![]() | plénitude des reveils amoureuxJ’étais dans le lit aux cotés de Marthe, nous étions à peine reveillés. La lumiere était encore éteinte, nous nous regardions, attendant fievreusement un signal l'un de l'autre. Elle m'esquissa un sourire et murmura simplement: -Tu viens ? ... Je suis venu doucement sur elle. Sa main me guida discretement et naturellement je me glissai en elle. Elle s'ouvrait, tendre et humide, elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je sentais ses douces caresses intimes, . J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille - C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais ! Son souffle était lent. Je la pénétrais doucement, tendrement, puis restais un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. - Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. - Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon ! J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède. J'accélérai peu à peu, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je sentais mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. - Tu veux...maintenant ? lui demandai-je - Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant: - c'est si bon ! Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillais en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace, elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi ! Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion. Je m'agrippai à ses épaules et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrais sur mon enorme sexe qui la fouillait et qu'elle semblait aimer. La transpiration perlait entre ses seins, Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue. - Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite ! Je saisis alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Elle me sentit venir, Elle me tira vers elle ... je crispai mon regard ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, j'arrêtai net, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. j'explosai en elle ! lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur. Puis je m'effondrai avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserva un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sens encore toute ouverte pour moi. - Tu es mon bel et merveilleux amant, me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement Nous avons fait l'amour longtemps, tu m'as remercié de tes caresses appuyées, de tes enlacements enfiévrés, du plaisir que tu ressentais. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'ai été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre. Je me suis retiré d'elle, lentement. La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces miments. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers, Nous avobns refait l'amour, merveilleusement S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais. | plénitude des reveils amoureux (E) J’étais dans le lit aux cotés de Marthe, nous étions à peine reveillés. La lumiere était encore éteinte, nous nous regardions, attendant fievreusement un signal l'un de l'autre. Elle m' ... |
![]() | Mathilde et BenjaminMathilde, mon professeur de violoncelle demeurait une très belle femme malgré ses 50 ans. Mais, tout novice que j'étais, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme à discrétion. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop austères, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte... Il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, j'imaginais Mathilde juste revêtue d'un jupon de tulle noir, ne jouer que pour moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules de danseuse d’opéra.A la vérité, je ne lui avais jamais avoué que ses cours étaient un faux prétexte visant à dissimuler le désir d'un rapprochement plus intime. Pour ce dernier cours, Mathilde avait délicatement ouvert, avec une certaine fébrilité, mon paquet cadeau contenant des bas. - Mais, dis-moi, Benjamin... pourquoi m'as-tu donc offert ces bas ? - Je suis sûr que vous aimerez, d’ailleurs je l’ai lu dans vos yeux quand vous les avez découvert, lui répondis-je un tantinet gêné - Benjamin, tu peux me tutoyer si tu le veux, cela ne me dérange pas, nous nous connaissons suffisamment maintenant. - Ecoute Benjamin, reste là, tu vas m'attendre un moment ... Était-ce par politesse ou pour ne pas me contrarier, elle s’était éclipsée un instant, Du fond de la chambre voisine, elle m’interpellait : - Puisque c'est notre dernier cours, ouvre donc la bouteille de champagne qui dort dans le réfrigérateur ! Je faisais sauter le bouchon de la bouteille de champagne dans l’espoir que les bulles me désinhibent un tantinet. Je désirais cette femme, sans pouvoir lui avouer. Les effluves d’alcool, moi qui ne buvait jamais, pourraient peut être m’aider à vaincre ma timidité. Installé dans le canapé, j'avais écouté chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je songeais à des bruissements de tissus, mais c’est la sonorité suggestive de l’eau ruisselante sur la peau d’une femme qui avait entrouvert un instant une brèche dans mes égarements. Mathilde était en train de se doucher. Qu’avait-elle en tête, pour entamer une mise en beauté, peut être une transformation que je n’osais plus espérer, j'avais entrouvert un peu plus la porte de la chambre déjà entrebâillée, espérant voler une image furtive de sa nudité. Le bruit de l’eau avait cessé. - Benjamin, je suis à toi dans cinq minutes, disons ...enfin tu verras ! Commence ! Le bruit du liquide coulant dans le cristal des verres avait rassuré Mathilde ; j'osai alors une tentative d’apercevoir Mathilde dans l’intimité de sa chambre. L’entrebâillement de la porte m'a alors offert une vision à laquelle je pense encore aujourd'hui. Mathilde, juste vêtue de rien, assise sur le rebord de son lit, était en train d’enfiler ses bas. Avec application, de la pointe des pieds jusqu’en haut de ses cuisses elle faisait glisser la matière soyeuse, l’ajustant aux mieux au galbe de ses jambes. Avec raffinement, elle les avait attachés dévoilant par la même occasion l’image sublime de sa croupe enorgueillie par les portes jarretelles. Le reflet du miroir lui renvoyait l’éclat de la féminité dans toute sa splendeur, la beauté d’une femme qui renait à la vie. Lorsque mes yeux s’étaient arrêtés sur le visage de Mathilde, j'avais découvert, avec fascination, une nouvelle femme. De grands yeux noirs étincelants, les cils de rimmel maquillés, une bouche pulpeuse de rouge à lèvre teintée, avaient métamorphosé l’austère professeur en héroïne séductrice d’un roman à inventer. J'en avais égaré tous mes doutes, cette fois j'en étais certain, le diabolique de sa féminité retrouvée reflétait une amante aux pouvoirs insoupçonnés Sur ces entrefaites et mes réflexions intérieures, j'avais abandonné ma posture indiscrète et rejoint le confort du canapé, reprenant au passage une lampée de champagne. Avant qu’elle ne s’annonce, le parfum épicé de fragrances érotiques avait précédé le retour de Mathilde. Je me détestais pour ce que je venais de faire, violer, à son insu, l’intimité d’une femme dans sa mise en beauté, mais j'en jouissais aussi pour avoir eu l’audace de braver les interdits. Puis elle était entrée, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce de sensualité. Elle était rayonnante de séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une généreuse poitrine. Mais toute sa séduction résidait dans le choix de sa jupe moulant à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je savais que sous le tissu noir moiré se cachait le somptueux corps d'une belle femme prête à être dévorée par un jeune loup affamé de sa maturité érotique. Mathilde, semblait émue par mon regard. Je lui avais tendu le verre dont elle s’était saisie, son regard maquillé planté au fond du mien. J'en avais baissé les yeux, troublé par l’audacieuse qui se révélait à moi. - Regarde moi Benjamin, il faut se regarder au fond des yeux quand on trinque. J'avais obéi, contraint de décrypter ses pensées obscures dans l’opacité de son regard langoureusement féminin. Puis, osant l'insensé, je m’étais levé, j'avais contourné le canapé, posé mon verre sur un guéridon proche, et impulsivement, me campant derrière Mathilde, j'avais entrepris de lui ôter sa pince à cheveux. J'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules assortissant mon geste d’un « c’est beaucoup mieux ainsi. » - Que fais-tu Benjamin ? Je n’aime pas laisser mes cheveux aller ... - Que cherches-tu Benjamin ? Me faire rougir, tu as réussi » Effectivement les joues de Mathilde s’étaient empourprées. Pour se donner une contenance face à ce trouble qui la gagnait, elle avait avalé une longue gorgée de Champagne. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Mathilde, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage échancré, qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps. Elle s’abandonnait doucement vers cet état si doux et si particulier qu'est le début de l'abandon. Il y avait si longtemps que les mains d’un homme ne l’avaient pas effleurée. Elle avait bien eu un ou deux amants, dans la fugacité, mais rien qui n’imprime son cerveau de souvenirs frappants. Moi, ce jeune homme, sans son consentement, je ranimais un érotisme dont elle avait oublié jusqu’à la signification. Au fond, elle espérait que je franchisse les limites d’une irréversible tentation. Perdue dans ses égarements, elle désirait peut-être que je lui avoue que je la désirais. Peut être ne serait-ce qu’une aventure de plus, une expérience sexuelle pour le jeune homme séduisant que j'étais. Elle n’avait plus accordé aucune importance à toutes mes questions lorsque, dans son cou, elle avait ressenti ma bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Les frissons léchaient maintenant ses jambes, de ses chevilles fines jusqu’en haut de ses cuisses. Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin trublion. Elle avait préféré pourtant se détacher de mes érotiques divagations pour me faire une proposition concrète - Si nous allions dîner Benjamin ? accorde moi ce dîner si tu veux bien ... - A une seule condition toutefois... rajouta-t'elle en tendant vers moi son visage Sans attendre son accord, j'avais plaqué mes lèvres contre les siennes, mon corps contre son corps, pris sa tête entre mes mains, et je m’étais appliqué dans un long baiser profond et mouillé, de ceux dont elle avait oublié la saveur et la félicité. Je venais de baiser sa bouche, mon sexe et mon esprit en étaient étourdis. - Condition remplie ! avait-elle ajouté lorsque, ivre de sa saveur, j'avais relâché l’étreinte de ma bouche intrépide. Ses dentelles de désir étaient toutes étalées Lorsqu’elle s’était levée pour prendre son manteau, j'avais enrobé la silhouette de cette femme d’un regard doux, celui d’un jeune homme ému par la délicatesse de la féminité murissante. Je n’osais plus la regarder, de peur qu’elle ne me repproche mon baiser. Sur le parcours jusqu’au restaurant, elle n’avait pas arrêté de parler, comme elle ne l’avait jamais fait auparavant, se disant si heureuse de sortir, si contente que j'ai accepté son invitation, si chanceuse de m’avoir rencontré. Et moi, je l’écoutais tout simplement enchanté de son rayonnement. Puis elle s’était interrompue, brutalement, comme si le temps s’était suspendu, et m’avait embrassé amoureusement et goulûment à la fois sous le regard pétrifié des passants anonymes. Je lui avouais l'inavouable: - Mathilde, tu devrais avoir honte de me faire bander en public. - Mais, Benjamin, c’est cela qui me plait. Nous étions entrés dans le petit restaurant.... Une fois installée dans un coin discret, elle m’avait interrogé de nouveau : - Benjamin, j’ai une question à te poser. pourquoi des bas ? Tu ne veux pas me répondre. Et bien je vais te dire ce que je pense. le jeune homme que tu es, a commencé à imaginer une femme dont tu rêve, et cette femme, c'était moi... - Tu as raison en partie, mais je ne voulais pas t’avouer que... que tu me plaisais ...beaucoup ... et que j’avais aucune chance, perdu au milieu de tes autres élèves, - Mais Benjamin ? Comment pouvais je penser que ? Elle était sidérée par ces aveux soudain, sans pouvoir m'avouer, je l'ai su après, que certains soirs, une fois les cours finis, elle avait espéré que moi, Benjamin, je l’effeuille doucement avant de lui faire l’amour. Les égards que je lui accordais en ces instants étaient en train d'instaurer cette confiance en elle qu’elle avait perdu. - Benjamin, tu es si vivant, si émouvant, si.... Alors qu’elle essayait sans pouvoir y parvenir de se trouver une excuse pour ne pas succomber, j'avais glissé discrètement une main sur sa jupe , puis sous sa jupe , empourprant par mon audacieuse attitude , les joues de Mathilde, déjà bien rosies par les effluves de Chianti. Une fois sortis du restaurant, sous la pluie, j'avais enrobé Mathilde de mes bras. Nous avions couru de porte cochère en porte cochère essayant de s’abriter des averses plus violentes, mais lorsque nous avions enfin rejoint l’appartement, nous étions trempés. Mathilde s’était ébrouée alors que je l'aidais à se dévêtir. Sous le manteau elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques. Dans l’urgence, elle m'avait embrassé avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune des respirations de Mathilde, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé une troublante gourmandise de dévorer ses seins. Avec une douceur presque féminine, j'avait défait un à un les boutons du corsage de Mathilde, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds et imprégnant qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant les entrailles avant que de mouiller les dentelles intimes ... Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais son effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle en avait tout oublié, la différence d’âge n’était plus une barrière. Elle savait dans mon regard qu’elle allait m'aimer, moi ce tendre jeune homme si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas, je lui avais clamé : - Tu es tellement belle Mes paroles élogieuses l’avaient désorientée au point que, sur l’instant, elle avait déposé avec grâce les rondeurs de sa croupe, et écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration, désir de découverte mais aussi stupéfaction. Cette femme offerte dont j'avais si souvent rêvé était en train de se concrétiser, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Mathilde, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part, repoussant les frontières des limites autorisées par cette morale qu’on m'avait inculqué. Elle si volubile en début de soirée, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant « je te veux », alors même que Mathilde, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Viens Benjamin. Je t'offre mon corps, - fais ce que tu veux de moi, je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça ! - Combien de fois n’ai-je rêvé que tu caresses et ouvre mes cuisses pour venir t’y glisser et t’abreuver du plaisir que tu pourrais me donner. Loin des inhibitions, de ma bouche, j'avais parcouru chaque parcelle de sa peau Sous les frémissements de sa peau inondée de codes érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques, j'avais écarté un peu plus grand ses cuisses, mon regard captivé par la louve attirante, ma bouche folle de désir pour son sexe licencieux. La si respectable Mathilde, professeur de violoncelle, venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Son goût prononcé pour la sensualité, lui avait valu bien des déboires. Son attirance pour l’érotisme l’avait poussée bien malgré elle, à se perdre dans des aventures aussi sensuelles qu’illusoires. Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée car elle souffrait d’une grande carence affective, elle endurait le manque d’amour comme l’attribut de son destin. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté, qu’elle allait m’adorer Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. J'étais fort bien fait, une beauté presque rare. - J'ai envie de te toucher, envie de te sentir, Benjamin. Viens près de moi. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi. Alors sans prévenir, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et en accord parfait avec les attentes discrètes de Mathilde, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Benjamin, Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi ! Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. - Je t’aime Mathilde, j’ai tant besoin de toi. Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Mathilde se révélait bien plus amante que je n’y croyais. | Mathilde et Benjamin (E) Mathilde, mon professeur de violoncelle demeurait une très belle femme malgré ses 50 ans. Mais, tout novice que j'étais, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme à dis ... |
![]() | Mathilde 2Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Mathilde, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part, une incitation à venir la sonder, repoussant les frontières des limites autorisées par cette morale qu’on m'avait inculqué. Elle si volubile en début de soirée, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant « je te veux », alors même que Mathilde, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Viens Benjamin. Je t'offre mon corps, je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça ! - Combien de fois n’ai-je rêvé que tu caresse et ouvert mes cuisses pour venir t’y glisser et t’abreuver du plaisir que tu pourrais me donner. Loin des inhibitions, Je m’étais évadé. De ma bouche, j'avais parcouru chaque parcelle de sa peau Sous les frémissements de sa peau inondée de codes érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques, j'avais écarté un peu plus grand ses cuisses, mon regard captivé par la louve attirante, ma bouche folle de désir pour son sexe licencieux. La si respectable Mathilde, professeur de violoncelle, venait entre mes bras d'éveiller en moi un grand regret, celui de n’avoir pas osé plus tôt. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Son goût prononcé pour la sensualité, lui avait valu bien des déboires. Son attirance pour l’érotisme l’avait poussée bien malgré elle, à se perdre dans des aventures aussi sensuelles qu’illusoires. Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée car elle souffrait d’une grande carence affective, elle endurait le manque d’amour comme l’attribut de son destin. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté, qu’elle allait m’adorer Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. J'étais fort bien fait, une beauté presque rare. - J'ai envie de te toucher, envie de te sentir, Benjamin. Viens près de moi. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi. Alors sans prévenir, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et en accord parfait avec les attentes discrètes de Mathilde, et je l’avais pénétrée. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Mathilde, Je veux me perdre en toi, lui avais-je murmuré, me noyer dans ta source, je veux t’aimer d’amour, Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. - Je t’aime Mathilde, j’ai tant besoin de toi. Alors que nous nous étions rejoints dans la jouissance primaire, puissante, animale, mes mots résonnaient dans la tête de Mathilde. Une voix intérieure lui ordonnait de fuir cet amour impossible, mais son côté anarchiste entrouvrait une brèche dans cette sagesse l’empêchant d’écouter la voix de la raison. La sensibilité de moi, son jeune amant dépourvu des vices dont ses autres partenaires l’avaient accablée, elle avait insidieusement dessiné l’ébauche d’une aventure peu ordinaire, une passion certainement dévastatrice, mais bien plus belle en sensation qu’une relation conventionnelle. Moi, son jeune élève quelques heures auparavant, avait franchi allégrement dans l’insouciance de ma jeunesse, toutes les barrières dont elle avait jalonné sa truculente sexualité dérobée. Savais-je, combien cette femme enrobée de mystère derrière ses tenues sévères, combien cette femme désirait que moi, le jeune trublion redonne le jour à ses dérives. Diablesse de la première heure, elle n’était en vérité tombée que sur des amants médiocrement érotisés. Mais dans l’instant, elle était en train de succomber sous mes caresses affectives, qui inlassablement couvrait chaque parcelle de son corps, exprimant sur sa peau encore moite de plaisir, des frissons désordonnés et convulsifs. Il était bien encore trop tôt pour me dévoiler quelle maîtresse abusive elle pouvait être quand elle aimait, quand elle aimait vraiment. Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité, cet amalgame épicé qui transforme la montée du plaisir en un véritable sacerdoce, une distinction épidermique et sensuelle en matière d’érotisme. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise masculine, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais, mais ma vision s’était floutée sur la nouvelle apparence qu’elle m'offrait. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, ce bleu que l’on attribut à l’image des amoureux les plus fougueux, m’avait ému, m’avait troublé, tant Mathilde se révélait bien plus amante que je n’y croyais. Cette apparente sérénité qu’elle dégageait après l’amour m’avait incité à plus d’ardeur, mais aussi à plus de respect, plus d’estime pour son autorité de femme dévorante de passion réprimée. Les pans de la chemise recouvrant presque impudiquement la naissance de ses délicieuses petites fesses exhortant à la débauche, au dépassement des convenances, lui donnait l’élégance d’une amante qui vient de faire l’amour en ne songeant qu’à recommencer. - Benjamin, regarde moi, et maintenant que va-t-il advenir de nous ? - Je ne sais pas, je t’aime Mathilde. - Ne dis pas des choses que tu pourrais regretter Sur ces mots elle s’était levée, nous avait servi deux verres de vin, puis avait déposé sur la platine un CD dont je soupçonnais le genre musical. Sa passion pour la musique, notre goût commun pour le violoncelle, nous avaient rapprochés, il était comme évident, qu’elle allait sceller notre rencontre par un morceau que nous affectionnions particulièrement. J'étais loin d’imaginer que quelques secondes plus tard, j'allais découvrir Janis Joplin, dans un de ses morceaux les plus mythiques « Summertime ». J'avais regardé Mathilde écouter le morceau, écouter était un piètre mot pour décrire avec quelle émotion, elle s’était imprégnée de la voix si particulière de Janis. Puis elle s’était perdue en explication, s’abreuvant entre deux détails sur l’éphémère existence, mais non moins riche de la chanteuse, d’une gorgée de bordeaux. Puis, elle m’avait embrassé, ôté ma chemise, s’était allongée sur moi comme une prédatrice... - Benjamin, Je vais te faire l’amour, peut être t’aimer, et alors toi aussi tu auras peut être envie d’écrire une musique pour moi Avant que de me rejoindre sous les draps, elle avait recherché le morceau de Leonard Cohen, elle l’avait posé sur la platine. elle savait qu’elle allait se perdre dans cette aventure, mais pour l’instant le souffle court et le regard brillant, elle allait prendre un plaisir insensé à se vautrer impunément entre les bras de son jeune amant. Elle avait mordu mes lèvres jusqu’au sang .La vie était bien trop courte pour passer à côté. Alors qu’elle s’appliquait à se confondre en délicates caresses sur mon poitrail totalement dépourvu de poil, qu’elle posait de doux baisers mouillés sur ma peau, la pluie s’était mise à tambouriner sur le velux entrouvert. Cette averse soudaine l’avait faite frissonner privant tout à coup de toute spontanéité son entreprenant périple sensoriel. Sans compter sur Mozart, de retour de son escapade nocturne bien trop humide pour un chat, qui sans aucune invitation était venu se réfugier contre le corps de sa maîtresse. Elle s’était absentée un instant, puis sous le clapotement des dernières gouttes de l’averse sur le verre, elle avait murmuré fièrement et autoritairement - Ferme les yeux, Benjamin Comme un enfant sage, ou un élève à son instructeur, j'avais obéi, ne songeant même pas à poser une question, la plus anodine soit-elle. Elle m’avait rejoint, l’air interdit, se glissant sur le lit. A cet endroit très précis qu’elle avait quitté quelques instants auparavant, le lit était frais .Mathilde avait ressenti la douceur de la couette sur sa peau nue, elle s’y était blottie, toute proche de moi dont elle sentait la chaleur corporelle l’irradier. Le silence s’était installé entre nous, un silence lourd presque oppressant, que je m’étais empressé de rompre persuadé qu’elle était en train de me regarder. - Que fais-tu Mathilde ? - Je te regarde...Tu es beau ! - J’en étais sûr, puis je ouvrir les yeux maintenant ? Je l’avais entendu sourire, un sourire gai presque enjoué, souligné d’une respiration lente et cadencée. Je m'étais rapproché tant et tant de Mathilde que j'avais senti son souffle contre mon cou, chaud, envoûtant. Elle avait posé un baiser mouillé sur mes lèvres puis m’avait définitivement plongé dans le noir en me barrant les yeux d’un bandeau profondément opaque. Je m’étais soudainement assis au bord du lit essayant de capturer une silhouette proche ou lointaine. Mathilde me sentait plus fébrile, à la limite de l’affolement. Elle avait creusé un écart entre nous, ponctué d’un calme troublant. Puis se saisissant de mes doigts, elle s’en était amusée sur le rebord de ses lèvres avant que d’en engloutir un, le pouce, l’enrobant de sa langue, l’emprisonnant entre ses lèvres, l’aspirant dans une chaude humidité. Bien que me sentant observé, scruté, je n’avais pu réprimer une érection de plus en plus évidente. J'avais su la trouver dans le noir, elle avait posé sa main sur ma bouche m'interdisant la continuation d’explications que je ne voulais plus entendre. Je m’étais abattu sur elle, la projetant sur lit devenu plus chaud, puis je m’étais étendu contre elle, flanc contre flanc, le feu de mon haleine contre le cou de Mathilde, ma joue râpeuse contre sa joue. Puis comme une brebis à son agneau, je m’étais appliqué à lui lécher le museau à l’aveuglette, la dévorant de petits baisers gloutons, la lapant d’une langue gourmande. L’effluve capiteux du sexe de Mathilde était en train de m’irradier, alors que ses narines au même instant captaient l’odeur mouillée de mon rameau de chair se soulevant puissamment. Cette complicité charnelle et olfactive avait soudainement mis à mal tous les projets élaborés par Mathilde. Follement excitée par le contact de ma hampe ferme contre sa cuisse, elle s’était libérée de l’étreinte, pour, de ses lèvres et de sa bouche, s’emparer de ce butin grandiose que je lui offrais. La voracité des ses lèvres m'avait surprit, totalement isolé dans les ténèbres du masque de satin noir. - Non pas maintenant, nous avons tout le temps, comprends moi bien, je te veux, oui je te veux Benjamin, mais je te veux longtemps, laisse moi croire que tu es à moi Alors même que sa phrase s’effilochait dans le silence de la pièce Mathilde avait soudain pris conscience de la portée de sa déclaration. Elle venait de se refuser le droit de résister à sa folie d’aimer un jeune homme. Je n’étais plus son élève, j'étais autre, si émouvant, une passion aussi surprenante qu’inespérée, une énergie flamboyante qui m’arracherait à l’ombre derrière laquelle elle s’était enfermée. - Mathilde que fais-tu, je ne t’entends plus, ne me laisse pas ainsi. L’instant d’après, le regard toujours barré par le bandeau, j'avais senti l’haleine de Mathilde me pénétrer et le charme de sa langue mélanger nos salive dans un long baiser. Sa bouche s’était faite amoureuse . Puis elle avait délacé le bandeau mortifère. Enfin débarrassé de mon carcan visuel, j'avais longuement caressé la poitrine de Mathilde, mon regard la scrutant intensément au point de lui faire baisser le regard. | Mathilde 2 (E) Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Mathilde, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part, une in ... |
![]() | tendre humiditéEntre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant un appel à plus d'audace de ma part, alors que, déjà, elle plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Combien de fois n’ai-je rêvé Benjamin que tu caresses et ouvre mes cuisses - Que tu viennes t’y glisser et t’abreuver du plaisir que tu pourrais me donner. - Viens vite Benjamin. Je t'offre mon corps, Loin des inhibitions, de ma bouche, j'avais parcouru chaque parcelle de sa peau Sous les frémissements de sa peau inondée de codes érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques, j'avais écarté un peu plus grand ses cuisses, mon regard captivé par la louve attirante, ma bouche folle de désir pour son sexe licencieux. La si respectable Mathilde venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt. son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Son goût prononcé pour la sensualité, lui avait valu bien des déboires. Son attirance pour l’érotisme l’avait poussée bien malgré elle, à se perdre dans des aventures aussi sensuelles qu’illusoires. Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée car elle souffrait d’une grande carence affective, elle endurait le manque d’amour comme l’attribut de son destin. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté, qu’elle allait m’adorer Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. J'étais fort bien fait, une beauté presque rare. - J'ai envie de te toucher, envie de te sentir, Benjamin. Viens près de moi. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi. Alors sans prévenir, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et en accord parfait avec les attentes discrètes de Mathilde, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Benjamin, Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi ! Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. - Je t’aime Mathilde, j’ai tant besoin de toi. Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. | tendre humidité (E) Entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant un appel à plus d'audace de ma part, alors que, déjà, elle pli ... |
![]() | lui faire plaisirJ'etais au lit avec Marthe. Nous etions nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. J'avais toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir s'était enfin réalisé, après quelques courts moments d'apprehension. Je m’oubliai dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Je posai une main timide à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j'approchai mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se pressait contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titillait la peau. J'inspirai le souffle tiède qui me baignait le cou. Marthe remonta elle-même ma main vers son bas ventre. Elle écarta largement les cuisses pour inviter cette main encore hésitante à continuer son exploration. Ma main atteignit ses grandes lèvres, douces comme les cuisses, gonflées d’impatience et juteuses. Elles s’ouvraient et s’offraient. Ma main explorait, s’introduisait enfin entre les lèvres gluantes. Elle me fit tâter délicatement son clitoris excité, puis elle enfonca quelques doigts de cette main dans son vagin. Elle se fourrait elle-même deux de ses doigts. Elle se fit jouir avec ma main qui sent jaillir du corps feminin, parcouru de contractions spasmodiques, un puissant râle de plaisir, qui m'effraya tout d’abord un peu. J'étais submergé de plaisir car l’orgasme de Marthe m'avait également traversé. Et c’est avec amour qu’elle me branla lentement, et me fit jouir. Marthe prit ma main et m'entraîna vers le lit. Elle serra son corps contre le mien, me fixa de nouveau dans les yeux, - Maintenant, Julien, je veux te faire plaisir ! Laisse moi faire ! Marthe se laissa alors couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle aspira, sur toute sa longueur. Elle suçait ma verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui m'excitait au plus haut point. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de mon mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts m'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce qu'elle était en train de provoquer - Marthe ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégagea sa tête de mes mains, dirigea son regard vers le mien. - Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait elle aussi se faire jouir. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche - Marthe ! Oh Marthe ... Je viens ! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle pompait avec ardeur ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, Marthe m'adressa un regard langoureux à moi, son jeune amant pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai Marthe à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Elle recommença avec ses lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis mon corps se tendre une nouvelle fois, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, je n'y tins plus ! la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment. Elle était là, contre moi, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Ses lèvres reprirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse. - Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose ! Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle me murmura dans l'oreille : - Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre ! Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant. Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que ma verge s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond. - Viens, Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme ! Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. Je me bloquais et je me vidais en elle dans une serie de spasmes genereux Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement. | lui faire plaisir (E) J'etais au lit avec Marthe. Nous etions nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. J'avais toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir s'était enfin réalisé, après quelques ... |
![]() | tu es tout chaud ! et j'ai froidEn m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve, après ce moment de tendresse que je venais de vivre ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas feutrés. Je cessais de bouger. Il faisait nuit dans la chambre. la porte s'ouvrit doucement. Sous la lumière naissante, une idée imprécise. J'étais dans une douce pénombre, la porte s'est ouverte ... discrètement ... un silence ...Je fermai les yeux, je sentis un parfum féminin, qui m'ennivra. Elle était là, tout près. J'avais l'impression qu'elle me regardait Je devinais son corps plus que je ne la voyais Mes yeux se firent prunelles Je sentis frémir sa peau Je la découvris enfin dans la pénombre, approchant sous une chemise de nuit légère et translucide. Le tissu flottait doucement sur la pointe de ses seins, Juste quelques dentelles qui caressaient sa poitrine sa respiration était rauque et son débit saccadé. Marthe était là, devant moi, terriblement troublante, me regardant fixement avec un air de tendresse. Je découvrais discrètement toute la sensualité de ses formes. - Julien, tu es tout chaud ! et j'ai froid ! - Tu as été très tendre avec moi ! Tu me réchauffes bien ! J'ai envie d'être avec toi Elle s'approcha dans l'ombre, très proche de moi Je n'endendis plus rien ... silence. J'entendis enfin un bruit feutré de tissu ... qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique ... un nouveau silence. Elle jouait de ma résistance. Ses seins apparaissent dans la pénombre. sa chemise glisse à terre, puis son soutien gorge. j'embrasse la chair tendre, elle se déshabille lentement. Je sentis le contact d'une main ... Je tressaillais. J'entendis alors une douce voix me murmurer à l'oreille - Tu es bien avec moi ? Tu as envie de moi ? - Marthe ! vous êtes si douce ! C'est si bon ! - j'ai besoin de toi, besoin de tes caresses, besoin de ta tendresse - Je veux sentir la chaleur de ton corps contre moi Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes de ses seins en saillie et elle appréciait en gémissant doucement, elle prit ma verge déjà dure et commença un doux massage de ses mains. C'était le paradis. Elle était là, blottie contre moi, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée contre moi, les jambes écartées, sa robe de nuit relevée. Elle me regarda, puis ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. Elle s'écarta de moi - Julien, Dis moi tout bas tes plus folles pensées ... - Tu vas me laisser te faire plaisir Mon drap s'est subitement écarté, poussé par des doigts graciles, je sentis des gestes lents, mon pyjama glissa furtivement vers le bas. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre, sur le haut de mes jambes, tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main plus bas. Mes doigts se glisserent dans une texture fine et soyeuse. C’était la longue chevelure de Marthe. Mes mains caressaient sa nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était elle, c'était sa bouche humide, sensuelle, charnelle ! Elle me prodiguait une sublime fellation. Les mouvements de sa tête furent d’une extrême lenteur, Sa langue douce lècha ensuite mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, ses lèvres s’enroulerent autour de ma verge. Elle me suça plus profondément en accélérant la cadence. Je n'en pouvais plus - Marthe ! Je ne vais pas pouvoir me retenir Elle continua en me caressant le bras en signe d'encouragement à me laisser aller - Marthe ! Je ne résistai plus. Mon sperme se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte. Puis, Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Je sentis alors ses jambes nues qui s'enroulerent autour de mes cuisses. Une peau douce qui caressait la mienne, elle s'allongea sur moi et je sentis mon sexe aspiré dans un écrin chaud. - Oh Marthe ! Vous êtes si douce ! - Tu sens ? Ca glisse tout seul ! - Oh oui ! Je vous sens bien ! vous êtes si douce ! C'est si bon ! - Tu sens mes petites contractions intimes ? - J'aime bien ! - Julien, tu me fais du bien, tu sais ! - Marthe ! Je crois que je vais venir ! Vous voulez que je me retire ? - Non reste bien au fond ! J'ai besoin de te sentir ! Moi aussi ... J'ai fortement envie de toi ! - Marthe ! ... Je viens ! Je n'y tins plus. Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. - Oui Julien ! ... Oui ! ... Que c'est bon ! - Tu m'as fais du bien, tu sais ! Tu es un délicieux amant ! - Reste en moi ! Restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, - Tu es mon bel amant ! Merci mon chéri Tu m'as donné du plaisir. Maintenant, il faut dormir ! Elle se redressa brusquement. J'eu à peine le temps de distinguer sa silhouette qui disparaissait dans l’embrasure de la porte. - Marthe ! ... J'ai envie ! - Tu as envie de moi ?... mais je suis trop vieille pour toi ! - Marthe ... j'ai si envie ! - Viens ! .... Viens sur moi ! ... Et rentre doucement.. - Pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... - Oui ! Comme ça ! ... c'est bien ! | tu es tout chaud ! et j'ai froid (E) En m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve, après ce moment de tendresse que je venais de vivre ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas f ... |
![]() | douce visite nocturneJe m'étais couché tôt ce soir là. J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, je reconnu alors Marthe. Elle m'avait surpris dans mon sommeil et je feignais de rester endormi. puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Marthe était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement. Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus. Lorsque je me réveillais tôt le matin, la chambre était encore dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de nouveau de ma torpeur. Marthe s'était relevée et m'avait chevauché. Splendide. Elle avait ouvert sa chemise de nuit, et reajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. Elle me fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire luisant sur les lèvres, elle prit mon sexe bandé dans sa main et se laissa progressivement glisser sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait avec delectation sur moi en me fixant avec un regard legerement humide, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait comme dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais en elle comme un cheval, Je pétrissais ses seins, elle gémissait, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Je me crispai. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! planté au plus profond d'elle, je lâchais ma semence par salves successives. Je giclai en elle par saccades. La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs et prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula sur moi en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En se retirant d'elle, ma queue émit un indécent bruit de siphon | douce visite nocturne (E) Je m'étais couché tôt ce soir là. J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura u ... |
![]() | une belle femme mûreJe suis au lit avec Marthe dans la douceur de ses draps. Nous sommes nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. Elle me serre contre elle, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, mes lèvres sont à quelques centimètres des siennes. Je suis totalement sous son emprise. Elle se rapproche encore. Elle est vraiment superbe. Elle se tourne moi, me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle caresse ses seins, qui pointent vers moi. Ils tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Puis, elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisé. Elle me fixe de nouveau avec, cette fois, un sourire gourmand. Je fond ! Elle se serre alors contre moi et m'enlace étroitement . Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous restons un moment face à face, sans parler. Puis elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Le contact m’électrise. Je caresse et palpe cette chair douce et ferme. Elle soupire, le regard vitreux. Marthe est une belle femme mûre, sensuelle, de belles poitrines encore souples qui s'affaissent doucement sur mon torse. J'ai toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir se réalise enfin, après quelques courts moments d'apprehension. Je m’oublie totalement dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Je pose une main timide à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j'approche mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se presse contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titille la peau. J'inspire le souffle tiède qui me baigne le cou. Marthe remonte elle-même ma main vers son bas ventre. Elle écarte largement les cuisses pour inviter cette main encore hésitante à continuer son exploration. Ma main atteint maintenant ses grandes lèvres, douces comme les cuisses, gonflées d’impatience et juteuses. Elles s’ouvrent et s’offrent. Ma main explore, s’introduit enfin entre ses lèvres gluantes. Elle me fait tâter délicatement son clitoris excité, puis elle enfonce quelques doigts de ma main dans son vagin. Elle se fait jouir avec ma main qui provoque la reaction du corps feminin, parcouru de contractions spasmodiques, un puissant râle de plaisir, qui m'effraie tout d’abord un peu. Je suis submergé de plaisir car l’orgasme de Marthe m'a également traversé. Et c’est avec amour qu’elle me branle maintenant, lentement, et finit par me fair jouir moi aussi Je tente de m'échapper, mais elle me retient et m'attire vers elle. Passant sa main sur ma nuque, attirant mes levres à la rencontre des siennes. Le baiser est beaucoup plus ardent ... et profond. Je me décompose ! Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je déglutis difficilement. Elle commence à dégrafer sa robe, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Je suis tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, je pose mes mains sur ses épaules Elle est entierement nue maintenant, son corps contre le mien. Elle plonge son regard vitreux dans mes yeux ... me supplie de venir. Je la pénètre ... avec douceur. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. C'est suave. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine, et émet des bruits delicieux de succion, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des râles. Ses mouvements se font plus désordonnés, Mon excitation atteind un paroxysme. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes ... se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Elle me caresse tendrement. Puis je quitte sa cabine doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Les jambes recroquevillées, les corps face à face, l'un contre l'autre, dans le grand lit de Marthe. J'admire sans réserve son mélange sensuel d'angles et de courbes. Je l'observe. J'aime sa coiffure qui dégage sa nuque sur laquelle seuls quelques cheveux rebelles dessinent d'attendrissantes volutes. J'ai une soudaine envie de plonger dans ces spirales et de m'enivrer de leurs trésors que sont le grain de votre peau et son parfum sucré. Je m'y perds par la pensée un long instant. Doucement j'avance ma main vers vous, vous ne remarquez rien. Votre tête est légèrement tirée en arrière. Vos yeux brillent, vous me fixez un instant puis baissez votre regard. Alors ma main glisse lentement vers votre nuque dont j'effleure les contours. Vous fermez les yeux. Je m'occupe de vous, tendrement. La nuit est tombée, les enfants dorment paisiblement dans la chambre au bout du couloir. Nous sommes maintenant tous deux allongés côte à côte dans le lit conjugal, Nous nous regardons et je lis encore en vous toute l'émotion de mes caresses sur votre nuque. Vous vous approchez timidement pour embrasser mes lèvres. J'accepte. Alors je glisse ma main sur votre épaule pour remonter le long de votre cou. Je progresse en vous effleurant et de mes doigts. Je me faufile à travers votre chevelure. Je plante de doux baisers sur votre jugulaire puis je remonte vers vos oreilles. Ma main est toujours accrochée dans vos cheveux alors je tire encore un peu plus pour offrir l'autre côté de votre gorge à mes baisers. Vous tressaillez, j'exulte. Le plaisir est arrivé comme souvent lorsque, tous deux, nous mélangeons nos corps et nos âmes. Je me suis retiré de vous, mon foutre dans votre ventre. Qu'il reste en vous le plus longtemps possible un peu de moi. | une belle femme mûre (E) Je suis au lit avec Marthe dans la douceur de ses draps. Nous sommes nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. Elle me serre contre elle, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur ... |
![]() | une belle femme mûreMarthe est une belle femme mûre, sensuelle, de belles poitrines encore souples qui s'affaissent doucement sur mon torse. Elle me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe. Elle se tourne moi, caresse ses seins, qui pointent vers moi. Ils tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Elle me serre contre elle, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, mes lèvres sont à quelques centimètres des siennes. Je suis totalement sous son emprise. Elle se rapproche encore. Puis, elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisé. Elle me fixe de nouveau avec, cette fois, un sourire gourmand. Je fond ! Elle se serre alors contre moi et m'enlace étroitement . Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous restons un moment face à face, sans parler. Puis elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Le contact m’électrise. Je caresse et palpe cette chair douce et ferme. Elle soupire, le regard vitreux. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et m'attire vers elle. Passant sa main sur ma nuque, attirant mes levres à la rencontre des siennes. Le baiser est beaucoup plus ardent ... et profond. Je me décompose ! Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je déglutis difficilement. Elle commence à dégrafer sa robe, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Je suis tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, je pose mes mains sur ses épaules Elle est entierement nue maintenant, son corps contre le mien. Elle plonge son regard vitreux dans mes yeux ... me supplie de venir. Je la pénètre ... avec douceur. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. C'est suave. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine, et émet des bruits delicieux de succion, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des râles. Ses mouvements se font plus désordonnés, Mon excitation atteind un paroxysme. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes ... se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Elle me caresse tendrement. Puis je quitte sa cabine doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Les jambes recroquevillées, les corps face à face, l'un contre l'autre, dans le grand lit de Marthe. J'admire sans réserve son mélange sensuel d'angles et de courbes. Je l'observe. J'aime sa coiffure qui dégage sa nuque sur laquelle seuls quelques cheveux rebelles dessinent d'attendrissantes volutes. J'ai une soudaine envie de plonger dans ces spirales et de m'enivrer de leurs trésors que sont le grain de votre peau et son parfum sucré. Je m'y perds par la pensée un long instant. Doucement j'avance ma main vers vous, vous ne remarquez rien. Votre tête est légèrement tirée en arrière. Vos yeux brillent, vous me fixez un instant puis baissez votre regard. Alors ma main glisse lentement vers votre nuque dont j'effleure les contours. Vous fermez les yeux. Je m'occupe de vous, tendrement. La nuit est tombée, les enfants dorment paisiblement dans la chambre au bout du couloir. Nous sommes maintenant tous deux allongés côte à côte dans le lit conjugal, Nous nous regardons et je lis encore en vous toute l'émotion de mes caresses sur votre nuque. Vous vous approchez timidement pour embrasser mes lèvres. J'accepte. Alors je glisse ma main sur votre épaule pour remonter le long de votre cou. Je progresse en vous effleurant et de mes doigts. Je me faufile à travers votre chevelure. Je plante de doux baisers sur votre jugulaire puis je remonte vers vos oreilles. Ma main est toujours accrochée dans vos cheveux alors je tire encore un peu plus pour offrir l'autre côté de votre gorge à mes baisers. Vous tressaillez, j'exulte. Le plaisir est arrivé comme souvent lorsque, tous deux, nous mélangeons nos corps et nos âmes. Je me suis retiré de vous, mon foutre dans votre ventre. Qu'il reste en vous le plus longtemps possible un peu de moi. | une belle femme mûre (E) Marthe est une belle femme mûre, sensuelle, de belles poitrines encore souples qui s'affaissent doucement sur mon torse. Elle me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraimen ... |