Je n'arrive plus à résister ! - Oh Oui Louise ! C'est si bon ! Ne résistez plus ! J'ai alors senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la journée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. - Louise ? ... Je crois que je viens ! Vous voulez vraiment que je me retire ? - Non ! Continuez ! C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. - Oh Monsieur ! ... Qu'avons nous fait ? - Louise ! C'est si bon ! Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. - Pierre ! ... Je suis remplie de ... Je suis trempée ...Ça coule partout ! Je restais affaissée là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... Il m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. Il m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - Louise ? je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, Pierre, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sur mes cuisses. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Pierre avait son sexe merveilleusement gluant pendant lamentablement en bas de son ventre. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me redresser, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Une fois renté chez moi, J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé, j'ai enfilé ma chemise de nuit, couvrant mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. Je repensais encore à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement et nos râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | dans l'arrière bureau (E) - Louise, ils sont tous partis ! A peine achevé sa phrase le patron pris ma tête dans ses mains et posa un baiser sur mes lèvres. Surprise, je ne réagissais pas vraiment. Ses bras m'ont entouré de manie ... |
![]() | Il m'avait installée sur le rebord de la bibliotequeApres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et presque aussitot, j'ai senti son sexe au contact du mien, j'étais affolée, mais tres receptive à la fois, j'ai alors senti son gland écarter ma vulve dejà trempée, il s'est doucement, mais puissement enfoncé en moi, en me fixant d'un regard intense, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est retiré doucement un moment, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir. Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête ... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Son sexe long et dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé, je sentais mes muscles se contracter. Il se planta une nouvelle fois dans mes entrailles, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations fortes dans tout mon corps, J'avais les yeux mouillés d'excitation et il continuait à coulisser en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait. J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait , j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé, il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe: je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, puis il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie | Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque (E) Apres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et ... |
![]() | chaude et mouilléeNos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous ma robe légère, la douceur de ses mains et le relief indecent de son desir qui se lève. Il défait nerveusement sa ceinture. Je suis chaude et mouillée d'excitation. Il s'affaire sur moi. Plaquée contre le mur, je n’offre désormais plus aucune résistance et suis même de plus en plus excitée. Mes mamelles gonflent, ma respiration est courte. Il me caresse un sein puis les deux, je guide sa main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je le sens comme une bête. La tension est si forte ! Sa main se glisse, explore, s'immisce. Ma peau est chaude, un peu moite. Il me caresse avec ardeur. Mes reins se creusent, je ferme les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, Je veux ce corps, je veux le sentir en moi, je veux qu'il me penetre, qu'il me fasse monter au ciel, s’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. D'une main habile, il s'invite entre mes cuisses et palpant mon entrejambe, il y prend en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main il caresse, de l'autre il pénètre mon insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, je suis au supplice. Humidité abondante, majestueuse. Envie qu'il se perde totalement entre mes lèvres ouvertes. Parfum de femme. Mon orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches. Il reprends ses carresses par des mouvements legers, puis de plus en plus precis. J'attrape sa bouche, je suçe ses levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Il s'agite sur moi, comme une bête. La tension est si forte ! Sa main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation. Il relève ma robe, ma combinaison de nylon, j'abaisse fiévreusement ma culotte en satin, il degraphe mon soutien-gorge. ecarte ma fine lingerie, il respire mon odeur. Je baisse son pantalon qui tombe. Il sort sa queue et glisse son gland sur ma fente, je me cambre et le temps d'écarter et de baisser completement ma fine culotte, je le sens s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glisse dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux bourses. J'ecarte mes cuisses, je m'offre à lui, guide son sexe entre mes lèvres intimes, ma vulve est glissante, moelleuse et profonde. Il s'enfonce ... il s'immisce .... Pénétration .... onctueuse. Il va et vient ... lentement, puissement, mes muqueuses l'aspirent, le palpent, le serrent. Il s'enfonce en en moi, me pénètre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement affolant. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il me serre, je le dévore. Il s’enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il se penche vers moi, je lui souris. Je perds pied. Il va et vient, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller. Il se donne, je le prends, ronronnements, feulements. Il se retire, laissant le vide. Je me débats, je le reprend. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement. Le sentir en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud. Mes jambes écartées pour mieux le recevoir, mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Il est ma flèche, fichée dans ma chair, mon corps est frémissant. Il remue en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de son corps, je me plie sans effort, Très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je sens qu’il est sur le point de non retour. Il accélere, il tremble et se fige au fond de moi. Il pousse un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sens qu’il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Il décharge en moi en salves successives. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c'est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaisse sur moi, épuisé. Je suis aussi épuisée que lui. | chaude et mouillée (E) Nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous ma robe ... |