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mercredi 17 décembre 2025 - 11h13
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Je suis comme cette feuille, révélant mes courbes à son œil amoureux, prête à être effleurée de ses mains, lentement, jusqu’à nue, prête à être cajolée, câlinée, caressée, prête à être aimée.
Et il vient ! Il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge glisse dans mon ventre. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Julien saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. , je suis secouée d'une série de spasmes. Je me cabre, Lucien poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard ..... Je sens alors un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur.
Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
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Je suis comme cette feuille, révélant mes courbes à son œil amoureux, prête à être effleurée de ses mains, lentement, jusqu’à nue, prête à être cajol&eacut ...

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Un repas qui s'achève Je m'étends un instant
Le sommeil qui se lève La paupière prend son temps
Tu me rejoins alors Des idées plein la tête
Et te colles à mon corps Ma paupière se relève

J'accepte de jouer le jeu Feignant un doux sommeil
Tu te montres ténébreux Cherchant mon doux réveil
Les yeux entrouverts Le sourire qui s'élargit
Le soubresaut d'une paupière A qui tu donnes tant envie

Tes doigts qui s'amusent Qui courent sur ma peau
Me rendent un brin confuse Je me cambre sans un mot
Un baiser furtif dans le cou Tes lèvres épousent mes courbes
Mon corps devient si fou Quand ta paupière se veut fourbe

Puis tout s'accélère Les envies qui trépignent
Tout au fond de nos artères Nul besoin de consignes
Nos corps se conjuguent Nos formes se plaquent
Nos mains se subjuguent Nos pulsions se traquent

Les baisers fougueux Les caresses exquises
Les mots injurieux Les langues insoumises
Et toutes ces positions Le temps d'un éveil
Le temps d'une érection Qui m'ôte tout sommeil

Un brin éphémères Ces minutes délicieuses
Où nos belles paupières Battent, harmonieuses
Jusqu'à la jouissance Le plaisir extrême
Jusqu'à l'inconscience Le plaisir qui sème

Quand nos corps se démènent
Pour des envies sulfureuses
J'aime quand tu m'entraînes
Dans tes siestes crapuleuses...



(E)
Un repas qui s'achève Je m'étends un instant
Le sommeil qui se lève La paupière prend son temps
Tu me rejoins alors Des idées plein la tête
Et te colles à mon corps Ma paupiè ...

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(E)
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Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide ! Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état,
- Tu es bien ?
- Oh oui... j'aime !
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Tu veux que je me retire ?
- Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre
Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
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Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offra ...

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il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état,
- Tu es bien ?
- Oh oui... j'aime !
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Tu veux que je me retire ?
- Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre
Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
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il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle es ...

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Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Nous étions sur son balcon, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, et à un moment, je sentis ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou.
Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. Je repris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi
J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Pourquoi se débattre ? J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus.

Au travers de ma robe, je sentais pointer un relief explicite ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à m’abandonner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais son désir, je le pris en main, le caressais et le massais doucement. Je le jugeais terriblement prometteur. Il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui avouer mon impatience, lui signifier que j'étais prête !
- Je suis toute ouverte ! Prends moi !
Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir.

Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite.
Puis je sentis qu'il accelerait, son sexe se mit à raidir, se contracter. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler, puis s'enfoncer d'un coup, il s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais même pas son nom, je ne l'ai jamais revu
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Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Nous étions sur son balcon, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu cont ...

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Suçe mon sein


Suçe mon sein (E)
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Maman a tort c´est beau l´amour
l´infirmière je l´aime il est d´mon droit de tout toucher
je m´arrête pas là je m´amuse
quoique maman dise elle m´oubliera
les yeux mouillés j´ai mal
je dis c´que j´veux j´suis malheureuse
j´pense pas souvent et vous?
J´aime ce qu´on m´interdit
Les plaisirs impolis
J´aime quand elle me sourit
J´aime l´infirmière

j´suis très sereine et j´ai bien fait d´vous en parler
je m´amuse quoique maman dise
elle était belle cette infirmière
je l´aime l´infirmière chante
ça m´fait des choses comme l´alouette
j´ai peur c´est dur la vie
pour un sourire j´en pleure la nuit vous?
J´aime ce qu´on m´interdit
Les plaisirs impolis
J´aime quand elle me sourit
J´aime l´infirmière
(E)
Maman a tort c´est beau l´amour
l´infirmière je l´aime il est d´mon droit de tout toucher
je m´arrête pas là je m´amuse
quoique maman dise elle m´oubliera
l ...

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A Plusieurs (Ann Sorel)


Des amis sont venus prendre un verre une heure
Et nous avons fait l’amour à plusieurs
Sans chercher pourquoi sans autre raison
Que d’aimer un peu à la déraison

Sur le canapé j’étais près de toi
Oui mais dans mes bras ce n’était pas toi
Quand tu t’es penché pour me regarder
Juste à cet instant je t’ai désiré

Puis tu t’es glissé tout contre mon corps
Et je sens ta peau qui me brûle encore
Ainsi j’ai compris n’aimer plus que toi
Et que nous faisions là n’importe quoi

Et puis un à un m’avez caressée
Et puis un à un j’ai su vous aimer
Des amis sont venus prendre un verre une heure
Et nous avons fait l’amour à plusieurs

L’amour à plusieurs Est-ce bon pour le cœur ?
L’amour à plusieurs C’est pas bon pour le cœur


A Plusieurs (Ann Sorel) (E)
Des amis sont venus prendre un verre une heure
Et nous avons fait l’amour à plusieurs
Sans chercher pourquoi sans autre raison
Que d’aimer un peu à la déraison

Sur le canapé j&rsq ...

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(E)
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J’adore le corps de Barbara. Barbara est une belle femme délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus.
- Serre toi contre moi, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens, nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête ! Ce moment est à nous.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules,
- Je veux que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu me ramones,
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
- Je veux que tu me chéries, que tu me câlines, que tu m’aimes !
Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je me frotte contre elle, mon bassin contre le sien, mon sexe contre ses cuisses. Je bande, elle le sent. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse.Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Barbara, Barbara, ma douce.
- Nicolas, mon amour !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette.
Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.
(E)
J’adore le corps de Barbara. Barbara est une belle femme délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. ...

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Vanessa (Doc Gyneco)


Je n'ai pas oublié tous ces talons carrés
Ces filles aux beaux fessiers qui firent fureur cet été
Je rêve de bas résilles, de filles qu'on déshabille
Qui glapent et s'égosillent, et déjà mes yeux brillent
Devant une photo de ... oh Vanessa
Que je mate à la mort, j'ai déjà des remords
Car je pense à des ventre à ventre, à des corps à corps
A du va-et-vient, encore, encore
Oh Vanessa je pense à toi, j'ai les dessous mouillés
Dans ma tête j'entends résonner
La phrase préférée des gamins du quartier :

Lenny, c'est fini, il t'a pris la tête Big nichons, planque à chichon
La boulette, c'est dans la chaussette
Petit conseil à ma starlette Je suis un pro, le Doc Gynéco
Je déroule les slips d'un coup
Puis ils roulent sur les cuisses et s'enroulent comme un scoubidou
Parlons de Scooby-Dooby-Doo
Même Daphné me fait craquerCe n'est qu'un dessin mais je veux l'animer
Tous les premiers samedis du mois J'ai les deux mains sous les draps
Et mon petit coussin pour m'essuyer les doigts
Canal pour actif, à minuit c'est extra
Sur le petit écran je m'imagine avec Vanessa

Sa bouche fiévreuse, nos étreintes ravageuses
Sa langue brûlante et son corps excité
Sa voix haletante, bordée d’obscénités
Son fond de gorge et mon sucre d'orge
Ses mains pleines de réactions en chaîne, oh !

Contaminé le soir, je me réveille pour crier
Après avoir rêvé de totale nudité
Vaporeuse, humide, suave et chaleureuse
D'expériences sadiques, de plaisirs maléfiques
De tétons mordillés, de cambrure et de volupté
Pratique sans complexes du sexe
De jambes entre-lassées, respiration coordonnée
D'orgie clandestine, d'abstinence brisée
Recherche des douces, Vanessa
Dans ta bouche mon pouce
Jouissance primaire, jouissance secondaire
Tertiaire, quaternaire......
Vanessa (Doc Gyneco) (E)
Je n'ai pas oublié tous ces talons carrés
Ces filles aux beaux fessiers qui firent fureur cet été
Je rêve de bas résilles, de filles qu'on déshabille
Qui glapent et s'égosil ...

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