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les bijoux (Charles Baudelaire)


...
Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l’air vainqueur
Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.
...
Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d’aise
À mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.

Les yeux fixés sur moi comme un tigre dompté,
D’un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;

Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l’huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne

Charles Baudelaire
les bijoux (Charles Baudelaire) (E)
...
Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l’air vainqueur
Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.
...
Elle était donc couchée ...

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C'est un parfum de femme, Une créature de rêve,
Un regard qui enflamme, Une voix qui vous pénètre!
Un besoin de caresses, Un monde de douceur,
Une soif de tendresse Que partage l'âme soeur,
Avant que la vieillesse Ne soit au rendez-vous
Montrez votre tendresse A chaque instant du jour.


C'est chanter et danser Respirer et sentir,
Enlacer et bercer Oublier de maudire.
Voir un coucher de soleil Entendre le bruit des flots
Voir planer dans le ciel Les oiseaux tout là-haut.
Grimper sur la montagne Et se rouler dans l'herbe
Sentir dans nos campagnes L'odeur fraîche de la terre.



Je plonge dans ton océan de volupté
Dans ses flots opalins baigne ma destiné
Océan qui acceuille ma larve en fusion
Je coule en toi tel un volcan en éruption.

Lorsque nos yeux se ferment pour mieux contenir
Après avoir franchi les brumes du plaisir
Le Zéphir de nos passions qui s'est perpétué
Jusqu'au plus profond de nos corps copénétrés.

L'instant magique ou l'on perd toute limite
Est-ce notre chair ou notre âme qui palpite?
Communion sacré où nous mèlons notre coeur
Après l'amour, des heures belles de bonheur.
(E)
C'est un parfum de femme, Une créature de rêve,
Un regard qui enflamme, Une voix qui vous pénètre!
Un besoin de caresses, Un monde de douceur,
Une soif de tendresse Que partage l'âme soeur,
A ...

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splendide dans sa maturité


Nous étions l'un contre l'autre au fond de cette salle. Elle était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire fluide. qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous Elle me donnait des sueurs froides, La soirée était avançée, elle n'arrêtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait
- Ca va mon chéri ? Serre toi contre moi !
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Tania me prit par la main, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement sur le slow. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ? Detends-toi bien, prend moi dans tes bras
- vous êtes plus belle que tout ce que je vois autour !
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts sur mes lèvres entrouvertes.
- Serres toi bien contre moi ! Colle ton bassin contre le mien
- laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Tania ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- je te sens bien ...
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant une zone légèrement humide Tania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Que fais-tu ? Allons ! ... soyons sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffla à l'oreille
- j'ai retiré ... je n'ai plus rien sous ma robe ! ... Viens ! Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle. Ses main sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant, je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents.
- Ooohh ...ouiiiii... Tu me rends folle ! Mets le moi bien profond !
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
splendide dans sa maturité (E)
Nous étions l'un contre l'autre au fond de cette salle. Elle était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du co ...

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Devais-je lui succomber


Il s’est approché derrière moi, m'a embrassé dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches, puis il a écarté mon corsage. Je l'ai senti passer sa main sous mes seins puis plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées.
Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur mon intimité. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais, et je finis par me laisser aller.
A présent je réalisais en fait que je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse gémir …
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'étais en train d'abdiquer. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. Il commença à descendre son pantalon, puis releva rapidement ma jupe, descendit ma culotte qui tomba sur le sol. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte. je l'ai alors senti venir, entrer en moi, profondément, puis ressortir et rentrer de nouveau, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors le mur comme je pouvais pour ne pas hurler …
Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il finit par jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.
Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.
Devais-je lui succomber (E)
Il s’est approché derrière moi, m'a embrassé dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches, puis il a écarté mon corsage. Je l'ai senti passer sa main sous ...

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au bout de ce salon immense


Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards qui se télescopent...L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs... Temps suspendu...

Elle croise les jambes. longue robe noire fendue qui laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art
Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore...

Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle releve encore plus sa jambe, dévoile sa splendide nudité ...

Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens.

A petits pas, le premier, j'ose l'insensé ... l'inviter à me suivre Je me dirige vers le long couloir en lui lançant quelques regards....
Elle me suit. J'ouvre une porte, je m'abrite derriere, à l'écart. Je me retourne .... et là, dans la penombre, elle est là.
Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire.

Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement
au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.

http://revebebe.free.fr/hishtml/reve1986.html
au bout de ce salon immense (E)
Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, ...

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une soirée mondaine


C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais contre lui, et à un moment, je sentis ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression sur mon bassin, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mis à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples. Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais ardemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras. Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer ses propres reliefs ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à m’ouvrir à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement. Je les jugeais tres prometteurs. Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir.Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui faire comprendre que j'étais prête ! Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte et déjà trempée. je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra. Il ne résista pas très longtemps. La fusée partit ! ... et il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir un moment dans un délicieux bruit de succion. Puis Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu

une soirée mondaine (E)
C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais contre lui, et à un moment, je sentis ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression sur mon bassin, ...

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sous la lune


C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, s'est appuyé contre moi, et a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiescais et discrètement, je sentis doucement ses mains sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est trop seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mérite d'etre explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mis à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples.
- La lune est bien ronde ! me souffla-t'il à l'oreille, mais elle a de jolis reliefs
- Comme moi ? lui répondis-je en entrant consciemment dans son jeu
Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorations peuvent être très agréables, lui concédais-je
Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais ardemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras. Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer ses propres reliefs ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à m’ouvrir à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement. Je les jugeais tres prometteurs. Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir.Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard.
- Je n'ai rien sous ma robe ! Venez, dépêchez-vous, je suis prête !
Il m'entraina vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte et déjà trempée. je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra. Il ne résista pas très longtemps. La fusée partit ! ... et il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:
- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laissez-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger.
Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu

sous la lune (E)
C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derr ...

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Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire.

Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement
au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.
(E)
Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. ...

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(E)
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C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, s'est appuyé contre moi, et a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiescais et discrètement, je sentis doucement ses mains sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est trop seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mérite d'etre explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mis à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples.
- La lune est bien ronde ! me souffla-t'il à l'oreille, mais elle a de jolis reliefs
- Comme moi ? lui répondis-je en entrant consciemment dans son jeu
Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorations peuvent être très agréables, lui concédais-je
Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais ardemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras. Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer ses propres reliefs ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à m’ouvrir à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement. Je les jugeais tres prometteurs. Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir.Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard.
- Je n'ai rien sous ma robe ! Venez, dépêchez-vous, je suis prête !
Il m'entraina vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte et déjà trempée. je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra. Il ne résista pas très longtemps. La fusée partit ! ... et il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:
- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laissez-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger.
Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu

(E)
C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derr ...