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mercredi 17 décembre 2025 - 12h51
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geisha et maikos


Un pan du rideau s'est écarté discrètement sur le visage de ma geisha. une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile, Délicatement, elle s'approche de moi, puis, elle parcourt mon corps de ses doigts fins et graciles en s'attardant aux parties plus sensibles. Elle s'y appuie plus longuement. Mes sens s'agitent.
Deux jeunes maikos qui étaient discrètement silencieuses, dans l'un des coins de la piece, se rapprochent avec grâce, par petits pas saccadés. L'une d'elle se rapproche doucement, et, avec des gestes délicats, me libère de mon kimono. Ma compagne geisha est impassible, les yeux légèrement baissés, elle n'a pas bougé. L'autre s'approche de ma compagne, et elle commence à la dévêtir, Le lent et compliqué rituel qui se déroule devant moi exacerbe mes pulsions sexuelles. je perçois, ici et là, des parcelles de chair d'une blancheur exquise. Le premier kimono aux motifs fleuris s'ouvre sur un second kimono. La chair blanche de ma somptueuse toyu se dévoile lentement. Ma respiration s'arrête. Les seins laiteux se dévoilent, et toute cette chair ronde et blanche qui s'étale maintenant, jusqu'à l'étroite et longue déchirure du vagin, une chair lisse et luisante, parcimonieusement épilée. Elle n'a pas bougé.
La jeune maiko s'attaque maintenant, à l'étrange coiffure de ma kan-geiko. la longue et noire crinière de ma kan-geiko vient s'étaler sur ses chairs blanches, en de multiples filaments effarouchés. La jolie maiko a laissé tomber son yukata fleuri, dévoilant en entier son corps de fillette, elle vient glisser sournoisement dans mon dos, où elle s'incruste avec passion.
La pression de sa chair chaude exacerbe mes sens, elle s'intensifie, les pointes de ses seins s'incrustent plus profondément dans mes chairs. Je regarde en face de moi les chairs appétissantes de ma tendre geisha, elle a bougé légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. Les mains de ma kan-geiko glissent jusqu'à mon tronc, s'y appuient légèrement, faisant basculer mon corps dans le vide, je viens m'affaler doucement sur le corps de la jeune et gracile maiko, lascivement déployé sur le tatami. Je sens parfaitement la structure de ce corps trop fragile s'encastrer dans mon dos, ses petits seins rigides transpercer mes omoplates, mes fesses viennent reposer avec impudence dans l'étroite et chaude vallée formée par la fissure, qui marque la rencontre de ses jambes fluettes, celles-ci se sont volontairement déployées et encerclent maintenant mes jambes en une étreinte énergique.
Pendant ce temps, ma kan-geiko s'est elle aussi discrètement glissée sur mon ventre; elle s'y incruste habilement, déployant ses membres autour de mon corps, rejoignant les membres de la jeune maiko pour former ainsi une enveloppe compacte et inexpugnable,
Mon corps s'agite. Les chairs chaudes qui m'enrobent se resserrent, s'échauffent, et s'agitent au rythme des palpitations de mon corps. Le sang coure dans mes veines qui se gonflent jusqu'au paroxysme frisant l'éclatement.
Elle est là, immobile devant moi, ses yeux fixent mon pénis au bord de l'éclatement, elle se penche sur moi et elle engouffre doucement mon pénis entre ses lèvres hermétiquement closes. Je sens ses lèvres glisser le long de mon sexe, en exerçant une forte pression, mon sexe se gonfle de sang, il est au bord de l'éclatement,
il plonge, pénètre plus profondément, puis elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon visqueux sperme dans le liquide encore tout chaud, qui gonfle la gorge de ma kan-geiko, chaud élixir qu'elle ingurgite avec passion.
C'est ainsi que j'ai atteint le wao-kei-sei-jaku, la suprême harmonie,
geisha et maikos (E)
Un pan du rideau s'est écarté discrètement sur le visage de ma geisha. une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile, Délicatement, elle s'approche de moi, puis, elle parcourt mon corps de ses doigts ...

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Wahida


Lorsqu'elle m'apparait, en pleine lumière, mes sens sont impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle est enveloppée de tout son corps. Wahida est voilée, complètement, mais ses yeux bleus me fixent, avec une intensité redoutable. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Je devine des seins à l'étroit sous le voile, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Je les devine lourds, beaux, massifs, gonflés avec leurs pointes qui saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes face à face. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ...
Elle m’invite à la suivre et je peux observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continue à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamme, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offre à ma vue, et le désir violent que j’ai pour elle s’imposent à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offre de ravissants contours. Il fait chaud. Elle me fixe d'un étrange sourire et m'invite a monter avec elle.
Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahit. En un geste élégant, elle dégage son voile de la main et fait apparaitre une ravissante combinaison blanche, Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressent par instant mon torse, elle s’affaire à me déshabiller. Je découvre alors la finesse et la douceur de ses mains,l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle fait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine.
Bien cambrée et appuyée sur les coudes, Wahida s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi. Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise.
Nous sommes sur le lit, desormais nus, l'un contre l'autre. Elle me sourit, je lui souris et lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
Wahida (E)
Lorsqu'elle m'apparait, en pleine lumière, mes sens sont impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle est enveloppée de tout son corps. Wahida est voilée, complètement, mais s ...

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Zahra a Teheran


C'est le crépuscule sur Téhéran. La nuit est fraîche. Des jeunes filles en groupes restreints s'amusent à narguer l'étranger que je suis, le groupe se resserre autour de moi, les filles sont légères et volubiles, belles derrières ces voiles légèrement écartés qui laissent deviner un peu de leurs charmes enfouis. C'est alors que je la vois, elle se trouve légèrement à l'écart du groupe, ses amies l'appellent Zahra. Elle a capté mon attention avec son voile fluide de soie noire. La forme de son corps se devine sous son voile légèrement translucide dans la chaleur de l’été, l'oeil noir provoquant, les doigts effilés bardés de quelques bijoux. Ses formes sont rondes, rebondies, et terriblement désirables.
Elle m'a regardé en premier je crois. Elle me regarde de plus en plus fixement et fait tout pour que je me rapproche. Je sens déjà sa chaleur. Zahra a capté mon regard comme une supplique, elle éveille en moi un désir sensuel et violent. Je me rapproche d'elle, à la toucher, humant les parfums de son corps, elle me fixe d'un regard bienveillant, voir complice. Je l'aborde, elle de semble pas s'effaroucher, bien au contraire. Son visage est tout proche du mien. Elle prends alors ma main, doucement, comme une invitation. C'est à deux pas me souffle-t'elle,
Zahra vit dans une petite maison toute simple. Elle me fait entrer dans un petit logement très simple mais coquet. Je ressens toute l'ivresse de l'exploit, Elle prend ma main et la guide lentement vers son visage la glissant pudiquement sur ses chairs aisément palpables à-travers les tissus enveloppants qui moulent son corps, les ondulations de ce corps magnifique réveillent en moi une violente attirance,
Elle approche son visage, je n'esquive pas. Elle dépose un baiser sur mon front comme une fille à son père, pudique, imprécise et malhabile. Je me laisse faire. Elle s'incruste contre moi, puis me tend une bouche entr-ouverte. Elle s'offre à ma bouche et j'y plonge avec ferveur, je dégage sa langue, j'aspire ses onctueuses salives, j'hume le souffle chaud qui jaillit de sa poitrine exhaltée. Je sens ses doigts parcourir mes reins. Les miens vont vers sa croupe, s'infiltrent dans les dédales sinueux de ses voiles lâchement disposés autour de son corps, atteignent les zones plus intimes, s'y attardent, faisant vibrer son corps de spasmes erratiques. Puis elle s'écarte de moi, me regarde, intensément, et m’entraine par la main dans la pièce voisine.
Elle me conduit dans l'alcôve puis ouvre le plaid d'un grand lit sur lequel elle s’allonge. Elle écarte doucement les jambes, relève ses voiles sur ses hanches Elle est étendue là, devant moi, offerte. L’air frais sur sa toison humide me donne le frisson. Son regard tendre et humide me trouble terriblement. Zahra m'attire vers elle avec une extrême douceur, comme si je planais comme si nos corps avaient cessé de se toucher. Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'appel. Mon envie d'elle se lève, se raidit, libre sous le voile, cherche instinctivement, sa voie ... pas longtemps, je sens sa main qui me guide.
Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère.
Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore,
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.
Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, j'entre et sors en elle de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes.
Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance. Tous deux enlacés sur le lit en désordre
Zahra a Teheran (E)
C'est le crépuscule sur Téhéran. La nuit est fraîche. Des jeunes filles en groupes restreints s'amusent à narguer l'étranger que je suis, le groupe se resserre autour de moi, les filles sont lé ...

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femme du désert


Son sari de soie rouge satinée fendu sur le coté jusqu’à mi-cuisse dévoilait à peine une peau somptueuse et brune, de longues jambes fines et musclées. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son corps. J’imaginais ses formes sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main effleurer ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux. J’imaginais encore, quand elle crut bon de me faire réagir,
- Mais ... où es-tu ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ?
Je ne l’imaginais plus. Elle était là, contre moi et s’enroulait maintenant contre mon corps. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur.
- Nous ne pouvons rester ici ! Viens avec moi, Chut ! ne dis plus rien.
- et surtout ... Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer.
Elle m’invita à la suivre et je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissu luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud. Elle me fixa d'un étrange sourire et m'invita a monter avec elle.
- Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer.
- Je veux que tu me prennes comme on cueille un fruit,
- Je veux que tu me dégustes avec délice et gourmandise,
- Ne crains rien ! Et laisse ton corps parler !
- Effeuille mon corps, doucement, écarte mon voile de soie,
- Tu vois ! Il glisse consentant, trouble appel de mon corps dans la nuit.
- Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini,
- J'amène à toi, ma chair nue, mon corps déjà se fait dunes, vagues de sable chaud.
- Sous tes doigts pénétrants je te laisse franchir mes humides frontières.
- Devenue faible proie, je veux glisser avec toi dans l’ultime
Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea un pan de son voile, me laissant le soin de poursuivre cette douce tache. Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains, l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine.
Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine. Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. Elle vint se blottir dans mes bras
- Je suis prête maintenant à me donner à toi, tel un cadeau sucré.
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps qui t'enveloppe doucement ?
- Je veux que tu m'aimes, sans retenue ! que tu me combles de tes prouesses,
- que tu dévores ma peau avec de tendres baisers. C'est si bon de s’abandonner !

- Dis moi tout bas tes plus folles pensées. Emmène-moi au paradis.
- Donnes moi de la magie, de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. -
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.

- Je veux sentir ton désir se dresser contre moi,
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées.
- Je veux que mon corps chaud t'enveloppe, t’enflamme, qu'il te brûle.
- Je veux sentir ton sexe s'enfoncer dans ma chair,
- qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il me pénètre, qu'il m'explore,

- Je veux que tu m'enflammes, que tu m'essouffles,
- Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, tu te libères en moi
- Que tu me donnes ta sève chaude, ta liqueur douce amère, ton miel d'homme
- qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Je veux que tu m'inondes de toi !
- Viens et allons nous aimer sans tarder !
Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à s'emparer des miennes. Puis elle se fit coulisser sur moi. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante robe de nuit transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore
à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir de nouveau, entièrement. je caressais son visage, m'attardais à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me suçer les doigts, voluptueusement. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers.

femme du désert (E)
Son sari de soie rouge satinée fendu sur le coté jusqu’à mi-cuisse dévoilait à peine une peau somptueuse et brune, de longues jambes fines et musclées. Je sentais déjà sa chaleur ...

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soirée sous la lune


C'était une soirée tardive, j'étais seule sur la terrasse, je contemplais les astres dans la nuit, ma robe de soie complètement ouverte aux rayons de lune. Il est arrivé subrepticement derrière moi, et c'est d'abord sa voix qui m'a effleuré
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
Sans me retourner, j'acquiesçais, charmée par cette voix douce qui soufflait dans mon cou, et je perçus alors des mains se poser sur mes hanches. Je soupirais, comme si je me parlais à moi même,
- Je la trouve bien seule là-haut ! dis-je dans le vide .. j'admire ceux qui ont l'audace d'aller l'explorer
Les mains accentuèrent alors leur pression sur mon bassin, et caressèrent mes hanches de bas en haut. La même voix douce poursuivait et prolongeait mon propos,
- Je crois qu'elle mériterait un exploration approfondie !
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Il me provoquait ! Ce devait être un bel homme, bien bâti, mais je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais par principe, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Puis, je sentis des mains douces effleurer, caresser, envelopper mes deux seins, et, de ses pouces, il se mit à caresser lentement mes petites pointes fermes et souples. Et j'entendis ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Vous voulez dire comme moi ? répondis-je, en entrant consciemment dans le jeu de cet inconnu. Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti glisser une autre main plus bas, entre mes cuisses déjà humides. Je tentais de résister, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur les parties les plus intimes de mon corps. Je continuais de mollement résister, mais sa manière de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Il y a tant de territoires nouveaux à découvrir ! me souffla-t'il dans l'oreille
Je réalisais dés ce moment que je désirais violemment cet inconnu qui était en train de faire tomber une à une toutes mes résistances. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit.
- Une bonne exploration ne doit pas s'arrêter en si bon chemin, lui répondis-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je le provoquais, j'étais prête à m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras. J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer le relief indécent de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés: J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs impressionnants et indécents à la fois, je les caressais et les massais doucement. Je les jugeais tres prometteurs. Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. bref irrésistible. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et je le voulais. D'un mouvement rapide, je tournais la tete et le fusillai du regard:
- Je n'ai rien sous ma robe ! Venez, dépêchez-vous, je suis prête !
Il m'entraina vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, puis son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée. Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, impression délicieuse. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra. Il ne résista pas très longtemps. La fusée partit ! ... et il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:
- l'autre face de la lune a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laissez-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger.
Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu
soirée sous la lune (E)
C'était une soirée tardive, j'étais seule sur la terrasse, je contemplais les astres dans la nuit, ma robe de soie complètement ouverte aux rayons de lune. Il est arrivé subrepticement derrière moi, ...

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telle une fleur au printemps


Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je l'ai pénétrée doucement, glissant tendrement dans son ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Plus je la pénétrais, plus il était long et profond. Lorsque j'atteignis le fond, je restais un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, elle était offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de ma douce penetration. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage. Doucement le rythme s'accélèra, Elle était maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en moii venir le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, je m'enfonçai de nouveau dans ses entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle occupait son espace tout entier. Je m'inquiètai d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes caresses !
Je m'agrippai alors à ses épaules et repris mes longues penetrations. Elle bougeait son bassin pour accroître les sensations. Elle me regardait avec envie. Nos regards se souderent l'un à l'autre.
Un violent coup de rein, et je la pénètrai plus profondément, elle fut prise de vertige et ferma les yeux un instant. Je me concentrai sur ce doux nid que je fouillais et que j'aimais. La transpiration perlait entre ses seins, nous poursuivions notre course. Elle me donnait du plaisir, je le lui rendais au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit-elle.
Je saisis ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs l'excitait. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuais. Puis je m'arrêtai net, tendis mes muscles, bloquai ma respiration et crispai mon regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot la remplir, she l'inondais de ma douce chaleur. Elle en gémissait de bonheur. Puis, je m'effondrai sur elle, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, une chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Je restai planté en elle, immobile ... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent nos paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour







Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes caresses !
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour
telle une fleur au printemps (E)
Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je l'ai pénétrée doucement, glissant tendrement dans son ventre c ...

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elle sort de la piscine


Elle sort de la piscine, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs,
sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon,
dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond.
Des grands seins aux bouts noirs. elle m'attends
Elle connaît mon désir, mon attrait pour ses formes rondes et voluptueuses
Je m'approche. J'avance mon sceptre, le glisse entre ses deux cuisses
vers ses grandes lèvres rosées. Elle les écarte pour y accueillir mon glaive de chair,
Je saisis ses deux seins dont les pointes s'érigent, le les palpe doucement
Et je m'enfonce en elle, je glisse entre ses lèvres faisant réagir son corps en entier,
Je pénètre sans résistance et m'enfonce jusqu'à sa source profonde.
sa bouche s'ouvre, son souffle chaud exhale des filets de salive.
J'explore ce doux et chaud territoire, ce corps tremblant et frémissant.
Tout le corps feminin commence à trembler,
les chairs ondulants sous les coups de mes bourses qui frappent contre l'entrée du puits.
Son corps se mouille, son visage se crispe, ses yeux se ferment, sa bouche s'ouvre,
sa mâchoire se serre, le cou s'arc-boute. elle serre les jambes autour de ma taille,
les muscles se referment sur le sceptre de ma future royauté.
Je suis prisonnier d'elle, en elle. Elle me serre et me griffe, comme une chatte enflammée.
Elle a le visage rouge, laisse échapper un cri, J'augmente la cadence de mes assauts
je la prend d'assaut et je conquiers le territoire,
je l'envahis jusqu'au plus profond de son séant.
Penché sur elle, fusionné au plus profond d'elle,
Elle se cabre brusquement, les seins durs et hérissés s'affermissent dans mes mains.
Je sens son souffle rapide, son haleine, de sa bouche qu'elle ne peut plus refermer,
Nos gémissements se succédent.
alors que le fond du puits je touche, atteignant la source du plaisir suprême.
Je sens son souffle chaud qui jaillit, au paroxysme du plaisir, elle tressaillit.
Elle me sert avec l'intensité de son plaisir, déchirant la nuit d'un long gémissement,
sous les assauts répétés, sous les coups du bélier, cognant de plus en plus vite
dans un grand couloir mouillé qui se ressert de plus en plus,
J'explose dans son ventre, en décharges multiples
et je me laisse retomber sur elle, totalement vidé.
J'écarte ses cheveux de son front trempé
et je trempe mon regard dans l'éclat amoureux et embrasé de ses yeux lumineux.
Ses yeux verts félins en dessous desquels saillissent des joues rouges.
Une main indiscrète qui descend le long des hanches
ou qui remonte le ventre jusque sous les seins.
Les nuits sont froides dans le désert,
au coeur des palmiers verts, dans cet oasis, dans ce palais.
Mais les plaisirs torrides qui s'y déroulent enflamment l'atmosphère
pour ceux qui se saoulent de ce nectar divin.
elle sort de la piscine (E)
Elle sort de la piscine, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs,
sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon,
dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond.
Des grands seins aux bouts ...

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hammam


Elle me serre contre elle, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs, sur sa peau brune, et plus bas, le long du grand sillon, ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond. Ses grands seins aux bouts noirs glissent sur mon torse. Elle connaît mon désir, mon attrait pour ses formes rondes et voluptueuses.

J'avance mon mat. Elle le sens sur ses grandes lèvres déjà distendues et me fait comprendre qu'elle est prête. Elle les écarte. Je m'enfonce en elle, je glisse en elle faisant réagir son corps en entier, Je pénètre sans résistance et m'enfonce jusqu'à sa source profonde. sa bouche s'ouvre, son souffle chaud exhale des filets de salive. J'explore ce doux et chaud territoire, ce corps tremblant et frémissant. Tout le corps feminin commence à trembler, les chairs ondulants sous les coups de mes bourses qui frappent contre l'entrée du puits. Son corps se mouille, son visage se crispe, ses yeux se ferment, sa bouche s'ouvre, sa mâchoire se serre, le cou s'arc-boute. elle serre les jambes autour de ma taille, les muscles se referment sur le sceptre de ma future royauté.

Elle me serre et me griffe, comme une chatte enflammée. Elle a le visage rouge, laisse échapper un cri, J'augmente la cadence de mes assauts je la prend d'assaut et je conquiers le territoire, je l'envahis jusqu'au plus profond de son séant. Penché sur elle, fusionné au plus profond d'elle, Elle se cabre brusquement, les seins durs et hérissés se plaquant contre moi. Je sens son souffle rapide, son haleine, de sa bouche qu'elle ne peut plus refermer, Nos gémissements se succédent. alors que le fond du puits je touche, atteignant la source du plaisir suprême. Je sens son souffle chaud qui jaillit, au paroxysme du plaisir, elle tressaillit. Elle me sert avec l'intensité de son plaisir, déchirant la nuit d'un long gémissement, sous les assauts répétés, sous les coups du bélier, cognant de plus en plus vite dans un grand couloir mouillé qui se ressert de plus en plus,

J'explose dans son ventre, en décharges multiples et je me laisse retomber sur elle, totalement vidé. J'écarte ses cheveux de son front trempé et je trempe mon regard dans l'éclat amoureux et embrasé de ses yeux lumineux. Ses yeux verts félins en dessous desquels saillissent des joues rouges. Une main indiscrète qui descend le long des hanches ou qui remonte le ventre jusque sous les seins.

Les nuits sont froides dans le désert, au coeur des palmiers verts, dans cet oasis, dans ce palais. Mais les plaisirs torrides qui s'y déroulent enflamment l'atmosphère pour ceux qui se saoulent de ce nectar divin.
hammam (E)
Elle me serre contre elle, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs, sur sa peau brune, et plus bas, le long du grand sillon, ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond. Ses grands seins aux bouts noirs glissen ...

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reunion


Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'approbation. Mon envie d'elle se lève, se raidit, libre sous le voile, cherche instinctivement, sa voie ... Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère.
Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore,
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.

Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance. Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille:
- Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée.
- Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ...
- Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur,
- Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus...
- J'aime ton jet de vie qui m'envahit, ta semence chaude qui inonde mes chairs, et la jouissance qui nous prend, tous les deux.
- Tu es mon délicieux amant secret !
- Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !
reunion (E)
Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'approbation. Mon envie d'elle se lève, se raidit, libre sous le voile, cherche instinctivement, sa voie ... Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et ch ...

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Elle se renversa, râlant sous ma caresse ;
Sa poitrine oppressée et dure de tendresse
Haletait fortement avec de longs sanglots.
Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ;
Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent
Puis, dans la nuit tranquille où la campagne dort,
Un cri d'amour monta, si terrible et si fort
Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent
Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers
Un lien nous tenait, l'affinité des chairs.

Guy de Maupassant (1850 - 1893),
(E)
Elle se renversa, râlant sous ma caresse ;
Sa poitrine oppressée et dure de tendresse
Haletait fortement avec de longs sanglots.
Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ;
Et nos bouches, et n ...

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envahissement


Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches.
J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou, Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
envahissement (E)
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger .. ...

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je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante. Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent mon dos, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement.

Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque au fond de son ventre. Je pousse un cri rauque. Et je lache un premier jet qui vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants.
Elle me serre contre elle aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes. Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là
(E)
je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétani ...

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Vivian et Tom


Viviane était accoudée au balcon de la chambre lorsqu'elle sentit Tom s'approcher d'elle, passer ses mains autour de sa taille, la serrant tendrement contre lui. Elle se laissa aller contre son torse musclé et se laissa enlacer doucement. Quand elle sentit les lèvres de Tom sur sa nuque, elle ferma les yeux et soupira. Il embrassait si bien... et ses lèvres, c'était tellement doux... Il continua un instant ses tendres baisers, puis se fit plus entreprenant, Il l'embrassa avec une passion qu'elle ne lui connaissait pas. Une lueur étrange brillait dans les yeux de Viviane. Elle se rapprocha de lui, sentant son souffle sur ses lèvres nacrées :
- Je voudrais que... que tu ailles plus loin... que tu ne t'arretes pas
Tom la prit dans ses bras et l'embrassa passionnément, glissant sa langue dans sa bouche.
- Je t'aime, murmura-t-il.
- Moi aussi, répondit-elle avec douceur.
Il commença à lui caresser sensuellement les hanches sans cesser de la regarder d'un air charmeur. Elle se laissa aller à la sensation de bien-être qu'elle ressentait et bientôt, enivrée de bonheur, ce fut comme si un feu d'artifice explosait dans sa poitrine. Un vague de désir la submergea de plein fouet, lui coupant le souffle. Elle avait envie de Tom. N'y tenant plus, elle le plaqua contre le mur, à côté de la porte ouverte de la chambre. Elle l'embrassa langoureusement en pressant son corps contre le sien. Elle sentit, contre son bas-ventre, que Tom était aussi ardent qu'elle. Elle enfouit la tête dans le cou de l'homme pendant que ses mains s'aventuraient vers ses fesses. Puis elle commença à onduler des hanches, lentement, avec sensualité...
- Tom ! J'ai envie de toi ! ... Tu veux bien... ?
Tom la fixa longuement, sentant le désir enfler de plus en plus jusqu'à devenir insupportable. Elle se pressa à nouveau contre lui, jouant avec le bouton de son pantalon, et il sut qu'il ne pourrait pas résister plus longtemps à la tentation. Il la serra plus fort contre lui, voulant la sentir toute entière à ses côtés. Il glissa une main vers la poignée de la porte de sa chambre et la ferma derriere lui d'un geste.
Viviane s'abandonna alors complètement à son étreinte, le désir se faisant chaque instant plus intense. Elle rejeta la tête en arrière, se laissant aller et offrant sa nuque aux baisers de son amant. Il posa ses lèvres à la base de son cou, la faisant frissonner de plaisir et d'anticipation. une bouffée d'impatience et d'amour se répandit en elle comme une traînée de poudre. Ses mains se promenaient sur le dos de Tom, le serrant contre elle, cherchant à le sentir davantage. Tom remonta le long de sa gorge et embrassa à nouveau sauvagement sa bouche impatiente. C'en était trop pour elle. Elle en voulait plus, ce n'était pas suffisant...Toujours plaquée contre le mur de la chambre, soupirant sous les caresses et les embrassades de Tom, Vivyan s'attaqua alors aux boutons de sa chemise, les défaisant un à un. Tom se détacha délicatement de l'étreinte de la jeune femme, fit passer le vêtement au-dessus de sa tête sans laisser le temps à son amante de finir ce qu'elle avait commencé, et envoya la chemise au sol. Il était torse nu, à présent. Il se rapprocha alors de Vivyan qui passa ses bras autours de son cou musclé, et ses doigts se posèrent enfin sur la fermeture de sa robe rouge. Délicatement, sans se presser, il ouvrit la fermeture, sans pour autant enlever la robe des épaules de Vivyan. Tom passa alors une de ses mains sous le tissu de la robe et commença à caresser le ventre de Vivyan. Celle-ci ferma les yeux pour mieux se concentrer sur ce massage, sentant les doigts de son aimé sur sa peau mise à nu. Tom, n'en pouvant plus, fit glisser les bretelles de la robe sur les épaules de son amante. L'habit glissa au sol sans un bruit et il put enfin contempler la jeune femme face à lui.

Elle portait un ensemble de dentelle: soutien-gorge à large décolleté qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. La taille souple et mince, les hanches légèrement courbes et les rondeurs de ses cuisses rappelaient les sculptures de jadis. Et, avec son expression qui reflétait à la fois l'innocence et le Désir, elle parvint à enflammer le cœur déjà fou amoureux de Tom. Elle lui adressa un sourire si tendre, si doux qu'il ne put résister davantage à la passion qui le dévorait. Tom prit Vivyan par la taille, savourant le contact de son corps presque nu contre le sien. Elle se blottit contre lui, lui caressant le dos de la manière la plus agréable qui soit. Elle tremblait d'impatience et ouvrit ses lèvres douces qu'il captura immédiatement en un baiser profond et tendre. Il sentait la poitrine de la jeune femme se presser contre son torse et se contint avec peine. Puis il cessa de l'embrasser pour enfouir sa tête dans son opulente chevelure de bronze, lui murmurant au passage :
- Tu es belle... si belle...
Le regard ardent de Tom la fit rougir et elle l'embrassa à nouveau, consciente que son désir devrait être bientôt assouvi. Tom, de son côté, explorait le haut de son corps, lui effleurant les seins juste assez pour la faire frémir, sans pour autant aller plus loin.
Gémissant sous ses caresses et ses embrassades fougueuses, elle descendit alors ses mains plus bas. Vivyan glissa ses doigts vers la boucle de la ceinture et la défit habilement. Elle fit de même avec la braguette et le bouton du pantalon et, bientôt, le vêtement tomba sur les chevilles de l'homme qui l'envoya valser nonchalamment à travers la pièce. Elle put à son tour le contempler avec bonheur Les yeux brillants de désir impatient, Tom enlaça passionnément Vivyan, la serrant contre lui avec une ivresse amoureuse toute légitime. Elle soupira d'aise en sentant sa peau nue contre la sienne et se frotta contre lui, enivrée d'amour.
Lorsqu'il reprit ses baisers.
Elle enroula ses jambes fines autour de la taille de Tom et, le rassurant d'un regard, se laissa porter jusqu'au grand lit. Il la souleva sans difficulté et la posa avec précaution sur le matelas moelleux, se couchant au-dessus d'elle, retenant tant bien que mal son impatience. Ce n'était pas le moment de brusquer les choses...Il continua ses baisers et ses caresses, faisant soupirer Vivyan, débordant d'excitation. Elle le sentait au-dessus d'elle, se laissant griser par la sensation de son corps sur le sien. C'était si agréable ! Les mains de Tom avaient à présent retrouvé leur place sur ses hanches et la caressaient fébrilement. Ses lèvres descendirent encore plus bas et il enfouit sa tête avec volupté dans sa poitrine généreuse, ce qui eut pour effet de l'électriser davantage. Avec une fougue encore plus passionnée qu'avant, elle se pressa contre lui, le suppliant tout bas de continuer. Il mordilla au passage un téton à la pointe dressée avec provocation, la faisant gémir. Elle arqua le dos, ce qui lui permit de dégrafer délicatement son soutien-gorge qu'il ôta sans peine. Des seins sensuels s'en échappèrent, rassasiant la vue de Tom. Ils n'étaient ni trop gros, ni trop petits, juste de la bonne taille. Absolument parfaits...
Vivyan commença à haleter de plaisir tandis qu'il saisissait un mamelon dans sa bouche et le suçait, comme un enfant qui tète. Vivyan ressentit une vague de chaleur au niveau du bas-ventre et gémit, se demandant combien de temps elle pourrait encore attendre.
Lorsqu'il eut léché avidement les deux seins, aspirant leur pointe avec langueur, Tom aventura ses mains à l'intérieur des cuisses de son amante, guettant la moindre de ses réactions. Il caressa l'intérieur de ses cuisses, se rapprochant dangereusement de l'endroit si sensible. La peau était douce, tellement douce ! Lorsqu'il posa enfin ses doigts sur l'intimité de la jeune femme et qu'il commença à la toucher tendrement, Vivyan poussa un cri de plaisir, se cambrant sur le matelas et retombant dans un gémissement. Tom entendait les gémissements et la respiration saccadée de Vivyan, ce qui ne fit qu'accroître son propre désir. Il n'avait jamais pensé éprouver tant d'impatience. Elle le rendait fou, ivre de désir. Il n'avait qu'une seule envie : être en elle, sentir sa texture douce, son étroitesse, lui appartenir, s'unir à elle... Il continua donc à la caresser à travers la dentelle de sa culotte bientôt trempée. Puis, lentement, comme pour la faire attendre, il s'empara du vêtement, le fit glisser le long de ses fesses pour finalement le laisser choir à terre.
Vivyan était entièrement nue à présent, et n'essayait plus de contenir son désir. Elle savait que Tom la voulait et il n'y avait qu'une chose qu'elle désirait : LUI. Pourquoi la faire attendre, alors ? Quand il releva la tête pour la regarder, elle lui lança un long regard suppliant, souhaitant de tout cœur qu'il continue ce qu'il avait commencé. Elle ondula sensuellement les hanches devant le visage de son amant qui ne se fit pas prier davantage. Il caressa tendrement son intimité mise à nu, la sentant trembler sous ses doigts impatients. Doucement, il se rapprocha de l'endroit sensible et, sous les gémissements de sa compagne, effleura alors ses lèvres intimes d'où perlaient des gouttes de désir. Quand il posa enfin sa bouche sur cet endroit si secret, Vivyan ne put retenir une exclamation de surprise qui se mua bien vite en cris de plaisir.La langue de Tom explorait chaque crête, chaque repli, chaque recoin, goûtant avidement à ce premier contact et traçant des arabesques de feu sur son bas-ventre. Les mains de la jeune femme se perdirent dans la chevelure sombre de son amant et elle se laissa aller à cette douce torture, sachant qu'il lui faudrait encore attendre. Enfin, il trouva ce qu'il cherchait. Au cœur de son intimité, il dénicha le tendre bouton de chair rose qui était un aller simple pour le paradis. Lorsqu'il posa la bouche dessus, ce n'est pas un gémissement que Vivyan poussa, mais un véritable cri de plaisir. Ne pouvant se retenir, il commença alors à lécher son clitoris gorgé de désir, la faisant crier de plus en plus. Il l'aspirait, le suçant avidement, tournait autour avec empressement, enivré par les effluves cachées de son amante et par ses gémissements.
- Oui! Oh oui... Ouiiiiiiii!!!!!! cria Vivyan, agrippant la tête de l'homme.
Tom introduisit alors deux de ses doigts en elle, espérant de tout coeur lui donner le maximum de plaisir. Vivyan le sentit à l'intérieur d'elle, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Il débuta alors de longs et langoureux va-et-vient, la caressant de l'intérieur, sa bouche titillant toujours son clitoris. Les mouvements se firent plus rapides et elle ondula des hanches pour suive son rythme, la passion l'emportant toujours plus haut et la faisant pousser de petits cris incontrôlables. Soudain, Tom sentit les parois étroites de son vagin se contracter sur ses doigts et il sut qu'elle venait d'atteindre son premier orgasme. Vivyan n'en pouvait plus. Elle sentait confusément que ce n'était pas tout, qu'il fallait continuer. Tom avait réveillé en elle des appétits fulgurants qu'il fallait à présent satisfaire. Encore sous le coup de son récent orgasme, elle le supplia en haletant :
- Tom, s'il te plait... Dépêche-toi... je n'en peux plus ! J'ai tellement envie de toi... Maintenant, je t'en supplie !
Il remonta vers son visage et contempla un instant ses joues rougies par son plaisir récent, sa bouche quémandant des caresses, cette femme si belle qui attendait qu'il achève ce qui était commencé. Le désir était trop fort, à présent. Il embrassa fougueusement Vivyan et enleva rapidement son boxer, révélant son sexe en érection au regard ardent de Vivyan.
La taille impressionnante de son membre dressé ne l'effraya pas, elle qui pourtant n'avait encore jamais vu d'homme nu. Au contraire, elle fut émue de voir ce touchant témoignage d'amour à sa féminité et cela ne fit que renforcer son propre désir. Elle se pressa à nouveau contre lui, écartant les jambes pour lui ménager de la place. Elle sentait son érection contre sa cuisse et se demanda ce qu'attendait Tom. Celui-ci paraissait hésiter :
- Tu... tu es sûre ? demanda-t-il d'une voix rendue rauque par le désir.
- C'est' maintenant que je te veux !
Tom embrassa alors Vivyan qui sentit l'énorme gland à l'entrée de son vagin. Avant qu'elle ait eu le temps de réagir, elle le sentit en elle. Progressivement, elle se détendit et, bientôt, sentit une merveilleuse sensation de plaisir. Elle soupira de contentement, et Tom reprenait sa lente progression. Elle le sentait se mouvoir en elle et en éprouvait un profond plaisir, une sensation totalement nouvelle. Tom accéléra imperceptiblement le mouvement et, bientôt, la pénétra totalement. Il se retira pour mieux la pénétrer à nouveau, débutant un lent manège de va-et-vient. Il prenait bien garde de ne pas aller trop vite, plus désireux que jamais de lui apporter du plaisir. Ce qui ne se fit pas attendre. Vivyan commença à gémir doucement sous les assauts de Tom qui devenaient de plus en plus fougueux. Jamais il n'aurait imaginé éprouver un tel bonheur, bien au-delà de l'attirance physique. Il voulait ne faire qu'un avec elle, l'emmener au septième ciel.
Lorsqu'elle poussa un cri de plaisir, quelque chose se brisa en lui et il s'abandonna alors complètement à ses étreintes, oubliant toute retenue. Il la pénétrait passionnément, alternant le tendre, le doux avec le fougueux et le brutal. Vivyan gémissait sous ce pilonnage intensif, ondulant des hanches, courbant le dos pour aller à sa rencontre. Chaque entrée de son amant lui procurait un plaisir inouï et chaque sortie lui laissait un profond manque... Elle rejeta la tête en arrière, ne pouvant contrôler le souffle précipité et les petits cris qui sortaient de sa bouche. Tom poussait des sons rauques tandis qu'il la pénétrait jusqu'au point de non-retour.
- Tom ! Oh... Tom !!! cria Vivyan, incapable de se contrôler davantage.
Soudain, elle enroula ses jambes autour des hanches de l'homme, le propulsant au plus profond d'elle-même. Avec un cri de jouissance, elle poussa enfin les portes du paradis, atteignant l'orgasme et découvrant pour la première fois cette sensation si intense et passionnée. Tom ne tarda pas à la rejoindre au septième ciel et, pendant plusieurs secondes, leurs voix se mêlèrent, criant leur amour et leur plaisir. Enfin, Tom, se libérant de la pression accumulée avec un sentiment de délivrance exquis, s'écroula sur Vivyan.

Elle sentit une douce vague de chaleur se répandre en elle et comprit que pour lui, c'était fini.
Leurs respirations haletantes résonnèrent longtemps dans la pièce, tandis qu'ils essayaient de reprendre leurs esprits. Ils s'étaient donnés totalement l'un à l'autre, sans aucune retenue et avec une passion débridée, réalisant ainsi une fusion parfaite de leurs corps et de leurs âmes... Même s'ils savaient que cette fantastique expérience était finie, ils n'avaient aucune envie qu'elle se termine. Ils auraient souhaité rester là à tout jamais, enlacés, l'un contre l'autre...
Au bout d'un moment pourtant, Tom se releva, délivrant Vivyan de son poids, et se coucha à côté d'elle. Elle vint enfouir sa tête au creux de son épaule et ils restèrent un moment ainsi enlacés,
Vivian et Tom (E)
Viviane était accoudée au balcon de la chambre lorsqu'elle sentit Tom s'approcher d'elle, passer ses mains autour de sa taille, la serrant tendrement contre lui. Elle se laissa aller contre son torse musclé et se laissa ...

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Ahmad et Myriam


Ahmad est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, il m'aimait bien, il adorait discuter, je le trouvais charmant, je me detendais pres de lui. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur mon voile leger m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais par moment regarder mes rondeurs, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Je l'ai invité cet apres-midi là à venir discuter à la maison, un petit logement que j'occupais avec une cousine qui n'était pas là. Une fois arrivé, il m'a embrassé et J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer l'effet d'une aventure avec lui, son désir tres visible ne faisait que m'exciter et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Ahmad se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit
- Ahmad, nous allons faire des betises
Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de mon voile. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Ahmad, J'ai si chaud... Que sommes nous en train de faire ?
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que tu me le diras. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.
Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland.
- Ahmad !
S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants... Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore,
- Ahmad s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien.
J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir !
Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi.
- Ahmad ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...!
- Myriam ! C'est si bon !
- oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon !
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.
Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Ahmad l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.
- Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! ,
- Myriam je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais !
J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre,
lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Ahmad a haleté,
- je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide,
entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
Ahmad et Myriam (E)
Ahmad est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, il m'aimait bien, il adorait discuter, je le trouvais charmant, je me detendais pres de lui. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact s ...

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Harem royal


Etendues et actives sur le tapis royal, nues et chaudes, entremêlées, mélangées, quelques unes des perles du royaume, la lumière des candélabres caressent les chairs qui glissent entre elles.

Mon glaive de chair bien affûté cherche, trouve, s'introduit et glisse dans le fourreau d'une femme yemenite à la longue chevelure noire ondulante, elle pousse des râles, des cris perçants, le visage rougi d'excitation. Les chairs roses subissent le frottement intense de ma grande lame de chair, de sang et de semence. Semence royale qui féconde et qui grouille dans son ventre, ventre gonflé, seins tendus en formes d'ogives, les grands bouts noirs hérissés, gonflés par l'excitation des corps. Dans une dernière charge, j'enfonçe mon organe qui bouillonne, Je leve la tête et expire un cri libérateur.

Pendant ce temps, un couple se livre aux passions charnelles. Lui, à cheval sur la croupe de sa compagne, Les lèvres du portail rose feminin n'offrent que peu de résistances à l'assaut brusque du bélier, l'organe male se fraye un chemin dans toutes les antres où il peut entrer. On sent l'organe palpiter, bouillonner, par la seule friction dans le passage étroit qui se referme, Plus il y met de vigueur, plus la friction le rend fou de désir et plus le plaisir devient démentiel, les yeux fermés, cramponné, il pousse des gémissements exprimant son plaisir. Il vient fébrile, haletant, soufflant en alternance, les yeux exorbités au moment de l'orgasme. Il hurle, gesticule, s'accrochant à sa partenaire. Celle-ci voit sa tête basculer de tout bords, dans un mouvement, incontrôlable. l'amante, s'offre, avide des plaisirs procurés par la verge de son compagnon, verge qu'elle enduit d'une huile orientale qui la fait gonfler, prolongeant l'érection, augmentant la sensibilité et facilitant le glissement.

je suis toujours assis sur le fond du bain, avec cette fois ci une polynesienne qui s'empale sur moi, à son rythme, tantôt lent et grisant, tantôt rapide et lancinant glissant sur mon sceptre, gonflé dur en elle, et chargée de la semence royale dont je m'efforçe de contenir l'envie de jaillir en coups de canon. Son dos ambré mouillé, ses cheveux noirs collés à sa peau frottant sur mon torse, mes mains baladeuses se font aventurières, alors que la féline se fait impétueuse, exhalant des râles sonores dont le souffle chaud se fait sentir sur ma joue.

Un homme, un peu plus loin, le membre palpitant, s'est engouffré au fin fond de l'antre de la chinoise, ses bourses cognant au même rythme que les soupirs de contentements qui fusent de sa bouche et me font tressaillir. Les yeux fermés, perdu en elle dans des délices charnels, il veut que son plaisir fut éternel. Mais toutes bonnes choses ayant une fin, il explose sa semence en elle, arrachant un grand râle puis une exclamation de frustration. Serrant les dents, agrippant sa partenaire, il persiste jusqu'à l'épuisement, glissant vivement dans l'antre.

L'antre de la polynésienne est maintenant rempli de mon nectar, je place le corps frémissant de plaisirs sur les dalles autour du bain, sur le dos, remontant les cuisses sur son ventre. La vahiné se glisse dans le bain et sa bouche vient se plaquer sur la mienne. Sans voir l'homme qui la prend par l'arriere Sans avertir, l'homme derriere elle entre son mat dans le fourreau de ma polynésienne et les râles de ma vahiné, se perdent dans ma bouche...

L'heure approchait pour le repas du soir, qui, comme à l'habitude, promettait d'être animé, avec les musiciens, les danseuses du ventre et un repas digne de l'Olympe, que je partagerai ce soir avec l'émir du Qatar. le harem a vu naître 200 enfants, issus de 91 femmes, celles mariées parmi les 135 du harem, la 135em étant celle qui semblait se régaler avec un quelque chose de ma personne dans le fond de sa bouche, blottie sous mon bureau. Sous la table, ma belle promise avale des jets de semence, qui pulsent sur sa langue humide. Elle me regarde de ses yeux de féline avide. Ses cuisses se sont refermées sur mon pied qui l'effleure. Un plaisir qui s'est fait attendre et qui n'est que meilleur.
Harem royal (E)
Etendues et actives sur le tapis royal, nues et chaudes, entremêlées, mélangées, quelques unes des perles du royaume, la lumière des candélabres caressent les chairs qui glissent entre elles.
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Ta bouche est tropicale


Ta bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Que tu aimes autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...

Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Une gaine humide, onctueuse était en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, sa langue onctueuse entourait et lissait mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot, sa pointe est un coucou criant. Mon vit sanglote de salive

Georges Bataille (1897-1962)
Ta bouche est tropicale (E)
Ta bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Que tu aimes autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...

Tout juste une douce cares ...

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Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées
Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction.

j'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, il m'a pris dans ses bras et m'a enbrassée, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. j'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. J'ai aimé sa force animale quand il s'est emparé de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
(E)
Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la t&eci ...

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Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées
Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction.

j'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, il m'a pris dans ses bras et m'a enbrassée, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. j'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. J'ai aimé sa force animale quand il s'est emparé de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
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Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la t&eci ...

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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...

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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...

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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...

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Messes de Chair (Jacques Hiers)


Les chandelles allumées laissaient voir des ombres enlacées, qui s’étreignaient, se pressaient, se cherchaient, des chairs impatientes… L’on se dévêtait, des souffles courts, des bruits de baisers goulument appuyés, des trousseries de dentelles et velours, des petits cris de surprise, mais qui n’en étaient point…

Le sang battait à mes tempes et en mon sexe qui déjà se cabrait, arqué en ma culotte ; je dus le libérer et, bien débraguetté, assis en un fauteuil, l’œil rivé au spectacle, je pus commencer à observer la scène…

Les deux Abbés à peine dévêtus, s’adonnaient à des attouchements précis sur ma Tante qui riait, tous seins tendus — le plus jeune palpant généreusement le beau derrière blanc de ma… « fiancée » et ce, avec une certaine concupiscence, le vit dardé ; Le jeune Abbé renversé en arrière, les yeux levés, semblait aux… Anges et se laissait feller, remuant les hanches, permettant à la petite et fine bouche que je connaissais pour l’avoir en son temps baisée, d’avaler gentement la queue turgide du jeune ecclésiaste et ce, à fond de gorge ! Je bandais, mes Amis et commençai là un lent mais apaisant va et vient sur mon vit qui se redressait fièrement ; mes couilles étaient pleines, mon jus s’impatientait, bouillonnant en mes boules qui auraient bien apprécié quelques fines langues et lèvres !

À présent, ma Tante Luce, tête-bêche sur la brune Annie, confirmait ses talents lesbiens et de belle manière, remuant le derrière, la langue et les doigts d’Annie par en dessous semblant faire des merveilles… Elles avaient dû certainement se gouiner déjà bellement, pour offrir une telle pratique de la chose… Les deux Abbés, se branlaient, les incitant à se bien gouiner — des vœux pieux qui me laissèrent pensif —

en l’instant, j’avais mieux à faire qu’à philosopher et je m’astiquais joliment, ma queue démesurée par l’excitation, se redressait un peu plus à chaque caressée, me faisant presque mal…

Comme je posais à nouveau mon œil contre l’œilleton de la cloison, je vis le jeune Abbé enfourcher les fesses de ma Tante et glisser sa longue trique nerveuse dans la mûre chatte, guidé en cela par Annie en dessous, continuant à licher les lèvres écartées de Luce et suçant à présent le bel arc arrondi de la queue du jeune Abbé… Les choses allaient bon train et l’Abbé de Pontaillan contemplait, queue en main le trio offert à son regard ; il masturbait une belle bite haute, nerveuse, toute empoilichée et dont les couilles dansaient allègrement, bien pleines de bon foutrin… Le jeune Abbé jouit à longs coups de vit et déconna de la chatte de Luce ; les deux femmes changèrent de position et la belle Annie de Souzargues vint se mettre à califourchon sur les reins de ma Tante, chattes et fesses ainsi superposées, bellement accouplées, chevaucheuses parfaites… L’Abbé de Pontaillan avait sûrement quelque idée vicieuse en tête : il vint prendre en chatte, tour à tour nos deux participantes, enfilant l’une et l’autre, sortant de l’une pour entrer dans l’autre, mouillé de la cyprine de chacune, glissant avec adresse en grognant de plaisir…des messes murmurées… Il jouit et je vis couler son foutre épais et blanc de chacune des deux chattes amplement ouvertes… Puis, l’Abbé retrouvant ses goûts particuliers, encore bandé, écarta l’un après l’autre les anus qui se trouvaient également à sa portée et les troulina simultanément : fourrant, fouinant, frottant, enculant divinement ces deux culs qui se trémoussaient en cadence… Quel beau vit, gonflé, généreux, la veine noueuse s’allant et venant en ces culs tendus, gourmands, avalant tour à tour la queue jusqu’aux couilles ; tandis que gloussaient merveilleusement les deux partenaires superbement enculées !!! Il jouit ! Moi aussi, contre la cloison, un long flot visqueux qui glissa doucement et se figea sur la tapisserie…

Maintenant, c’était au tour du jeune Abbé ; il prit la place de l’Abbé de Pontaillan et, bien installé contre les deux culs, poussait sa queue alternativement comme son Maître dans chacun des petits œillets dilatés et baillant de semence… Il s’activa et les séants furent à nouveau pris avec vaillance et éclat ; des gémissements, des cris, des mots osés tant par la bouche de ma Tante que par celle de la belle Annie…Quelles belles fesses elles avaient mes deux malandrines et comme j’eus voulu à mon tour les sodomiser, là, devant les religieux, prendre mon plaisir, moi, le jeune neveu privé de tant de jouissances ! Le jeune Abbé jouit dans le cul d’Annie, tandis que plus bas, l’anus de ma tante déversait son trop-plein de foutre d’une précédente envitée… Ils restèrent ainsi…essoufflés, collés, ivres de luxure et de vice… leurs habits noirs froissés, retroussés sur les reins…

Je n’y tenais plus et c’est le moment que je choisis pour enfin faire mon entrée : serait-ce un scandale ? Je ne savais… Je poussai la porte du réduit et queue en main, prépuce dardé, avant même que nos deux baiseuses eussent repris leurs esprits, je montai sur elles deux et choisis le beau cul poisseux de ma belle Luce et l’enfignai gaillardement, comme un neveu amoureux, un incestueux Amant ! Je glissai, elle geignit, le cul s’activa, elle s’enfigna jusqu’aux couilles sur son neveu et murmura : « Aaaaahhh, mon neveeeuuu, enfiiiin, vououous vououous décideeeez à veniiiir honoreeer votre Tannnnte et bieeen la fouuuutre !! » À quoi je répondis quelque peu essoufflé : « Mais, ma très Chère Tante, vous ne m’y aviez jusque-là point convié ! » Elle rit et imprima encore sur ma queue un beau et long coup de cul que je trouvai passionné autant qu’affectueux. Je jouis divinement de l’incestueux accouplement et restai raide, du foutre en mes bourses encore passablement gonflées… Je déculai du merveilleux réduit, le prépuce tout enmoustaché… Ô cul divin de ma noble Tante, celle que j’aimais toujours en secret en jetant ma semence au gré de jouissances cachées, en rêvant de ses cuisses, de ses fesses, de ses seins ! Rêves d’adolescent toujours là tourmenté par des désirs inavoués et autant d’érections aux incestueux effets…

Les deux Abbés, surpris, s’écrièrent ensemble : « Votre neveu, ma Chère ?! Quelle surprise, pour nous, vous en conviendrez !! » Je n’en entendis pas plus, à présent, je prenais en cul ma « fiancée », superbe gouineuse et débauchée qui me reçut avec un long cri… Elle me déqueuta presque tant son cul s’avérait généreux, profond, me serrant de l’anus, retenant ma queue qui glissait toujours plus profondément ; cette « branlée » pressa mon éjaculation et je me répandis dans ce beau fondement qu’il m’était agréable d’honorer, bien que la situation fut particulière… Je me vidai encore, glissai entre les bords roses et satinés de cette fine bouche culine, vrillant mon vit, le tournant, fritouillant l’anus de ma grosse bite raidie qui, bien qu’ayant joui, présentait encore une grande fierté, la fierté de la jeunesse…

« Mes Amis, mon neveu vient d’être mon Amant, à présent mon secret connaissez, point ne le divulguez, ce serait là péché… » Aussitôt les deux prêtres de faire un signe de croix et de promettre qu’ils n’en feraient rien, puisqu’ils étaient, en somme, sous le sceau de la… confession… des corps et des chairs. Ma Tante me baisa en bouche, l’inceste était consommé à ma grande satisfaction et nous allions nous retrouver bien souvent pour d’autres plaisirs de chair, en gente compagnie des plus légères pour des fêtes intimes aux frissons infinis.

Notre orgie se poursuivit jusque vers les huit heures, après quoi une bonne toilette nous rendit plus présentables et un souper nous fut servi en compagnie des deux Abbés qui prirent congé, ravis, apaisés, vidés de toute substance, les sens au repos, déjà prêts à prier…
Je vous baise gentes Dames et lectrices et vous salue bien, chers lecteurs,
Le jeune Marquis de Chair.

Messes de Chair (Jacques Hiers) (E)
Les chandelles allumées laissaient voir des ombres enlacées, qui s’étreignaient, se pressaient, se cherchaient, des chairs impatientes… L’on se dévêtait, des souffles courts, des bruits d ...

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mes deux femmes (d'apres Jacques Hiers)


Je regardai ma Belle-maman qui, nue et sans la moindre gêne, monta sur mes genoux et me demanda de baiser avec avidité sa belle poitrine. Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :
- Mon bon Gendre, vous avez pu le constater, ma fille et moi, Nous nous aimons, nous avons besoin l’une de l’autre ….
J’étais abasourdi et ne savais que dire… Elles essayèrent, l’une et l’autre de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elles, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’elle finissait par me troubler… Belle-maman reprit :
- Mon cher Gendre, ne pouvons-nous pas partager avec vous notre Amour commun ?
- Ma fille est ma maîtresse comme elle est votre femme, je suis veuve et donc seule
- j’aime faire l’amour avec elle, entre femmes, dans le secret, la complicité… le comprenez-vous ?
Ma femme réfléchissait, silencieuse, l’une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse comme pour me rassurer, me mettre en confiance … Allaient–elles ainsi me troubler au point de me faire comprendre, admettre et accepter l’idée d’un « ménage à trois » dans la licence la plus complète ? Mon épouse m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Ma Belle-mère me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche en murmurant :
- Mon cher gendre ... Depuis le temps que j’en avais envie !
Je sentais tous mes sangs battre dans mes artères. Ce deux Femmes étaient en train de m’attirer entre leurs bras, sans que je n’aie pu même dire un seul mot… Nous gagnâmes le salon et « mes » deux femmes me prirent à part.
- Voilà ce à quoi nous avons pensé avec Maman, dit mon épouse d’une voix basse :
- pourquoi ne serions-nous pas heureux de temps en temps, avec toi, à trois ?
- Maman serait comblée et toi, mon Amour, tu aurais tes deux petites femmes prêtes à t’aimer,
- partageant tous les plaisirs les plus fous… Qu’en dis-tu ?
Elle disait cela avec un tel aplomb que j’en étais désarmé… elle m’embrassa, Belle-maman aussi et… sur la bouche…
Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles … Je me mis à lutiner ma Belle-mère qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés. Ma femme se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était scellée.
Nous dînâmes d’un bon appétit et décidâmes, pour notre première nuit à trois, d’être on ne peut plus libérées. Nous gagnâmes la chambre et je demandai à mes deux femmes de ne point quitter leurs bas et douces lingeries de soie, car cela m’excitait et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elles ne surent point me refuser un tel plaisir ; elles revinrent du cabinet de toilette fraîches, parfumées, épanouies, souriantes et plus séduisantes que jamais. J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de ma Belle-mère mais là, je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne quittant plus des yeux mes deux charmantes aimées.
Je m’approchai de ma Belle-mère, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ! Je succombai. Je me mis à bander entre les fesses charnues de ma Belle-mère, Ma femme, par en dessous, commença à me peloter les bourses, Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançait à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir…
Je n’y tins plus et donnai ma verge dure à sucer à ma femme qui enfourna mon prépuce, le couvrit de salive, puis, le pointa d’elle-même dans la chatte de belle-maman… Une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que ma femme pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de ma Belle-mère, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de sa fille qu’elle était en train de sucer de plus belle. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ; Je déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine belle-maman, planté dans son humidité ; Elles jouirent toutes les deux, Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…

Belle-maman reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux :
- Alors, mon Gendre chéri, comment avez-vous trouvé ma petite minoune ?
- Délicieuse, absolument délicieuse
je répondis par un baiser sur les lèvres chaudes de ma Belle-maman, la serrant contre moi. Elle me serra contre elle, je rebandais, elle dit
- Quel plaisir nous allons avoir tous les trois, mes doux Chéris !
et elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la suça lentement, se gorgeant de mon foutre, ardente, vicieuse, sensuelle à souhait
- Ma Chérie, quelle queue a ton mari, tu ne m’avais pas dit cela, petite cachottière !
- Tu voulais la garder pour toi, eh bien, ma Chère, maintenant, nous partageons…
Et elle rit, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses beaux seins… J’avais encore envie de la baiser… Étendu entre mes deux « Maîtresses », celles-ci s’employaient à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), s’embrassant sur la bouche, se faisant des caresses et marmonnant des bribes de mots osés :
- Oh, que c’est bon, ma Chérie, embrasse-moi encore ca, tu m’excites, ouuuuhhhh… .vvvouiiiii…
Et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre leurs mains… Je suçai les seins de ma Belle-mère, tétant goulument à ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins, tandis que sa fille, elle, c’était le clitoris… à peine un frôlement et le clitounet se dressait, même à travers le slip et la robe ou le pantalon quand nous dansions ou nous enlacions amoureusement…

J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je me devais maintenant de prendre ma femme, dont le désir se faisait sentir, excitée qu’elle était par notre nouvelle relation avec sa mère et voulant en quelque sorte s’exhiber devant celle-ci, lui donner du plaisir par la vue de nos deux corps unis devant elle. Françoise se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés…
Sa mère, à nos côtés se masturbait, ne nous quittant pas des yeux et disant des :
- Oh, mes Chéris, ouuiiii, c’est bon de vous voir, allez-yyyyy, quelle belle branle je faiiiiisss, vous me rendez folle
- De fait, je déchargeai assez rapidement en Françoise qui criait, haletait, caressant d’une main les petits seins tout agités de sa Chère Maman… Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond ma compagne, mes mains sur elle pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts dans le con, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…


Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle, coquine à souhait, là, au creux de notre lit conjugal, se donnant du plaisir sans retenue, sous nos yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être tous les trois à présent réunis, soudés, partageant notre secret, notre grand secret ! Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de ma femme qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis que sa mère ayant joui à plusieurs reprises à nos côtés, se mit sur mes fesses, les épousant pleinement de son con écrasé contre mon fossé ; mon anus sentait la chaleur de la vulve poilue… Ma Belle-mère s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je baisais sa fille, elle murmura en haletant : « Baisez bien ma petite salope, allez, plus vite, mon Gendre chéri, mettez-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis fooollle de votre baaaiiiise, mes Amours… ». Je déchargeai en Françoise qui releva les jambes et nous étreignit tous deux… Nous étions soudés, terriblement vicieux, fous de sexe et d’inceste. Je sentis la cyprine de Jeanne couler doucement en mon fossé, mon anus imprégné de ce beau jus intime que cette dive femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager… Ma Belle-maman se dégagea et se pencha sur mon cul pour en licher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, mon anus fut liché de belle façon, mon fossé nettoyé, sa langue insistant perversement, pointue, dansante, chercheuse… comme elle léchait bien, la belle garcière mature !! Ma Belle-mère délaissa mon cul et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de sa fille, laquelle recouvrait peu à peu ses esprits après notre coït, allongée sur le dos, seins dressés aux belles aréoles rose-brun. Elles se tournèrent l’une vers l’autre et s’étreignirent coquinement en s’embrassant tendrement. Je vins tout contre les jolies fesses de Jeanne, les épousai étroitement, passant mon bras autour de la taille de mes deux femmes, nous étions délicieusement bien ainsi. Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé culin si doux et chaud… Ma Belle-mère dit à sa fille : « Il bande encore ton Cher mari, je le sens tout contre mon cul, ma Chère, se pourrait-il qu’il ait le dessein de me vouloir bien enculer ? J’en serais ravie… qu’on se le dise… » ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée… Françoise répondit en gloussant : « Chéri, tu sais, Maman aime cela, tu devrais accéder à son désir… ». A quoi sa mère répondit faiblement : « Oui, mon Cher, mon défunt mari avait bien l’habitude de passer par la « porte du jardin » – formule recherchée s’il en est – pour me signifier qu’une jolie queue bien dirigée dans son magnifique popotin, lui ferait grand honneur… Et elle ajouta : « Vous êtes à point, mon Chéri, puis-je vous recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant… Ma femme ajouta : « Tu sais Maman chérie, qu’Armand est un sodomite remarquable qui sait me prendre merveilleusement par là et, ma foi, fort souvent pour mon plus grand plaisir ! ». Ce à quoi ma Belle-mère rétorqua : « Quelle chance, mon Amant de Gendre, vous allez donc pouvoir satisfaire mon vice… je n’osais vous le demander… faites-donc, à votre guise et prenez moi bien et de forte manière en ce petit endroit que volontiers je vous consens… » Quelle vicieuse ! Elle aimait tout décidément, sa fille, son gendre, la sodomie, les plaisirs de Lesbos et… vous le verrez plus tard, ceux de la Zoophilie… mais patience…

De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses de « Maman » m’excitant au plus haut point… Je suggérai : « Mes Amours, je souhaiterais vous honorer généreusement toutes les deux par cette voie cachée aussi, voici ce que je vous propose : vous allez vous disposer à cheval l’une sur l’autre, étroitement serrées, vos jolis culs bien à portée (sous entendu de vit !) et ainsi, je pourrai vous servir bien courtoisement et vous bien visiter chacune à tour de rôle ; ainsi, aurez-vous, mes Chéries, ma queue en cul d’une régulière façon et profiterez-vous là de mes… « hommages » sodomites en même temps… ». L’idée fut bien reçue et elles se disposèrent aussitôt comme prévu, la mère sur la fille, celle-ci aquatrepattée au bord du lit ; quelle belle position, quelle vue, mes Amies et Amis, j’allais pouvoir accéder alternativement en un cul comme en l’autre, prenant un plaisir fou à les bien enculer à petits ou longs coups selon ma fantaisie… Je me mis donc en place, debout derrière elles, impatientes qu’elles étaient de sentir ce vit les visiter par la « porte de derrière »… La Mère s’agitait un peu sur sa fille, frottant son petit con poilu contre les chaudes fesses qu’elle épousait de tout son ventre… Je m’accroupis et donnai de la langue alternativement en chaque anus, le titillant, le salivant, le picotant du pointu de ma chienne charnue qui frétillait en ces séants… Je glissai même profondément la pointe de ma langue en chaque anus qui, en se contractant, semblait vouloir la retenir prisonnière en ses ardents satins. Les culs balancèrent un peu, de petits gémissements se firent entendre, cuisses et fesses superbes à ma vue… Quand je les eus bien préparées, poussant ici du médius en l’un et de l’autre médius en l’autre, en taquinant aussi plus bas le clitoris, je me frayai un chemin par un doigtage appliqué qui fut récompensé, car les anus se dilatèrent, s’ouvrirent, roses petits bombons plissés, ô combien attirants ! Ma queue fin prête et dardée, je l’humidifiai de salive et le prépuce humide et brillant commença son œuvre en ma femme, laquelle s’ouvrit du cul parfaitement et me reçut à petits coups de fesses jolis… je la pénétrai pleinement, fis aller et venir ma belle queueline ainsi en son petit trou-caca mignon (elle en avait l’habitude, nous aimions cela tous les deux, notre vice… si toutefois, l’on peut l’appeler ainsi)… puis, je déculai d’elle et vins prendre à son tour l’anusienne fleur de ma Belle-mère qui attendait ; je percevais son souffle, le nez dans les cheveux de sa fille, les seins collés à son dos, l’étreignant fougueusement en attendant d’être prise… Elle le fut bien vite, j’écartai ses fesses, l’anus s’ouvrit, petit puits rose magnifique, j’y plongeai mon vit et poussai… il entra sans difficulté, facilité en cela par les belles humeurs culines de sa chère fille ; ma Belle-mère geignit (de contentement) et me donna quelques petits et lents coups de cul qui eurent pour effet de l’empaler jusqu’à mes couilles… je raidis ma queue, dard en ses profondeurs et m’activai… Que cela était bon, mes Chères et Chers, quelle délicieuse douceur, une tiédeur absolue, un cul de Roi, un fourreau à ma gueuse queueline !! L’anus de ma Belle-maman me serrait fort, anneau de chair sur les rondeurs de mon phallus, me retenant, glissant, se serrant à nouveau puis s’ouvrant… je naviguai ainsi quelques instants, puis je déculai d’elle et vins retrouver sa fille en dessous… Ma queue était rouge vif, tendue à l’extrême, une excitation peu banale, bien que la sodomie à chaque fois provoquât sur mon anatomie une forte, très forte érection ! Je fouillai ma femme en plusieurs coups de bite, m’enfonçai, me retirai, poussai à nouveau – elle était folle de jouissance et criait sous sa mère qui la bais ait en cou, lui faisant une succion à la racine des cheveux – comme si elle eût pris en gueule un chaton… Je sentais monter mon jus, ma lave, pourrais-je encore la retenir ?

Je sortais, je rentrais, je changeais de couloir culin, quelle ivresse ! Ma queue comme paralysée par l’immense plaisir qui s’en venait faisait ici l’office d’un beau boutillon que j’administrais à ma volonté, à mon rythme, à ma cadence, bien soucieux cependant de donner le plus de plaisir possible à mes deux partenaires… Je me retirais d’un cul, celui-ci me cherchait, remontait et je partais vers l’autre cul qui m’attendait, m’aspirait, me serrait… je le quittais à son tour pour retrouver l’autre… je partais, je revenais, j’entrais, je sortais dans un galop anal infernal, maintenant par les hanches mes deux coursières aux fesses brûlantes…


Je commençai à jouir en ma Belle-mère… un petit flot bouillant projeté profondément dans le rectum… je ressortis de suite… poussai dans le cul de Françoise… déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins en ma Belle-mère, l’enculant à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… puis, je déculai d’elle et revins vers ma femme où je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Je restai en cul de Françoise toujours dominée par sa mère qui l’étreignait hystériquement… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu du bel anus de ma Belle-mère, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en cul de ma femme… le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante débordant du volcan anusien de Jeanne… Je déculai de Françoise… son petit anus dilaté expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui, de l’anus gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…

Ma Belle-maman encore excitée — était-ce l’odeur de nos culs, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? — je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle descendit des fesses de sa fille, s’accroupit et se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait du beau con de Françoise ; elle lécha, lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue en l’anus rose refermé, comme une petite bouche pincée… Ma femme, sous cette caresse, fit aller de haut en bas son petit cul et se mit à geindre doucement, la langue licheuse de sa mère et la salive de celle-ci contribuant à apaiser le feu de son cul qui venait d’être pris si joliment… Puis, ce fut au tour de ma femme de lécher sa mère, cul levé, fesses écartées, elle lui fit même office, même vice, même caresse linguale appliquée… Jeanne jouissait à petits souffles rauques… aquatrepattée, les mains bien à plats, sur le tapis au pied du lit… Bien que la vue fut de bon aloi, je ne me mis point à rebander et filai au cabinet de toilette pour me bien purifier après tant de folies anales… Mes femmes m’y rejoignirent.

Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous trois enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée où mon épouse et sa mère pourraient satisfaire en toute discrétion leurs envies zoophiles… Mais, je vous en reparlerai… patience, mes Amies et Amis. D’ici là, faites de beaux rêves, à bientôt !


Le Marquis de Chair
mes deux femmes (d'apres Jacques Hiers) (E)
Je regardai ma Belle-maman qui, nue et sans la moindre gêne, monta sur mes genoux et me demanda de baiser avec avidité sa belle poitrine. Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :
- Mon bon Gendre, vous avez ...

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Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées
Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'adorais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction.

j'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, Je l'ai pris dans mes bras et je l'ai enbrassé, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. j'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance.
je voulais aussi sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
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Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la t&eci ...

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