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mercredi 17 décembre 2025 - 09h37
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surprise sous la douche


Une cabine était restée entr-ouverte lorsque j'étais arrivé, ce qui m'avait incité a m'y introduire. Une belle femme, sans complexe, les yeux clos, était en train de prendre son plaisir sous l'eau qui l'aspergeait et glissait sur son corps moite, Le fouettement de l'eau lui procurait un étrange et enivrant plaisir, faisant naître de longs frissons voluptueux depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. L'eau ruisselait de ses épaules à sa poitrine avant de se répandre sur son ventre frémissant en empruntant son étroit sillon séparant ses seins gonflés. Elle se laissait emporter par ses sens en émoi et par une douce euphorie voluptueuse, L'eau tiède s'engouffrait avec force à l'intérieur de son sillon, le corps tendu vers un plaisir attendu. C'était un spectacle somptueux.
Je decidai alors de tenter ma chance et me glissai dans la douche
- Que venez-vous faire ici ?
- Eh bien, me doucher aussi …
- avec moi ? ... Ben voyons ! ....vous ne doutez de rien !
Ce fut la seule réponse de cette belle sirène ! je m'introduisai dans cet espace confiné au coté d'une femme que je ne connaissais pas. Comme dans un état second, elle m'avait lançé:
- Fermez au moins la porte de la cabine !
Elle s’offrait à ma vue sans se dérober… Elle avait les yeux mi-clos et la respiration un peu rapide. Sous la volupté qui peu à peu la gagnait, les mamelons de ses seins se sont gonflés tandis que ses tétons se durcisaient et se dressaient telles deux minuscules verges, dans l'attente vraissemblable d'un attouchement plus précis, que je n'hesitai pas à lui procurer en posant une main sur ses epaules
- Eh bien, vous ne perdez pas de temps !
Dans la semi-pénombre nos corps se rapprocherent .... Elle tendait son buste lourd, ses bras, de maniere voluptueuse, Elle était offerte, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement de plaisir au gré de mes caresses. Mes mains parcouraient doucement ses rondeurs. C’était une sensation délicieuse pleine de sensualité.
- Prenez au moins du savon pour me frictionner !
Je ne me faisais pas prier. Apres avoir pris du savon liquide, je glissais mes mains sous ses seins pour les faire saillir. Ils étaient souples, chauds, vibrants. Je les palpais délicatement, puis les serrais doucement, et recommençais. Ses seins avaient une texture exceptionnellement douce et, malgré leur poids réel, flottaient dans mes mains comme deux outres de soie. Pris d'un vertige sensuel, je les pressais, je les roulais, je les sentais gonfler dans mes mains. Les bouts étaient durs, elle poussait de profonds soupirs. Elle s'agitait. Ses seins étaient secoués de mouvements ératiques, traduissant une reelle excitation
- Vous pouvez continuer plus bas ?
Sa croupe tendue vers moi, impudique, elle s'offrait de toutes parts, se laissait posséder. Les spasmes se succédaient de plus en plus vite ... de plus en plus fort. J’entrepris alors l’exploration de son entre-jambes qu'elle ecarta franchement pour me faciliter l'approche. Le contact de mes doigts avec sa vulve humide, large, profonde, etait capiteux. Son bassin ondulait au rythme de mes doigts et elle poussait maintenant des petits feulements de plaisir. Son humidité était abondante.
- Vous êtes en train de m'exciter ! dit-elle dans un souffle rauque…
Elle regardait mon sexe qui ne cessait de se redresser.
- Mais ! ... Vous bandez ! comme un cheval !
Je ne lui laissai pas le temps de terminer et je plaquai mes lèvres sur les siennes. Elle se laissa prendre au jeu. Nos bouches se mélangerent. Elle me suçait la langue, glissant la sienne dessous et l’entortillant. J’en perdais la respiration.
- Vous me poussez à bout !
- Montrez moi au moins que vous êtes un homme, un vrai ! me dit elle en me provoquant
Elle ouvrit encore plus ses cuisses, prit mon sexe congestionné et l'appuya contre sa vulve en tournant mon gland sur ses chairs intimes. J’avais empoigné ses hanches et ses fesses et malaxait ses chairs avec une douceur matinée de passion plus sauvage lorsque je sentis mon sexe littéralement aspiré dans son ventre chaud, ma bouche restant soudée à la sienne, Elle accentua avec son bassin mobile ma pénétration. je me suis mis alors à coulisser en elle avec un délicieux bruit de clapotis…. Elle accentuait sa jouissance en se masturbant sur moi. Mes mains cherchaient ses seins et pétrissait son dos, ses hanches, ses épaules tandis que le corps arqué, je ne maîtrisais plus mes mouvements …. lui faisant comprendre l'imminence de l'explosion. Elle atteignait pour sa part le paroxysme de son plaisir et profitait de mes derniers mouvements pour s’éclater en me lançant un:
- Maintenant ! Vite ! Concluez !
Ce fut le signal. A longs et gros jets je me mis alors à jouir en elle… Je restais figé, mon sexe planté au plus profond de son ventre. Lorsque enfin nous reprimes nos esprits… Elle me baisa goulûment les lèvres
- J'ai rarement autant joui ! Vous êtes tout à fait à la hauteur !
- rhabillons nous ...et retournons vite à l'hôtel !
surprise sous la douche (E)
Une cabine était restée entr-ouverte lorsque j'étais arrivé, ce qui m'avait incité a m'y introduire. Une belle femme, sans complexe, les yeux clos, était en train de prendre son plaisir sous l'eau q ...

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la mère de Vanessa


La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. Elle me fixe, intensément avec une curiosité melée d'une pointe d'attrait
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
- Elle m'a chargée de vérifier quelque chose ... vous permettez ?
Elle se lève, s'approche de moi et elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes, cela dure plus d'une seconde
- Vos lèvres sont chaudes et très douces !
Elle me regarde en souriant, ses yeux brillent avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, je vois ses seins trembler doucement au gré de ses legers mouvements, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance.
- Vous êtes bel homme ! On vous l'a déjà dit ? Mais si, Vous êtes seduisant ! Ma fille a raison
Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se lève et m'invite à la raccompagner chez elle. Je la suis
Une fois dans sa chambre, elle se tourne vers la glace, caresse ses seins qui bougent légèrement au rythme de sa respiration.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise, ca ne vous derange pas ?
- Pouvez vous m'aider ?
Elle me presente l'attache de son soutien-gorge. Elle me provoque. Je me débat avec l’agrafe mais finit par réussir. Elle se tourne de nouveau vers moi. Elle reste bien dix secondes froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler.
- Eh bien ! Vous restez là ... sans rien faire ? Venez donc m'aider !
Elle se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre sur moi et m'enlace étroitement Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Vous aimez mes seins ? ils vous plaisent ?
- Caressez-les, ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples !
Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle gémit doucement, s'arqueboute et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis, passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond.
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! Ma fille ne vous a pas connu timide !
La mère de Vanessa est en train de me pousser à bout Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je suis en train de perdre tous mes moyens, elle le voit
- Vous plaisez à ma fille, vous me plaisez moi aussi, je ne veux pas être en reste !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... On ne va pas en rester là ?
Et soudain ... elle passe sa main sur mon pantalon ... bien gonflé, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, puis se detache de mes lèvres et me fixe, intensément:
- Je veux vous faire un aveu ! Je suis toute humide ! ... à cause de vous !
- Je suis mure, vous aussi ? Profitons en
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Elle me deshabille, je la deshabille. Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont bien souples. Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts, malaxant mes testicules.. Elle me regarde avec envie. Puis, elle m'entraine vers son lit
- Venez ! ... vite !
Elle plonge alors son regard dans mes yeux, positionne mon sexe sur le sien. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin,
- J'avais tant besoin d'un beau sexe d'homme dans mon ventre chaud
- le votre me remplit à merveille ! Appelle-moi Marianne !
- Tu es bien ? Moi, je suis bien !
elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. Tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, son regard s'humidifie
- Que c'est bon ! ... Donne moi tes lèvres chaudes !
je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de mouvements erratiques et de spasmes. Le climat monte et je sens vibrer mes bourses, prêtes à exploser, Je l'avertis de l'imminence de l'eruption
- Je ne voudrais pas ...
- Non ! reste bien au fond ... Et donne moi ta sève ! Maintenant ! Je suis prête !
Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, je me bloque et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Elle reste allongée, toute ouverte, trempée de mon sperme La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, du liquide coule entre nos cuisses écartées, Elle se love dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Mon sexe glisse doucement hors d'elle. Elle ne fait rien pour me retenir. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur ! Vous êtes un amant remarquable
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Puis je quitte sa cabine doucement. Pour rejoindre Vanessa
la mère de Vanessa (E)
La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. Elle me fixe, intensément avec une curiosité melée d'une pointe d'attrait
- Ma fille m'a d ...

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peau contre peau


Son corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens son sexe massif se lever contre ma cuisse. Nous sommes maintenant peau contre peau. Les yeux fermés, je me laisse aller. Contact avec le coin de mes lèvres. Je garde les yeux fermés. Nouveau contact, je tourne légèrement la tête et sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écartent, se rejoignent, augmentent leur pression, s’écrasent l’une contre l’autre, les langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il me presse maintenant contre lui. Je me pends à son cou. Je me serre contre lui, submergée par une pulsion incontrôlable.
Il commence à caresser mon dos, monte jusqu’à la nuque. Il me serre contre lui, toujours accrochée à son cou, et il me pousse contre la paroi de la douche. Nos bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Mes mains caressent son front glissent sur son visage et ses joues, descendent le long du cou. Sa main est chaude, le contact apaisant et tranquille. Ses mains sont partout et sa bouche aussi…Il me caresse le ventre et les seins puis m’embrasse à pleine bouche… mes jambes s’écartent, mes mains caressent sa chevelure… il me remue, me caresse,
Il regarde mes formes, il m'excite. Ses mains chaudes pressent légèrement mes seins, il les palpe doucement et peut en apprécier la souplesse. Puis il les rapproche l'un de l'autre. Il les lache ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir mes pointes. Il enfonce ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectue de petits cercles concentriques et écrase mes tétons. Je ressens des ondes de chaleurs. il presse doucement ma pointe par une légère torsion et l'étire. Ses doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme…. Ses deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. Puis elles les soulèvent. Il plaque ensuite ses doigts sur mes mamelons et les presse cherchant à enfoncer mes pointes durcies dans la masse laiteuse. Mon sexe coule. chaque malaxage attise dans mon sexe une boule de lave incandescente. les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. je râle de plaisir et un filet de salive glisse sur mes levres. Je suis au bord de l'orgasme, je me presse contre lui pour qu'il me sente bien, il bande, de plus en plus !

Ses doigts glissent, écartent, cherchent à tâton, suivent la courbe du sein. Ma respiration saccadée soulève ma poitrine. Ses doigts glissent, sentent le téton dressé par l’excitation, il se recule pour mieux voir ce sein blanc et son bout rose. Je me sens offerte, impudique, je le presse contre mon mamelon pour qu'il prolonge la caresse. Ses doigts entrent en contact avec la peau douce et tendre de mes cuisses. Naturellement, je leve une de mes jambes contre lui, il la saisit et la serre contre lui. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. Attrappant mes genoux, il les tire vers lui. Je me retrouve offerte, béante, les cuisses écartées. Il plonge alors sa main vers mon sexe qu’il sait trouver là, juste sous la fine toison. Il y pose une caresse de braise, plantant ses doigts dans ce nid suintant et chaud, fouillant entre mes lèvres trempées et distendues.
Sous l’assaut, je me cabre, projetant en avant mon bassin, comme pour mieux sentir ses doigts qui me fouillent. Il empaume mes seins, les presse l’un contre l’autre, crispe ses doigts dessus. Je me sens presque hystérique, libérée de tabous qui me paralysaient. J'attrape son corps, je recherche sa bouche pour regoûter sa salive, j'aventure une main, la glisse fébrilement vers le membre congestionné. Je le saisis, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous mes doigts. Je le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur mon ventre, malaxant les testicules. Je manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. Je le regarde, intensement. Il semble comprendre je lui dis dans un souffle:
- je suis prête !
et je le tire vers moi. Je n'en peux plus, je mouille, j'ai envie de le sentir en moi, vite... Il remonte mes deux jambes sur ses hanches et me soulève. J'écarte les cuisses pour l’accueillir. Il dirige son membre. Je plonge mon regard dans ses yeux et guide son sexe vers le mien.
- Doucement, lui dis-je, je veux te sentir me penetrer.
Il s’applique, augmentant progressivement la pression. Son sexe s'enfonce, glisse lentement dans mon ventre chaud. Je m'enroule sur lui, je le sens entrer en moi. Sensation divine ! Sa bouche est sur mes seins, sa queue s'enfonce en moi, je la sens enorme. Il me remplit. Je lui presse la taille pour qu’il s'enfonce encore plus loin, j'avance mon bassin, il reprend son élan et recommence. Je le sens maintenant arriver au fond de moi. Il l’a compris et commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Je me mord les lèvres, j'ondule de tout mon corps pour amplifier le plaisir.
- c’est bon, je me donne completement à toi, que c’est bon de te sentir en moi !
Il se concentre pour faire durer le plaisir, s'introduit, ressort, reviens … je gémis … je m’ouvre à lui, Je suis ouverte… Je bascule ... Il vient en moi, il s’enfonce en moi, je le sens bouger en moi. Il se retire et s’enfonce sans fin, je gemis, il gemit, Il va de plus en plus vite, mes jambes l’enserrent plus fort, j'ai envie de jouir, une vague de chaleur m’envahit à nouveau, m’embrume les idées. Je sens monter contre son membre mon propre orgasme, mes muscles se tendent, mon corps se cabre, les veines de mon cou se gonflent, mon souffle manque, mes yeux se révulsent comme si j'allais m’évanouir. Je pousse un cri déchirant, il me fourre, de plus en plus vite, Je suis sur le bord d'exploser, et lui aussi. je le serre dans mes bras et je plante mes ongles dans son dos. J'explose de plaisir
Accélération, orgasme. vague de plaisir, jouissance. morsure sur l'épaule, suçon dans le cou, vagissements étouffé, maelström, mouvements ondulatoires, accélération de la cadence, épaules agrippées, jambe autour de la hanche, pénétration plus profonde, plus intense, contraction des muscles intimes, muqueuses trempées, électricité, gaine brûlante emprisonnant le gland,
Je sens qu’il va venir, il m’appelle dans sa jouissance imminente, et je crie, de violents spasmes m’emportent, déchaînent mes émotions, Je n'en peux plus, poussées fulgurantes, jambes serrant sa taille, pieu empalé, fesses empoignées à pleine main, pénétration jusqu'à la garde. possession, envahissement, pilonnage, pistonnage, ramonage, jouissance, orgasmes en continu. bouche vorace, nom hurlé, arrêter, non, aller plus fort.. gémissements de plaisir, jouissance exacerbée, accélération, coups de butoir dans le ventre brûlant. pression de la semence dans les bourses pleines, le long de la hampe du sexe tendu, hurlements orgasme, Et je le sens venir ... Ca y est ! ... il explose dans mon ventre. Il m'inonde le vagin ... je sens son sperme couler en moi. Je serre ma tete contre son cou. éjaculation, il explose en moi dans de longs râles rauques… Enfin le jet puissant, flot abondant au fond du vagin. plenitude de la jouissance, salves successives, colonne de feu. volcan, flot bouillonant de lave en fusion au plus profond de ma chatte torride. Il continue pour me donner jusqu’à la dernière goûte de son sperme chaud.
Enfin, épuisée, je m’écroule, mon amant est toujours en moi, Essoufflés nous nous étreignons avec force comme si nous avions peur de nous perdre, je l’embrasse avec fougue, je l’aime. De caresses en mots d’amour nous nous endormons l’un dans les bras de l’autre…



peau contre peau (E)
Son corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens son sexe massif se lever contre ma cuisse. Nous sommes maintenant peau contre peau. Les yeux fermés, je me laisse aller. Cont ...

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Adele et Sargines (Theophiles Gautier)


Adèle s'abandonne doucement à l'instinct du plaisir. Il hasarde un baiser. Ose de nouvelles témérités, porte une main tremblante sur une jeune gorge de vingt ans. Toucher délicieux! Un marbre brûlant et mobile semble fuir et chercher les doigts qui le pressent. Des lèvres ardentes apportent à leur tour sur ce sein juvenil l'offrande de mille baisers, avec un empressement si tendre, qu'il se colore bientôt d'un rose plus vif.
Emportés par la fougue des désirs, ils se retrouvent tous deux couchés sur l'herbe humide, il fond sur elle comme l'épervier sur la faible colombe; et tandis que sa bouche s'abreuve de soupirs enflammés, un doigt, messager de plaisir, chemine jusqu'à cet asile mystérieux où, sur un trône humide et brûlant, siège la volupté du délire.
- Arrêtez, mes yeux se troublent, la voix me manque ...
- Sargines... je n'en puis plus... ayez pitié de moi ...
Et en prononçant ces mots, elle presse plus fortement son amant contre son sein. Brûlé de tous les feux qu'il allume, dévoré de désirs, le sacrificateur attaque enfin la victime qui tressaille ! L'émotion violente l'agite et de tendres gémissements, étouffés à leur source, décèlent les progrès dont sa jolie main s'assure avec effroi. ses bras s'enlacent avec force autour de son heureux vainqueur, dont les transports violents ouvrent la route du bonheur. Enfin, le charme est rompu; le dernier cri de l'innocence
atteste le premier triomphe de l'amour, et sa flèche victorieuse repose dans son carquois ensanglanté. Mais déjà la plus douce ivresse succède aux angoisses douloureuses; Adèle et Sargines, étroitement enlacés, unis par tous les points de leur existence, semblent désormais animés par une seule âme qu'ils exhalent dans les soupirs, qu'ils se disputent par des baisers;

un frisson voluptueux, universel, une fureur aimable les agitent, les transportent; des articulations demi-formées expirent sur leurs lèvres, un voile s'étend sur leurs yeux; ils se plongent et s'abîment dans un océan de délices. Revenue à elle-même, l'intéressante novice jette avec douleur ses regards autour d'elle; la lumière l'afflige, quelques larmes tombent de ses beaux yeux, et la pudeur qui reprend ses droits s'empresse de jeter un voile sur des objets que l'illusion abandonne. Après avoir pleuré avec sa victime, Sargines s'éloigne à regret, et la pauvre Adèle, plus instruite et moins tranquille, regagne lentement sa retraite, en songeant au moyen de revoir son amant et de tromper sa tante.

Cette femme du monde, Pâle et blonde, Qu’on voit d’un pas pressé, L’œil baissé,
Filer sous les grands arbres Loin des marbres, Héros, Amours, Bergers, Trop légers,
S’en va vers un coin sombre Voilé d’ombre, Derrière les massifs De vieux ifs.
Sans manteau qui la drape Un Priape Lascif dresse en ce lieu Son long pieu,
Que couronne d’acanthe La bacchante. Par delà le nombril Son outil
Lui monte jusqu’au buste, Gros, robuste, Par le chaud, par le froid, Toujours droit.
Sous l’acier qui paillette Sa voilette, Le cachemire long Au talon,
Cette sainte Nitouche Qu’effarouche Le moindre mot plaisant Non décent,
Chaque soir rend hommage À l’image Que le gamin impur Trace au mur.
Sur le dieu de Lampsaque Elle braque Son lorgnon et ses yeux Curieux,
Et d’un regard de chatte Délicate Croque comme un oiseau Ce morceau.
Foin de ces dieux superbes, Mais imberbes, Qui vous montrent un nu Si menu.
La plus chaste matrone, Dit Pétrone, Toujours volontirs vit Un gros vit !

Théophile Gautier — Poésies libertines
Adele et Sargines (Theophiles Gautier) (E)
Adèle s'abandonne doucement à l'instinct du plaisir. Il hasarde un baiser. Ose de nouvelles témérités, porte une main tremblante sur une jeune gorge de vingt ans. Toucher délicieux! Un marbre br&uci ...

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sous la douche chaude


L'eau chaude mouille nos peaux dénudées et fébriles.
Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre :
le contact de ses seins excite mes sens, mon sexe se leve sur son ventre, glisse entre ses deux cuisses.
Ses deux seins sont ruisselants sous le savon glissant, je les palpe à pleines mains
Ses mains enserrent légèrement mes bourses puis entourent ma verge, elle malaxe le tout dans l'eau savonneuse
Je me glisse alors derrière elle, et je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses.
ma main passe sur son ventre que je me mets à savonner doucement avant de remonter vers ses seins
Ses poitrines souples glissent doucement dans les paumes de mes mains.
je palpe cette chair élastique et mes doigts taquinent ses pointes durcies
Je sens mon sexe qui durcit petit à petit....
Je me serre un plus près d'elle et, en l'embrassant dans le cou,
je regarde avec delice ses deux seins tout mousseux qui se ballottent dans mes mains.
je suis collé à elle, et elle ne peut ignorer mon desir qui s'appuie doucement sur ses fesses.
mes mains passent de ses seins à son ventre
Progressivement, je la sens se détendre doucement et cambrer les reins,
je frotte doucement mon sexe contre elle ce qui ne fait que le durcir encore.
elle passe sa main entre nous pour s'emparer de mon sexe.
"Il est beau !" me chuchote-t'elle.
Elle se retourne et fait coulisser doucement mon sexe dans sa main.
Mon pénis grossit encore dans sa main savonnée qui s'active doucement.
Elle me regarde, regarde mon sexe qui entre et ressort dans sa main, puis reprend du gel douche en souriant.
Sous ses caresses, je me met alors à onduler d'avant en arrière et je savoure avec délice ce moment.
Je sens la jouissance qui me gagne petit à petit. Elle accélère le mouvement, comme pour me soulager.
Ma main glisse alors entre nos deux corps pour descendre le long de son ventre avant de sentir sa toison bouclée,
je sens alors son sexe chaud. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent
Je les sens, tendres et fragiles On dirait du velours...
Je continue lentement la caresse, en me faisant plus précis à chaque mouvement....
Elle ne dit rien, les yeux fermés, balançant légèrement son corps... Je sais qu'elle se retient.
Je remonte mon doigt. Elle plaque alors sa main sur la mienne en appuyant fort.
Je la sens excitée. On s'embrasse. On se serre. L'eau dégouline sur nos corps.
Elle s'accroche à moi, se frotte à mon sexe. J'aime sentir ces chairs tendres et fragiles,
la chaleur qui vient de son ventre, cette moiteur, et ce corps qui s'abandonne peu à peu à mes caresses.
Puis, mon doigt se fait un peu plus insistant à l'entrée de son vagin. Il s'enfonce, c'est brûlant...
Je sens ses muqueuses qui se dilatent, comme pour que j'aille plus loin...
Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient.
J'entame alors quelques légers mouvements. je ne sens aucune résistance,
Je passe un long moment à caresser sa vulve entière, à l'écoute de son corps qui réagit sous mes doigts,
Le rythme s'accélère alors de plus en plus, tandis que je sens son plaisir arriver à grande vitesse.
Serrée contre moi, les bras accrochés autour de mon cou, j'entends son souffle,
parfois saccadé, parfois sifflant longuement dans mes oreilles...
Son corps se raidit de plus en plus en plus, ses muscles sont contractés, et elle me serre très fort.
Je continue à masser vigoureusement son clitoris.
Et puis, ça y est, elle part... Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
Ma verge toujours enlacée par sa main tressaille elle aussi, t'inondant la main ...
sous la douche chaude (E)
L'eau chaude mouille nos peaux dénudées et fébriles.
Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre :
le contact de ses seins excite mes sens, mon sexe se leve sur son ventre, glisse entre s ...

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Empalée


Empalée sur mon sexe, me fixant droit dans les yeux, elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute.
Empalée (E)
Empalée sur mon sexe, me fixant droit dans les yeux, elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son v ...

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J'étais sous la douche, les yeux fermés Lorsque Je sentis des mains se poser sur ma poitrine Puis les fit descendre délicatement jusqu'à mes hanches, Les caressa sensuellement Glissa ses doigts jusqu'à son intimité
Quand j'ouvris mes yeux, Je fus étonnée Par la beauté de cette brune Elle rapprocha son visage du mien, Je fermais les yeux. Et là, je sentis son souffle chaud contre mes lèvres. Bientôt remplacée par sa langue les caressant. Ses dents qui s'affairèrent maintenant Me firent perdre toute résistance, Mordillèrent mes lèvres rougis par ses morsures Je laissa échapper un gémissement, Elle en profita pour infiltrer Traîtreusement sa langue dans mon antre
Soudain, malgré l'eau qui coulait, J'entendis un bruit assourdissant Lorsque j'ouvris mes yeux, Je me rendis compte que
J'étais toujours seule sous ma douche Quelqu'un frappait à la porte...

Envie de sentir ses lèvres contre les miennes Amplification de cette envie Intrusion de ma langue dans son antre
Nos deux langues se touchent, s'entremêlent Envie de parcourir ses courbes Merveilleusement dessinées Avec mes lèvres, je prends soigneusement mon temps De visiter chaque millimètre de son corps Envie d'approfondir ce voyage De m'introduire dans son jardin secret Afin de lui perdre toute maîtrise d'elle même
Je le sais, elle aime cela Elle laisse échapper de petits gémissements de plaisirs Nous ne faisons plus qu'un maintenant
Mais cette impression de n'être qu'un seul être N'était qu'une envie, un beau rêve... Toujours accompagnée de cette jolie brune Qui es-tu? J'ai tellement envie de te connaître Interruption de mes pensées... Le téléphone sonne...
(E)
J'étais sous la douche, les yeux fermés Lorsque Je sentis des mains se poser sur ma poitrine Puis les fit descendre délicatement jusqu'à mes hanches, Les caressa sensuellement Glissa ses doigts jusqu'à son ...

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Thérèse et Isabelle (Violette Leduc)


«Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le sol, je faisais le même travail de charme qu’elle. Elle embrassait ce qu’elle avait caressé puis, de sa main légère, elle ébouriffait et époussetait avec le plumeau de la perversité. La pieuvre dans mes entrailles frémissait, Isabelle buvait au sein droit, au sein gauche. Je buvais avec elle, je m’allaitais de ténèbres quand sa bouche s’éloignait. Les doigts revenaient, encerclaient, soupesaient la tiédeur du sein, les doigts finissaient dans mon ventre en épaves hypocrites.»

Un monde d’esclaves qui avaient même visage que celui d’Isabelle, éventaient mon front, mes mains. »
« Isabelle grisait mes chevilles, mes genoux pourris de délices. J’étais fendue de chaleur comme un fruit, j’avais le même écoulement de liqueur. »
« Je modelais son épaule, je voulais pour elle des caresses marines, je désirais sous ma main une épaule houleuse, une écorce. Elle fermait mon poing, elle lissait un galet. »
« Elle foulait mon cœur, mon ventre, mon front avant d’entrer. Une ville-lumière venait vers moi. »
« J’encadre son visage avec de la folie. »
« J’entrais dans sa bouche comme on entre en guerre.
Nous avons enveloppé de zéphyrs nos jambes, nous avons eu des rumeurs de taffetas au creux des mains. »
« Ce déferlement de douceur me finit. J’avais le genoux en cendres. Nous étions ruisselantes de lumière. »
« Isabelle m’embrassait partout. Elle me couvrait de décorations : je l’accablais de médailles. »
« Ma bouche rencontra sa bouche comme la feuille morte la terre. Nous nous sommes baignées dans ce long baiser… »
« Mon petit fragile, mon anémone mouillée. »
« Mon regard me revenait comma la vague qui s’est fait mal. Je domptais les miroirs dans ses yeux, elle domptait les miroirs dans mes yeux. »
« Le temps venait et passait avec ses foulards de crêpe. Ma main se voulait moiteur d’étable. Mon cœur battait sous mes paupières, dans mon gosier. La chair dilatée remercia, le plaisir sévère se propagea dans les pétales. Le doigt sortit d’un nuage, entra dans un autre. »
« Le sexe nous montait à la tête. Un nombre incalculable de cœurs battaient dans son ventre, sur mon front. Ma langue cherchait dans de la nuit salée, dans de la nuit gluante, sur de la viande fragile. Plus je m’appliquais plus mes efforts étaient mystérieux. J’hésitai autour de la perle. »
« La chair polissait mon doigt et mon doigt polissait la chair d’Isabelle. Le mouvement se fit sans nous : nos doigts rêvaient. J’assouplis les trépassés, je fus ointe jusqu’aux os avec les huiles païennes… »
Thérèse et Isabelle (Violette Leduc) (E)
«Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le sol, je faisais le même travail de charme qu’elle. Elle embrassait ce qu’elle ava ...

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allemande


Cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la trentaine, J'étais contre elle dans la clairière, elle me collait litteralement. Elle était belle, elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles mon sexe a vivement reagi. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi. Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'avais qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle était si mouillée que je sentais sa toison trempée collée contre sa peau. J'ai pris sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours. Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre.
Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle elle allait et venait lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps…J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme. Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…
allemande (E)
Cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la trentaine, J'étais contre elle dans la clairière, elle me collait litteralement. Elle était belle, elle était chaud ...

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la mère de Vanessa


La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité.
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
Elle me fixe, intensément, s'approche de moi
- Elle m'a chargée de vérifier quelque chose ... approchez-vous !
et elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes,
- vos lèvres sont chaudes et très douces ! Elle a raison.
Elle me regarde en souriant, ses yeux brillent avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, ses seins tremblent doucement à quelques centimètres de mes lèvres, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Elle se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre sur moi et m'enlace étroitement Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser.
- Vous êtes bel homme. Vous êtes seduisant ! Ma fille a raison
Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, caresse ses seins qui bougent légèrement au rythme de sa respiration.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise, Pouvez vous m'aider ?
Elle me presente l'attache de son soutien-gorge. Elle me provoque. Je me débat avec l’agrafe mais finit par réussir. Elle se tourne de nouveau vers moi. Elle reste bien dix secondes froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler.
- Eh bien ! Vous restez là ... sans rien faire ? Venez donc m'aider !
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Vous aimez mes seins ? ils vous plaisent ?
- Caressez-les, ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples !
Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle gémit doucement, s'arqueboute et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis, passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond.
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! Ma fille ne vous a pas connu timide !
La mère de Vanessa est en train de me pousser à bout Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je suis en train de perdre tous mes moyens, elle le voit
- Vous plaisez à ma fille, vous me plaisez moi aussi, je ne veux pas être en reste !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... On ne va pas en rester là ?
Et soudain ... elle passe sa main sur mon pantalon ... bien gonflé, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, puis se detache de mes lèvres et me fixe, intensément:
- Je veux vous faire un aveu ! Je suis toute humide ! ... à cause de vous !
- Je suis mure, vous aussi ? Profitons en
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Elle me deshabille, je la deshabille. Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont bien souples. Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts, malaxant mes testicules.. Elle me regarde avec envie. Puis, elle m'entraine vers son lit
- Venez ! ... vite !
Elle plonge alors son regard dans mes yeux, positionne mon sexe sur le sien. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin,
- J'avais tant besoin d'un beau sexe d'homme dans mon ventre chaud
- le votre me remplit à merveille ! Appelle-moi Marianne !
- Tu es bien ? Moi, je suis bien !
elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. Tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, son regard s'humidifie
- Que c'est bon ! ... Donne moi tes lèvres chaudes !
je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de mouvements erratiques et de spasmes. Le climat monte et je sens vibrer mes bourses, prêtes à exploser, Je l'avertis de l'imminence de l'eruption
- Je ne voudrais pas ...
- Non ! reste bien au fond ... Et donne moi ta sève ! Maintenant ! Je suis prête !
Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, je me bloque et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Elle reste allongée, toute ouverte, trempée de mon sperme La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, du liquide coule entre nos cuisses écartées, Elle se love dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Mon sexe glisse doucement hors d'elle. Elle ne fait rien pour me retenir. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur ! Vous êtes un amant remarquable
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Puis je quitte sa cabine doucement. Pour rejoindre Vanessa
la mère de Vanessa (E)
La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité.
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
Elle me fixe, intensément, s'approche de moi
- Elle m' ...

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Marthe sous la douche


Marthe était déjà sous la douche quand elle m'appela
- Tu viens mon chéri ?
Je la rejoignis et nous nous sommes tout de suite serrés l'un contre l'autre sous le jet bienfaisant. Marthe était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Nos deux corps au contact, elle me donnait des sueurs froides, elle me chuchotait
- Serre toi contre moi !
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement sur le slow. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes Mon sexe tendu comme un arc, se levait entre ses cuisses, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ? Detends-toi bien, serre moi dans tes bras
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Marthe faisait mine de ne rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je la saisis à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent avec douceur ses fesses rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- je te sens bien ...
Je l'entendis alors gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, elle maintenait ses fesses ecartées. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffla à l'oreille
- Tu sens ? je suis toute ouverte ! ... Viens ! Viens vite !
et je sentis alors mon sexe dirigé vers elle et ... littéralement gobé, aspiré en elle. Je la pénétrais plus profondemment, en de lents et puissants mouvements
Elle ondulait de tout son corps. Elle se mordait les lèvres. Mes penetrations furent de plus en plus rapides, de plus en plus profondes, de plus en plus violentes. Je sentaiss ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer.
J'accelere mes va et viens. Je lui pétris les seins. Elle s'accroche à mes épaules, Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenais .... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes.
Ses mains sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant, je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort. Scene incroyable, là, plus bas, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
- Mets le moi bien profond !
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents.
- Ooohh ...ouiiiii... Tu me rends folle !
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir dans son lit sans plus tarder.
Je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
Marthe sous la douche (E)
Marthe était déjà sous la douche quand elle m'appela
- Tu viens mon chéri ?
Je la rejoignis et nous nous sommes tout de suite serrés l'un contre l'autre sous le jet bienfaisant. Marthe était ...

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trop près


Il me colle ! Mon dieu ! Je sens sa main chaude qui commence à me caresser l'intérieur des cuisses, là où la peau est très fine, très douce. Je sens qu'il commence à masser doucement ma vulve. Il touche un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'ai besoin. il empaume délicatement ma vulve humide. C'est vraiment bon ! Il passe un doigt sur ma vulve, Mon dieu ! il pénètre mon intimité.
- J'ai si chaud ... on va trop loin !
il continue à me masser la vulve. Je suis dans une sorte d'extase. Je commence à sentir monter l'orgasme. Je suis tellement excitée. Je sens maintenant le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, Son sexe est énorme. Je tremble .... Mon dieu ! Il pousse en moi le gland.
- Non Pierre ! Arrêtes ! on ne peut pas faire çà...on n'a pas de protection !
Il me murmure à l'oreille:
- Mon amour ! juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants...
Je proteste avec de moins en moins de vigueur:
- Pierre, arrête ! Il faut te retirer ! On est en train de faire une grosse bêtise !
- Oh ... Si ! oui ! ... comme çà ! .... Oh c'est bon !
- Pierre, s'il te plait ! Tu m'excites ! Je suis à bout !
et il continue à s'enfoncer un peu plus en moi. Je suis petrifiée, il ne s'arrête pas !
- Pierre ... S'il te plaît ! Arrête, je t'en supplie, retire toi ! Je ne contrôle plus rien !
J'essaye de resserrer mes jambes, mais cela ne fait que m'exciter davantage. Je sens son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonce toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahit, mes hanches commençent à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne peux pas m'en empêcher, je ne peux même plus parler. Je ne peux que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduit au plaisir. Il entre en moi et ressort, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sens son pubis collé contre le mien. Mon excitation est à son comble
- Oh Pierre ! Je vais jouir !!!
Je proteste du bout des lèvres, son sexe est énorme ! il me remplit toute ! Oh Ouui ! Quel orgasme ! Je défaille ! il provoque en moi des vagues de plaisir qui se succédent dans mon corps. Il me laisse un peu récupérer. Je réalise alors que sa tige massive continue à coulisser puissement dans ma fente humide. Je suis remplie de son sexe. C'est terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sens mon deuxième orgasme arriver au niveau de mon estomac. Je vais encore jouir ! Il rale de plus en plus fort contre moi, comme un bûcheron, je réalise qu'il est sur le point de venir aussi.
- Pierre ! On va faire une grosse bêtise ! ... Mais c'est si bon !
Mon dieu ! Son corps entier bascule en avant je sens l'extrémité de son gland contre mon col. Il gémit très fort, il se cabre !
- Mon amour ! Je viens ! Oh ! ... Mon amour ! Que c'est bon !
Ca y est ! Il lâche les premiers salves. Je sens son sperme envahir mon vagin par jets successifs.
- Oh Pierre ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi...
Pierre est en train de jouir dans mon ventre ! Je suis à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginableable ! je sens son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouit avec tant de force que je peux ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus.
- Pierre ! Qu'avons nous fait ? Je suis remplie de ton sperme !
Mes hanches recommencent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. Encore un orgasme intense ! alors qu'il continue à coulisser en moi la seule chose que je peux faire c'est de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je crie de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et je l'attire encore plus profondément. C'est merveilleux et intense. Je sens son liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui.

Alors que les décharges faiblissent, je peux sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je reste là, affaissée contre lui comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Son sexe est encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Pierre continue à me limer doucement, mes jambes sont encore enroulées autour de lui, il est toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur
doucement, lentement, tendrement.
Façe a ces doux mouvements le long de mes muqueuses, son corps recommençe à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrasse très doucement et commence à lécher doucement mes mamelons. Je sens que son membre recommençe de nouveau à durcir fortement. Mes hanches recommencent à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous recommençons ce qui s'avére être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restons longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisons l'amour, j'ai plusieurs petits orgasmes successifs.
Je soulevé ma tête et je recommence à sucerses mamelons sur son torse lorsque Pierre de met à haleter de nouveau,
- Je sens que je vais venir ... encore ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il sourit, m'embrasse, et accélére son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je le sens une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance
Le resultat ne tarde pas, il se bloque de nouveau au fond de moi et je le sens ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre, je pousse mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je peux sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'est magnifique. Même mes mamelons me brûlent.

Lorsque Pierre se retire lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redresse lentement sur mes coudes et je regarde vers le bas
à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma vulve est rouge et toute gonflée et ma toison trempée, est entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins sont tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coule hors de ma fente, Je veux garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. Je suis ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, je réussis à me detacher un peu de lui, chancelante, du sperme coule sur mes cuisses et descend jusqu'à mes pieds. Pierre retire doucement son sexe merveilleusement gluant de ma vulve ramollie dans un delicieux bruit de succion
trop près (E)
Il me colle ! Mon dieu ! Je sens sa main chaude qui commence à me caresser l'intérieur des cuisses, là où la peau est très fine, très douce. Je sens qu'il commence à masser doucement ma vulve ...

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hammam


Elle me serre contre elle, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs, sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon, dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond. Ses grands seins aux bouts noirs glissent sur mon torse. J'avance mon épée, vers ses grandes lèvres rosées. Elle me sent et me fait comprendre qu'elle est prête. Elle les écarte sa vulve pour y accueillir mon glaive de chair, Je m'enfonce en elle, je glisse entre ses lèvres faisant réagir son corps en entier, Je pénètre sans résistance et m'enfonce jusqu'à sa source profonde. sa bouche s'ouvre, son souffle chaud exhale des filets de salive. J'explore ce doux et chaud territoire, ce corps tremblant et frémissant. Tout le corps feminin commence à trembler, les chairs ondulants sous les coups de mes bourses qui frappent contre l'entrée du puits. Son corps se mouille, son visage se crispe, ses yeux se ferment, sa bouche s'ouvre, sa mâchoire se serre, le cou s'arc-boute. elle serre les jambes autour de ma taille, les muscles se referment sur le sceptre de ma future royauté.

Je suis prisonnier d'elle, en elle. Elle me serre et me griffe, comme une chatte enflammée. Elle a le visage rouge, laisse échapper un cri, J'augmente la cadence de mes assauts je la prend d'assaut et je conquiers le territoire, je l'envahis jusqu'au plus profond de son séant. Penché sur elle, fusionné au plus profond d'elle, Elle se cabre brusquement, les seins durs et hérissés se plaquant contre moi. Je sens son souffle rapide, son haleine, de sa bouche qu'elle ne peut plus refermer, Nos gémissements se succédent. alors que le fond du puits je touche, atteignant la source du plaisir suprême. Je sens son souffle chaud qui jaillit, au paroxysme du plaisir, elle tressaillit. Elle me sert avec l'intensité de son plaisir, déchirant la nuit d'un long gémissement, sous les assauts répétés, sous les coups du bélier, cognant de plus en plus vite dans un grand couloir mouillé qui se ressert de plus en plus,

J'explose dans son ventre, en décharges multiples et je me laisse retomber sur elle, totalement vidé. J'écarte ses cheveux de son front trempé et je trempe mon regard dans l'éclat amoureux et embrasé de ses yeux lumineux. Ses yeux verts félins en dessous desquels saillissent des joues rouges. Une main indiscrète qui descend le long des hanches ou qui remonte le ventre jusque sous les seins.

Les nuits sont froides dans le désert, au coeur des palmiers verts, dans cet oasis, dans ce palais. Mais les plaisirs torrides qui s'y déroulent enflamment l'atmosphère pour ceux qui se saoulent de ce nectar divin.
hammam (E)
Elle me serre contre elle, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs, sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon, dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond. Ses grands seins aux bouts noirs gliss ...

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jacuzzi


Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux fermés. Je ne pense plus, je vogue en dérive, je flotte au gré des remous, tête en arrière, ma quincaillerie ramollie est ballottée par les vagues.

Une bulle différente des autres vient bientôt caresser ma cuisse. Une main feminine ? La main s'aventure...je referme les yeux et ouvre un peu mes jambes. elle remonte sa main le long de l'intérieur de ma cuisse, au delà du raisonnable. Les conséquences ne tardent pas. Je me redresse. J'éparpille mes doigts sur son corps ;
Mes yeux avides de connaissance partent à la découverte de cette géographie offerte et consentante. La peau est douce, vibrante, délicate. Ses mains continuent de m'explorer; je les laisse me découvrir intimement. J'y réponds avidement, parcourant monts et vallées pour y croiser des frémissements nouveaux.

Je prends sa main, emmène cette nymphe hors de l'eau vers une de ces alcôves qui sera ce soir, pour nous seuls, un cocon intime, égoïste et sensuel. Elle s'allonge sur le dos, indécente et pudique. Mon souffle est court, sa poitrine monte et descend doucement, gonflant ses seins. Sa main m'a pris, me caresse... Mon désir monte, ses yeux sont sourires. Mes mains parcourent ses pieds, détaillant chaque orteil, puis ses mollets, ses cuisses qui s'ouvrent à nouveau.Je m'insinue doucement, puis parcours ses reins, gravis son dos, rejoins ses épaules qui soudainement s'effondrent ; elle lâche un soupir long et profond et glisse dans une évanescence insondable. Remontant lentement le long de ses cuisses entrouvertes, je commets l'irréparable en frôlant son sexe.

Elle m'offre alors sa croupe en se cambrant, s'ouvre plus. Je ne résiste pas. Ma bouche parcourt ses reins, sa respiration devient haletante, elle gémît, s'appuie plus fort sur ma main, s'y caresse longtemps, longuement, passionnément. Sa main m'a retrouvé. Mes doigts flirtent en elle qui me laisse faire à ma guise, s'abandonnant totalement. Je couvre ses reins de baisers, ma main et mes doigts se font toujours plus pressants, plus invasifs, ses gémissements deviennent plus forts, sa bouche est ouverte sur des halètements rauques. Je recherche son plaisir. Elle m'aide à le découvrir, me guide par ses mouvements puis se tétanise violemment sur ma main qu'elle emprisonne entre ses cuisses. Un cri, des secousses, un tremblement qui semble ne plus finir. J'ai posé ma joue au creux de ses reins, comme pour apaiser ses convulsions. Elle s'effondre, s'apaise, garde ma main humide sous son mont de Vénus, m'emprisonne un instant qui semble une éternité. Puis se retourne, libérant l'objet de ses plaisirs, me sourit, me tend les bras et je plonge vers elle dans un enlacement puissant
comme si nous ne voulions ne faire qu'un, souffles partagés, corps en sueurs, seuls au monde sur un océan apaisé.
jacuzzi (E)
Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux ferm&ea ...

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nos deux corps glissent l'un sur l'autre


Je suis collé à elle, et elle ne peut ignorer mon desir qui s'affermit.
L'eau chaude mouille nos corps dénudés et fébriles.
Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre :
le contact de ses seins excite mes sens, mon sexe se leve sur son ventre, glisse entre ses deux cuisses.
Ses deux seins sont ruisselants sous le savon glissant, je les palpe à pleines mains
Ses mains enserrent légèrement mes bourses puis entourent ma verge, elle malaxe le tout dans l'eau savonneuse
mes mains passent de ses seins à son ventre
Progressivement, je la sens se détendre doucement et cambrer les reins,
je frotte doucement mon sexe contre elle ce qui ne fait que le durcir encore.
elle passe sa main entre nous pour s'emparer de mon sexe.
"Il est beau !" me chuchote-t'elle.
Elle se retourne et fait coulisser doucement mon sexe dans sa main.
Mon pénis grossit encore dans sa main savonnée qui s'active doucement.
Elle me regarde, regarde mon sexe qui entre et ressort dans sa main, puis reprend du gel douche en souriant.
Sous ses caresses, je me met alors à onduler d'avant en arrière et je savoure avec délice ce moment.
Je sens la jouissance qui me gagne petit à petit. Elle accélère le mouvement, comme pour me soulager.
Ma main glisse alors entre nos deux corps pour descendre le long de son ventre avant de sentir sa toison bouclée,
je sens alors son sexe chaud. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent
Je les sens, tendres et fragiles On dirait du velours...
Je continue lentement la caresse, en me faisant plus précis à chaque mouvement....
Elle ne dit rien, les yeux fermés, balançant légèrement son corps... Je sais qu'elle se retient.
Je remonte mon doigt. Elle plaque alors sa main sur la mienne en appuyant fort.
Je la sens excitée. On s'embrasse. On se serre. L'eau dégouline sur nos corps.
Elle s'accroche à moi, se frotte à mon sexe. J'aime sentir ces chairs tendres et fragiles,
la chaleur qui vient de son ventre, cette moiteur, et ce corps qui s'abandonne peu à peu à mes caresses.
Puis, mon doigt se fait un peu plus insistant à l'entrée de son vagin. Il s'enfonce, c'est brûlant...
Je sens ses muqueuses qui se dilatent, comme pour que j'aille plus loin...
Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient.
J'entame alors quelques légers mouvements. je ne sens aucune résistance,
Je passe un long moment à caresser sa vulve entière, à l'écoute de son corps qui réagit sous mes doigts,
Le rythme s'accélère alors de plus en plus, tandis que je sens son plaisir arriver à grande vitesse.
Serrée contre moi, les bras accrochés autour de mon cou, j'entends son souffle,
parfois saccadé, parfois sifflant longuement dans mes oreilles...
Son corps se raidit de plus en plus en plus, ses muscles sont contractés, et elle me serre très fort.
Je continue à masser vigoureusement son clitoris.
Et puis, ça y est, elle part... Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
Ma verge toujours enlacée par sa main tressaille elle aussi, t'inondant la main ...
nos deux corps glissent l'un sur l'autre (E)
Je suis collé à elle, et elle ne peut ignorer mon desir qui s'affermit.
L'eau chaude mouille nos corps dénudés et fébriles.
Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre :

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reconnaissance tactile


Une bulle différente des autres vient bientôt caresser ma cuisse. Une bulle à cinq doigts ?
J'ouvre les yeux pour croiser ceux d'une inconnue. Des yeux sombres, doux, perçants. Au travers de mes lunettes embuées, je détaille un visage ovale, aux pommettes rebondies, une bouche souriante, un regard mutin.
La main continue de caresser doucement ma cuisse. Mon regard doit être inquiet que le sourire s'agrandit. La main s'aventure...
Je prends cent degrés au thermostat, ne sais si je dois bouger, faire un pas, avancer une main, sourire, crier, prendre avidement ce qui me semble être offert.
Alors lâchement je referme les yeux, penche ma tête en arrière et ouvre un peu le compas de mes jambes.
L'odieuse en profite sournoisement pour remonter sa main le long de l'intérieur de ma cuisse, au delà du raisonnable. Les conséquences de cette caresse ne tardent pas à se manifester.
Je me redresse, m'arrachant à cette douceur pour donner la mienne. J'éparpille mes doigts sur son corps ; dix yeux avides de connaissance partent à la découverte de cette géographie offerte et consentante. La peau est douce, vibrante, délicate. Ses mains continuent de m'explorer; je les laisse me découvrir intimement. J'y réponds avidement, parcourant monts et vallées pour y croiser des frémissements nouveaux.
Je prends sa main, emmène cette nymphe hors de l'eau vers une de ces alcôves qui peuvent être aussi intimes que le marché d'Aligre mais qui sera ce soir, pour nous seuls, un cocon égoïste et sensuel.
Elle s'allonge sur le dos, indécente et pudique. Mon souffle est court, sa poitrine monte et descend doucement, gonflant ses seins.
Mon « embarras » est désormais à son comble. Je le cache en caressant ses chevilles en un massage délicat.
Puis ses jambes, ses cuisses qu'elle ouvre un peu pour que je puisse contempler l'objet de mes désirs. Je passe outre l'invite et masse ses mains, ses bras, ses épaules, son cou, sa gorge, ses flancs.
Sa main m'a pris, me caresse... Mon désir monte, ses yeux sont sourires.
Dans un murmure, je lui demande de se retourner. Je découvre alors une douce cambrure, une croupe ronde et avenante. Mes mains parcourent ses pieds, détaillant chaque orteil, puis ses mollets, ses cuisses qui s'ouvrent à nouveau.
Je m'insinue doucement, puis parcours ses reins, gravis son dos, rejoins ses épaules qui soudainement s'effondrent ; elle lâche un soupir long et profond et glisse dans une évanescence insondable. Ses muscles se détendent en une confiance qui me fait soupirer d'aise.
Mes mains se font papillon, volent sur son corps alangui qui s'enfonce toujours plus dans l'abandon.
Sa tête repose sur le coté, yeux fermés, un léger sourire au bord de lèvres ; je perçois sa respiration régulière.
Alors je ne puis résister. Remontant lentement le long de ses cuisses entrouvertes, je commets l'irréparable en frôlant son sexe.
Elle m'offre alors sa croupe en se cambrant, s'ouvre plus. Je ne résiste pas à cette invite ; je parcours ses lèvres de mes doigts, recueille sa vulve au creux de ma main, que je sens bomber vers moi pour venir s'y reposer.
Ma bouche parcourt ses reins, sa respiration devient haletante, elle gémît, s'appuie plus fort sur ma main, s'y caresse longtemps, longuement, passionnément. Sa main m'a retrouvé.
Mes doigts flirtent en elle qui me laisse faire à ma guise, s'abandonnant totalement.
Je couvre ses reins de baisers, ma main et mes doigts se font toujours plus pressants, plus invasifs, ses gémissements deviennent plus forts, sa bouche est ouverte sur des halètements rauques. Je recherche son plaisir. Elle m'aide à le découvrir, me guide par ses mouvements puis se tétanise violemment sur ma main qu'elle emprisonne entre ses cuisses.
Un cri, des secousses, un tremblement qui semble ne plus finir. J'ai posé ma joue au creux de ses reins, comme pour apaiser ses convulsions.
Elle s'effondre, s'apaise, garde ma main humide sous son mont de Vénus, m'emprisonne un instant qui semble une éternité.
Puis se retourne, libérant l'objet de ses plaisirs, me sourit, me tend les bras et je plonge vers elle dans un enlacement puissant comme si nous ne voulions ne faire qu'un, souffles partagés, corps en sueurs, seuls au monde sur un océan apaisé.
reconnaissance tactile (E)
Une bulle différente des autres vient bientôt caresser ma cuisse. Une bulle à cinq doigts ?
J'ouvre les yeux pour croiser ceux d'une inconnue. Des yeux sombres, doux, perçants. Au travers de mes lunettes embu& ...

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Cette femme du monde, Pâle et blonde,
Qu’on voit d’un pas pressé, L’œil baissé,
Filer sous les grands arbres Loin des marbres,
Héros, Amours, Bergers, Trop légers,
S’en va vers un coin sombre Voilé d’ombre,
Derrière les massifs De vieux ifs.
Sans manteau qui la drape Un Priape Lascif
dresse en ce lieu Son long pieu,
Que couronne d’acanthe La bacchante.
Par delà le nombril Son outil
Lui monte jusqu’au buste, Gros, robuste,
Par le chaud, par le froid, Toujours droit.
Sous l’acier qui paillette Sa voilette,
Le cachemire long Au talon,
Cette sainte Nitouche Qu’effarouche
Le moindre mot plaisant Non décent,
Chaque soir rend hommage À l’image
Que le gamin impur Trace au mur.
Sur le dieu de Lampsaque Elle braque
Son lorgnon et ses yeux Curieux,
Et d’un regard de chatte Délicate
Croque comme un oiseau Ce morceau.
Foin de ces dieux superbes, Mais imberbes,
Qui vous montrent un nu Si menu.
La plus chaste matrone, Dit Pétrone,
Toujours volontirs vit Un gros vit !

Théophile Gautier — Poésies libertines
(E)
Cette femme du monde, Pâle et blonde,
Qu’on voit d’un pas pressé, L’œil baissé,
Filer sous les grands arbres Loin des marbres,
Héros, Amours, Bergers, Trop légers,
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Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux fermés. Je ne pense plus, je vogue en dérive, je flotte au gré des remous, tête en arrière, ma quincaillerie ramollie est ballottée par les vagues.

Une bulle différente des autres vient bientôt caresser ma cuisse. Une main feminine ? La main s'aventure...je referme les yeux et ouvre un peu mes jambes. elle remonte sa main le long de l'intérieur de ma cuisse, au delà du raisonnable. Les conséquences ne tardent pas. Je me redresse. J'éparpille mes doigts sur son corps ;
Mes yeux avides de connaissance partent à la découverte de cette géographie offerte et consentante. La peau est douce, vibrante, délicate. Ses mains continuent de m'explorer; je les laisse me découvrir intimement. J'y réponds avidement, parcourant monts et vallées pour y croiser des frémissements nouveaux.

Je prends sa main, emmène cette nymphe hors de l'eau vers une de ces alcôves qui sera ce soir, pour nous seuls, un cocon intime, égoïste et sensuel. Elle s'allonge sur le dos, indécente et pudique. Mon souffle est court, sa poitrine monte et descend doucement, gonflant ses seins. Sa main m'a pris, me caresse... Mon désir monte, ses yeux sont sourires. Mes mains parcourent ses pieds, détaillant chaque orteil, puis ses mollets, ses cuisses qui s'ouvrent à nouveau.Je m'insinue doucement, puis parcours ses reins, gravis son dos, rejoins ses épaules qui soudainement s'effondrent ; elle lâche un soupir long et profond et glisse dans une évanescence insondable. Remontant lentement le long de ses cuisses entrouvertes, je commets l'irréparable en frôlant son sexe.

Elle m'offre alors sa croupe en se cambrant, s'ouvre plus. Je ne résiste pas. Ma bouche parcourt ses reins, sa respiration devient haletante, elle gémît, s'appuie plus fort sur ma main, s'y caresse longtemps, longuement, passionnément. Sa main m'a retrouvé. Mes doigts flirtent en elle qui me laisse faire à ma guise, s'abandonnant totalement. Je couvre ses reins de baisers, ma main et mes doigts se font toujours plus pressants, plus invasifs, ses gémissements deviennent plus forts, sa bouche est ouverte sur des halètements rauques. Je recherche son plaisir. Elle m'aide à le découvrir, me guide par ses mouvements puis se tétanise violemment sur ma main qu'elle emprisonne entre ses cuisses. Un cri, des secousses, un tremblement qui semble ne plus finir. J'ai posé ma joue au creux de ses reins, comme pour apaiser ses convulsions. Elle s'effondre, s'apaise, garde ma main humide sous son mont de Vénus, m'emprisonne un instant qui semble une éternité. Puis se retourne, libérant l'objet de ses plaisirs, me sourit, me tend les bras et je plonge vers elle dans un enlacement puissant
comme si nous ne voulions ne faire qu'un, souffles partagés, corps en sueurs, seuls au monde sur un océan apaisé.
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Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux ferm&ea ...

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dans la baignoire


Nous etions collés l'un à l'autre au fond de la baignoire, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Puis il a commençé à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. délicatement il a empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps.

J'ai senti alors le contact de son sexe massif sur mes lèvres dilatées. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il a commençé à pousser en moi le gland. Je ne faisais rien pour l'en empêcher ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, je resserrais mes jambes, et cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentis son membre s'allonger et grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait a la jouissance.

Il entre en moi et ressort, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sens son pubis collé contre le mien. Mon excitation est à son comble Je recommence à gémir du bout des lèvres, et je sens son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne peux me retenir plus longtemps. J'explose avec ce qui doit être le premier véritable orgasme depuis longtemps.

Lorsque je récupére un peu, je réalise que sa tige massive coulisse puissement dans ma fente humide. Je suis remplie de son sexe. Je gémis de plus en plus bruyamment pendant qu'il coulisse au fond de moi. C'est terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sens alors mon deuxième orgasme qui commençe à monter rapidement au niveau de mon estomac. Je vais encore jouir tandis qu'il râle de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron,

Je réalise alors qu'il est sur le point de venir aussi. Et il vient !.... Son corps entier bascule en avant et je sens l'extrémité de son gland contre mon col. Il gémit très fort et lâche les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jouit dans mon ventre ! Je suis au bord de l'extase absolue. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginableable ! je peux sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouit avec tant de force que je peux ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus.
Mes hanches recommencent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors un orgasme intense alors qu'il continue à coulisser en moi la seule chose que je fais est de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je cris de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je peux sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui.

Alors que les décharges faiblissent, je peux sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je reste étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Quand je reviens à la réalité, je réalise alors ce que nous avons fait. Je regarde entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continue à me limer doucement avec son sexe qui commençe a réduire de volume. mes jambes sont encore enroulées autour de lui.

Il est toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommence à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrasse très doucement et recommence à lécher doucement mes mamelons. Je sens que son membre recommençe à durcir encore. Mes hanches recommencent à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libére mes mains et nous recommençons ce qui s'avére être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restons longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisons l'amour, j'ai plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulève ma tête et je commence à sucer les mamelons sur son torse lorsque je me sens compte qu'il veut jouir encore. Il me sourit, m'embrasse, et accélére son rythme.

Sa grosse queue se raidit de nouveau, et je le sens une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance. Le resultat ne tarde pas, il finit par se bloquer au fond de moi et je le sens ... tirer un chargement incroyable de son sperme tout au fond de mon vagine, je pousse mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je peux sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'est magnifique. Même mes mamelons me brûlent.

Lorsque, finalement, il se retire, il glisse lentement hors de moi, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redresse lentement sur mes coudes et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe est tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée est enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve est rouge et toute gonflée et ma toison brune, toute humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins sont tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coule hors de ma fente, sous moi, sur les draps. Je saisis un oreiller et le glisse sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je veux garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. Je suis ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, je réussis à me relever, chancelante, du sperme coule toujours sur mes cuisses et descend jusqu'à mes pieds. Lui dort sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
dans la baignoire (E)
Nous etions collés l'un à l'autre au fond de la baignoire, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est tr ...

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Adele et Sargines


Adèle est partie prendre l'air ce matin d'été au bord de l'étang. Ses longs cheveux déployés flottent sur ses épaules. Elle avance doucement son pied, interroge avec timidité la profondeur de l'eau. Le jeune Sargines, s'avance et lui présente sa main et tous deux s'éloignent un peu plus loin. Parvenu dans un endroit assez discret, le fripon prodigue à sa jeune compagne les caresses les plus vives: celle-ci les lui rend avec forte émotion et témoigne du désir d'apprendre. Soutenu par la main secourable, le joli corps d'adèle commence à se balancer plonge, disparaît à ses yeux, et tandis qu'elle le cherche, un baiser, tel qu'elle n'en reçut jamais, l'avertit de l'endroit où il est. Vaincue par l'émotion, elle se tapit derrire un arbre. L'amant, devient plus tendre, plus pressant; il fait parler le désir, la curiosité. Adèle s'abandonne doucement à l'instinct du plaisir. Il hasarde un baiser. Ose de nouvelles témérités, porte une main tremblante sur une jeune gorge de vingt ans. Toucher délicieux! Un marbre brûlant et mobile semble fuir et chercher les doigts qui le pressent. Des lèvres ardentes apportent à leur tour sur ce sein juvenil l'offrande de mille baisers, avec un empressement si tendre, qu'il se colore bientôt d'un rose plus vif.
Emportés par la fougue des désirs, ils se retrouvent tous deux corps à corps, il fond sur elle comme l'épervier sur la faible colombe; et tandis que sa bouche s'abreuve de soupirs enflammés, un doigt, messager de plaisir, chemine jusqu'à cet asile mystérieux où, sur un trône humide et brûlant, siège la volupté du délire.
- Arrêtez, mes yeux se troublent, la voix me manque ... Sargines... je n'en puis plus... ayez pitié de moi ...
Et en prononçant ces mots, elle presse plus fortement son amant contre son sein. Brûlé de tous les feux qu'il allume, dévoré de désirs, le sacrificateur attaque enfin la victime qui tressaille ! L'émotion violente l'agite et de tendres gémissements, étouffés à leur source, décèlent les progrès dont sa jolie main s'assure avec effroi. ses bras s'enlacent avec force autour de son heureux vainqueur, dont les transports violents ouvrent la route du bonheur.

Enfin, le charme est rompu; le dernier cri de l'innocence atteste le premier triomphe de l'amour, et sa flèche victorieuse repose dans son carquois ensanglanté. Mais déjà la plus douce ivresse succède aux angoisses douloureuses; Adèle et Sargines, étroitement enlacés, unis par tous les points de leur corps en transes, semblent désormais animés par une seule âme qu'ils exhalent dans les soupirs, qu'ils se disputent par des baisers; un frisson voluptueux, universel, une fureur aimable les agitent, les transportent; des articulations demi-formées expirent sur leurs lèvres, un voile s'étend sur leurs yeux; ils se plongent et s'abîment dans un océan de délices.

Revenue à elle-même, l'intéressante novice jette avec douleur ses regards autour d'elle; la lumière l'afflige, quelques larmes tombent de ses beaux yeux, et la pudeur qui reprend ses droits s'empresse de jeter un voile sur des objets que l'illusion abandonne. Après avoir pleuré avec sa victime, Sargines s'éloigne à regret, et la pauvre Adèle, plus instruite et moins tranquille, regagne lentement sa retraite, en songeant au moyen de revoir son amant et de tromper sa tante.

Adele et Sargines (E)
Adèle est partie prendre l'air ce matin d'été au bord de l'étang. Ses longs cheveux déployés flottent sur ses épaules. Elle avance doucement son pied, interroge avec timidité la profon ...

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Notre union se voulait charnelle, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont déjà irradiés de joies intimes.
Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de nos corps. Nos visages se rapprochent. Elle est si proche, Je la respire. Nous nous déshabillons. Elle devient vitale. Je m’enfonce en elle. Frémissements. Je glisse dans son ventre, ses yeux sont fermés. Elle se détends. Elle me sent. Elle s’abandonne, liquide, légère, je voyage en elle. Je m'enfonce dans son ventre, profondément, je voyage en elle. les yeux fermés, je goute ses succions. Elle baigne dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendent. Je me raidis, je me retiens… et d’un souffle, je vide ma joie en elle. Je me penche contre elle. lui donne un baiser, tu souris.
(E)
Notre union se voulait charnelle, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont d&ea ...

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Il m'a pris au fond de la baignoire, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Puis il a commençé à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. délicatement il a empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps.

J'ai senti alors le contact de son sexe massif sur mes lèvres dilatées. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il a commençé à pousser en moi le gland. Je ne faisais rien pour l'en empêcher ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, je resserrais mes jambes, et cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentis son membre s'allonger et grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait a la jouissance.

Il entre en moi et ressort, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sens son pubis collé contre le mien. Mon excitation est à son comble Je recommence à gémir du bout des lèvres, et je sens son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne peux me retenir plus longtemps. J'explose avec ce qui doit être le premier véritable orgasme depuis longtemps.

Lorsque je récupére un peu, je réalise que sa tige massive coulisse puissement dans ma fente humide. Je suis remplie de son sexe. Je gémis de plus en plus bruyamment pendant qu'il coulisse au fond de moi. C'est terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sens alors mon deuxième orgasme qui commençe à monter rapidement au niveau de mon estomac. Je vais encore jouir tandis qu'il râle de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron,

Je réalise alors qu'il est sur le point de venir aussi. Et il vient !.... Son corps entier bascule en avant et je sens l'extrémité de son gland contre mon col. Il gémit très fort et lâche les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jouit dans mon ventre ! Je suis au bord de l'extase absolue. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginableable ! je peux sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouit avec tant de force que je peux ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus.
Mes hanches recommencent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors un orgasme intense alors qu'il continue à coulisser en moi la seule chose que je fais est de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je cris de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je peux sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui.

Alors que les décharges faiblissent, je peux sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je reste étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Quand je reviens à la réalité, je réalise alors ce que nous avons fait. Je regarde entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continue à me limer doucement avec son sexe qui commençe a réduire de volume. mes jambes sont encore enroulées autour de lui.

Il est toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommence à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrasse très doucement et recommence à lécher doucement mes mamelons. Je sens que son membre recommençe à durcir encore. Mes hanches recommencent à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libére mes mains et nous recommençons ce qui s'avére être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restons longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisons l'amour, j'ai plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulève ma tête et je commence à sucer les mamelons sur son torse lorsque je me sens compte qu'il veut jouir encore. Il me sourit, m'embrasse, et accélére son rythme.

Sa grosse queue se raidit de nouveau, et je le sens une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance. Le resultat ne tarde pas, il finit par se bloquer au fond de moi et je le sens ... tirer un chargement incroyable de son sperme tout au fond de mon vagine, je pousse mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je peux sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'est magnifique. Même mes mamelons me brûlent.

Lorsque, finalement, il se retire, il glisse lentement hors de moi, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redresse lentement sur mes coudes et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe est tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée est enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve est rouge et toute gonflée et ma toison brune, toute humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins sont tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coule hors de ma fente, sous moi, sur les draps. Je saisis un oreiller et le glisse sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je veux garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. Je suis ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, je réussis à me relever, chancelante, du sperme coule toujours sur mes cuisses et descend jusqu'à mes pieds. Lui dort sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
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Il m'a pris au fond de la baignoire, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. P ...

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addiction nautique


Excitée comme moi à l'idée de nous adonner là, dans ces vagues, sur cette plage de sable fin, aux délices de l'amour nature, Lea se mit à me chevaucher. Installée sur moi, empalée sur mon sexe, elle se masturbait allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle me regardait jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. elle absorba toute la longueur de mon membre, Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, étendu dans les vagues sous le corps sensuel de ma chaude compagne, fasciné par ses gros seins se balançant doucement devant mes yeux, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle.
Agitant vivement mes hanches, elle se fit joyeusement coulisser sur mon membre gonflé et moi, je goutai les moiteurs chaudes du sexe féminin m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées.
Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayais d'en faire autant.
Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
-- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus.
Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration.
Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
addiction nautique (E)
Excitée comme moi à l'idée de nous adonner là, dans ces vagues, sur cette plage de sable fin, aux délices de l'amour nature, Lea se mit à me chevaucher. Installée sur moi, empalée sur ...

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sur la plage


Isolés dans un coin de la plage, elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
sur la plage (E)
Isolés dans un coin de la plage, elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, ell ...

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la terre (elle) et l'océan (lui)


Elle est là, accueillante, soumise,
Offerte à ses assauts conquérants.
Et sur les rondeurs blondes, dociles,
Il ondule de sa présence, puissant.

De toute la force en réserve immense
Il glisse sur elle abandonnée.
Et l'écume aux lèvres il laisse dans sa démence
L'empreinte humide de son va et vient régulier.

Voulant toujours aller plus loin
Sur le chemin de leur union,
Il jette son luisant corps masculin
Dans l'élan de sa passion.

Libérant la vie sur le sable
Il épouse le corps de la belle
Et tel un amant insatiable
Déjà regonfle de désir charnel...

Le fracas sourd de ces chocs érotiques
Rend mon âme si légère...
Et je regarde depuis les rochers sympathiques
L'océan aimer la terre...
la terre (elle) et l'océan (lui) (E)
Elle est là, accueillante, soumise,
Offerte à ses assauts conquérants.
Et sur les rondeurs blondes, dociles,
Il ondule de sa présence, puissant.

De toute la force en réserve immens ...

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(E)
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Une sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de cette grande piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Les derniers baigneurs sont partis. Nous restons seuls, face à face. Elle me nargue et m'interpelle.
- Tu viens ?
Je me glisse dans l'eau fraiche, je m'approche. Son visage ruisselant est maintenant à dix centimètres du mien. Elle me fixe un long moment qui me semble une éternité. Puis, subitement, elle se rapproche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot.
- Je m'appelle Vanessa ! Et toi ?
Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre. Elle est chaude, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris,
Je sens sa main plus bas qui capture mon sexe, le branle, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. Je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus.
Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui dis mon envie d'enfin la satisfaire et en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment.

Elle me sourit, se rhabille rapidement et me donne son numéro de chambre.
Je retourne à ma chambre, petite douche, et je me dirige vers la chambre 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires et m'annonce
- Viens ! Je veux te présenter à ma mère, en general, elle a les memes gouts que moi
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Une sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de cette grande piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les refl ...

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