![]() | Douces reminiscencesIl m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments ardents. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discretement sur mes hanches et j'ai senti alors son souffle chaud dans mon cou. C'était un bel homme, seduisant, plutôt bien bâti. Il était beau, viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. Il était aussi très tendre, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je n'avais pourtant pas prévu d'abdiquer si vite. Malgré tout, quelque chose m'attirait vers lui, et je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Il était en train de m'attirer dans ses filets et j'y allais naturellement. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il savait me ménager. Je retournais instinctivement la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me prenne, qu'il m'enlace de ses douces caresses. Mon corps tout entier était là pour l'encourager à poursuivre. Ses mains étaient longues et fines, elles étaient chaudes, J'aimais ses caresses, le plaisir qu’elles me donnaient. Elles étaient presque trop sages. Je voulais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les accueillir pour qu'elles se perdent dans mon écrin. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Je pressentai qu'il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. Une fois refugiés dans la chambre, tout s'est passé très vite, j'étais soûle d'amour, nous nous dehabillâmes, avec febrilité. Nous nous allongeames, nus sur le lit, et, tout naturellement, il m'a recouvert de son corps, il est venu sur moi, m'a recouvert de caresses, puis il est venu en moi, doucement, tendrement, comme une onde joyeuse et tendre qui se propageait dans mes veines. Je voyais dans ses yeux le soleil, les etoiles. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts. Un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... il s'est glissé un peu plus en moi, de plus en plus profondement, allant et venant dans ma chair avec délice, ses mains sur mes seins chauds, nos corps se mêlerent. Je l'aspirai en moi, doucement, interminablement. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Je le sentais palpiter dans mon ventre. Mes moiteurs intimes l'enveloppaient. Tout mon corps l'encourageait. Je fus secouée alors d'un premier spasme annonciateur de jouissances imminentes. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Il s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. C'était comme une vague qui m'emportait. Puis, je l'ai senti venir, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahirent au même moment. Ultime envolée, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... Il s'arrêta net et crispa son regard, puis se lâcha et se rependit dans mon corps, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. J'ai senti un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon bel amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux. Il s'effondra sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. Nous nous nous sommes serrés l'un contre l'autre dans une étreinte sensuelle, tendre et langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre, reunis l'un dans l'autre. Nous nous sommes aimés, toute la nuit, sans restrictions. Il fut total, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et pris sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. il me fit decouvrir en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offris ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était beau, vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Il est devenu cette nuit-là mon merveilleux amour ! | Douces reminiscences (E) Il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments ardents. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discret ... |
![]() | sensuelle, provocanteElle est enveloppée d'une lumière tamisée qui semble la caresser. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. Et ce magnetisme qu'elle degage, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attirent comme un papillon la lumiere. Elle tourne son regard dans ma direction, me fixe, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle me trouble terriblement. Je vois se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se font plus sonores. Je suis comme ivre, Mecaniquement, je me rapproche d’elle un peu plus, sans précipitation, ni brusquerie, j’entame la conversation avec des banalités. Elle m'écoute, réceptive, tour à tour grave et ironique. Nous discutons librement mais ses yeux brillent d'un eclat ravageur, elle ne quitte plus mon regard, je ne quitte plus le sien. Elle semble ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, Je lui fais part de mon admiration pour les belles femmes. Nos visages se rapprochent un peu plus, je la desire, et elle me desire, je le sens. Elle fixe maintenant mes lèvres, puis soudainement, Elle passe sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attire mon visage vers le sien. et c'est elle qui m’embrasse avec sensualité, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser est long et humide. Apres un long moment qui me parait une eternité, elle s'ecarte enfin, - tu as envie ! ... et je te plais ! ... C'est vrai ? - Tu es inquiet ? ... tu es marié ? ... mais - alors ... ne pensons plus à rien d'autre ! .... - viens ! ... c'est par içi ! ... Nous voici dans sa chambre. Lumiere tamisée. Pendant que nos bouches et nos langues dansent l'une avec l'autre, ses mains cherchent les boutons de ma chemise, tandis que je m’affaire sur la fermeture éclair de sa robe, devoilant ainsi une fine combinaison de soie blanche à dentelles que je m'empresse de caresser. Puis elle defait un à un mes boutons et une fois mon torse en partie dénudé, elle s’approche à nouveau de moi, plaquant ses mains sur mon torse. Elle est maintenant là contre moi, en partie dévêtue, elle me fixe, elle me provoque, un beau corps de femme. sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la fixe moi aussi. Elle me devine, je la devine. Sourires, connivence, mes doigts la touchent, la palpent, au plus pressé, l'explorent, glissent sous sa robe, soulèvent et s'immiscent sous de fins dessous, elle agrippe mes épaules de ses mains douces, je l’embrasse, nos langues se rejoignent, mes mains glissent plus bas et l'agrippent par les fesses. Elle plonge ma main dans mon pantalon, me teste, me branle, je plonge la mienne sur ses lèvres, déjà ouvertes et humides. Elle me fixe d'un regard est vitreux. Je bande. Une couleur légèrement ambrée. Ses seins sont splendides, je les petris, j'apprecie leur souplesse. Elle reprends le branle. Mes doigts palpent sa vulve. Tendresse et sauvagerie mêlée. Je deguste ses rondeurs, ma main gauche sur son sein. l'autre sous l'élastique de sa fine culotte que j écarte et qui tombe, mon pantalon qu'elle ouvre dans la foulée. Elle enroule sa robe jusque sous ses bras. Elle m'offre son corps. Elle est humide et grande ouverte, Elle relève sa jambe, Ma fierté de mâle se déploie, se lève entre ses cuisses chaudes, bien dure et et bien droite. Elle me guide et, sans attendre, je me sens aspiré en elle. Je glisse, je m'enfonce dans ses chairs humides et chaudes, je m'engloutis dans son doux nid. C'est un soyeux intense, le charnel infini. Je suis aux anges. Son paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Je vais et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Je m'extrais puis m’enfonçe à nouveau, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Elle gémit, de plus en plus. Je râle, de plus en plus fort, je me donne, elle se donne, elle en veut plus. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement. Le sang monte, je m'engoufre en elle, au fin fond de son ventre chaud, profondeur abyssale. Elle jouit dans mes bras. Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, je me contracte, me fige, un cri rauque, je me tend .... puis me lache dans son ventre, une humeur abondante, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse. - C'était bon ! ... tu as aimé ? ... moi aussi ! ... Tu restes avec moi cette nuit ? | sensuelle, provocante (E) Elle est enveloppée d'une lumière tamisée qui semble la caresser. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. Et ce magnetism ... |
![]() | lecture dans le trainLe train roulait depuis près d'une heure en direction de Marseille, le soleil n'était pas encore très haut. Le train s'était arrêté pour une courte pause dans une des innombrables gares qui jalonnent la ligne du bord de mer. Les voyageurs cherchaient leur place. Discrètement, elle est entrée et s'est assise face à moi près de la fenêtre. Je posais mon livre, la couverture en évidence. La jeune femme ne put s'empêcher d'y jeter un rapide coup d'œil puis détourna son regard et s'absorba dans la contemplation muette du défilement monotone des champs de vignes. Elle me présentait son profil, je l'observais avec une arrogance indiscrète. Elle semblait âgée d’une trentaine d'années. Elle semblait faite d'une quantité de contrastes qui la rendaient à la fois distante et attirante. Les traits de son visage avaient une certaine dureté, mais la douceur de son regard me la rendait si désirable. Elle portait une jupe faite d'un tissu clair et léger qui lui couvrait sagement la moitié des genoux. Sous son chemisier blanc, lâchement boutonné, je devinais une poitrine troublante, que j’imaginais libre de toute contrainte. Cette femme dégageait à la fois une expression d'austérité et de sensualité réservée qui, à cet instant, la rendait très attirante à mes yeux. Je la détaillais ainsi depuis près d'une minute, sans me rendre compte de la grossièreté de mon insistance. Elle tourna vers moi son visage et posant de nouveau son regard vers la couverture de mon livre me dit : — Moi aussi, j'ai aimé ce livre ... Je ne m'attendais pas à une approche aussi directe de sa part. Elle me fixait avec un joli sourire ironique. — Je veux bien en parler avec vous ... si vous avez un moment ? ... Cette femme que je ne connaissais pas, et qui m'attirait terriblement m'entretenait d'un livre qu'elle avait aimé. Je me sentais pris à défaut comme un petit garçon que l'on a surpris au mauvais moment. — Vous allez jusqu'où ? ... je suis peut-être indiscrete ? ... — Marmande... — Moi je descends plus loin, à Agen ... Elle me regarda avec des yeux à me faire fondre. Affectueusement, elle posa sa main sur mon genou en precisant sa pensée, — Nous avons donc un peu de temps devant nous, vous ne pensez pas ? A ce moment, je m'approchai pour tenter un baiser. Mais ce n'était pas cela qu'elle désirait. — Attendez ! Tout en continuant à me fixer des yeux, elle se leva et tira les rideaux, nous isolant ainsi des regards du couloir. La suite ... .... Elle était maintenant là, contre moi, tissu frais et léger, laissant filtrer l'odeur du désir, mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens. La journée de juin était chaude. Les habits déjà se froissaient, les peaux s'irritaient, l'impatience devenait violence, de peur de devoir renoncer au plaisir entrevu. J'ai alors fermé ses yeux, calmé mon souffle, apaisé mon agitation anxieuse. J'ai juste laissé balader mes doigts et mes lèvres, dans une découverte tendre ... Puis, ensuite, ont été défaits, un à un, lentement et tranquillement, les petits boutons de sa chemise légère, s'ouvrant sur sa peau douce et chaude d'envie. Mes mains sous le fin tissu ont exploré, poursuivant leur chemin, nos corps se sont tendus de désir, de dialogues, de caresses, correspondance muette, lecture de l'envie de l'autre ... accord. Puis les habits ont glissé, nos bouches, nos doigts, nos corps se sont emmêlés, rattrapés par un plaisir intense, trop vite transformé en souvenir d'une première fois dont nous savions qu'elle serait aussi la dernière. .... Nous nous sommes quittés 50 minutes plus tard à Agen, satisfaits, comblés et heureux , | lecture dans le train (E) Le train roulait depuis près d'une heure en direction de Marseille, le soleil n'était pas encore très haut. Le train s'était arrêté pour une courte pause dans une des innombrables gares qui jalonnent ... |
![]() | seductionLa soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser et la rendre plus séduisante encore. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle s'approcha de moi. - tu restes un peu avec moi ? ... tu veux bien ? ... Elle entoura alors ma tête des ses mains et m'embrassa un long moment sur la joue puis imperceptiblement sur la commissure des levres. - j'avais envie de t'embrasser ! ... mieux que tout à l'heure ! ... c'est pas bien ? ... - viens donc t'asseoir un moment avec moi ! ... Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. - je t'aime bien tu sais ! Apres m'avoir fixé un moment en silence, elle rapprocha son visage du mien en me prenant les mains dans les siennes. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. - je t'aime bien et même plus que ça ! .... est-ce que tu comprends ce que je dis ? ... Quelque chose était en train de se declencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Elle me troublait autant qu'elle m'attirait. Elle me troublait terriblement. Elle poursuivit en me prenant la main et en me soufflant à voix basse: - embrasse moi ! ... Elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lui donne un leger baiser sur la commissure des lèvres; - non, pas comme ça ! me corriga-t'elle, ce n'etait visiblement pas ça qu'elle voulait. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens. Toute reserve ou retenue avait disparue. Elle glissa sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes, tandis que je poursuivai mes caresses en glissant ma main dans l'echancrure de son chemisier et en m'emparant de son sein ... puis elle guida ma main plus loin ... plus bas sous sa fine combinaison. J'arrivais au contact des parties les plus intimes de son corps, elle s'ecarta alors soudainement, en me regardant dans les yeux ... - tu penses la même chose que moi ? ... tu es mûr ? .... comme moi ? ... - on va dans ma chambre, tu es d'accord ? ... allez viens ! ... Elle me prit par la main et m'entraina dans le couloir. Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle se dirigea vers le lit qu'elle ouvrit d'un coup repoussant couverture et draps. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Elle commença à deboutonner ma chemise, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait, elle retira sa robe devoilant une fine combinaison de soie à dentelles. je fis glisser les fines bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour m'annoncer le programme, - tu me laisses une minute ? ... j'ai envie de me faire belle pour toi ! ... Installe toi et mets toi à l'aise ! ... j'arrive ! .... Apres s'être eclipsée un instant dans la salle de bain, elle revient vers moi, rayonnante de séduction, avec glissant sur elle une chemise se soie fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines. - je suis désolé, n'ai pas amené de pyjama pour la nuit ... - pour ce qu'on a à faire maintenant, tu n'en as pas besoin ! ... Elle m'entraîna alors sur le lit en relevant doucement sa chemise de soie, Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Elle me fixa alors droit dans les yeux en me tendant la main, - tu viens ? .... Viens vite ! ... Je m'allongeai alors sur elle, au contact de son corps chaud et, tandis qu'elle me guidait discretement ... je me sentis tout naturellement glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que, sans attendre plus longtemps, Elle m'accueillait chez elle naturellement, avec douceur mais aussi avec gourmandise, je m'immiscai avec delice dans sa douce moiteur. Je la pénétrai ... lentement, profondément. Desormais, nus sous les draps, nos deux corps étaient desormais enlacés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Elle enveloppait avec douceur ma fierté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait, je me complaisaîs avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur douce intimité. Elle me regardait avec des yeux à me faire fondre. - Tu aimes ? .... Je rêvais depuis longtemps de vivre ce moment avec toi tu sais ! ... Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi. Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes. Elle se faisait enveloppante. Elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé - c'eut été dommage de manquer ça, tu ne trouves pas ? ... ! ... Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. J'amorçai un debut de retrait d'elle craignant une explosion imminente. - non, reste ! ... bien au fond ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant ! Nos regards se souderent l'un à l'autre, Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés nous excitait tous les deux de plus en plus. elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de nos sexes glissant l'un dans l'autre nous fit perdre toute retenue. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - Viens ! ..... Viens vite ! ... donne moi tout ! ... bien au fond ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles et sans attendre plus longtemps, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Puis je m'affaissai sur son corps. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - j'ai adoré ! ... pas toi ? ... merci pour ce moment de pur bonheur ... - tu es maintenant mon amant ! ... tu réalises ? ... Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité. Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, enlacés l'un contre l'autre - Je n'ai pas eu l'occasion de t'embrasser comme je le voulais quand tu es arrivé ! ... - tu me permets ? ... - Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais ! - je t'aime bien tu sais ! .. et plus que ça ! ... - je suis amoureuse de toi, c'est vrai ce que je te dis ! ... - c'est pas bien de dire ça ? ... - nous sommes seuls en ce moment ! .. qu'en dis-tu ? ... - on devrait en profiter, tu ne crois pas ? ... - tu as envie ? ... comme moi ? ... - Viens ! ... ne restons pas là ! ... je t'emmène ! ... - J'avais preparé ta chambre mais c'est dans la mienne que je veux t'avoir cette nuit ! ... - je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! .... - Installe toi ! ... commence à te deshabiller .... j'arrive ! ... - comme ça, est-ce que je te plais ? ... - j'ai envie de toi ! ... terriblement envie de toi ! ... - tu viens ? ... je t'accueille ! ... viens vite ! ... - Dis-moi ? tu ne pars pas tout de suite ... d'accord ? ... je voudrais te dire quelque chose ! ... - ça y est, ils sont tous partis ! tu as un peu de temps ? .... merci de rester un peu avec moi ! - tu as aimé cette soirée ? ... Tu sais, je voulais que ça te plaise ! ... - Je n'ai pas arrêté de te regarder ce soir pour m'en assurer ! Tu t'en es pas aperçu ? ... - J'ai envie de t'embrasser, je peux ? ... - Je suis contente que tu aies pu venir ce soir chez moi, tu sais ! - Tu es seul en ce moment et je suis seule moi aussi ! .... on devrait en profiter, tu ne crois pas ? .... - Tu veux que je sois plus precise ? ... - tu me donnes tes lèvres ? .... - encore ! .... elles sont toutes chaudes ! ... - ecoute ! .... on en a trop fait, ou pas assez ! ... - Bon ! ... on ne va pas rester içi ! ... tu es d'accord ? .... - Ma chambre est au bout du couloir ... on y va ? ... je t'emmène ? - J'ai envie de toi dans mon lit cette nuit ! ... tu veux bien ? .... - Mais avant je voudrais me preparer un peu, tu permets ? ... - Installe toi ! ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! .... - commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ... - depuis que je te connais, je rêve de vivre ce moment ! ... - Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps puis me faire l'amour. - maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite ! La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. C'est alors qu'elle s'adressa à moi .. - Dis-moi ? tu ne pars pas tout de suite ... d'accord ? ... je voudrais te dire quelque chose ! ... Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle insista, - ça y est, ils sont tous partis ! tu as un peu de temps ? .... merci de rester un peu avec moi ! - tu as aimé cette soirée ? ... Tu sais, je voulais que ça te plaise ! ... - Je n'ai pas arrêté de te regarder ce soir pour m'en assurer ! Tu t'en es pas aperçu ? ... Elle me regarda un moment avec une intensité inhabituelle, puis me prit les mains, - J'ai envie de t'embrasser, je peux ? ... Elle entoura ma tête des ses mains et m'embrassa avec douceur - Je suis contente que tu aies pu venir ce soir chez moi, tu sais ! Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente, Je la fixai, un peu déboussolé. J'étais sous son emprise. Elle me troublait terriblement, - Tu es seul en ce moment et je suis seule moi aussi ! .... on devrait en profiter, tu ne crois pas ? .... ses yeux brillaient d'un eclat ravageur. je voyais sa poitrine se mouvoir au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé, - Tu veux que je sois plus precise ? ... J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle me serra contre elle en approchant ses lèvres des miennes. Comme je restais debout sans bouger, elle crut que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Notre baiser dura un très long moment au bout duquel elle ne s'interrompit que pour precipiter les evenements ... - depuis que je te connais, je rêve de vivre ce moment ! ... Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, jusqu'à ce qu'elle m'interrompit, - Bon ! ... on ne va pas rester içi ! ... tu es d'accord ? .... - Ma chambre est au bout du couloir ... on y va ? ... je t'emmène ? Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, jeu subtil d'un regard insistant, elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard légerement mouillé. - J'ai envie de toi dans mon lit cette nuit ! ... tu veux bien ? .... - Mais avant je voudrais me preparer un peu, tu permets ? ... - Installe toi ! ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! .... - commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ... Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. - Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps puis me faire l'amour. Avec une douceur presque féminine, elle defit un à un les boutons de ma chemise, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. Elle redécouvrait ces plaisirs sourds qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle redecouvrait les bienfaits des caresses amoureuses, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses dentelles intimes ... Ses yeux, jusqu'içi plutôt discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle, si volubile apparement, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son corps. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle me débarrassa de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi, jusqu'à ce qu'elle me supplia Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, et je la couvrai de baisers. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait et elle me le fit savoir sans detour, - maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite ! - nous sommes seuls en ce moment tous les deux n'est-ce pas ? ... - et ton mari ? - mon mari ? ... oh, tu sais ... il a sa vie, et moi, j'ai la mienne ... chacun mène sa vie comme il l'entend ! ... - ecoute moi ! ... ce soir, je suis avec toi .... et j'ai envie de profiter de toi ! ... me dit-elle en rapprochant ses lèvres des miennes ... - Je peux ? ... Puis elle s'ecarta pour me faire cette confidence: - tu sais, je ne sais pas si tu t'en es rendu compte, c'est plus qu'un faible que j'ai pour toi ! ... je suis amoureuse de toi ! ... vraiment ! ... c'est pas bien ? ... - j'avais preparé une chambre pour toi, mais c'est dans la mienne que j'ai envie de t'emmener maintenant ! ... on y va ? ... Il s'allongea alors sur moi, au contact de mon corps chaud. Tandis qu'elle le guidait discretement ... Desormais, nus sous les draps, nos deux corps étaient desormais enlacés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Je ne su vraiment si c'était moi qui lui offrait mon corps ou si c'est lui qui s'offrait le mien, toujours est-il que, sans attendre plus longtemps, je le sentis glisser avec délice dans mes chairs intimes, comme si je l'aspirais en moi, naturellement, avec douceur mais aussi avec gourmandise. Il s'immiscait avec delice dans ma douce moiteur. Il me pénétrait ... lentement, profondément. J'enveloppais avec gourmandise sa fierté de mâle qui déjà dansait en moi, et me remplissait, il se complaisaît avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, mes chairs les plus tendres s'ouvraient et l'accueillaient au plus intime de mon être. | seduction (E) La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Gr ... |
![]() | intrusionElle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Elle tourna son regard dans ma direction, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation, ni brusquerie, j’entamai la conversation avec des banalités. Mais elle m'écoutait, réceptive, tour à tour grave et ironique. Elle disait se sentir bien ici. Car au moins on ne la jugeait pas. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien. Je lui faisais part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras et m'entraina sur la piste de danse ... Nous restâmes un bon moment enlaçés sur la piste, en silence, jusqu'à ce qu'elle me murmure dans l'oreille des mots que je feignai de ne pas comprendre. Je ne savais plus où me mettre. Elle poursuivit en se serrant un peu plus contre moi, trahissant du même coup une faiblesse que je m'efforcai pourtant de dissimuler. Elle se serra encore plus contre moi, Cela n'ameliora pas mon état ! Je voyais se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se faisaient plus sonores. J'étais comme ivre, elle ne quittait plus mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, Je m'appretais à me separer d'elle une fois la musique terminée lorsqu'elle me retint par la main s'approcha et me deposa un baiser sur les lèvres d'une longueur à me faire fondre ! Puis elle me souffla dans l'oreille: - j'ai vu assez de monde içi, je partirai bien maintenant ! Je feignai de ne pas comprendre, elle me souffla dans l'oreille, d'une voix à peine plus distincte: - je retourne dans ma chambre ... rajoutant d'une voix à peine perceptible: - tu viens ? .... Puis elle me prit la main et m'entraina vers le couloir. Nous nous sommes rapidement retrouvés dans le confort d'une suite luxueuse, dans une semi-obscurité. Les lumières de la rue éclairaient doucement la grande piece au travers des voilages. Je la buvais des yeux. Elle passa sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attira mon visage vers le sien. Puis nos visages se sont rapprochés un peu plus, et ce fut elle qui m’embrassa avec sensualité, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser fut long et humide. Je la desirai, et elle me desirait. Pendant que nos bouches et nos langues dansaient l'une avec l'autre, ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe, devoilant ainsi une fine combinaison de soie blanche à dentelles que je m'empressai de caresser. Puis elle defit un à un mes boutons et une fois mon torse en partie dénudé, elle s’approcha à nouveau de moi, plaquant ses mains sur mon torse. - tu es marié ? ... Tu es inquiet ? ... Mais tu en as envie ! ... et je te plais ! ... C'est vrai ? - alors ? ... pas de probleme ! ... ne penses plus à rien d'autre ! sans attendre, elle m'entraina avec elle sur le lit, Je n'en pouvais plus ! - tu viens ?... profites ! ... je suis toute ouverte, etroite et profonde, tu vas aimer ! ... Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Je tentai une demi-seconde de reprendre mes esprits, elle ne m'en laissa pas le temps, - Trop tard ! ... Tu es chez moi maintenant ! me manifestant ainsi avec un large sourire sa satisfaction - Et maintenant, laissons parler nos sens ... et baisons ! ... sans restrictions ! Je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui manifestais mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice dans ses douces moiteurs. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire - C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ? Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ... - Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite ! Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. - tu as été parfait ! .... un amant de rêve ! | intrusion (E) Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. ... |
![]() | Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. toujours est il que je me sentis soudain glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Tout en m'accueillant avec des yeux legerement humides, elle m'accueillait chez elle naturellement, avec douceur mais aussi avec gourmandise, je m'immiscai avec delice dans sa douce moiteur. Je la pénétrai ... lentement, profondément. Desormais, nus sous les draps, nos deux corps étaient desormais enlacés l'un dans l'autre. Elle enveloppait avec douceur ma fierté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait, je me complaisaîs avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux à me faire fondre. Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. - Tu aimes ? ... J'ai longtemps rêvé de ce moment tu sais ! ... Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi. Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, un glissement onctueux, une penetration lente, un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et petit à petit l'absorbait. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé - si tu savais comme j'ai esperé ce moment ! ... Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. J'amorçai un debut de retrait d'elle craignant une explosion imminente. - non, reste ! ... bien au fond ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant ! Nos regards se souderent l'un à l'autre, Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés nous excitait tous les deux. elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de nos sexes glissant l'un dans l'autre nous fit perdre toute retenue. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - Viens ! ..... Viens vite ! ... donne moi tout ! ... bien au fond ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles et sans attendre plus longtemps, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Puis je m'affaissai sur son corps. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - j'ai adoré ! ... pas toi ? ... merci pour ce moment de pur bonheur ... - mon bel amant ! ... mon merveilleux amant ! ... tu réalises ? ... Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité. Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, enlacés l'un contre l'autre | (E) Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. toujours est il que je me sentis soudain glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Tout en m'accueillant a ... |
![]() | son corps s'est mis à tremblerJe l'ai senti frémir dans mon ventre ! C'est alors que mon corps s'est mis à trembler, je me suis cabrée. Je sentis mes muscles intimes se contracter, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage. Tout mon corps s'est mis à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se resserrer sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... D’un coup de rein, il s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités. J’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, son corps entier a basculé en avant, son sexe enorme s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient mes hanches et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude tapissait mon vagin, Sa sève humide se rependait en moi en plusieurs vagues. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, son sperme chaud commencait à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure. Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, | son corps s'est mis à trembler (E) Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! C'est alors que mon corps s'est mis à trembler, je me suis cabrée. Je sentis mes muscles intimes se contracter, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressor ... |
![]() | la tension se relâcheDes voiles se referment, la tension se relâche, ma chaleur humide s’épanche de son corps. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Je reste planté en elle, immobile ... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... nos corps sont repus... La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Elle se sent sans force, elle pleure doucement. Elle reste là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur sa toison humide lui donne le frisson. J'ai aimé ces moments. J'étais chaude et mouillée. Je t'ai senti t'enfoncer en moi. Lentement, tu glissais dans mon ventre. Je t’aspirais de mes muscles, te pressais, tu ressortais, poussais encore plus profondément. Je pouvais t’entendre gémir et cela m’excitait. Tu t'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je t'aidais dans tes va et viens. Je sentais que tu étais sur le point de non retour. Tu accéleras, Je t'ai senti trembler et te figer au fond de moi. Tu poussas alors un cri rauque et ton premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que tul défaillais. Tes jambes semblaient ne plus vouloir te soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je te laissais glisser hors de moi,dans un bruit de succion, liberant un flot de semence . Tu tombas a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que toi. | la tension se relâche (E) Des voiles se referment, la tension se relâche, ma chaleur humide s’épanche de son corps. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Je reste planté en elle, immobile ... ... |
![]() | à cause d'une tache sur ma robePierre était un chef d'entreprise, je l'avais connu lors d'un deplacement en province. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés dans cet hotel ou nous avions nos habitudes, un soir, j'ai accepté de danser avec lui, et je commençai vraiment à me detendre dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact viril sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon pointer entre mes cuisses. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, une aventure avec lui, et plus physiquement, l'effet de son sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Il m'a proposé de nettoyer la tache dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement le relief de son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai suggéré de retourner au salon de l'hôtel, sinon nous allions faire des betises Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. J'ai essayé de le stopper, lui disant que nous étions en train de nous laisser emporter. Il m'a répondu qu'il s'arrêterait dés que je lui demanderai. Mais je ne lui ai pas demandé, car inconsciemment j'avais envie qu'il continue. Je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. Je tentais encore vaguement de me raisonner mais sans vraiment résister. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi, et envie, sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. Je résistais à peine. Et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore. J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de cette nuit là, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! J'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, C'est alors que je l'ai senti ! Une sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort son sexe au fond de mon ventre. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. J'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | à cause d'une tache sur ma robe (E) Pierre était un chef d'entreprise, je l'avais connu lors d'un deplacement en province. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés dans cet hotel ou nous avions nos habit ... |
![]() | j'ai joui en elle. mes chaudes secretions melangées aux siennes s'écoulent hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle a joui aussi, avec moi, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jamais je ne l'avais fait jusqu'içi. Mon liquide coule toujours entre ses jambes, dans l'interstice de ses fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Elle m'a offert son ventre, dans lequel je viens de me rependre en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !Elle est maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur sa toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque. Je suis toujours contre elle et me remet à bander, sans complexe. mon sexe durcit contre le sien, je le pousse un peu en elle, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. c'est le paradis ! j'accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et elle aussi ! Je me vide, je n'en finis plus de me vider en elle ! Elle semble admirer tout ce qu'elle a reçu de moi, Elle luit de mon jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prend de nouveau mon sexe et caresse sa fente avec mon gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétre de nouveau. Ses chairs laissent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Je recommence à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferme les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippe à ses hanches. Je sens mon plaisir monter. Le sien aussi. Son ventre se contracte et des spasmes en série soulevent son corps. Je continue mon va et vient, je rugis très fort et finis par me repandre une nouvelle fois en elle. Elle a 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et deux belles poitrines, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adore lui faire l'amour | (E) j'ai joui en elle. mes chaudes secretions melangées aux siennes s'écoulent hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle a joui aussi, avec moi, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jama ... |
![]() | Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, c’était jouer avec le feu. C’est ainsi qu'un soir je sentis ses lèvres contre les miennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse Puis, apres un temps de reflexion, Elle posa ses lèvres sur les miennes, Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense. puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je me suis glissée en elle, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ... - Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite ! Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu. Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. - Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, ce n’est pas parce que je ne t’aime pas ! .... bien au contraire ... - ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi ! J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse - Tu es triste ? .... Il ne faut pas ! Puis, apres un temps de reflexion, - Approche toi ! Elle posa ses lèvres sur les miennes, - Tu es satisfait ? Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense. - Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ... puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Continue ! ... Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça ! Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre - Viens ! .... Je suis prête ! Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude. - Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille - C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais ! Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, laisse toi aller, bien au fond de moi, aime moi et donne moi tout de toi ! - tu sais, à mon age, je ne risque plus grand chose ! .... Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. | (E) Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleur ... |
![]() | j'ai joui en elle. mes chaudes secretions melangées aux siennes s'écoulent hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle a joui aussi, avec moi, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jamais je ne l'avais fait jusqu'içi. Mon liquide coule toujours entre ses jambes, dans l'interstice de ses fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Elle m'a offert son ventre, dans lequel je viens de me rependre en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !Elle est maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur sa toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque. Je suis toujours contre elle et me remet à bander, sans complexe. mon sexe durcit contre le sien, je le pousse un peu en elle, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. c'est le paradis ! j'accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et elle aussi ! Je me vide, je n'en finis plus de me vider en elle ! Elle semble admirer tout ce qu'elle a reçu de moi, Elle luit de mon jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prend de nouveau mon sexe et caresse sa fente avec mon gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétre de nouveau. Ses chairs laissent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Je recommence à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferme les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippe à ses hanches. Je sens mon plaisir monter. Le sien aussi. Son ventre se contracte et des spasmes en série soulevent son corps. Je continue mon va et vient, je rugis très fort et finis par me repandre une nouvelle fois en elle. Elle a 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et deux belles poitrines, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adore lui faire l'amour Son deshabillé, à peine fermé, baille largement sur sa poitrine, les bouts des seins dressés. Elle me fixe, les yeux brillants avec un sourire étrange. ses seins genereux tremblent doucement à quelques centimètres sous le tissu, Sa chaleur m'envahit immédiatement, tout comme une impérieuse envie d'elle. sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. Elle ferme légèrement les yeux, gonfle sa poitrine, les jambes legerement écartées. Mon imagination s'envole. | (E) j'ai joui en elle. mes chaudes secretions melangées aux siennes s'écoulent hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle a joui aussi, avec moi, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jama ... |
![]() | un homme fortUne fois, isolés dans ma chambre close, je l'ai senti relever doucement relevé ma fine combinaison, je le regardai avec approbation ... je me suis allonée sur le lit ... je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement, je libérais son sexe que je pris doucement dans ma main, le sentant grandir et grossir sous mes doigts. Il s'est alors installé sur moi ... et tout en le sentant glisser ses mains sous la soie, j'ai senti sa dure et longue verge chercher sa voie entre mes grandes lèvres déjà bien humidifiées, il continuait pendant ce temps à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'avais besoin de lui, J'étais toute chaude et trempée. Et je l'ai laissé s'allonger sur mon corps. C'est quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes que je me suis mise à tressaillir. Son sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches et je m'appretais à m'abandonner totalement. C'est alors qu'il me penetra, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Il s'est enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Je me suis offerte à lui, nue, les jambes légèrement écartées ... , mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, lui confiant le bonheur que je ressentais. Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. Je lui déclarai que le moment était arrivé, j'étais prête ! J'avais envie de lui, envie de jouir avec lui, envie de le sentir m'envahir, me remplir ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais de plaisir, épuisée par notre corps à corps intense. Un peu de sueur collait mes cheveux. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. J'ai alors senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison de soie. Le feu était en train de prendre naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent doucement. il commençait à me caresser l'intérieur de mes cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu dejà trempé. J'ai étouffé un gémissement. Il avait passé un doigt sous l'élastique de la culotte, Sa main effleurait mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Deux caresses intimes, Ses doigts s’attardaient, puis s'introduisirent, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il n'en fallait pas plus pour que je chavire dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main, puis ... je retombai ... inerte, en sueur. Je tentai de reprendre le controle de la situation Apres avoir repris mes esprits, je le regardai, un peu perdue et desemparée par ce qui était en train de se produire entre nous. Il avait ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, puis il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement mes mamelons que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour me ressaisir. je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement, je libérais son sexe que je pris doucement dans ma main, le sentant grandir et grossir sous mes doigts. il continuait pendant ce temps à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'avais besoin de lui, J'étais toute chaude et trempée. Et je l'ai laissé venir et s'allonger sur mon corps. C'est quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes que je me suis mise à tressaillir. Son sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches et je m'appretais à m'abandonner totalement. C'est alors qu'il me penetra, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. Je résistais, tres mollement ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée et à la fois impatiente, il ne s'arretait pas ! Je sentais son membre grossir de plus en plus, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Il chercha à me rassurer mais mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression dans mes chairs. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Mon excitation était à son comble. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment. Je sentais son pubis collé contre le mien, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. J'étais remplie de lui, de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de sa queue. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser dans ma chair, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi, C'est alors que je l'ai senti venir .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... Il s’est immobilisé, sa verge se contracta au fond de mes entrailles ... et il lâcha les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandait en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches ont recommencé pourtant à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume. Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, . Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Monsieur dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. | un homme fort (E) Une fois, isolés dans ma chambre close, je l'ai senti relever doucement relevé ma fine combinaison, je le regardai avec approbation ... je me suis allonée sur le lit ... je soulevais instinctivement mes hanches et le la ... |
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![]() | dans un demi-sommeilJ'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement. Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus. | dans un demi-sommeil (E) J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de d&ea ... |
![]() | dans l'urgenceIl veut me prendre là, tout de suite, dans ce recoin de la remise aux archives, au milieu des cartons, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile, ses doigts flattent ma chatte mouillée lisse et enflée de désir pur, puis, me pénètrent, doucement, de plus en plus profondement. Impatient et pressé, Il relève ma robe, il glisse ses mains sous le nylon, entre mes cuisses brûlantes. Je m'ouvre et gémis, j'ouvre son pantalon, je degage sa queue, enorme, qui se deploie, et cherche sa voie ... J'ai à peine le temps de le guider, il me pénétre, d'un coup, il s'enfonce en moi, il se glisse dans mon ventre puissement, profondement. Il m'enfile, je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque et m'écarte encore pour mieux sentir cette queue qui m'incendie, qui me laboure, délicieusement, de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, écartée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues auparavant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble. Je l’accompagne par les contractions de mes muscles, le presse, Il ressort, pousse encore plus profondément. Je l’entends gémir et cela ne fait que m’exciter davantage. Il accélère ses mouvements vifs en moi et tape durement contre mes fesses ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, palpe mes seins, qu'il attrape en se penchant sur moi, il grogne, il jure, me mord le dos, et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir. Il s'enfonçe encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aide dans ses va et viens. Il arrive au point de non retour. Il accélere, Je le sens trembler et se figer au fond de moi. Il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre, pousse un cri rauque ... et explose au plus profond de moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Il gicle au fond de moi. Il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je perds pied, traversée par une vague de plaisir immense qui m'arrache un long murmure venu du plus loin de mon être. Je jouis. Je jouis comme on s'arrache. Comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie. Puis, les spasmes calmés, je le sens ramollir, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage, de fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. De ma chatte jusqu'à ma pensée. Son empreinte palpite là comme un feu entre mes cuisses. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous ses premieres caresses, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. Je suis completement épuisée et comblée. Il se glisse hors de moi, je ne fais rien pour le retenir. Il commençe à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, puis il se ravise, se rapproche, et me pénétre de nouveau. Je commençe de nouveau à réagir à ces intrusions ! il enfonçe en moi son sexe redevenu enorme, écartant mes chairs. je soupire quand il arrive au fond. il fait durer le plaisir. Il accélere, je n'en peux plus, Je me mets à trembler, un spasme violent me fige, de violentes secousses traversent mes entrailles. Il me regarde intensément, bloque son sexe au fond de mon vagin, et il fuse ... et se vide une nouvelle fois en moi, il n'en finit plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laisse pantois. En se retirant sa queue emet un indecent bruit de succion. J'ouvre les yeux et je constate tout ce que j'ai reçu de lui Je suis debout. Debout je marche au cœur des arbres qui se dressent. Debout comme mon désir en moi nourri déjà de toutes ces nuits passées et à venir qui se fondent. J'avance d'un pas sûr. Je sais. Je sais à jamais la brûlure du plaisir. Ses vertiges. Ses sommets. Son antre. Qui bat dans mon ventre et contre mes tempes. Je sais l'incendie et l'abîme. Plus de peur. Juste la vie. Et les bonds de mon cœur. | dans l'urgence (E) Il veut me prendre là, tout de suite, dans ce recoin de la remise aux archives, au milieu des cartons, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allum& ... |
![]() | je veux t'emmèner au fond de mon jardin secret tapissé de terre mouillée je suis la profondeur de l'arbre l'entre branches l'entre jambes Entre dans ma chambre noire pour y développer tes rêves franchis le seuil écarte les feuilles pénètre dans l'ombre pour y goûter au milieu l'amande Libera | (E) je veux t'emmèner au fond de mon jardin secret tapissé de terre mouillée je suis la profondeur de l'arbre l'entre branches l'entre jambes Entre dans ma chambre noire pour y développer tes ... |
![]() | Il veut me prendre là, tout de suite, contre ce mur, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile, ses doigts flattent ma chatte mouillée lisse et enflée de désir pur, puis, me pénètrent, doucement, de plus en plus profondement. Impatient et pressé, Il relève ma robe, il glisse ses mains sous le nylon, entre mes cuisses brûlantes. Je m'ouvre et gémis, j'ouvre son pantalon, je degage sa queue, enorme, qui se deploie, et cherche sa voie ... J'ai à peine le temps de le guider, il me pénétre, d'un coup, il s'enfonce en moi, il se glisse dans mon ventre puissement, profondement. Il m'enfile, je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque et m'écarte encore pour mieux sentir cette queue qui m'incendie, qui me laboure, délicieusement, de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, écartée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues auparavant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble. Je l’accompagne par les contractions de mes muscles, le presse, Il ressort, pousse encore plus profondément. Je l’entends gémir et cela ne fait que m’exciter davantage. Il accélère ses mouvements vifs en moi et tape durement contre mes fesses ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, palpe mes seins, qu'il attrape en se penchant sur moi, il grogne, il jure, me mord le dos, et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir. Il s'enfonçe encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aide dans ses va et viens. Il arrive au point de non retour. Il accélere, Je le sens trembler et se figer au fond de moi. Il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre, pousse un cri rauque ... et explose au plus profond de moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Il gicle au fond de moi. Il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je perds pied, traversée par une vague de plaisir immense qui m'arrache un long murmure venu du plus loin de mon être. Je jouis. Je jouis comme on s'arrache. Comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie. Puis, les spasmes calmés, je le sens ramollir, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage, de fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. De ma chatte jusqu'à ma pensée. Son empreinte palpite là comme un feu entre mes cuisses. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous ses premieres caresses, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. Je suis completement épuisée et comblée. Il se glisse hors de moi, je ne fais rien pour le retenir. Il commençe à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, puis il se ravise, se rapproche, et me pénétre de nouveau. Je commençe de nouveau à réagir à ces intrusions ! il enfonçe en moi son sexe redevenu enorme, écartant mes chairs. je soupire quand il arrive au fond. il fait durer le plaisir. Il accélere, je n'en peux plus, Je me mets à trembler, un spasme violent me fige, de violentes secousses traversent mes entrailles. Il me regarde intensément, bloque son sexe au fond de mon vagin, et il fuse ... et se vide une nouvelle fois en moi, il n'en finit plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laisse pantois. En se retirant sa queue emet un indecent bruit de succion. J'ouvre les yeux et je constate tout ce que j'ai reçu de lui Je suis debout. Debout je marche au cœur des arbres qui se dressent. Debout comme mon désir en moi nourri déjà de toutes ces nuits passées et à venir qui se fondent. J'avance d'un pas sûr. Je sais. Je sais à jamais la brûlure du plaisir. Ses vertiges. Ses sommets. Son antre. Qui bat dans mon ventre et contre mes tempes. Je sais l'incendie et l'abîme. Plus de peur. Juste la vie. Et les bonds de mon cœur. | (E) Il veut me prendre là, tout de suite, contre ce mur, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un an ... |
![]() | J'attends tout de toiMes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je veux tout ton amour, qu'il s'incruste sous ma peau Et que mon âme fragile se mêle à la tienne. Abandonne toi à moi ! Laisse toi aller ! Profite des caresses de mes lèvres intimes. Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler. Offre moi ton corps, laissons parler nos sens Goutons notre plaisir, et jouissons ensemble ! Offre moi ta liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre. Onction bénie, abreuve moi de ta sève. Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois ! Ton corps vibre et se tend ! Viens vite ! Oui ! ... Je te sens ! Je sens ta sève chaude qui se repend dans ma chair en vagues chaudes Donne moi tout de toi et reste encore en moi Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondé de toi, C'est si bon ! Tu es venu sexe nu en moi, et c'était la première fois. Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, Tu es mon bel amant ! | J'attends tout de toi (E) Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je veux tout ton amour, qu'il s'incruste sous ma peau Et que m ... |
![]() | Ecoute mon corpsUn glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. --------------------------------------------------- Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. m'enfouir en toi et descendre, et descendre. Saisir ta bouche chaude, y introduire ma langue melanger nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent . Tissus qui se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. --------------------------------------------------- Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. --------------------------------------------------- Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. ----------------------------------------------------- Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. | Ecoute mon corps (E) Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je ... |
![]() | Un glissement onctueuxJe te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps. Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir grossir, durcir et t'allonger investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. --------------------------------------------------- Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. m'enfouir en toi et descendre, et descendre. Saisir ta bouche chaude, y introduire ma langue melanger nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent . Tissus qui se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. ----------------------------------------------------- J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi,dans un bruit de succion, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. | Un glissement onctueux (E) Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. le flux et le reflux, les vagues de plaisir, ... |
![]() | Il avait le visage défaitIl avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. - Nous nous laissons emporter ! Tu me troubles ! Ou cela va-t'il nous conduire ? J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait litteralement. Puis il a posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Je ne résistais plus, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits. - j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon attirance violente de ce jeune corps. je l'emmènais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui. Il s'est positionne sur moi, je l'ai guidé en moi et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front - Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon ! Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. - Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant .. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau. Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. | Il avait le visage défait (E) Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me su ... |
![]() | le baiserD'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lui donne un leger baiser sur le bord des lèvres, nos bouches se cherchent, se rapprochent, se trouvent, enfin, a l'abri des regards, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Je goûte ses lèvres douces et parfumées, c'est un baiser profond, sensuel, mouillé. je l’embrasse avec douceur. Je goute enfin ses lèvres délicieuses mélangeant mon souffle au sien. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes. Elle a les yeux fermés, est absente, Elle m’embrasse toujours, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau. Nos jeux de langues s'intensifient pendant de longues minutes. Nos lèvres se rejoignent. Accélérant les battements de nos cœurs. Je vole. Je rêve. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser ! Nos bouches se séparent une fraction de seconde. Puis elle m'offre sa bouche. Nos langues se cherchent un instant puis se lancent dans une course effrénée. Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il enfonce sa langue et la tourne lentement, doucement autour de la mienne. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Il m'embrasse avec fougue ... Le baiser est long. Il me lèche les levres, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. Il me suce, me mordille. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Nos baisers deviennent de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s'accélère. Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens. Je ferme les yeux pour mieux savourer, m'abandonnant à ce long baiser sensuel. | le baiser (E) D'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lu ... |
![]() | addictionElle se colle à moi et m’enlaçe ... Je tente de resister mais je bande, presque douloureusementJe sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser dans mon cou et une main qui vient tâter energiquementment mon sexe. J'ai le corps en feu. Elle aussi ! - Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle. - Je te sens bien mur ! ... Tu m'excites ! ... Baise moi ! Vite ! Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter sur moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse passionement, se colle à moi, elle m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta, je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagie, voilà que je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Je suis litteralement aimanté vers elle. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Je caresse d’abord doucement ses gros seins puis plus fort jusqu’à la faire gémir. je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi | addiction (E) Elle se colle à moi et m’enlaçe ... Je tente de resister mais je bande, presque douloureusementJe sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser dans mon cou et une main qui vient tâter energiqueme ... |
![]() | corps à corpsIl m'empale, il me pompe, il me traverse, il me baise, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça, moi aussi. Il m'excite, mes jambes tremblent, se serrent dans son dos, l'agrippent. Je me laisse dévorer, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne. Il aime ça, moi aussi. Je suis à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, il me fouille, il m'enbroche, puissement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est en moi, il gémit, il brame, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime. Nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos humeurs, de nos secretions, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Etre baisée jusqu'à l'épuisement ! Je me laisse aller, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. Il se colle à moi, m'offre la chaleur de son corps nu. il râle de plus en plus fort contre moi. Je réalise qu'il est sur le point de venir. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard, il arrive !.... Son corps entier bascule en avant, se contracte, se fige, il gémit, brâme ... et lâche ses premiers salves. Il jouit en moi, bloqué au fond de mon ventre ! Je suis au bord de l'extase absolue. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginable ! je sens son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches recommenent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. Un orgasme intense me gagne. Je cramponne ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je crie de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'est merveilleux et intense. Je sens le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui. Puis les décharges faiblisent. Je reste là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Je lui offre ma bouche et lui, ses derniers baisers, il m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime. Je suis bien. | corps à corps (E) Il m'empale, il me pompe, il me traverse, il me baise, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça, moi aussi. Il m'excite, mes jambes tremblent, se serrent dans son dos, l'agrippent. Je me laisse dévorer, j'implore le ... |
![]() | Nous sommes nus. Allongés au creux de la dune, à l'abri des regards, nous goutons le contact de nos corps humides, de nos peaux halées. Douces chaleurs épidermiques. Je la respire. Je la sens s’abandonner. Elle est liquide, légèreté. Je sens la chaleur humide de son plaisir, l’envie de moi, mon désir d'elle. Doucement, je m’introduis en elle. Elle frémit. Je glisse dans son ventre, ses yeux se ferment. Je me détends. Elle le sent. Elle me suce et m'aspire. Goût du vertige, je m'enfonce dans son ventre, profondément, je voyage en elle. les yeux fermés, je goute ses succions intimes. Elle me baigne dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendent. Je raidis, je me retiens, elle me souffle "Viens !", et, d’un souffle, je vide ma joie en elle. Elle se penche contre moi. me donne un baiser, elle sourit. Elle s’immerge dans mes sens sans égard pour mon désir. Elle hésite. Je ressens. Elle s’interroges. Je refais sans cesse ces secondes. Cela la trouble, la gêne. Cela m’envahit. Nos temps se séparent. | (E) Nous sommes nus. Allongés au creux de la dune, à l'abri des regards, nous goutons le contact de nos corps humides, de nos peaux halées. Douces chaleurs épidermiques. Je la respire. Je la sens s’abandonner. ... |
![]() | Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule Elle fait grossir mon sexe qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant. Elle se soulève, redescend, avale mon sexe. Ses beaux seins ballottent au dessus de mes yeux. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux, | (E) Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule Elle fait grossir mon sexe qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche ver ... |
![]() | L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger et mon sexe qui se tend. Je sens alors sur mon torse une langue caressante qui me fait frissonner. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s'enroulent. Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute. | (E) L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus ... |
![]() | fulgurances de plaisir.Ils m'ont carressée, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentaient à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur rêve qui prend forme, comment m'ensorceler me faire leur. Je suis belle. Où sont mes failles...? Je les avais, ce jour là, mis en transe, de ma souplesse sensuelle, de mon décolleté offert à leurs yeux gourmands, car leurs yeux, d'une même lueur ont lui: Moi, cette femme si désirable, ils allaient m'aimer. De concert, en symbiose, d'une même flamme, d'une même tendresse, des mêmes caresses ! Pour me porter au pinacle, (Cyr) Pour l'un j'e suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise. Le brun est impudique Le blond est angélique, mais les deux sont phalliques Comme deux soleils magiques, et tous les deux m'ont prise, et bien qu'ils soient ardents, j'ai comme le sentiment que j'ai tout le temps pour ces deux amants, car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop, mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut. Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour, et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent, et sortent, et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang. Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance. Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere, et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir ! Ils se pressent contre moi, émus, tremblant beaucoup, ils me mangent de baisers en me serrant le cou, tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, muette, je tends la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant) Lentement, ils jouent de mon corps, éveillant au désir, le grain de ma peau, caressant mes seins avec douceur, me faisant découvrir mille plaisirs, m'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, allant et venant, m'oubliant, pour mieux me faire vibrer, et revenir en vainqueurs, pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB) Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir, je me retrouve aux anges par les coups de reins de l'un qui s'aventure dans mes profondeurs, et l'autre qui vole soupirs et cris, tant la promenade de son ami lui fait voir mille couleurs. Alors je suce et aspire leurs boules, leurs glands et leurs pénis tout entiers ! A chaque passage sur mon clitoris, un frisson de délice. Lui parcours mon échine et me rend plus que jamais... féline ! En une galipette je présente ma douce ornière. Devant cet appel à la fête, lui, large et bien bandé, s'introduit et glisse au plus profond de ma sombre marée, et dans un cri comblé je reçois en ma vulve ouverte de Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. Une fois leurs deux tiges dans ma chaude chair, alternativement, et même, parfois, de concert, léchée, sucée, branlée Jusqu'à satiété ! De hi de han en va en viens, mes deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui m'encule et l'autre, qui dans mon ventre fond. Sur ma peau douce… caresses et passes, leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, se faufilent… Ça glisse…et coule ... fesses impasses… petite mort lasse… bouches et lèvres tracent et tissent un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ca y est ! Ils jouissent. (Prune) | fulgurances de plaisir.
(E) Ils m'ont carressée, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentaient à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur ... |
![]() | Nous etions desormais dans sa chambre. Sa robe de nuit, à peine fermée, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais deja en partie denudé à la suite de nos etreintes ardentes. Elle me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi. Ses seins tremblaient doucement sous la soie, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle regarda mes lèvres en les fixant de manière insistante, elle s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Son sein légèrement mobile tremblait sous mes yeux, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à repondre à ses caresses, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha encore et ses seins vinrent s'appuyer sur mon torse, mon sexe frottait contre son ventre, et durcissait à vue d'oeil ! Elle me regarda de nouveau fixement en s'écartant un peu, son corsage entr-ouvert, les pans de sa robe de nuit écartés. Son souffle chaud glissait sur mes épaules, dans mon cou. Ses lèvres effleuraient ma peau. Mes yeux fous plongait sur ses seins encore enveloppés dans la soie. - tu veux défaire mon soutien-gorge ! ... vas-y ! Ses mains saisirent les miennes et les conduisirent sur sa taille, et les firent remonter sur sa poitrine. Je passai mes mains dans son dos et dégrafai cette ultime protection qui se détacha d'un coup et libera ses deux seins opulents. elle guida mes doigts vers ses pointes sensibles, soupira. elle pouvait sentir le renflement de mon slip sur ses cuisses. Mes mains entourerent son corps pour saisir ses mamelons tendus, Elle gémissait, elle mouillait abondamment ! j'avais envie d'elle, elle avait envie de moi ! Elle prit ma main et la conduisit entre ses deux cuisses sur sa vulve trempée. Mes doigts palperent le renflement de sa vulve. L'étoffe de sa culotte de soie etait mouillée, ma main massa le tissu qui s'enfonca entre ses lèvres gonflées. Elle poussa son bassin à la rencontre de mes doigts. Elle soupira. Mes mains glisserent sous l'élastique de sa douce culotte de soie et entraînerent la fine lingerie sur ses jambes. Elle écarta ostensiblement les jambes, Ma main glissa sur ses bas, remonta, s'insinua de nouveau entre ses cuisses bien chaudes, Elle m'embrassa toute langue dehors, s'écarta, tira sur mon slip et me déshabilla. En quelques secondes je me retrouvai plus nu qu'elle. De la main elle saisit mon instrument, massa doucement mes testicules, écarta ses lèvres intimes, fit glisser mon gland sur sa fente, une fois, deux fois, la placa à l'entrée de sa vulve. Elle soupira, sa vulve se dilata, et mon mat se glissa tout naturellement en elle, il se lova dans son nid. Elle posa ses mains sur mes flancs et m'entraina en elle. Ses lèvres s'ouvrirent et se poserent sur les miennes. Ma langue vint dans sa bouche, lapa sa salive. Mes mains palpaient ses hanches, ses cuisses, griffant ses bas qui crissaient sous mes caresses. Je commencais à monter et descendre entre ses muqueuses trempées. Elle accélèra le rythme avec de petits mouvements. Je sentis la pression monter dans mes bourses pleines. Je ne pus me retenir plus longtemps. Je giclai des flux de ma semence dans son ventre. Mes gémissements spasmodiques s'apaiseront enfin. Nous restions un moment lovés l'un contre l'autre. Puis elle me prit par la main et m'attira dans sa chambre. Elle s'allonga sur son lit, en mettant sa poitrine en valeur. Je m'avançais alors et me penchai vers elle. Je saisis ses seins. Mes doigts caressaient, palpaient la chair tendre, J'ouvrai la bouche, gobais un sein, ma langue frottait le bout souple du mamelon, Elle serrait les poings. Mes lèvres se collaient sur l'autre sein, comme une ventouse. L'excitation la fit frotter ses jambes l'une contre l'autre. Ma langue relâcha son étreinte et descendit sur son ventre, fureta autour du nombril. Elle écarta ses cuisses pour m'inviter à poursuivre son chemin. Ma main se posa sur le renflement de son entre-jambes et commenca à en flatter la douce fourrure. Elle se mordit la lèvre. Son bassin fut pris d'ondulations incontrôlées. Elle était toute liquéfiée et les titillements de mes doigts brisaient ses résistances. Elle relèva ses deux jambes, offrant sa féminité impatiente. Je m'approchai, dardai ma sonde charnue entre ses muqueuses lubrifiées. Je m'enfonçai, poussant mon pubis à la rencontre du sien, j'entamai un va et vient onctueux. Elle soupira. Je la penetrai réellement, profondément! Elle se mordit la lèvre et contempla mon visage défait par la jouissance. Mon jeune sexe était en elle ! Comme une vague incessante, il polissait avec endurance l'anse de sa féminité. Ce ne fit qu'accélérer les choses ! Je sentis ses contractions vaginales, ses mains grifferent la couette, ses jambes ne lui obéissaient plus ! Elle halèta, plongée dans la ouate de son orgasme. Les tensions de son corps portaient mon excitation à son comble. J' accélèrai, je la baisai avec force, violence... je me crispai ! Elle jouissait! Ma semence de jeune mâle gicla en elle et nappa son intimité qui ondulait et la faisait ronronner de plaisir! | (E) Nous etions desormais dans sa chambre. Sa robe de nuit, à peine fermée, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais deja en partie ... |
![]() | Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, c’était jouer avec le feu. C’est ainsi qu'un soir je sentis ses lèvres contre les miennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse Puis, apres un temps de reflexion, Elle posa ses lèvres sur les miennes, Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense. puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ... - Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite ! Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu. Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. - Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, ce n’est pas parce que je ne t’aime pas ! .... bien au contraire ... - ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi ! J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse - Tu es triste ? .... Il ne faut pas ! Puis, apres un temps de reflexion, - Approche toi ! Elle posa ses lèvres sur les miennes, - Tu es satisfait ? Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense. - Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ... puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. - Continue ! ... Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça ! Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre - Viens ! .... Je suis prête ! Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude. - Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille - C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais ! Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. - Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, laisse toi aller, bien au fond de moi, aime moi et donne moi tout de toi ! - tu sais, à mon age, je ne risque plus grand chose ! .... Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. | (E) Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleur ... |
![]() | chaude soirée 1Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Elle tourna son regard dans ma direction, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation, ni brusquerie, j’entamai la conversation avec des banalités. Mais elle m'écoutait, réceptive, tour à tour grave et ironique. Elle disait se sentir bien ici. Car au moins on ne la jugeait pas. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien. Je lui faisais part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras et m'entraina sur la piste de danse ... Nous restâmes un bon moment enlaçés sur la piste, en silence, jusqu'à ce qu'elle me murmure dans l'oreille des mots que je feignai de ne pas comprendre. Je ne savais plus où me mettre. Elle poursuivit en se serrant un peu plus contre moi, trahissant du même coup une faiblesse que je m'efforcai pourtant de dissimuler. Elle se serra encore plus contre moi, Cela n'ameliora pas mon état ! Je voyais se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se faisaient plus sonores. J'étais comme ivre, elle ne quittait plus mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, Je m'appretais à me separer d'elle une fois la musique terminée lorsqu'elle me retint par la main s'approcha et me deposa un baiser sur les lèvres d'une longueur à me faire fondre ! Puis elle me souffla dans l'oreille: - j'ai vu assez de monde içi, je partirai bien maintenant ! Je feignai de ne pas comprendre, elle me souffla dans l'oreille, d'une voix à peine plus distincte: - je retourne dans ma chambre ... rajoutant d'une voix à peine perceptible: - tu viens ? .... Puis elle me prit la main et m'entraina vers le couloir. Nous nous sommes rapidement retrouvés dans le confort d'une suite luxueuse, dans une semi-obscurité. Les lumières de la rue éclairaient doucement la grande piece au travers des voilages. Je la buvais des yeux. Elle passa sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attira mon visage vers le sien. Puis nos visages se sont rapprochés un peu plus, et ce fut elle qui m’embrassa avec sensualité, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser fut long et humide. Je la desirai, et elle me desirait. Pendant que nos bouches et nos langues dansaient l'une avec l'autre, ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe, devoilant ainsi une fine combinaison de soie blanche à dentelles que je m'empressai de caresser. Puis elle defit un à un mes boutons et une fois mon torse en partie dénudé, elle s’approcha à nouveau de moi, plaquant ses mains sur mon torse. - tu es marié ? ... Tu es inquiet ? ... Mais tu en as envie ! ... et je te plais ! ... C'est vrai ? - alors ? ... pas de probleme ! ... ne penses plus à rien d'autre ! sans attendre, elle m'entraina avec elle sur le lit, Je n'en pouvais plus ! - tu viens ?... profites ! ... je suis toute ouverte, etroite et profonde, tu vas aimer ! ... Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Je tentai une demi-seconde de reprendre mes esprits, elle ne m'en laissa pas le temps, - Trop tard ! ... Tu es chez moi maintenant ! me manifestant ainsi avec un large sourire sa satisfaction - Et maintenant, laissons parler nos sens ... et baisons ! ... sans restrictions ! Je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui manifestais mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice dans ses douces moiteurs. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire - C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ? Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ... - Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite ! Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. - tu as été parfait ! .... un amant de rêve ! J'entrai dans ce salon immense, occupé par tous ce monde que je ne connaissais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... entourée d'une dizaine d'invités visiblement sous le charme. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser, Nos regards se sont télescopés, l'espace d'un éclair ... et, d'un coup, l'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, peut-être reciproque, qui traversait l'espace. il n'y avait plus personne il y avait deux êtres, deux désirs ... Temps suspendu. Ses longs cheveux noirs étaient retenus avec art. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... comment se capter l'un l'autre, la faire succomber. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. nouveau croisement de regards. Moment intense. Immobile violence. Elle était maintenant toute proche, une si belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, continuant à briller face à tout son entourage. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Nuque pâle, tête inclinée. Un decolleté genereux sur une gorge affolante, ne cachant que très peu de delicieuses poitrines qui tremblaient doucement sous mes yeux, au rythme de sa respiration. J'avais chaud. je ne crois pas que cela provenait de la température. Elle tourna une nouvelle fois son regard dans ma direction, me remarqua, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation ni brusquerie. Elle semblait s'attendre à ce rapprochement et finit par me sourire. Et quand nos regards se croisèrent enfin, quand je découvris son visage, j’entamai la conversation avec des banalités. Mais elle était réceptive, tour à tour grave et ironique. Elle disait se sentir bien ici. Car au moins on ne la jugeait pas. Puis, peu à peu, je lui fis comprendre que, contrairement à beaucoup, j’étais un homme bienveillant vis a vis des femmes. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur. Je lui faisai part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras, m'emmena un peu à l'écart et me fit cette remarque - Mais ... dites-moi ? Est-ce qu'au moins, je vous plais ? me lanca-t-elle avec un mélange d’impudeur et de retenue Elle me provoquait. De plus en plus gêné par une reaction physique inappropriée de mon corps, je tentais de la dissimuler jusqu'à ce qu'elle me souffle: - restez tranquille, on est pas bien içi ? ... Je me suis alors laissé aller à bander sans retenue. Je voyais se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Elle se rapprocha de moi en me soufflant quelques mots à l'oreille d'une voix à peine perceptible, comme si elle me confiait un secret. Faisant comme si je n'avais rien entendu, je la regardais, un peu déboussolé, je sentais contre moi sa poitrine se gonfler au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, ne sachant pas vraiment comment reagir. - cette soirée est très sympathique, vous ne trouvez pas ? lui demandai-je, un peu déstabilisé Elle ne quitta pas mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, et me reprenant fermement - Vous m'avez entendu ? insista-t'elle d'une voix à peine plus distincte, ... J'ai envie de baiser ! Je faignai d'avoir mal entendu. Elle se serra un peu plus contre moi. Je bandais sans retenue ! Elle dut le remarquer, j'eu à peine le temps de reagir en louant ses charmes mysterieux, qu'elle s'approcha un peu plus, passa son bras autour de ma taille, prit ma main et me souffla à l'oreille: - J’aime me sentir pleine du désir d'un homme. J’aime savoir votre esprit excité, - Ai-je des charmants dessous ? de soie et de dentelle ? ou peut-être rien du tout ? - Votre regard est brulant ! ... Non, ne rougissez pas ! - Vous eveillez des sensations troublantes sur mon sein. Mon corps déjà frémit sous le satin, - Votre douce odeur me grise et m'attire, et votre chemise entrouverte m'invite à tous les délires. - mes lèvres sont brûlantes de désirs ... Et ... Est-ce que j'ose vous dire ? ... - Mais .... venez ! ... Ne restons pas là .... Elle m’entraina alors dans la pièce voisine qui semblait inoccupée. Une fois isolés, a l'abri des regards, elle attira ma tête, glissa une main sur ma nuque et dans mes cheveux - Approchez ! ... J'ai un secret ... pour vous ! - Je suis la femme la plus profonde et la plus etroite dont vous puissiez rêver - Votre verge est bien longue et bien dure ! ... Venez donc vite me la mettre ! - Vous m'avez bien entendue ? J'ai envie d'être baisée ! là ... Tout de suite ! - Et je veux que ce soit par vous ! Puis, telle une ventouse, prit mes lèvres. Elle commença à m’embrasser sur la bouche, puis elle plongea sa langue à la recherche de la mienne. Si mes mains étaient avides de ses seins et de son ventre, les siennes n’étaient pas moins prestes à evaluer ma virilité. le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle me caressait la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre, melangeant nos salives ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Le frottement de la soie sur ses cuisses m'excitait ... Je glissais ma main sous sa robe, je relevai ses dessous et atteignai ses tresors.... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Le temps s'arrêta ... jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle me fusilla du regard: - Je n'ai rien sous ma robe ! ... Viens vite ! Sans attendre et dans la fièvre je relèvais sa robe, tendis qu'elle ouvrait mon pantalon. Adossée contre la cloison, ses jambes enlaçant mes hanches, je la penetrai naturellement, sans effort. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. - Mets la moi bien profonde ! Que je te sente bien glisser dans ma chair ! Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Elle se donnait peu à peu, et gémissait pendant que je la conduisais au plaisir. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait ... - Plus vite ! ... Bien au fond ! ... Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. - Maintenant ! Viens vite ! Décharge ! Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule... - C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ... Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder. Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit | chaude soirée 1 (E) Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. ... |
![]() | A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sens à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Elle ne fait rien pour nous calmer, - Ils discutent. Nous avons tout le temps ! Mes mains remontent rapidement sa robe puis ses dessous de nylon, jusqu'à sa taille. Tout se precipite ! Je suis maintenant totalement sous son emprise, à sa merci ! Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose. Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living. - Oh c'est bon ! ... Merci ! Sa voix est chaude et un peu rauque. Elle s'étale sur toute la surface de mon corps, telle une mante assoiffée. Elle me fixe, gourmande, predatrice. Elle se colle à moi, saisit mon visage, me prend la tête, mon sexe qui se lève entre ses lèvres ouvertes, quelques frottis frotta, et je le sens aspiré. Je la penetre, elle m'engloutit, elle me suce, se laisse glisser sur mon mat dans de jolis bruits liquides. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne contrôle plus rien, je me déchaîne, je me lache ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi Elle se cambra et d’un coup de rein, elle aspira mon sexe, l'absorbant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud. - Prend mes seins ! Caresse les ! A pleines mains ! - Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur ! Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption - Non reste ! Bien au fond ! ... Et conclue ! Vite ! Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Elle resta là devant moi, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. Le repas de travail avec ses associes s'était prolongé, les discussions s'animaient. Je regardai discrètement la patronne qui semblait s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. Vetue d'une enveloppante robe noire moulant des seins généreux qui remuaient au rythme de sa respiration. Des seins lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie, une belle femme. Elle me fixait depuis un moment, elle me provoquait. il faisait chaud. J'étais en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle s'était alors lèvée, était venue vers moi et m'avait glissé à l'oreille: - pendant qu'ils discutent, Venez, je veux vous montrer quelque chose ! Je m'étais lèvé en m'excusant, et je l'avais suivie dans le couloir. Arrivés dans une alcôve, elle s'était retournée brusquement, s'était pressée contre moi, s'était frottée sur moi, puis m'avait embrassé sur la bouche. son parfum était intense, Je restai un moment sans réagir. Elle appuya ses caresses. elle semblée déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient. - J'ai vu votre regard ! Vous m'avez donné faim ! Elle avait alors ouvert une porte derrière moi, et m'avait poussé sur le grand lit, puis s'était étalée sur mon corps. Elle s'est alors jetée sur moi, se frottant contre moi, écrasant ma tête entre ses seins. Puis elle avait pris mes mains et les avait dirigées vers elle. | (E) A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sens à travers, mon pantalon, mon sexe déj& ... |
![]() | dans la piscineUne ondine, seule, troublante, et entièrement nue dans l'eau claire de la grande piscine de l'hotel. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Les derniers baigneurs sont partis. Nous restons seuls, face à face. Elle me nargue subitement, elle se rapproche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois. - C'est pour moi tout ça ? Cette belle plante a des formes à faire bander tout un monastere. Je suis toujours contre elle dans la piscine, elle me colle litteralement. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies qui me provoquent. Je continue à bander sans détour. Elle se colle alors franchement contre moi. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Elle branle mon mat, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe, - Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir ! Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps - Et maintenant ... Lache toi ! Viens ! Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit, - J'ai encore faim ! En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… Puis elle se relève, prend ses affaires sort de la piscine au moment - Tu me rejoins sous la douche ? | dans la piscine (E) Une ondine, seule, troublante, et entièrement nue dans l'eau claire de la grande piscine de l'hotel. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes d ... |
![]() | corps et decorIl a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale Il émerge en general vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit les seins, guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une pointe de sein dressée. Ses regards obliques, effleurent furtivement le miroir reflétant son triomphe, de face, de profil, dur et tendu. Très fier de sa verge qu’il exhibe comme un trophée, comme s'il était le seul mâle du quartier à en posséder une. Et moi, désapée, collée, plaquée, ses doigts partout à m’explorer, me fouiller, m’évider, mêlant sa salive à mes humeurs intimes, avant de me pénétrer sans ménagement et de se répandre en moi toujours trop vite. Insatiable, il veut ressusciter aussitôt. Je dois le revigorer des mains, de la langue et des lèvres, il entre dans ma bouche, explore ma gorge à satiété. Depuis peu, je garde la tête froide quand il me baise. Je ne ressens plus ces tremblements, cette fièvre, cet embrasement à en perdre le souffle. Collée sur le lit, désincarnée, je nous observe, je regarde son corps lourd et pesant s'activer sur moi, sa peau mate entre la paleur de mes cuisses, je sais exactement ce que j’aime ou déteste dans ce corps à corps énervé, brutal, qui me livre comme une poule déplumée à son bon vouloir. Toutes ces impressions, toutes ces question refoulées qu'on a empêché d'affleurer, ces mots qu'on n'a pas osé traduire en son par peur de s'entendre les dire. Cet homme ne consent à partager que son égo. il ne sait rien de ma réalité, de la consistance de ma vie, de mon corps de ma chair, hors de cet espace où il tire de moi son plaisir sans plus se soucier du mien. Me prendre par tous les bouts lui suffit, me fourrer, me planter. Oui, me planter comme un décor. La mer s'est retirée, l'amour, la passion, le désir ont fui, disparus, emportés dans le ressac de ma tourmente. Il faut que je m'en aille sans même chercher à expliquer, que je m'arrache le plus vite possible, comme un sparadrap sur une couenne poilue, d'un seul coup vif et sec !! C'est à mon tour de le planter ! | corps et decor (E) Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'int ... |
![]() | D’un coup de reinD’un coup de rein, il est rentré en moi, il s'est enfoncé au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations intenses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. | D’un coup de rein (E) D’un coup de rein, il est rentré en moi, il s'est enfoncé au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapiss&eacu ... |
![]() | Mme la baronneC’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle, les cheveux soigneusement arrangés sous un vaste chapeau, sa robe d’été legerement transparente, rabattue sur d'admirables cuisses. Gardant ma main gauche sur l'accoudoir, l'autre sans vraiment m'en rendre compte, effleurait sa cuisse, la caressai doucement. Le constatant avec malice, elle me souria, se décala un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle devint un peu plus court. Tandis qu'elle me regardait avec une intensité inhabituelle, je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle, sur sa jambe, un moment, puis plus loin, entre ses deux jambes, Je m'aventure, Elle m'encourage. je glisse une main moite et tremblante. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Ma main s'égare sur la cuisse, encore couverte du tissu soyeux d'une douce combinaison, nouvelle barrière infranchissable ... Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle glisse dejà sous sa robe, vers des endroits plus secrets, elle me suggere alors de manière on ne peux plus explicite, de poursuivre plus avant cette tendre intrusion. Ma main glisse sous le tissu, au contact de sa peau douce ... et chaude. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts tentent d'épouser la forme ... le tissu gêne, les cuisses s'écartent, se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir. Mes mouvement se font legers, puis de plus en plus precis, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, encourageant sans detour mes douces incursions. Oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait, elle semblait apprecier ce traitement. Prise d'une serie de legers spasmes, elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant ses cuisses sur ma main, son entre-jambe suait d’excitation… Je me penchai vers elle et l'intensité de son parfum mêlé à son odeur de femme m’excitait moi aussi de plus en plus. Comme mes mains remontaient le long de son entrejambes, sous sa jupe à la recherche d’autres endroits plus intimes, elle agita son bassin, elle glissa une main entre mes jambes et testa ma vigueur devenue insolente. j'étais mur ... et elle aussi. Desormais, j'en voulais plus, elle en voulait plus, et elle me le fit comprendre. - je connais un petit hotel à deux pas d'ici ! ... Qu'en dites-vous ? ... Nous primes congé du chauffeur au bas de l'hotel. A peine la porte de la chambre refermée, elle m'attira à elle violement en me fixant avec un sourire carnassier. la suite ... Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et fine culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le parquet, au bas du lit, nous etions desormais nus l'un contre l'autre, fous de désir, avides de nous assouvir l'un dans l'autre. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, violemment. J'ai pénètré son corps sans attendre, d'un coup. Elle m'aspira en elle avec gourmandise, ses chairs se distendaient. Je la tenais par les hanches et elle m’accompagnait. Elle mouillait de plus en plus sous mes coups, des gémissements contenus. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je me sentis gonfler et grandir dans son ventre. Elle frissonnait, elle tremblait , elle montait, irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, elle me suçait, me serrait, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquerent une forte houle de sensations dans nos deux corps. Je continuai à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux. Son plaisir s’annoncait, elle allait jouir d'un instant à l'autre, puis, tout son corps fut ébranlé, je sentis ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressortais. C’était violent, le plaisir nous envahissait, balayant tout sur son passage. Tout son corps se mit à vibrer. Elle tremblait, se contractait, elle jouissait. Un gigantesque frisson se mit a l'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans sa nuque, je sentis ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond d'elle. C'en était trop, je n'en pouvais plus. D’un coup de rein, je m'enfoncai au plus profond d'elle, en poussant un long râle, je m’immobilisai, je me crispai, je ahanai, les yeux rouges et exorbités. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout mon corps se tendit, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascula en avant, s'enfonçant tout au fond, gemissant très fort,je me suis figé avec un regard vitreux, et j'ai lâché mes premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et je giclai en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répandait et inondait son ventre, La seule chose qu'elle faisait était de cramponner mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continuai de me lâcher. Je ne pouvais pas croire que j'en avais tellement en moi. Je retombai lourdement sur son corps, et restait affalé sur elle, amorphe... je l'avais remplie. Ses hanches ont recommencé à onduler contre moi sans qu'elle cherche à les contrôler. J'eu alors eu un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissaient, elle restait étendue là, comme dans un rêve éveillé, s'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. puis je m’immobilisai au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Je jouissai encore en elle. Elle jouissait aussi, une douce brûlure. | Mme la baronne (E) C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle ... |