![]() | Tout s'est passé si viteTout s'est passé si vite, j'étais soûle de vent, même avec les yeux clos, je voyais les étoiles. Je me laissais conduire, m'agrippant à sa taille je retenais mon souffle, nous glissions sur la route. Il racontait ses terres et sa part du monde je ne l'entendais plus, je voyais la buée qui sortait de sa bouche, se detachant du ciel, ses doigts gantés désignaient l'horizon. Il s'est retourné et il m'a embrassé. Sa langue chaude a écarté mes lèvres. Le froid aurait du me figer, mais un feu me ravageait l'intérieur. Je l'ai embrassé, j'ai retiré mes gants et j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner. Il m'a devinée ... il a pris son manteau et il m'a allongée. Il m'a pénètrée comme un loup, en hurlant au soleil couchant. Il était en moi, ses mains sur mes seins chauds, et il m'a enfourchée encore mieux qu'une moto, il a mordu mon cou et sa salive s'est glaçée sur ma peau. Je crois que c'est là, quand nos regards se sont croisés, que j'ai tout attrapé, l'amour, l'orgasme et la fièvre. Il a crié et j'ai vibré, sa chaleur dans mon ventre, mon cou gelé, sa semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon de me sentir si petite dans cet univers infiniment grand. (Dominique Chénier) | Tout s'est passé si vite (E) Tout s'est passé si vite, j'étais soûle de vent, même avec les yeux clos, je voyais les étoiles. Je me laissais conduire, m'agrippant à sa taille je retenais mon souffle, nous glissions sur la route. ... |
![]() | dans l'herbeA l’abri des dunes et des taillis, nos corps se mêlent, cherchant un bonheur subtil et éphémère Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, doucement, interminablement, ralentit sa descente, la reprend. Cette lente pénétration affole nos sens. Elle s’offre à son plaisir, à mon plaisir. La sensation est délicieuse, affolante. Je suis en elle, et plus rien ne compte. Pendant quelques secondes nous restons immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Une moiteur torride enveloppe mon sexe. Elle enveloppe mon mat de son ventre brûlant. Elle se soulève un peu et coulisse à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Une penetration puissante. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Ses seins splendides se mettent à ballotter librement sous son corsage entrouvert. Je les empoigne et les palpe de mes deux mains, puis je serre ses deux fesses pour bien me planter au fond d'elle Son corps inondé de sueur luit sous la lumière. Elle s’empale maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me supplie de jouir vite. Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles, j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes nos corps sont agités par de violents frissons, Je ne me contrôle plus ... je lache et me repends, quelle osmose, en une vive et abondante apothéose. nous mourons foudroyés au sein du firmament... Elle s’effondre sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relachent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. | dans l'herbe (E) A l’abri des dunes et des taillis, nos corps se mêlent, cherchant un bonheur subtil et éphémère Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. ... |
![]() | Elle se souleva, se cambra, comme tétanisée pour enfin tomber er pantelante, en sueur, bras et jambes écartés. -------------------------------------------------------------------------------- vingt mille volts me remontèrent brusquement dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice | (E) Elle se souleva, se cambra, comme tétanisée pour enfin tomber er pantelante, en sueur, bras et jambes écartés. -------------------------------------------------------------------------------- vingt mille ... |
![]() | Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre Puis sur ma langue coule, échappée du foyer Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme; Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes Djoe L'indien | (E) Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayon ... |
![]() | le ciel etait bleu, l'air déja chaudle ciel etait bleu, l'air déja chaud, elle avait une robe légère, je sentais sous le tissu la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille. Petit à petit , ma main s'est glissé sous la robe. Sa peau etait chaude, un peu moite. Je la carressais avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posa, une de ses main sur la mienne, et me guida vers des endroits plus intimes. Je repris mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Elle ecarta encore ses jambes, elle s'offrait à moi, mon doigt s'enfonca naturellement. Juste un doigt, glissant, tournoyant en elle et son bassin, comme le reflet de mes carresses, s'agita. Sa tete en arriere, m'offrait une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, Ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en elle. Elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant les cuisses sur mes doigts, | le ciel etait bleu, l'air déja chaud (E) le ciel etait bleu, l'air déja chaud, elle avait une robe légère, je sentais sous le tissu la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille. Petit à petit , ma main s'est glissé sous la robe. Sa peau eta ... |
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![]() | Cette jeune allemande avait des formes à faire bander toute l'exploitation. J'avais la quarantaine, Elle m'avait attiré à l'écart de la grange, derrière un bosquet, elle me collait litteralement. Elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles mon sexe a reagi. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi. Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents. je n'avais qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. elle était si mouillée que je sentais sa culotte trempée collée contre sa peau. j'ai palpé sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours. Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre. Tout en se frottant à moi, elle accélérait sans cesse le rythme, elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle; elle allait et venait lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme. Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… | (E) Cette jeune allemande avait des formes à faire bander toute l'exploitation. J'avais la quarantaine, Elle m'avait attiré à l'écart de la grange, derrière un bosquet, elle me collait litteralement. Elle &eac ... |