![]() | J'étais figée, paralysée, hypnotiséeJ'étais déjà allongée dans le lit, et je le regardais, en train de se déshabiller devant moi, J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Il était impressionnant. Ce mâle puissant était déjà en pleine érection. Il bandait monstrueusement de manière quasi animale, à la limite de l'obscène. J'étais hypnotisée par son sexe énorme. Je sentais mon corps frissonner, et ma vulve se mouiller. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue. J'étais en chaleur, ma vulve mouillait tellement que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement prête. Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je ne pouvais détacher le regard de son entrejambe, son membre erigé m'attirait comme un papillon la lumière. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors pour me convaincre totalement, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. - Touche ! Sens ! regarde comme mes bourses sont pleines! - Mon sperme est tout chaud et prêt à gicler dans ton ventre. Il m'excitait terriblement et je commençais à caresser son sexe. Il semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus droit. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons de volupté. il m'excitait terriblement. Doucement, il se pencha vers moi. Je pris son visage entre mes mains. Je le regardais droit dans les yeux. Je senti son souffle, j’entrouvris mes lèvres, sa bouche se posa sur la mienne, s'y appuya, l'ecrasa. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. mon corps entier frémissait d'une envie irrésistible de son corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda dans les yeux, je relevai ma chemise de nuit, exposant mes seins, mon ventre.. mon sexe. Je sentis alors sa bouche sur ma poitrine, sa langue taquiner mon mamelon. Je me cambrai, Il ouvrit la bouche et engloutit mon sein. Sa langue continuait un mouvement circulaire, excitant ma pointe. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Il laissa mon sein, se releva légèrementJe sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je l'attirai sur le lit. Je fermai les yeux. Sa main descendit, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de mon sexe. D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe enorme était devant moi. Son gland, rouge vif, était luisant. Je fermais les yeux, Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, sa queue glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément.. Sans m’en rendre compte mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses, et caressait ses bourses Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider dans ses va et viens. Il accéléra soudain Je savais qu’il arrivait au point de non retour. Il doubla ses coups de boutoir. Soudain, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque, et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence . Il tomba sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. | J'étais figée, paralysée, hypnotisée (E) J'étais déjà allongée dans le lit, et je le regardais, en train de se déshabiller devant moi, J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Il était impressionnant. Ce mâle ... |
![]() | Je ne sais rien d’elleJe ne sais rien d’elle. Nous sommes maintenant seuls dans la chambre, collés l'un à l'autre. Mes mains glissent sur son corset, avant de rencontrer la douceur de son dos nu. Elle a passé ses deux bras autour de mon cou et collé son corps au mien. Ses seins fermes et rebondis sous un décolleté vertigineux se pressent contre ma poitrine Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre ma main joue avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou me concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains me caresser le dos à travers ma veste, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir. ma main caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque mes doigts effleurent ses lèvres intimes, je caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous mes doigts Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, Ma main est maintenant complètement collée à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée. Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. comprends qu’elle est proche de l’orgasme et concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et ma main recommence instantanément son manège. Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains glissent de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme. Croyant en avoir terminé, je tente de me retirer, mais elle me retient avec délicatesse. Nous restons comme ça une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par me libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en moi, plus fort que jamais. Découvrant sans surprise l’érection qui déforme mon pantalon, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque je me penche sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui me saisi de nouveau la tête et attire doucement mon visage vers le sien. Notre baiser est tendre et passionné, et tandis que ma langue s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage du mien, elle me murmure : - Fais-moi l’amour. Là. Maintenant. Ces mots sonnent dans mon esprit autant comme un ordre que comme une autorisation. Je me presse sur elle, mes vêtements frottants contre sa peau humide. Je l’embrasse à nouveau, avec fougue cette fois, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche, telle une future pénétration, ses mains glissent de mes cheveux à mon dos, puis à mes fesses et ses cuisses se relèvent légèrement autour de mon bassin, de telle sorte que mon sexe, tendu dans mon caleçon, effleure le sien à chacun de nos mouvements. Elle écarte presque violemment les deux pans de ma veste et ses deux mains caressent longuement mon torse dénudé sous la chemise avant de la faire glisser le long de mes bras et de l’envoyer voler à travers la pièce. A demi-nu, je reprends appui sur le mur et me penche sur elle pour l’embrasser. Son bassin frotte contre le mien, mon sexe plus dur que jamais. Visiblement impatiente, elle m’abaisse mon pantalon jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds. Me voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de mes cuisses et se glissent sous l’élastique, explorant un court instant l’intérieur de mon caleçon avant de l’abaisser lui aussi, libérant mon sexe en érection qui se dresse maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées. Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle. Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc, mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur. Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps, puis je commence un lent mouvement de va et vient. Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir. Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme. Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien. Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité. Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi, mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable. Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent, je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme. Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants. Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine. La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse, je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde. Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir, je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée, nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions… | Je ne sais rien d’elle (E) Je ne sais rien d’elle. Nous sommes maintenant seuls dans la chambre, collés l'un à l'autre. Mes mains glissent sur son corset, avant de rencontrer la douceur de son dos nu. Elle a passé ses deux bras autour de mo ... |
![]() | premiere experienceLa porte s'ouvre enfin sur le visage et le corps de la belle Marthe. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle porte un soutien-gorge de dentelles noirs laissant deviner des seins laiteux, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, tête inclinée, elle s'approche de moi et me demande la raison de ma visite - Qui t'a parlé de moi ? - Tu es bien jeune - Qu'est-ce que tu aimerais savoir ? J'étais curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux et l'on m'avait dit que Mme Granger saurait m'expliquer tout ca. J'interrogeais donc Marthe sur les femmes, l'amour, le désir. Je voulais apprendre, savoir, découvrir comment nait le désir. Elle me fit asseoir et, touchée par ce geste de confiance, elle commenca a m'expliquer, par les mots d'abord. - Tu me trouves belle et attirante ? ... c'est bien, tu es sensible au charme d'une belle femme ! - Tu veux vraiment savoir comment nait le désir d'une femme ? J'étais assis à ses coté et je bandais, sans complexe et elle en était la cause. Je m'inquiétais de ce qui se passait dans mon corps, elle a alors tenté de m'expliquer - le contact de nos corps, ce que tu ressens en te serrant contre moi, c'est tout cela déclenche les transformations de ton corps, c'est tout cela qui déclenche le désir les bretelles étaient tombées sur ses bras, et laissaient sa gorge à une faible distance de mes lèvres. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Elle a posé ses lèvres sur mon cou, puis sur mes joues, puis à la naissance de mes lèvres. Elle m'affolait litteralement. Je découvrais le désir avec elle, avec son corps. - donne moi tes lèvres ! Elle a alors posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Puis nous nous sommes embrassé de manière plus appuyée. Elle a introduit doucement sa langue entre mes lèvres. J'ai introduis la mienne, je m'abandonnais à son baiser. Ma main au bas de son dos retroussait inconsciement le bord de son corsage. Elle se serrait un peu plus contre moi. - Tu comprends maintenant comment vient le désir entre un homme et une femme ! - j'ai envie d'apprendre avec vous ... lui demandai-je discretement Elle m'emmena alors dans sa chambre. Le visage empourpré, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, puis posait ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, je me laissai faire, passif. - Je suis la première ? me demanda-t'elle J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché chez moi une passion nouvelle. Elle dénoua alors sa legere nuisette de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin. Elle posa sa main sur ma verge gonflée pour l'évaluer avec émotion. - Tu vas me faire l'amour ! Viens contre moi ! Puis, me fixant, ses yeux humides dans les miens, elle dirigea alors mon sexe vers ses lèvres intimes et glissantes. - Viens contre moi ! ... Je te guide ... Voilà tu y es ! ... Tu sens comme ca glisse ? Je me sentis litteralement absorbé dans ses chairs chaudes, mon sexe dur se gonflait de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobait et m'aspirait, s'échauffait, et s'agitait au rythme des palpitations de son corps. Je plongeai en elle, la pénètrai plus profondément, elle resserra et desserra l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud - Eh bien, tu n'as pas perdu de temps ! Tu as été trop vite ! - Il va falloir t'apprendre à prendre son temps ! - Tu reviens demain ? | premiere experience (E) La porte s'ouvre enfin sur le visage et le corps de la belle Marthe. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle porte un soutien-gorge de dentelles noirs laissant deviner des seins laiteux, toute cette chair ronde et blan ... |
![]() | esquisseElle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis le creux de ses reins avant de redescendre le long de ses jambes finement galbées. Je passai un doigt d’ébène dans ses longs cheveux ondulés, avant de me noyer dans le bleu profond de son regard tourmenté. Je frôlai ses joues, comme essuyant une larme imaginaire, puis déposai sur ses lèvres un rouge vermeil qu’elle me renverrait en baiser. Ma main revela ensuite les contours gracieux de ses seins, ornant de rose et de brun les dunes satinées de sa poitrine tendue puis j'effleurais les plis discrets d’un souffle de hâle tout en voilant de gris le nid discret au creux de ses cuisses, m’imaginant les entrouvrir avant de m’y glisser et d’y mourir. Elle me regarda d’un sourire malicieux qui me mit bien plus mal à l’aise qu’une quelconque réprimande. Elle reprit ensuite la pose dans un immobilisme statuesque. Je terminai alors consciencieusement d’orner ses longues jambes de mille reflets roses puis achevai mon travail par les nombreux détours de ses pieds fragiles. Elle était toujours nue, allongée devant moi, mais je n’osais même plus la regarder. Pourtant, lorsque je relevai enfin les yeux, elle souriait. Puis, à ma grande surprise, elle approcha ses lèvres des miennes et y glissa un furtif baiser avant de me chuchoter dans le creux de l’oreille : - vous devriez apprendre à maîtriser vos émotions ! Son sourire s’agrandit encore un peu plus. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras. De serrer son corps nu contre le mien et de l’embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme. Elle s’aperçut de mon trouble, me fit un leger baiser sur la joue, sans détacher son regard du mien, Elle laissa glisser sa robe sur le sol, lentement, pleinement consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Elle alla ensuite s’étendre sur le sofa et prit la pause. je me sentais encore plus nu qu’elle. Elle resta immobile, en attente; Retenant le frisson qui menaçait mon corps, contrôlant la faiblesse qui s’emparait de mes jambes, j’écartai le canevas. Tout en me dirigeant vers elle, je guettai ses réactions, craignant un recul; elle n’en fit rien. Tendant ma main vers elle, j’effleurai son cou; ce qui lui fit à nouveau fermer les yeux. Doucement, j’attirai son corps contre le mien, sa chaleur affectant mes sens de plus en plus . Je decidai de la peindre en utilisant son corps comme toile, mes mains et ma bouche pour pinceaux. De ses mains douces, elle me devetit dans un geste sensuel rempli d’anticipation et de hâte. La tête me tournait légèrement, et je ne résistais pas aux impulsions qui me traversaient…. je l’entraînai doucement vers la moquette douce. Elle était maintenant allongée, en attente, un fruit prêt à être savouré. Je la regardais droit dans les yeux, toujours craintif de l’entendre me dire non …. mais elle était autant sous l’emprise du moment que moi. Je l’embrassai longuement, langoureusement, ma langue sondant la sienne, tout d’abord doucement puis dans un crescendo d’intensité enivrant. Je laissai ensuite mes lèvres suivre les contours de son cou; Sa peau était plus douce que la soie, et sa chaleur me la rendait que plus excitante. je continuais l’exploration de son corps voluptueux, parcourant ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur. ce fût ma main qui se mît à explorer les parois de son sexe, mes doigts glissant à répétitions sur ses levres humides. Chaque soubresaut de son corps sous mes caresses devenait un encouragement à aller encore un peu plus loin. Je jouais doucement , de mes doigts, de son bouton de plaisir gonflé à souhait… Je me délectais de la douce odeur de son sexe, de sa moîteur. Une lueur de malice dans les yeux, elle reçu mon baiser. Féline, sensuelle, elle se replia sur elle même, en parcourant mon corps avec sa langue et ses mains. Mes sens envahis de toute part ne pouvaient plus que succomber. Puis elle s’arrêta, mon corps allongé sur le sien, elle me fit voir le plus beau des regards; plein d’attente, de désir ... je me déplaçai doucement vers ses jambes, les embrassant doucement, presqu’en frôlement, remontant ses cuisses. Le bruit de plus en plus saccadé de sa respiration, les tortillements de plaisir de son corps, ses gémissements s’intensifiaient. Je glissai ma langue à nouveau sur ses seins, suçant doucement ses mamelons durs et droits, puis les caressant de mes mains….. Déposant mes lèvres contre les siennes, ma langue contre la sienne, je sû qu’il était temps…. Mon sexe bandé chercha doucement et naturellement la voie de ses lèvres intimes … les effleura ... puis les pénétra doucement, sous un gémissement approbateur. Lentement, mon sexe glissa en elle, et je goûtai pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude …. Son ventre me paraissait immense et insondable, Elle était comme extasiée, les jambes écartelées. Elle frissonnait doucement. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fit réagir … Quand la jouissance vint, je crû un moment que je perdais la tête en même temps que ma sève chaude s’écoulait dans son jardin secret… nos corps étaient simultanéments pris de secousses convulsives. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, assouvis. Tout ce que je voulais, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. au bout d,un moment, elle se releva, me regardant du regard le plus beau, le plus clair qu’elle pouvait, et se rhabilla en silence, elle vint déposer un furtif baiser sur mes lèvres, puis, sans même se retourner, franchit la porte de mon studio…. Plus jamais je n’ai travaillé dans ce studio sans revoir son image, son corps nu et ses formes de panthère, mais plus jamais je n’ai fait l’amour avec un de mes modèles; ça n’aurait été que tenter de retrouver un paradis perdu, un rêve terminé… | esquisse (E) Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps q ... |
![]() | toute premiere foisIl semblait timide et hesitant, il a avait fini par m'avouer "J'ai envie ... " J'avais compris, je l'avais alors pris par la main et je l'avais emmené dans une chambre que je loue dans ce petit hotel. Il avait le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, il se laissa faire, passif. - Je suis la première ? lui demandai-je Il acquiesça, comme si cet aveu avait déclenché chez lui une passion nouvelle. Je me penchai alors sur lui, m'emparai de sa bouche pour l'embrasser de maniere plus sensuelle, mélangeant nos langues et nos salives. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant mon doux baiser, je le regardai dans les yeux : - Tu me trouves belle ? ... Tu n'es pas mal non plus ! - Tu veux toujours ? Tu veux que nous allions plus loin ? Je dénouai alors ma legere nuisette de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Je pris mes deux seins en main que je palpai devant lui. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion. - Tu es bien mur ! ... Tu a envie de faire l'amour ? - Donne moi tes lèvres ! .... Elles sont chaudes - Tu vas voir, Nous allons nous faire du bien tous les deux ! ... Viens contre moi ! Puis, le fixant, je me suis allongé sur le lit, j'ai écarté mes jambes, je lui ai demandé de venir sur moi - Viens ! et je l'ai guidé vers moi. C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Sans attendre, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. - Tu sens ? Comme c'est chaud ! Et comme ca glisse bien ! Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. Puis il s'accrocha à mon cou, je pris ses lèvres, nos langues se caressèrent avec passion, alors que mes seins frottaient sa poitrine. Il semblait au paradis. Sa langue dans ma bouche, son sexe bien au fond de mon ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Il me baisait de plus en plus passionement. Subitement je sentis le plaisir monter en lui, il poussa un cri rauque, se crispa et de longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui le ravageait et excitait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. Au bout de quelques minutes, je lui passai tendrement ma main dans les cheveux. - Ca t'as fait du bien ? ... Moi aussi tu sais ! - Tu veux revenir demain ? | toute premiere fois (E) Il semblait timide et hesitant, il a avait fini par m'avouer "J'ai envie ... " J'avais compris, je l'avais alors pris par la main et je l'avais emmené dans une chambre que je loue dans ce petit hotel. Il avait le visage emp ... |
![]() | LucieJulien aime bien mon corps. Il vient satisfaire maintenant tous les mardis ses besoins amoureux. Cet après-midi là, il me rejoint dans ma chambre. Je l'attends, assise sur mon lit, dans une legere chemise de nuit de satin creme, ouvert sur mes belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Il me trouve delicieusement potelée, il aime mes belles poitrines qui ont des mouvements erratiques qui semblent l'exciter beaucoup, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Je regarde Julien affectueusement avec ses deux grands yeux bleus. - Tu viens mon chéri ? lui dis-je en le fixant avec un sourire gourmand. Je saisis sa main pour la plonger entre mes cuisses - Tu sens ? ... je suis toute prête ! Je commence à lui deboutonner sa chemise, et à ouvrir son pantalon. Julien me saisit alors et m’embrasse à pleine bouche. Nos corps sont maintenant quasiment nus, l'un contre l'autre. Je ferme les yeux, je m’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte son gland contre ma vulve et il me pénètre d’un coup, avec un interminable Aaaaaah. mon ventre est tout chaud. Je l’enserre, le presse. Je me cambre jusqu’à la rupture, m’offrant corps et âme. - Lucie, ma douce me lance-t'il affectueusement - Nicolas, Nicolas, mon chéri ! Pas trop vite ! Que nous puissions jouir ensemble ! Mon intérieur est si humide qu'il touche le fond à chacun de ses va-et-vient. Je m’offre sans retenue. la sensation de son sexe qui travaille dans mes chairs, annoncent une jouissance proche, trop proche. - Prends ton temps, mon chéri, tu dois faire monter le désir ... dans ton corps ... et dans le mien ! Julien me pénètre plus lentement, je lui reponds par un long soupir de plaisir, je le regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder son explosion qui guette. Il coulisse en moi avec retenue, se retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée de mes lèvres, pour mieux goûter au plaisir de me pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de mes entrailles. Je vois ses yeux bleus s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - C'est bien mon chou ! continue ! Tu me fais ça si bien ! - Tu sens mes petites contactions ? Tu es bien bans mon ventre ? Je te sens bien tu sais ! - Occupe toi de mes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. Palpe les ... je sens que ca t'excite ! La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. J'ondule de la croupe, écrasant son sexe sur mes seins, les lubrifiant de mes fluides. - Oh ! Je vais jouir, lui dis-je, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Mon apparent désarroi décuple son excitation. Sa gorge se contracte, il a le souffle de plus en plus court. Il se met à me besogner vigoureusement, il se déchaîne sans ménagements tandis que je me mets à crier de plus en plus. je me redresse, à moitié accroupie, me met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de mon sexe, puis un long jet vient s’écouler sur mes doigts et mon avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. - Oh Lucie ! Je crois que je viens ! Il n'en faut pas plus pour que ce prodigieux spectacle déclenche chez lui une jouissance instantanée. Il n'en peux plus. Il se plante au fond de moi ... Il se raidit, se crispe ... et ... il se vide dans mon ventre en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui me remplissent. Il y en a plein le lit - Eh bien bravo mon Lou ! Qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y en avait des litres ! Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. Il a sa tête posée entre mes cuisses gluantes. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | Lucie (E) Julien aime bien mon corps. Il vient satisfaire maintenant tous les mardis ses besoins amoureux. Cet après-midi là, il me rejoint dans ma chambre. Je l'attends, assise sur mon lit, dans une legere chemise de nuit de satin crem ... |
![]() | le diable au corpsMadeleine travaillait pour son compte dans un appartement cossu du 16e. Elle m'accueillit avec une certaine tendresse tous en s'étonnant de mon relatif jeune age. Sa chevelure dénouée, ma relative timidité lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou. J'en profitais pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, je me penchais sur elle pour regarder son visage de feu. je posais mes lèvres contre les siennes. Elle ferma les yeux. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, mais en réalité c’était elle qui avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. - Tu es un enfant. Je suis trop vieille pour toi ! - Ne me tente pas ! Tu vois bien que j'ai envie de toi. J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je tâtai son corps. Il était brûlant. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe. Un second baiser, moins chaste, déclencha la rencontre de nos deux corps fiévreux - Julien, Tu me provoques ! Elle semblait soucieuse par ce qui était en train de se passer entre nous. Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de sa chambre. J'avais relevé sa combinaison. Je bandais de manière indécente contre elle, lui faisant sentir la réalité de mes envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Ma main se glissait au bas de son dos, remontait encore le bord de sa lingerie, je la serrais contre moi. Je ne parvenais plus à m'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, je cherchais sa bouche, mes mains, malgré moi, l'exploraient, je l'entendis finalement me murmurer à l'oreille: - Viens ! Ravi de partager avec elle l'expérience d'une aventure amoureuse, je m'excitais sur son corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, elle s'empara de mon sexe gonflé, le massait, sensuellement, puis elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante. C'était un signal explicite. Il n'en fallait pas plus pour que je m'enfonce d'un coup en elle, plantant ma verge bandée à l'extrême dans les profondeurs d'un cocon onctueux. Je m'enfonçais en elle, puissamment, profondément, je glissais dans son ventre avec une jouissance qu'elle semblait partager avec moi. Loin de me repousser, elle m'aspirait instinctivement de ses muscles intimes, me pressait, je ressortais, la pénétrais encore plus profondément. Je l’entendais gémir et cela ne faisait que m'exciter davantage. Elle m'aidait dans mes va et viens. Je sentais mon gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve. Elle semblait totalement réceptive - Julien ! Tu est arrivé à bout de mes résistances ! Continuons ! C'est si bon ! Planant sur un puissant nuage érotique, je ne l'écoutais déjà plus, je m'affairais sur son corps, fasciné par ses gros seins, tremblant doucement devant mes yeux. Je me laissai alors emporter par ma fougue d'adolescent. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs de son vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir que je lui dispensais, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance monter rapidement en moi. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonnait entre ses lèvres trempées: - Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… Oh Julien ! De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, m'éclaboussant le bas-ventre et les bourses. Ivre de plaisir, encouragé par ses exhortations érotiques, je m'activai de plus belle dans son ventre désormais totalement investi, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardais pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Elle m'enserra encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de mon vagin affamé. - Julien ! ... Oh Julien ! Alors tel un cheval pressé, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins. Je frémissais dans son ventre ... j'accélerais encore, très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter au fond d'elle. Je me mis à trembler, me figer, me crisper, pousser un cri rauque, me cabrer en plissant les yeux, vibrer de tous mes membres et dans un long râle, me lâcher. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je défaillais. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse je giclais dans son vagin tuméfié, une éjaculation puissante, irrésistible, dans un grognement animal, déversant mon sperme de jeune amant au plus profond de son sexe ravagé. c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau. Elle se laissa à son tour emportée par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa. Je la regardais jouir et lui envoya une dernière giclée, je me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond de son ventre, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Je la laissais pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant, moi aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, elle fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit: - Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'as comblé de toi ! Qu'allons nous faire maintenant ? Elle se pencha alors sur son jeune amant pour m'embrasser tendrement… - J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut que je parte Nous étions désormais amants ! | le diable au corps (E) Madeleine travaillait pour son compte dans un appartement cossu du 16e. Elle m'accueillit avec une certaine tendresse tous en s'étonnant de mon relatif jeune age. Sa chevelure dénouée, ma relative timidité lui &e ... |
![]() | un air subtilement parfuméElle m'a installé sur le grand lit puis s'est absentée un instant. Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud un air subtilement parfumé. Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. puis le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents. Le parfum est discret, entêtant. Des levres humides parcourent ma peau. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens une poitrine chaude et souple s'affaisser sur ma peau. Je caresse des cheveux, un visage, essayant de deviner des traits familiers Je saisis des chairs douces à pleines mains. La sensation est intense. La respiration s'accélere. je sens des lèvres chaudes s'ouvrir sur mon gland mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Cette femme me pousse à bout Je suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus. | un air subtilement parfumé (E) Elle m'a installé sur le grand lit puis s'est absentée un instant. Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud un air subtilement parfumé. Je n'entends plus rien. Le silence dure une éterni ... |
![]() | Un bruit feutréUn bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un silence. Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre. je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité. le contact d'une main. Je tressaille. l'autre main sur mon ventre. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents. mon pyjama qui glisse furtivement vers le bas. Je sens venir sur moi un corps de femme. Ses jambes nues qui s'enroulent autour de mes cuisses. | Un bruit feutré (E) Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un silence. Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre. je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité. le c ... |
![]() | secretions amoureusesNous sommes restés immobiles de longues minutes. Mon sexe palpitait encore dans son ventre déclenchant en elle quelques spasmes. Elle continuait à coulisser sur moi, un peu, s'extrayait, puis revenait, doucement. Je fermais les yeux pour mieux goûter ces délicieux mouvements de va et viens, puis les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un léger bruit de succion. Mon sexe glissait en elle et gonflait en meme temps, occupant son espace tout entier. - Tu es bien ? me souffla-t'elle à l'oreille. J'acquescai. Elle repris alors ses lents mouvements, s'empalant onctueusement sur mon sexe, lui redonnant de la vigueur. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle s'empala plus profondément, fut prise de vertige et ferma les yeux un instant. La transpiration perlait entre ses seins, nous poursuivions nos mouvements. Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. Je saisis ses épaules, elle augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, elle poursuivait sa chevauchée. Elle jouissait ! La pensée de mon enorme sexe dans le sien lui fit perdre toute retenue. - Baise moi ! Lâche toi ! Jouis ! Maintenant ! - Ne te retiens plus ! Vas-y, Je m'arrêtai net, crispant mon regard. Je me mis à jouir moi aussi Mon corps vibre et se tend ! Ma sève humide se repend dans sa chair en vagues chaudes et c'est bon ! Je sentais un flot la remplir, l'inondant d'une douce chaleur, - Oui ! Je te sens ! je te reçois ! - Donne moi tout de toi ! Inonde moi de toi ! elle gémissait de bonheur. Elle m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin elle s'affaissa sur mon corps avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conservait dans ma chair mon sexe emprisonné. | secretions amoureuses (E) Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Mon sexe palpitait encore dans son ventre déclenchant en elle quelques spasmes. Elle continuait à coulisser sur moi, un peu, s'extrayait, puis revenait, doucement. Je fer ... |
![]() | j'étais dans ma chambreJ’étais dans ma chambre, en chemise de nuit, prête à recevoir Julien. Lorsqu'il est entré, je l'ai sans attendre attiré dans mes bras sa tête. - Je suis contente de te voir Julien ! Viens vite m'embrasser ! Il sentait que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. Je devinais déjà un relief explicite pointer au travers de son pantalon - j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille - C'est vrai mon chéri ? Cela me fait plaisir ! Je sentais sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. - Tu sais ... Moi aussi, j'ai envie de toi ! Il a posé ses lèvres sur les miennes. Nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma nuisette. Il me serrait contre lui. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits. - Viens mon chéri, viens dans mon lit ! Nous allons nous aimer ! Son jeune corps m'attirait. je l’emmenais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui. - Viens sur moi.. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. - Tu es bien mon chéri ? ... Moi, je suis bien avec toi ! - Enfonce-toi bien ! Que je te sente bien ! - Prends mes seins ! ils ont besoin de tes mains, de tes lèvres ! Bien calé en moi, Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes mamelles devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. .... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme, puis de plusieurs. - Oh oui, mon chéri ... Tu me fais jouir ! Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Ça va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front - Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon ! Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. - Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant .. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, libérant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous étions arrivés ensemble à l'orgasme. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuelle ment, nous enlaçant à nouveau. | j'étais dans ma chambre (E) J’étais dans ma chambre, en chemise de nuit, prête à recevoir Julien. Lorsqu'il est entré, je l'ai sans attendre attiré dans mes bras sa tête. - Je suis contente de te voir Julien ! Viens v ... |
![]() | J'étais en train de me déshabillerJ'étais en train de me déshabiller après lui avoir demandé de faire de même. J'étais fasciné par cet homme puissant que j'avais fait monter dans la chambre. Je découvrais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, en particulier, par son sexe énorme qui venait de jaillir, droit, de son pantalon, comme un pantin jaillissant de sa boite. Il était en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage, puis il pris ma main et l'amena directement sur son sexe outrageusement bandé. - Touche ! ... Tu sens ? ... mes bourses sont pleines ! - Mon sperme est tout chaud et prêt à gicler dans ton ventre. J'étais litteralement figée, sa verge et ses bourses glissant dans ma main moite. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Je ne résistais pas, nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent passionnément. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues. Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange. | J'étais en train de me déshabiller (E) J'étais en train de me déshabiller après lui avoir demandé de faire de même. J'étais fasciné par cet homme puissant que j'avais fait monter dans la chambre. Je découvrais son corps. Cet ... |
![]() | dans un appartement cossu du 16eMarthe travaillait pour son compte dans un appartement cossu du 16e. Elle m'accueillit avec une certaine tendresse tous en s'étonnant de mon relatif jeune age. Sa chevelure dénouée, ma relative timidité lui était prétexte, pour m'accueillir en mettant tendrement ses bras autour de mon cou. J'en profitais pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, je me penchais sur elle pour regarder son visage de feu. Irresistiblement attiré, je me surpris à poser mes lèvres contre les siennes. Elle ferma les yeux. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, mais en réalité c’était elle qui avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. - Julien, tu es un enfant. Je suis trop vieille pour toi ! Je ne l'écoutais pas. Je tâtai son corps. Il était brûlant. J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe. Un second baiser, moins chaste, déclencha le rapprochement de nos deux corps fiévreux - Ne me tentes pas Julien ! Tu vois bien que j'ai envie de toi, et tu en profites ! Elle semblait soucieuse par ce qui était en train de se passer entre nous. Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de sa chambre. J'avais relevé sa combinaison. Je bandais de manière indécente contre elle, lui faisant sentir la réalité de mes envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Ma main se glissait au bas de son dos, remontait encore le bord de sa lingerie, je la serrais contre moi. Je ne parvenais plus à m'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, je cherchais sa bouche, mes mains, malgré moi, l'exploraient, je l'entendis finalement me murmurer à l'oreille: - Tu me provoques ! Ce n'est pas bien mais... tant pis pour moi ! Puis, me regardant intensement dans les yeux elle ceda: - Viens ! Elle me fit allonger contre elle sur son lit, me prit dans les bras et m'embrassa longuement sur la bouche. Ravi de partager avec elle l'expérience d'une aventure amoureuse avec une femme mure, je m'excitais sur son corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, elle s'empara de mon sexe gonflé, le massait, sensuellement, puis elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante. Il n'en fallait pas plus pour que je m'enfonce d'un coup en elle, plantant ma verge bandée à l'extrême dans les profondeurs d'un cocon onctueux. Je m'enfonçais en elle, puissamment, profondément, je glissais dans son ventre avec une jouissance qu'elle semblait partager avec moi. Loin de me repousser, elle m'aspirait instinctivement de ses muscles intimes, me pressait, je ressortais, la pénétrais encore plus profondément. Je l’entendais gémir et cela ne faisait que m'exciter davantage. Elle m'aidait dans mes va et viens. Je sentais mon gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve. Elle semblait totalement réceptive - Julien ! Tu est arrivé à bout de mes résistances ! Tu me fais du bien ! Enfonce toi bien au fond ! Planant sur un puissant nuage érotique, je ne l'écoutais déjà plus, je m'affairais sur son corps, fasciné par ses gros seins, tremblant doucement devant mes yeux. Je me laissai alors emporter par ma fougue d'adolescent. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs de son vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir que je lui dispensais, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance monter rapidement en moi. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonnait entre ses lèvres trempées: - Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… Oh Julien ! De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, m'éclaboussant le bas-ventre et les bourses. Ivre de plaisir, encouragé par ses exhortations érotiques, je m'activai de plus belle dans son ventre désormais totalement investi, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardais pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Elle m'enserra encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de mon vagin affamé. - Julien ! ... Oh Julien ! Alors tel un cheval pressé, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins. Je frémissais dans son ventre ... j'accélerais encore, très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter au fond d'elle. Je me mis à trembler, me figer, me crisper, pousser un cri rauque, me cabrer en plissant les yeux, vibrer de tous mes membres et dans un long râle, me lâcher. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je défaillais. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse je giclais dans son vagin tuméfié, une éjaculation puissante, irrésistible, dans un grognement animal, déversant mon sperme de jeune amant au plus profond de son sexe ravagé. c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau. Elle se laissa à son tour emportée par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa. Je la regardais jouir et lui envoya une dernière giclée, je me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond de son ventre, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Je la laissais pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant, moi aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, elle fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit: - Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'as comblé de toi ! Qu'allons nous faire maintenant ? Elle se pencha alors sur son jeune amant pour m'embrasser tendrement… - J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut que je parte J'étais desormais le jeune amant d'une femme mure ! J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire tous les mardi mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine me paraît énorme. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. - Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un sourire gourmand. - Viens, contre moi, nous allons faire l’amour. Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Sens ! je suis toute prête pour toi ! Ce soir, c’est notre soir. Je l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre, son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. - Lucie, vous êtes si douce ! - C'est bien, mon chéri ! Tu me fais l'amour à merveille ! Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oh Lucie, J'aime vos seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. - Fais moi jouir, me demanda-t-elle, et jouis avec moi ! Son ton décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée. - Oh Lucie ! ... Je viens ! ... Aaahhh ! - Oui mon chéri ! Donne moi ton sperme ! Vite ! Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'uns contre l'autre sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé ses jambes. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | dans un appartement cossu du 16e (E) Marthe travaillait pour son compte dans un appartement cossu du 16e. Elle m'accueillit avec une certaine tendresse tous en s'étonnant de mon relatif jeune age. Sa chevelure dénouée, ma relative timidité lui &eacu ... |
![]() | douce MartheMarthe disposait d'un petit appartement cossu dans le 5e arrondissement dans lequel elle recevait ses clients, triés sur le volet. Elle portait ses cinquante-cinq ans avec beaucoup de grâce. Avec ses yeux d’un bleu intense et ses cheveux bouclés, courts et blancs, elle charmait beaucoup d'hommes de la bonne société. Elle ne s’habillait que de fines lingeries de soie rose ou blanche. Du velours en hiver et de la soie en été. Je suis tombé sous son charme dès le debut et elle me réservait de doux moments d'intimité qui me comblaient. Je savais qu'elle avait besoin de ma jeunesse et de mon ardeur pour compenser les déceptions qu'elle pouvait ressentir par ailleurs. Marthe n’était pas seulement élégante, elle était aussi très sensuelle dans sa façon de parler, de bouger, de me regarder dans les yeux. Ses caresses étaient toujours tendres et enveloppantes, mais elle espérait encore davantage de nos rencontres. Elle se sentait pleine de gourmandise pour moi et souhaitait me voir devenir plus audacieux. Elle craignait que je la ménage comme si, étant plus âgée, je la jugeais trop fragile. Jusqu’à présent, elle m'avait reçu en déshabillé de satin rose, mais elle voulait mettre ses formes en valeur et décida pour cela de choisir avec moi une nouvelle lingerie. Elle ouvrit ses tiroirs d'ou sortirent de délicieux dessous, soutiens-gorge à balconnets, combinaisons et culottes de soie, le tout dans des tons chaleureux. Après avoir essayé devant moi plusieurs ensembles, elle me demanda mon avis, j'arrêtai mon choix sur un déshabillé, d’un mauve soutenu qui contrastait sans violence avec la blancheur de sa peau, elle enfila ses nouveaux dessous et m'embrassa affectueusement. - Et maintenant mon doux chéri, viens ! allons vite dans ma chambre nous faire des douceurs ! Isolés enfin dans son alcôve, nous avions besoin l'un de l'autre, besoin de nous retrouver, de nous palper, de nous sentir. Je me déshabillai rapidement et me glissai tout contre elle. Je sentis contre ma peau la soie de ses sous-vêtements. Soulevant délicatement le drap, je vis combien, malgré son âge, elle était belle et désirable dans ces presque-rien qui la couvraient à peine. Je l’embrassai sur le visage, sur la bouche puis descendis tout le long de son corps avec des baisers doux et aériens. Elle ronronna et remua ses membres avec beaucoup de langueur. Son regard insistant et malicieux me confondait. De ses mains douces, elle me caressa l’échine en m'invitant à passer à l'étape suivante - Viens mon chéri, je t'ouvre mon doux nid d'amour ! Je veux te sentir glisser dans ma chair onctueuse ! Efeuillage, tissus épars, soutien-gorge et petite culotte glissant au sol, fusion de nos corps, Je la pénétrai avec un profonde délectation. Elle aimait me sentir vibrer en elle, heureuse d’être encore si réceptive, elle se cambra sous mes va et viens répétés. Je glissai doucement dans sa chair, puis plus vite, elle gémissait de plaisir d’être investie de la sorte, par tant de frénésie. Et je finis par jouir sans limites au fond de son ventre, heureux de m'épanouir et me répandre en elle, avec une générosité dont elle ne cessa de me féliciter. Avec une gourmandise tout aussi intacte, elle me remercia en se jetant sur ma queue, me goûtant, me dégustant, m'offrant sa bouche humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suça et suça encore, me branla, me pompa ... jusqu'à ce que je jouisse violemment, laissant mon sperme dégouliner autour de sa bouche. Le liquide dessinait de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passa sa langue sur ses rebords ourlés, goûta avec saveur ma sève chaude, se nourrissant de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière goutte. Chaque semaine, je revins ainsi profiter du corps de cette femme mure dont la tendre passion et l’absence de gêne autorisaient toutes mes audaces. Jamais je ne m’étais senti autant désirant et désiré que dans cette rencontre singulière. Marthe avait une connaissance des hommes qui me subjuguait. Aucune femme ne m’avait auparavant caressé, ni aspiré de la sorte, elle pouvait me donner du plaisir longuement avec ses mains enveloppantes ou sa bouche chaude. Elle me faisait m’approcher de l’extase jusqu’à ce que cela en devienne intolérable et que je la supplie de me laisser me rependre en elle. J'hurlai alors tant la décharge était longue et puissante. Repu, je me couchais dans ses bras et nous nous endormions tous les deux, apaisés et heureux. | douce Marthe (E) Marthe disposait d'un petit appartement cossu dans le 5e arrondissement dans lequel elle recevait ses clients, triés sur le volet. Elle portait ses cinquante-cinq ans avec beaucoup de grâce. Avec ses yeux d’un bleu intens ... |
![]() | echanges- Tu viens mon chéri ! Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à peine soutenue par une nuisette qui ne cache rien. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Tu sens ? ... Je suis toute prête pour toi ! ... Viens vite ! Je saisis Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable - Aaaaaah ! Son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. La vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie, se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Lucie et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | echanges (E) - Tu viens mon chéri ! Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à peine soutenue par une nuisette qui ne cache rien ... |
![]() | experience sensuelleLe contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me troublait terriblement: la sueur perlait en gouttes sous son décolleté, elle approcha son visage du mien. Sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses pendant que ma main flattait son sein , Elle écarta les jambes, souleva sa nuisette et se planta sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps, je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement par son antre de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire, Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle ! Elle nous provoquait de ses deux seins dressés saillant sous leur soutien-gorge tout comme des trésors. Ses poses suggestives et tendrement lascives rehaussaient ses atours invitant à l’amour. Et son pas balancé qui nous faisait tanguer usait de l’allumette de son casse-noisette. Son regard aguicheur embrasait nos ardeurs quand de sa voix enjouée elle nous apostrophait. Puis elle nous emmenait dans un coin en retrait commencer sans complexe notre partie de sexe Jean-Claude | experience sensuelle (E) Le contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me trou ... |
![]() | andromaqueje sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, d'un coup, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me regarde avec des yeux troubles Je m'enfonce, je glisse lentement dans son ventre chaud. Je me sens aspiré. un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la penetre profondemment, en de lents mouvements. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Je coulisse en elle Elle sent les reliefs noueux qui glissent dans son ventre. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, me relâche. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Claire savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. | andromaque (E) je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, d'un coup, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse u ... |
![]() | Toinette au travailQuel spectacle ! Toinette en petite tenue, étendue sur son lit ! Toinette avait les yeux mourants et le visage rougi, ses bras étaient pendants, sa gorge s’élevait et se baissait avec une précipitation étonnante. Mes yeux parcouraient toutes les parties de son corps ; il n’y en avait pas une sur laquelle mon imagination ne collât mille baisers de feu. Un feu inconnu se glissait dans mes veines ; j’avais le visage enflammé, mon cœur palpitait, je retenais mon haleine, et ma dague, que je pris à la main, était d’une force et d’une roideur à abattre la cloison, si j’avais poussé un peu fort. Je suçais dans mon rêve ses tétons, son ventre ; mais l’endroit le plus délicieux, c’était... cette coquille ... quoique couverte d’une petite écume blanche, elle ne perdait rien à mes yeux de la vivacité de sa couleur. Au plaisir que je ressentais, je reconnus le centre de la volupté, Il était ombragé d’un poil épais, noir et frisé. Toinette avait les jambes écartées, Lui, ayant repris vigueur, vint de nouveau se présenter à l'ouvrage; il se remit sur Toinette, avec une nouvelle ardeur ; mais ses forces trahirent son courage, et, fatigué de piquer inutilement sa monture, je le vis retirer l’instrument de la coquille de Toinette, lâche et baissant la tête. Toinette, dépitée de sa retraite, se rhabillait, le père l’était déjà. Lui et Toinette ne se gênaient pas en notre présence : ils nous croyaient des témoins peu dangereux. Je voyais sa main gauche se glisser mystérieusement sous la table et agiter les jupes de Toinette, qui lui souriait et me paraissait écarter les cuisses pour laisser apparemment le passage plus libres aux doigts libertins du paillard. Toinette avait de son côté une main sur la table, mais l’autre était dessous et rendait vraisemblablement a son voisin ce que celui-ci lui prêtait. au point d’être gênés par notre présence : elle nous le fît connaître en nous conseillant, à ma sœur et à moi, d’aller faire un tour dans le jardin ; j’entendis ce qu’elle voulait nous dire. Nous nous levâmes aussitôt, et leur laissâmes, par notre départ, la liberté de faire autre chose que glisser les mains sous la table. | Toinette au travail (E) Quel spectacle ! Toinette en petite tenue, étendue sur son lit ! Toinette avait les yeux mourants et le visage rougi, ses bras étaient pendants, sa gorge s’élevait et se baissait avec une précipitation &eac ... |
![]() | Il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Lorsqu'il est venu vers moi, je mouillais déjà abondemment j'étais ouverte, comme je ne l'avais jamais été, obscène presque, j'ai relèvé la tête vers lui, il m'a regardé dans les yeux d'un regard trouble et humide Il s'est approché, a posé son sexe sur le mien, il l'a poussé un peu, l'a ressortis, quelques va et viens et ce fut le paradis, et il s'enfonçait puissemment, écartant mes chairs rosées, J'ai poussé un gros soupir quand il est arrivé au fond, il a fait durer le plaisir, puis il a accélèré, je n'en pouvais plus, J'ai joui avec lui. Il s'est bloqué, a fusé dans mon ventre, il s'est vidé, il n'en finissait plus de se vider ! J'ai rouvert les yeux pour constater tout ce que j'avais reçu de lui Et maintenant, je garde les traces de ce moment son sperme chaud continue à couler doucement entre mes cuisses. Son foutre m'inonde et tache les draps. Extasiée, immobile, tremblant encore de plaisir, je reste là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé mes cheveux sur notre silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir | (E) Il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Lorsqu'il est venu vers moi, je mouillais déjà abondemment j'étais ouverte, comme je ne l'avais jamais été, o ... |
![]() | Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est provoquante, ses seins palpitent. Je suis litteralement aimanté. Je me colle à elle Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre, puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son buisson ardent. Je la suce avidement. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi Je promene mon gland sur sa vulve. Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. - Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ? Je commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris de jouissances. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux. La première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accueillit avec force de voix, elle prit la chose en main, je ne refusai pas. elle me prit par le bras, je n'avais plus le choix. Elle me demanda de lui dire un grand oui à haute voix. C'était une remise dérobée, elle voulait le meilleur de moi. Elle m'offrit un baiser Je n'avais plus du tout froid et dans un grand silence Elle me dit : je suis à toi zoran.tempete | (E) Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est provoquante, ses seins palpitent. Je suis litteralement aimanté. Je me colle à elle Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’ ... |
![]() | (E) ... |
![]() | contre un mur plongé dans la penombreImpatient et pressé, Il m'avait prise dans un recoin du mur de la chambre. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir. Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui | contre un mur plongé dans la penombre (E) Impatient et pressé, Il m'avait prise dans un recoin du mur de la chambre. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me p ... |
![]() | mon jeune clientmon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. J'ai saisi doucement sa verge qui s'est affermi sous mes doigts, je l'ai recueillie dans ma main. Il gémissait doucement puis il s'est retourné vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je l'ai branlé. Il s'est crispé, s'est détendu. Son excitation est montée. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Son sexe est devenu enorme. Il m'a regardé avec une imploration muette. Je lui ai souri. il m'a caressé les cheveux, puis sa main s'est refermé sur ma nuque. j'ai avançé mon visage vers son sexe, et j'ai obtempèré à son caprice d'enfant gâté. Je l'ai accueilli dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant tres envie de le prendre enfin en moi | mon jeune client (E) mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. J'ai saisi doucement sa verge qui s'est affermi sous mes doigts, je l'ai recueillie dans ma main. Il gémissait doucement puis il s'est retourné ver ... |
![]() | mon rêve à deux cents francsElle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde. Je bande. Il faut faire vite. Elle me devine, elle a compris, mon cœur bat. Elle se rapproche discrètement. Le dialogue est bref. "- C’est un petit hotel. Nous sommes tranquilles mon chou". Elle fouille dans son sac, plonge sa main dans mon pantalon, sort l'engin, m'enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, je bande. elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, j'y porte les mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue. Je me raidis, je me tends, je me libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. Je regarde son corps une dernière fois. Elle remet sa robe, range ses affaires. J'ai rangé mon sexe. - Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?… ------------------------------- mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi | mon rêve à deux cents francs (E) Elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde. Je bande. Il faut faire vite. Elle me devine, elle a compris, mon cœur bat. Elle se rapproche discr&eg ... |
![]() | Il venait d'avoir dix-huit ans, il avait besoin d'une femme qui saurait le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez lui. il était beau comme un enfant, fort comme homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa petite chambre non loin de là. C'était le debut de l'été, j'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'ai fait le maximum pour le séduire. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et, dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Un delicieux moment de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Il a été un amant ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse. J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans | (E) Il venait d'avoir dix-huit ans, il avait besoin d'une femme qui saurait le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez lui. il était beau comme un enfant, fort comme homme. Il ne m'a pa ... |
![]() | L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger et mon sexe qui se tend. Je sens alors sur mon torse une langue caressante qui me fait frissonner. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s'enroulent. Elle se positionne sur moi, s'empare de mon dard qu'elle amène vers elle. Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute. De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à jouir comme une folle, s'empalant profondément sur mon sexe bandé Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, se met à trembler, a un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté, puis se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. La sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. | (E) L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus ... |
![]() | L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger et mon sexe qui se tend. Je sens alors sur mon torse une langue caressante qui me fait frissonner. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s'enroulent. Elle se positionne sur moi, s'empare de mon dard qu'elle amène vers elle. Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute. | (E) L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus ... |
![]() | J'avais convié JulienJ'avais convié Julien dans ma chambre. Le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, il se laissa faire, passif. - Je ne suis pas la premiere ? lui demandai-je Il acquiesça, comme si cet aveu avait déclenché chez lui une passion nouvelle. Je me penchai alors sur lui, m'emparai de sa bouche pour l'embrasser amoureusement, mélangeant nos langues et nos salives de manière très sensuelle. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant mon doux baiser, je le regardai dans les yeux : - Tu veux ? Tu es toujours d'accord pour que nous allions plus loin ? Je dénouai alors ma legere nuisette de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion. - Tu vas me faire l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux ! Puis, le fixant, j'écartai mes jambes et je le guidai vers moi. Sans attendre, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. Puis il s'accrocha à mon cou, prit mes lèvres, nos langues se caressèrent avec passion, alors que mes seins frottaient sa poitrine. Il était au paradis. sa langue dans ma bouche, son sexe bien au fond de mon ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Il me baisait de plus en plus sauvagement. Subitement je sentis le plaisir monter en lui, il poussa un cri rauque, se crispa et de longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Dans la foulée je me raidis aussitôt en émettant un long râle déchirant. Tout mon corps se mit à trembler convulsivement. Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. Au bout de quelques minutes, je lui passai tendrement ma main dans les cheveux. - Mon chéri ! Tu as été très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. J'ai senti dans tes bras mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. J'ai aimé le contact de ton corps, j'avais envie que tu me touches, que tu me frôles, que tu m'enlaces de tes douces caresses sans cesse répétées, et tu m'as caressée avec un maximum de tendresse comme si j'étais un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier voulait te dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Tu m'as séduite, tu m'a rendue amoureuse, folle. J'avais envie de t'aspirer lentement, goulûment en moi, tu as su me rendre insatiable et enflammée. Tu t'es enfilé en moi, allant et venant, me tenant au niveau des épaules, les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'est accéléré par la magie de nos désirs sans cesse renforcés.Tu voulais tout, la profondeur, la rapidité, la jouissance. Et moi, je voulais ta force animale quand tu t'es emparé de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie de toi, à en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition. Une seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de toi, mon jeune amant, une jouissance profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... | J'avais convié Julien (E) J'avais convié Julien dans ma chambre. Le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une premi&egra ... |
![]() | une douce caresseTout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Des lèvres chaudes qui gobent et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, une langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge, lèche mon vit de avec gourmandise, caresse mes bourses lentement, douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot. Mon vit sanglote de salive. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe gonflé s'engouffrer dans la bouche vorace, toujours plus profond. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. Elle me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte. Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre. Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage pendant quelques minutes Mon sexe était gonflé comme jamais. Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base. Elle me regarda profondément. alors que je voyais sa bouche s'ouvrir, et engloutir mon sexe. Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide, Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir. Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir. Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais. Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les couilles. De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement. Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts. Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle. Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent. | une douce caresse (E) Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Des lèvres chaudes qui gobent et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chal ... |
![]() | Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit. Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace de la chambre. C’était comme une présence invisible. Je me disais qu’elle était là. Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi. Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce pour me ramener à l’évidence que j’étais seul. Son odeur témoignait pourtant de sa présence, et cette seule idée décupla mon excitation. j’eu d'un coup un léger sursaut nerveux. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre. Bientôt mes doigts se glissèrent dans une texture fine et soyeuse. C’était une longue chevelure , la chevelure d’une femme. Mes mains caressèrent la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Son odeur, c’était bien son odeur ! Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers. La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était la bouche de Lucie ! Elle s’était glissée discrètement dans la chambre, puis sous mes draps, pour me prodiguer cette sublime fellation. Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur, et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue, j’avais été un instant abusé. Maintenant sa langue fougueuse léchait mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge. lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément en accélérant la cadence. Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer, mon liquide se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte. J’allais lui susurrer des mots tendres. Mais brusquement elle se redressa et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette disparaissant dans l’embrasure de la porte. Les jours de la semaine qui suivirent, j’étais torturé par sa présence. Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle. | (E) Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit. Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum ... |
![]() | Marthe voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement J' attrapai la tête de ma suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard. - Marthe ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon sexe pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le mien. - Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche - Marthe ! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de moi, son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Mme Granger à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse. | (E) Marthe voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre e ... |
![]() | chez Lucie- Tu viens mon chéri ! Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à peine soutenue par une nuisette qui ne cache rien. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Tu sens ? ... Je suis toute prête pour toi ! ... Viens vite ! Je saisis Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable - Aaaaaah ! Son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. La vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie, se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Lucie et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | chez Lucie (E) - Tu viens mon chéri ! Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à peine soutenue par une nuisette qui ne cache rien ... |
![]() | Je viens de me retirer de toi Entre tes jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre tes cuisses, mon foutre t'inonde et coule sur tes jambes, Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, Tu restes là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé tes cheveux sur notre silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir Tu es assise, ouverte comme jamais, obscène presque, Tu relèves la tête vers moi, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Je m'approche à nouveau, je pose mon sexe sur le tien, je le pousse un peu, le ressors, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant tes chairs rosées, Tu pousses un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus, tu jouis soudain et au dernier moment, je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Tu rouvres les yeux pour constater tout ce que tu as reçu de moi, je me plaque sur toi, écrasant nos deux corps | (E) Je viens de me retirer de toi Entre tes jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre tes cuisses, mon foutre t'inonde et coule sur tes jambes, Immobile, extasiée tremblant encore ... |
![]() | Tu viens mon chéri- Tu viens mon chéri ! ... Ne sois pas timide ! Lucie m'a convié dans sa chambre, au premier étage de ce petit hotel discret. Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à peine dissimulée par une robe de nuit de soie mauve qui ne cache rien. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas d'esperer caresser, malaxer, écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Mets ta main là ... oui ! - Tu sens ? ... Je suis toute prête pour toi ! ... J'étais figé devant elle, ne sachant pas comment faire pour l'aborder. C'est elle qui me fit approcher. Elle m'embrassa d'un baiser sensuel, profond et prolongé, melant sa langue à la mienne ... puis elle s'allongea sur le lit - Viens vite ! Je saisis Lucie et l’embrassa à pleine bouche. Elle ferma les yeux, elle s’abandonna toute entière. Peu à peu, les plaintes se transformerent en gémissements moins équivoques. Elle saisit ma verge dure comme le bois et fit glisser mon gland contre son sexe. Elle gémissait, je la pénètrai d’un coup, lui arrachant un interminable - Aaaaaah ! Son ventre était chaud. Il m’enserrait, me pressait. Lucie était dans tous ses états, elle se cambra jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. Son intérieur était si humide que je touchai le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offrait sans retenue. Elle poussa un long soupir de plaisir quand je la pénètrai plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulissai en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je voyais les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oui, mon chéri, je m'ouvre toute grande pour toi, occupe-toi de mes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devint communion, les deux corps ne firent plus qu’un, les chairs firent fusion, les fluides et les odeurs se mélangerent. Elle ondulait toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. La vision de mon sexe qui travaillait, annonca une jouissance proche. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décupla mon excitation. Ma gorge se contracta, j’avais le souffle de plus en plus court. Je me mis à la besogner vigoureusement, je me déchaînai sans ménagements tandis qu'elle se mit à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redressa, à moitié accroupie, se mit à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappait de son sexe, puis un long jet vint s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclencha chez Lucie et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalames l'un sur l'autre sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai posée ma tête entre les cuisses gluantes sur le ventre de Barbara, nos peaux moites, nos respiration haletantes. | Tu viens mon chéri (E) - Tu viens mon chéri ! ... Ne sois pas timide ! Lucie m'a convié dans sa chambre, au premier étage de ce petit hotel discret. Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme, à pein ... |
![]() | Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est quasiment nue, les seins laiteux se dévoilent dans leur splendeur, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, tête inclinée, elle s'approche de moi et me demande la raison de ma visite - Qui t'a parlé de moi ? - Tu es bien jeune - Qu'est-ce que tu aimerais savoir ? J'étais curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux et l'on m'avait dit que Mme Lucie saurait m'expliquer tout ca. J'interrogeais donc Lucie sur les femmes, l'amour, le désir. Je voulais apprendre, savoir, découvrir comment nait le désir. Elle me fit asseoir et, touchée par ce geste de confiance, elle commenca a m'expliquer, par les mots d'abord. - Tu me trouves attirante ? ... Tu vois, tu es sensible au charme d'une belle femme ! - Julien, tu veux vraiment savoir comment nait le désir d'une femme ? J'étais assis à ses coté et je me suis rendu compte qu'entre elle et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que sa poitrine, libre de toute contrainte pesait sur mon torse. Je constatais qu'elle semblait nue en dessous de son corsage de soie. J'ai alors senti ma verge se gonfler et se raidir contre sa cuisse. Je bandais, sans complexe et elle en était la cause. Je m'inquiétais de ce qui se passait dans mon corps, elle a alors tenté de m'expliquer - Ma gentillesse, que tu sembles apprecier, ma douceur, le contact de nos corps, ce que tu ressens en te serrant contre moi, c'est tout cela déclenche les transformations de ton corps, c'est tout cela qui déclenche le désir J'ai alors senti que ses seins réagissaient aussi à ce contact, ses pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer d'elle, mais elle m'a demandé de rester à ses cotes. Je découvrais pour la première fois une belle poitrine de femme mure, deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'elle commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur ses bras, et laissaient sa gorge à une faible distance de mes lèvres. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Elle a posé ses lèvres sur mon cou, puis sur mes joues, puis à la naissance de mes lèvres. Elle m'affolait litteralement. Je découvrais le désir avec elle, avec son corps. - Julien, regarde moi ! ... Tu vas me donner tes lèvres ! Elle a alors posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Puis nous nous sommes embrassé de manière plus appuyée. Elle a introduit doucement sa langue entre mes lèvres. J'ai introduis la mienne, je m'abandonnais à son baiser. Ma main au bas de son dos retroussait inconsciement le bord de son corsage. Elle se serrait un peu plus contre moi. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous caresser, de nous toucher, je me suis alors séparé d'elle, tentant de reprendre mes esprits - j'ai envie d'apprendre avec vous ... lui demandai-je discretement - Tu comprends maintenant comment vient le désir entre un homme et une femme ! - Julien, regarde moi ! ... Tu veux vraiment savoir ? - Tu veux que nous vivions ensemble cette experience ? J'eu alors une intense envie de satisfaire avec elle mon attirance violente pour ce beau corps de femme mure. Je me suis lové contre elle, elle a commencé à me devoiler son corps. Je l'ai caressé tendrement et elle vint se glisser sournoisement et s'incrusta avec passion contre moi. La pression de sa chair chaude s'intensifiait, les pointes de ses seins caressaient ma peau sensible. Je caressai les chairs appétissantes, elle bougeait légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfla. Mon corps s'agita. Elle se serra contre moi, me fixa intensément, - Julien, que ressens-tu à present ? - Tu n'es pas insensible à mon corps, je sens ton sexe dur comme du bois, laisse moi le caresser doucement, - Julien ! Regarde moi ! Tu as envie de moi ? ... Et moi, j'ai envie de toi ! Elle m'emmena alors dans sa chambre. Le visage empourpré, je m'étais rapprochée d'elle, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, puis posait ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, je me laissai faire, passif. - Je suis la première ? me demanda-t'elle J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché chez moi une passion nouvelle. Elle se pencha alors sur moi, s'emparat de ma bouche pour m'embrasser amoureusement, mélangeant nos langues et nos salives de manière très sensuelle. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant son doux baiser, elle me regardat dans les yeux : - Tu veux ? Tu es toujours d'accord pour que nous allions plus loin ? Elle dénoua alors sa legere nuisette de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin. Elle posa sa main sur ma verge gonflée pour l'évaluer avec émotion. - Tu vas me faire l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux ! Puis, me fixant, ses yeux humides dans les miens, elle dirigea alors mon sexe vers ses lèvres intimes et glissantes. Je me sentis absorbé dans ses chairs chaudes, mon sexe dur se gonflait de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobait et m'aspirait, s'échauffait, et s'agitait au rythme des palpitations de son corps. Je plongeai en elle, la pénètrai plus profondément, elle resserra et desserra l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud de ma maitresse d'un soir | (E) Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est quasiment nue, les seins laiteux se dévoilent dans leur splendeur, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, t&ecir ... |
![]() | chez Mme Granger (version courte)Marthe est une belle femme, terriblement attirante et sensuelle dans sa maturité. J'étais hypnotisé. J’adore le corps de Marthe chez qui je vais maintenant satisfaire regulierement mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Marthe est delicieusement potelée, et sa poitrine paraît énorme. Ses seins sont souples et genereux, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. - Tu m'aimes? me demande-t-elle ce soir là en me fixant avec un mystérieux sourire. - J'aime quand tu me fais l’amour, tu sais mon chéri ! Elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me glisser quelques mots à l'oreille : - Julien, mon chéri ! Tu es seul ce soir ... moi aussi - tu veux me faire plaisir ? ... Viens ! et moi aussi, je veux te faire plaisir, Viens ! Lucie m'emmena dans sa chambre. J'étais subjugué, fasciné par la beauté de ce corps. Lucie glissa ses mains dans mon cou, prit affectueusement ma tête dans ses mains, me regarda, intensément, - Ce soir, j'ai besoin d'amour ! Elle caressait mes hanches puis elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses. - Sens ! je suis toute prête ! Elle dirigea sa main vers mon entre jambes en me souriant d'un sourire complice - Julien ! mon chéri ! Tu as envie de moi ! Je le sens ... et je le vois ! Tu es mur ! Elle desserra la ceinture de mon pantalon. Elle pris doucement ma verge dans ses mains qui immédiatement se mit à grandir et durcir. Elle le massa quelques instants tout en surveillant mes réactions. - Julien ! Tu vas m'offrir ton corps ... et moi, je vais t'offrir le mien ! - Nous allons en profiter, tous les deux ! ensemble ! Tu veux bien ? Puis elle prit mon sexe bien bandé et le guida vers elle, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le frottant sur toute la longueur de son sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille : - Viens, Mon chéri, maintenant vas-y ! J'ai besoin de toi dans mon ventre ! Ce fut comme un coup de fouet pour moi et je me propulsai sans délai vers elle, la clouant littéralement sur le lit ce qui la fit hoqueter, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa à moi, essayant de retrouver ses esprits - Eh bien ! mon chéri ... Quelle ardeur ! Ma pénétration brusque l'avait un peu surprise. Le moment de surprise passé et inondée de ses propres sécrétions, elle m'encourageait neanmoins - Vas-y, bouge et ne t'arrête pas ! Lucie me murmurait ses encouragements à l'oreille en me caressant amoureusement les cheveux. Elle cherchait à me mettre en confiance. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent. Désireux de me faire pardonner mon intrusion un peu brutale, j'entamai un lent retrait de mon sexe tuméfié. Mais elle se crispa sur mon épaule: - Non reste ! Continue ! Je veux te sentir dans ma chair ! Et je replongeai à nouveau dans son corps lui déclenchant un premier spasme de jouissance. J'ondulais très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de Lucie me firent comprendre qu'elle commencait à jouir de mes intrusions. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. C'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Il coulissait profondément dans un nid chaud et absorbant comme un poulpe, j'en épousais parfaitement la forme, caressant amoureusement la fragile muqueuse. Je me sentais complètement enserré dans le ventre chaud. Je continuais mes va et vients régulers, méthodiques qui l'extasiaient de plus en plus. Le goût de sa peau que je lapais au creux de son cou, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait de nos corps, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, dans un véritable flot de lave en fusion, j'en devenais fou. Les sensations qui me remontaient de mon penis en feu me faisaient totalement perdre le contrôle de mes actes. Ma bouche courait sur tout le visage et le cou de Marthe, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Mes lèvres dévoraient à nouveau celles de ma maîtresse, mes dents jouaient avec les pointes de ses seins. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les poitrines douces et souples. Je voulais contrôler mes spasmes pour prolonger le plaisir. Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle s'aggripa a mes épaules, le souffle court, et soulevant une jambe, la passa autour de ma hanche que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes pour enserrer ma verge qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Le contact de son bas soyeux, la caresse de sa chair sur mes fesses m'électrisait. La pression de sa gaine brûlante emprisonnant mon gland fut un déclencheur. Alors, n'y tenant plus, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans son ventre comme si je voulais lui faire traverser le mur. Je la pilonnais, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Elle s'est mise à jouir bruyamment, térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort, elle gémissant son plaisir, soupirant sa jouissance, ralant ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle atteignait l'orgasme absolu. J'accélérais mes mouvements C'est alors que j'ai senti en moi la pression monter. Je sentais le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, pour finir par exploser par mon gland turgescent, un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetais au plus profond du ventre de Marthe. Le jet puissant de ma semence inondait le point le plus profond de son vagin, le flot libérateur de son puissant étalon envahissait son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu. A bout de souffle, j'avais enfoui ma tête dans le cou de Marthe, lui assenant mes derniers coups de belier pour lui exprimer ma gratitude de jeune amant. Nous cherchions notre respiration. Je continuais à la limer doucement mais c'était le début de la fin, Elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Mes dernières caresses la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, mlembrassant tendrement dans le cou. Je voulus exprimer ses sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue m'envahit délicatement la bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux. - Julien, il faut partir maintenant ! Je voulus protester, mais elle me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue. - Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant exemplaire. Tu m'a fait jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles ! Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe glissa de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense. Un peu déconfit je remontai mon slip et mon pantalon, j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et tout poisseux et mes bourses trempées de nos jouissances. Elle replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée a mon regard énamouré et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte. - Fais le pour moi, mon amour ! Je me retrouvai dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité. Derrière la porte de sa chambre, Marthe essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre un moment fort. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Elle commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur, son doigt qui clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines. | chez Mme Granger (version courte) (E) Marthe est une belle femme, terriblement attirante et sensuelle dans sa maturité. J'étais hypnotisé. J’adore le corps de Marthe chez qui je vais maintenant satisfaire regulierement mes besoins amoureux. Ce soir c' ... |
![]() | chair chaude et fermeMadeleine adorait cette sensation de tenir une chair chaude et ferme entre ses doigts, un membre viril symbole de vie et de fertilité. Elle aimait l'agiter, le branler, accélérant et ralentissant le rythme, utilisant le liquide lubrifiant qui sortait du sexe pour faire une caresse à nu sur le gland, puis reprenant le prépuce pour le recouvrir et le découvrir tour à tour, jusqu'à obtenir la jouissance chaude. Après trois ou quatre mouvements, il jouissait en giclées abondantes qui semblaient ne pas devoir cesser. Elle tenait, fascinée, le sexe chaud et agité de soubresauts, qui crachait le sperme par jets puissants. Elle le reçevait sur son ventre, ses seins, ses bras..., et continuait plus lentement le mouvement de masturbation pour pousser le plaisir jusqu'à sa limite extrême. À peine terminée l'éjaculation et lorsqu'il se reprenait à bander, elle s'abaissait vers son ventre, et sensation inouïe, qui lui faisait perdre la tête, elle happait délicatement entre ses lèvres le sexe encore couvert de sperme, et descendait lentement la bouche jusqu'à sa base. Elle commençait un va-et-vient lent et voluptueux sur son membre vigoureux, tandis qu'il lui flattait les seins. Il sentait alors une deuxième éjaculation monter au chaud contact de la langue et de la muqueuse, et tentait de la prévenir pour qu'il puisse jouir hors de sa bouche. Mais elle faisait non de la tête sans abandonner le sexe. Alors, ne cherchant plus à se contenir il lâchait une seconde décharge au fond de sa gorge. Il la voyait accueillir son sperme sans s'émouvoir et commencer à avaler la semence au fur et à mesure, en gardant bien au chaud en elle le membre qui la bâillonnait. Elle le laissait enfin et venait l'embrasser pour lui faire sentir ce goût de l'homme qui lui envahissait la bouche. Il introduisait sa langue et échangeait un baiser passionné. | chair chaude et ferme (E) Madeleine adorait cette sensation de tenir une chair chaude et ferme entre ses doigts, un membre viril symbole de vie et de fertilité. Elle aimait l'agiter, le branler, accélérant et ralentissant le rythme, utilisant le ... |
![]() | Permet, mon beau mâle, que je te dévêtisse. Offre moi ce doux privilège De faire durer ce pur délice que pour rien au monde je n'abrège Sentir sous le tissu tendu là, plus bas, ton désir qui prend de l'ampleur Mais avant que de te voir nu, je veux en deviner toute sa saveur Laisse mes doigts nonchalamment caresser l'intime indécence la sentir devenir gourmande, et admirer toute sa prestance N'aspire plus à autre chose que de me livrer à l'air libre Ta superbe impudeur éclose pour que j'en apprécie la fibre Je ne me ferai pas prier pour l'envelopper de ma main Et si tu vois mes yeux briller, occupe toi de mes beaux seins Il te suffit de me frôler Pour que je palpite corps et âme D'espièglement me taquiner Pour que sous tes lèvres je me pâme Mise à nue, voici que frémit ta verge généreuse et jaillissante A sa vue tout mon corps gémit d'envies coquines et frétillantes Lâchant le frein de mes ardeurs tandis que mes sens tu affoles Je passe la vitesse supérieure de mon désir qui caracole Je lisse ce grand bois chéri de haut en bas, de bas en haut Lustré choyé et tout ravi qu'on prenne soin de le faire beau Le coquin se fait audacieux, et s'aventure entre mes lèvres Je sens son élan impérieux m'envahir d'une douce fièvre Ma langue autour de lui s'enroule Alors qu'il sonde mes bucales profondeurs Et que la tiédeur de deux boules, la pulpe de ma peau effleure Puis subtilement tu t'introduis Dans un incandescent fourreau Je ne peux retenir un cri sous la fougue de tes assauts Je me cambre, je gémis, je supplie sous tes ravageuses poussées Différant cet instant béni qui aux cieux va me transporter Soudain tout geste tu suspends, lové au plus profond de moi Sans pudeur j'explose et je fend Le silence de tous mes émois Jouissant de me voir succomber , tu reprends ta danse sauvage Puis tour à tour plus raffinée C'est comme un enivrant voyage Propulsée aux plus hauts sommets Par de prodigieux coups de maître Je te chevauche usant du fouet Des mots brûlants que je te prête Je sens ma monture s'emballer Et un désir presque furieux D'encore plus profond m'empaler Sur ce somptueux totem en feu J'égare les rennes je perd le nord Et toute notion de mesure Voici que bat tempête à bord Mais le mas garde fière allure Je sens jaillir l'apothéose Mettant à vif l'indomptable Qui soudain à l'air libre explose D'un sublime bouquet final sylseasun@hotmail.fr | (E) Permet, mon beau mâle, que je te dévêtisse. Offre moi ce doux privilège De faire durer ce pur délice que pour rien au monde je n'abrège Sentir sous le tissu tendu là, plus bas, ton d&ea ... |
![]() | fascinée par cet hommeJ'étais allongée sur mon lit, fascinée par cet homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard avide se fixait sur mes seins pointant sous ma fine lingerie de soie rose. Il me mangeait littéralement du regard Cet homme était impressionnant. J'admirais son corps musclé. J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi sans complexe, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait ce mâle. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Une fois déshabillé, il se rapprocha, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Je ne résistais pas, nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent violemment. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé à écartér ma lingerie de nuit, laissant voir mes seins lourds, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. N'y tenant plus, d’un geste rapide je glissai ma main entre ses jambes. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main pris possession de son sexe. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de sa verge, tendrement, délicatement Je la sentais vivre et palpiter, irriguée par les veines gonflées. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son énorme verge qui semblait devenir de plus en plus grosse, de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. il m'excitait de plus en plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, il avança son enorme appareil au contact de ma fine lingerie. Je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement ... il s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort et je le sentis me penetrer furieusement encore plus loin, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle s'allongea sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, il se rhabilla et quitta la chambre. Je ne l'ai jamais revu.. | fascinée par cet homme (E) J'étais allongée sur mon lit, fascinée par cet homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard avide ... |
![]() | D’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide de plaisir. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes...Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie | (E) D’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide de plaisir. Un gigantesque frisson s' ... |
![]() | fièvre dans la chambre d'hôtelSéparer cinquante kilos de chair rose de cinquante grammes de nylon Qu'elle soit mannequin, ou manucure, hôtesse de l'air, ou dactylo, Tout est bon, pourvu que le fruit soit mûr ou qu'il soit vert Il faut y croquer à belles dents pour voir enfin depuis le fond du lit soutien gorge sur la chaise, paire de bas et petite culottte sur le tapis, Nous sommes dans sa chambre. La porte est refermée, il m'embrasse fiévreusement, je m'agrippe à son cou. Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. Le voici qui me prends, me soulève. Je vacille. Sa main est sous ma robe, sous ma lingerie, je glisse mes mains sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il s'immisce sous ma dentelle, caresse la peau douce de mes seins, ma robe est sans dessus dessous. Il souffle, s'impatiente, degraphe mon soutien-gorge, mes dessous tombent à terre. Son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau. Il s'affole, il m'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Excitée comme lui à l'idée de nous adonner violemment au plaisir de l'amour interdit, j'attrape sa bouche et lui enfourne ma langue, qui attrape et joue avec la sienne. Sa vigueur de mâle pointe contre moi sous son pantalon. Je défais sa ceinture et glisse une main sous le slip. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Je sors son sexe qui d'un coup se déploie, tout droit, tout raide, insolent, et terriblement excitant, je le lustre le raidissant davantage. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille, mes seins durcissent. Nous quittons le monde. Je m'étire contre lui. Un cri murmuré, caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. L'envie de jouir, de sentir son sexe doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant. Il écarte mes jambes de ses mains volontaires. Je lui souris. Il rougit. Je le tire vers moi. J'écarte mes cuisses. Je dirige son sexe. Je m'offre toute grande. Et il vient ! Il s'enfonce dans mes chairs, je m'empale sur lui. Son membre glisse et palpite dans mon ventre, tel un poulpe chaud et visqueux absorbant sa proie, de plus en plus vite, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient, accélère ... et se fige dans un râle discret, je l'inonde d'une douce chaleur liquide. Il ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion terriblement érotique. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement Je suis comblée de lui. Il coulisse dans mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Mon étui chaud et humide emprisonne maintenant sa verge, l'engloutit et la brûle, il voyage en moi. Il s'enfonçe encore, profondément, dans un bruit indécent de succions intimes. Nous baignons dans une lumière veloutée. Ces pénétrations affolent nos sens. Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'est déjà la chaleur de l’été et nos corps déjà irradiés de joies intimes. Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangent. Il s'enfonce en moi, se retire, et replonge, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Frémissements, Je jouis ! J'éprouve une véritable jubilation en sentant son sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, rythmé par mes gros seins se balançant doucement devant ses yeux, il se laisse emporter par sa fougue de mâle. Agitant vivement mes hanches, je me fais joyeusement coulisser sur lui, je le vois gouter les moiteurs chaudes de mon cocon de chair l'aspirant comme un poulpe, j'éprouve un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les chocs répétés de son gland volumineux, je ne tarde pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air son gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de son membre ! Cette pénétration massive et rapide me coupe le souffle, je pousse un cri, je reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'il se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. Serrant ses jambes sur ses cuisses agitées, je l'emprisonne entre mes lèvres trempées. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappent, éclaboussant mon bas-ventre et ses bourses. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je viens ! ... et soudain, l'éclair. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mes entrailles me fait perdre toute retenue. le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'active de plus belle dans mon ventre, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monte, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je me mets à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration, je comprends qu'il atteint lui aussi le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, il accélére encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer. Je l'aspire fort. Sous mes baisers brûlants, il se sent défaillir contre mon corps agité de plusieurs spasmes violents. Ses muscles se tendent. Il se raidit, se retient … et finalement ... se lâche ! D’un souffle rauque, il se vide en moi dans un véritable feu d'artifice ... il décharge sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante, au fond de mon vagin. Il se penche contre moi. Je lui donne un baiser, lui souris. Nous retrouvons nos forces. Je sens jaillir dans mon ventre une chaude liqueur, fruit de son orgasme. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon ventre gourmand. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. Je me laisse emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a ses gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me soulevé, me cambre, me tétanise, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous lui, mon jeune amant, lui aussi totalement vidé et anéanti. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. Reprenant doucement notre souffle, nous restons ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je me separe de son corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Son sexe glisse doucement en dehors de moi. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappe aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risque de tacher les draps du lit conjugal Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur, joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | fièvre dans la chambre d'hôtel (E) Séparer cinquante kilos de chair rose de cinquante grammes de nylon Qu'elle soit mannequin, ou manucure, hôtesse de l'air, ou dactylo, Tout est bon, pourvu que le fruit soit mûr ou qu'il soit vert Il faut y c ... |
![]() | orgasmePlanté au fond de mon vagin bouillant qui le serrait convulsivement, son corps s'est cabré gerbe d'étincelles, cris et gémissements, cadence accelerée, râles, mes doigts se sont crispés, mes ongles se sont plantés dans sa peau, j'ai jouis, long feulement rauque finissant en un râle de pure extase, orgasme ravageur, Sa penetration se fit plus profonde, dans mon fourreau brûlant enserrant sa verge. Il allait et il venait ! Explosion. Jaillissement. Il jouissait, Sa semence gicla, me remplit, nouvelle explosion de plaisir, mêlée de deux corps, brume érotique, brouillard sensuel. Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux vibrant de tous ses membres et lachant un long râle - Oh Marie ! Sa sève humide s'est rependu en moi en plusieurs vagues chaudes. C'était bon ! Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi Nous sommes restés ainsi un moment l'un dans l'autre, amoureusement enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, lui, mon bel amant ! Des voiles se sont refermés, la tension s'est relâchée, ma chaleur humide s’épanchait de mon corps. Sa respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Nous avons fait l'amour avec douceur et joui tout les deux à l'unisson. | orgasme (E) Planté au fond de mon vagin bouillant qui le serrait convulsivement, son corps s'est cabré gerbe d'étincelles, cris et gémissements, cadence accelerée, râles, mes doigts se sont crispé ... |
![]() | chez LucieJ'offre mon corps à ton regard d'amant affamé De soie et dentelle, modelant mon corps, soutenant mes seins ronds et doux, Ma lingerie me presse et me serre déjà, avide de tes bras je suis en manque de caresses de tes mains glissant avec douceur sur la soie caressant mes hanches houleuses J’aime le doux tissu qui caresse ma fente J’aime me sentir pleine du désir de toi Je rêve de tes mains sur ma douce lingerie ! J’aime ce contact soyeux glissant entre mes cuisses Ce frottement indécent m’excite. Je rêve de tes caresses, je rêve de ton sexe, délicieuse sensation ou vibrante détresse, Mes seins, entre tes lèvres mâles, rêvent de disparaître Je me liquéfie et fond, je touche le fond, ivresse d’une caresse qui va jusqu'à mes tréfonds désir intense de de ton sexe mâle qui s’insinue, s‘immisce, me pénètre A cette intrusion franche, je succombe déjà. Mon corps entier, vaincu, en spasmes, s’effondre je veux jouir de tes intimes caresses Viens ! Vite ! - Viens mon chéri ! Ferme la porte derriere toi ... Viens vite ! - Vois comme mes seins se gonflent. - Ils reclament tes mains, tes lèvres, ta bouche ! - Je veux ta peau sur moi, ton corps sur mon corps, - Je veux sentir en toi un désir animal, aussi fort que le mien - Je veux sentir ton sexe glisser dans ma chair moite - Je te veux en moi ! Je suis toute chaude ! Viens vite ! - Dépêche-toi, je suis prête ! - Viens vite dans mon lit ! Ne me laisse pas comme ça ! - Je mouille entre mes cuisses … Et je te vois bander ! Ca me rend folle ! - Mes seins réclament tes mains - J’ai besoin d 'un beau sexe d’homme, - Je suis toute chaude, demi-nue, alanguie - ma petite fleur s'impatiente de la soie qui la frôle - je veux tes mains sur mon corps, je suis à toi, offerte, suppliante - ma rosée perle en larmes - je veux tes lèvres, je tangue, je te veux contre moi, je te veux pour moi, - je te veux en moi - Oh Oui ! Prends moi ! - Viens vite, … Dépêche-toi ! | chez Lucie (E) J'offre mon corps à ton regard d'amant affamé De soie et dentelle, modelant mon corps, soutenant mes seins ronds et doux, Ma lingerie me presse et me serre déjà, avide de tes bras je suis en manque ... |
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| maitresse d'un soirLa porte s'ouvre discrètement sur le visage de la belle. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est quasiment nue, les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, tête inclinée, Elle m'installe sur le lit et s'absente, quelques instants seulement. Puis elle vient se glisser sournoisement et s'incruste avec passion contre moi. La pression de sa chair chaude s'intensifie, les pointes de ses seins caressent ma peau sensible. Je caresse les chairs appétissantes, elle bouge légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. Mon corps s'agite. Elle s'allonge contre moi, me fixe intensément, puis saisit mon pénis, le caresse doucement, Ses yeux humides dans les miens, elle dirige mon sexe vers ses lèvres intimes et glissantes. Je me sens absorbé dans ses chairs chaudes, il se gonfle de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobe et m'aspire, s'échauffe, et s'agite au rythme des palpitations de mon corps. Je plonge en elle, la pénètre plus profondément, elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud de ma tendre maitresse d'un soir | maitresse d'un soir (E) La porte s'ouvre discrètement sur le visage de la belle. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est quasiment nue, les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale mainte ... |
![]() | Tout juste une douce caresseElle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage quelque temps en fixant intensément mon sexe, gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base tout en me regardant fixement. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de sang. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les bourses. Je portais ma main sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant. Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes de mes bourses qu'elle manipulait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle dégagea un moment ses lèvres de mon sexe planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura : - Mon chéri, je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie. Elle allait et venait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma fellatrice pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard et l'avertir de l'imminence de mon explosion - Madame, je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage. - Mon chéri, donne-moi toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt mon gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche - Oh Madame ! Je viens ! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, et pourtant, pour elle apparemment, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge encore bien bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher ma hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, elle m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchais mon souffle, mes yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai ma douce fellatrice à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de mon sperme. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme satisfaite. | Tout juste une douce caresse (E) Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pr&eacut ... |
![]() | La nuit est en train de tomber, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillante qui m'irradie de chaleur. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, je reste là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé mes cheveux sur mon silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir | (E) La nuit est en train de tomber, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillan ... |
![]() | mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi | (E) mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respi ... |
![]() | Je viens de me retirer d'elle. Entre ses jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, elle reste là, allongée, ouverte comme jamais, obscène presque, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé ses cheveux sur notre silence. Elle relève la tête vers moi, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Je m'approche à nouveau, je pose mon sexe sur le sien, je le pousse un peu, le ressors, c'est de nouveau le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, Elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque surelle, écrasant nos deux corps | (E) Je viens de me retirer d'elle. Entre ses jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, elle r ... |
![]() | Excitée à l'idée de me preparer aux délices d'une douce pénétration... Lea s'empara adroitement de mon membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa doucement mes bourses, les massant un peu, puis, elle versa doucement un lubrifiant au sommet de mon gland et reprit son rythme soutenu, me masturbant avec ardeur ce qui eut pour effet de durcir et allonger rapidementmon penis bandé, c'était chaud...et visqueux, coulant lentement le long de son sexe. Je me laissai envahir par une sorte de moiteur chaude et délicieuse. Ma queue glissait dans une main gluante, fourreau étroit d'une gaine soyeuse. Ma respiration s'accelerait de plus en plus, mes joues s'empourpraient, mes levres laissaient passer de faibles gemissements quelques gouttes de sueur perlaient sur mon front, collant mes meches brunes. La caresse des doigts féminin se fit plus rapide, plus insistante sur ma queue, plus precise a la base de mon gland. Lea glissa ses mains sur mon sexe doucement. L'effet attendu fut immediat, mes yeux chavirerent, un profond gemissement rauque sorti de ma poitrine et Lea sentit entre ses doigts ma tige congestionnee commencer a palpiter puis ...le sperme jaillit en longues saccades tiedes giclant sur le ventre de Lea, entre ses seins. Elle reccueillit mon sperme chaud, animal, ma blanche liqueur. Elle me glissa alors: - Maintenant je veux sentir ton sexe en moi ! elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante: Elle s'empala aussitot d'un coup de reins sur ma verge bandée éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant ce sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, étendu sous le corps sensuel de ma chaude compagne, fasciné par les gros seins se balançant doucement devant mes yeux je me laissai alors emporter. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que je lui dispensai, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées : -- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nouss affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Lea avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal : -- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? -- Oh Oui ! -- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir | (E) Excitée à l'idée de me preparer aux délices d'une douce pénétration... Lea s'empara adroitement de mon membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa douce ... |
![]() | mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi | (E) mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respi ... |