arpoma
mercredi 17 décembre 2025 - 02h07
menu / rep

atlas / rech


repertoires:

(diapo) (rep-list) (grd ecran)
   .. / rue
Nombre de fichiers dans le répertoire : 3
@

soir d'été


Nous sommes seuls dans cette rue sombre, collés l'un à l'autre dans la chaleur de l'été. Il doit avoir quarante-cinq ans, sa peau est encore douce et chaude, son ardeur communicative. Sa jambe glisse entre les miennes et pénètre plus avant, son bras entoure ma taille, sa respiration s'accélère, nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Sa main presse la mienne. Il me serre contre lui.

Je le sens durcir contre mon ventre. Il me trouble. Un vertige me prend. Les lumières se font discrètes. Sa joue caresse la mienne, je reçois ses lèvres douces pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Le contact de son sexe me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles au contact de son torse. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, ce contact me fait tressaillir.

Il m'entraine à l'écart, à l'abri des regards. Enlaçement, caresses, il emprisonne mon visage et s'active sur mes lèvres. Il les lèche, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur sa poitrine, j'entends son cœur qui bat à coups sourds. Il s'attaque aux boutons de mon chemisier de soie il glisse sa main dans mon dos, dégrafe mon soutien-gorge. je deboutonne sa chemise, son torse est au contact de mes seins sensibles. Il s'affole, il m'affole, je prend sa tête dans mes deux mains, et lui murmure :
- J'ai envie de toi ...
ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Il joue de mon corps, me murmure:
- Moi aussi !
ses mains sont sur mes seins, descendent vers mon ventre, Il me suce, me mordille. Sa bouche me fait frémir. Je degage son sexe ferme, puissant monstrueux presque et le prends en main. Il est brûlant. Je le sens palpiter. J'écarte les cuisses et le dirige au bon endroit, je m'offre toute grande.
- Viens !
Il s'introduit en moi, doucement La pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Il se retire un peu et s'enfonce à nouveau, son regard est vitreux Nous restons immobiles de longues minutes. Je sens son sexe énorme palpiter dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Il occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un coup de rein, plus franc il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Il se cambre, puis s'affaisse sur moi avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
soir d'été (E)
Nous sommes seuls dans cette rue sombre, collés l'un à l'autre dans la chaleur de l'été. Il doit avoir quarante-cinq ans, sa peau est encore douce et chaude, son ardeur communicative. Sa jambe glisse entre les mi ...

@

rêve éveillé


Je considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du monde. je laissais libre cours à mon imagination, à mes fantasmes et profitais sans limite de ces frôlements, de ces rencontres fortuites.
C'est alors que je la vis, avec sa robe blanche, dans la chaleur de l’été. Ses formes étaient rondes, rebondies, et terriblement désirables. C’est elle qui m'a regardé en premier je crois et a trouvé des prétextes pour que je me rapproche. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais la fermeté de ses cuisses. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son envie. J’imaginais sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main relever ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux, son corps frotter mon ventre, son genou serrer mon entrejambe, ses lèvres frotter les miennes, sa langue chercher la mienne. J’imaginais encore quand elle crut bon de me murmurer,
- Mais ... où êtes-vous ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ?
Je ne l’imaginais plus. Elle était contre moi et s’enroulait maintenant contre mon corps. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur.
- Nous ne pouvons rester ici ! Venez avec moi, ne dites rien ... et surtout ... bandez !
- J’ai envie de vous savoir bandant quand vous êtes près de moi !
- Je vous fais peur ?
- Venez ! Allons chez moi !
rêve éveillé (E)
Je considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du m ...

@