arpoma
mercredi 17 décembre 2025 - 11h07
menu / rep

atlas / rech


repertoires:

(diapo) (rep-list) (grd ecran)
   .. / jn
Nombre de fichiers dans le répertoire : 19
@

Paulina


Sa grâce est élastique, son élégance naturelle, nos regards se croisent. flash. Nos yeux se ferment. Trouble. Elle s’appuie sur mon bras, me touche. Frisson sa chaleur, son parfum, son visage me grisent chaque pas anime sa poitrine. Elle est éblouissante. Une jupe légère qui la couvre à mi-cuisses, un pull leger moule des seins adorables qui pointent outrageusement. elle me saute au cou, me dispense un baiser qui me coupe le souffle. elle me prend la main, virevolte, et m’entraîne.
- Viens, je t’emmène, ne restons pas là !
Sa voix est douce, suave, souple comme une liane, et j’ai peine à la suivre. Nous marchons, montons ... nous sommes dans sa chambre Elle s’arrête enfin, me fait face, les bras le long du corps, les paumes tournées vers moi, Mes jambes ont du mal à me porter... Je suis anéanti, liquéfié. Je la regarde, je la détaille, je me remplis les yeux. Son corps, ses mouvements, ses expressions, tout en elle est emprunt d’une sensualité indéfinissable, envoûtante.
- J'ai froid ! Tu viens me réchauffer ? me lance t'elle d'une voix suave
Les yeux fermés, sa respiration soulève sa poitrine. Une respiration lente, calme. Les pointes de ses seins se dressent sur des mamelons crispés par la fraicheur. ses mains me caressent mon ventre. Elle me caresse les flancs. Elle me pétrit la nuque, colle ses seins sur mon torse, fait éclore des baisers chauds dans mon cou. De longs frissons voluptueux me parcourent l’échine. Mon sexe me fait mal, bandé à pouvoir pénétrer un mur. Elle se jette sur mes lèvres, fouille ma bouche, me baise les yeux, mordille mes oreilles, se colle contre moi. Je suis envahi par un tourbillon sauvage qui me déborde de toute part.

Assise sur mon ventre, la poitrine en avant, elle contemple son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles devant mon nez, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéanti, son corps est contre le mien, sa chaleur irradie. En appui sur ses bras, elle leve son bassin, se positionne au dessus de moi, et dirige mon sexe vers ses lèvres intimes.
Puis elle s'empale petit à petit. Chaude humidité. Sensation divine. Lentement ses hanches remuent, elle absorbe mon gland. C’est un ciel sans fin dans lequel je me noie. Mes mains sur ses reins suivent son mouvement. Elle bouge lentement, se délectant de la caresse qu’elle se procure. Sa bouche s’est ouverte, je respire son haleine parfumée. Elle se recule... se redresse, me prend de nouveau à l’orée de son ouverture. Les yeux fermés, attentive, lentement elle se plante, m’enfonce en son sein.
Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. sensation délicieuse, presque douloureuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite. Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être,
Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, Elle se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir de moi. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau.
Elle glisse sur mon guide, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Sous mes doigts tous ses muscles entrent en mouvement, marée vivante qui se contracte et se relâche, chair ferme et souple. Elle a fermé les yeux, ses narines palpitent, le rose qui lui vient aux joues témoigne du plaisir qui monte en elle. elle aussi se tend, se crispe sous l’effet du plaisir, Elle jouit de mon corps... Elle va jouir de moi, sur moi et moi en elle. bonheur de la voir perdre pied. Elle remue, imperceptiblement, appliquée à prolonger sa jouissance. Elle ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle se redresse, tête en arrière, seins pointés vers le ciel, secoue sa crinière, cambrée, me possédant, inflexible en elle, elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde...
- Paulina j’aime ton plaisir plus que le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend.
- J’aime le battement de tes cuisses contre les miennes. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir.
Mes mains se posent sur ses seins, j’en effleure le contour, j'enveloppe de mes paumes leur galbe parfait. La caresse lui fait fermer les yeux, sa langue passe et repasse sur ses lèvres ouvertes. Ma verge ressent les contractions qui pulsent dans sa vulve. Son visage s’empourpre à nouveau.
- Je veux que tu jouisses de moi, je veux sentir ta jouissance envahir mon ventre...
- je veux que tu me remplisses de toi
C’est irrésistible, je me sens emporté, mon sexe est dur, raide, sur le point d’exploser. J’ai beau me retenir, resister au traitement qu’elle me fait subir, je ne peux plus me contenir. Je n’en peux plus... Je gemis, je lâche tout, je laisse jaillir avec soulagement un fleuve de volupté. Je l’inonde, et ce flot déclenche en elle de nouvelles vagues de plaisir. Elle clame éperdument sa jouissance, tendue dans une ultime contraction, puis elle s’abat sur moi, haletante ...

Je la serre contre moi, je l’étreins. Elle étend les jambes contre les miennes, roule sur le coté. J’ai son visage dans mon cou, son souffle chaud sur ma nuque. Mes mains plongent dans le creux de ses reins, glissent sur sa peau lisse et douce.Je saisis sa taille fine, souple, presque fragile, celle qui à l’instant était si ardente, se déchaînait sur moi. J’effleure la naissance de ses fesses, l’émouvant sillon qui part plonger entre ses cuisses, son dos plat, le creux de ses omoplates, comme deux ailes d’ange qui auraient oublié de pousser. Elle est blottie contre moi, la joue contre ma poitrine, inerte et tellement vivante.

Toujours en elle, apaisé, vidé, comblé au delà de toute espérance, je rêve d’éternité. Je voudrais qu’en cet instant le temps se décompose, que l’air cristallise en fines paillettes, qu’il nous fige ainsi pour toujours, satellisés dans les étoiles.la vie suit son cours, les oiseaux chantent, rivalisent de trilles stridentes,

- Paulina...
-Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire.
- Tu me donnes ta jeunesse, ton innocence, ta fraîcheur, tu me réssuscites...
- tes horizons sont vastes, tu es belle indépendante et souveraine...
- Je te quitte... Je glisse hors de toi... heureux
Paulina (E)
Sa grâce est élastique, son élégance naturelle, nos regards se croisent. flash. Nos yeux se ferment. Trouble. Elle s’appuie sur mon bras, me touche. Frisson sa chaleur, son parfum, son visage me grisent chaq ...

@

explosion d'un désir


Il y a ce espace immense, et en face de moi, elle ... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards qui se télescopent...L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs... Temps suspendu...
Ses longs cheveux noirs coulent sur ses épaules avec art. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. Elle est plus séduisante encore...Elle me provoque avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard mouillé..

Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens.

La première, elle ose l'insensé, approcher ses lèvres, les poser sur les miennes. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... remonte sur ses flancs, caresse son seins ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Ses mains jouent dans mes cheveux.

Puis elle s'écarte, me fixe tendrement, prend ma main et m'emmène plus loin, dans un coin d'ombre, à l'abris des regards. Puis elle fond dans mes bras, glisse les mains sur mon torse sous ma chemise, puis plus bas, sous ma ceinture, me caresse, découvre l'état affolant de mon désir d'elle ... Elle a envie de mon corps, j'ai envie de son corps.

Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... me supplie de venir ... Elle me guide. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent ses cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je la pénètre doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair.

Elle se laisse embrasser partout ... sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement.

Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés.

Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, Elle s'affaisse sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés. Les yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.
explosion d'un désir (E)
Il y a ce espace immense, et en face de moi, elle ... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards qui se télescopent...L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violen ...

@

Sa peau etait chaude, un peu moite


Sa peau etait chaude, un peu moite. J'aimais la carresser avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posait, une de ses main sur la mienne, et me guidait parfois vers des endroits plus intimes. J'aimais la regarder, admirer ses formes, ses rondeurs, son corsage bien rempli était près à éclater. Elle me lancait alors:
- Qu'est ce que tu regardes Nicolas ?
- Je regarde tes collines vallonnées !
Elle baissait les yeux, les relèvait et me souriait, J'avais le cœur qui bat. je vois la naissance d'un delicieux soutien gorge brodé et gonflé à bloc laissant déborder un peu de chair plus blanche. Je reste stupéfait devant ces seins qui ne bougent presque pas !
J'approche mon visage du sien. Elle ferme les yeux. Je lui fais un baiser sur la joue, sur l'oreille, elle ne dit rien, Je sens sa main caresser mes cheveux ! Je prends l'autre sein doucement dans ma main gauche.
- Nicolas est-ce que je te fais bander ?
Je reste interloqué !
- Barbara ! Depuis que tu es là, avec moi, je bande
Elle me regarde fixement ... puis, d'un coup, m'enlace et m'embrasse à pleine bouche !Je ne sais plus où je suis, je sens son corps sensuel contre le mien, ses seins pointus, et ses fesses dans mes mains ! il fait chaud, je me frotte de plus en plus à sa peau de velours, mon torse contre son dos, je prends ses seins dans chaque main... je l'embrasse dans le cou, les oreilles, le visage, puis sur la bouche ... baiser, long, sensuel... Je me penche, suce un téton et elle plaque mon visage contre elle. Je caresse ses cuisses, elle a un sein dehors ... Je caresse sa toisonJe touche ses poils, Elle tressaille, me laisse faire, et enfin, je sens sa fente, chaude, humide que je parcours d'un doigt... Elle tremble et soudain se dégage de moi, s'allonge, écarte les cuisses et me dit simplement
- VIENS !
je me retrouve sur elle, frottant mon corps doucement sur le sien, un délice... La chaleur du soleil dans mon dos, l'odeur des pins, le bonheur ! Je l'embrasse à pleine bouche, elle me serre fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent... et d'un coup comme par miracle, je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement comme dans un rêve, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles Je fais quelques va-et-vient, elle s'accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux plus résister... Je m'enfonce en elle, au fond de son ventre et je me vide en elle, un plaisir immense. Je n'arrête pas de jouir, elle tremble de partout. Nous sommes l'un dans l'autre, je la contemple ... Elle pleure : Nous restons ainsi enlaces, nos sexes emboités delicieusement.
- Tu m'a remplis de toi ! J'ai jamais senti ça ! On est fous ! Oh ! J'en peux plus !
Mon sexe palpite toujours en elle, je sens ses poils soyeux, elle m'enlace et me tend ses lèvres en me disant merci ! Elle me montre son nouveau soutien gorge, en fait jaillir un téton : elle presse ses seins l'un contre l'autre dans un geste superbe, une offrande dont la vue m'excite. Je suçe ses deux tetons avec ardeur
- Que c'est bon ce que tu me fais !
mon sexe se durcit de nouveau, elle s'approche, me le branle doucement, puis me dit :
- J'aime bien voir ton sexe qui bande, J'ai encore envie que tu le mettes en moi !
elle se glisse sur moi, jupe à la ceinture, les seins dehors, elle se tortille sur moi les yeux fermés, frottant son sexe au mien chatouillé par ses poils, elle est déchaînée, m'embrasse, me lèche le visage. Sous elle, je tiens mon sexe contre sa fente, puis elle s'empale sur moi d'un coup poussant un cri !
- Mmmmmh ! Que c'est bon !
Puis elle m'embrasse, on se tortille, on s'agite, sa chatte est brûlante, trempée, on tremble de partout, une étreinte, un orgasme, je me vide en elle pour un bonheur inouï qui nous laissera pétrifiés de longues minutes, elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vu, obscène presque, mais oh combien desirable dans cette offrande. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble J'approche mon sexe du sien, le frotte dessus, je pose mon gland sur le trou, pousse un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs très rouges, elle pousse un gros soupir quand j'arrive à fond, je fais durer le plaisir, mais d'elle-même elle bouge, me fait comprendre qu'elle a envie de jouir avec moi, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque sur elle, écrasant ma semence sur nos deux corps et on s'embrasse longtemps. on se donne un dernier baiser les larmes aux yeux.
Sa peau etait chaude, un peu moite (E)
Sa peau etait chaude, un peu moite. J'aimais la carresser avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posait, une de ses main sur la mienne, et me ...

@

Marine


Marine est là, avec moi dans le lit, sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. le dos appuyé au mur, les jambes legerement écartées. Mon imagination s'envole. Elle se contorsionne légèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi un flot d'adrénaline. M'avançant d'un pas, je pose le bout des doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme un sursaut, Elle ferme légèrement les yeux, gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour la rapprocher de mes doigts. Je la complimente:
- ils sont beaux, tu sais !
- tu trouves ? redis le moi !
Enhardi, je pose doucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement. Elle ne fait pas un geste. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sa peau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaud au bas-ventre, Mon autre main rejoint la première, enroulant mes doigts autour d'un globe chaud, ferme et affolant. Marine se cambre. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche de plaisir se dessine sur son visage.
- C'est agréable ce que tu me fais, tu sais. C'est bon...
D'un geste assuré, elle se retourne et se blottit le dos contre moi.
- fais moi encore des choses gentilles.
Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mains descend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle se contracte un peu plus, ses fesses pressent sur mon sexe gonflé. Fermant les yeux, elle oscille, frottant ses fesses contre mon membre. Je bande de plus en plus, ma verge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables qui accentuent encore le contact brûlant de son corps. Elle appuie encore un peu plus ses fesses contre moi, et ses mains caressent mes cuisses, m'invitant à continuer. De ses lèvres s'échappe un faible murmure inintelligible.
-Mmmmhh ...
Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à son bas ventre, j'en caresse le tissu. Marine suspend ses mouvements, sa bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte. Un moment d'extase muette pendant lequel elle découvre les sensations nouvelles de mes caresses à travers le tissu. Elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de ma main, pour en augmenter les effets. Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mes doigts passent à l'intérieur de son slip.
- Que fais-tu ? Mmmmh ! c'est pas bien ! ... mais continue quand meme !
Ils continuent à descendre contre sa peau nue. Le visage de Marine est brillant et illuminé. Mes doigts rencontrent sa toison légère et douce. J'explore cette petite fourrure qui m'électrise. Marine hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque. Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts. Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. Mes doigts atteignent enfin le sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes et gonflées par l'attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'ouvrir. A nouveau, Marine a cessé de bouger, toute à l'attente et la découverte de ces sensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme de plus en plus rapide. Elle sent son plaisir. Marine mouille. Mes doigts effleurent un bourgeon naissant, arrachant un nouveau hoquet à Marine dont la plaisir augmente encore.
- tu sais t'y prendre avec les femmes !
Elle avance sa main derriere elle, avec des mouvements un peu désordonnés. Ses doigts caressent légèrement mon sexe à travers mon pantalon, en évaluent le volume, mais elle n'ose pas franchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique me secoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. En reponse, ma main se crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entre ses grandes lèvres toutes lubrifiées. Marine geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, le plaisir se lit distinctement sur son visage. Marine reprends l'initiative: elle defait rapidement la ceinture de mon pantalon, elle saisit mon membre et le libere de son carcan de tissu. Sa main se referme sur mon membre durci, une véritable décharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j'ai du mal à me retenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle explore les contours de mon membre, Je me cambre violemment et laisse à mon tour échapper un grognement de plaisir. Enchantée de sa découverte, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante.
- Tu sais, souffle-t-elle soudain, c'est la première fois que je fais ça à un homme !
- Mais tu fais ça très bien, tu peux pas savoir comme c'est bon !
Elle lâche alors un instant mon sexe agité de palpitations, et tire mon pantalon vers le bas, le laissant tomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend mon sexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mes testicules. Ma verge palpite dans sa main et lui indique au fur et à mesure le plaisir qu'elle me fait ressentir, elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente et commence à la pénétrer doucement. Ses mains quittent mon ventre et se posent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôt l'encouragent, elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, mon regard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'une courte toison blonde. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le lui caresse en même temps. Je saisis l'elastique de son slip pour le faire descendre. Elle me facilite la tache en se dehanchant, je lui ôte son slip, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant à hurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante sur sa vulve. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent, libérée de toute inhibition, elle accompagne mes doigts avec des mouvements du bassin sans plus aucune retenue. Son plaisir coule sur mes doigts.

Je n'y tiens plus, sans cesser ma caresse, mon autre main guide mon gland vers elle. Le bout de mon sexe gonflé à éclater commence à presser sur sa vulve trempée, elle se cambre, retournant son visage vers moi et me supplie dans un murmure :
- oh oui ... viens dans mon ventre...
Je la pénètre lentement, doucement, profitant totalement de mon plaisir, de la sensation de ma verge qui écarte les parois de son vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur son visage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offert s'ouvrant et appelant ma pénétration. Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s'il était immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, nous retenons notre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de mon sexe l'a pénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et de contentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée contre moi. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre. Marine frissonne doucement, se préparant à un nouveau torrent de plaisir.
- Oh ! Que c'est bon ! ...
Cet extraordinaire sommet de plaisir se prolonge. Je la regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peine entrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres gonflées laissent échapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus tels des obus. Son ventre se soulève régulièrement au rythme de sa respiration. Mon penis est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humide qui m'enserre délicatement. Nos deux corps nus sont imbriqués l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bande terriblement fort, envahissant totalement le sexe de Marine. Tout doucement, je tente de me retirer d'elle. Elle me rattrape pour me retenir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre. Une ou deux fois encore, je sors un peu d'elle et je rentre, la jouissance s'épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples et d'instinct Marine devine mes propres mouvements pour m'accompagner. Elle respire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elle s'empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit sans retenue. Elle guide mon mouvement en elle à son rythme qu'elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l'orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne.
Je plante alors ma verge au plus profond de son vagin et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants et interminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par une palpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d'artifice m'aveugle et doucement j'arrête de la pilonner, je suis vidé. Nous restons immobiles quelques instants, son sexe paraît serrer le mien encore raide dans son ventre. Je profite de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l'orgasme,
- \"Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es gros et dur ! c'est fou, ça m'a envahie !\"
Délicatement je sors mon membre de son délicat fourreau. Marine a un mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m'en extrais pourtant complètement dans un agreable bruit se succion. elle assimile peu à peu toute le plaisir qu'elle vient d'éprouver. Elle se retourne et me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux, de tout son corps.
- \"Alors c'était tout ça ? C'est extraordinaire, c'est fantastique... Hummmm ce que c'est bon !\"
Ses bras m'enlacent et elle me serre contre elle tout son corps rivé au mien, même. Écartant légèrement son visage, elle colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau. Elle pose sa tête dans le creux de mon cou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pas débander...
- \"C'est merveilleux de faire l'amour,\" me chuchote-t-elle dans l'oreille,
- \"il faudra qu'on refasse l'amour ensemble encore, c'est bon, j'aime ça très fort. Tu me referas l'amour, dis ?
- Bien sûr ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablement excitante quand tu fais l'amour, c'est très très bon et doux, et j'ai joui très très fort dans ton ventre...\"
- \"Tu sais, quand je t'ai senti rentrer dans mon ventre, j'ai failli tourner de l'œil tellement c'était bon.
- D'ailleurs, quand j'ai... quand j'ai joui, je crois que j'ai perdu conscience un instant.
- Et puis j'ai senti comme ton... comme tu gonflais encore dans mon ventre et les contractions de ton sexe.
- J'ai aimé quand j'ai senti que tu giclais en moi. Oh, je savais pas que c'était aussi bon !
- tu m'as mis plein de... plein de sperme dans mon ventre ? ... Je suis pleine de toi ! \"
Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement, amoureusement,
sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction et de reconnaissance mélangées.
Je regarde sa main qui caresse ma verge toute humide de ses propres sécrétions et de mon sperme,
et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées et repues de plaisir.

Très vite, je sors, je cours vers la piscine et m'y plonge au plus vite, Marine m'y rejoint. Nous sommes tous les deux sur le bord.
Elle ne se rend pas compte que sa position, les fesses tournées vers moi, est abominablement excitante et que ma verge déjà dressée fantasme à tour de bras.
Je ne resiste pas et me plaque pratiquement sur son dos, en lui enserrant les seins des deux mains.
Elle se cambre encore plus, ses fesses frôlant le bout de mon gland :
Je dégrafe son soutien-gorge, et je reprends ses seins nus dans mes mains :
ils sont doux, fermes et lourds, ils pèsent agréablement dans mes paumes. Je les caresse sans retenue.
Elle murmure simplement un \"Humm\" approbateur.
Ses fesses nues et claires sont tendues vers moi, j'y pose mes mains et les caresse, j'en éprouve le galbe et la fermeté.
Marine donne un coup de reins. Elle tourne la tête et se contorsionne pour m'embrasser,
et me susurre des \"c'est bon !\" dans la bouche.
Subrepticement, je guide mon membre à l'entrée de son vagin, puis je prends ses seins à deux mains.
Elle comprend, et je la sens fondre sous moi, s'ouvrir pour me laisser le passage.
Mon sexe tendu comme un arc s'enfonce en elle. Elle pousse sa langue dans ma bouche au moment où mon gland la pénètre.
Elle se cambre, je me recule et sors un peu de son ventre, Marine suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en elle.
Elle recule encore et mon gland entre un peu plus. Le dos et les reins cambrés, la tête rejetée en arrière,
tout son corps se tend vers mon sexe qui la pénètre.
Lentement, inexorablement, je m'enfonce en elle.
Je glisse tout doucement dans son ventre parfaitement lubrifié :
je m'enfonce en elle comme dans une motte de beurre tiède, avec la douce résistance d'un fourreau crémeux et souple.
Lorsque mon ventre vient se coller à ses fesses, elle laisse échapper un long gémissement de plaisir qui manque me faire jouir.
- \"Reste, reste comme ça, ne bouge plus\", me supplie Marine.
Planté en elle, je ne fais plus un mouvement, seules continuent les palpitations de mon sexe dans son vagin.
Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, haletants. Marine me chuchote
- \"viens encore un peu plus\",
et d'un léger coup de reins, je bute au fond de son ventre.
Elle a une contraction brutale accompagné d'un \"han !\" de plaisir.
Je la tiens par les flancs et je recommence mes coups de reins,
elle se contracte chaque fois violemment et geint en continu.
Je sens que mes poussées pourtant retenues l'amènent très vite à la jouissance.
Je continue et soudain elle jouit avec un grand frisson,
ses jambes cèdent sous elle et je dois la retenir pour qu'elle ne tombe pas dans l'eau.
Toujours plantée en elle, je la soutiens pendant qu'elle reprend ses esprits.
Enfin elle se redresse, ma verge sortant doucement de son sexe,
puis elle se retourne vers moi, m'enlace et pose sa tête dans mon cou, et se met à pleurer en m'embrassant.
Mon sexe toujours raide contre son ventre me gêne un peu dans ce moment d'émotion, mais elle ne s'en offusque pas.
Petit à petit, elle se calme, puis me susurre à l'oreille :
- \"Oh, j'aime bien quand tu me fais ça, c'est trop, je voudrais que ça recommence ! J'imaginais pas pouvoir jouir aussi fort.
- Tu appuyais au fond de mon ventre et à chaque fois ça faisait une véritable décharge de plaisir ! C'est formidable de baiser...\"
Je dois dire que ce dernier mot m'étonne un peu de sa part, mais après tout c'est bien ce que ça veut dire, et il est temps qu'elle s'émancipe un peu aussi dans son langage.
- \"Merci, toi !\" dit-elle à mon sexe qu'elle a pris dans ses mains et à qui elle applique une caresse reconnaissante.
- \"Je suis complètement vidée, crevée, je ne tiens plus sur mes jambes !\"

Marine sort de la piscine sans même se rendre compte qu'elle est encore totalement nue. Je repêche son maillot et le mien.
Je me rhabille puis je l'aide à en faire autant.
Flageolante, elle se dirige vers un matelas de bain sur lequel elle s'allonge mollement,
les jambes ouvertes dans une position impudique mais satisfaite.
Pendant que Marine sombre dans un sommeil réparateur, je vais vers la douche,
Le ruissellement de la douche me fait le plus grand bien, mais me retrouver nu me rappelle mes moments d'intimité avec Marine,
et je sens mon sexe se réveiller hardiment. Le savonnage n'arrange pas les choses ...
C'est à ce moment précis que la porte de la douche s'ouvre et que Marine, ravie, me regarde en souriant.
Un peu surpris quand même, je me savonne le torse distraitement. Elle se saisit alors du savon et me frictionne le sexe
- \"Mes doigts glissent tout seuls avec le savon, sur ta... sur ton... sur toi. Oh, allez, sur ta queue ! Sur ta grosse queue, sur ta bite, na ! Ça y est, je l'ai dit !\" C'est marrant, c'est plus difficile pour elle de prononcer ces mots que de prendre ma bite dans sa main... Nous rions tous les deux de sa confusion, mais elle ne cesse pas pour autant de me caresser.
- \"Et sur toi ça glisse tout seul, là ?\"
Et je rentre ma main dans son maillot. Comme son maillot n'est retenu que par des nœuds sur les côtés, j'en défais un prestement, et le reste tombe.
Ravie de se retrouver nue avec moi, Marine écarte légèrement les jambes pour que ma main trouve mieux son sexe.
Saisissant le savon mouillé, je l'applique sur le ventre et sur le sexe.
Bien entendu, ça glisse bien, et je ne me prive pas de faire durer ma caresse, d'insister sur sa fente, de passer sur son clitoris avec le savon ...
Elle écarte encore plus les jambes pour que mes caresses puissent atteindre ses moindres replis.
Je colle mon ventre contre le sien et ma bite raide vient se plaquer contre son sexe. Je glisse ma verge contre sa fente,
Marine pousse son ventre en avant, je pousse mon gland ...
et je commence à pénétrer en elle comme dans un étui fait sur mesure.
Je la remplis doucement, sans résistance, et un soupir de plaisir accompagne ma lente progression.
Je pousse jusqu'au fond de son ventre, et je sens son clitoris palpiter sur la racine de mon sexe.
Je commence à la pistonner sans retenue et nous montons tous les deux rapidement vers un orgasme ravageur.
Les yeux à moitié révulsés, Marine halète de plus en plus vite, devançant mes coups de reins.
J'ai eu tort de la regarder comme ça, elle est si excitante que je ne peux plus me retenir,
je jouis brutalement en un long jet de sperme.
Mon orgasme déclenche celui de Marine et les mouvements convulsifs de son ventre accompagnent les derniers flots que je déverse en elle.
La respiration bloquée, elle jouit longuement, comme si des vagues successives la submergeaient.
Tous les deux vidés de notre énergie, nous restons un moment immobiles,
puis Marine descend son pied du rebord et refermant ses jambes, emprisonne mon pieu dans son vagin serré :
Mais je sais aussi bien jouer qu'elle, et je recommence de petits mouvements du bassin qui font aller et venir ma bite encore raide dans sa chatte bien huilée par mon sperme.
Le vagin encore très sensible de nos ébats à peine terminés, Marine est d'abord surprise de l'effet produit,
mais y retrouve vite son plaisir et le renforce en serrant plus fort les jambes.
Doucement, je sors mon sexe de son ventre, et rapidement nous nous rinçons.
J'embrasse légèrement ses lèvres, et prenant au passage une serviette, je me réfugie dans ma chambre.


Pas un bruit dans la maison. Les volets des chambres sont tous ouverts, sauf ceux de la chambre de Marine.
M'approchant pour les ouvrir, je découvre qu'en réalité elle est encore au lit, dormant profondément...
je vois la masse soyeuse de ses cheveux coulant autour de son front nu, à la peau joliment ambrée,
le bout de son nez qui dépasse, et une épaule ronde à moitié découverte par le grand t-shirt qui lui sert de chemise de nuit.
Je vais pour lui déposer un baiser tout à fait innocent sur le bout du nez, mais en m'approchant, je découvre que son drap est tombé au pied de son lit.
Mon esprit s'enflamme immédiatement, je choisis de déposer un baiser nettement moins innocent sur cette toison si douce et si tendrement offerte. Marine n'a aucune réaction, je me penche à nouveau sur son ventre. Je respire l'odeur douce de son corps tiède. J'embrasse sa vulve du haut en bas. Cette fois, Marine réagit, ouvre à peine les yeux et découvre ma tête entre ses jambes. Elle devine tout de suite d'où vient cette sensation et murmure :
\"Hummm, c'est bon, c'est divin d'être réveillée comme ça !\"
J'entraîne Marine dans des mouvements convulsifs du bassin, accompagnés de soupirs. Son clitoris est tendu, je le prends dans ma bouche, je le suce, je l'aspire entre mes lèvres, ma langue en explore tous les recoins. Elle pose ses mains sur ma tête, alternativement suivant et guidant mes mouvements. La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute, elle a les seins tendus, le ventre contracté : qu'elle est belle, Mes lèvres remontent le long de sa fente. Marine geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre qui oscille à la recherche d'un plaisir total. Doucement je mordille son clitoris : Marine se cambre violemment, s'arc-boute, et elle jouit d'un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc. Laissant enfin échapper l'air de ses poumons, elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants, totalement comblée. Je remonte un peu, je glisse ma langue dans son nombril. Je continue mon ascension jusqu'à ses seins, entre lesquelles j'enfouis mon visage, je les embrasse et j'en suce les bouts. Je continue à remonter vers son visage, mon gland vient toucher sa vulve. En écrasant un peu mon ventre sur le sien, je la pénètre facilement. Son sexe est bien huilé...
- \"Oh, encore, viens dans mon ventre, viens, viens vite et fort !\" Dit-elle sur un ton gourmand.
Je me soulève un peu en me remontant, et je la pénètre jusqu'au plus profond de son sexe.
- \"Ouch !\" Réagit-elle, avec tout de même un léger mouvement de recul du bassin, un peu estomaquée par ma pénétration sans ménagement. D'elle-même elle entame un mouvement de reins qui me fait aller et venir en elle. Je la laisse ainsi conduire le mouvement un moment, tout au plaisir de la sentir me faire l'amour, et je joue même un peu le voyeur. Je suis ses gestes, ses réactions, son visage, son souffle, sa poitrine qui se soulève, ses seins qui durcissent, leurs aréoles qui s'élargissent. Fichtre qu'elle est bandante ! Je ne peux plus me retenir, et j'accompagne ses mouvements, parfois les amplifie, parfois les contrarie. Par moment elle me laisse faire, par moment elle reprend les rênes, par moment elle m'accompagne. Nous restons l'un dans l'autre sans bouger, à nous dire des mots doux, à nous embrasser. et nous continuons à jouer à la limite de l'orgasme. Mais ça ne peut pas durer éternellement, et quand Marine dans un souffle dit
- \"j'en peux plus, j'peux plus !\",
Je me rue en elle, je précipite mes mouvements, et je la vois sombrer dans un plaisir qui dure, qui dure... Je me retiens encore le temps qu'elle reprenne un peu ses esprits, et je recommence doucement mes mouvements jusqu'à lui offrir ma propre jouissance, sans aucune retenue.
- \"Oh, c'est beau, c'est beau...\" balbutie-t-elle alors que mon sperme finit de gicler dans son ventre.
J'ai l'impression d'en déverser des litres en elle ! Brisé, je m'écroule sur elle, collant mes lèvres aux siennes, submergé par une gigantesque vague de tendresse partagée. Il nous faut encore de longues minutes de baisers avant de nous décider à nous relever pour aller prendre notre petit déjeuner, tous les deux un peu tiraillés par la faim. Fichtre, quels dégâts ! Il faut que Marine change ses draps, mon sperme a largement coulé de son ventre, et une vaste auréole plus que suspecte s'étale au beau milieu !

Je trouve Marine très désirable : elle porte une chemise déboutonnée simplement nouée sous les seins, et une (très) petite jupe serrée qui lui moule les fesses. Elle s'écarte de moi, elle enlève tous ses vêtements et avant que j'ai eu le temps de réagir, me déshabille en un tour de main. Nus tous les deux, nous nous étreignons à nouveau, mon sexe raidi appuyé contre son ventre. Nous savourons chacun la peau nue de l'autre. Nos mains s'égarent, se promènent et caressent nos corps brûlant d'excitation. Mes mains pétrissent ses seins, doucement mais avidement, je les soupèse au creux de mes paumes, je les enferme dans mes doigts, je joue avec leurs pointes. Appuyant sur mes épaules, Marine me demande de me baisser, elle accompagne mon mouvement, puis me fait coucher sur le lit et se couche sur moi. J'ai repris mes caresses sur tout son corps, de sou cou à ses cuisses. Ma main continue à parcourir ses seins, son ventre, son sexe, ses cuisses. Mes doigts jouent dans sa toison. Elle écarte un peu les jambes, les collant aux miennes. Il ne me faut qu'un geste pour la basculer sur moi, ses seins écrasant ma poitrine, son sexe contre le mien, dressé entre ses cuisses, elle se soulève un peu et picore mes lèvres avec les siennes, pressant sa poitrine contre moi, puis son ventre. Elle découvre ces nouvelles sensations en continuant à m'embrasser, jusqu'à ce qu'elle découvre les mouvements de son bas-ventre faisant frotter sa chatte contre ma bite raidie, elle se cambre et un sourire de plaisir se dessine sur ses lèvres. Elle souffle fort, de plus en plus vite. Ses mouvements s'accélèrent, se renforcent, elle appuie fort sa vulve contre ma verge dressée. Et soudain elle jouit en se raidissant brutalement, écrasant son pubis contre moi, vidant ses poumons de tout l'air qu'ils contiennent. Puis reposant sa tête contre la mienne, elle reprend petit à petit son souffle.
- \"Oh, j'ai joui toute seule ! Oh, j'avais l'impression d'avoir un pieu entre les cuisses, c'était bon !...\"
Marine reste dans cette position à ronronner contre moi, bougeant à peine, juste pour un baiser ici et là dans mon cou. Elle s'étire de tout son long, et ne manque pas de sentir contre son sexe ma bite toujours raide et qui n'attend qu'elle. Avec une moue de gourmandise, elle se contorsionne pour essayer de me faire pénétrer dans son ventre
- \"Attends, c'est moi qui vais te faire l'amour !\" déclare-t-elle avec un grand sourire.
Elle se redresse à califourchon sur moi, et tout doucement, elle redescend son bassin, ses lèvres appuient sur mon gland. Ce simple début de pénétration, qu'elle provoque elle-même, affole ses sens. Elle rouvre les yeux, et en surveillant mes réactions sur mon visage et aux contractions de mon sexe, elle s'empale doucement dessus. Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma bite, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa progression quand elle sent mes sens s'affoler. Je voudrais avoir un sexe d'un mètre ! Je la sens toute entière autour, comme si tout son corps m'enserrait. La sensation est diabolique, Petit à petit, elle a recouvert toute la longueur de mon sexe, maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions involontaires qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle me sourit de contentement et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans quitter mon pal qui la pénètre profondément. Son mouvement déplace mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation dans son ventre. Elle découvre au fur et à mesure toutes les sensations qu'elle peut provoquer. Elle se soulève encore un peu et se baisse à nouveau, sent ma verge coulisser dans son ventre.
- \"Hummm ! C'est moi qui, que tu, qui me baise avec toi... Humm, je peux me faire ça moi-même avec ta bite !\"
Elle a encore des découvertes de pucelle, ça m'excite encore plus. Ma verge bat spasmodiquement dans son ventre, Marine a du mal à maîtriser le jeu. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés. Elle parvient à contenir la montée de son plaisir en ralentissant par moments ses mouvements, ou en leur donnant moins d'ampleur. Amplifiant son mouvement, elle en vient à se dégager complètement de mon sexe, et un très court instant, j'aperçois son visage un peu décontenancé, comme déçu, et sa chatte à quelques centimètres au-dessus de mon gland luisant, rouge, tendu. Tout de suite elle s'abaisse rapidement, engloutissant brutalement et d'un coup toute la longueur de ma bite !
- \"Ahhh !...\" Cette pénétration massive et violente lui coupe le souffle, elle pousse un cri, mélange de surprise, de plaisir et peut-être de douleur, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'en fais j'essaye d'en faire autant, bien que submergé par la sensation et le spectacle qu'elle m'offre. Après un moment, deux fois, trois fois, elle recommence ce même envahissement brutal, réprimant de plus en plus difficilement un orgasme tout proche. Devant l'imminence de sa jouissance, elle se contente de se soulever, puis à petits coups de ventre, fait juste entrer et sortir mon gland de sa vulve. Mon sexe est tendu à éclater et je suis aussi au bord de l'orgasme, le souffle me manque. Elle parvient à cesser tout mouvement, plantée sur mon sexe qu'elle n'a jamais senti aussi gros, aussi envahissant. Elle a un hoquet, et se penchant vers moi, réfugie son visage dans mon cou, fond en larmes.
- \"Ohhh, Tom, c'est bon, c'est bon...\" balbutie-t-elle au milieu de sanglots saccadés. \"C'est trop bon, je vais éclater... Oh, j'aime ça, j'aime tant ça... Il ne faut pas arrêter, mais je vais partir comme une fusée...\"
- \"Mais vas-y, continue, jouis, jouis de ton plaisir, Marine !...\"
- \"Oui, mais je voudrais que ça dure, que ça dure, que ça ne s'arrête pas... Je découvre tellement de choses, Tom, je voudrais tout découvrir...\"
Et puis Marine se soulève, rampe en arrière vers le bas de mon corps, je la tire vers moi. Elle reprend position sur moi, s'empale à nouveau et me serre encore dans ses bras. Sa langue fouille dans ma bouche. En même temps, je la cajole, je caresse son dos, ses fesses. Je passe une main entre ses deux globes fermes et trempés de sueur. en gesticulant de tous côtés, elle découvre de nouvelles sensations, celle de tourniquer autour de ma bite :
- \"oh, ça aussi c'est bon !\".
Elle se redresse complètement, empalée sur mon sexe comme sur un pivot, et entame des mouvements en cercle avec son bas-ventre. En relevant un peu la tête, je peux voir ses yeux fermés, ses narines pincées, sa bouche grande ouverte qui respire à grands coups, les muscles de son ventre eux aussi luisants de transpiration qui se contractent et travaillent pour frotter en rond sa chatte sur mon pubis, ma verge fouillant profondément son vagin, frottant sur toutes ses parois, trouvant les moindres parcelles de plaisir. Jusqu'à son clitoris largement sorti de son capuchon, qui frottent les poils de mon pubis. Le spectacle est tellement excitant que je ne peux m'empêcher de mêler à ses mouvements mes propres coups de boutoir, plantant mon gland au plus profond de son ventre. Le corps raidi, Marine geint à haute voix, halète, précipite son mouvement. Puis, avec un long cri étouffé, elle repose ses mains sur ma poitrine, semble s'étirer tout en s'écrasant sur mon sexe, et jouit longuement, agitée de sursauts incontrôlables. Ce feu d'artifice déclenche mon propre orgasme avec un instant de retard, et je la rejoins dans un torrent de plaisir, le dos et les reins cambrés, arqués, la soulevant haut au bout de ma bite, déversant au fond d'elle un flot de sperme.
- \"Ahhhhhhhh !...\"
C'est un cri de jouissance pure que pousse Marine. Je la garde comme ça sur moi un moment, perchée sur mon ventre, les bras ballants, ma verge enfoncée en elle. Puis lorsqu'elle rouvre les yeux et me regarde avec un sourire d'une infinie tendresse, je me détends, reposant à nouveau sur le sol et je lui tends les bras. Elle se couche sur moi, étend les jambes en enserrant les miennes, couvre mon cou de baisers.
- \"Hummm, mon Tom, ça peut être aussi fort que ça ? J'ai pas rêvé ? J'ai joui comme ça ?\"
- \"Hum oui ma Marine, tu as joui comme une reine, comme une déesse, et tu m'as fais jouir comme tu peux pas imaginer !\"
- \"C'est toi qui m'a donné ton plaisir, j'ai senti tout ton foutre gicler au fond de moi, tu m'as tout donné...\"
Je nous fais basculer d'un demi-tour, et Marine se retrouve maintenant sous moi, mon sexe toujours planté dans son ventre, pas encore dégonflé. Pour la taquiner, je vais et je viens un peu dans son vagin, mais elle proteste en riant :
\"stop ! Arrête, enfin ça y est, je suis comblée, j'en peux plus, je suis moulue, je demande grâce ! Heu, jusqu'à la prochaine fois seulement, hein ?!?\"
Je ris aussi, et doucement je me retire d'elle, puis je m'étends à ses côtés. Cette fois, les caresses que je lui fais nous laissent ne réveillent pas tout de suite nos appétits, et nous nous disons des tendresses, les yeux dans le vague, tout à notre bonheur. Longtemps, longtemps après, enfin reposée de nos fatigues,

Marine se lève et s'éloigne de quelques pas pour un petit besoin qu'elle s'en va satisfaire discrètement, bien que complètement nue. Ses petites fesses musclées et fermes qui s'éloignent me font monter le sang à la tête. Et quand je la vois revenir, exposant sans pudeur tout son corps nu, ses seins magnifiques et fermes bougeant à peine, la petite tache blonde de sa toison les lèvres de son sexe encore gonflées de nos coïts, je sens mon sexe se redresser, gonfler à nouveau. Je me relève pour l'accueillir, la serre contre moi, frottant ses seins durs contre ma poitrine. L'effet est foudroyant, ma bite se raidit brutalement et pousse contre le ventre de Marine. La coquine sourit de surprise et se met à frotter son ventre contre ma verge, la faisant gonfler et raidir encore plus.
- \"Je te fais encore bander, hein ! T'as encore envie de moi ! \"
Se haussant sur la pointe des pieds, elle a passé ma bite entre ses cuisses serrées, et ondulant du bassin, elle se masturbe doucement sur mon sexe long et raide. Je la saisis sous les aisselles, la monte un peu plus haut, et d'instinct elle ouvre les jambes et les enroule sur mes hanches, passe ses bras autour de mon cou. A bonne hauteur, elle m'embrasse divinement, tout en continuant à se masturber sur mon sexe. Je bande de plus en plus fort, presque douloureusement tellement ses frottements m'excitent. D'une main, je guide le bout de ma verge vers sa fente, et le mouvement suivant de son bassin me fait pénétrer profondément dans son sexe encore tout lubrifié de mon sperme. De surprise, elle manque me lâcher, m'enfonçant encore plus en elle. Le plaisir brutal la tétanise une seconde, puis immédiatement elle déchaîne les mouvements de son bassin, faisant pénétrer et sortir ma verge de son vagin brûlant, ses lèvres toujours plaquées aux miennes. Elle mordille mes lèvres, alternant les mots d'amour, des mots plus crûs et des halètements.
- \"J'aime ! Ohhh... J'aime ta bite dans mon ventre ! Pousse fort ! Ohh, je t'aime, je t'aime... Ouuf ! Doucement, viens, recule, viens ! C'est bon, ce que c'est bon !... Ta queue dans mon ventre, ta queue... Ahhh !... Ahhh ! Arrête un instant, oh non continue... Viens, viens ! Plante-moi ta bite, jouis ! Je vais jouir, me laisse pas, viens !...\"
Nous jouissons presque ensemble, le plaisir est tellement fulgurant que je suis obligé de m'agenouiller, incapable de nous porter. Je gicle encore en elle alors que nous sommes tous deux agenouillés au sol, mon sexe rivé dans le sien. Le souffle court, étonnés de la rapidité et de la force de notre jouissance, nous revenons peu à peu sur terre. Marine me pousse doucement en arrière pour m'allonger sur le dos, et vient s'installer sur mon ventre, sa chatte humide sur mon nombril. Pendant qu'elle caresse tendrement ma poitrine et mon cou, je caresse aussi doucement sa toison blonde, sa douce fourrure claire et soyeuse. Je frôle le capuchon de son clitoris maintenant calmé, je passe le pouce le long de sa fente trempée. Nos sens sont calmés, repus. Amoureusement, Marine frotte sa toison sur ma poitrine, comme avec une petite brosse, riant doucement. Je la regarde faire, et elle ne s'aperçoit pas que de son sexe enfin détendu, s'écoule tout le sperme que j'y ai déversé. Jusqu'à ce que cette humidité inattendue contre son ventre la surprenne :
- \"Oh, je coule sur toi ! Ton sperme coule de mon ventre...
Et c'est vrai qu'une large flaque blanche couvre maintenant mon ventre.
la faim nous tiraillant, nous nous rhabillons paresseusement. Qu'elle est belle ! Nue ou habillée, elle est jolie ! Je l'aime mieux nue, mais même habillée, elle me fait aussi bander.
Marine (E)
Marine est là, avec moi dans le lit, sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. le dos appuyé au mur, les jambes legerement écartées. Mon imaginatio ...

@


Allongée sous la tente, il me rejoint et tout doucement, me caresse. Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. J'attends impatiemment qu'il vienne. Et il vient. Il s’enfonce en moi tout doucement, par glissades subtiles. Je frémis. Il glisse dans mon ventre, je ferme les yeux. Je me détends. Je le sens et je m’abandonne à lui, liquide, légère; il voyage en moi. Il s'enfonce dans mon ventre, profondément, je goute ses succions. Nous baignons dans une lumière veloutée. Il s'enfonce un peu plus, explore mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge palpite dans mon ventre, je suis secouée de plusieurs petits spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un délicieux bruit de liquide. Sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... J'aime ... C'est bon...
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde amoureusement. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Puis il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard ..... Ses muscles se tendent. Il raidit, se retient… puis d'un souffle, il se vide en moi, sans retenue, dans un long râle. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. Il se penches sur moi. me donne un baiser, me sourit.
(E)
Allongée sous la tente, il me rejoint et tout doucement, me caresse. Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. J'attends impatiemment qu'il vienn ...

@

la premiere fois


Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur.
Nous sommes là, face à face, isolés dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé
Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche ? Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules, revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels. Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si...
Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ?
Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence, des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi !
Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples. Comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, l'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe.
Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes.
le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon...

Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoitési délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue. Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit...

c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure. Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse...
Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel.
Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore. Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée
Comme par enchantement il trouve le chemin , comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer,
Ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard !
Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour» ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un.
la premiere fois (E)
Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe ...

@

Une ruelle, un muret, un champ


Une ruelle, un muret, un champ, Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur. J’ai envie de son sein et elle me l’offre. je remonte ma bouche vers la sienne, ses jambes s’écartent. Elle me supplie de venir. Je rentre en elle. C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. sa jouissance nous inonde. Je vais et viens doucement et sa position se change pour être totalement prise, l’offrande totale.
puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communique à l’intégralité de ma peau. Elle me masse avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monte et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se referment sur mes hanches et me maintiennent ancré au plus profond d’elle. Je n’ose pas rompre cette harmonie, doucement elle me berce en enfouissant sa figure dans mon torse.
je lui prodigue des massages au plus profond d’elle. les sensations sont fortes et me prenent du haut en bas. Elle se crispe, ses ongles dans ma peau. Je me deverse en elle. Nous revenons lentement sur terre, et je la quitte doucement, Elle a toujours les seins découverts, elle sort un tampon de son sac et se l’enfile en me regardant :
Elle me sourit et se rhabille complètement. Je suis mouillé de son plaisir, elle est pleine de moi.


Collés l'un contre l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts effleurent sa blouse de travail fine et délicate, je m'abreuve du mouvement de ses cheveux. Je sens sa chair tendre sous le léger nylon. Je caresse la naissance des seins. Je surfe lentement plus bas près d'endroits plus intimes. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, j'ouvre patiemment sa fente qui se gonfle, humide. Je la sens frémir, je goûte à ces caprices immobiles. ses seins au creux de mes mains. le contact est chaud, les pointes sont douces. Je me laisse coulisser au creux de sa tanniere Je perçois sa liqueur douce, qui coule le long de ses chairs roses. je la mouille encore plus, je sens ses seins se tendre entre mes doigts, mon sexe approche du sien. Je la caresse au plus chaud de son envie. L'explosion vient de la succion du puit qu'elle m'ouvre. Je me déverse en elle. Diluant mon plaisir dans le sien, La prendre et être pris. Échange total.
Une ruelle, un muret, un champ (E)
Une ruelle, un muret, un champ, Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur ell ...

@

Lucas et Paulina (elle)


Lucas était un beau garçon, qui ne me laissait pas indifferente, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon pointer entre mes cuisses. Semblant embarrassé par ce relief genant, il tenta de se degager jusqu'à ce que je lui souffle dans l'oreille:
- Reste tranquille ! Ne dissimule rien ! ... Et serre-moi contre toi !
Il s'est alors laissé aller sans retenue contre moi. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, l'effet de son sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. J'étais émoustillée. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin sur le mien. Je sentais tres nettement le relief de son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je l'ai regardé .... et sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser de nouveau, encore plus fort. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un simple flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Ce garçon était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa bouche sur mon cou, et plus bas, sa main sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- j'ai envie de toi !
Je le regardais, un peu affolée, ma poitrine se gonflant au rythme de ses profondes respirations, il était comme ivre, comme dans un autre monde. Il me palpait les deux seins presque sans ménagement.
- Lucas ! Que fais-tu ?
- Tu as entendu ? ... J'ai envie de toi !
J'ai essayé de le stopper, lui disant que nous étions en train de nous laisser emporter. Il m'a répondu qu'il s'arrêterait dés que je lui demanderai. Mais je ne lui ai pas demandé, car inconsciemment j'avais envie qu'il continue. Je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. Je tentais encore vaguement de me raisonner mais sans vraiment résister. Je me suis appuyée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi, et envie, sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme.
- Lucas ! Qu'est-ce que tu fais !
- Paulina ! J'ai tellement envie de me sentir en toi ! Tu me diras d'arreter !
Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. Je résistais à peine. Et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien.
- ça va ? me demanda-t'il dans un souffle, Tu veux que je me retire ?
- pfouh je ne sais plus ! je ne sais pas ou on va ! Non, Reste !
Il avait envie de moi, et moi j'avais envie de son corps, je m'offrais à lui, mes jambes s’écartèrent. Je finis par souhaiter qu'il continue. J'ai senti alors senti son énorme verge s'enfoncer encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de cette soirée, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! J'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron,
C'est alors que je l'ai senti ! Une sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort son sexe au fond de mon ventre. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsque Lucas s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
Lucas et Paulina (elle) (E)
Lucas était un beau garçon, qui ne me laissait pas indifferente, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce ...

@

intens


Je lui caressai la nuque et les cheveux. Puis je lui caressais tendrement le visage. Elle se blottit contre moi. Elle redressa le buste, la poitrine en avant. Ses deux beaux seins gonflait le léger tissu blanc et soyeux.
j'ai posé ma main sur le sein le plus proche. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour toucher la peau satinée de son sein. Je déboutonnais les trois premiers boutons.J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Mon sexe bouillait. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Manifestement excitée elle m'interpella,
- partons d'ici, et allons dans ma chambre
Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes serrés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées. Son entrejambe apparut. Une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Elle glissa une main entre ses cuisses et du bout des doigts, sous mes yeux, elle se caressa à travers l'étoffe.
- Nicolas ! ... J'ai envie de toi !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- ça va ?
- pfou, c'est fou ce que j'ai envie de toi !
Ses seins ballottaient librement sous la soie blanche juste sous mes yeux. Elle s'appuya sur mes épaules. Je la saisis par les hanches. Je déboutonnais son chemisier pour voir ses seins lourds bouger en cadence. Le desir progressivement montait dans ma tige en feu. Je n'en pouvais plus. Lentement, elle prit mon visage, l'amena à ses levres et déposa un puissant baiser. nos langues s'entremêlèrent dans un délicieux ballet. Elle me regardait intensément l’air grave. Ses yeux clairs plongeaient dans les miens. Sa bouche était entrouverte. J’ai approché mon visage et nos lèvres se sont une nouvelle fois unies. Ma langue se mit à fouiller sa bouche. Je fis durer le baiser très longuement. Ma main massait son ventre à travers la soie. Parfois, mes doigts effleuraient juste la base des seins. Ils se faisaient plus aventureux et je me permis de lui palper doucement tout un globe. son sein durcissait sous ma paume. ma palpation se fit plus entreprenante. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise. Nous nous sommes embrassés de nouveau. Cette fois ma main se posa sur son genou. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. J’ai tiré un peu plus la jupe vers son ventre et j’ai découvert une culotte ravissante : Elle écarta encore les cuisses et je pus distinguer ses lèvres déjà humides de son jus intime. J’ai alors passé deux doigts sur sa fente ruisselante. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. Elle était si excitée qu’à chaque attouchement, son corps réagissait. Je me suis déplacé entre ses cuisses. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment du plus profond de son être. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
mon sexe compressé contre son ventre. elle luisait de son jus et ses lèvres intimes étaient toutes ouvertes. Je pris ma queue et je caressais sa fente avec mon gland. Elle soupirait les yeux fermés Sans précipitation je la pénétrai. Ses chairs laissèrent entrer mon sexe sans contrainte. Je me plantais litteralement en elle. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle grimaçait. Je commencais à coulisser en cadence. Je caressais ses flancs. Mes mains s'avancèrent jusqu'à ses seins pour les palper sur ses vêtements. Je me suis arrêté de la baiser pour déboutonner la veste et palper ses seins sur la soie. Elle fermait les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippais à ses hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables soulevèrent son corps. Je continuais mon va et vient. J'ai rugi très fort et j'ai giclé en elle.
intens (E)
Je lui caressai la nuque et les cheveux. Puis je lui caressais tendrement le visage. Elle se blottit contre moi. Elle redressa le buste, la poitrine en avant. Ses deux beaux seins gonflait le léger tissu blanc et soyeux.
j'ai po ...

@

à l’aube de mes quinze ans


C’était à l’aube de mes quinze printemps que je vécus l’un des moments les plus intenses de ma vie. Je passais deux semaines d’été chez la tante de mon amie, une fille que je considérais à l’époque comme ma meilleure confidente. Nous nous entendions à merveille. La nuit nous la passions dans la même chambre, dans le même lit. Nous ne ressentions aucune gêne et cela nous permettait de pouvoir faire quelques confidences nocturnes, comme deux adolescentes qui découvrent un nouveau monde jusque-là réservé aux adultes. Toutefois, le regard qu’elle pouvait porter sur moi lorsque je me changeais avant d’aller au lit, me gênait de temps en temps. Je comprenais la curiosité de mon amie pour mes seins lorsque je me surpris moi aussi à vouloir voir les siens pour faire également un comparatif.
Nous nous fîmes un câlin. Ce contact éveilla de nouvelles sensations quelque peu étranges et plaisantes à la fois. Jamais nos corps nus ne s’étaient touchés ainsi. Je sentais parfois le regard de mon amie se poser sur moi. D’habitude, cela ne me dérangeait pas mais ce soir-là ce ne fut pas le cas. Les minutes défilaient jusqu’à ce que je sente sa main glisser vers mon sein. Je poussai un petit cri de surprise avant d’entendre un chut apaisant.
— Laisse-toi vivre un peu. Je te l’ai dit, il n’y a rien de mal dans tout cela.
Sa main descendit plus bas afin de se faufiler sous le débardeur avant de remonter vers ma poitrine. Elle caressa d’un doigt les contours, me provoquant des frissons qui parcoururent tout mon corps. Une douce chaleur envahit mon ventre. Un effet que je connaissais lorsque je ressentais l’envie de me toucher. Sauf que cette fois-ci, cela paraissait plus intense.
— J’arrête quand tu veux.
Cette parole me rassura mais Je restais dans l’attente de savoir ce qui allait se passer ensuite. Elle empoigna mon sein dans sa main avant de ne s’intéresser qu’au téton qu’elle pinça légèrement.
— Tu t’étais déjà touchée ainsi ?
Elle retira sa main et se redressa ensuite dans le lit. Je l’entendis retirer son débardeur avant de se rallonger. Elle prit ma main la plus proche et la posa sur sa poitrine. La chaleur s’intensifia dans mon ventre. Je ne comprenais pas pourquoi ce contact me déclenchait autant d’émotion.
— Fais comme moi.
Elle effleura le galbe de mon sein, son doigt s’amusant à contourner l’aréole, comme pour garder le meilleur pour la fin. Je l’imitais, mettant en pratique son enseignement. Ma main explora sa poitrine, joua avec le bouton. Mon débardeur commençait à me gêner et je pris la décision de le retirer. Je sentis son appréciation dans les gestes qui suivirent. L’excitation montait à chaque parcours de ses doigts, surtout lorsque ceux-ci descendaient progressivement vers le bas. Sa main s’immobilisa à l’élastique de ma culotte. Un doigt délicat passa en-dessous, caressant les premiers poils de ma toison avant de remonter. Je n’osais pas l’imiter dans cet acte. Elle s’éloigna de moi, bougea dans le lit avant de reprendre sa position, j’avais lu dans un bouquin que les femmes mouillaient quand elles étaient excitées et je me doutais que Zoé se trouvait dans le même état que moi. Nous échangeâmes un court regard avant d’observer nos corps nus. Dans notre position, les jambes très légèrement écartées, rien ne révélait nos intimités. Elle ouvrit les cuisses et me dévoila son sexe suintant d’excitation. Je trouvais ses lèvres plus fines que les miennes. Cette vue me faisait ruisseler davantage. Je ressentais l’envie de me caresser. L’envie me poussa à rendre la pareille à Zoé. Je lui dévoilais mon antre, quelque peu intimidée par le regard qu’elle pourrait porter. Je ne lus dans ses yeux que ravissement. Elle s’approcha de moi et posa un baiser sur les lèvres de ma bouche, comme il nous arrivait d’en faire lorsque nous étions gamines. Elle se recula ensuite pour me fixer dans les yeux, cherchant une réponse.
— Je n’ai jamais embrassé un garçon, dis-je à mi-voix.
Une folie passagère nous submergea. Je ne sais plus si c’était moi ou elle qui prit l’initiative mais nos lèvres se rencontrèrent pour un nouvel échange. Nos bouches s’ouvrirent de concert et nos langues entamèrent un doux balai qui me fit frémir d’excitation. Alors que j’étais intéressée par les garçons, tout comme mon amie qui était déjà sortie avec un, nous perdîmes le contrôle de ce qui se passait. Ma main se posa sur sa hanche tandis qu’elle me caressait les cheveux.

Le baiser s’interrompit finalement, nous ramenant à la triste réalité de deux amies qui aimeraient que quelqu’un d’autre les embrasse. Nous nous regardions dans les yeux. J’étais comme fascinée par ce regard posé sur moi, qui me fixait dans mon plus simple appareil, sans émettre aucun jugement et paraissant apprécier le spectacle. Je n’observai que son visage, n’osant plus regarder vers le bas. Je ne le détachai que lorsque je sentis un doigt glisser entre mes lèvres. Elle le retira rapidement, prenant à la fois un air d’excuse et plein de malice.
— Désolée, je voulais vérifier si tu étais dans le même état d’excitation que moi.
Je la sentais sur la réserve, se demandant probablement si elle n’était pas allée trop loin. Je souris avant de m’approcher de son visage pour l’embrasser de nouveau. Le précédent baiser échangé avait remué quelque chose dans mon ventre, me faisant mouiller davantage. Je voulais mieux comprendre et ressentir de nouveau cet effet. Sa langue joua avec la mienne, me faisait frémir davantage. Ses mains restaient sages sur mes hanches, bien que caressant légèrement mes fesses. Et je ressentais l’envie de plus.
J’attrapai une main que je guidai vers mon entrejambe. Je la posais dessus, lui offrant le droit de me faire découvrir le plaisir d’être caressée par une autre main que la mienne. Rien que le contact chaud me fit mouiller davantage. Je la sentis se presser contre moi tandis que j’écartais davantage les cuisses. Elle ne tarda pas à commencer les effleurements autour de mon sexe, s’amusant à me faire pousser de petits gémissements. Elle s’approcha ensuite des lèvres avant d’insérer son index entre, s’éloignant de mon antre et remontant vers le clitoris.
Je relâchais l’étreinte du baiser, poussant un petit gémissement qui fit rire Zoé. Elle m’allongea sur le lit tandis que son doigt redescendit. Elle l’enfonça dans mon vagin et me lança un chut pour m’inciter à être plus discrète. Elle me poussa l’oreiller, me faisant comprendre que je devrais l’utiliser pour étouffer les bruits. Instinctivement, ce qu’elle me prodiguait, desserrait l’étreinte de mes cuisses, la laissant s’aventurer partout et profondément. L’excitation de cette première fois, me fit perdre la tête. Je m’oubliais en lui murmurant des continue sans ressentir aucune gêne. Sa main libre caressa ma poitrine, jouant de temps en temps avec l’un de mes tétons. Je me laissais aller vers l’orgasme dans lequel elle m’entraîna.
Son doigt expert jouait habilement avec mon clitoris. Je tournai la tête sur le côté, contre l’oreiller pour enfouir mes gémissements. Je me rendis à peine compte que je bougeais mon bassin. Zoé poussa davantage l’oreiller pour couvrir les bruits que je faisais avant de me pénétrer de nouveau avec son index. Elle s’amusait en me faisant des va-et-vient sur un rythme régulier. Je me crispai, me contractant, resserrant mes jambes comme pour le garder en moi. Elle se retira pourtant mais pour me titiller le clitoris. Cette fois-ci, je ne pus résister plus longtemps et partit dans un orgasme heureusement peu bruyant grâce à l’oreiller. Je pense que j’aurais été capable de réveiller la tante sans cela.
Lorsque j’éloignai ma tête pour regarder mon amie, elle arborait un grand sourire, fière de ce qu’elle avait accompli. Elle s’approcha de mon oreille pour me faire une confidence.
— J’espère qu’un jour, ce sera toi qui me fera plaisir.
Elle me lança un clin d’œil avant de s’habiller. Je lui souris, appréciant qu’elle ne m’oblige pas à le faire ce soir. Je savais qu’en temps voulu, la curiosité me pousserait à lui rendre la pareille. Je ne songeais plus à rester habillée devant elle, pas après ce qu’elle venait de faire. J’oubliais même que je pouvais être nue…


Je caresse les fesses nues de la personne qui partage mon lit pour cette nuit. Quel moment tendre nous avons passé ensemble. Ce joli derrière me plonge dans la nostalgie du temps passé, celui de l’insouciance et de la découverte. Je repense à mes premiers émois, mes premiers frissons, mes premiers délices que m’a offert cette vie. Ce bel été où j’ai découvert et pris conscience de mon corps.

à l’aube de mes quinze ans (E)
C’était à l’aube de mes quinze printemps que je vécus l’un des moments les plus intenses de ma vie. Je passais deux semaines d’été chez la tante de mon amie, une fille que je consid ...

@

Je m'appelle Frank - Et moi Lætitia.


- Je m'appelle Frank.
- Moi c'est Lætitia.
Ils s'étaient serrés davantage l'un contre l'autre, bras autour de la taille, mains sur les hanches … A la troisième danse, ils étaient corps à corps. A travers les fins tissus de son corsage et de sa chemise, il sentait la pointe de ses seins contre son torse; et la hanche de Lætitia qui roulait contre un relief explicite. Elle avait posé sa tête sur son épaule… Alors, il s'était penché vers son oreille et avait murmuré :
- Laetitia ... tu me troubles !
- Je le sens bien ! … Serre toi contre moi !
- Approche ton oreille ... et écoute-moi ! …
- Je t'écoute !
- Frank ... Je mouille à cause de toi !
Elle tire presque violemment Frank, referme la porte derrière lui, met ses deux bras autour de son cou, s'y suspend et entoure ses hanches de ses deux jambes… Et elle colle ses lèvres aux siennes. Il accueille volontiers ce baiser, passe un bras autour de son corps et glisse l'autre main sous ses fesses, ouvertes, chaudes, humides … Facilement, deux doigts s'y introduisent… La belle se raidit avec un profond soupir de satisfaction…
- Déshabille-toi ! Vite !
Et elle entreprend de lui déboutonner sa chemise. Frank rit de tant d'impatience… Il ouvre son pantalon qui tombe à ses pieds et bientôt il se trouve lui aussi entièrement nu, son attribut enfin libéré et fièrement dressé contre le ventre de la belle. Il veut reprendre Lætitia dans ses bras, la caresser à pleine main, la lécher, la sucer, il veut frotter son corps contre le sien et réciproquement, il veut reprendre ses lèvres contre les siennes… Mais elle le repousse…
- Non ! Viens…
Elle l'entraîne vers le canapé où elle se laisse tomber, jambes grandes ouvertes…
- Viens ! Je veux que tu viennes ... là ! … Vite ! J'ai faim !
Alors il se positionne entre les deux jambes, s'allonge sur ce beau corps feminin qui l'attend en se tenant dressé sur ses coudes. Sans aucune difficulté, il trouve sa voie et doucement, sans à-coup, la pénètre en entier, jusqu'à la racine. Tous deux se crispent et poussent un profond soupir, un râle même, de profonde béatitude… Puis ils restent parfaitement immobiles chacun goûtant ses sensations : Lætitia se sentant remplie par cette verge dure, épaisse, longue, écartant ses chairs, l'habitant toute entière bien au-delà de son ventre ; Frank sentant chaque millimètre carré de son sexe englouti, caressé par les douces muqueuses… Chacun se sent envahi par une sorte de vertige, une irradiation qui va de la pointe des orteils jusqu'à la pointe des cheveux…
Et soudain la tempête ! Les corps se fondent l'un dans l'autre, les mouvements se font presque violents. Elle serre ses cuisses contre ce corps d'homme qui la couvre, remonte ses pieds qui donnent des coups aux fesses. Il s'enfonce encore plus, glisse une main sous le corps de la femme, l'autre sur ses fesses… Chacun attentif à cette tension profonde qui monte jusqu'à ce qu'ils ne peuvent plus rien maîtriser. Et c'est l'explosion. Jaillissements. Mélange de sperme et de cyprine. Halètement profond, petits cris, ongles qui pénètrent les chairs de l'autre. L'extase dure longtemps. Extrême jouissance, profond orgasme, plaisir violent…
Et c'est le relâchement. Les muscles bandés se détendent, le souffle redevint normal… Ils ouvrent les yeux. Se regardent intensément. Se sourient. Les lèvres se joignent. Profond baiser, danse des langues unies…
Ils roulent sur le côté, toujours profondément soudés l'un dans l'autre. Et enfin, la violence du désir apaisée, ils peuvent se caresser avec tendresse, découvrir leurs corps du bout des doigts… le cou, les seins, les bras, le torse, les fesses, les cuisses… Ils se picorent le visage de mille petits baisers, restent silencieux ébahis de la beauté de la nudité de l'autre, de la puissance ou de la finesse, de la douceur de la peau, du bonheur qu'ils offrent et reçoivent…
C'est Lætitia qui émerge la première. Doucement, elle se redresse, se lève… De la paume de la main, elle essuie la liqueur qui s'écoule le long de ses cuisses et l'étale sur son corps … et ils éclatent d'un rire joyeux et satisfait.
Je m'appelle Frank - Et moi Lætitia. (E)
- Je m'appelle Frank.
- Moi c'est Lætitia.
Ils s'étaient serrés davantage l'un contre l'autre, bras autour de la taille, mains sur les hanches … A la troisième danse, ils étaient corps &agrav ...

@

douce nature


Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, nous nous étions allongé dans l'herbe fraiche, moi sur lui à califourchon, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts qui désignaient l'horizon. Je l'ai interrompu en plaquant mes lèvres sur les siennes, ma langue chaude s'est enfouie dans sa bouche, un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... J'ai relevé ma robe et je me suis empalée sur son mat, indécent de vigueur, me laissant pénétrer avec délice. Il entrait en moi, ses mains sur mes seins chauds, j'ai mordu son cou et ma salive s'est glissée sur sa peau. A l’abri des buttes et des taillis, nos corps se mêlerent. Mon étui chaud et humide absorbait goulument sa verge, l'engloutissait et la brûlait. Je m'empalais sur lui, doucement, interminablement, je ralentissais ma descente, la reprenais. Cette lente pénétration affolait nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait.

Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Mes moiteurs intimes enveloppait son sexe. J'enveloppais son mat de mon ventre brûlant. Je me soulèvais un peu et coulissais à nouveau, les yeux à moitié fermés, Je m'agitais, m'empalais un peu plus, sur son sexe qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Je me frottais, me soulèvais, redescendais, ondulais, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi.

Une ultime envolée, nous touchions aux nuages, j'avalais ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. Je m’effondrais sur lui en le couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être.


Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide ! Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état,
- Tu es bien ?
- Oh oui... j'aime !
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Tu veux que je me retire ?
- Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre
Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
douce nature (E)
Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, nous nous étions allongé dans l'herbe fraiche, moi sur lui à califourchon, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais &a ...

@

dans l'intimité de la chambre


Isolés dans l'intimité de la chambre, les deux corps se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. Onctueuse, elle glisse sur lui, au début doucement, presque tendrement, elle le caresse et le caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, il aime, il bande, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. il lui agrippe les fesses pour se glisser encore plus loin au cœur de son intimité. De ses mains douces, elle lui caresse l’échine, ils s'etreignent, ont besoin l'un de l'autre , de se serrer, de se sentir, impatience des corps, tissus épars, soutien-gorge et fine lingerie essaimés sur le sol, chairs glissant sur les chairs, pénétration, elle se cambre pour le sentir plus loin en elle. Il glisse doucement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être prise de la sorte, par tant de frénésie. Et il jouit, hurlant son bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin, avec une belle générosité,
dans l'intimité de la chambre (E)
Isolés dans l'intimité de la chambre, les deux corps se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. Onctueuse, elle glisse sur lui, au début doucement, presque tendrement, elle le caresse et le caresse encore, et encore, &agr ...

@

premiere nuit amoureuse


Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit d'amour entre nous deux, lui apparaître toute en séduction, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Une belle chemise de nuit, elle aussi de soie blanche ajourée de dentelles, prête à être dévorée par mon homme vigoureux et affamé. J'ai libéré ma chevelure, je l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai glissé ma main à la base de sa nuque, il s’est laissé faire. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ...
Avec une douceur presque féminine, il a écarté les bretelles de ma chemise de nuit, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je dénouai alors ma robe de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- J'ai envie que tu me fasses l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux !
Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et il s'est glissé sur moi, au contact direct de la chaleur de mon corps. Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus.
- Tu aimes ? Tu sais ... je suis toute humide !
Je continuais à masser doucement son sexe qui continuait à grossir et s'allonger dans ma main. Puis, je me suis tourné vers lui,
- Lucas ! ... Je suis prête ! ... Et je crois que toi aussi ! J'ai envie maintenant de te sentir en moi !
Allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, Puis, le fixant, je l'ai guidé vers moi. Alors sans attendre plus longtemps, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était si bon.
- Entre doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage,
- Lucas, tu me fais du bien, tu sais ! Et toi, tu es bien ?
- Je t'offre mon corps, et tu m'offres le tien ! Je suis une femme comblée
J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis.
- Je suis heureuse mon chéri, et même, si tu savais, bien plus que ça !
Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées.
- Lucas, ce soir, je veux que tu te perdes en moi, lui ai-je murmuré,
- Je veux toute ta joie, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs.
Alors que nous goutions tous les deux les delices de nos douces caresses, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je sentai qu'il ne tarderait plus, lui non plus à sentir monter la jouissance. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
- Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps !
- Vas-y mon chéri, ne te retiens plus ! Tu vas me donner le meilleur de toi ! Toute ta sève chaude !
- Marie, faut-il que je me retire ?
- Non mon chéri, je veux toute ta sève au fond de moi ! Remplis moi de ta joie !
Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Oh ... Lucas ! ... Maintenant ! ... Je suis prête !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait,
- Lucas ! ... Viens ! ... Vite !
- Oh Marie ! ...
Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. De longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Dans la foulée je me raidis aussitôt en émettant un long râle déchirant. Tout mon corps se mit à trembler convulsivement.
- Oh Lucas ! ... C'est si bon ! ... Continue ! ... Encore !
- Bien au fond ! Je veux toute ta joie au fond de moi !
J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
- Lucas ! Tu es si tendre, si genereux ! ... Tu m'as comblée.
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes, Je pleure de joie. Tu es maintenant mon jeune et bel amant !
- Restons ainsi encore quelques instants, Ne bougeons pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
- Je conserve dans ma chair un chaud souvenir de vtoi.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
premiere nuit amoureuse (E)
Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit d'amour entre nous deux, lui apparaître toute en séduction, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Une belle chemise de nuit, elle aussi de soie blanch ...

@

deux corps enlacés (Edmond Haraucourt)


Je suis venu sur elle, je l'ai interrogée du regard, attendqant un signal de sa part. Elle m'esquissa un sourire d'approbation.
- Je t'en prie, viens ! ... Je suis prête !
Sa main me guida discretement et naturellement elle m'accueillit, elle s'offrait à moi, totalement. Elle s'ouvrait, tendre et humide, et me laissa glisser en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans cet étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je pouvais sentir ses douces caresses intimes, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé.
Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Son souffle était lent. Je la pénétrais doucement, tendrement, puis restais un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Elle occupait son espace tout entier. Elle me faisait découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède. J'accélérai peu à peu, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle fermait les yeux, elle s'offrait un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je sentais mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? lui demandai-je
- Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillais en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace, elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J'entamai des mouvements d’avant en arrière, Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra.
Je m'agrippai à ses épaules et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrais sur mon enorme sexe qui la fouillait et qu'elle semblait aimer. La transpiration perlait entre ses seins, Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Je saisis alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait de plus en plus tous les deux. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Puis j'arrêtai net. Elle me sentit venir, je crispai mon regard ..... Elle me tira vers elle ... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. j'explosai en elle ! lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur. Puis je m'effondrai avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserva un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
Nous venions de faire merveilleusement l'amour


Les deux corps enlacés semblaient n'avoir qu'une âme.
Ils se serraient, ils se tordaient, ils bondissaient.
Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient.
Les veines se gonflaient. Les langues acérées
cherchaient une morsure entre les dents serrées,
des nerfs tendus et fous, des muscles contractés,
des élans furieux, des bonds de volupté...
Plus fort ! Plus vite ! Enfin, c'est la suprême étreinte,
le frison convulsif....
Eve alanguie, éteinte, se pâme en un soupir
et fléchit sur ses reins !
Ses yeux cherchent le ciel ; son coeur bat sous ses seins.
Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige,
s'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège.
Adam, heureux et las, se couche à son côté.
Puis tous deux, lourds, le sein doucement agité
comme s'ils écoutaient de tendres harmonies,
rêvent, dans la langueur des voluptés finies.
Mais Eve : "Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison,
Dieu fait bien ce qu'il fait... Viens là ! Recommençons.... "

Edmond Haraucourt
deux corps enlacés (Edmond Haraucourt) (E)
Je suis venu sur elle, je l'ai interrogée du regard, attendqant un signal de sa part. Elle m'esquissa un sourire d'approbation.
- Je t'en prie, viens ! ... Je suis prête !
Sa main me guida discretement et naturellement ...

@

après l'amour


Nous venons de faire l'amour. Julien vient de se retirer de moi. Il a joui en moi. Nous avons joui de concert. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale
Je n’osais pas lui dire oui, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il a su me convaincre. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il vient de se rependre en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque.
il est toujours là devant moi, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie. Il se remet à bander, sans complexe. Il s'approche de moi, pose son sexe qui durcit sur le mien, le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. C'est le paradis ! Il s'enfonce doucement, écarte bien mes chairs rosées, il me le met tout au fond et fait durer le plaisir. Il accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et lui aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui,
Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il prend de nouveau son sexe et caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je sens son plaisir monter. Le mien aussi. Mon ventre se contracte et des spasmes en série soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par se repandre une nouvelle fois en moi.
J'avais 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adorais lorsqu'il me faisait l'amour
après l'amour (E)
Nous venons de faire l'amour. Julien vient de se retirer de moi. Il a joui en moi. Nous avons joui de concert. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une br ...

@

la nuit avec lui avait été douce et tendre


J'etais encore nue devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. Tout naturellement, j'écartais les cuisses, et je décidais alors de m'offrir à lui, toute grande. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corp puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou,

Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un nouvel spasme Il s'enfonca un peu plus, s'extraya, puis revint. Je fermais les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Son sexe plongeait en moi et gonflait en meme temps, occupant mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et repris ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- tu es prête ?
- Oui, maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il se mit à jouir lui aussiJe sentis un flot de me remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
la nuit avec lui avait été douce et tendre (E)
J'etais encore nue devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre m ...

@


(E)
...

@


(E)
...