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dans la remise 1


Ses seins pointaient sur mon torse. Le contact de mes mains sur son corps m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentis rougir. Elle pouvait sentir tres nettement contre elle le relief explicite de mon envie d'elle, et elle commençait sans gêne à se frotter contre moi. Je caressais doucement ses hanches, frottant legerement mon bassin contre son ventre. Je bandais de plus en plus contre elle, ce qui ne faisait que l'exciter davantage. Puis je remontais mes doigts sous sa fine combinaison qui crissait doucement. La chaleur de mes mains sur ses seins, sur ses hanches, ne firent qu'exacerber mon attirance pour elle. Elle me laissait faire.

Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je tentais vaguement de reprendre une certaine distance lorsque, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. il me fixa tendrement, sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il recommenca ses caresses sur mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je me surpris pourtant à caresser son torse. J'ai senti alors sa main chaude qui remontait sous ma combinaison. Le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. il commençait à me caresser l'intérieur de mes cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. C'était vraiment bon. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu dejà trempé. Deux caresses intimes, J'ai étouffé un gémissement. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de ma fine culotte de soie, Sa main effleurait mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, puis s'introduisirent, un de ses doigts penetrait mon intimité. je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main, puis ... je retombai ... inerte, en sueur.

Apres avoir repris mes esprits, je le regardai, un peu perdue et desemparée. Il avait ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, puis il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et, rapidement, sa main repris ses caresses sur mon corps, sur mes seins, Il promenait sa main sur mon ventre, puis continuait à me masser la vulve. je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir.

Je le regardais s'occuper de moi, J'avais terriblement envie de lui, de son corps puissant, je le désirais, violemment. J'étais toute chaude et trempée, puis il s'est allongé un peu plus sur mon corps, c'est à ce moment que j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches. Puis il commença à pousser en moi le gland. Il me penetra lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. Je résistais, tres mollement ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. Je sentais son membre grossir de plus en plus, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Il chercha à me rassurer mais mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression dans mes chairs.
dans la remise 1 (E)
Ses seins pointaient sur mon torse. Le contact de mes mains sur son corps m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentis rougir. Elle pouvait sentir tres nettement contre elle le relief explicite de mon envie d'elle, et elle commen&cce ...

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fièvre


hôtels de circonstances. Chambres vite réservée. Corps en manque de caresses. Couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse. Enfilade de portes closes sur des vies en voyage, le son étouffé de la ville qui fait se sentir hors du temps.

Isolés enfin dans la chambre, ils se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. De ses mains douces, elle lui caresse l’échine, il vient à elle, il vient sur elle, il vient en elle, il se laisse glisser doucement dans sa chair, puis bien plus vite, pénétration. elle se cambre sous ses assauts répétés et répétés encore, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et elle jouit, il hurle son bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. Il a une belle générosité, elle l'en félicite et lee remercie en se jetant sur sa queue, elle veux le goûter, le sentir d’encore un peu plus près. Après l'avoir pompé au fond de ses entrailles, elle lui offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore sa belle queue, elle ouvre grand, très grand sa bouche, et elle lee branle. Il jouit, son sperme coule sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte. A peine remis de ces ébats, elle me laisse en plan
Elle est déjà parti faire couler un bain. L’eau bienfaitrice réchauffe sa peau, délie les dernières tensions. Puis nos deux corps à l’unisson dans la mousse onctueuse entament un ballet aquatique. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que ce client-ci tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs. Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue.

Louise Gabriel


Chambre 132, on ne perd pas de temps: elle attrape mon bras, jette son sac au sol, dégrafe son corsage, me presente son sein, me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffée, affamée, mordante. Elle disperse un à un ses vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'au lit où elle m'entraine febrilement. Elle aime ça et j'aime qu'elle aime.
Elle m'embrasse, de plus en plus fort, de plus en plus loin ... Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre papillonner, mes jambes tremblent déjà. Nos baisers sont plus doux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Elle s'abandonne à moi. j'aime ça et j'aime qu'elle aime.
Elle pose ses mains sur son torse déjà nu, les descends jusqu'à la ceinture, defais un à un les boutons de mon pantalon. Elle voyage sur moi au gré de son envie, sur mon dos, mes fesses, mes cuisses, puis, l'objet de son désir, mon sexe, saillant et tendu sous le boxer. Elle ôte la dernière barrière pour enfin mettre sa bouche sur ce vît
qui attend les caresses de sa langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Mes bras la retournent, elle croise mon regard dans le miroir. la voilà à ma merci, mes mains puissantes et douces sur ses hanches, elle sent ma quête, je la trouve enfin, mon sexe la pénètre lentement, le miel de son jardin s'écoule jusqu'en haut de ses cuisses. Je suis derrière elle, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Elle aime que je lui dise et j'aime qu'elle aime.
À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement ! Elle se laisse aller, elle tombe près de moi, elle se colle à moi, nos cœurs battent, vite, très vite, je l'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...
Je me lève, allume une cigarette, le moment qu'elle choisit pour partir. Elle reprend le même chemin, à l'envers, elle retrouve ses dentelles, sa robe, son foulard, les enfile un à un, et elle arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver msn quotidien. Doucement j'arrive derrière elle, me colle à elle, la chaleur de mon corps nu, elle se retourne, elle m'offre encore sa bouche et moi, mes derniers baisers. Je remets mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime.
Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! »
Je suis bien.



Isolés enfin dans la chambre, nous nous trouvons, avons besoin l'un de l'autre. De ses mains douces, elle me caresse l’échine, je viens à elle, je viens sur elle, je viens en elle, pénétration, elle se cambre sous mes assauts répétés et répétés encore. Je glisse doucement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et je jouis, et hurle mon bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. J'ai une belle générosité, elle m'en félicite et me remercie en se jetant sur ma queue, elle veux me goûter, me sentir d’encore un peu plus près. Après m'avoir pompé au fond de mes entrailles, elle m'offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore ma belle queue, ouvre grand, très grand sa bouche, et elle me branle. Et je jouis, et mon sperme dégouline sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte. A peine remis de ces ébats, elle me laisse en plan
Elle est déjà parti faire couler un bain. L’eau bienfaitrice réchauffe sa peau, délie les dernières tensions. Puis nos deux corps à l’unisson dans la mousse onctueuse entament un ballet aquatique. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que ce client-ci tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs. Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue.

Louise Gabriel
fièvre (E)
hôtels de circonstances. Chambres vite réservée. Corps en manque de caresses. Couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse. Enfilade de portes closes sur des vies en voyage, ...

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Mathilde et Benjamin (version allégée)


Mathilde était mon professeur de violoncelle, c'était une très belle femme malgré ses 50 ans. Plutot reservée et austère dans ses tenues , j'avais pourtant discerné en elle une beauté particulière faite de charme à discrétion. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop enveloppantes, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte ... Il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, j'imaginais Mathilde juste revêtue d'un jupon de tulle noir, ne jouer que pour moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules de danseuse d’opéra. A la vérité, je ne lui avais jamais avoué que ses cours étaient un faux prétexte visant à dissimuler le désir d'un rapprochement plus intime.
Et ce soir là, nous fetions la fin des cours, était-ce in signe de sa part, elle m'était apparue chez elle rayonnante de séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une poitrine genereuse et troublante. Mais toute sa séduction résidait dans le choix de sa robe plus legere, moulant à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je devinais que sous le tissu noir moiré se cachait le somptueux corps d'une belle femme, prête, j'en étais convaincu, à être aimée.
Mathilde, semblait émue par mon regard. J'en avais baissé les yeux, profondément troublé par ce qui était en train de se passer entre nous.

Nous nous sommes regardés un moment. Puis, osant l'insensé, j'avais passé mes doigts dans ses cheveux. J'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules. Elle m'en voulu un court moment, mais je vis que les joues de Mathilde s’étaient empourprées. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Mathilde, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage soyeux, qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps, et qu'elle semblait s’abandonner doucement.
Il y a si longtemps m'avoua-t'elle. Elle avait bien eu un ou deux amants, mais rien qui n’imprime son cerveau de souvenirs frappants. Et moi, ce jeune homme audacieux, je ranimais, sans son consentement à priori, un trouble sensuel dont elle avait oublié jusqu’à la signification. Au fond, elle espérait peut-être que je franchisse ces limites.
Perdue dans ses égarements, elle semblait absente lorsque, dans son cou, elle avait ressenti ma bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Les frissons léchaient maintenant ses jambes, de ses chevilles fines jusqu’en haut de ses cuisses. Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin trublion.

J'avais enrobé Mathilde de mes bras. elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques, puis elle m'avait embrassé avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune des respirations de Mathilde, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé une troublante gourmandise de dévorer ses seins.
Avec une douceur presque féminine, j'avais défait un à un les boutons de son corsage, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses belles dentelles intimes ...
Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais mon effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle en avait tout oublié, la différence d’âge n’était plus une barrière.
Elle savait dans mon regard qu’elle allait m'aimer, moi ce tendre jeune homme si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas, je lui avais clamé mon désir d'elle.

Elle avait écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte dont j'avais si souvent rêvé était en train de se donner à moi, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était encore malhabile, imprégnée de désir et de timidité, mais les yeux de Mathilde, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle si volubile, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses.

M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité que j'interprétais comme un signe d'encouragement, alors même que Mathilde, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. Elle m'offrait son corps en m'avouant qu'elle aussi elle me désirait, et bien plus que je ne le pensais m'avoua-t'elle.

La si respectable Mathilde, venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore, tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Elle avait envie de faire l’amour, de s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle voulait aussi désirer et être désirée.
Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté. Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi.

C'est alors qu'elle me fit signe de venir la rejoindre. Sans attendre plus longtemps, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Elle me demandait de me perdre en elle, me noyer dans sa source, l'aimer sans restriction et lui donner tout de moi !
Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, m'unissant à Mathilde, désormais ma maîtresse adorée. Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Mathilde se révélait bien plus amante que je n’y croyais.
J'avais emporté Mathilde à moitié nue dans mes bras et l’avait déposée amoureusement sur le lit défait. Avant de se lover contre moi, elle m'avait délicatement défait ma chemise, puis me l'avait ôtée en faisant glisser ses mains fiévreuses sous le tissus de coton. Nous nous étions allongé tous les deux, nos membres enchevêtrés, nos peaux et nos odeurs mélangées, et Mathilde avec tendresse et sensualité avait laissé longtemps ses doigts parcourir la ma poitrine. Elle aimait ces moments de tendresse qui succèdent à l’impétuosité de la jouissance, puissante, démesurée. Elle aimait ce silence qui s’instaure alors, où l’on peut entendre à nouveau les battements des cœurs s’harmoniser. Elle avait savouré ces instants comme un vrai bonheur presque insolite.
Emu par cette maîtresse femme redevenue enfant, je caressais les cheveux déliés de Mathilde, de la tendresse au bout des doigts.
Mathilde et Benjamin (version allégée) (E)
Mathilde était mon professeur de violoncelle, c'était une très belle femme malgré ses 50 ans. Plutot reservée et austère dans ses tenues , j'avais pourtant discerné en elle une beauté ...

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aventure d'un soir


Nous sommes assis, face à face, sur la terrasse de l'hôtel, sous un doux clair de lune. Je lui parle ... de tout, de rien, elle m'écoute avec attention, comme si elle buvait mes paroles. Elle semble empruntée, émue, fascinée par mon regard ... Assis face à face, nos genoux sont au contact. Elle ne fait rien pour éviter ce contact. Vais-je plus loin ?
Tout en continuant à parler, mes yeux dans les siens, comme pour appuyer mes propos, je pose gentillement une main sur son genou dénudé. Elle me laisse faire. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu. Son regard devient étrangement brillant, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Tout en parlant, une de ses mains se pose alors sur la mienne semblant m'encourager à poursuivre. Ses yeux brillent un peu plus. Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact d'une peau douce ... et chaude.
- Vous m'excusez, mais je dois aller me coucher. Je crois que c'est plus raisonnable. Demain je dois me lever tôt
Et elle se lève, se penche vers moi, et me dispense un long baiser sur mes lèvres avant de s'eclipser. Je reste là seul, un peu déconfi et surtout déçu de voir s'achever si tôt une soirée qui s'annoncait prometteuse. Je m'installe au bar ppour prendre un scotch à titre de consolation d'un contact trop rapude. C'est alors que mon telephone vibre .... un message couyrt apparait sur l'écran: :
- je suis partie un peu precipitemment, je m'en excuse ! ....
- si vous voulez ... je ne suis pas encore couchée ! ...
- chambre 132 ... je vous attends ? ...
J'arrive devant sa chambre, elle m'ouvre avec dans les yeux une lueur de culpabilité,
- on s'est quittés trop vite tout à l'heure ! ...
Elle me fait rentrer en me prenant la main et referme aussitôt la porte derrière moi. Nous nous sommes face à face, les yeux dans les yeux, elle approche tres doucement son visage, puis tend ses lèvres en regardant les miennes. je m'apprete à lui dire un mot, elle ne m'en laisse pas le temps, ses lèvres se collent aux miennes, c'est un premier baiser. Sa langue fraîche et un peu maladroite, comme la mienne, se rejoignent. Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent dans son dos, encore couvertes du corsage de soie. A travers le tissu soyeux, le léger relief du soutien-gorge. Nos corps sont au contact, se cherchent, s'électrisent. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? C'est elle qui prend les devants. Ses doigts glissent sur ma chemise, défont un bouton, puis un autre, un à un, j'ecarte doucement son corsage. Je suis sous le coup de l'émotion, le chemisier s'ouvre. Vision et découverte d'une splendide gorge, mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se dévêt pour moi, ou les épaules nues, légèrement en avant, ou cette poitrine qui va se libérer, pour moi.
Ses lèvres se recollent aux miennes... Ma main, encore timide, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre. Descente vers un ventre chaud. Jeu de doigts. Découverte des corps. Charme du contact peau à peau... Exaspération des nerfs, des sens. Et nos bouches qui se soudent. La robe qui se relève sur les cuisses. Jambes qui s'écartent, culotte de soie qui glisse discrètement, Tension extrême dans mon pantalon... je tente de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques où son corps apparaît nu, vulnérable.
Ma main tremblante avance vers ses flancs, vers le ventre, peau de pèche, velouté. Contact soyeux avec la peau douce. La main glisse et s'égare, les cuisses s'ouvrent. Les doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espéré, tant convoité. Ici, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terrain inconnu.
Raidissement soudain du corps feminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regards dans les yeux. Continuer ? C'est elle qui le demande c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. Elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure blonde. Ses bras m'enserrent, m'étouffent presque. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse.
C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent.
En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore. Elle joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure. Elle reprend son souffle et teste la vigueur de mon désir. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle me rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse...

Puis elle s'ecarte de moi, ouvre le lit s'y installe en me fixant toujours du regard, comme une invitation, un appel. Je la rejoins, Me voilà nu contre elle ... Je glisse sur elle, le feu a pris naissance entre nos jambes. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud.
D'un simple regard brillant, elle me signifie qu'elle est prête, qu'elle m'attend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses s'ouvrent et se ferment comme un appel. Elle s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Ses mains se calent sur mes fesses et m'attirent vers elle. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles appuient, m'incitent à m'avancer. Mon sexe est en contact avec le sien. Douceur d'un sexe feminin dejà ouvert et bien humide et comme par enchantement il trouve le chemin. Délices de ce premier frôlement intime de mon corps avec le sien, ses mains m'incitent à aller plus loin. Lentement, je glisse en elle. Son ventre me parait immense et insondable, Elle est comme extasiée, offerte, les jambes écartées. Elle frissonne doucement. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fait réagir … La jouissance arrive. Nos corps sont pris simultanément de secousses convulsives qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Ma sève chaude s’écoule dans son jardin secret… Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Dans un murmure un peu essoufflé, elle me supplie
- Vous restez avec moi ? ... Merci !
nous nous sommes serrés l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. Je m'en souviens comme si c'était hier.
aventure d'un soir (E)
Nous sommes assis, face à face, sur la terrasse de l'hôtel, sous un doux clair de lune. Je lui parle ... de tout, de rien, elle m'écoute avec attention, comme si elle buvait mes paroles. Elle semble empruntée, &ea ...

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Angela


Nous etions desormais entierement nus l'un contre l'autre, nos peaux glissant l'une sur l'autre. Ses seins s'épanouissaient mollement contre mon torse. Elle écartait doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, profondement, par incursions successives. Elle m'accueillait en elle de maniere suave, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrai doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre. Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant cherchant son accord pour poursuivre...
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps... Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser. Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir. Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
Angela (E)
Nous etions desormais entierement nus l'un contre l'autre, nos peaux glissant l'une sur l'autre. Ses seins s'épanouissaient mollement contre mon torse. Elle écartait doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en ...

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- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? ....
- alors, soyons fous !
Doucement, elle enveloppait ma fieté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait, je me complaisaîs avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Tu aimes ? ....
- Je te sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixait avec des yeux humides. Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquietes pas, je ne risque plus rien !
- tu peux jouir en moi ! ... Bien au fond ! ... ça me fait plaisir !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Viens ! ... Viens vite ! Inonde moi ! Remplis-moi de toi ! Donne moi ta sève ! toute ta sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.

(E)
- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? ....
- alors, soyons fous !
Doucement, elle enveloppait ma fieté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait ...

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Tu aimes ?


Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend, me regarde avec des yeux troubles. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle pousse un grand soupir, Je me sens aspiré. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, elle savoure ses propres sensations et les miennes.
Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.

Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Je m’enfonce loin en elle, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Le trait m’échappe .... et je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme.

Tu aimes ? (E)
Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend, me regarde avec des yeux troubles. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Le ...

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jouissance


Nos vêtements eparpillés dans la pièce, nous sommes nus l'un sur l'autre, fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre. Ses jambes enlaçant mes hanches, elle me chevauche en me fusillant d'un regard humide. Je me sens iaspiré dans son ventre chaud, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité douce, je glisse avec delice dans sa douce moiteur. Elle me regarde avec des yeux troubles. Elle s'empale, et glisse lentement sur mon sexe l'enfouissant profondement dans ses tendres muqueuses. Elle glisse sur mon mat en se faisant plaisir, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir, elle m'aspire en elle avec gourmandise, ses chairs se distendent. Elle soupire en jouant du mouvement de balancier de ses deux belles poitrines sous mes yeux, elle me mange du regard tandis que ma verge se love dans son nid humide et chaud.
- Tu sens ? ... C'est agreable ? ... tu es chez moi maintenant !
- Tu m'habites ! ... Je ressussite !
Mes mains palpent ses cuisses, ses hanches, ses seins, griffant ses bas qui crissent sous mes caresses. Elle commence à monter et descendre le long de ma hampe. Tout en me fixant avec des yeux humides, elle s'empalle doucement sur mon mat.
- Laisse toi faire ... C'est si bon ... Tu es bien ? ....
- Donne moi tes lèvres !
Elle m'offre sa bouche. Nos langues s'enroulent, nos salives se melangent, nos corps s'agitent, et, plus bas, tel un poulpe, elle aspire mon sexe, elle m'absorbe, elle m'avale. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. je m'enfonce loin en elle, et remplis son vagin, je m'y complaîs comme dans une bain mielleux. Je la tiens par les hanches et je l’accompagne. elle mouille sous mes coups. Gémissements contenus. Ses lèvres cherchent les miennes, elle attrape ma bouche. Elle me sent la fouiller, la remplir. La sensation est puissante, suave, elle se propage, s’éteint, renait, nous sommes emboités l'un dans l'autre. Elle en veut plus
- fais le moi bien gros et bien long ...
Elle s’empale tout au fond, effectue des mouvement de bassin pour bien m'encrer en elle. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger, son odeur est sur mes lèvres, une odeur animale, ensorcelante. Ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux.

Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs. Elle m'aspire, me tire, me pousse en jouant de son corps.
- Et comme ça, tu aimes ?
Elle souleve son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, elle se donne du plaisir. je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se frottent l'un contre l'autre. J'entends les bruits mouillés causés par les mouvements de son corps sur mon sexe bandé. Elle ondule du bassin, monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je glisse dans du beurre, je suis au paradis, je sens les legeres contractions de ses lèvres intimes sur les parois de ma verge prete à exploser. je sens ma verge se contracter,
- Non, pas encore ! ... je te veux encore plus gros !
je pousse mon bassin en avant. Elle continue à se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi exacerbe ma vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre,
- Attends ! ... je veux que nous jouissions ensemble !
Empalée à fond elle remue pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants. Sa frénésie redouble. Elle s’enroule, se défais, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle est en sueur, elle veux jouir, vite. Elle joue des contractions de son vagin sur mon gland qui la fouille. Elle se déchaîne soudain, ses seins ballottent de droite à gauche, puis, elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Elle me fusille du regard
- Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte en moi, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent, se contracte et .... je me lache ! je laillis ! je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Je jouis à n'en plus finir au fond de son ventre. Le doux clapotis de nos sexes emboités amplifie ma puissante éjaculation. Ses sécrétions sont abondantes. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont humides de plaisir. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres,
- Suçe les ! Ils ont besoin de tes lèvres ... palpe-les bien ... ils aiment tes mains chaudes !
Et Je jouis une deuxième fois, et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle digere mon gland qui trempe dans mon sperme.
- Tu as été magnifique !
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournons à la réalité.






Je le fixe des yeux et doucement, je m'empale sur lui, je l'absorbe, il s'enfonce en moi, et remplit mon vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Je suçe sa verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Je m’empale tout au fond. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger, son odeur est sur mes lèvres, une odeur animale. Mes deux seins se balançant de manière provocante au dessus de ses yeux. Je sens sur ma vulve ouverte et trempée, son sexe qui se tend. J'offre ma vulve à son dard. Je me frotte, me soulève, redescend, ondule. J'excite son sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans mes chairs. Je l'aspire, le tire, le pousse en jouant de mon corps. Mes beaux seins ballottent au contact de ses lèvres, nos langues s'enroulent. Ma frénésie redouble. Je suis en sueur, je veux jouir, vite. Je joue des contractions de mon vagin sur son gland qui me fouille. Je viens de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes. Je m’enroule, me défais, plonge, me retire. Je le serre et le dévore, littéralement. Il râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Je me penche vers lui. Ses yeux sont humides de plaisir. Je me raidis soudain et, dans un long spasme, je me laisse aller à l'orgasme. Mon corps convulsé déclenche son propre orgasme: Il s’enfonce en moi, loin, très loin. Un trait monte en lui, puissant et massif. Un frisson. Je le sens. Le trait lui échappe ... il se libère en moi, sans retenue. Il gicle par spasmes riches et généreux. Je suce et aspire sa queue qui se vide. Je suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je digere son gland qui trempe dans son sperme.
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, ma tête dans le creux de son épaule, il est complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournons à la réalité.
jouissance (E)
Nos vêtements eparpillés dans la pièce, nous sommes nus l'un sur l'autre, fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre. Ses jambes enlaçant mes hanches, elle me chevauche en me fusillant d'un regard h ...

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Elle me serra dans ses bras avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à la penetrer plus franchement ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à gemir, la bouche ouverte, haletante, puis, brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier râle, je ne parvenais déjà plus à me retenir. Je n’en pouvais plus, je me lachai, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme onctueuse je lâchai tout, sentant un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Un fleuve de volupté ! Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose.
(E)
Elle me serra dans ses bras avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à la penetrer plus franchement ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se dé ...

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Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Elle se frottait, se soulèvait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottaient au contact de mes lèvres. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de désir.
- Maintenant ! ... Viens vite ! ... Bien au fond !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.


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Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouill ...

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Nos corps febriles, maladroits et gauches se frottent, se trouvent, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exaltation des sens, caresses ... j'ai envie de son ventre. Elle a envie de moi. Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre d'un coup, profondemment, très longtemps ... le plaisir est si fort. Sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre moi .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser, partout, sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule... Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs.
Je sors, je rentre, je coulisse en elle ... elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque. Accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... Je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques ... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle m'absorbe telle un poulpe. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines... peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe.
Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge.
Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glisse, se frotte, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés. Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.
(E)
Nos corps febriles, maladroits et gauches se frottent, se trouvent, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exa ...

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Predatrice, enveloppante, elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Comme un poulpe, un cocon envoutant, je sens les pulsations de sa chatte trempée sur ma verge, elle m'enfile, je ressors. Elle m'aspire en elle. C'est un soyeux intense, un charnel infini, un paradis moite qui ouvre grand ses portes. Je sens mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage. Soupirs, râles, encouragements. Je vais ... et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore ... et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Je sors d'elle puis m’enfonçe à nouveau, tantôt lent, tantôt rapide. Elle gémit, de plus en plus … je râle, de plus en plus fort, je la défonçe, le rythme s'accélère. Je m'agrippe à ses épaules, et reprends mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, elle est prise de vertige, la transpiration perle entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fait perdre toute retenue "Maintenant !" me dit-elle. Elle incline son bassin pour que j'aille plus au fond. je saisis alors ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitent. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, pinçe son téton, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Elle jouit dans mes bras. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouit encore et je continue. Je m'active dans sa chair, fou d’un désir ardent, elle m'agrippe par les épaules pendant que je lui mordillai le cou, "Maintenant ... Viens vite !"
Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, j'arrive au point de non retour. Je m'enfonçe, et je me bloque au fond de ses entrailles, je me raidis, me contracte. Je pousse un cri rauque et long ... Elle me tire à elle, je me lache dans son ventre, je gicle au fond d'elle, une humeur bien épaisse, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Je sens que je défaille. Je jouis dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passe sa main dans mes cheveux, carresse mon visage, se mordille les levres. Mes jambes semblent ne plus vouloir me soutenir. Je décharge en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplis le vagin. Je ressors, entre de nouveau, m’arrête. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.

Puis je m'affaisse sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoie une dernière giclée, me vide, puis m’enfourne jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je reste là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Elle est inondée de ma douce chaleur et en gémit de bonheur. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sens ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif et regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse.
- C'était bon !

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Predatrice, enveloppante, elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Comme un poulpe, un cocon envoutant, je sens les pulsations de sa chatte trempée sur ma verge, elle m'enfile, je ressors. Elle m'aspire en elle. C'est un soyeux inte ...

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Je venais de jouir en elle. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle semblait repue, nos secretions abondantes coulaient toujours entre nos jambes. Elle venait de m'offrir son ventre, dans lequel je me suis répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
- C'est ta première relation avec une femme mure ? ... ça t'a plu ? ...
J'acquiescai de bon coeur. Elle était maintenant là, blottie contre moi, les cuisses ouvertes, béante. sa toison humide me donnait le frisson. Elle était encore toute oouverte, obscène presque. Elle relèva la tête, j'étais toujours là contre elle, je la fixai à nouveau avec un regard d'envie. Je me remis à bander, sans complexe. Je remis mon sexe qui durcissait dans le sien, le poussai un peu en elle, plus loin, puis, le ressortait, une nouvelle fois .. je m'enfoncai doucement, j'écartai ses chairs rosées, je le lui mis tout au fond et fit durer le plaisir. J'accélèrai. Elle n'en pouvait plus. Elle jouissait ! et moi aussi ! Je me vidai, je n'en finissai plus de me vider en elle, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Je prenai de nouveau mon sexe et caressai sa fente avec mon gland. Elle soupira, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétrai de nouveau. Ses chairs laissairent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardions l'un l'autre. Je recommencai à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferma les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippai à ses hanches. Je ressentai mon plaisir monter. Le sien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables souleverent son corps. Je continuai mon va et vient, je rugissai très fort et finis par gicler une nouvelle fois en elle.
Elle avait 40 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire l'amour comme des bêtes dans son lit. Lorsque je me suis retiré d'elle, sortant ma longue verge gluante de son fourreau trempé, elle revenait lentement à la réalité, et restait là, contre moi, comme dans un rêve éveillé, s'affolant probablement de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. Nous réalisâmes alors ce que nous avions fait. Sa robe de nuit était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. Sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, le long de ses jambes. Elle était ouverte comme jamais, chancelante, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
Quelle femelle ! Quel femme ! comme je les aime ! J'ai adoré son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir quand je la remplissais de moi. Elle m'irradiait de sa chaleur. Je me suis vidé dans son ventre puis ma queue s'est glissée doucement hors de sa vulve, liberant un flot de semence. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits. Elle semblait épuisée. J’étais aussi épuisé qu'elle. Elle me regardait sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu rester planté en elle encore un moment, me sentir mee relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Nous nous rhabillâmes en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, elle se glissa hors de la piece.
J'ai repensé toute la nuit à nos caresses et mes succions sur ses seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos









Elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes me laissant deviner sa vulve rose et luisante. Marthe m'agrippa alors la main et la plaqua contre sa vulve ouverte et trempée. Elle me guida, appuyant fortement ma main contre sa longue fente, et m'encourageant d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille, me confia-t-elle d'une voix hachée ... à cause de toi !
Timidement, je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Marthe… là… Tu me fais du bien …
Marthe se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion, puis elle cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la chambre. Au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- Tu viens de me faire jouir délicieusement ! C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
- Tu as envie de me faire l'amour ?
- Nous allons nous donner du plaisir tous les deux, tu veux bien ? ...

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Je venais de jouir en elle. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle semblait repue, nos secretions abondantes coula ...

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J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satifaire mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus.
- Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens, mon amour, nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête pour toi ! Ce soir, c’est notre soir.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Ce soir je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules, que tu m’écartèles, me pilonnes,
que tu t’enfonces en moi, que tu me ramones, que tu me chéries, que tu me câlines, que tu m’aimes !
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
Je saisis Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière
peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse.Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Lucie, ma douce.
- Nicolas, Nicolas, mon chéri !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette.

Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Barbara. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons les uns sur les autres sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.
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J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satifaire mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine paraît énorme. Ses seins son ...

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une reaction physiologique


Sa voix était chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinaient sous un décolleté insolent, les pointes se détachaient en relief sous le tissu du chemisier. J'étais litteralement figé, paralysé. Elle le remarqua immediatement,
- Ils sont à ton goût ?
J’eu l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tentai de me ressaisir. Elle se pencha vers moi, posa ma main sur son sein, je m’étranglai en respirant son parfum. Je sentais la chaleur de son corps. Elle se colla et m’enlaça ... puis me tendit ses lèvres. Je tentai de resister mais plus bas, mon désir montait, presque douloureux, c'en était presque indecent.
- Dis moi ... je sens quelque chose de tout dur !
Gené, je cherchais à detourner le sujet en evoquant un phenomene physiologique
- Comment ça, une reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
Elle se colla à moi. Je sentis ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main en train de jauger délicatement le relief de mon pantalon
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est encore développée !
J'avais le corps en feu.
- Cool ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'avais du mal à garder une contenance et mon embarras sembla l'amuser
- Je sens ton regard et ça m’excite me lance-t'elle en se caressant un sein à travers son chemisier
- Ta reaction physiologique me perturbe !
- mes seins grossissent et mes pointes durcissent quand je vois ça ! ...
- Je ne peux pas te laisser comme ça ...

la suite ...

- Tu me laisse faire ? ...
Et d’un geste très naturel, elle défit ma braguette et extirpa mon sexe douloureux. elle se pencha, saisit mon sexe, l’avala tout entier puis le suça avec methode. Dieu que c’était bon ! Je me raidis sous la caresse J’avais l’impression que mon âme était aspirée par sa bouche. Le plaisir monta rapidement, monta jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en eu des éblouissements lumineux. Elle se redressa d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ?
Je sentis alors un pied nu chercher le mien je m’abandonnais à la caresse. elle se colla contre moi, m’enlaca et se frotta à moi doucement. Sa main toucha la bosse de mon pantalon.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.

Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter dans moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle se colle à moi, par devant cette fois, elle m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Mon pantalon tiré vers le bas, elle se déshabille devant moi. soutien-gorge et petite culotte sur le parquet, puis m’entraîne et me pousse sur le lit. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi

Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette.
- Dis-moi, j'ai encore faim !
Je suis litteralement aimanté vers elle. Je me colle à elle. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Nous avons fait l'amour pendant trois jours !

une reaction physiologique (E)
Sa voix était chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinaient sous un décolleté insolent, les pointes se détachaient en relief sous le tissu du chemisier. J'étais litteralement figé, paraly ...

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Elle me buvait des yeux


Je la regardai avec envie. Elle me buvait des yeux. Elle se dirigea vers moi, puis se colla le dos contre moi une main sur mon pantalon ... Elle me fusilla du regard:
- Dis moi ? ... Je sens quelque chose ... là, plus bas ! ....
- Mais si ! .... Ne me raconte pas d'histoire !
Elle était contre moi, et je sentais sa main chaude qui commençait à me caresser l'indecent relief de mon pantalon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui suggerer de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais elle ne s'arrêtait pas !
- Tu sais que tu m'impressionnes toi !
J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand elle a commencé à faire glisser sa petite culotte. Le pire est que je ne faisai rien pour l'en empecher, elle glissa subrepticement le fin tissu dans ma poche et me precisa son état d'esprit:
- Je n'ai plus rien sous ma robe !
- Je suis étroite ! ... Et bien profonde ! ... Ca te dit ?
- Tu viens ?
C'en était trop ! Elle me provoquait, je n'y tins plus ! Je la desirai, et elle me desirait. Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, de son corps. Sans attendre, elle se retourna, me fixa dans les yeux, tout en extirpant mon sexe douloureux de mon pantalon qu'elle commenca à branler ...
- Prends moi ! Là ! Tout de suite ! à l’abri des regards !
- Baise-moi, comme un loup, comme un chien en rut, oui, là, maintenant !
- Cette soirée nous appartient ... jusqu’au petit matin
- Je veux sentir tes allers retours en moi ! Je veux te sentir coulisser dans mon corps
- Sauvagement, profondement ... pour que les murs s’en souviennent.
Elle me conduisit vers mon objectif désigné et je la pénètrai d'un coup, puissement, elle hoqueta, un instant surprise. Puis elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant,
- Tu m'impressiones ! ... Nous sommes bien partis tous les deux !
Puis nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. son souffle était lent. Elle me caressait de ses muscles, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment en me souciant de son bien être
- Je te veux bien gros, bien dur, bien long ... et bien profond ! ... Oui, comme ça ! Tu es un maître !
Puis mes mouvements se firent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. La douce excitation devient un désir plus ardent,
- Continue ! Je te sens bien !
Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, digerait ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe trempé sur ma verge, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher. Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage
- Pas encore ... Je veux que tu jouisses avec moi !
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit-elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait de plus en plus. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir ardent, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite ! ... Donne moi tout ! Bien au fond !
J'étais déjà sur le point de non retour, je me suis bloqué d'un coup au fond de ses entrailles, j'ai senti mon sexe se raidir, se contracter. Elle s'agrippa à mes fesses et me tira vers elle. Je poussai un cri rauque et long ... et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Elle se contracta autour de ma verge prises de spasmes et de secousses. Je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je continuais à décharger en elle en salves successives. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtait. Elle manifesta son admiration
- Quel Homme ! ... Et quelle offrande ! ... Je suis remplie !
Puis je m'affaissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Elle était inondée d'une douce chaleur et en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses.
Lorsqu'il fallut passer ensuite à la partie la plus delicate, le désarrimage, pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallut attendre que mon mat se degonfle. Je le sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes dans un bruit de succion un peu indécent, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! Aucune reaction autour de nous
Nous nous sommes rapidement eclipsés

Une fois arrivés dans sa chambre, je déboutonnai febrilement sa robe, je dégrafais avec avidité son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activerent sur ses seins, je l'embrassai, la lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Les gémissements de ma déesse augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais d'un coup en elle. Nous fîmes l'amour comme des bêtes, toute la nuit
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
Elle me buvait des yeux (E)
Je la regardai avec envie. Elle me buvait des yeux. Elle se dirigea vers moi, puis se colla le dos contre moi une main sur mon pantalon ... Elle me fusilla du regard:
- Dis moi ? ... Je sens quelque chose ... là, plus bas ! .... ...

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tendres amies


Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Avec impudeur, et sans doute pour donner un spectacle plus complet, les tendres amies avaient rejetées loin d’elles les couvertures. Une petite lampe brûlait dans un coin de la pièce, jetant une lumière rose sur les corps mêlés. Les deux femmes haletaient, frénétiquement livrées l’une à l’autre. L'une glissa le long du corps de son amie pâmée ; sa tête blonde promena sur les jeunes cuisses la caresse de leurs boucles soyeuses, puis elle se fixa, comme happée au creux des cuisses, par le triangle sombre des voluptés. Sous le baiser précis, la jeune inconnue se raidit, et des hurlements de plaisir s’échappèrent en houles de sa gorge. Elle noua ses longues jambes fines autour du corps de son amie, et fondit bientôt dans le plaisir suprême, les seins agités de longs tressaillements.
tendres amies (E)
Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Avec impudeur, et sans doute pour donner un ...

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Mante gourmande


- Laisse-toi faire ! ...et baisons ! ...
- Je rêve d’échanges et de mélanges, dans le fond de ma grange.
- Je rêve de ta colonne en mes bouches aphones,
- Je rêve de vendanges du bout de mes phalanges,
- Il me tarde de sentir dans mon ventre l’élan tourbillonnant de ton sceptre de chair !
- Rejoins vite mon nid ! Rentre vite dans mon pays sucré,
- Viens glaner et labourer avec avidité l’univers humide de ma chair ardente !
- Je t'offre là mes cuisses et leur fleur de lys à tout le saint office de tes pires malices,
- Je ne doute pas que ton rude pénis saura user de tous mes orifices.
- je t'en prie, la porte est grande ouverte, rentre vite dans mon trou !

Je suis maintenant totalement sous son emprise, à sa merci ! Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !




Sa voix est chaude et un peu rauque. Elle s'étale sur toute la surface de mon corps, telle une mante assoiffée. Elle me fixe, gourmande, predatrice. Elle se colle à moi, saisit mon visage, me prend la tête, mon sexe qui se lève entre ses lèvres ouvertes, quelques frottis frotta, et je le sens aspiré. Je la penetre, elle m'engloutit, elle me suce, se laisse glisser sur mon mat dans de jolis bruits liquides. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne contrôle plus rien, je me déchaîne, je me lache ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi


Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine !
son parfum est intense, Je reste sans réagir, entierement sous son contole. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient.
- Vous m'avez donné faim !
A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sent à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourait a mon tour, tout se passait trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
Mes mains remonterent rapidement sa robe puis ses dessous, jusqu'à sa taille. Tout se precipita !


Elle s'est alors jettée sur moi, se frottant contre moi, écrasant ma tête entre ses seins. Puis elle avait pris mes mains et les avait dirigées vers elle.

Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ...

Mante gourmande (E)
- Laisse-toi faire ! ...et baisons ! ...
- Je rêve d’échanges et de mélanges, dans le fond de ma grange.
- Je rêve de ta colonne en mes bouches aphones,
- Je rêve de vendanges du bout de me ...

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douceur de l'interdit


Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la chambre de l'hotel au travers des voilages. Elle me regardait dans les yeux. Comme je restais debout sans bouger, ce fut elle qui s’approcha de moi. Elle effleura mon bras doucement, caressa mon épaule, puis mon cou. Elle glissa sa main derriere ma nuque, ses doigts s'immiscerent dans mes cheveux, puis elle attira mon visage vers le sien. Elle s'écarta un moment de moi avec des yeux plus graves,
- Tu veux ? tu veux toujours ?
Elle crut d’abord que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche.
- tu es inquiet ? ... C'est la première fois avec une autre femme ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle. Sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de cette femme splendide. Elle s'ecarta alors en me fixant d'un regard plus grave,
- Vous savez ... dés que je vous ai vu, j'ai désiré ce moment !
Elle était donc là, seule avec moi dans cette grande chambre d'hotel ! J’avais esperé secretement ce moment. Mon corps tout entier s’enflammait déjà, appelant une fébrilité irraisonnée et puérile. L’émotion me submergeait. Pendant ces quelques secondes au cours desquelles mon regard ne pouvait se détacher du sien, j’avais la sensation que le temps s’était arrêté. Le visage empourpré, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge. Elle me regarda de nouveau avec des yeux legerement humides,
- Maintenant J'ai envie de profiter pleinement de ce moment avec toi !
- Ne pense plus a personne d'autre ! Je te veux pour moi ! rien que pour moi ! entierement !
C'est elle qui commença à me deshabiller. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Elle m'invita à l'effeuiller doucement. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit ou elle s'allongea en m'entrainant avec elle, je m’installai entre ses jambes, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Notre baiser fut long et humide.
Allongée sur le lit, jambes écartées, offerte, elle me tendit la main pour que je vienne à elle. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle glissa sa main plus bas vers mes reliefs qui prenaient une ampleur insolente. Avec beaucoup de douceur elle me caressa la partie la plus intime de mon corps ce qui n'ameliora pas mon état. Nous restâmes un moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, elle releva sa fine combinaison de soie qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle s'empara une nouvelle fois de ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes, m'agrippa alors la main et la dirigea vers ses tresors intimes
- tu sens ? ... comme je suis humide et toute ouverte !
Je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées, puis je la sentis se saisir de ma main pour l'immobiliser.
- Maintenant, j'ai envie que tu viennes ! J'ai envie de te sentir dans mon corps !
lorsqu'elle se rapprocha de moi, ses yeux se plongèrent dans les miens en une supplique ravageuse. Nos lèvres se trouvèrent d'abord avec douceur, puis s'entrouvrirent et nos langues se mêlèrent. Nos mains se mirent ensuite de la partie, nous caressant, nous palpant avec urgence. nous étions fébriles dans les bras l'un de l'autre. nous regardions nos corps, goûtions notre peau par de nombreux baisers lorsqu'elle s'ecarta, puis s'allongea à mes cotes, en s'ouvrant toute grande, ses yeux dans les miens en signe d'appel,
- tu viens ?
Ce n'était plus une suggestion, c'était une injonction, je n'osai l'esperer si vite.




Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la chambre de l'hotel au travers des voilages. Elle me regardait dans les yeux. Comme je restais debout sans bouger, ce fut elle qui s’approcha de moi. Elle effleura mon bras doucement, caressa mon épaule, puis mon cou. Elle glissa sa main derriere ma nuque, ses doigts s'immiscerent dans mes cheveux, puis elle attira mon visage vers le sien. Elle s'écarta un moment de moi avec des yeux plus graves,
- Vous voulez ? Vous voulez toujours ?
Elle crut d’abord que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche.
- Vous êtes inquiet ? ... C'est la première fois avec une autre femme ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle. Sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de cette femme splendide. Elle s'ecarta alors en me fixant d'un regard plus grave,
- Vous savez ... dés que je vous ai vu, j'ai désiré ce moment !
Elle était donc là, seule avec moi dans cette grande chambre d'hotel ! J’avais esperé secretement ce moment. Mon corps tout entier s’enflammait déjà, appelant une fébrilité irraisonnée et puérile. L’émotion me submergeait. Pendant ces quelques secondes au cours desquelles mon regard ne pouvait se détacher du sien, j’avais la sensation que le temps s’était arrêté. Le visage empourpré, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge. Elle me regarda de nouveau avec des yeux legerement humides,
- Maintenant J'ai envie de profiter pleinement de ce moment avec vous !
- Ne pensez plus a personne d'autre ! Je vous veux pour moi ! rien que pour moi ! entierement !
C'est elle qui commença à me deshabiller. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Elle m'invita à l'effeuiller doucement. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit ou elle s'allongea en m'entrainant avec elle, je m’installai entre ses jambes, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Notre baiser fut long et humide.
Allongée sur le lit, jambes écartées, offerte, elle me tendit la main pour que je vienne à elle. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle glissa sa main plus bas vers mes reliefs qui prenaient une ampleur insolente. Avec beaucoup de douceur elle me caressa la partie la plus intime de mon corps ce qui n'ameliora pas mon état. Nous restâmes un moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, elle releva sa fine combinaison de soie qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle s'empara une nouvelle fois de ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes, m'agrippa alors la main et la dirigea vers ses tresors intimes
- Vous sentez? ... comme je suis humide et toute ouverte !
Je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées, puis je la sentis se saisir de ma main pour l'immobiliser.
- Maintenant, j'ai envie que vous veniez ! J'ai envie de vous sentir dans mon corps !
lorsqu'elle se rapprocha de moi, ses yeux se plongèrent dans les miens en une supplique ravageuse. Nos lèvres se trouvèrent d'abord avec douceur, puis s'entrouvrirent et nos langues se mêlèrent. Nos mains se mirent ensuite de la partie, nous caressant, nous palpant avec urgence. nous étions fébriles dans les bras l'un de l'autre. nous regardions nos corps, goûtions notre peau par de nombreux baisers lorsqu'elle s'ecarta, puis s'allongea à mes cotes, en s'ouvrant toute grande, ses yeux dans les miens en signe d'appel,
- Vous venez ?
Ce n'était plus une suggestion, c'était une injonction, je n'osai l'esperer si vite.



douceur de l'interdit (E)
Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la chambre de l'hotel au travers des voilages. Elle me regardait dans les yeux. Comme je restais debout sans bouger, ce fut elle qui s’approcha de moi. Elle effleura mon br ...

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- tu penses que c'est fou ce que nous sommes en train de faire ?
- c'est vrai ? tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
- Je suis toute ouverte ! ... tu sens ? .... Rentre vite ! ...
Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Tout doucement, je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Un frottement delicat, irisé de plaisir. Je me sentais aspiré, enveloppé en elle, comme dans un bain mielleux. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir. Elle se frottait, se soulevait, redescendait, ondulait. Avec application, elle me suçait, m'aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait. Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre.
- Je sens que je viens, tu ne veux pas que je me retire ?
- non reste ! .... bien au fond ! ... j'ai pris mes precautions ! ....
Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant. Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux, m'intimant l'orde de reester au fond d'elle.
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir. se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme.
- Maintenant viens ! s'il te plait ! .... viens vite ! ....
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
- Merci ! .... mon bel amant ! .... je garde en moi un souvenir de toi !
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Vous sentez mes petites contractions ? Vous aimez ?
- Je vous sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle s’empala tout au fond. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixa avec des yeux humides
- C'est si bon ! Continuez !
- Mettez la moi bien profonde ! ... J'aime vous sentir bander dans mon ventre !
- J'aime vous sentir glisser profondement en moi !
- Je vous sens bien gros, bien dur ... et bien long ! ... J'aime !
Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Vous me remuez les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne vous retirez pas ! ... Ne vous inquietez pas. J'ai pris mes precautions !
- Vous allez jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Venez ! ... Venez vite ! Inondez moi ! Remplissez-moi de vous ! Donnez moi votre sève ! toute votre sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.




(E)
- tu penses que c'est fou ce que nous sommes en train de faire ?
- c'est vrai ? tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
- Je suis toute ouverte ! ... tu sens ? .... Rentre vite ! ...
Tout doucement, ses chairs les plus tend ...

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Je la penetre, doucement, puissement, profondement. Je m'enfonce entre ses lèvres larges et humides. Je me sens aspiré, digeré, absorbé comme par un poulpe. je m'immisce dans ses chairs au plus profond de ses reins. Ma queue glisse en elle, bien dressée et bien dure, le contact de ses gros seins sur mon torse me donne de la vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je sens ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Puis elle se met à trembler.
- Plus vite ! Bien au fond !
Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, et se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte. Je sens que je viens. J'hesite à me retirer
- Non restez ! Je veux vous sentir, bien au fond !
- Plus vite ! Lâchez-vous ! Maintenant ... Oui, maintenant !
- Ne vous retenez plus ! Déchargez ! bien au fond !
Je me bloque bien au fond de son vagin. Je me lache. Et je pars en de longues giclées dans son ventre. Je jouis, laissant un flot de sperme gicler en elle par saccades.
- Ouuuii ! ... Je vous sens ! Oh c'est bon !
- ne vous arrêtez pas, remplissez moi ! Continuez ! Vous me rendez folle !!
- Quel homme !
Nous restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur, pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, cette lingerie que j'ai écartée un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne, qui me fait comme un souvenir le jour durant, cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses, cette lingerie si remplie de nous deux,
- C'est si bon ! ... Il y a si longtemps
(E)
Je la penetre, doucement, puissement, profondement. Je m'enfonce entre ses lèvres larges et humides. Je me sens aspiré, digeré, absorbé comme par un poulpe. je m'immisce dans ses chairs au plus profond de ses rei ...

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J'entrainai doucement Angela sur la console du bureau. Elle écarta doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond.
Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Angela, vous me sentez ?
- Oh oui, je vous sens bien !
J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre,
- Angela, je vous sens toute ouverte et bien profonde ! Et c'est si bon !
- Oh oui Monsieur ! !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant.
- Vous êtes d'accord pour aller jusqu'au bout, Angela ?
- Oui ! Je suis prête !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps...
- Oh Monsieur ! ... Venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Angela ! Je vais bientôt venir, vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! bien au fond, je suis prête !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Angela ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh Monsieur ! C'est si bon !
- Oh que c'est bon, Angela, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
(E)
J'entrainai doucement Angela sur la console du bureau. Elle écarta doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, progressivement. Je n&r ...

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Elle se positionne sur moi, deployant ses seins contre mon torse. Elle me guide sous sa robe, et sans attendre, je me sens aussitôt aspiré en elle, m'enfonçant dans ses chairs tendres comme dans du beurre tendre, une molle et humide profondeur, un cocon humide et chaud qu'on ne voudrait jamais quitter. Elle m'aspire en elle, ses chairs se distendent, se resserent, m'emprisonnent. Je la remplis de moi, elle me remplit de beatitude. Ses lèvres cherchent les miennes et elle attrape ma bouche. Profondément empalée sur ma verge, son jus tiède m'inonde le bas ventre, je m'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres toutes distendues. Je goute pleinement la moiteur de son sexe, je m'enivre de ses effluves. La sensation est puissante, suave, elle se propage, s’éteint, renait, nous sommes emboités l'un dans l'autre. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent, éclaboussant nos dessous de sueurs, de désirs. Puis elle s'enfonce plus loin, plus profond et plus fort. La tension va s’amplifiant. Je me sens gonfler m'allonger et durcir dans son ventre. Elle frissonne, elle tremble, elle m’agrippe, me suçe, me serre, de plus en plus fort, je l’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquent une forte houle de sensations dans nos deux corps, elle continue à coulisser sur moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux. L'explosion s’annonce, elle va jouir d'un instant à l'autre, tout son corps est ébranlé, je sens ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressors. C’est violent, et bien vite, le plaisir arrive, balayant tout sur son passage. Tout son corps se met à vibrer. Elle tremble, se contracte, et se met à jouir bruyement. Un gigantesque frisson se met a l'envahir tout le long de son échine et s'installe dans sa nuque, je sens ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de d'elle... Je n'en peux plus. D’un coup de rein, je m'enfonce au plus profond de son ventre, en poussant un long râle, je m’immobilise... me crispe, ahane, je vois ses yeux rouges et exorbités, elle me rend prisonnier de ses cuisses... La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils..., tout son corps se tend, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascule, s'enfonçe tout au fond. Je gémis très fort, elle me fige avec un regard vitreux,
- Viens vite ! S'il te plait ! ...
Et je lâche mes premieres salves, elle est au bord de l'extase absolue. Mes mains tiennent les siennes et je gicle en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation est inimaginableable ! Je sens mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répand dans son ventre, elle cramponne mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je crie de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'est merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sens mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continue de me lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en moi.
Elle retombe lourdement sur mon corps, et reste affalée sur moi, amorphe... je l'ai remplie. Ses hanches continuent à onduler legerement, sans qu'elle cherche à les contrôler. elle a alors un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissent, je reste étendu là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant des sensations vecues . Puis elle s’immobilise, mon sexe encore au fond de son ventre, ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Je jouis encore en elle, elle jouit aussi, une douce brûlure.

Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais restait quand même bien dressée. Elle en profita pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarda pas à me redonner encore de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai encore plus au fond de son ventre, Je la tins par les hanches et elle soulèva son bassin puis se laissa retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient, se frottaient l!un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui en donner encore plus !
- Tu es bien profond en moi, j'aime ! Continue
Elle se déchaînait, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'y tins plus ... J'accélèrai, ... je me figeai, je me bloquai ... et je lâchai un flot de sperme qui gicla par saccades au fond de son profond vagin
- Oh mon chéri ! C'est si bon ! Merci ! Tu me fais du bien !
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaisse sur elle, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous
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Elle se positionne sur moi, deployant ses seins contre mon torse. Elle me guide sous sa robe, et sans attendre, je me sens aussitôt aspiré en elle, m'enfonçant dans ses chairs tendres comme dans du beurre tendre, une mol ...

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Je m'allongeai sur elle, elle ferma les yeux .... et je la pénètrai doucement, lui declenchant un discret gemissement de satisfaction. Je m'enfoncai dans ses chairs. Penetration divine. Sensation d'une suavité infinie. Son ventre était chaud. Il m’enserrait, me pressait. Elle croisa et resserra ses jambes derriere mon dos pour m'aspirer au plus profond d'elle. Son intérieur était si humide que je touchai le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offrait à moi sans retenue. Mon membre palpitait dans son ventre, puis elle fut secouée de spasmes. Je m'enfoncai un peu plus, m'extrayai, puis revenai, j'accélèrai. Peu à peu, les plaintes se transformerent en gémissements moins équivoques. Je me frottai contre elle, mon bassin contre le sien. Je bandai sans complexe dans son ventre, elle le sentait, ça lui plaisait. Elle gémissait de nouveau, elle se donnait totalement. Elle poussa un long soupir de plaisir quand je la pénètrai tout au fond, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guettait. Je coulissai en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée de ses lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau. Je voyais ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. La vibration devint communion, les deux corps ne faisaient plus qu’un, les chairs étaient en fusion, les fluides et les odeurs se mélangaient. Elle ondulait toujours de la croupe, Son apparent désarroi décupla mon excitation. la sensation de mon sexe qui travaillait en elle, le clapotis indecent de nos va et viens annoncerent une jouissance proche. Je la besognai vigoureusement, je me déchaînai sans ménagements tandis qu'elle se mit à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redressa, à moitié accroupie sur moi, se mit à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclencha chez elle une jouissance instantanée. Fin du concert. Nous nous affalâmes l'un sur l'autre, vidés de toutes substances. Nos peaux moites, nos respiration haletantes. Elle me supplia de rester
- restez ! ... j'ai encore faim !
Elle m'offrait son corps une nouvelle fois, et me le fit comprendre dans la position la plus adequate. Je suis revenu tout naturellement en elle. Elle entoura de nouveau mon mâle appendice de son ventre brûlant. Elle se soulèva un peu et je me glissai à nouveau dans ses chairs accueillantes, les yeux à moitié fermés, elle s'agita un peu plus, mon sexe se tendit et s'allongea rapidement dans ses chairs. Elle voulait encore profiter pleinement de ce moment fou, sans restriction, ni excès. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. De ses muqueuses, elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps pour que je puisse mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Ses seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement. Je les empoignai et les palpai de mes deux mains, puis serrai mes deux fesses pour bien me planter au fond d'elle. Mon corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me suppliant de jouir vite en elle, ce que je fis bien volontiers.
(E)
Je m'allongeai sur elle, elle ferma les yeux .... et je la pénètrai doucement, lui declenchant un discret gemissement de satisfaction. Je m'enfoncai dans ses chairs. Penetration divine. Sensation d'une suavité infinie. ...

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plénitude des reveils amoureux


Je me laissai glisser doucement en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans son étui tendre et doux. Elle s'offrait à moi, totalement. un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Elle m'offrait ses douces caresses intimes. Je glissai maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je lui caressai les cheveux et le visage et elle me murmurait à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Son souffle était lent. Je la pénétrai doucement, tendrement, puis restai un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon membre s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Elle m'offrait ses petites contractions intimes. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres me suppliait-elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. voulant manifestement m'appeler à plus d'audace en m'adressant un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède.
J'accélérai peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, elle fermait les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps jouissait de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, elle sentait mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? lui demandai-je
- Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. J'esquissai une grimace, elle inclinait son bassin pour que je la pénètre plus au fond, je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, elle se mordillait les levres. Doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion. Je m'agrippai à ses épaules et reprenai mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrai sur mon enorme sexe qui la fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre ses seins, Elle me donnait du plaisir, je le lui rendai au centuple. Les allées et venues de on enorme sexe dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! le suppliai-je, Viens ! Viens vite !
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabrait, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Elle me sentit venir, elle me tira vers elle ... je crispai mon regard ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenai déjà plus à me retenir, je m'arrêtai net, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. J'explosai en elle, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur.

Puis je m'effondrai sur elle avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule, conservant un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Elle restait encore toute ouverte pour moi.
- Tu es mon bel et merveilleux amant, me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement
Nous avons fait l'amour longtemps, je l'ai remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir que je ressentai. Je m'avouais pervers et imaginatif alors que je ne me connaissais que passif et classique. Elle n'y était pour rien. Elle avait été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
Je me suis retiré d'elle, lentement. La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À son réveil, me voyant découverte, il craignit que je n’eu froid. Il tâta mon corps. Il était brûlant. Me voir dormir lui procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté lui parut insupportable. Il m'embrassa sur l’épaule. Je ne m’éveillai pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Je sursautai, et, me frottant les yeux, le couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, merveilleusement
M’arrachant à lui, je m’étais saisie du premier vêtement à portée de ma main, enveloppant ma nudité d’une tendancieuse provocation. J'avais enveloppé mon exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de mes seins blancs Lorsque j'avais quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais la silhouette d’une femme ardement baisée. Mes cheveux ébouriffés, mes yeux cernés de bleu, l’avait ému, l’avait troublé, tant je me révélai bien plus amante qu'il n'y croyait.



plénitude des reveils amoureux (E)
Je me laissai glisser doucement en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans son étui tendre et doux. Elle s'offrait à moi, totalement. un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahi ...

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predatrice


Positionnée sur moi, jambes écartées, outrageusement sensuelle, indécente presque, son corps emprisonnait le mien. Ses deux seins lourds se déployaient de manière provocante sur toute la largeur de mon torse. Louise me fixait, les yeux humides de désir. Je n'en pouvais plus. Ma respiration s'accélérait. Je la sentais terriblement gourmande. Elle m'aspirait en elle. Je m'enfonçai entre ses muqueuses trempées, remplissant son vagin, s'y complaîsant comme dans une bain mielleux. Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. Elle m'absorbait au fond d'elle, comme un poulpe digerant sa proie, un glissement onctueux, une penetration franche. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Un étui chaud et humide aspirait ma verge gorgée de sang, me pompait, me lissait, m'engloutissait et me brûlait. Je voyageai en elle, elle m'enveloppait, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Ces pénétrations affolaient nos sens. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle cèdait à la volupté, ne cherchant plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe bandé. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union devenait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. De violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes.
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Mon corps se tendit alors et vibra, je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.

predatrice (E)
Positionnée sur moi, jambes écartées, outrageusement sensuelle, indécente presque, son corps emprisonnait le mien. Ses deux seins lourds se déployaient de manière provocante sur toute la largeur de ...

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Son regard au fond du mien


Son regard au fond du mien, Jeanne m'aspire en elle, joyeusement. Je la sens, elle me sent, elle mouille, elle s'ouvre, je glisse en elle de plus en plus loin, je glisse dans ses chairs. Elle m'aspire, elle m'absorbe, tendre et humide, onctueuse et chaude, Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Son corps tout entier m'enveloppe peu à peu, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Elle est maintenant si ouverte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. Elle passe sa main dans mes cheveux, caresse mon visage, se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Je sens le plaisir, l'envie de me lacher , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore.
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd. Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.
Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance. Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille:
- Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée.
- Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ...
- Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur,
- Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus...
- J'aime ton jet de vie qui m'envahit, ta semence chaude qui inonde mes chairs, et la jouissance qui nous prend, tous les deux.
- Tu es mon délicieux amant secret !
- Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !
Son regard au fond du mien (E)
Son regard au fond du mien, Jeanne m'aspire en elle, joyeusement. Je la sens, elle me sent, elle mouille, elle s'ouvre, je glisse en elle de plus en plus loin, je glisse dans ses chairs. Elle m'aspire, elle m'absorbe, tendre et humide, onct ...

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Une ruelle, un muret, dans l'ombre, Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur. J’ai envie de son sein et elle me l’offre. je remonte ma bouche vers la sienne, ses jambes s’écartent. Elle me supplie de venir. Je rentre en elle. C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. sa jouissance nous inonde. Je vais et viens doucement et sa position se change pour être totalement prise, l’offrande totale.
puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communique à l’intégralité de ma peau. Elle me masse avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monte et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se referment sur mes hanches et me maintiennent ancré au plus profond d’elle. Je n’ose pas rompre cette harmonie, doucement elle me berce en enfouissant sa figure dans mon torse.
je lui prodigue des massages au plus profond d’elle. les sensations sont fortes et me prenent du haut en bas. Elle se crispe, ses ongles dans ma peau. Je me deverse en elle. Nous revenons lentement sur terre, et je la quitte doucement, Elle a toujours les seins découverts, elle sort un tampon de son sac et se l’enfile en me regardant :
Elle me sourit et se rhabille complètement. Je suis mouillé de son plaisir, elle est pleine de moi.
(E)
Une ruelle, un muret, dans l'ombre, Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur ...

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Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre. Mon torse recevait ses seins lourds. Corps à corps. Exaltation des sens, caresses, j'étais ivre, je tremblais, je brûlais. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien en train de doucement glisser en elle, aussitôt soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement aspiré en elle, j'étais en train de la baiser, en toute simplicité. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserrait ses jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- Je l'aime bien dur ! ... et bien long !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux. Elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Puis elle s'agrippa a moi et me fusilla du regard,
- Je veux que tu jouisses en moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous faisions l'amour comme des bêtes. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles

Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai allongée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les draps. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Nous avons fait l'amour toute la nuit !
Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...


Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre. Mon torse recevait ses seins lourds. Corps à corps. Exaltation des sens, caresses, j'étais ivre, je tremblais, je brûlais. Scene incroyable, là ...

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dans la douceur de ses draps


Je suis desormais au lit avec Marthe dans la douceur de ses draps et mon ventre au contact de sa douce lingerie de soie. J'ai toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir se réalise enfin, après quelques courts moments d'apprehension. Je m’oublie totalement dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Je pose une main timide sur ses seins, à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j'approche mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se presse contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titille la peau. J'inspire le souffle tiède qui me baigne le cou. Nous sommes nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. Elle me serre contre elle, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, mes lèvres sont à quelques centimètres des siennes. Je suis totalement sous son emprise. Elle se rapproche encore. Elle est vraiment superbe. Elle se tourne moi, me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle caresse ses seins, qui pointent vers moi. Ils tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Puis, elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisé. Elle me fixe de nouveau avec, cette fois, un sourire gourmand. Je fond ! Elle se serre alors contre moi et m'enlace étroitement . Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous restons un moment face à face, sans parler. Puis elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Le contact m’électrise. Je caresse et palpe cette chair douce et ferme. Elle soupire, le regard vitreux.
Marthe remonte elle-même ma main vers son bas ventre. Elle écarte largement les cuisses et plonge son regard vitreux dans mes yeux ... Elle me supplie de venir en elle. Il y a si longtemps que j'attendais ce moment.
Je la pénètre ... avec douceur. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. C'est suave. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine, et émet des bruits delicieux de succion, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des râles. Ses mouvements se font plus désordonnés, elle me supplie de venir, vite .Mon excitation atteind un paroxysme. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes ... se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Elle me caresse tendrement et se love dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.

Les jambes recroquevillées, les corps face à face, l'un contre l'autre, dans le grand lit de Marthe. J'admire sans réserve son mélange sensuel d'angles et de courbes. Je l'observe. J'aime sa coiffure qui dégage sa nuque sur laquelle seuls quelques cheveux rebelles dessinent d'attendrissantes volutes. J'ai une soudaine envie de plonger dans ces spirales et de m'enivrer de leurs trésors que sont le grain de votre peau et son parfum sucré. Je m'y perds par la pensée un long instant.
Doucement j'avance ma main vers vous, vous ne remarquez rien. Votre tête est légèrement tirée en arrière. Vos yeux brillent, vous me fixez un instant puis baissez votre regard. Alors ma main glisse lentement vers votre nuque dont j'effleure les contours. Vous fermez les yeux. Je m'occupe de vous, tendrement.

La nuit est tombée, les enfants dorment paisiblement dans la chambre au bout du couloir. Nous sommes maintenant tous deux allongés côte à côte dans le lit conjugal, Nous nous regardons et je lis encore en vous toute l'émotion de mes caresses sur votre nuque. Vous vous approchez timidement pour embrasser mes lèvres. J'accepte. Alors je glisse ma main sur votre épaule pour remonter le long de votre cou. Je progresse en vous effleurant et de mes doigts. Je me faufile à travers votre chevelure. Je plante de doux baisers sur votre jugulaire puis je remonte vers vos oreilles. Ma main est toujours accrochée dans vos cheveux alors je tire encore un peu plus pour offrir l'autre côté de votre gorge à mes baisers. Vous tressaillez, j'exulte.

Le plaisir est arrivé comme souvent lorsque, tous deux, nous mélangeons nos corps et nos âmes. Je me suis retiré de vous, mon foutre dans votre ventre. Qu'il reste en vous le plus longtemps possible un peu de moi.
dans la douceur de ses draps (E)
Je suis desormais au lit avec Marthe dans la douceur de ses draps et mon ventre au contact de sa douce lingerie de soie. J'ai toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir se réalise enfin, après quelques ...

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Nos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau desormais vide. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux regards... Temps suspendu... Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, le faire succomber, me faire plus séduisante encore... Il me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et son regard mouillé..
Je me suis approché un peu plus. Je l'ai abordée. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, son parfum de femme, entêtant. Son regard s'est planté dans mes yeux. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se désirent, qui se rapprochent, irrésistiblement. Ma respiration s'est précipitée.... Son souffle m'appellait. Mon corps tout entier la réclamait.
(E)
Nos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau desormais vide. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux regard ...

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mon male 2


Isolés dans le couloir, nous avons besoin l'un de l'autre. De ses mains febriles, elle degaine mon épée, elle se l'enfile, pénétration profonde, elle se cambre sous mes assauts, répétés et répétés encore. Je glisse lentement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et je jouis, et hurle mon bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. J'ai une belle générosité, elle m'en félicite.
Elle veut me remercier et se jete sur ma queue, elle veux me goûter, me sentir d’encore un peu plus près. Après m'avoir pompé au fond de mes entrailles, elle m'offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore ma belle queue, ouvre grand, très grand sa bouche, et elle me branle. Et je jouis, et mon sperme dégouline sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte.
A peine remis de ces ébats, elle m'invite sous la douche. Nos deux corps à l’unisson glissent dans la mousse onctueuse. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que mon sexe tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs.

Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue.

Louise Gabriel


- Monsieur, ce n'est pas bien ce que nous faisons, vous le savez !
- Allez-y, mais avec retenue ...
- Vous y êtes ... presque ... Oui ! ... Doucement ...
- Oh Monsieur ! ... Oh oui, c'est bon !
- Monsieur, nous ne sommes pas raisonnables !
- je ne vous ai pas dis d'arrêter ! oui, continuez !
- Oh Monsieur ! ... Mettez le moi bien profond !
- Oh oui ! Encore ! Plus loin ! Plus vite ! bien au fond !
- Continuez ! je suis folle ! Oh Que c'est bon !
- vous retirer ? Non, Restez ! ... bien au fond !
- Je suis prete ! ... Oui, maintenant ... Venez vite ! ...
- Ouuuii ! ... Oh c'est bon ! ... Vous m'avez remplie !
- Qu'est-ce que vous m'avez mis ! ... Ca coule de partout !
- Je suis remplie ! Vous m'en avez mis des litres !

mon male 2 (E)
Isolés dans le couloir, nous avons besoin l'un de l'autre. De ses mains febriles, elle degaine mon épée, elle se l'enfile, pénétration profonde, elle se cambre sous mes assauts, répété ...

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violentes secousses


De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant
Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction,a un spasme violent qui la désarçonne. se laisse emporter dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite
en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.
violentes secousses (E)
De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant
Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante con ...

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Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Elle se frottait, se soulèvait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottaient au contact de mes lèvres. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de désir.
- S'il te plait ! ... Viens vite !
- Bien au fond ! ... Oui ! .... Encore !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
(E)
Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouill ...

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violentes secousses


De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise en serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, a un spasme violent qui la désarçonne. se laisse emporter dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite
en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.
violentes secousses (E)
De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise en serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contractio ...

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orgasme


Elle frissonne, elle tremble. Tout son corps se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus. Je me déchaîne en elle, je brame, la bouche ouverte, je me cambre, je m'enfonçe loin ... tres loin en elle. Et elle part, envolée prodigieuse, elle crie, je rugis, elle gemis une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement, reins arqués, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite. la sueur lui perle sur le front. Elle jouit longuement. C'est magnifique. Elle aspire mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Je m'arrete net, je me fige au fond d'elle, je pousse un cri rauque. Et mon premier jet fuse au fond de son ventre. Elle se remet à trembler et je tire un nouveau coup. chacune de mes giclées déclenche son propre orgasme. De violentes secousses lui traversent les entrailles... Je décharge encore, en plusieurs salves successives. Elle serre mon sexe bandé entre ses muqueuses gourmandes. Ses jambes ne lui obeissent plus, je clame ma jouissance,
Je lui remplis le vagin, c’est chaud. Elle a de nouveau un spasme violent. Je me laisse emporter dans un long râle de volupté. Elle se tend dans une puissante contraction,
Elle se retire de moi, un moment, se replante de nouveau, s’arrête, je lui envoie une derniere giclée, je me vide, puis m’enfourne jusqu’au fond, jene bouge plus. Elle s'affale contre moi, ma queue toujours en elle, elle me repousse doucement, et me laisse glisser hors d'elle. Ma verge ressort, dans un indecent bruit de succion, entraînant mon foutre qui coulait dans sa fente. Ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle s'affaisse sur moi, épuisée. Je suis aussi épuisée qu'elle. Elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.
Nous nous regardons sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
orgasme (E)
Elle frissonne, elle tremble. Tout son corps se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus. Je me déchaîne en elle, je brame, la bouche ouverte, je me cambre, je m'enfonçe loin ... tres loin en elle ...

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Elle est maintenant contre moi, adossée au mur du bureau, jambes écartées, robe déjà défaite, je glisse ma main dessous au contact du nylon, m'immisce sous ses fins dessous, remonte vers le haut caressant ses flancs. L’ouverture sur le côté révèle le soutien-gorge. Je passe sa main dedans, me saisis d'un sein jouant avec le tissu qui les recouvre. Je cherche à enlever son soutien-gorge pour mieux profiter de ces deux pommes de chairs. Tandis que je glisse mes doigts entre ses lèvres intimes, déjà toutes ouvertes, elle déboutonne machinalement mon pantalon, extirpe ma verge qui se deploie d'un coup, ne realisant pas vraiment ce qu'elle était en train de faire ...
Je poursuis mes caresses et petites incursions intimes. Elle garde toujours, ma queue en main, et flatte mon gland que je sens déjà perler, Elle est en confiance, un doux parfum de jeunesse. elle a maintenant besoin de sentir ma queue entre ses jambes, elle en mouille d’envie. Offerte, cuisses écartées, sa chatte est comme son ventre, en feu. Sans realiser ce qu'elle fait, elle le dirige vers ses deux grandes lèvres trempées
Je trouve enfin ma voie, et m'enfonce petit à petit dans ses chairs, la sensation d’être remplie lui embrume l’esprit. Elle mouille abondamment. Et je me sens glisser tres facilement en elle d’avant en arrière. Elle lâche un « oui » entre deux forts gémissements.

Puis elle incline son bassin pour mieux me laisser entrer en elle. Elle écarte doucement les jambes, je la pénétre doucement, progressivement, profondement. J'entre dans sa douce humidité, comme une humide et molle profondeur, douce et tendre, où je me glisse et me perds, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur..Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Elle soupire les yeux fermés. Ses chairs s'ouvrent un peu plus et son corps peu à peu s'offre à moi, telle une fleur. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent, et plus je penetre en elle, plus il est long et profond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger, elle a les yeux fermés, Elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres. Je glisse delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre.
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Enfoncé au fond d'elle, je remue pour bien la sentir tout en la fixant.
- Vous êtes prête à aller jusqu'au bout avec moi ?
- Je suis toute ouverte, vous le sentez bien !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps...
- Oh Venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! bien au fond, je suis prête !
- Remplissez-moi !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Attention ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce.
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.




- Louis, je suis en train de ceder à vos avances ! Ce n'est pas bien ! Vous êtes si doux !
- Marthe ! ... Je crois que je viens ! ... Aaahhh ! ... Oh Marthe ! ... C'est si bon !
- Louis ! Qu'avons nous fait ? Vous m'aviez dit que vous vous retirereriez .....vous me l'aviez promis !
- Marthe, je suis désolé, vous etiez si désirable, si excitante ...
- Louis ! Je suis trempée ? Ca coule entre mes jambes
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore…
- Marthe, c'était si bon ! Nous ne pouvons pas en rester là !
- Rhabillons nous vite ! ... et appelez moi demain !
(E)
Elle est maintenant contre moi, adossée au mur du bureau, jambes écartées, robe déjà défaite, je glisse ma main dessous au contact du nylon, m'immisce sous ses fins dessous, remonte vers le haut car ...

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(E)
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Exaltation des sens, caresses, j'étais ivre, je tremblais, je brûlais. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien en train de doucement glisser en elle, aussitôt soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement aspiré en elle, j'étais en train de la baiser, en toute simplicité. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserrait ses jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- fais le moi bien dur et bien long !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux. Elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Puis elle s'agrippa a moi et me fusilla du regard,
- jouis en moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous faisions l'amour comme des bêtes. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles

Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai allongée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les draps. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Nous avons fait l'amour toute la nuit !
Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...


Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
Exaltation des sens, caresses, j'étais ivre, je tremblais, je brûlais. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien en train de doucement glisser en elle, aussitôt soumis a de douces caress ...