![]() | le baiserD'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lui donne un leger baiser sur le bord des lèvres, nos bouches se cherchent, se rapprochent, se trouvent, enfin, a l'abri des regards, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Je goûte ses lèvres douces et parfumées, c'est un baiser profond, sensuel, mouillé. je l’embrasse avec douceur. Je goute enfin ses lèvres délicieuses mélangeant mon souffle au sien. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes. Elle a les yeux fermés, est absente, Elle m’embrasse toujours, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau. Nos jeux de langues s'intensifient pendant de longues minutes. Nos lèvres se rejoignent. Accélérant les battements de nos cœurs. Je vole. Je rêve. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser ! Nos bouches se séparent une fraction de seconde. Puis elle m'offre sa bouche. Nos langues se cherchent un instant puis se lancent dans une course effrénée. Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il enfonce sa langue et la tourne lentement, doucement autour de la mienne. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Il m'embrasse avec fougue ... Le baiser est long. Il me lèche les levres, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. Il me suce, me mordille. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Nos baisers deviennent de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s'accélère. Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens. Je ferme les yeux pour mieux savourer, m'abandonnant à ce long baiser sensuel. | le baiser (E) D'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce d ... |
![]() | Elle s'ouvre, tendre et humideElle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore, J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je sens nos pulsations dans nos corps. Elle esquisse une grimace, incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. Je vais et je viens en elle, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné d'une série de spasmes. Elle tremble, haletante, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras ! Je caresse ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. elle murmure à mon oreille: - Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée. - Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ... - Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur, - Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus... - J'aime ton jet de vie qui m'envahit, ta semence chaude qui inonde mes chairs, et la jouissance qui nous prend, tous les deux. - Tu es mon délicieux amant secret ! - Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite ! | Elle s'ouvre, tendre et humide (E) Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je ... |
![]() | Je suis entré doucement en elle, son ventre etait doux et chaud. C'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison. Son souffle etait lent, et plus je la pénétrais, plus il etait long et profond. Je restais un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, le corps offert, la bouche ouverte. Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant totalement offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son visage, son expression, elle etait si intense, je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas , pas maintenant, pas encore, je devais tenir , profiter encore un peu, quelques minutes . Son souffle devint plus court , plus saccadé, elle se mordait les levres, recherchait ma bouche, Elle serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre, les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes, mes va-et-vient etaient devenus vigoureux, j'accélérai le rythme, nos doigts s'entrelaçaient, nos sexes unis dans un meme elan, un même desir, cette envie folle qui nous étreignait, Elle redressa la tete,dans un rale profond, la bouche ouverte et mordit dans la chair de mon épaule, je n'en pouvais plus, tenir encore un peu, et puis non ! Enfin .... la liberation, dans un gemissement incontrolé et liberateur, mon sexe vibrant en elle, ne cessant ses contractions, se liberant enfin au plus profond de sa chair. | (E) Je suis entré doucement en elle, son ventre etait doux et chaud. C'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison. Son souffle etait lent, et plus je la pén&eacut ... |
![]() | Il a été très tendreIl a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Je me sentais amoureuse, folle, Il m'a pris dans les bras et m'a embrassé, tendrement, passionnément, un vrai feu d'artifice. J'avais envie de lui, de son corps, de son sexe. J'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. Il s'est enfilé en moi, allant et venant, me retenant au niveau des épaules, lentement. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. Je voulais sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... | Il a été très tendre (E) Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il me caressait avec u ... |
![]() | merveilleux amantLouis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. | merveilleux amant (E) Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en q ... |
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![]() | Marie et LouisJ'étais la voisine de Louis, je l'aidai dans les taches ménagères mais aussi parfois en lui préparant quelques plats de temps à autre. Louis aimait la compagnie, et même, je ne l'avais pas compris tout de suite, attendait peut-être un peu plus de moi. Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Louis m'appella pour bavarder un moment avec lui. J'ai rapidement enfilé un robe de chambre. Lorsque je suis rentré dans sa chambre, j'ai bien vu dans son regard que ma tenue ne le laissait pas indifférent. Je me suis assise à coté de lui, lui diffusant sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum sur son visage. Cette proximité me donnait soudain des envies de le sentir un peu plus contre moi. Je ne sais pas ce qui m'a pris alors, j'ai alors dégagé un sein que j'ai livré à ses lèvres chaudes. J'ai alors senti plus nettement son désir s'affermir contre ma cuisse. Il finit par m'avouer sa gêne: - Marie, vos gestes de tendresse déclenchent des réactions que je n'arrive plus à cacher. Veuillez m'en excuser. - Ce n'est pas un problème Louis. J'en suis plutôt flattée ! Il était arrivé à me faire fondre de confusion. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à son contact. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il m'a retenue contre lui. - Marie ... Pardonnez moi cette audace, mais je voulais vous dire ... - Oui Louis ? - .... Vous êtes là ce soir, si douce, à coté de moi ! ... Et je n'ose vous demander ... il commencait à caresser doucement ma poitrine. Je le regardais avec tendresse en souhaitant qu'il me livre le fond de sa pensée - Louis ! Que vouliez vous me dire ? - Marie, ... Voulez-vous rester avec moi cette nuit ? Je sentais ses mains caresser doucement mon dos. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. - Louis, Est-ce bien raisonnable de provoquer le désir d'une femme comme moi ? - Marie ! Il y a si longtemps que je n'ai pas ressenti un tel désir. Et c'est vous qui le provoquez ! Il me poussait à bout. J'ai alors pris les devants et j'ai posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis de manière plus appuyée. Il me serrait contre lui. J'étais en train d'accepter tout de lui. Il m'affolait litteralement. - Louis, je suis un peu bouleversée par ce que vous me demandez ! - Marie, je pense à vous depuis longtemps et particulièrement en ce moment ! Repondez moi tout simplement. Je ne serai pas offusqué si vous dites non. J'eu alors une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce beau corps de senior qui m'attirait plus que je ne le pensais. Son sourire fut une injonction impérative. - Louis .... Regardez moi ! ... Vous voulez vraiment ? Vous voulez que nous vivions ensemble ce moment ? - Marie, Je vous sens si proche ! me répondit-il en me caressant le visage Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et je me suis glissé auprès de lui. Je me suis blotti dans ses bras. - Louis ... Votre corps est tout chaud ! - Oh Marie, c'est si bon de vous sentir si proche ! - Louis ! Je vais vous faire un aveu ... depuis longtemps, je pense moi aussi à ce moment ! Il m'a souri de ses yeux legerement embués. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis ... plus bas, j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, et je l'ai caressée en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. - Marie, vos douces caresses me mettent dans tous mes états ! Il semblait épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma robe de chambre et je me suis allongée sur le dos, juste vêtue d'une léger chemise de nuit que je relevais, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, et je me suis tournée vers lui - Louis ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! Il s'est alors installé sur mon corps, Je l'ai aidé en le guidant vers moi - Entrez doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... il s'est alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, - Louis, vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! - Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur ! - Louis, je vous accueille, avec toute ma tendresse ! ... Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée - Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis il a entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. - Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! Je suis en train de venir ! - Louis, ... pas trop vite ! J'ai encore besoin de vos douces et profondes caresses ! Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. - Louis ... Je suis prête ! J'ai envie que vous veniez ! Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Venez vite ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, - Louis ! ... Maintenant ! ... Jouissons ensemble ! Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. - Marie ! ... Je viens ! Aahhh .... Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. - Oui ! Continuez ! Oh Louis ! ... C'est si bon ! ... Bien au fond ! Je veux votre joie au fond de moi ! Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. - Oh Marie !! .... me lança-t'il dans un râle profond juste avant de s'écrouler sur mon corps. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon bel homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais maintenant ce qui venait d'arriver. et regardais entre mes jambes ouvertes. Louis continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. - Louis ! Vous êtes si tendre, si genereux et desirable ! ...Vous m'avez comblée. - Je conserve dans ma chair un souvenir de vous. Restez bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, - Marie ... Vous pleurez ? - Ne vous inquiètez pas de mes larmes. Je pleure de joie. Vous êtes devenu ce soir mon bel et merveilleux amant ! - Marie .... Je vous aime ! - Louis, je vous garde en moi encore quelques instants, Ne bougez pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente a fait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Je lui ai pris la tête puis les lèvres pour l'embrasser tendrement. Son sperme chaud coulait entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. Puis il s'est retiré de moi, lentement, ma vulve encore imprégnée de nos sécrétions amoureuses qui coulaient sur mes cuisses, sur les draps. Mes seins étaient couverts de marques de ses douces succions. J'étais encore toute ouverte. Il gisait sur le lit avec son sexe mouillé posé paisiblement à travers son bas-ventre. Louis a été très tendre, un ange de douceur. Je ressens encore sa main glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlaces de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il m'a caressée avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'adorais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, il m'a prise dans ses bras et je l'ai enbrassé, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. j'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il m'a rendue insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. je voulais aussi sa force animale quand il s'est emparé de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie de crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par sa jouissance, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... Louis fut mon bel et merveilleux amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes furent plus sauvages. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre. | Marie et Louis (E) J'étais la voisine de Louis, je l'aidai dans les taches ménagères mais aussi parfois en lui préparant quelques plats de temps à autre. Louis aimait la compagnie, et même, je ne l'avais pas compris to ... |
![]() | Marie et LouisLouis est un bel homme de 55 ans, veuf depuis quelques années. J'étais une amie de sa femme, depuis, j'aidai Louis à l'occasion dans ses taches ménagères mais aussi parfois en lui préparant quelques plats de temps à autre. Louis aimait la compagnie, et même, je ne l'avais pas compris tout de suite, attendait peut-être un peu plus de moi. Je lui disais qu'à l'occasion je viendrais un soir parler avec lui un peu plus longtemps. Nous étions dans le meme immeuble, ce qui facilitait les choses. Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Louis m'appella et me demanda si j'étais disponible pour bavarder un moment avec lui. Je lui ai répondu que j'étais déjà en tenue de nuit, mais il me répondit que cela ne le dérangeait pas. Mais lorsque je suis arrivé dans sa chambre, j'ai bien vu dans son regard que ma tenue ne le laissait pas indifférent. Je me suis assise à coté de lui, lui diffusant sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum sur son visage. Mes seins, enveloppés dans ma robe de nuit de soie, étaient à proximité immédiate de son visage, et ses lèvres venaient par moments effleurer le tissu, me provoquant immédiatement une salve de frissons. Il était vraiment blotti tout contre moi. Cette proximité me donnait soudain des envies de le sentir un peu plus contre ma peau. - Marie, vous êtes si gentille avec moi ! - Mais Louis, j'aime bien être avec vous ! Je ne sais pas ce qui lui a pris alors, il m'a embrassé sur le tissu de ma robe de nuit, j'ai alors dégagé ma bretelle et dégagé un sein que j'ai livré à ses lèvres chaudes. le contact de sa bouche sur ma poitrine était d'une douceur incroyable, tres sensuelle. Je lui diffusai sans m'en rendre compte ma souffle et mon parfum. J'ai alors senti plus nettement son désir s'affermir contre ma cuisse. Il finit par m'avouer sa gêne: - Marie, vous déclenchez des réactions que je n'arrive plus à cacher. Veuillez m'en excuser. - Ce n'est pas un problème Louis. J'en suis plutôt flattée ! Je vous pardonne bien volontiers ! Il était arrivé à me faire fondre de confusion. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à son contact, mes pointes étaient en saillie sous la soie. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il m'a retenue contre lui. - Marie ... Pardonnez moi cette audace, mais je voulais vous demander quelque chose ... - Oui Louis ? - .... Vous êtes là ce soir, si douce, à coté de moi ! ... Et je n'ose vous demander ... il commencait à caresser doucement ma poitrine, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Je le regardais avec tendresse en souhaitant qu'il me livre le fond de sa pensée - Louis ! Que vouliez vous me dire ? - Marie, ... Voulez-vous rester avec moi cette nuit ? Je sentais ses mains caresser doucement mon dos. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. J'étais d'un coup desatabilisée par sa demande - Louis, Est-ce bien raisonnable de provoquer le désir d'une femme comme moi ? - Marie ! Il y a si longtemps que je n'ai pas ressenti un tel désir. Et c'est vous qui le provoquez ! Il me poussait à bout. J'ai alors pris les devants et j'ai posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis de manière plus appuyée. Il s'abandonnait à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. J'étais en train d'accepter tout de lui. Il m'affolait litteralement. - Louis, je suis bien avec vous ! mais je suis un peu bouleversée par ce que vous me demandez ! - Marie, je pense à vous depuis longtemps et particulièrement en ce moment. Excusez mon audace ! - Louis, bien sur que vous ne m'êtes pas indifférent. Que puis-je vous dire ? - Repondez moi tout simplement. Je ne serai pas offusqué si vous dites non. J'eu alors une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce beau corps de senior qui m'attirait beaucoup plus que je ne le pensais. Son sourire fut une injonction impérative a une réponse positive. - Louis .... Regardez moi ! ... Vous voulez vraiment ? Vous voulez que nous vivions ensemble ce moment ? - Marie, Je vous sens si proche ! me répondit-il en me caressant le visage - Vous voulez bien de moi ? ce soir ? ... dans votre lit ? Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et je me suis glissé auprès de lui. Je me suis blotti dans ses bras, au contact direct de la chaleur de son corps. - Louis ... Votre corps est tout chaud ! Merci de m'accueillir ! Je suis bien avec vous ! - Oh Marie, c'est si bon de vous sentir si proche ! - Louis ! Je vais vous faire un aveu ... depuis longtemps, je pense moi aussi à ce moment ! Il m'a souri de ses yeux legerement embués. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis ma main s'est glissée plus bas ... j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. - Marie, vos caresses sont terribles, elles me mettent dans tous mes états ! Il semblait épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma chemise de nuit et je me suis allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, et je me suis tournée vers lui - Louis ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'invitation à venir me rejoindre. Il m'a alors embrassé longuement, puis il s'est installé sur mon corps, Je l'ai aidé à venir en moi en guidant sa dure et longue verge qui a rapidement trouvé sa voie, - Oh Marie ! Vous êtes si douce ... et onctueuse ! - Louis ! Je vous accueille, avec toute ma tendresse ! Je vous offre mon corps ! ... - Entrez doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... il s'est alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, - Louis, vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! - Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur ! - Louis, Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée - Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Et votre bouche ! Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis il a entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, agaçant gentiment mes mamelons, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, Je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. - Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! - Louis, ... pas trop vite ! J'ai encore besoin de vos douces et profondes caresses ! Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. - Louis ... Je suis prête ! J'ai envie que vous veniez ! Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Venez vite ! - Marie vous voulez que je me retire ? - Non Louis ! Je veux toute votre joie ! au fond de mon ventre ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. - Marie ! ... Ohhh Marie ! .... Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. - Oh Louis ! ... C'est si bon ! ... Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. - Oh Marie !! .... me lança-t'il dans un râle profond juste avant de s'écrouler sur mon corps. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. - Louis ! ... Je suis remplie de vous ! Vous me comblez ! Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon bel homme planté en moi. Louis continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. - Louis ! Vous êtes si tendre, si genereux et desirable ! ...Vous m'avez comblée. - Marie ... Vous pleurez ? - Ne vous inquiètez pas de mes larmes. Je pleure de joie. - Vous êtes devenu ce soir mon bel et merveilleux amant ! - Marie .... Je vous aime ! - Louis, je vous garde en moi encore quelques instants, Ne bougez pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Puis il s'est retiré de moi, lentement, ma vulve encore imprégnée de nos sécrétions amoureuses qui coulaient sur mes cuisses, sur les draps. Mes seins étaient couverts de marques de ses douces succions. J'étais encore toute ouverte. Il gisait sur le lit avec son sexe mouillé posé paisiblement à travers son bas-ventre. Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. | Marie et Louis (E) Louis est un bel homme de 55 ans, veuf depuis quelques années. J'étais une amie de sa femme, depuis, j'aidai Louis à l'occasion dans ses taches ménagères mais aussi parfois en lui préparant quelques ... |
![]() | J’adore le corps de BarbaraJ’adore le corps de ma femme Barbara. Barbara est une belle femme aux formes irresistibles. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de palper, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. - Serre toi contre moi, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire. Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Tu sens ? je suis toute prête ! Ce moment est à nous. - Tu vas m’embrasser partout, me sucer, me pincer, me mordre, me manger. - Je veux que tu me caresses, me chéries, que tu me câlines ! - En somme, tu veux que je te baise ? - Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon amour. Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je me frotte contre elle, mon bassin contre le sien, mon sexe contre ses cuisses. Je bande, elle le sent. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse.Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. - Barbara, Barbara, ma douce. - Nicolas, mon amour ! Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | J’adore le corps de Barbara (E) J’adore le corps de ma femme Barbara. Barbara est une belle femme aux formes irresistibles. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de palper, d’écraser au moment de la jouissance. Barb ... |
![]() | Je m'enfonce dans ses entraillesElle est comme une feuille, révélant ses courbes à mon œil amoureux, prête à être effleurée de mes mains, lentement, jusqu’à nue, prête à être cajolée, câlinée, caressée, prête à être aimée. Elle est prête, elle m'attends, et je viens ! Je m'enfonce dans ses entrailles. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Elle s'offre à moi, tendre et humide. Doucement, je me glisse en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Je commence à sentir ses douces caresses intimes. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. - Tu es bien ? lui soufflai-je à l'oreille. - Oh oui... Tu es doux ! ... C'est si bon ! Elle m'aspire, elle m’absorbe. son souffle est d'abord lent, et plus je l'investis, plus il est long et profond. Je la pénétre doucement, tendrement, puis je reste un moment en elle sans bouger, la sensation est d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. Ma verge glisse dans son ventre. Je m'enfonce un peu plus, m'extrais, puis reviens. Elle m'inonde de sa douce chaleur liquide, les mouvements se font plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un bruit de succion délicieusement érotique. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe maintenant son espace tout entier. - Tu veux...maintenant ? - Non ... Pas encore... Je veux profiter de tes douces caresses intimes. Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Je la regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Elle semble se concentrer sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La pensée de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue. - Maintenant ! me supplie-t'elle Je saisis ses épaules, j'augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitent tous les deux. Elle est secouée d'une série de spasmes. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouit encore et je continue. Puis je sens dans mon corps la montée de lave en fusion. Je m'arrete net et crispe mon regard ..... Et je la remplis. Elle inondée de ma douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Enfin je m'effondre avec des grondements d'ours blessés. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Je suis comme cette feuille, révélant mes courbes à son œil amoureux, prête à être effleurée de ses mains, lentement, jusqu’à nue, prête à être cajolée, câlinée, caressée, prête à être aimée. Et il vient ! Il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge glisse dans mon ventre. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... - Tu veux...maintenant ? - Non...Pas encore... Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Julien saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. , je suis secouée d'une série de spasmes. Je me cabre, Lucien poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard ..... Je sens alors un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | Je m'enfonce dans ses entrailles (E) Elle est comme une feuille, révélant ses courbes à mon œil amoureux, prête à être effleurée de mes mains, lentement, jusqu’à nue, prête à être cajolé ... |
![]() | Mon corps peu à peu s'est offertMon corps peu à peu s'est offert à Louis, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Plus il me pénétrait, plus son souffle était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi: - Vous êtes bien ? ... Vous voulez ? ...maintenant ? - Non ... Pas encore ... Continuez vos caresses qui me font tant de bien ! Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. - Je sens que je viens ! Voulez-vous que je me retire ? - Non ! Restez ! Je vous veux en moi jusqu'au bout ! La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. - Maintenant ! lui dis-je. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard ..... - Angela ! ... Je viens ! - Oui ! Allez-y ! ... Bien au fond ! Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés. - Oh Angela ! C'est si bon Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières. | Mon corps peu à peu s'est offert (E) Mon corps peu à peu s'est offert à Louis, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ven ... |
![]() | Louis ! ... Je suis prête- Louis ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'invitation à venir me rejoindre. Il semblait épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma chemise de nuit et je me suis allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, et je me suis tournée vers lui. Il m'a alors embrassé longuement, puis il s'est installé sur mon corps, Je l'ai aidé à venir en moi - Oh Marie ! Vous êtes si douce ... et onctueuse ! - Louis ! Je vous accueille, avec toute ma tendresse ! Je vous offre mon corps ! ... - Entrez doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... il s'est alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, - Louis, vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! - Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur ! - Louis, Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée - Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Et votre bouche ! Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis il a entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, Je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. Je sentis alors un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux. et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant | Louis ! ... Je suis prête (E) - Louis ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'invitation à venir me rejoindre. Il semblait épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma che ... |
![]() | premiere floraisonJe suis entré doucement en elle, son ventre etait doux et chaud. C'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison. Son souffle etait lent, et plus je la pénétrais, plus il etait long et profond. Je restais un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, le corps offert, la bouche ouverte. Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant totalement offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son visage, son expression, elle etait si intense, je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas , pas maintenant, pas encore, je devais tenir , profiter encore un peu, quelques minutes . Son souffle devint plus court , plus saccadé, elle se mordait les levres, recherchait ma bouche, Elle serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre, les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes, mes va-et-vient etaient devenus vigoureux, j'accélérai le rythme, nos doigts s'entrelaçaient, nos sexes unis dans un meme elan, un même desir, cette envie folle qui nous étreignait, Elle redressa la tete,dans un rale profond, la bouche ouverte et mordit dans la chair de mon épaule, je n'en pouvais plus, tenir encore un peu, et puis non ! Enfin .... la liberation, dans un gemissement incontrolé et liberateur, mon sexe vibrant en elle, ne cessant ses contractions, se liberant enfin au plus profond de sa chair. | premiere floraison (E) Je suis entré doucement en elle, son ventre etait doux et chaud. C'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison. Son souffle etait lent, et plus je la pén&eacut ... |
![]() | un homme très tendreLouis est un homme très tendre, un ange de douceur. Lorsque nous nous retrouvons dans l'intimité, je pense à ses mains glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sens mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me caresse alors avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemande sans cesse, mon corps tout entier est là pour lui dire que j'adore ça, que j'en ai envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction, je me sens amoureuse, folle. Quand nous faisons l'amour, j'ai envie, naturellement, de l'aspirer en moi, lentement, goulûment. il me rend insatiable et enflammée. Je m'enfile sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitent d'envie. Le rythme insidieusement s'accélére par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Avec lui, j'ai tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. j'aime aussi sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mords les lèvres, je secoue la tête, j'ai envie de crier. Et puis j'explose, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague arrive, déclenchée par sa jouissance, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévorent encore et encore, qui me donnent la chair de poule et des frissons partout. C'est bon, merveilleux, pétillant... Louis est mon bel et merveilleux amant, devenu mon compagnon, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donne et prend sans retenue. Il sait user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Il est encore bien vigoureux, infatigable de son corps. Ses jouissances sont rapides, sont violentes. J'aime. Les miennes sont plus sauvages. Je crois qu'il aime. Nous faisons l'amour longtemps, Il me remercie de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressent. Je m'avoue perverse et imaginative alors que je ne me connais que passive et classique. Il n'y est pour rien. Je suis là au bon moment, où nous avons besoin l'un de l'autre. | un homme très tendre (E) Louis est un homme très tendre, un ange de douceur. Lorsque nous nous retrouvons dans l'intimité, je pense à ses mains glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sens mes nerfs ... |
![]() | Louis est un homme tendre | Louis est un homme tendre (E) ... |
![]() | ses mains (Clémence Crozet)Ses mains sont longues et fines, elles sont chaudes, J'aime les caresses qu’elles me font, le plaisir qu’elles me donnent. Elles seraient presque trop sages. Je voudrais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les perdre dans mon écrin. | ses mains (Clémence Crozet) (E) Ses mains sont longues et fines, elles sont chaudes, J'aime les caresses qu’elles me font, le plaisir qu’elles me donnent. Elles seraient presque trop sages. Je voudrais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre ... |
![]() | Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide ! Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état, - Tu es bien ? - Oh oui... j'aime ! Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage - Tu veux...maintenant ? - Non...Pas encore... Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard ..... - Tu veux que je me retire ? - Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | (E) Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offra ... |
![]() | Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'invitation. Mon envie d'elle grandit, libre sous le voile, sa main me guide. Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore, J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras ! Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés. Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance. Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille: - Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée. - Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ... - Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur, - Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus... - J'aime ton jet de vie qui m'envahit, ta semence chaude qui inonde mes chairs, et la jouissance qui nous prend, tous les deux. - Tu es mon délicieux amant secret ! - Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite ! | (E) Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'invitation. Mon envie d'elle grandit, libre sous le voile, sa main me guide. Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle m ... |
![]() | Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. De violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes. Mon corps se tendit alors et vibra, je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent. | (E) Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. De violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante co ... |
![]() | (E) ... |
![]() | Louis ! ... Je suis prête- Louis ! Regardez moi ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'impatience. Il semblait épanoui, comblé. - Louis ! J'ai envie de vous ! ... Vous permettez ? J'ai alors rapidement retiré ma chemise de nuit, j'ai soulevé les draps et je me suis allongée sur lui, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri. Il m'a alors embrassé longuement, puis le me suis positionné sur son corps, et je l'ai aidé à venir en moi. Je me suis doucement planté sur lui. - Oh Marie ! Vous êtes si douce ... et onctueuse ! Je me suis alors laissée glisser doucement sur son sexe, ile est entré dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. J'envellopai sa verge de mes mueuses, je l'aspirai en moi et restai un moment en ainsi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, - Louis, vous me sentez bien ? vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! - Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur ! - Louis, Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée - Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Et votre bouche ! Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis j'entamai naturellement sur lui un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, Je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. Je sentis alors un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux. et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant | Louis ! ... Je suis prête (E) - Louis ! Regardez moi ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'impatience. Il semblait épanoui, comblé. - Louis ! J'ai envie de vous ! ... Vous permettez ... |