![]() | Angela (lui)J'ouvre pour vous ma robe qui glisse consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit. Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, Amenant à vous, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Abyssinie. Éclairé des étoiles sublimant cet instant, Mon corps se fait dunes, courbures incendiaires, Vagues de sable chaud, oasis brulant. Sous vos doigts pénétrants mes humides frontières. Devenue faible proie, je glisse dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, Buvant au creux du corps, des replis de l’intime, L’oued libérateur, femelle de mon mâle. Angela était devant moi, la robe ouverte sur sa combinaison de soie, deux beaux seins généreux, dans une position d'attente. Je mis ses mains sur ses hanches. Elle pâlit. Je pris ses hanches et l'attirai vers moi, très doucement. Les bras écartés, offerte, immobile, elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Je caressais ses formes, sa peau sombre, puis ses beaux seins, legerements tombant, les pointes agressives. Je bandais à la limite de l'indécence. Elle devait s'en apercevoir. Elle écarta lentement ses cuisses, docile, et je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime et moite. Elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque. Je n'en pouvais plus, je la désirais violemment et elle semblait receptive. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, dégageant ses épaules. Ses seins s'affaissèrent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Je lui dis mon désir d'enfin la pénétrer. Me regardant droit dans les yeux, elle releva sa combinaison pour se libérer de sa culotte de soie qu'elle fit glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique. Je la tirai vers moi, ses seins au creux de mes deux mains. Je les caressais toujours avec douceur. puis je soulevais sa douce combinaison le long de ses hanches. Je dirigeai mon gland et le frottais sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sentis ... impression delicieuse ... absorber mon gland. J'avançais mon sexe dur qui glissa immédiatement, comme aspiré, dans son ventre chaud. Elle eut un soupir de contentement, se cambra avant progressivement de se détendre. Je m'enfonçais entre ses lèvres larges et humides. Elle s'empalait profondément d'un seul coup de rein. je la pénétrais puissement au plus profond de ses reins. Je la pris alors par les hanches et continuai de m'enfoncer en elle. L'extase ! Son vagin commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'à la garde, avec infiniment de douceur. L'étreinte de son vagin était forte, sublime. Ses gémissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Ses propos devenaient incompréhensibles. Ses spasmes contractaient mon mat et je sentis le plaisir monter. Elle gémissait comme une petite fille, profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inondait le bas ventre. Elle se mit soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonna. je glissais en elle de plus en plus vite et fort. Complètement excité, je coulissais en elle comme un animal en rut. Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant. Soudain, je sentis l'orgasme arriver, La pression montait en moi. Je me bloquais bien au fond d'elle et je partis en de longues giclées dans son ventre. je m'enfonçai à fond et continuais à déverser mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques. L'ultime jet nous terrassa. Je me répandis dans son ventre en une longue vibrante apothéose. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un sur l'autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses. Angela est là devant moi, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant ses poitrines genereuses se balançant légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant, La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. J'ose: Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines, - Monsieur ! - Détendez vous Angela ! Laissez moi les caresser, les flatter ! Ils sont si beaux et tendres je les caresse maintenant à pleine main et les masse doucement. Elle se met à gémir et s'approche de moi, imperceptiblement. Je bande ... et je n'arrive pas à le cacher. - Angela, vous me troublez ! - Monsieur, je ne sais pas quoi vous dire. Je vous fais tant d'effet ? Mes mains caressent son ventre, descendent plus bas. Elle commence à réagir mes caresses. - Monsieur ! Vous me mettez dans tous mes états ! je la serre plus fort, incrustant plus avant mes reliefs contre son corps, je l’embrasse dans le cou. Elle commence à soupirer et a avoir quelques mouvements erratiques - Monsieur ! Nous ne sommes pas raisonnables ! Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne ses seins encore enveloppée par sa combinaison de soie blanche. Je les malaxe doucement, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement - Monsieur ! Vous touchez des endroits intimes ! Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas : - Oh Monsieur ! Je suis désolée ! Je ne sais pas ce qui m'est arrivé ! Son visage se transforme, elle semble réfléchir, je l'interrompt - Angela ! On ne va pas en rester là ! Venez ! Emmenez moi dans votre chambre ! Une fois dans la petite chambre, Je fais glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, puis je dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Je saisis sa culotte de soie que je fais glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique, silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre. - Eh bien ! Je crois que ça va mieux ! Embrassez moi ! - Venez allons dans ma chambre ! Je la prend par la main, l'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nous. Délicatement, je dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. - Je peux la prendre ? je la garde ... en souvenir Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Je profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse. - Tenez ! prenez ma nuisette dans la table de nuit ! En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant. - Eh bien ? qu'attendez vous ? J'avance mes doigts plus bas dans son pubis, j'écarte bien ses lèvres, elles sont toutes distendues, pretes pour m'accueillir. J'en profite, je hume pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves. J'approche mon sexe, et je l'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres, - Hummmm comme je te sens bien, Angela, et toi au fait ? Tu tiens toujours ? - Je vous sens fort, périlleux, fougueux. Laissez-vous aller mon bel homme, je suis tout à vous. - encore ... ouiii ... ça vient ! OUIII ! .... Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon ! Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre, - oh oui, je vous sens, remplissez-moi encore, enfoncez moi, là, je vais jouir ! Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus ! - Regardez bien mes seins, c'est bon ! vous êtes bien profond en moi, allez-y, coulissez fort ! Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne, Qui me fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses. Cette lingerie si remplie de nous deux, Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. | Angela (lui) (E) J'ouvre pour vous ma robe qui glisse consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit. Ma lang ... |
![]() | Angela (elle)Je m'étais appuyée contre le mur du fond du salon de coiffure, lui faisant comprendre mon attrait et ma disponibilité, fasciné par cet homme puissant qui m'avait convaincu de rester avec lui. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une troublante intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard. J'admirais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, hypnotisée. Il était en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Complètement troublée, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage, puis ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes. Nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent passionnément. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, puis il commença à déboutonner mon chemisier, dégageant ma combinaison de soie blanche et laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main, gonflé, tout gorgé de sang, je le sentais palpiter, frémir entre mes doigts. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues. Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum. Je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. | Angela (elle) (E) Je m'étais appuyée contre le mur du fond du salon de coiffure, lui faisant comprendre mon attrait et ma disponibilité, fasciné par cet homme puissant qui m'avait convaincu de rester avec lui. Il s'approcha de moi ... |
![]() | Mon corps frémit déjàMon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mes seins, Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue Révélant mes courbes à votre œil éffleurant, prête à me dénuder pour vous lentement, jusqu’à nu. J'ai besoin que vous veniez à moi sans faire de bruit… J'ai besoin d’amour cette nuit, J'ai envie de vous ! Venez ! Vite ! Aphrodisia - Dentelle | Mon corps frémit déjà (E) Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mes seins, Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue Révélant mes courbes à votre œil & ... |
![]() | un homme fortMonsieur était un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proche, trop proche de moi. Je le voyais souvent regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Le contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentais rougir. Mais j'évitais de trop manifester ce que je ressentais. Un jour, il s'est rapproché de moi et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant doucement mes reins. Je n'ai pas vraiment protesté. J'ai alors tres nettement senti contre moi un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. j'étais profondément perturbée. J'étais debout contre lui et me sentais plutôt instable Je l'ai alors senti m'aider à garder mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis quand même détaché de lui - Monsieur ! Nous nous laissons emporter ! Nous somme en train de faire des bêtises ! Il m'a chuchoté de vagues excuses, je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à résister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour reprendre mes esprits. Il est venu s'asseoir à côté de moi, et, rapidement, sa main commença à me caresser les jambes - Monsieur, vous êtes doux avec moi mais ... où voulez vous m'emmener ? Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison et commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Monsieur, J'ai si chaud ... est-ce vraiment raisonnable ? Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et qu'il s'était installé entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... - Non, Monsieur, s'il vous plaît ! - arrêtez, je vous en supplie, C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je résistais ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. - Oh Monsieur ! Non ! Ce n'est pas bien ! Je ne sais plus où j'en suis. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'étais remplie de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi, C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. - Oh Monsieur ! Non ! Que faites vous ? Retirez vous ! Il ne faut pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait en moi. - Mon Dieu ... votre..sperme... à l'int...érieur de moi... Qu'avons nous fait ? Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui, je sentais également que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, - je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon ! Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer et ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé mon patron dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. | un homme fort (E) Monsieur était un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il ét ... |
![]() | Angela (lui) 2Angela me conduisit dans sa chambre puis elle s’allongea sur son lit. Elle écarta doucement les jambes, me fis signe qu'elle était prête tout en me scrutant de son regard perçant. Je m'approchai d'elle et je la pénétrais doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppant mon pénis bandé pour elle, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace. Elle sourit et inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas - Comme je vous sens bien, Angela, et vous au fait ? - Oh Monsieur ! Je vous sens fort, périlleux, fougueux. - Vous êtes prête pour aller jusqu'au bout, Angela ? - Monsieur, je suis tout à vous. Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais resta quand même bien dressée. Elle en profita pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi, prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins tremblant sous mes yeux ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai de nouveau au fond de son ventre, - Angela ! Je vais bientôt venir, vous voulez que je me retire ? - Oh non, restez ! je vous sens bien, je suis prête ! ! Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus ! - Regardez bien mes seins palpez les, et mettez le moi bien profond ! Elle se déchaînait, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! - Angela ! Je viens ! - Oui Monsieur ! Allez-y ! Je suis prête ! et dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela. Je jouissai une deuxième fois, je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! - Oh que c'est bon, Angela, vous êtes si douce ! - Oh Monsieur ! C'est si bon ! Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances. | Angela (lui) 2 (E) Angela me conduisit dans sa chambre puis elle s’allongea sur son lit. Elle écarta doucement les jambes, me fis signe qu'elle était prête tout en me scrutant de son regard perçant. Je m'approchai d'elle et je ... |
![]() | J'étais chaude et mouilléeIl m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis ! ------------------------------------------------------ De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins, De mes lèvres douces, humides, à ma fleur que tu butines, De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses, Je sais pour toi le goût de mon corps, tous tes arômes et plus encore. Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits. Plaquée contre le mur, Angela n’offre plus aucune résistance. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. La robe d'Angela tombe au sol. soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. elle ecarte les cuisses, je guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Une poussée, deux poussées - Ohh Ouuii ! et je la remplis. | J'étais chaude et mouillée (E) Il m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfo ... |
![]() | rapidement sur le litIl me plaqua sur le lit et défit nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. je n'ai rien fait rien pour le retenir et je restais là, les cuisses écartées, béante. J'étais toute ouverte, comme je ne l'avais jamais été, obscène presque, Il m'a regardé fixement, s'est ravisé, est revenu sur moi, et m'a pénétrée de nouveau. En peu de temps, je recommençais à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me mis à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles, il n'y tint plus lui non plus, il bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi il n'en finissait pas de se vider La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui | rapidement sur le lit (E) Il me plaqua sur le lit et défit nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Pui ... |
![]() | Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu plus de puissance dans sa charge, me souleva, toujours empalée, me besogna debout un long moment, contre le mur, sur le secrétaire. Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance encore supérieure à toutes celles qu’il venait de m’offrir. Il resta en moi, reprit très vite de la vigueur sous l’effet de mes ondulations et me prit sans ménagement sur le lit. il me fit l’amour de façon exquise, Il m’entreprit un long moment ainsi, m’offrant une nouvelle ribambelle d’orgasmes. | (E) Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu ... |
![]() | comme un étalonIl était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu plus de puissance dans sa charge, me souleva, toujours empalée, me besogna debout un long moment, contre le mur, sur le secrétaire. Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance encore supérieure à toutes celles qu’il venait de m’offrir. Il resta en moi, reprit très vite de la vigueur sous l’effet de mes ondulations et me prit sans ménagement sur le lit. il me fit l’amour de façon exquise, Il m’entreprit un long moment ainsi, m’offrant une nouvelle ribambelle d’orgasmes. | comme un étalon (E) Il était monté comme un étalon. Il irradiait de puissance. il me penetra de toute la longueur de son sexe, Il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Il mit un peu ... |
![]() | Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses… puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes compriment mon penis… je gémis… elle gémit… après un moment, je recommence mes va-et-vient, la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus profondément… mes bourses fremissent en frottant sa toison. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde… mon souffle est court, ses gémissements augmentent… Deuxième orgasme… Je ralentis la cadence, je vais caresser le clitoris tout en continuant de la pénétrer doucement, je parcours son dos, ses hanches, ses cuisses… Elle gémit de plus en plus fort, Je n’en peux plus, Elle contracte ses muscles et jouit très fort. Je laisse fuser en elle plusieurs giclées et m'effondre sur son dos. Je suis toujours en elle, je reste debout, sans bouger, les yeux clos et je goutte les mouvements de son bassin. | (E) Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses… puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes ... |
![]() | toute ouverte, obscène presqueIl m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir. Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui | toute ouverte, obscène presque (E) Il m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l&r ... |
![]() | Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse se mit à comprimer davantage sa vulve. Mes lèvres se remirent à dévorer les siennes, alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Je posais fébrilement ma joue contre la sienne pour murmurer à son oreille : - Je ... j'ai envie de toi ... Elle s'aggripa encore plus fortement à moi. - Oui, Viens, viens vite ! D'un geste discret et rapide, elle écarta sa culotte mouillée et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé. Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes et commença à le faire tourner autour de ses lèvres vaginales. Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant à mes épaules, elle me souffla à l'oreille : - Maintenant ! Viens ! Je propulsais alors mon bassin vers l'avant, enfonçant du meme coup mon sexe dans le fourreau ardent. Elle s'aggripa plus étroitement à moi, murmurant ses encouragements à mon oreille en me caressant amoureusement les cheveux. La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau : - entre encore, Je t'en prie, enfonces-toi en moi. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, il se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Une nouvelle penetration plus ample me déclencha un orgasme qui me tétanisa. Je lui mordis l'épaule pour ne pas hurler. Il continuait ses mouvements ondulatoires accélérant sa cadence amplifiant ainsi ma jouissance. Je m'aggripai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant mes muscles internes pour enserrer sa colonne de chair. Le contact de mon bas soyeux l'électrisait. Ma pression emprisonnant son gland fut le signal. Il banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au plus profond de mon ventre, hurlant ses rales d'effort à chaque violente poussée. Je n'en pouvais plus, mon sexe était investi, envahi. Mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur son pieu. Je fus térassée par une série d'orgasmes en continu. Je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, ralais mes orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. Il accéléra la force de ses coups de butoir dans mon ventre brûlant, concentrant sa semence dans ses bourses pleines, la faisant remonter le long de la hampe de son sexe tendu, explosant enfin par son gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, il enfouit ma tête dans son cou, m'assenant ses dernieres giclées pour m'exprimer sa gratitude. Nous recherchions notre respiration. Il continuait de coulisser doucement dans mon ventre. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Les dernières caresses de son sexe d'acier me comblait de bonheur. Je carressais doucement ses cheveux et sa nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte puis je le repoussai doucement et le fixai dans les yeux, Son sexe glissa doucement en dehors de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses. | (E) Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halète ... |
![]() | Ses râles augmentaient en intensité. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans mon vagin, caressait amoureusement ma fragile muqueuse. Son penis était complètement enserré dans mon ventre chaud. Il continuait ses va et vients réguliers, méthodiques. J'étais en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Il était brûlant. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait mon corps, Ses lèvres dévoraient à nouveau les miennes, Ses dents jouaient avec mes mamelons. Il me pénétrait de plus en plus profondément, me faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Je n'en finissais pas de râler sous ses caresses intimes. Ses râles augmentaient en intensité. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans mon vagin, caressait amoureusement ma fragile muqueuse. Son penis était complètement enserré dans mon ventre chaud. Il continuait ses va et vients réguliers, méthodiques. J'étais en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Il était brûlant. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait mon corps, Ses lèvres dévoraient à nouveau les miennes, Ses dents jouaient avec mes mamelons. Il me pénétrait de plus en plus profondément, me faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Je n'en finissais pas de râler sous ses caresses intimes. | (E) Ses râles augmentaient en intensité. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans mon vagin, caressait amoureu ... |
![]() | Une nouvelle penetration plus ample me déclencha un orgasme qui me tétanisa. Je lui mordis l'épaule pour ne pas hurler. Il continuait ses mouvements ondulatoires accélérant sa cadence amplifiant ainsi ma jouissance. Je m'aggripai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant mes muscles internes pour enserrer sa colonne de chair. Le contact de mon bas soyeux l'électrisait. Ma pression emprisonnant son gland fut le signal. Il banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au plus profond de mon ventre, hurlant ses rales d'effort à chaque violente poussée. Je n'en pouvais plus, mon sexe était investi, envahi. Mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur son pieu. Je fus térassée par une série d'orgasmes en continu. Je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, ralais mes orgasmes. | (E) Une nouvelle penetration plus ample me déclencha un orgasme qui me tétanisa. Je lui mordis l'épaule pour ne pas hurler. Il continuait ses mouvements ondulatoires accélérant sa cadence amplifiant ainsi ma j ... |
![]() | Je sentis l'imminence de l'eruption. Il accéléra la force de ses coups de butoir dans mon ventre brûlant, concentrant sa semence dans ses bourses pleines, la faisant remonter le long de la hampe de son sexe tendu, explosant enfin par son gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, il enfouit ma tête dans son cou, m'assenant ses dernieres giclées pour m'exprimer sa gratitude. | (E) Je sentis l'imminence de l'eruption. Il accéléra la force de ses coups de butoir dans mon ventre brûlant, concentrant sa semence dans ses bourses pleines, la faisant remonter le long de la hampe de son sexe tendu, explos ... |
![]() | Nous recherchions notre respiration. Il continuait de coulisser doucement dans mon ventre. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Les dernières caresses de son sexe d'acier me comblait de bonheur. Je carressais doucement ses cheveux et sa nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte puis je le repoussai doucement et le fixai dans les yeux, Son sexe glissa doucement en dehors de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses. | (E) Nous recherchions notre respiration. Il continuait de coulisser doucement dans mon ventre. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Les dernières caresses de son sexe d'acie ... |