![]() | rencontre (elle)J'étais appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui avait capté mon attention. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Je ne résistais pas, nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent passionnément. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues. Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange. | rencontre (elle) (E) J'étais appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui avait capté mon attention. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment éta ... |
![]() | rencontre (lui)Il y a ce salon immense. Tous ces gens que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la grande salle... Elle ... seule... splendide inconnue, enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards se télescopent...une impression physique. L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne au monde..., deux corps, deux désirs... Temps suspendu...Elle croise les jambes tres haut. Sa longue robe noire fendue laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art par deux épingles d'ivoire croisées. Son regard projette dans l'espace vide du salon, plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion...Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore... Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle releve encore plus sa jambe, dévoile sa splendide nudité ... Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens. Le premier, j'ose l'insensé ... Je l'embrasse ! ... Elle ferme les yeux, et prend mes lèvres, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire. Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou...Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps...le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ... sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir...Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Un peu plus loin, dans la lumière, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'affaisse sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés. | rencontre (lui) (E) Il y a ce salon immense. Tous ces gens que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la grande salle... Elle ... seule... splendide inconnue, enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la ... |
![]() | Allongée sur la moquetteAllongée sur la moquette épaisse de la grande salle, elle s'abandonne completement à l'ardeur de son amant d'un soir, moi. Je me frotte et glisse sur le corps feminin nu, je rampe entre ses cuisses. Mon énorme sexe bandé palpite sur son ventre. Elle gémit et mord sa lèvre inférieure en sentant l'enorme gland presser ses grandes levres, elle saisit mon mandrin et dirige le gland gonflé vers sa vulve. Ma grosse queue entre en elle, lentement, puissemment. Je commence à aller, dedans et dehors, enfonçant mon sexe massif un peu plus à chaque coup de reins. Elle soulève la tête, regardant vers son ventre, observant le va et vient de l'enorme mandrin dans son vagin. Cette vision l'excite violemment. Elle commence à se cambrer et à agiter sa croupe, poussant son vagin à la rencontre de mon énorme sexe qui commence à aller et venir plus vigoureusement, elle grimace. Je suis maintenant en entier dedans, jusqu'à mes bourses pleines. Je n'ai jamais eu la sensation de remplir autant le ventre d'une femme. Elle contracte sa vulve autour de cette rigidité énorme qui occupe tout son ventre. Je suis étendu, immobile sur elle pendant plusieurs secondes. J'écrase ses mamelles énormes sous mon torse. L'intensité de mon désir devenant encore plus fort, elle lève ses jambes aussi haut qu'elle le peut et les croise dans son dos pour me coller à elle. Puis elle commence à s'agiter et à me pomper comme une chienne en chaleur, pressant frénétiquement sa chatte serrée et humide avec la queue de moi, son vigoureux amant. Je me retire, me retire encore jusqu'à ce que seul mon énorme gland turgescent dilate encore les lèvres. Elle frissonne sous mon corps pendant que je replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de mon organe géant dans la fente trempée. Elle remue des hanches comme une assoiffée de sexe, les monticules énormes de sa poitrine rebondissant et tremblant pendant qu'elle projète son vagin sur le penis enorme de son amant. J'épouse le rythme de mon amante, claquant ma verge bien profondément, jusqu'a mes bourses. Elle enroule ses bras autour de mes épaules, m'étreignant fortement, haletante et gémissante. Je commence à la pistonner aussi fort que je le peux. Implacablement j'avance mes hanches entre ses cuisses, elle grogne pendant que j'enfonce mon pieu géant dans les profondeurs de son puit en fusion. Je sens chez elle la deuxième série de spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, ses muscles du vagin plus serrés que jamais sur mon sexe bandé. Elle explose dans l'orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de ma queue. Sans plus attendre, le deuxième chargement de sperme jaillit hors de moi. Je m'effondre sur elle, enfonçant mon membre à fond. Je me sens gicler et me répandre, inondant son intérieur profond, avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide. Elle relâche ses muscles épuisés autour de ma verge degoulinante, m'aidant à me vider complètement les couilles dans son ventre. | Allongée sur la moquette (E) Allongée sur la moquette épaisse de la grande salle, elle s'abandonne completement à l'ardeur de son amant d'un soir, moi. Je me frotte et glisse sur le corps feminin nu, je rampe entre ses cuisses. Mon énorme se ... |
![]() | indécenteAffalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Elle pose sa main sur mon appareil génital - Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Lentement, je lui caresse son ventre. Elle gémit. - Je suis chaude ! ... et ouverte ! Profites en ! Je promene mon gland sur sa vulve. Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. - Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ? Je commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris de jouissances. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux. Elle reste là, les cuisses écartées, béante. elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, | indécente (E) Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration ... |
![]() | Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu cependant de son orgueil et pend entre ses cuisses. Les jeunes filles courent dans la grande douche. Et tout en se lavant l'une l'autre, elles s'offrent baisers et caresses, les doigts pénétrant ici ou là... Elles ne cherchent pas la jouissance mais seulement à s'offrir du bon temps... Léa est heureuse de se retrouver entre ces deux filles qui n’ont pas loin de dix ans de moins qu'elle. Bien qu'hétéro, elle a souvent rêvé à des jeunes filles et voilà qu'elle en a deux, magnifiques de surcroit, à sa disposition et qui, en plus, semblent l'apprécier aussi. Sans trop attendre, elles reviennent vers le salon... Elles voient Zoé assise sur une chaise, jambes ouvertes, A côté d'elle, sur une autre chaise, Wilfried lui parle, un verre de champagne à la main, lui caressant de sa main libre sa cuisse, remontant haut jusqu'à sa vulve. Léa observe que sa virilité retrouve une certaine vigueur. On dirait qu'il essaie de l'apprivoiser mais la belle Zoé semble rester enfermée dans sa timidité... Sur le petit canapé, à côté, sont assis Madame Mathilde et Monsieur Léon, tous les deux un verre à la main et une assiette pleine sur les genoux. Debout, Marc, Luc, Christine et Catherine discutent... Les sexes de ces messieurs retrouvent aussi une certaine vigueur et sont à l'horizontale... Personne ne fait attention à elles trois. Sans attendre plus, Léa pose son assiette à côté d'elle, s'agenouille entre ses jambes et commence à lui offrir un cunni... Zoé est réceptive, elle se crispe. Léa aime son odeur, son goût... Elle introduit deux doigts dans le doux fourreau sans lâcher le clito qu'elle pince entre ses deux lèvres et titille avec le bout de la langue... Soudain, Zoé se lève et pousse Léa vers le canapé. Léa se rend alors compte qu’Eléonore et Anne ne sont plus là. Elle n'a pas le temps de voir où elles sont. Zoé la fait s'allonger et se met à côté d'elle, tête-bêche. Les voilà parties dans un prodigieux soixante-neuf. Même si c'est pour elle la première fois, elle sait s'y prendre Zoé. Et rapidement, elles jouissent toutes les deux... Quand elle se redresse, Léa voit que Eléonore est dans les bras de sa chère Mathilde, la tête en bas plongée entre les cuisses de son amie qui elle-même suce avec gourmandise son sexe... Plus loin, elle voit Wilfried assis sur une chaise, Anne sur ses genoux lui faisant face et ses mouvements ne laissent aucun doute : elle est empalée sur son vit. Couchée sur la moquette, Catherine se fait prendre par Marc et Christine par Luc... ou le contraire. Monsieur Léon semble somnoler sur son fauteuil en regardant le spectacle et en masturbant son sexe qui refuse de durcir. Ainsi se passe la soirée. Léa évite de recommencer l'expérience avec les hommes. Sauf avec Monsieur mais celui-ci ne lui demande rien. Elle passera encore dans les bras de Madame Mathilde qui n'attendait qu'elle... Alors qu'elle est assise sur la canapé, rejointe par Anne, Wilfried vient vers elles. - Il se fait tard et je pense qu'on a eu assez de jouissances pour ce soir, n'est-ce pas. Anne, vous raccompagnez Léa dans la chambre là-haut. - Oui, monsieur. Elles sortent donc discrètement. Léa regrette tout de même de ne pas avoir pu dire au revoir à Eléonore. Elles remontent l'escalier, toujours nues. Mais cette fois, Léa n'a aucune inquiétude. Ca l'amuserait même de croiser du monde. - Prend une douche et couche-toi. Je pense que Monsieur va te rejoindre. - Et toi ? - J'ai une chambre à côté. A demain. Bonne nuit. Léa se douche et se couche. Elle attend un peu inquiète la montée de Wilfried. Qu'est-ce qu'il va encore lui faire subir ? Mais épuisée, elle tombe dans une douce somnolence. Elle se réveille alors que Wilfried sort de la salle de bain. Il est nu. Il sent bon. Il se couche près d'elle et, avec beaucoup de tendresse, il l'attire vers lui, la prend dans ses bras et l'embrasse. Et une dernière fois pour la journée, ils font l'amour. Il est tard lorsque Léa se réveille. Wilfried est toujours là, allongé sur le dos, les mains derrière la tête. Il a les yeux ouverts et regarde au plafond perdu dans ses pensées. Elle se blottit contre lui attendant quelques caresses. Mais, à sa surprise, il la repousse un peu Il rejette les couvertures. Son sexe est en érection, allongé sur son ventre, épais, puissant, tout en désir. Léa ne peut s'empêcher de le regarder. Elle aurait envie de le prendre, le caresser, l'embrasser, l'avoir en elle. Elle sait le plaisir qu'il lui a offert hier soir et cette nuit. Elle sent son sexe s'humidifier de désir...Il se met par-dessus elle sans la toucher, redressé sur ses bras tendus et il la pénètre d'un coup. Et il commence ses mouvements de va et vient, rapides, violents. Il se masturbe en elle comme s'il cherchait à jouir à tout prix sans se soucier de son plaisir à elle. Rapidement il se cabre, se crispe, pousse un râle... Il jouit dans le sexe d'Anne. Il a à peine fini, qu'il se recouche sur le dos à côté de la jeune fille. Léa ose : - Vous pouvez me rendre ma robe ? Wilfried la fixe du regard, ne répond rien. Et il sort. Elles filent sous la douche. Pas le temps de s'offrir des caresses. Elles font vite, se sèchent et descendent, nues... Elles trouvent Wilfried dans la cuisine. Il est habillé d'un pantalon clair et d'une chemisette. Il se met entre elles deux et leur Léa regarde le garçon. Il est rouge comme une pivoine ! Mais ne dit rien, avalant sa salive. Partagé entre le désir de toucher ce corps et la honte de se retrouver dans cette situation. Il finit par avancer sa main, caresse rapidement un sein et recule. Léa s'amuse de voir le trouble du garçon et son inexpérience... Elle doit donner un léger coup de reins pour qu'il trouve son entrée dans laquelle il enfonce enfin brutalement son doigt comme s'il était aspiré à l'intérieur. Elle est certaine que c'est la première fois qu'il a ainsi une femme entre les bras. Il est certainement encore puceau. Mais la barre dure qu'elle sent contre sa cuisse lui dit le contraire. Wilfried s'est aussi aperçu de cette déformation de la braguette du malheureux garçon. Elle prend le garçon en l'agrippant par sa ceinture. Il veut s'échapper mais elle le tient solidement et il n'ose pas trop résister et faire violence à cette jolie femme nue. Sans attendre, elle déboutonne le haut du pantalon, descend le zip et fait descendre le vêtement à la moitié des cuisses. Le slip suit rapidement le même chemin. Le sexe raide, d'une taille et d'une épaisseur honorable, jaillit comme mu d'un ressort. Elle le prend à pleine main au milieu de la hampe. Elle aime ce contact. Elle le sent déjà palpiter, se gonfler. Elle comprend qu'il va très vite jouir. Elle glisse son autre main le long des fesses du garçon, la glisse entre ses cuisses, caresse légèrement le périnée et l'arrière des bourses bien pleines... Elle est surprise de voir toute cette partie ainsi que le pubis parfaitement rasés. Il n'est donc pas si innocent que cela ! Elle se colle à lui, son sexe contre le haut de la cuisse. Elle donne de rapides pressions sur le vit qui gonfle encore. Elle sent sous ses doigts les sphincters qui se serrent. Il veut retenir ce qui lui échappe. Il cherche encore à se reculer mais elle le tient fermement. Alors un premier jet jaillit, violent, lourd et va s'écraser contre le miroir. Il s'agrippe maladroitement à Léa, tous ses membres tremblent. Il se cache le visage de l'autre main en disant "J'ai honte, j'ai trop honte"... Un nouveau jet, tout aussi puissant. Elle accompagne maintenant la jouissance et les jets suivants de légers mouvements de va-et-vient... C'est fini. Elle dépose un baiser sur le cou. Le lâche, se met face à lui, l'enserre, prend ses fesses à pleines mains. Son sexe humide de désir contre le sexe de Cédric qui se relâche... Léa l'entend défaire son ceinturon, puis des froissements de vêtements. Et il grimpe sur le sommier, se glisse entre ses deux cuisses et la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde... Et il commence ses mouvements de va et vient... Elle sent à peine quand il jouit... Elle se rend compte que c'est fini quand il se soulève, se retire et redescend du lit. Elle l'entend se rhabiller. | (E) Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu ... |
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