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| Les deux corps se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. Onctueuse, elle glisse sur lui, au début doucement, presque tendrement, elle le caresse et le caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, il aime, il bande, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. il lui agrippe les fesses pour se glisser encore plus loin au cœur de son intimité. De ses mains douces, elle lui caresse l’échine, ils s'etreignent, ont besoin l'un de l'autre , de se serrer, de se sentir, impatience des corps, tissus épars, soutien-gorge et fine lingerie essaimés sur le sol, chairs glissant sur les chairs, pénétration, elle se cambre pour le sentir plus loin en elle. Il glisse doucement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être prise de la sorte, par tant de frénésie. Et il jouit, hurlant son bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin, avec une belle générosité, | (E) Les deux corps se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. Onctueuse, elle glisse sur lui, au début doucement, presque tendrement, elle le caresse et le caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, il aime, il b ... |
![]() | sur canapéJ'étais allongée sur mon lit, fascinée par cet homme puissant que j'avais attiré chez moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. Il s'est alors enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... Tu me fais du bien ! Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait Julien. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, | sur canapé (E) J'étais allongée sur mon lit, fascinée par cet homme puissant que j'avais attiré chez moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. J'étais en chale ... |
![]() | sur canapéPuis il s'arrêta net et crispa son regard. Ses jambes se mirent à trembler et je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. | sur canapé (E) Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Ses jambes se mirent à trembler et je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus ... |
![]() | Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux vibrant de tous ses membres et lachant un long râle - Oh Marie ! Sa sève humide s'est rependu en moi en plusieurs vagues chaudes. C'était bon ! Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi Nous sommes restés ainsi un moment l'un dans l'autre, amoureusement enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, mon bel amant ! | (E) Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux vibrant de tous ses membres et lachant un long râle - Oh Marie ! Sa s&eg ... |
![]() | after loveJe revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. - Louis, au bureau, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné. J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience. | after love (E) Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve &eacut ... |
![]() | encore planté en moiJe restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. je réalisais ce que nous avions fait. et sentais entre mes jambes ouvertes couler tout son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. J'ai senti que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. - Louis, au bureau, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné. J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience. Intimacy (2001) | Pers: Mark Rylance, Kerry Fox | Dir: Patrice Chereau | Ref: INT104AA | Photo Credit: [ Azor Films/France 2/Greenpoint / The Kobal Collection / English, Jack ] | Editorial use only related to cinema, television and personalities. Not for cover use, advertising or fictional works without specific prior agreement | encore planté en moi (E) Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. j ... |
![]() | travail d'orphèvreAssoupi au fond du futon, Je suis assoupi. Sa tête est sur mes genoux, elle cherche à tâton dans mon pantalon mon sexe mou, elle le trouve entre mes cuisses ... Sa main s'y pose frémissante, sur mon penis abandonné et si tentant. Elle enveloppe ma verge au repos. Sa langue vient la goûter, douce et chaude de sommeil. Tendrement elle me suçe. Mon dard alors se raidi par un afflux de sang. Elle l'avale et sourit de contentement... Des images érotiques viennent troubler mes rêves, tandis qu'elle réanime ma verge qui toute entière se soulève. Je gémis dans mon songe... Et dans sa gorge profonde, elle plonge toute ma raideur. D'un féroce appétit, elle la suçe telle une bonde. Tout son amour me submerge, Un amour liquide qui trempe ma verge, et coule, impérieux, dans mon sommeil Pour y verser mille merveilles... Soudain ! Un feu d'artifice Irise mes paupières closes et les vagues de jouissance dans sa bouche explosent ! Je jouis ! ... Elle avale ... tout, rien, Et elle rit Jusque dans mes rêves Somptueux travail d'orphèvre... Cyr | travail d'orphèvre (E) Assoupi au fond du futon, Je suis assoupi. Sa tête est sur mes genoux, elle cherche à tâton dans mon pantalon mon sexe mou, elle le trouve entre mes cuisses ... Sa main s'y pose frémissante, sur mon penis abandonn& ... |
![]() | Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, je sentais ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. Je repris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi Prise d'une serie de legers spasmes, J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Pourquoi se débattre ? J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter lui aussi de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer un relief explicite ce qui ne nous calmait pas vraiment. Très clairement, je me sentais prête à m’abandonner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main plus bas et testais son désir, déjà tres prometteur. Il me serrait contre lui. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard - Je suis toute prête ! Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir. Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je l'aidais dans ses va et viens. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais, pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite. Puis je sentis qu'il accelerait, son sexe se mit à raidir, se durcir. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler. Il s'enfonca d'un coup, s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais un liquide chaud tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était intense. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais même pas son nom, je ne l'ai jamais revu | (E) Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, je sentais ses mains s'affermir sur mes hanches. Il ... |
![]() | Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Comme elle restait debout sans bouger, ce fut moi qui m’approchai d’elle. J'effleurai son bras doucement, caressai son épaule, puis son cou. ma main sur sa nuque, mes doigts dans ses cheveux, j'attirai son visage vers le mien. Je crus d’abord qu’elle allait refuser mon baiser, car elle tenta de tourner la tête, et je n’embrassai que sa joue, puis le coin de ses lèvres à la seconde tentative. Et ce contact électrique sembla agir sur Elsa comme un interrupteur. Elle me regarda dans les yeux, et ce fut elle qui m’embrassa cette fois, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser fut long et humide. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Quand cette dernière glissa sur le sol, j'attrapai Elisa par le bras et la regardai. Elle portait une belle lingerie à fines dentelles blanches. Son soutien-gorge laissait deviner une poitrine joliment proportionnée. Ses hanches étaient étroites et ses jambes très fines. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Nous nous embrassames à nouveau, de façon encore plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses tétons. Elle se mit doucement à gémir et défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir. Et tandis que je découvrai maintenant les fesses d’Elisa, glissant mes doigts sous le tissu, elle commença à caresser mon sexe à travers le pantalon, et rapidement s’attaqua à ma ceinture. Elle libéra ma queue qu’elle attrapa à pleines mains, Je la fis reculer jusqu’au lit et la poussai en douceur sur le matelas. Elle commença à enlever sa culotte et je l’aidai, puis à mon tour je m’installai entre ses jambes et l’embrassai, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. elle me guida aussitôt pour me conduire en elle. Elle était tellement mouillée que je la pénétrai sans difficulté, et elle commençait à bouger. Une nouvelle fois, j'eu peur de ne pas pouvoir me retenir si je ne gardais pas le contrôle. Mes yeux plongés dans les siens, je lui fis l’amour dans un mélange de tendresse et de force dont elle semblait avoir besoin. Quand elle fut proche de jouir à nouveau elle planta ses ongles dans mes épaules, et j'accélérai encore pour venir en même temps qu’elle, ce qui se produisit. Après quelques dizaines de secondes de spasmes qui nous donnèrent l’impression que nos cœurs battaient exactement au même rythme, nous nous laissions retomber, conscients d’avoir vécu l’un comme l’autre un moment délicieux. Elisa se glissa rapidement sous les draps, et alors que je me demandais si je devais me lever pour m’habiller et partir, devinant ses pensées, elle m'attrapa le bras pour m’attirer contre elle. - Reste avec moi ! Quelques minutes plus tard, elle dormait dans mes bras. Je n'arrivai pas à trouver le sommeil avant les premières lueurs de l’aube. Je connûs ce matin-là le plus agréable des réveils. Des caresses sur la partie la plus intime de mon anatomie. D’abord très légers, puis de plus en plus soutenus. Elisa caressait mon sexe alors qu’il ne bandait pas encore complètement, ce qui, compte tenu du traitement qu’elle me prodiguait, ne dura pas. Je la pénétrai de nouveau. Nous fimes à nouveau l’amour, avec moins d’urgence que la veille, mais avec un résultat tout aussi convaincant. Je la laissai cette fois me chevaucher pendant que je lui caressais les seins. Et quand elle sentit que j'allais venir avant elle, elle se pencha pour me glisser à l’oreille : - Je veux que tu viennes, là, maintenant… Et je lui obéis. Je sentis que je me répandais en elle alors qu’elle me souriait, et je me noyai encore une fois dans ses yeux magnifiques en me demandant si je n’avais pas rêvé toute cette nuit. Nous quittames l’hôtel vers dix heures, comme je le lui avais proposé. Elisa semblait avoir maintenant dix ans de moins. Comme si ses soucis et ses craintes s’étaient envolés. Elle fut peut-être surprise qu'un jeune étudiant put rouler dans une voiture aussi récente et bien entretenue, mais elle n'en fit pas la remarque. Elle se pelotonna sur le siège avant comme un chat sur un coussin, appuyant sa tête contre la vitre. Un léger sourire flottait en permanence sur ses lèvres. - Ça va ? Fis-je avant de démarrer. - Je suis bien. | (E) Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Comme elle restait debout sans bouger, ce fut moi qui m’approchai d’elle. J'effleurai son bra ... |
![]() | (E) ... |
![]() | Je l'ai senti frémirJe l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle ! Sa sève humide s'est rependu en moi en plusieurs vagues chaudes. C'était bon ! Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment l'un dans l'autre, amoureusement enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, mon bel amant ! | Je l'ai senti frémir (E) Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré en plissant les yeux, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle ! Sa sève humide s'est rependu en moi e ... |