![]() | blottis dans le litQuand Julien est venu ce soir là me dire bonsoir dans ma chambre, j'ai bien vu dans son regard que quelque chose dans son attitude avait changé, qu'il me regardait avec une intensité que je ne lui connaissais pas. Lorsqu'il est venu se pencher vers moi je réalisais que je lui diffusais sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum. Mes seins étaient à proximité immédiate de ses bras, de son visage, me provoquant immédiatement une salve de frissons. Il était vraiment très proche de moi, trop proche. Il sentait bien que j'étais chaude sous ma legere chemise de nuit. Cette proximité me donnait à moi aussi des envies de le sentir un peu plus contre ma peau. Pris d'un acces de tendresse, j'ai alors soulevé mes draps. Qu'avais-je fait ? Julien était maintenant allongé contre moi dans l'intimité de mon lit. Il me confiait son plaisir d'être à mes cotes, et ses sentiments naissants. Et je le laissai faire, sachant tres bien ou celà risquait de nous conduire. Julien est un beau jeune homme, bien bâti, comme toutes les femmes peuvent en rêver. Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser, me caresser. Je sentis alors ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais plus bas, la douceur de ses jambes. Petit à petit, il les glissait subrepticement entre les miennes. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous ma fine chemise de nuit, il caressait maintenant mes flancs, mon ventre. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais timidement de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. En fait, je désirais Jerome de plus en plus fort. je le désirais violemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce jeune mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. J'étais déjà à lui. Je pris alors sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi Des spasmes m'ont alors surpris, je jouissais dans ses bras. J'exprimai ma jouissance dans un râle long, m'agrippant à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Mais pourquoi se débattre ? Je m'abandonnais totalement à lui. Il me mordait doucement le cou. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Je sentais pointer entre mes jambes son sexe ce qui ne faisait que m'exciter davantage. J'agitais mon bassin, je glissais une main et testais son désir, je le pris en main, dur comme le bois, le caressais et le massais doucement. Je le jugeais terriblement prometteur. Il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. J'en voulais plus ! Je ne voulais pas que ça s’arrête. D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui avouer mon impatience: - Julien, je suis prête ! Viens ! Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. La chambre baignait dans une douce penombre, nos corps se frottaient au ralenti, il me caressait, m'embrassait, je me laissais emporter. Je fermais les yeux, je m'offrais à ses caresses intimes, son souffle sur mon cou, nos corps se frottaient l'un dans l'autre. il n'y avait plus dans la pièce que nos deux corps, et de brefs murmures. J'étais en train d'accepter tout de lui. Il m'affolait litteralement. Nos corps se déchainaient d'une intense passion, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous frotter, de nous assouvir l'un dans l'autre. Je me suis séparé de lui un moment, tentant de reprendre mes esprits. Je réalisais alors mon attirance violente pour ce beau corps d'homme vigoureux qui m'attirait beaucoup plus que je ne le pensais. Jerome glissait merveilleusement dans ma chair et finit par declencher dans mon corps une serie de spasmes de jouissance. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite. Je sentis à un moment qu’il était sur le point de non retour. Il accelera, son sexe se mit à raidir, se contracter. Je le sentis trembler, puis s'enfoncer d'un coup, il s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. | blottis dans le lit (E) Quand Julien est venu ce soir là me dire bonsoir dans ma chambre, j'ai bien vu dans son regard que quelque chose dans son attitude avait changé, qu'il me regardait avec une intensité que je ne lui connaissais pas. Lorsq ... |
![]() | Nous étions proches, trop prochesJe lui avais permis de venir le soir me souhaiter bonne nuit alors que j'étais déjà en chemise de nuit dans mon lit. Une simple visite de courtoisie chaleureuse. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Je le savais. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. Il me caressait le corps, les seins au travers de la soie de ma lingerie, puis j'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à remonter sous le tissu et me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. - Julien ... Tu es en train de toucher des parties intimes, tu sais ! En fait, c'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts pénétrait mon intimité. - Julien, que fais-tu ? ... est-ce vraiment raisonnable ? Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commençais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Mais, quand j'ai senti le contact de son sexe bandé sur mes grandes lèvres, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à me pénétrer. - juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, il ne s’arrêtait pas ! - Julien ! Que fais-tu ? s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son sexe grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa pénétration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son énorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette soiree, Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissamment dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il râlait de plus en plus fort au dessus-de moi, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort un "Aaaahhh !!!" sonore et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. - Oh Julien ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis .... Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. - Julien ! Qu'avons nous fait ? Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma chemise de nuit était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Julien s'était endormi sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. | Nous étions proches, trop proches (E) Je lui avais permis de venir le soir me souhaiter bonne nuit alors que j'étais déjà en chemise de nuit dans mon lit. Une simple visite de courtoisie chaleureuse. Sa présence néanmoins me troublait d'une se ... |
![]() | le fougueux LucasLucas s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il m'affolait de plus en plus. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. Je realisais mon attirance violente pour ce jeune corps. J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Excitée à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je guidai son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides et je le fis rentrer doucement en moi, éprouvant une véritable jubilation au contact de cette verge qui glissait à merveille dans mes chairs moites. Il se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un puissant mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, comme si nous étions de vieux amants. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées : -- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !… Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front - Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon ! Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. - Oui, ... va-y ! .. Il était en train d'atteindre le point de non retour, je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu, -Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus ! ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. - Oh oui ! ... Que c'est bon ! Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit: - Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… - Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. - J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ? Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement. Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. | le fougueux Lucas (E) Lucas s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il m'affolait de plus en plus. Nos corps se sont rapprochés, ses m ... |
![]() | J'avais envie de lui, il avait envie de moiJ'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Je l'attirai vers moi. Il pénètra mon corps, d'un coup, me provoquant un leger sursaut, une petite décharge. Je me laissai pénètrer, mes chairs se distendaient. Je l'accueilli en moi. Je l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je mouillais sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchaient les siennes et j'attrapai sa bouche. Il se pressait contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues. Je le sentais me fouiller, me remplir. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissait. il collait son ventre contre le mien, nous étions emboités l'un dans l'autre. Il se mit à glisser en moi plus amplement, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnaient son corps et l'attiraient en moi chaque fois qu'il s'en éloignait. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient sur le lit, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis il alla plus loin, plus profond et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir dans mon ventre. je frissonnais, je tremblais.... Je montais irrémédiablement. J'allais jouir d'un moment à l'autre. Et soudain, l'éclair. Tout mon corps se mit à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sentit et d’un coup de rein, s'enfonca tout au fond de moi, en poussant un long râle, puis il s’immobilisa, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait en moi. Je le sentis se répandre. Je jouissais aussi, une douce brûlure. Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. son sexe glissait doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau il reprit vigueur, entra de nouveau en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense se mit a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’immobilisa, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage se crispa... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquerent une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : Son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'étais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se répandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il me souffla : “Oh... Marthe...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie | J'avais envie de lui, il avait envie de moi (E) J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Je l'attirai vers moi. Il pénètra mon corps, d'un coup, me provoquant un leger sursaut, une petite décharge. Je me laissai pén&egrav ... |
![]() | Premiers contacts entre nos corpsPremiers contacts entre nos corps. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. nous sommes nus, l'un contre l'autre. J'en frémis. Son gland caresse le pourtour de ma vulve, Je sens son sexe dur, je l'aspire dans le mien. Il s'enfonce en moi, il glisse dans mon ventre, je ferme les yeux. C'est une pénétration douce. un rythme lent au début. Il s'enfonce un peu plus. Je m'offre totalement, les jambes bien écartées. Il commence à bouger en moi, lentement, se retire, legerement, puis il me pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de son sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Je soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, Je me détends. Je le sens, je m’abandonne à lui, liquide, légère. Il goute ma chaleur humide, mon envie de lui, mon désir de lui, mon goût du vertige, il continue, poursuit son voyage en moi, il m'explore, profondément. Les yeux fermés, il goute mes succions intimes, mes douces contractions qui enserrent son sexe. Ses muscles se tendent, se raidissent. Il ne se retient plus ! Il vide sa joie en moi ... | Premiers contacts entre nos corps (E) Premiers contacts entre nos corps. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. nous sommes nus, l'un contre l'autre. J'en frémis. Son gland caresse le pourtour de ma vulve, Je sens s ... |
![]() | Mon corps peu à peu s'est offertJ'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Plus il me pénétrait, plus son souffle était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi: - Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ? - Non ... Pas encore ... Continue tes caresses ! Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. - Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ? - Non ! Reste ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard ..... - Marie ! ... Je viens ! - Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond ! Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés. - Oh Marie ! Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières. Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur. Joyce Mansour | Mon corps peu à peu s'est offert (E) J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternit&eacut ... |
![]() | être belle pour luiJe voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit d'amour entre nous deux, lui apparaître toute en séduction, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Ma une belle chemise de nuit, elle aussi de soie blanche ajourée de dentelles, prête à être dévorée par ce jeune homme vigoureux et affamé. J'ai libéré ma chevelure, je l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai glissé ma main à la base de la nuque de Lucas, il s’est laissé faire. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Avec une douceur presque féminine, il écarta les bretelles de ma chemise de nuit, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je dénouai alors ma robe de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion. - Tu vas me faire l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux ! Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et il s'est glissé auprès de moi. Il s'est blotti dans mes bras, au contact direct de la chaleur de mon corps. Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. - Tu aimes mes caresses, Lucas ? Tu sais, moi aussi ... Je suis toute humide ! Je continuais à masser doucement son sexe qui continuait à grossir et s'allonger dans ma main. Puis, je me suis tourné vers lui, - Lucas ! ... Je suis prête ! ... Et je crois que toi aussi ! J'ai envie maintenant de te sentir en moi ! Je me suis allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, Puis, le fixant, j'écartai mes jambes et je le guidai vers moi. Alors sans attendre plus longtemps, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. - Entre doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... Il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, - Lucas, tu me fais du bien, tu sais ! Et toi, tu es bien ? - Je t'offre mon corps, et tu m'offres le tien ! Je suis une femme comblée J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. - Je suis heureuse mon chéri, et même, si tu savais, bien plus que ça ! Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. - Lucas, ce soir, je veux que tu te perdes en moi, lui ai-je murmuré, - Je veux toute ta joie, aime moi et donne moi tout de toi ! Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse. J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs. Alors que nous goutions tous les deux les delices de nos douces caresses, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je sentai qu'il ne tarderait plus, lui non plus à sentir monter la jouissance. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. - Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! - Vas-y mon chéri, ne te retiens plus ! Tu vas me donner le meilleur de toi ! Toute ta sève chaude ! - Marie, faut-il que je me retire ? - Non mon chéri, je veux toute ta sève au fond de moi ! Remplis moi de ta joie ! Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. - Oh ... Lucas ! ... Maintenant ! ... Je suis prête ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, - Lucas ! ... Viens ! ... Vite ! - Oh Marie ! ... Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. De longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Dans la foulée je me raidis aussitôt en émettant un long râle déchirant. Tout mon corps se mit à trembler convulsivement. - Oh Lucas ! ... C'est si bon ! ... Continue ! ... Encore ! - Bien au fond ! Je veux toute ta joie au fond de moi ! J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. - Lucas ! Tu es si tendre, si genereux ! ... Tu m'as comblée. - Ne t'inquiètes pas de mes larmes, Je pleure de joie. Tu es maintenant mon jeune et bel amant ! - Restons ainsi encore quelques instants, Ne bougeons pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. - Je conserve dans ma chair un chaud souvenir de vtoi. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. | être belle pour lui (E) Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit d'amour entre nous deux, lui apparaître toute en séduction, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Ma une belle chemise de nuit, elle aussi de soie bla ... |
![]() | Il venait d'avoir dix-huit ansIl venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage - Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il - Non...Pas encore... lui répondis-je Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude ! Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse. J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans | Il venait d'avoir dix-huit ans (E) Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ... |
![]() | emportés par la passionJulien m'avait entrainé dans sa petite chambre d'étudiant et m'avait manifesté de telles marques d'affection que j'en étais toute retournée. C'est ainsi que je me suis retrouvée allongée dans son lit avec lui et emportée dans une spirale amoureuse que je ne contrôlais plus vraiment. J'étais bouleversée par ce qui était en train de se passer entre nous. Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de sa chambre d'étudiant. Julien avait relevé ma combinaison. Il bandait de manière indécente contre moi, me faisant sentir la réalité de ses envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement affolée par la situation dans laquelle nous étions en train de nous mettre. - Julien ! Que fais-tu ? Que sommes nous en train de faire ? Sa main se glissait au bas de mon dos, il remontait encore le bord de ma lingerie, me serrait contre lui. Je ne parvenais plus à l'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, il cherchait ma bouche, nos mains, malgré moi, s'exploraient, je l'entendis me murmurer à l'oreille: - Marthe ! j'ai envie ! Visiblement excité à l'idée de partager avec moi la jouissance d'une pénétration, il s'excitait sur mon corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, je m'emparai de son sexe gonflé, et le caressais doucement. Puis, n'y tenant plus, j'en dirigeai le bout entre les mes lèvres intimes. Il n'en fallait pas plus pour qu'il s'enfonce d'un coup en moi, la verge bandée, éprouvant une jubilation inédite en sentant son sexe dur glisser dans mes chairs moites. Je sentais le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve. J'étais à la fois complètement affolée et totalement réceptive - Oh Julien ! ! Planant sur un puissant nuage érotique, Julien, ne m'écoutait plus, il s'affairait sur mon corps, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux. Il se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées : - Plus vite ! grognai-je… bien au fond !… Oh Julien ! De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, Julien s'activa de plus belle dans mon ventre désormais totalement investi, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Julien ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, j'avais compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, - Ooohh ! ... Marthe ... Puis, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement animal, déversant son sperme abondant au plus profond de mon sexe ravagé. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de Julien. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps devenu trop lourd de Julien à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit: - Julien ! Qu'avons nous fait ? Je me penchais alors sur mon jeune amant pour l'embrasser tendrement… - J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut t'en aller | emportés par la passion (E) Julien m'avait entrainé dans sa petite chambre d'étudiant et m'avait manifesté de telles marques d'affection que j'en étais toute retournée. C'est ainsi que je me suis retrouvée allongée dans ... |
![]() | les lèvres de JeromeJerome m'avait entrainé dans sa petite chambre d'étudiant et m'avait manifesté de telles marques d'affection que j'en étais toute retournée. C'est ainsi que je me suis retrouvée emportée dans une spirale amoureuse que je ne contrôlais plus vraiment. J'étais bouleversée par ce qui était en train de se passer entre nous. Jerome était un beau jeune homme, bâti comme toutes les femmes en rêvent. J'étais seule, je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Le contact de son corps sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en le regardant, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus, je voulus interrompre ce qui commencait à nous mener vers une situation incontrolable. Nos deux corps étaient désormais serrés l'un contre l'autre, dans l'intimité de sa chambre d'étudiant. Jerome avait relevé ma combinaison. Il bandait de manière indécente contre moi, me faisant sentir la réalité de ses envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement affolée par la situation dans laquelle nous étions en train de nous mettre. - Jerome ! Que fais-tu ? Que sommes nous en train de faire ? Sa main se glissait au bas de mon dos, il remontait encore le bord de ma lingerie, me serrait contre lui. Je ne parvenais plus à l'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, il cherchait ma bouche, nos mains, malgré moi, s'exploraient, je l'entendis me murmurer à l'oreille: - Marthe ! j'ai envie de vous ! - Jerome ! Non ! Ce n'est pas bien ! Il ne faut pas ! Je suis trop vieille pour toi Il continuait à s'exciter sur mon corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Il était tard. Jerome m'a entrainée doucement vers son lit dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer Je me sentais plutôt instable. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement son enorme sexe contre moi ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je ne sais pas ce qui m'a pris, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit - Jerome, cessons ce jeu, nous allons faire des betises Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un simple flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Ce jeune homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Jerome, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici ! Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Je m'arreterai dès que vous me le direz. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. - Oh Jerome ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants... Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment ! et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, - non, Jerome s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie ! J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Planant sur un puissant nuage érotique, Jerome, ne m'écoutait plus, il s'affairait sur mon corps, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux. Il se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées. J'ai explosé à ce moment là, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. - Oh Jerome ! Qu'avons nous fait ? tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...! - Helene ! C'est si bon ! - Jerome ! Tu as joui en moi ! Qu'allons nous faire maintenant ? - je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu m'as remplis .... tu m'as envahie .... Je protestais mais mon corps continuait à en reclamer davantage. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. - Oh Jerome ! Nous avons fait une grosse betise ! Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée et m'émerveillant à la fois de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Jerome l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. - Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! , - Hélène je suis désolé, vous etiez si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que vous me laisseriez ! J'ai fait une pause et l'ai regardé. Jerome m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît ! Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Jerome s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. J'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | les lèvres de Jerome (E) Jerome m'avait entrainé dans sa petite chambre d'étudiant et m'avait manifesté de telles marques d'affection que j'en étais toute retournée. C'est ainsi que je me suis retrouvée emportée dans ... |
![]() | Julien ! Que fais-tuNos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre dans l'intimité de sa chambre conjugale. Julien avait relevé ma robe de nuit. Il bandait de manière indécente contre moi me faisant sentir la réalité de ses envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement affolée par la situation dans laquelle nous venons de nous mettre. - Julien ! Que fais-tu ? Que sommes nous en train de faire ? Il posa ses levres sur les miennes, et je ne fis rien pour l'en empêcher. Sa main se glissa au bas de mon dos, il remonta encore le bord de ma nuisette, me serra contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se rapprocherent et se déchainerent d'une intense passion. Nos corps se heurterent, nos bouches se chercherent, nos mains s'explorerent, il me murmura à l'oreille - j'ai envie de toi ! - Julien ! tu me pousse à bout ! Il ne faut pas ! - J'ai si envie de toi ! - Ou alors ... si tu viens .... viens doucement ... Que nous en profitions ! Terriblement excitée à l'idée de partager avec ce bel adolescent les délices de la pénétration, je m'emparai de son sexe gonflé, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et aspirai aussitot d'un coup en moi la verge bandée éprouvant une jubilation inédite en sentant ce sexe dur glisser dans mes chairs moites. Je sentis le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve. - Julien ! Que faisons nous ! C'est si bon ! Mais ce n'est pas bien ! Planant sur un merveilleux nuage érotique, Julien, contre le corps sensuel de sa chaude compagne, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées : - Plus vite ! grognai-je… bien au fond !… De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son amante, Julien, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, Lea avait compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, et, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal : - Eh bien ! Qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - Oh Oui ! - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut t'en aller | Julien ! Que fais-tu (E) Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre dans l'intimité de sa chambre conjugale. Julien avait relevé ma robe de nuit. Il bandait de manière indécente ... |