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tendre réconfort


j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucemen, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait litteralement. Puis il a posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Je ne résistais plus, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps. je l'emmènais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens sur moi.. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ca va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait.
Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
tendre réconfort (E)
j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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cueillir sa bouche


D'abord cueillir sa bouche...
C'est elle qui vient au devant de mes lèvres,
nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent,
se posent sur les miennes, Presque timidement,
sa langue s'immisce dans ma bouche.
Je lui donne un leger baiser sur le bord des lèvres,
nos bouches se cherchent, se rapprochent, se trouvent,
enfin, a l'abri des regards, elle m'embrasse, éperdument ....
je suis ivre, je tremble. Je brûle.
Je goûte ses lèvres douces et parfumées,
c'est un baiser profond, sensuel, mouillé.
je l’embrasse avec douceur.
Je goute enfin ses lèvres délicieuses mélangeant mon souffle au sien.
La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche
me perd dans une béatitude mystique.
Elle me donne ses levres en regardant les miennes.
Elle a les yeux fermés, est absente, Elle m’embrasse toujours,
Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau.
Nos jeux de langues s'intensifient pendant de longues minutes.
Nos lèvres se rejoignent. Accélérant les battements de nos cœurs.
Je vole. Je rêve. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser !
Nos bouches se séparent une fraction de seconde. Puis elle m'offre sa bouche.
Nos langues se cherchent un instant puis se lancent dans une course effrénée.
Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre,
nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent.
Il enfonce sa langue et la tourne lentement, doucement autour de la mienne.
C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent,
nos salives se mélangent. Il m'embrasse avec fougue ...
Le baiser est long. Il me lèche les levres, les suce, les aspire l'une après l'autre,
puis toutes les deux ensemble. Il me suce, me mordille. nos bouches se soudent.
Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues.
Nos baisers deviennent de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s'accélère.
Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses.
Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps,
accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés,
de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre.
Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens.
Je ferme les yeux pour mieux savourer, m'abandonnant à ce long baiser sensuel.
cueillir sa bouche (E)
D'abord cueillir sa bouche...
C'est elle qui vient au devant de mes lèvres,
nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent,
se posent sur les miennes, Presque timidement,
sa langue s'immisce d ...

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Elle était éblouissante, des formes epoustouflantes, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs froides, vêtue d'un tailleur noir Chanel, un chemisier en mousseline de soie noire qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous
La journée était avançée, nous avancions le long de cette rue déserte, elle n'arrêtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait
- Ca va mon chéri ?
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Elle me glissa à l'oreille:
- Allez, emmène moi mon amour !
Tania me prit par la main et ondula en me guidant sur le trottoir, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ?
- oh oui !
- vas-y detends-toi bien, viens contre moi
- vous êtes plus belle que tout ce que je vois autour !
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes.
- fais-moi danser ! Serres toi bien contre moi !
La musique enchaîna sur un blues sensuel
- Colles bien ton bassin contre le mien et laisse moi te guider ... laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien,
son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre.
Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches.
Tania ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes,
sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant.
Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre.
N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies.
Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque.
Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe,
ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus.
Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi,
quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- C'est bien mon chéri, tu danses divinement bien, je te sens bien ... \"
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi.
J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement,
je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors un sexe ruisselant de désir.
Tania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Mais que fais-tu... \"
Je la plaquai alors énergiquement contre mon sexe.
- Non mon amour... soit sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir,
et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe,
- Oohh ... il est bien gros !
elle le plaça à l'entrée de sa vulve
- Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle.
- Ooohh ...ouiiiii... tu es fort, il est enorme, dis-moi, je te sens bien ...
je sortis un peu mon sexe et, de nouveau, la pénétrai jusqu'à la garde, ses fesses s'offraient à moi.
Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée.
- Tu me rends folle ... mon tresor !
Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes
Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre
Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant
Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir,
Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle.
Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi.
Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape,
ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps,
Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents.
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante.
J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées.
Nous restions un moment inertes, tetanisés
nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le \"désarrimage\".
pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle.
Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave !
- Rentrons chez moi !
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses.
C'était un peu d'elle qui coulait là !
à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe.
Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge.
Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons,
j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip.
Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse.
Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux.
Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle
nous fîmes l'amour comme des bêtes.
Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle.
Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
Elle était éblouissante, des formes epoustouflantes, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs fr ...

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au bout de ce salon immense


Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards qui se télescopent...L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs... Temps suspendu...
Elle croise les jambes. longue robe noire fendue qui laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art
Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore...
Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle releve encore plus sa jambe, dévoile sa splendide nudité ...
Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle me laisse faire et ferme les yeux.
Nous restons un moment ainsi les deux lèvres réunies, puis je m'écarte d'elle et ose l'insensé ... l'inviter à me suivre. Elle me suit. Je me dirige vers le long couloir en lui lançant quelques regards intenses .... J'ouvre une porte, je m'abrite derriere, à l'écart. Je me retourne .... et là, dans la penombre, elle est là.
Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire.
Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe.
Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Elle aspire mon sexe. Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ... sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force.
Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'affaisse sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.
au bout de ce salon immense (E)
Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, ...

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plaisirs amoureux


Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. je reve de le sentir doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant.
Le voici qui me prends, me soulève. Je vacille Ma robe est sans dessus dessous. Nous quittons le monde. Il souffle, s'impatiente, degraphe mon corsage. Il se couche sur moi. Il rougit. La jouissance monte.
Il pénètre mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs.
Je vais jouir d'un instant à l'autre. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je viens Et soudain, l'éclair. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure.
Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en dehors de moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés
plaisirs amoureux (E)
Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. je reve de le sentir doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant.
Le voici qui me prends, me soul&e ...

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Le nombre des danseurs s'éclaircit


Le nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. sa jambe pénètre plus avant, son bras, entoure un peu plus ma taille, je sens sa respiration s'accélérer. nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Sa main presse la mienne. Il me resserre contre son ventre. Je le sens durcir. Un vertige me prend. Les lumières se font plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'electrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Le contact de son sexe me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles au contact de son torse. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, ce contact me fait tressaillir.

Il me pousse à l'écart, à l'abri des regards. Enlaçement, caresses, il emprisonne mon visage et s'active sur mes lèvres. Il les lèche, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur sa poitrine, j'entends son cœur qui bat à coups sourds. Il s'attaque aux boutons de mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge. je deboutonne sa chemise, son torse vient au contact de mes seins. Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je degage son sexe et le prends en main. Il est brûlant. Je le sens palpiter. Il se saisit de mes deux seins. Il joue de mon corps. ses mains partent à l'aventure. Je les sens sur mes seins, sur mon ventre, Il me suce, me mordille. mes seins durcissent, mes mamelons pointent. Sa bouche me fait frémir. je prend sa tête dans mes deux mains, le tire vers moi et lui murmure :
- J'ai envie de toi ...
J'écarte les cuisses et le dirige au bon endroit, je m'offre toute grande.
- Viens !
La pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son membre palpite dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Il jouit ! Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Le nombre des danseurs s'éclaircit (E)
Le nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. sa jambe pénètre plus avant, son bras, entoure un peu plus ma taille, je sens sa respir ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans (Dalida)


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire
Il venait d'avoir dix-huit ans C'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, je m'offrais à lui. Doucement, il glissa en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sentait aspiré, absorbé par mon corps. Il accélérait peu à peu, la douce excitation devenait un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé pour moi, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (Dalida) (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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l'emballement


J’étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tête sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. Ses mains se déplaçaient tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est trouve alors à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur les miennes. Il m'affolait littéralement Nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma nuisette. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps. je l’emmenais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens sur moi.. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ça va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, libérant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous étions arrivés ensemble à l'orgasme. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Je lui avais permis de revenir le lendemain sur mon lit. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Je le savais. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. J'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts pénétrait mon intimité.
- Mon chéri, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commençais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Et quand j'ai senti le contact de son sexe bandé sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à me pénétrer.
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, il ne s’arrêtait pas !
- Mon chéri ! Que fais-tu ? s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son sexe grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa pénétration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son énorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette période,
Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissamment dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il râlait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh mon chéri ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commençais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le résultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles.Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.

Julien est revenu le jour suivant, nous nous sommes vite retrouvés dans le lit. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Il plongeait en moi et gonflait en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon... Tu me fais du bien !
Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles.
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait Julien. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,

J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe mâle dans ma chair. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi.
Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes.
lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque pénétration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rythme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfoncé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.

Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, Je sentis enfin le jet puissant de mon jeune amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin,
le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
l'emballement (E)
J’étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré ...

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tu veux maintenant ? (Joyce Mansour)


Mon corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à lui. Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il peut sentir mes douces caresses intimes, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent, plus il m'investis, plus il est long et profond. Il me pénétre doucement, tendrement, puis reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements reprennent, ils sont plus amples, sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. Il accélére peu à peu, la douce excitation devient un désir plus ardent,
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouit de sa douce penetration. Je suis maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé pour moi, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas et dès son premier soupir, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bouge pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige. Je me concentre sur ce gros sexe qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue.
Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard ..... Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Je sens un flot de son liquide de vie me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
tu veux maintenant ? (Joyce Mansour) (E)
Mon corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à lui. Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il peut sentir mes dou ...

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Les dernières caresses de son sexe encore dur me comblent de bonheur.
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Je carresse doucement ses cheveux et sa nuque, je l'embrasse tendrement.
Ma langue l'envahit pour une dernière étreinte
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je sens son sexe diminuer de volume et ressortir lentement,
liberant un flot de secretions amoureuses
puis il s’échappe totalement, dans un agréable glissement mouillé,
accompagné d’un torrent de son jus qui me coule délicieusement entre les fesses.
(E)
Les dernières caresses de son sexe encore dur me comblent de bonheur.
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Je carresse doucement ses cheveux et sa nuque, je l'embrasse tendrement ...

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Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes compriment mon penis… je gémis… elle gémit…
après un moment, je recommence mes va-et-vient, la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus profondément…
mes bourses fremissent en frottant sa toison. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde…
mon souffle est court, ses gémissements augmentent… Deuxième orgasme…
Je ralentis la cadence, je vais caresser le clitoris tout en continuant de la pénétrer doucement,
je parcours son dos, ses hanches, ses cuisses… Elle gémit de plus en plus fort, Je n’en peux plus,
Elle contracte ses muscles et jouit très fort. Je laisse fuser en elle plusieurs giclées et m'effondre sur son dos.
Je suis toujours en elle, je reste debout, sans bouger, les yeux clos et je goutte les mouvements de son bassin.
(E)
Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes ...

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Allongée sur la moquette épaisse au pied su canapé, Helene s'abandonne completement à l'ardeur de son neveu. Bruno se frotte et glisse sur le corps feminin nu, rampe entre ses cuisses. Son énorme sexe bandé palpite sur son estomac. Hélène gémit et mord sa lèvre inférieure en sentant l'enorme gland presser ses grandes levres, elle saisit le mandrin et dirige le gland gonflé vers sa vulve. La grosse queue entre en elle, lentement, puissemment.
Bruno commence à aller, dedans et dehors, enfonçant son sexe massif un peu plus à chaque coup de reins.
Hélène soulève la tête, regardant vers son ventre, observant le va et vient de l'enorme mandrin dans son vagin.
La vision l'excite violemment. Elle commence à se cambrer et à agiter sa croupe, poussant son vagin à la rencontre de l'énorme sexe de Bruno qui commence à aller et venir plus vigoureusement, elle grimace.
Il est maintenant en entier dedans, jusqu'à ses bourses pleines. Hélène ne s'est jamais sentie aussi remplie.
Elle contracte sa vulve autour de la rigidité énorme qui occupe tout son ventre. Bruno est étendu immobile sur elle pendant plusieurs secondes. Il écrase ses mamelles énormes sous son torse. L'intensité de son désir devenant encore plus fort, Hélène lève ses jambes aussi haut qu'elle le peut et les croise dans son dos pour le coller à elle. Alors elle commence à s'agiter et à pomper comme une chienne en chaleur, pressant frénétiquement sa chatte serrée et humide avec la queue de son jeune amant. Bruno se retire, se retire jusqu'à ce que seul son énorme gland turgescent dilate encore les lèvres. Il frissonne pendant qu'il replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de son organe géant dans la fente trempée. Hélène remue des hanches comme une assoiffée de sexe, les monticules énormes de sa poitrine rebondissant et tremblant pendant qu'elle projète son vagin sur le penis enorme de son amant. Bruno épouse le rythme de son amante, claquant sa verge bien profondément, jusqu'aux bourses. Hélène enroule ses bras autour de ses épaules, l'étreignant fortement, haletante et gémissante. Bruno halète sur son épaule, et il commence à la pistonner aussi fort qu'il le peut. Implacablement il avance ses hanches entre ses cuisses, grognant pendant qu'il enfonce son pieu géant dans les profondeurs du puit en fusion. Excitée,elle peut sentir la deuxième série de spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, ses muscles du vagin plus serrés que jamais sur le barreau titanesque de Bruno. Elle explose dans l'orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue de Bruno. Bruno s'effondre sur elle, enfonçant son membre à fond. Alors le deuxième chargement de sperme jaillit hors de lui. Hélène le sent gicler et se répandre, inondant son intérieur profond,
inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide. Elle relâche ses muscles épuisés autour de la verge degoulinante, aidant son amant à se vider complètement les couilles dans son ventre.
(E)
Allongée sur la moquette épaisse au pied su canapé, Helene s'abandonne completement à l'ardeur de son neveu. Bruno se frotte et glisse sur le corps feminin nu, rampe entre ses cuisses. Son énorme sexe band ...

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(E)
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Monsieur est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proche, trop proche de moi. Mais j'évitais de trop manifester ce que je ressentais.

Un jour, j'étais occupé à la cuisine, il s'est rapproché de moi et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant fermement mes reins. Je n'ai pas vraiment protesté. J'ai alors tres nettement senti contre moi un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. j'étais émoustillée. J'étais debout contre lui et me sentais plutôt instable Je l'ai alors senti m'aider à garder mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage.
Sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur mon cou. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et j'ai cherché la sienne derrière moi, nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui
- Monsieur ! Nous nous laissons emporter ! Nous somme en train de faire des bêtises !
Il m'a chuchoté de vagues excuses, mais il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à résister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son corps, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et, rapidement, sa main commença à me caresser les jambes
- Monsieur, vous êtes doux avec moi mais ... où voulez vous m'emmener ?
Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison et commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Monsieur, J'ai si chaud ... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase.
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. il a continuait à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et qu'il s'était installé entre mes jambes. Je le sentis avec effroi frotter son sexe sur ma vulve trempée. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Non, Monsieur, s'il vous plaît !
- arrêtez, je vous en supplie,
C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je résistais ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression.
- Oh Monsieur ! Non ! Ce n'est pas bien ! Je ne sais plus où j'en suis.
Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Il entrait en moi et ressortait, allant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'étais remplie de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi, C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Oh Monsieur ! Non ! Que faites vous ? Retirez vous ! Il ne faut pas !
Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait en moi.
- Mon Dieu ... votre..sperme... à l'int...érieur de moi... Qu'avons nous fait ?
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui, je sentais également que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort,
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon !
Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer et ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé mon patron dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.








Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi.
Je m'écrasai un peu plus contre elle,
glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe.
Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées
et nos souffles commençaient à se faire court.
On n'entendait plus que nos soupirs,
nos halètements et des bruits mouillés de lèvres
qui se séparent pour s'unir à nouveau.
Nos regards étaient chauds, intenses,
brûlants du désir de posséder l'autre.
Ma cuisse se mit à comprimer davantage
la vulve de ma chaude compagne.
Mes lèvres se remirent à dévorer
celles de ma maîtresse,
alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine.
Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre.
La chambre était envahie de bruits de bouche,
de succion, de soupirs.
Je posais fébrilement ma joue contre la sienne
pour murmurer à son oreille :
- Je ... j'ai envie de toi ...
Elle s'aggripa encore plus fortement à moi.
- Oui, ... mon amour ! Viens mon ange, viens vite !
D'un geste gracieux et sensuel,
elle écarta sa culotte mouillée
et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé.
Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland
de ses sécrétions intimes
et commença à le faire tourner
autour de ses lèvres vaginales.
Elle promenait l'extrémité de mon sexe
sur toute la longueur du sillon labial,
pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur.
C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche.
Puis, s'accrochant à mes épaules,
elle me souffla à l'oreille :
- Maintenant, Mon amour vas-y, penetres-moi !
Je propulsais alors mon bassin vers l'avant,
enfonçant du meme coup mon sexe
dans le fourreau ardent.
Elle s'aggripa plus étroitement à moi,
murmurant ses encouragements à mon oreille
en me caressant amoureusement les cheveux.
La pénétration ample de mon membre la comblait,
c'était un véritable envahissement.
Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions
que la penetration se fit facilement.
Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule
et me souffla à nouveau :
- entre encore, Je t'en prie, enfonces-toi en moi.
Son souffle chaud dans mon cou,
ses baisers mouillés sur ma peau,
ses tendres caresses dans mes cheveux,
Je me mis à onduler très lentement du bassin
d'avant en arrière, de bas en haut,
cherchant à chaque poussée
à aller plus profondément.
Ses râles augmentaient en intensité.
Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds.
Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux,
coulissait profondément dans le vagin,
caressait amoureusement la fragile muqueuse.
Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud.
Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques.
Elle était en extase.
Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice.
Elle était brûlante.
J'étais en nage.
Une chaleur torride irradiait son corps,
Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes,
Mes dents jouaient avec ses mamelons.
Je la pénétrais de plus en plus profondément,
la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
Elle n'en finissait pas de râler sous mes caresses intimes.
Une nouvelle penetration plus ample
lui déclencha un orgasme
qui la tétanisa contre le mur.
Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler.
Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence
amplifiant ainsi sa jouissance.
Elle s'aggripa a mes épaules,
passa sa jambe autour de ma hanche
pour que je la pénètre encore plus loin,
encore plus fort.
contractant ses muscles internes
pour enserrer ma colonne de chair.
Le contact du bas soyeux m'électrisait.
La pression emprisonnant mon gland fut le signal.
Je bandais mes muscles
et de toute la puissance de mes reins,
je me ruais au plus profond de son ventre,
hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée.
Elle n'en pouvait plus,
son sexe était investi, envahi
Ses deux jambes autour de ma taille,
s'empalant davantage sur mon pieu.
Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu.
Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption.
J'accélérais la force de mes coups de butoir dans son ventre brûlant.
Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu,
explosant enfin par mon gland congestionné.
Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin.
C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou,
lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude.
Nous recherchions notre respiration.
Je continuais de coulisser doucement dans son ventre.
Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol,
en prenant soin de garder mon dard planté en elle.
Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur.
Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.
Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte
puis elle me repoussa doucement
et me fixa dans les yeux,
Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.
(E)
Monsieur est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proch ...

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lingeries


Je jetais un oeil vers cette commode qu'elle avait laissé ouverte. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une adorable combinaison rose, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
Je pris une combinaison couleur ivoire encore tiède et respirai ses effluves. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la petite combinaison noire de Mme Granger. j'ai seulement profité de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des fines bretelles sur mes épaules. J'ai fini par m'endormir.
Le lendemain matin, j'enlevai la combinaison et enveloppai ma bourse et mon sexe dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images de la veille. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance.

C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle se dirigea vers moi, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle serra son corps contre le mien, passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Bon, alors, tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement.
- Je vais m'occuper de toi mon ange ... Allonge-toi et laisse-moi faire.
sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume.

Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma verge bien bandée. je me mis à tripoter es seins à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Elle me regarda.

Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- Vas-y mon cheri, je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut.
Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé. Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.
lingeries (E)
Je jetais un oeil vers cette commode qu'elle avait laissé ouverte. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collan ...

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Mon jeune amant


Julien s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon... Tu me fais du bien !
Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles.

Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait Julien. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,

Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Ses jambes se mirent à trembler et je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier

Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.







Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, Je sentis enfin le jet puissant de mon jeune amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin,
le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
Mon jeune amant (E)
Julien s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extr ...

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tendre accueil


Marthe s’allongea sur le dos et invita Julien à venir sur elle. Elle écarta doucement les jambes et tout en le scrutant de son regard perçant, elle fit pénétrer le sexe de son jeune amant dans le sien.
Julien n’avait jamais rien senti d’aussi doux de toute sa vie. Comme une crème enveloppant son sexe, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Il sentait les pulsations intimes de Marthe dans son corps, Marthe sourit et agita son bassin pour mieux le faire entrer en elle. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir qu'il n'avait jamais connu aussi intense et, dès son premier soupir,
il ne parvenait déjà plus à retenir son plaisir, jouissant à lui faire perdre la tête dans le corps de cette femme qu'il ne connaissait que depuis quelques jours.
tendre accueil (E)
Marthe s’allongea sur le dos et invita Julien à venir sur elle. Elle écarta doucement les jambes et tout en le scrutant de son regard perçant, elle fit pénétrer le sexe de son jeune amant dans le sie ...

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sur la moquette


la porte du salon est maintenant fermée, Marthe est allongée sur la moquette, au pied du canapé, sa combinaison froissée sur le coté. Elle s'abandonne, se livre totalement aux ardeurs de Julien qui coulisse en elle, laissant échapper de petits bruits de succion, de glissement mouillé terriblement suggestifs. La respiration de Julien est bruyante, Marthe mouille de plus en plus, et gémit de plus en plus fort. Il donne et il donne. il se retire ... doucement, un long sexe ... énorme, avec un bruit de siphon caractéristique. Elle reprend sa respiration, contemple ce grand sexe gluant. Elle inspire un grand coup. Elle le regarde en souriant, les yeux brillants. Elle se mordille la lèvre.
Julien, fort excité, enfonce alors profondément sa longue verge dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides de Marthe envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ne tarde pas à sentir la jouissance arriver. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonne entre ses cuisses trempées. De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappe, éclaboussant le bas-ventre et les bourses masculines. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de sa maitresse, Lucien s'active de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monte, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Marthe s'est mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. De nouveaux va et viens. Elle semble prendre son plaisir, Il coulisse puissamment en elle, Elle se masturbe avec le sexe de Julien, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, pour le faire rentrer encore plus profondément. Ses cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige puis elle explose ! Elle vient de jouir.
Julien s'arrête quasiment, laissant Marthe reprendre ses esprits. Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Lucien ne tarde pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Marthe comprend qu'il est en train d'atteindre le point de non retour, aussi l'enserre-t'elle fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accélére encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Il sort sa queue et la rentre ... tout au fond... Il donne de nouveau ... accelère, l'orgasme est bientot là, Il va éjaculer, il va plus au fond, encore, encore, encore... Et il lâche. Dans un véritable feu d'artifice, il décharge sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Marthe. Celle-ci se laisse emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la soulève, la cambre, la tétanise, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés lui aussi totalement vidé et anéanti. La tête de Julien tourne, il ferme les yeux, la serre un peu plus, puis laisse tomber sa tête au creux de son épaule, Il respire toujours fort. Haletants les deux amants restent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Les corps se séparent, le sexe sort doucement, ramolli et gluant de sperme. Elle est trempée, en sueur. Puis, la première à reprendre ses esprits, Marthe fait basculer le corps devenu trop lourd de Lucien à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrase. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
- Eh ben mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis ! J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir

sur la moquette (E)
la porte du salon est maintenant fermée, Marthe est allongée sur la moquette, au pied du canapé, sa combinaison froissée sur le coté. Elle s'abandonne, se livre totalement aux ardeurs de Julien qui couliss ...

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Sensations douces


Il m'a regardé intensément, puis, il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me demanda-t'il doucement à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles.

Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait.

Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,

Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier

Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
Sensations douces (E)
Il m'a regardé intensément, puis, il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasm ...

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splendide dans sa maturité


Nous étions assis l'un à coté de l'autre au fond de cette salle obscure. Elle était splendide dans sa maturité, des formes sensuelles, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire fluide. qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous Elle me donnait des sueurs froides,
La soirée était avançée, elle n'arrêtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait
- Ca va mon chéri ?
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Elle me glissa à l'oreille:
- Tu es bien avec moi ? Viens ! Serre toi contre moi !
Tania se rapprocha et son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien. Au gré de ses mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- Detends-toi bien, prend moi dans tes bras
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts sur mes lèvres entrouvertes.
- Serres toi bien contre moi !
Son corps tout entier était collé contre le mien. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Elle ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- Je te sens bien ...
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant une zone légèrement humideTania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Mais que fais-tu... Allons ! ... soyons sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon
- Oohh ... C'est moi qui te fait cet effet ? !
elle m'entraina d'un coup au fond de la salle et me souffla à l'oreille
- j'ai retiré ma culotte ! ... Viens !
Elle extirpa mon engin et le plaça à l'entrée de sa vulve
- Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle. Ses main sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant
- Ooohh ...ouiiiii... Il est enorme, dis-moi, je te sens bien ...
je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort.
- Tu me rends folle ... mon chéri ! Mets le moi bien profond !
Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent
- Donne moi un kleenex ... Merci.
Elle s'essuya discrètement et me lança avec autorité
- Rentrons chez moi !
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
splendide dans sa maturité (E)
Nous étions assis l'un à coté de l'autre au fond de cette salle obscure. Elle était splendide dans sa maturité, des formes sensuelles, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un ...

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le diable au corps


Comme il ne dormait pas, j'avais permis à Julien de venir sur mon lit me tenir compagnie. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. A un moment, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Tout en étant conscient de ses discrètes approches, j'eu l'imprudence de le laisser faire. Apparement encouragé par mon manque de réaction négative, j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon et un de ses doigts commençait à penetrer timidement mon intimité.
- Julien, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je guettais toutes les sensations de mon corps, je commencais à sentir monter l'orgasme. C'est alors j'ai senti le contact de son sexe sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Julien ! Que fais-tu ? !
- juste un peu ! S'il te plait Marthe ! j'ai juste envie de me sentir un peu en toi ...
C'est alorsqu'il commença à me pénétrer. Je protestai mais ne faisais toujours rien pour l'empêcher de poursuivre ... il ne s'arretait pas ! et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais pétrifiée
- s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus et s'enfoncer en moi, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là dans un véritable orgasme. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi.
- mon chéri que sommes nous en train de faire ?
j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
- Oh Marthe ! Je crois que je viens !
- Non Julien ! retire toi vite !
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Julien !!!
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh mon chéri ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
- Oh Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'avais dit ...
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- Marthe !!! Je sens que je viens encore !
Il a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
- Oh Marthe ! C'était si bon !
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
le diable au corps (E)
Comme il ne dormait pas, j'avais permis à Julien de venir sur mon lit me tenir compagnie. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. A un ...

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tendres mouvements


je glisse entre ses cuisses, à l’intérieur de son corps de femme. Elle me guide et m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille
- Oh oui .. c’est bon de te sentir en moi ! ... Continue …
Elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, Son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée,
tendres mouvements (E)
je glisse entre ses cuisses, à l’intérieur de son corps de femme. Elle me guide et m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire ...

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Kevin chez Lea


Kevin, trempé par la pluie, s'était refugié chez sa voisine. Alors qu'elle frictionnait vigoureusement le jeune homme Lea ressentit rapidement un trouble face à ce corp d'adolescent. Elle emporta les vêtements trempés afin de les étendre sur un radiateur. L'attention de Kevin fut attirée par un morceau de dentelle noire depassant du panier à linge. Curieux, il tira le tissu à lui, découvrant avec émoi une culotte feminine. La gorge nouée, il contempla longuement la douce lingerie de soie noire, si fine qu'elle en était translucide. Se laissant guider par une envie érotique, il porta l'affolante lingerie féminine sur son sexe bandé, suscitant en lui une excitation erotique, il remua son sexe sur l'affriolant tissu, s'enivrant des senteurs qui s'en dégageaient.
La voix de Lea tira l'adolescent de ses griseries érotiques. Gardant la douce lingerie autour de son sexe, Kevin vit Lea venir s'asseoir à coté de lui sur le lit, collant sa cuisse contre la sienne. Kevin avait les yeux braqués dans l'échancrure de son corsage, fasciné par les deux fortes poitrines qui semblaient ne plus tenir dans leur enveloppe de dentelle. Elle ressentit une bouffée de chaleur lui monter à la tête. Elle sentit ses seins se gonfler de désir tandis qu'un long frisson lui parcourait l'échine. Les joues brûlantes, la gorge nouée, Lea se pencha alors à coté de lui. D'une main tremblante, elle déboutonna son corsage. Ses poitrines étaient enveloppées dans un affriolant soutien-gorge de soie blanche haussé de dentelle parme. Le malheureux garçon sentit son pouls s'accélérer. Lea lanca alors ses mains dans son dos pour faire sauter l'agrafe, le soutien-gorge se détacha de la chair rose et alla aussitôt rejoindre le pied du lit. Il demeura alors pétrifié devant l'affolant spectacle de deux seins vivants, réels, lourds, charnus, ballottant d'une manière terriblement excitante. Lea saisit ses seins dans ses mains, et les rapprocha l'un de l'autre en les remontant, afin de leur donner encore plus de volume et d'attrait : Kevin restait comme paralysé, fasciné par ce mouvement lascif de chairs l'une contre l'autre. il avança une main timide, et osa toucher ces outres moelleuses. Sous cet attouchement, Lea poussa un gémissement. Délicatement, il referma ses doigts sur les merveilleuses mamelles blanches, appréciant leur souplesse et leur tiédeur. Serrant tendrement les seins si doux, il les pressa l'un contre l'autre, éprouvant une véritable béatitude à rapprocher ces deux rondeurs jumelles qui changerent de forme sous la pression de ses doigts. Sous ces attouchements un peu désordonnés mais terriblement voluptueux, Lea éprouva un plaisir étrange et dévastateur. Entre ses cuisses, sa vulve s'était abondamment liquéfiée.
Elle retroussa alors sa jupe et chevaucha le jeune homme, seins au vent. Installée à califourchon sur lui, Lea ondulait lascivement des hanches. Elle enfouit la tete du garçon entre ses deux poitrines. Il éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse, douce et veloutée, soyeuse et chaude. Lea se sentit elle, irradiée par le plaisir. Elle s'empara alors adroitement du membre gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante et fit tourner le gland au bord du trou:
Impatient, Kevin enfonça aussitot d'un coup de reins sa longue verge dans l'antre féminin brûlant, éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant les chairs moites. Lea poussa un petit cri en sentant le gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve et glisser le long des parois de son vagin, Kevin, se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il entreprit de faire coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que lui dispensait l'adolescent, et sous les chocs répétés du gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses cuisses trempées. Ivre de plaisir, Kevin, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins. Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement impudique.

Plusieurs mois s'étaient écoulés Le mari de Lea était parti en voyage pour plusieurs semaines. Un soir, apres le diner, la sonnette retentit. Lea alla ouvrir et se trouva face à Kevin.
- Rentre, je suis seule pour 2 semaines.
Lea ferma la porte et sans un mot emmena Kevin avec elle. Ils monterent ensemble dans la grande chambre, elle passa dans la salle d'eau pour se préparer pour la nuit et en ressortit au bout de dix minutes, vêtue d'une fine chemise de nylon transparente ornée de dentelles blanches qui lui arrivait à mi cuisses et au décolleté genereux. A peine étendue entre les draps, les scènes qui s'étaient déroulées quelques mois plus tot sur ce même lit, lui revinrent en mémoire ; si fortes, si intenses, qu'entre ses cuisses une douce tiédeur ne tarda pas à l'humecter. Enervée par le désir naissant, elle se tourna sur le coté afin de se rapprocher de Kevin contre lequel elle se blottit, enserrant l'une de ses cuisses entre les siennes. Sa main droite se posa naturellement sur le ventre de son amant retrouvé, elle fit insensiblement glisser sa main vers son bas-ventre jusqu'à ce que sa paume atteigne le renflement revelateur sous le pyjama, elle accentua ses pressions autour de la verge grossissante. Le jugeant à point, elle retroussa hâtivement sa fine chemise de nuit pour enjamber Kevin. Béat de satisfaction, sous les attouchements fiévreux qu'elle lui prodiguait, Kevin s'abandonna complètement aux appétits sexuels de Lea. A cheval sur le bas-ventre, elle lança une main impatiente entre ses cuisses moites de désir pour saisir la verge raide et gonflée, qu'elle maintint verticalement en dessous de sa fente trempée d'impatience. Puis elle se laissa alors penetrer de tout son poids sur le pieu de chair. Un long frisson de volupté lui irradia aussitôt le bas-ventre lorsque le gland massif s'enfonça dans sa vulve humide, écartant ses chairs intimes pour venir investir son vagin en fusion. Les mains posées sur la large torse masculin, elle entama alors une intense chevauchée, s'embrochant sur la verge tendue avec une rage de jouissance. Dans les mouvements désordonnés qui agitaient son corps, les bretelles de sa chemise de nuit avaient glissées de ses épaules rondes, libérant ses magnifiques seins blancs. Redecouvrant la sensuelle poitrine de Lea, Kevin ne put s'empêcher de contempler longuement les merveilleuses poitrines qui tressautaient d'une manière terriblement érotique, au rythme des mouvements amoureux. Du plus profond de son vagin en fusion, un véritable torrent jaillit, lui éclaboussant l'intérieur des cuisses, avant de tremper copieusement le bas-ventre et les bourses de son amant. A la chaleur soudaine qui lui enserra la verge, Kevin comprit que ses succions avaient fait leurs effets. Haletante, elle se déchaîna sur le bas-ventre de Kevin, remuant à un rythme effrénée, faisant coulisser les grandes lèvres de sa vulve le long de la tige charnelle dans un va-et-vient véhément. Sentant le plaisir monter le long de son membre affreusement gonflé, il attrapa la croupe qui s'agitait avec fougue pour la forcer à modérer son allure.
- Prends moi les seins ! supplia-t'elle
Il empauma les deux masses soyeuses, rondes et ferme, et fiévreusement entreprit de les presser, de les pétrir de ses doigts, comme l'aurait fait un boulanger avec sa pâte à pain. Immobilisée, les reins cambrés, les cuisses largement écartées, Lea cacha son visage dans le cou de Kevin afin d'étouffer les cris de plaisir qu'elle ne pouvait s'empêcher de pousser. La puissante queue de son amant lui dispensait un formidable plaisir physique. Prise d'une frénésie sexuelle elle accéléra encore sa luxurieuse chevauchée, agitant farouchement sa croupe, s'empalant avec une espèce de fureur érotique, pressée d'atteindre l'orgasme avant que Kevin ne décharge sa semence. A bout de force, ne pouvant se retenir plus longtemps, il s'enfonça, d'un coup de reins violent, au plus profond du vagin de sa sensuelle compagne. Il déchargea alors son sperme épais en grognant de volupté. Comme si elle n'avait attendu que cette éjaculation pour s'envoyer au septième ciel, Lea se mit à jouir comme une folle en s'immobilisant toute, profondément fichée sur le pieu de chair tressautant. Un affolant bruit de clapotis s'éleva soudain. De son orifice béant un flot brûlant jaillit, lui aspergeant l'intérieur des cuisses avant de tremper le bas-ventre…
Kevin chez Lea (E)
Kevin, trempé par la pluie, s'était refugié chez sa voisine. Alors qu'elle frictionnait vigoureusement le jeune homme Lea ressentit rapidement un trouble face à ce corp d'adolescent. Elle emporta les vêteme ...

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jeune amant


Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif,
câlin, joueur, félin et attentif.
Il donna et prit sans retenue.
Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces.
Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps.
Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes.
Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires,
résonner mes gémissements,
mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir
comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile.
Je le fis passer pour un amant exemplaire,
Il me remercia de ses caresses appuyées,
de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait.
Je m'avouais perverse et imaginative
alors que je ne me connaissais que passive et classique.
Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment,
où il avait besoin de se sentir mâle.
jeune amant (E)
Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif,
câlin, joueur, félin et attentif.
Il donna et prit sans retenue.
Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces.
Je lui appris en quelques heures des ...

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Une belle femme, dans la maturité


Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une des dentelles. J'ai chaud Elle me fixe, intensément, s'approche de moi et pose délicatement ses lèvres sur les miennes,
- vos lèvres sont chaudes !
- Je rentre chez moi ... Vous venez ?
Je la suis, entre chez elle à sa suite. Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement sous mes yeux je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise ! ... vous permettez ?
- Vous pouvez m'aider ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Je fais sauter l’agrafe. Elle me fixe à travers la glace.
Elle reste bien dix secondes contre moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ?
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines
- Ce n'est pas si désagréable ?
- Vos mains sont chaudes et douces !
Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle soupire,
Puis elle se retourne vers moi et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... et pose ses lèvres contre les miennes
- Donnez moi vos lèvres !
Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre Puis je sens ses mains descendre vers ma ceinture
- Je vous met à l'aise, Permettez moi que je vous aide !
une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand !
- Je vous sens plein de vigueur ! Je ne vous laisse pas indifférent ?
Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant,
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ...
- On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple.
Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- Je suis mure, vous aussi ! On continue ?
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement
- deshabillez-moi, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
- Ne soyez pas impatient, Sachez me faire attendre un peu
je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire
- Faites glisser ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... plus bas ...
Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon,
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Je vois ! Je sens ! Je vous sens bien mûr !
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- Attendez un instant ! Je vous appelle quand je suis prête !
Et elle file dans sa chambre
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !

- venez avec moi sur le lit ! ... j'ai si envie... donnez moi l'absolu ! je vous en prie !
Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle
- Venez ! ... vite !
Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules.Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Je suis prête ! Venez !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Je vous attend demain soir !
Puis je quitte sa chambre doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
Une belle femme, dans la maturité (E)
Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une des dentelles. J'ai chaud Elle me fixe, intens ...

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la mère de Vanessa


La mère de Vanessa est dans la salle de bain. Une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité.
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
Elle me fixe, intensément,
- Venez donc, ne soyez pas timide.
Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, sa combinaison baille un peu sur ses fortes poitrines, je m'approche, ses seins tremblent doucement, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose doucement ses lèvres sur les miennes, se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre contre moi et m'enlace étroitement. Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser.
- ma fille vous trouve très séduisant. C'est vrai ! Vous êtes très seduisant !
Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, caresse ses seins, qui débordent de son soutien gorge:
- J'ai besoin de me mettre à l'aise, Pouvez vous m'aider ?
Elle me provoque. Je me débat avec l’agrafe mais finit par réussir. Elle se tourne de nouveau vers moi. Elle reste bien dix secondes froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler.
- Eh bien ! Vous restez là ... sans rien faire ? Venez donc m'aider !
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. Elle se tourne et plaque mes deux mains sur ses fortes poitrines.
- ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples ! vous ne trouvez pas ?
Je continue à caresser les seins, les soupeser, ce qui commence à m'exciter terriblement. Elle gémit, s'arqueboute et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle se frotte violemment à moi. Une de ses mains apprécie mes reliefs plus bas. Elle rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis soudain, elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un baiser ardent, profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres avec un regard interrogateur:
- Vous etes inquiet, il me semble ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si rapide.
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire, j’ai envie de vous plaire..
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Puis elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Sa bouche cherche ma bouche, elle cherche mon corps, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- J'ai besoin de faire l'amour ! .... Vous voulez ?
Je suis surpris, un moment tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement
- deshabillez-moi !
je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison tombe en corolle sur le sol. Elle m'entraine alors dans sa chambre et maintenant vers le lit, se couche sur le dos, m'attire vers elle
- Venez ! ... vite !
Puis elle prend mon sexe et le guide vers le sien. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Mon excitation atteind un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes de plaisir.
ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives Puis je quitte sa cabine doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
la mère de Vanessa (E)
La mère de Vanessa est dans la salle de bain. Une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité.
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
Elle me fixe, intensément,
- Ve ...

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Mon jeune amant


Mon jeune amant s'est mis à onduler
très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut,
cherchant à chaque poussée à aller plus profondément.
Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds.
Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse.
il en épousait parfaitement la forme,
caressait amoureusement la fragile muqueuse.
il continua ses va et vients régulers, méthodiques.
Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante.
il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan,
Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin
devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes.
Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps
pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses.
Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux.
Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche,
la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort.
Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair
qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles.
Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon.
La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final.
Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin.
Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni.
Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde.
J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée,
et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu.
Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes.
C'était comme une vague qui m'emportait,
Je sentis enfin le jet puissant de mon jeune amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin,
le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé.
Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent.
C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi.
Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur.
Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,
l'embrassant tendrement dans le cou.
Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
Mon jeune amant (E)
Mon jeune amant s'est mis à onduler
très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut,
cherchant à chaque poussée à aller plus profondément.
Mes râles l'encour ...

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Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Julien voulait donner à Solange tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Solange qui maintenant ronronnait comme une chatte. Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse.Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaent Solange.
Certaines réflexions obcènes de ses camarades lui revenaient en tête : celle-là, qu'est-ce qu'elle est bonne, ou encore c'est une chaude. Julien était choqué de ces remarques, mais aujourd'hui il se demandait s'il ne commençait pas à en saisir le sens. Madame Granger n'était pas bonne, elle était délicieuse. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante. Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion
Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon.Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm.
Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir. Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger. Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts.
Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde ! A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.
Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
(E)
Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pén ...

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il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie.
Nous restions immobiles de longues minutes.
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme.
Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait.
il m'inonda d'une douce chaleur liquide.
Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment.
Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples,
chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion.
Il plongea en moi et gonfla en meme temps.
Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations.
Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations.
Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre.
un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément,
je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant.
La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course.
Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement,
le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait.
Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée.
Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard.
Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur.
J'en gémissais de bonheur.
Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés.
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné.
Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
(E)
il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie.
Nous restions immobiles de longues minutes.
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme.
Il s'enfonçait un peu p ...

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(E)
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- Tu es bien avec moi mon chéri ?
- Serre toi bien contre moi mon amour !
- Vas-y detends-toi bien, contre moi
- Chut ! Serres toi bien contre mon ventre !
- Colles bien ton bassin contre le mien
- laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
- C'est bien mon chéri, je te sens bien ...
- Mais que fais-tu... Non mon amour... soit sage !
- Oohh ... il est bien gros ! ...
- Serre-toi un peu plus, viens
- Ooohh ...ouiiiii... tu es fort,
- il est enorme, dis-moi, je te sens bien ...
- et laisse moi te guider ...
- Tu me rends folle ... mon tresor !
- Plus vite ... Vas y ... lache toi !
- Oui ! C'est bon !
- Rentrons vite chez moi !
(E)
- Tu es bien avec moi mon chéri ?
- Serre toi bien contre moi mon amour !
- Vas-y detends-toi bien, contre moi
- Chut ! Serres toi bien contre mon ventre !
- Colles bien ton bassin contre le mien
- laisses-to ...

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jouissances partagées


Elle glisse doucement sur ma verge bandée. Je me sens littéralement aspiré en elle, je sens ses contractions autour de mon penis avec un bruit de succion terriblement érotique.
- Tu aimes ? me lance-t'elle
J'acquiesce avec délice. Son vagin coule sur mon sexe et sur mes bourses. Les draps sont tachés de nos sécrétions. Je pétris ses seins et je la pénètre, de plus en plus puissamment.
Un dernier coup de rein, je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur.
En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux.
jouissances partagées (E)
Elle glisse doucement sur ma verge bandée. Je me sens littéralement aspiré en elle, je sens ses contractions autour de mon penis avec un bruit de succion terriblement érotique.
- Tu aimes ? me lance-t'elle ...

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Julien, fort excité, enfonça sa longue verge dans les moiteurs du sexe de Marthe, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ne tarda pas à sentir la jouissance arriver. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses cuisses trempées. De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses masculines. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de sa maitresse, Lucien s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Marthe s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration.
Lucien ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Marthe avait compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible.
Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives,
dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Marthe. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes.
Puis, la première à reprendre ses esprits, Marthe fit basculer le corps devenu trop lourd de Lucien à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait.
De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
- Eh ben mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis !
- J'en ai de partout…
- C'était bon ? Tu as aimé ?
- Oh Oui !
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir






C'était la première fois
j'étais bien décidé
Une fois en elle
à me retirer à temps
Mais une fois dedans
On s'est bien amusé
Et on a tant ri
Que je n'ai pu me retirer
je suis resté en elle
On a jamais autant joui
(E)
Julien, fort excité, enfonça sa longue verge dans les moiteurs du sexe de Marthe, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ne ta ...

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Le plaisir est arrivé


Le plaisir est arrivé,
fort, puissant,
je n’ai pas pu me retenir de crier
et mon corps s’est mis à trembler.
Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi,
Tu t'es crispé,
Tu t'es arrêté de bouger ...
Et je t'ai senti te répandre ...
un envahissement chaud ...
de longs jets de sperme
contre mes muqueuses.
J’ai été prise de tremblements
de tout mon corps
et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue.
Puis Tu t'es collé à moi
et tu as commencé à m’embrasser
doucement dans le cou,
Tu t'es retiré doucement,
tu m’a prise dans tes bras
et nous nous sommes embrassés
passionnément.
Le plaisir est arrivé (E)
Le plaisir est arrivé,
fort, puissant,
je n’ai pas pu me retenir de crier
et mon corps s’est mis à trembler.
Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi,
Tu t'es crispé, ...

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explosion


je l'ai soudain senti
tirer un chargement incroyable
de son sperme dans mon ventre
je poussais mon bassin contre lui
aussi fort que possible.
Je pouvais sentir chaque giclée
déclenchant un orgasme incroyable
C'était magnifique.
Même mes mamelons me brûlaient.
explosion (E)
je l'ai soudain senti
tirer un chargement incroyable
de son sperme dans mon ventre
je poussais mon bassin contre lui
aussi fort que possible.
Je pouvais sentir chaque giclée
déclenchant un orgasme ...

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Etoffes légères, délicates et de soie


Etoffes légères, délicates, de douces combinaisons de nylon à fines dentelles, de délicieuses petites culottes de soie. Son corps et son parfum envahissent l'alcove, un ventre trop charnel et des seins à croquer, de longues jambes divines. Je l'imagine déjà, sa robe tombe à terre et la culotte suit, son corps est nu, ses mains au bas de la douce étoffe, elle enfourne sa tête et y glisse son corps. volupté exquise de la soie sur sa peau. Elle se dénude doucement, pour mieux se revêtir. Tendre caresse de sa douce lingerie ! J'aime ce contact soyeux sur son entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J'aime son doux tissu qui glisse sur sa peau J'aime la sentir pleine du désir de moi. Je rêve de ses caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse. Cette lingerie de soie blanche, si fine, sur laquelle mes lèvres vont s’attacher Pleine de ses mains, de mes lèvres, de mon sexe, pleine de sa faim, de sa soif de plaisir, Cette lingerie qu'elle écarte un peu pour que je vienne en elle, pour que je me glisse en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de celle de la sienne, Qui lui fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie qui tombe dans la chambre, pleine de mon odeur mâle, de son odeur femelle Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme, joyeusement partagé, et qu'elle garde en haut de ses cuisses. Cette lingerie si remplie de moi, si remplie de son homme,
Etoffes légères, délicates et de soie (E)
Etoffes légères, délicates, de douces combinaisons de nylon à fines dentelles, de délicieuses petites culottes de soie. Son corps et son parfum envahissent l'alcove, un ventre trop charnel et des seins &ag ...

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la douce lingerie de Mme Granger (3)


Je la vis un soir se diriger vers la salle de bain, avec ses affaires. Elle ôta sa robe et se retrouva en combinaison rose. Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Ils semblaient fermes, des tétons gros et longs, très foncés. Elle caressa lentement le dessous des seins, je remarquai qu'elle avait changé de combinaison, mais n'avait dessous ni culotte ni soutien-gorge. Elle se glissa dans une nouvelle robe, prit son linge et sortit. Elle avait laissé sa combinaison sur place Je pris la combinaison noire encore tiède et respirai ses effluves. Je la roulai en boule et la mis dans ma poche. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la belle combinaison noire. Je l'ai revêtue et toutes les images de l'après-midi sont revenues : les beaux seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluides j'enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images deMme Granger. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance. il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que j'aurais pu reconnaître les yeux fermés.
je revoyais ses seins tout ronds, et sa touffe noire. Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé !

C'est le grincement de la poignée de la porte qui m'a tiré de ma rêverie. Mme Granger était là, dans l'embrasure de la porte, Et moi, blanc comme un linge, sa culotte à la main. Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, elle avait l'air navrée d'être arrivée au mauvais moment.
- Tu aimes mes combinaisons ?
Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : Abasourdi, je m'assis sur le lit et contemplai sans dire un mot.
- Choisis celle que tu veux et je vais la mettre pour toi.
Je pris dans la pile une combinaison noire, ornée d'une fine dentelle à la poitrine.
- C'est tout ? Déshabille-toi, je reviens ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.
Je fis ce qu'elle m'avait demandé. Je l'entendis arriver et je sentis soudain sa présence contre moi. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. elle prit alors les choses en main.
- Calme-toi, mon ange, je vais m'occuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire.
Elle commença par venir m'embrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma tige turgescente.
- Elle est belle !
J'étais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment. Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. l'effet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, l'idée que tatie était là tout près, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Sans un mot, elle me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- caresse-moi mon chéri ! je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé.
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles.La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.
la douce lingerie de Mme Granger (3) (E)
Je la vis un soir se diriger vers la salle de bain, avec ses affaires. Elle ôta sa robe et se retrouva en combinaison rose. Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. le fin tissu glissa doucement le ...

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la douce lingerie de Mme Granger (4)


J'étais dans un demi sommeil lorsque Mme Granger frappa à ma porte Lorsque la porte s'ouvrit, elle m'apparut vetue d'un voluptueux déshabillé de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Belle, provocante. mes sens étaient imprégnés d'une odeur à la fois subtile et raffinée. Il était déjà tard. Elle me sourit d'un sourire étrange, gêné presque. elle jouait des plis de sa robe de nuit, ses poitrines genereuses bougaient. des poitrines souples et légèrement tombantes, de longues jambes fines et moulées par le tissus luisant, Elle ferma la porte, et me parla de sa voix chaude en me fixant d'un étrange sourire. J'avais de plus en plus chaud.
- Je n'arrive pas à dormir ! ... Je peux ?
Elle s'allonga près de moi, se tourna vers moi, me fixa un bon moment
- Je peux rester avec toi cette nuit ?
Je ne trouvais plus mes mots.
- Je te sens inquiet ? détends toi ... je suis bien contre toi
Je n'arrivais plus à articuler (ma défaite), Je ne savais plus ou me mettre, où poser mon regard Elle posa sa main sur mon torse puis posa ses lèvres sur les miennes, Je me contenais de plus en plus difficilement.
- j'ai besoin de tendresse.
Elle commenca à écarter sa robe de nuit, Je ne répondais pas et déglutissais difficilement. Elle dévoila son buste, sans complexe, degrapha son soutien-gorge, ses seins s'affaisserent, lourdement devant mon regard ahuri.
- mes seins te plaisent, apparement !
- Je suis chaude ! Je mouille ! ... à cause de toi !
Elle defit sa robe ... qui tomba sur le tapis. Elle retira délicatement sa culotte de soie. Et elle se blottit nue contre moi dans le lit.
- Serre moi contre toi !
- J'ai envie ! Tout de suite ! Le veux tu ?
J'étais sans voix. Elle ne perdit pas de temps. Elle me déshabilla, Elle ouvrit mon pantalon de pyjama, glissa sa main jusqu'à ma verge dure comme le bois ! Je n'arrivais plus à dissimuler quoi que ce soit
- C'est pour moi ? ... Je suis sure que c'est pour moi !
Je n'eu pas le temps de réagir. Elle m’embrassa, sensuellement, me suça littéralement. Ma bouche chercha sa bouche,son corps, ses seins, Nous étions nus l’un contre l’autre. je lui palpais les seins, je les suçais goulument. ils étaient enduit de ma salive. Elle me regardes tendrement, me fusilla du regard
- J'ai envie de toi ! Je veux te sentir dans mon ventre. Je te veux en moi. Viens !
Je me positionnais sur elle. Elle dirigea mon sexe. je suis littéralement senti aspiré en elle, je m'enfonçais, je me perdais en elle, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir. Ca glissait tout seul; Elle commenca à jouir au milieu de bruits de clapotis et de succion. les va et vient furent de plus en plus rapides. Elle gémissait, ondulant son bassin. ma verge fouillait son ventre, se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait en elle. elle me tenait profondément serré en elle. Elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Nous lançions des mots sans suite Elle se retourna vers moi avec des yeux gourmands.
- Baises-moi ! Fort ! Violemment ! bien au fond !
Elle avala mon sexe en jouant de ma résistance. Je sentais chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroulait, se défaisait, plongeait se retirait, me dévorait. Puis elle me serra, se contracta, brutalement ... Un orgasme sans égal la secoua de spasmes durant de longues minutes… Je n'en pouvais plus, je me sentis venir. Elle me regarda intensément
- Jouis ! Maintenant ! Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
- Donne-moi ton sperme ! Vite !
Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monta. Un frisson. Elle le sentit venir, je m’enfoncais en elle, loin très loin. Je me rapetissais. Le trait m’échappa dans un cri rauque .... Je lâchais tout. J'ouvrais les vannes. je me libèrais .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je giclais en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçut mon offrande liquide. Elle me suça, je me vidais au fin fond de son ventre. Elle suca tout, ne gâcha, ne perdit rien. C’etait insoutenable. Elle me prit par la hampe et frotta contre ses lèvres mon gland qui trempait dans mon sperme. Elle avala presque tout mon corps, lapa avec sa vulve ma queue dressée. Nous étions épuisés. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre
la douce lingerie de Mme Granger (4) (E)
J'étais dans un demi sommeil lorsque Mme Granger frappa à ma porte Lorsque la porte s'ouvrit, elle m'apparut vetue d'un voluptueux déshabillé de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps ...

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la douce lingerie de Mme Granger (6)


Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvrit la porte en grand et m'appela. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte. Mme Granger était une belle femme, terriblement attirante et sensuelle. Hypnotisé, je commençais à m'avancer vers Mme Granger qui s'approcha de moi. Elle me remonta maternellement mes habits, puis elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, Viens !
Elle m'attira aussitôt dans sa chambre et referma la porte derrière nous. Elle me plaça doucement contre le mur et se colla langoureusement à moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre, puis desserra ma ceinture. Elle glissa une main dans mon pantalon, prit dans sa main mon membre turgescent et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur mon sexe endolori lui apportait apparement calme et réconfort. Inconsciemment, je recherchai le contact de la peau de Mme Granger que je n'avais jamais songé à pouvoir un jour toucher. Je cherchais à remplir mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis sa main se posa et caressa ma joue. Son pouce se mis à glisser délicatement, sensuellement sur mes lèvres. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvrir mes lèvres et de pénétrer dans ma bouche. Mais au moment où je succombais, elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes, c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau.
C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. Elle semblait au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement. Elle en profita pour se frotter contre ma protubérance indécente. Instinctivement, je fis balancer mon bassin pour amplifier ma caresse appaisante. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie mon amour.
Sans attendre elle m'entraina vers le lit me demandant de m'allonger. Elle se laissa couler le long de mon corps, me caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses pleines. Déjà le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractais pour ne pas jouir immédiatement J'attrapais la tête de Mme Granger pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard.
- Madame Granger ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête, enserra fortement la base due mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser sur mon sexe et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Madame Granger !
Et dans mes feulements, mes soupirs, mes ronronnements ... je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar qu'elle semblait déguster, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu buvant littéralement ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger m'adressa un regard langoureux, à moi, son jeune amant pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Je recherchais mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardais Mme Granger à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualité. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme assouvie.

Je pris Madame Granger par les épaules pour la relever, je l'embrassais à pleine bouche, de toute la fougue de mes dix-huit ans et de toute la passion qu'avait fait naître en moi la divine fellation prodiguée par ma merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Nos lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, nos langues ne se repoussaient plus mais s'enlaçaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant.
Ce baiser se prolongea car, tous deux, nous voulions profiter de cette union hors du temps. Ce baiser nous calmait aprés cet orgasme violent. Il nous permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser nous redonnait des forces, nous revitalisait, nous revigourait
et nous étions prêts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun de nous l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà je ressentais dans mon sexe les effets de nos caresses buccales,

Je fis pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Je m'écrasais un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de nos lèvres qui se séparaient pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse comprima davantage la vulve de Mme Granger, écrasant son clitoris tendu. Ma main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre ses deux masses charnues. Ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés. Elle m'avait fait pénétrer dans sa chambre, moi, un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant.

La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est moi qui rompit notre étreinte pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais faire l'amour...
Elle s'aggripa alors encore plus fortement à moi
- Oui, Julien, J'ai envie de toi, moi aussi, j'ai envie de te sentir dans mon ventre ...
- Viens mon ange, viens me faire l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec moi, être possédée par moi. Debout Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour son mari, il n'avait qu'à pas être en retard. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches .

Elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible a mon bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. J'étais subjugué par tant de grâce, de douceur, émerveillé par la beauté du corps de mon initiatrice. Elle se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena mon mat à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales. Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, Madame Granger me plaqua fermement contre elle. S'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Ce fut comme un coup de fouet pour moi et je propulsai brutalement mon bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de ma maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Lea, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à moi,
essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Je m'affolai un peu :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Madame Granger murmurait ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. Ma pénétration brusque l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par mon pieu de chair. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que ma pénétration se fit facilement et que mon gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle.
Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- Viens, Julien, baise moi.
Le souffle chaud de ma maîtresse dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent et j'entamai un lent retrait de mon membre durci. Sur mon épaule Mme Granger se crispa :
- Non reste !
Et je replongeai à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de ma maîtresse me firent comprendre que j'avais vu juste, il me fallait combler cette femme merveilleuse. Je voulais lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de mon amante qui maintenant ronronnait comme une chatte.

Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Mon membre raidi coulissait profondément dans le vagin de ma sensuelle maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je sentais ma barre rigide complètement enserrée dans son ventre chaud bien qu'étrangement libre d'aller où elle voulait. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques qui extasiaient Mme Granger. Le goût de sa peau que je lapais comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour moi. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante.
J'étais en nage et une chaleur torride irradiait du corps de ma maîtresse, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, ma queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion. Je devenais fou. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur vers mon cerveau me faisait totalement perdre le contrôle de mes actes. Chaque partie de mon corps semblait évoluer pour son propre compte. Ma bouche courait sur tout le visage et le cou de mon égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Mes lèvres dévoraient à nouveau celles de ma maîtresse, mes dents jouaient avec les mamelons turgides de mon initiatrice. Mes mains couraient elles aussi frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement ma partenaire et mieux investir de mon pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger.
Un seul mot d'ordre pour moi, jeune mâle, contrôler les spasmes de mon sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer ma charnelle déesse, pour combler ma muse volupteuse. Et je me consacrais entièrement au culte d'amour dans la douce caverne aux délices, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous mes perverses caresses internes. Décidément, je me révélais être un vrai démon. Je la pénétrais, la forçais à s'ouvrir à mes profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Mon pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par son mari. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Je lui avais totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler,
mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. J'avais compris ce qui était en train de se passer mais je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de ma maîtresse et aboutir à son plaisir.

Mme Granger voulait que j'explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Ma divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer encore plus ma colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Elle y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre de l'intérieur de la cuisse de ma partenaire sur mes fesses m'électrisèrent. La pression de la gaine brûlante emprisonnant mon gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans cette chatte baveuse comme si je voulais faire traverser le mur à ma partenaire. je lui pilonnais son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. j'hurlais des rales d'effort à chaque violente poussée, j' implorai le nom de ma maîtresse à chaque coup de butoir. J'étais devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. j'étais un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Mme Granger n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant de mes poussées fulgurantes elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde.
Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort.. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de ma semence chaude inonda le point le plus profond de la chatte de Mme Granger, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu. J'avais senti l'imminence de mon éjaculation et j'avais encore accéléré la force de mes coups de butoir dans le ventre brûlant de ma maîtresse. Je sentis tout le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant par mon gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
j'étais l'Etna et le Vésuve réunis, j'étais l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans le cou de Madame Granger, je continuais de limer mon amante comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de ma longue barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.
Je voulus exprimer mes sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Je voulus protester, mais mon initiatrice me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe commença à glisser doucement de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Mme Granger ...
Un peu déconfit, je remontai mon slip et mon pantalon. j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et tout poisseux et mes bourses trempées de la jouissance de ma maîtresse. Elle replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Je me retrouvai seul dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité.

Appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante.
Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. elle commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
la douce lingerie de Mme Granger (6) (E)
Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvri ...

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la grande armoire de Tante Jeanne


En ouvrant l'armoire de Tante Jeanne, je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des rangées complètes de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une affolante combinaison noire encore chaude de son corps, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
Je pris la combinaison noire encore tiède de Tatie. Je respirai ses effluves et me caressai avec. J'ai passé un moment merveilleux avec la douce lingerie de tatie en profitant de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des fines bretelles sur mes épaules. Puis j'enlevai la combinaison et enveloppai ma bourse et mon sexe dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et imaginai les images de ma tante dans sa jolie combinaison. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance.

C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle se dirigea vers moi, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ôta son peignoir et se retrouva en combinaison rose, délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Elle caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. elle n'avait plus dessous ni culotte ni soutien-gorge.
Puis elle vint vers moi et serra son corps contre le mien, passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Bon, alors, tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement.
- Je vais m'occuper de toi mon ange ... Allonge-toi et laisse-moi faire.
sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume.

Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma verge bien bandée. je me mis à tripoter es seins à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Elle me regarda.

Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- Vas-y mon cheri, je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut.
Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé. Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.
la grande armoire de Tante Jeanne (E)
En ouvrant l'armoire de Tante Jeanne, je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des rangées complètes de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une a ...

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Madame la Baronne


J'entre dans la salle de séjour. La baronne est entrain de ranger des papiers. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une charmante dentelle. J'ai chaud. Elle se retourne vers moi, me fixe, intensément, et me sourit
- Mettez vous à l'aise !
Ses yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines, ses seins tremblent doucement sous mes yeux, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle me trouble. Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque.
- Il fait chaud ! J'ai besoin de me mettre à l'aise ! ... vous permettez ?
Elle defait et laisse tomber sa chemise sur le parquet
- Vous pouvez m'aider ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
J'hésite quelques secondes.
- Vous voulez bien ? ... S'il vous plait ! ...Je vous laisse faire
Je fais sauter l’agrafe. Elle me fixe à travers la glace. Elle reste bien dix secondes, poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ?
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines. J'ose caresser doucement ses seins. Les pointes sont en saillie.
- Vos mains sont chaudes et douces !
Elle soupire, puis elle se retourne vers moi, me regarde ... intensément ... Puis elle m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi, puis elle pose sa main sur la mienne comme si elle voulait me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse. Elle se serre un peu plus contre moi et avance son visage près du mien.
- Donnez moi vos lèvres !
Le baiser est intense, profond, ma langue cherche la sienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre. Puis je sens ses mains descendre vers ma ceinture, refaire un a un les crans, faufiler sa main plus bas. Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher et me fixe alors d'un regard de feu
- Je ne vous laisse pas indifférent !
Une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ...
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- Je suis mure, vous aussi ! On continue ?
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement.Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblementet, se penchant à mon oreille elle me souffle
- Déshabillez-moi !
Je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire
- Vous aimez ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... Laissez moi vous mettre à l'aise
Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon,
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Je vois ! Je sens !
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, Elle m'attire vers elle, saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux, dirige mon sexe vers son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Je suis prête ! Venez !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Maintenant ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été à la hauteur !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Restez avec moi ce soir !
Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
Madame la Baronne (E)
J'entre dans la salle de séjour. La baronne est entrain de ranger des papiers. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines gén&ea ...

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interview approfondie


Elle m'avait appelé, avec insistance, déjà seule dans sa suite, trop grande. les interviews étaient terminés. Elle ne m'avait reçu que 5 minutes et semblait le regretter.
- Vous êtes restés trop peu de temps. J'avais encore des choses à vous dire !
- Voulez vous revenir un moment ?
- Je vous attends ... au 3ème, chambre 330
Je repris la direction de l'hôtel, pris l'ascenseur rapidement et la rejoignis dans son appartement. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une des dentelles. J'ai chaud. Elle me fixe, intensément, s'approche de moi et pose délicatement ses lèvres sur les miennes, et me sourit
- Nous allons pouvoir approfondir certains points ... Vous voulez bien ?
Je suis chez elle, dans sa suite. Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement sous mes yeux
je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous sommes dans sa chambre. Elle me trouble Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise ! ... vous permettez ?
- Vous pouvez m'aider ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Je fais sauter l’agrafe. Elle me fixe à travers la glace. Elle reste bien dix secondes contre moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ?
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines
- Ce n'est pas si désagréable ?
- Vos mains sont chaudes et douces !
Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle soupire, Puis elle se retourne vers moi et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... approche ses lèvres de moi ... un regard suppliant
- Donnez moi vos lèvres !
Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre Puis je sens ses mains descendre vers ma ceinture
- Je vous met à l'aise, Permettez moi que je vous aide !
une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand !
- Je vous sens plein de vigueur ! Je ne vous laisse pas indifférent ?
Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant,
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ...
- On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- Je suis mure, vous aussi ! On continue ?
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement
- deshabillez-moi, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
- Ne soyez pas impatient, Sachez me faire attendre un peu
je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles.
Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire
- Faites glisser ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... plus bas ...
Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon,
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Je vois ! Je sens ! Je vous sens bien mûr !
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- Attendez un instant ! Je vous appelle quand je suis prête !
Et elle file dans sa chambre
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !
- venez avec moi sur le lit ! ... j'ai si envie... donnez moi l'absolu ! je vous en prie !
Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle
- Venez ! ... vite !
Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Je suis prête ! Venez !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Restez avec moi ce soir !
Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
interview approfondie (E)
Elle m'avait appelé, avec insistance, déjà seule dans sa suite, trop grande. les interviews étaient terminés. Elle ne m'avait reçu que 5 minutes et semblait le regretter.
- Vous êtes rest& ...

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tresor si souple


Je lui caressai le torse, le ventre, infiniment lentement. Douce sensation, trouble emotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiede, la soupesai, lui imprimai un leger mouvement, j'enserrai tendrement, délicatement la base de son sexe, jusqu'a sentir le tendre et troublant contact de sa bourse pleine, de ses testicules. Je le sentis au même moment se redresser, Il était la, près de moi, rougissant, abandonné a mes mains, en son etat de nature, troublante statue de chair pale, fremissante, fraiche et tendre.
Je sentis vivre et palpiter les veines gonflees irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, etait de plus en plus forte.
tresor si souple (E)
Je lui caressai le torse, le ventre, infiniment lentement. Douce sensation, trouble emotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiede, la soupesai, lui imprimai un leger mouvement, j'enserrai tendrement, délicatement la base d ...

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Marthe


Apres m'avoir demandé de m'installer dans son lit, Marthe arrive dans la chambre vêtue d'une nuisette légère de nylon bleu au large décolleté. Elle se lève et commence à faire coulisser la fermeture-éclair de sa robe. Elle se dégage les épaules puis baisse le haut de la robe jusqu'au niveau des hanches. Je découvre son dos et les courbes de son soutien-gorge de dentelle blanche. Les deux seins forment un long sillon profond et étroit. Je bande. Elle caresse son épaule, se saisit lentement de sa bretelle de robe en me regardant droit dans les yeux. La robe glisse. Le soutien-gorge est en fine dentelle, assez bien échancré. Il soutient fermement une poitrine lourde. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, me regarde. Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Elle passe les mains derrière le dos et fait sauter l'agrafe. Ses mains viennent alors se saisir des poitrines encore enveloppées. Deux mamelles genereuses, lourdes et gonflées, douces et blanches, en forme de poires géantes. Martha commence à se caresser le sein droit. Je bande et n'en peux plus. Elle se lève, se saisit de sa culotte de soie blanche qu'elle fait glisser sur ses cuisses belles, rondes et bien grosses.

Elle vient s'asseoir près de moi, et m'entoure de son bras. J'avance ma main et viens la poser sous son sein gauche. Je soulève cette superbe mamelle, la soupese. Quelle douceur, quelle chaleur. Marthe defait la ceinture de mon pantalon, passe sa main sous mon slip, souspese mes bourses et se saisit de mon membre. Elle le masse légèrement. La main qui me branle accélère son mouvement comme pour me remercier des caresses que je prodigue sur ses seins. Je continue en malaxant les masses mammaires des paumes de mains. Presque aussitôt, ne maîtrisant plus très bien son excitation, Marthe entrouvre sans retenue ses cuisses. Je découvre la vulve largement ouverte. Les lèvres sont longues et volumineuses. L'excitation les a rendu gonflées et d'un rose profond. Marthe me regarde l'observer intimement et plutôt que de se cacher, elle ouvre un peu plus les cuisses. Je vois nettement le bord des vulves. Elle me branle avec lenteur et efficacité. Je lui palpe le sein en douceur.

Elle prend mon pantalon, le tire vers le bas. Ma verge reste raide et le gland vient buter contre son genou. Je viens prendre en mains les deux seins. Je les malaxe, les releve et les rapproche, les deux pointes viennent se toucher. Alors, je m'en saisis entre les lèvres et les tète goulûment. Elle gémit. Toujours seins en mains, je me mets à couvrir sa poitrine et sa gorge de baisers. Je la sens alors plier sous mes caresses buccales.
Elle se laisse basculer. Je la laisse s’allonger et lui pose un coussin de dossier sous la tête. Elle me lance un regard complice et m'encourage. Ses gros seins sont comme deux outres bien remplies. Elle me regarde dans les yeux.
- Allez, viens!
Je me penche et je pose mes bras de part et d'autre de ses coussins d'amour. Elle se les prend en main et les relève. Je m'approche, donne quelques baisers. Je sens ses cuisses se refermer pour me coincer. Mon penis est en feu à quelques centimètres de sa vulve brûlante. Je viens sur elle. Je suce, je tète, je pelote, je titille les mamelles. Elle semble en extase et se laisse faire. Je sens mon gland au contact de sa vulve humide et chaude. J'ondule des reins pour le lui faire sentir. Je suis en contact avec les lèvres intimes de Martha. Elle réagit en essayant de me repousser mais je résiste. Je lui donne un baiser près des lèvres. Sa bouche reste fermée. Je couvre son visage de baisers pour lui faire comprendre à quel point je la désire. Je sens sa résistance faiblir. Je réitère mon baiser sur la bouche et caresse ses lèvres de ma langue humide pour le lui faire accepter. Je pousse un peu mon sexe sur sa vulve. Elle ne résiste presque plus Elle ouvre la bouche et sa langue vient à la rencontre de la mienne. Quel baiser profond!

Je sens ma verge reprendre la vigueur. Martha remue le ventre. Le moment est venu. J'introduis lentement mon membre à l'interieur de son vagin. Je m'enfonce tout doucement. Elle gemit. Je m'enfonce encore un peu plus, puis je m'arrete. Je sens ses muscles intimes onduler. Je prends appui sur les mains pour mieux controler ma penetration. Je la regarde, elle a les yeux fermés. Je me retire du vagin mouillé, je glisse mon sexe le long de sa fente, puis je le reintroduis en elle, plus fermemement, jusqu'au bout. Et je commence à coulisser en elle. Je regarde nos ventres et vois mon membre luisant de sa mouille plonger dans son fourreau. Nos regards se croisent. Elle approche de l'orgasme. Elle prend en main ses poitrines et se les malaxe. Je la penetre de plus en plus vite.... Elle lâche ses seins et vient me caresser les hanches puis glisse les mains sur mes fesses qu'elle caresse. Ma verge dure comme de la pierre coulisse dans son puit. Ses mamelles dansent au rythme de mon va-et-vient. Le spectacle est ahurissant: Soudés par nos sexes, elle se donne à fond. Elle écarte les cuisses au maximum pour qu'elle puisse me sentir au plus profond d'elle. Elle serre et tire sur mes fesses pour mieux sentir mon dard au fond d'elle. Je la vois fermer les yeux et se mordre les lèvres tant son orgasme approche et l'encourage à jouir. Je la vois partir dans l'extase, je pars moi aussi ... Une première giclée accompagnée d'un grognement de plaisir ... suivi d'une seconde, d'une troisième et d'autres... Je râle, je grogne, je jouis... Elle aussi. Elle me serre les fesses contre elle comme si elle ne voulait pas en perdre une goutte. Quelle est belle quand elle jouit!
J'ai l'impression de ne pas en finir et de décharger un litre de ma semence au fond de son ventre ...

Je la regarde et me laisse doucement tomber sur elle. Mon torse vient écraser ses délicieuses masses blanches. Mon visage vient contre le sien et je lui donne un baiser sur les lèvres comme pour la remercier. Je redouble mes baisers. Alors que je sens ma verge redevenue molle et glisser du vagin dans un flot de sperme, elle ouvre les yeux et me regarde avec une gène bien marquée... Je prends son sein droit bien en main, le pelote et lui donne de petits baisers. Martha est restée allongée. J'ai fait l'amour avec Martha.
Marthe (E)
Apres m'avoir demandé de m'installer dans son lit, Marthe arrive dans la chambre vêtue d'une nuisette légère de nylon bleu au large décolleté. Elle se lève et commence à faire coulisser ...

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la mère de Vanessa


la mère de Vanessa est une belle femme mûre, sensuelle, comme sa fille, de belles poitrines qui flottent dans un charmant soutien-gorge de dentelles. Elle me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son décolleté baille un peu sur ses fortes poitrines. Elle se tourne vers la glace, caresse ses seins, qui pointent sous le satin. Ils tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.

Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Elle s'approche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse, mes lèvres sont à quelques centimètres de siennes. Je suis totalement sous son emprise. Elle se rapproche encore. Puis, elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisé. Elle me fixe de nouveau avec, cette fois, un sourire gourmand. Je fond ! Elle se serre alors contre moi et m'enlace étroitement . Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous restons un moment face à face, sans parler. Puis elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Le contact m’électrise. Je caresse et palpe cette chair douce et ferme. Elle soupire, le regard vitreux.

Je tente de m'échapper, mais elle me retient et m'attire vers elle. Passant sa main sur ma nuque, attirant mes levres à la rencontre des siennes. Le baiser est beaucoup plus ardent ... et profond. Je me décompose ! Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je déglutis difficilement. Elle commence à dégrafer sa robe, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Je suis tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, je pose mes mains sur ses épaules et ose écarter ses bretelles. sa lingerie glisse à terre... Elle est nue maintenant, son corps contre le mien.

Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle. Elle plonge alors son regard vitreux dans mes yeux ... me supplie de venir. Je la pénètre ... avec douceur. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. C'est suave. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine, et émet des bruits delicieux de succion, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des râles. Ses mouvements se font plus désordonnés, Mon excitation atteind un paroxysme. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes ... se relache finalement sur le lit en me souriant.

Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Elle me caresse tendrement. Puis je quitte sa cabine doucement.
Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
la mère de Vanessa (E)
la mère de Vanessa est une belle femme mûre, sensuelle, comme sa fille, de belles poitrines qui flottent dans un charmant soutien-gorge de dentelles. Elle me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sour ...

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la sensualité de tante Jeanne


Jeanne fit rentrer Robert chez elle et enlaça tendrement son neveu. Emu, Robert sentit les seins de Tante Jeanne qui s'écrasaient mollement contre sa poitrine. Il fut troublé par le contact sensuel des deux masses élastiques. Dans un geste qui se voulait bienveillant, il caressa affectueusement le dos de sa tante et sentit aussitot le relief du soutien-gorge sous le corsage de soie.

Jeanne n'abrégeait toujours pas ses elans de tendresse. Tout en continuant, d'une manière un peu plus sensuelle qu'il n'aurait fallu, elle sentit le frémissement du jeune sexe de Robert, devinant ses fantasmes d'adolescent.
Paniqué, Robert tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le troublait de plus en plus, mais Jeanne continuait à cajoler son neveu, inconsciente du trouble qu'elle créait.

Le frôlement des deux corps ne fit qu'aggraver les choses. Jeanne, éprouvant soudain une douce sensation au contact de la proéminence de son neveu, s'ingénia à faire durer le moment. Affolée, elle sentit même une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, Elle tenta de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur, ce qui eut l'effet inverse:

N'y tenant plus, Robert attira sa tante plus étroitement vers lui, lui faisant sentir la fermeté de son désir. Affolée par ce contact viril, elle demeura figée, la bouche entrouverte, machinalement Robert posa une main sur l'un des seins fremissants sous son corsage, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le leger tissu. elle laissa faire son neveu
- Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts .
Terriblement excité, Robert prit alors le second sein et entreprit de palper les lourdes mamelles, objets de ses fantasmes d'adolescent. Il constata vite que le regard de Jeanne devenait plus trouble au fil des caresses, que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambra ses reins Accrochée à lui, le visage dans son cou, Les sens exacerbés, elle fit frotter son bas-ventre contre ce membre dressé,

Lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement Robert retroussait sa jupe sur ses cuisses, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération. Comprenant à son immobilisme soudain, que sa tante s'abandonnait à ses sens en complet désarroi, Robert retroussa un peu plus la jupe. et put saisir à pleine mains les fesses rondes et fermes, avant de glisser ses doigts dans le vêtement intime Dans son cou Jeanne gémissait furtivement. et lorsque l'un des doigts de son neveu s'enfonça délicatement dans son intimité, elle sentit son cœur s'emballer, son bas-ventre se crisper, cette onde voluptueuse la submergea toute, elle ressentit comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant tout le flux sensuel emmagasiné en elle. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s'accrocha désespérément au cou de son neveu dont les doigts la fouillaient d'une manière terriblement voluptueuse. la vulve de Jeanne dégoulinait d'un jus chaud et onctueux.

La gorge nouée, terriblement ému par ce qu'il osait, Robert enfonça ses doigts dans le magma liquide qui enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Sa main barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. il commença à se mouvoir en profondeur dans le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et glissant. Complètement bouleversée par cette situation, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés d'aider son neveu qui la fouillait si profondément. Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir monter la jouissance. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements. La main trempé par l'abondance des sécrétions vaginales que sa tante avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels,

La verge de Robert ètait raidie à l'extrême, dure et frémissante de désir contenu. Jeanne s'en rendit compte et posa alors sa main sur l'énorme protubérance. Prise d'une impatience érotique, elle s'attaqua à la ceinture du pantalon, qui s'écroula mollement. Sentant la main de sa tante enserrer sa verge, Robert ne put réprimer un tremblement voluptueux. Saisissant sa sensuelle tante par les hanches, Robert la poussa doucement vers la chambre. Jeanne tenta faiblement de protester mais, incapable de résister, elle laissa son ardent neveu la coucher sur le lit, un long frisson de désir lui parcouru tout le corps.
- Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en sentant le jeune homme retrousser sa jupe…
Robert se pencha sur le bas-ventre qu’il venait de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin, il la tira doucement vers le bas.
- Oh Non ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix…
- Sois sage…Ce n’est pas bien… mon chéri…
Mais son corps s’offrait sans retenues, elle souleva ses fesses, afin d’aider son neveu à lui retirer sa lingerie intime. elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, Envahie de desir, elle empoigna fougueusement ses deux seins pour les étreindre passionnément. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa vulve trempée, elle haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux.

Allongée sur le lit, les jambes largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée l’énorme sexe de son neveu. Elle degrapha son chemisier d'un geste souple libérant brutalement ses magnifiques seins, qui s’avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses élastiques. Se penchant sur le corps étendu de sa sensuelle tante, il referma ses lèvres sur l’un des tétons raides et durs, qu’il se mit à sucer avec une délectation sensuelle.
Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne referma ses doigts dans la chevelure de son jeune partenaire, l’attirant fiévreusement contre son sein. son bas-ventre commençait à s’agiter sensuellement à la recherche d’un sexe masculin. Robert abandonna alors les énormes mamelles luisantes de sa salive, pour se redresser. il présenta sa verge à l’entrée de la vulve de sa tante, Jeanne ne put contenir le frisson de que lui procura ce frôlement érotique.
- Oh Non, Robert ! … Il ne faut pas ! … C’est pas bien ! …
Surexcitée, elle agita pourtant ses hanches, langoureusement, lançant désespérément sa vulve à la rencontre du sexe de son neveu. Perdant toute retenue, impatiente de sentir ce sexe s’enfoncer dans son vagin en fusion,
- Je t’en prie, sanglota-t-elle … Non ... Euh ...Oui ! .... Viens !
La gorge nouée par l’émotion, Robert appuya son gland et lentement, sans avoir à forcer, il enfonça son sexe qui fut comme aspiré par l'orifice sexuel féminin. Bientôt, seules les bourses émergèrent, la totalité du sexe étant enfoui dans le ventre de sa tante,
Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par l’énorme sexe, Les mains agrippées aux larges hanches potelées de sa tante, Robert se laissa glisser d’abord lentement, Puis il retira sa verge .... un peu.
- Oh non, gémit-elle… Reste !… C’est si bon !…
Robert s'enfonça de nouveau entre les cuisses que sa tante avait gardé grandes ouvertes,
- Oh, Mon chéri !… .
Le va-et-vient puissant et régulier du gland dilaté entre les parois juteuses de la vulve de Jeanne declencha chez elle des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient son corps.
- Viens ! Je sens bien ta queue dans mon ventre !… Viens, mon chéri !…
Lui saisissant les hanches, Robert la penetra d’un ample mouvement des reins, et fit coulisser sa verge dans son vagin, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de son vagin pour se perdre entre ses fesses charnues.
il ressentait le frottement terriblement affolant des chairs internes de la vulve contre sa verge. Le corps en sueur il se démena alors en ondulant des hanches, Accompagnant les gémissements de plus en plus prononcés de sa tante, il se dechaina dans le fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, Enfin Robert sentit le plaisir envahir son bas-ventre, gonfler un peu plus sa virilité. Percevant les frémissements avant coureur qui agitaient son membre, il s'enfonça bien au fond, s'immobilisa et .... il gicla copieusement son sperme épais et abondant en plusieurs jets puissants. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouit dans une contorsion extraordinaire de tout son corps.

Au bout d’un long moment, les deux amants reprirent enfin leurs esprits. Lentement, Jeanne retira l'enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur son ventre encore parcouru de spasmes. Jeanne s’accrocha au cou de son neveu et l’embrassa tendrement du bout des lèvres. Attendri par cet abandon, Robert attira sa tante à lui
et collant ses lèvres aux siennes l’embrassa passionnément, lui fouillant la bouche de sa langue agile.
la sensualité de tante Jeanne (E)
Jeanne fit rentrer Robert chez elle et enlaça tendrement son neveu. Emu, Robert sentit les seins de Tante Jeanne qui s'écrasaient mollement contre sa poitrine. Il fut troublé par le contact sensuel des deux masses &eacu ...

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Marthe


Lorsque j'arrive chez elle, il est déjà tard. Marthe s'est retirée dans sa chambre. Elle me dit de rentrer et de monter tout de suite chez elle. La porte de la chambre vient à peine de s'ouvrir, mes sens sont impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Marthe est vetue d'un voluptueux déshabillé de soie blanc, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, elle joue des plis de sa combinaison, ses seins ondulent sous une transparence laissant deviner des pointes en saillie. ses poitrines genereuses se balançent légèrement Elles sont souples et légèrement tombantes
Elle remonte ses mains sous ses seins elle les soupese et les malaxe lascivement. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse et blanche, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant,
Elle me parle de sa voix chaude, mon désir s'enflamme, sauvage, irraisonné. Elle me fixe d'un étrange sourire, m'invite a venir la rejoindre dans sa chambre. Il fait chaud. Ses lèvres sont pulpeuses. sa respiration est rauque et son débit saccadé.
Chaque courbe de son corps est un appel à la volupté, une invitation au plaisir des sens. Elle n’a pas d’âge. Elle incarne la sensualité dans son paroxysme, la femme accomplie.
Son souffle chaud, enivrant, Une odeur de lavande. Une bouffée d’intense chaleur me traverse le visage. Les caresses du tissu laissent saillir les pointes, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. sa robe flotte autour d’elle, moule ses longues cuisses. La fermeté de ses seins, la plénitude de ses hanches, font monter le desir. Imperceptiblement, ses cuisses se désserrent, lentement
comme une invitation. Ses lèvres humides et chaudes s'entrouvrent.
Je m'approche, je sens le parfum de ses cheveux, Je pose délicatement mes lèvres sur sa nuque. Elle gémit doucement... Je frotte doucement mes levres contre sa peau je sens le frémissement de son corps ... qui peu à peu s'abandonne ses yeux se ferment et un sourire étire ses lèvres. Son corps ondule sous mes caresses
Elle me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange.
ses seins volumineux tremblent doucement je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, je glisse une main dans son corsage et j'englobe ses seins ... je les palpe. Les pointes se durcissent,
Elle parle de façon hésitante, cherche ses mots. Elle se penche et ses seins gonflés viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre sur moi et m'enlaçe étroitement
je tends mes lèvres en la fixant, elle les regarde, s'en approche et y pose delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Je caresse doucement son sein, elle pose sa main sur la mienne
comme pour m'inciter à augmenter la caresse, tout en continuant à m'embrasser.
Les deux seins forment un long sillon profond et étroit. Elle se saisit lentement de sa bretelle et l'écarte en me regardant droit dans les yeux. La robe glisse. Le soutien-gorge est en fine dentelle. Il soutient fermement une poitrine lourde. Elle fait glisser la bretelle droite, puis dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Je passe les mains derrière son dos et fait sauter l'agrafe. Je me saisis des poitrines, deux mamelles genereuses, lourdes et gonflées, douces et blanches, en forme de poires géantes. Je bande, je n'en peux plus. J'enfonce mes doigts, dans sa chair laiteuse, Elle se cambre, semble au bord de l'orgasme…. Mes mains pétrissent, malaxent cette chair rosée. Elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve coule et est sujette à des contractions incontrôlables. Je glisse ma main vers son intimité chaude et musquée. C’est chaud, c’est doux. je sens ses jambes s’écarter davantage. Je sens sous mes doigts ses lèvres chaudes, humides et gonflées. la chair est tendre et savoureuse. J'écarte de mes doigts ses lèvres intimes. Elle ne parle plus Son corps s'arque dans une succession de spasmes ... puis elle retombe sur moi, parcourue de frissons.

Elle s'écarte de moi, referme la porte à clé ! puis revient vers moi avec un sourire étrange Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Elle se saisit de sa culotte de soie blanche qu'elle fait glisser sur ses cuisses belles et rondes.
Un bruit d'élastique. Un silence. Elle s'allonge sur le lit et attend, soumise. Je m'approche d'elle, Elle m'attire vers elle Je sens une bouffée d'air chaud subtilement parfumé ... Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit.
Je sens ses gestes lents. puis le contact de son corps
Je sens les seins qui s'écrasent mollement contre ma poitrine. Je goute le contact sensuel des deux masses élastiques je pose une main sur l'un des seins fremissants,
le palpe avec émotion, souple au toucher. elle se laisse faire son regard devient plus trouble au fil des caresses, sa respiration s'accélére, se fait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambre ses reins Elle est allongée contre moi, son parfum est discret, entêtant. Elle parcourt mes membres de ses levres humides. Je sens sa poitrine au contact de ma peau. Je caresse ses cheveux, son visage. Sa respiration s'accélere. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Elle halète de plus en plus fort, Je saisis ses chairs à pleines mains. puis elle saisit mon membre, le fait glisser autour de ses lèvres béantes,

Je n'en peux plus .... Mon gland appuie sur sa vulve trempée .... Enfin vient le moment, oh subtile jouissance ! Sa vulve ouvert aspire mon gland Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Je glisse en elle avec volupté. Je sens un corps onctueux. Une vague nous inonde. Le rythme s'accélere, Les corps se tendent, se tendent ... puis retombent. Libération Je lui donnes tout, elle m'absorbe





L'eau chaude mouille nos corps dénudés et fébriles. Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre : le contact de ses seins excite mes sens, mon sexe se leve sur son ventre, glisse entre ses deux cuisses.
Ses deux seins sont ruisselants sous le savon glissant, je les palpe à pleines mains Ses mains enserrent légèrement mes bourses puis entourent ma verge, elle malaxe le tout dans l'eau savonneuse
Je me glisse alors derrière elle, et je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses.
ma main passe sur son ventre que je me mets à savonner doucement avant de remonter vers ses seins
Ses poitrines souples glissent doucement dans les paumes de mes mains.
je palpe cette chair élastique et mes doigts taquinent ses pointes durcies
Je sens mon sexe qui durcit petit à petit....
Je me serre un plus près d'elle et, en l'embrassant dans le cou,
je regarde avec delice ses deux seins tout mousseux qui se ballottent dans mes mains.
je suis collé à elle, et elle ne peut ignorer mon desir qui s'appuie doucement sur ses fesses.
mes mains passent de ses seins à son ventre
Progressivement, je la sens se détendre doucement et cambrer les reins,
je frotte doucement mon sexe contre elle ce qui ne fait que le durcir encore.
elle passe sa main entre nous pour s'emparer de mon sexe.
"Je vois..." me chuchote-t'elle.
Elle se retourne et fait coulisser doucement mon sexe dans sa main.
Mon pénis grossit encore dans sa main savonnée qui s'active doucement.
Elle me regarde, regarde mon sexe qui entre et ressort dans sa main, puis reprend du gel douche en souriant.
Sous ses caresses, je me met alors à onduler d'avant en arrière et je savoure avec délice ce moment.
Je sens la jouissance qui me gagne petit à petit. Elle accélère le mouvement, comme pour me "soulager".
Ma main glisse alors entre nos deux corps pour descendre le long de son ventre avant de sentir sa toison bouclée,
je sens alors son sexe chaud. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent
Je les sens, tendres et fragiles On dirait du velours...
Je continue lentement la caresse, en me faisant plus précis à chaque mouvement....
Elle ne dit rien, les yeux fermés, balançant légèrement son corps... Je sais qu'elle se retient.
Je remonte mon doigt. Elle plaque alors sa main sur la mienne en appuyant fort.
Je la sens excitée. On s'embrasse. On se serre. L'eau dégouline sur nos corps.
Elle s'accroche à moi, se frotte à mon sexe. J'aime sentir ces chairs tendres et fragiles,
la chaleur qui vient de son ventre, cette moiteur, et ce corps qui s'abandonne peu à peu à mes caresses.
Puis, mon doigt se fait un peu plus insistant à l'entrée de son vagin. Il s'enfonce, c'est brûlant...
Je sens ses muqueuses qui se dilatent, comme pour que j'aille plus loin...
Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient.
J'entame alors quelques légers mouvements. je ne sens aucune résistance,
Je passe un long moment à caresser sa vulve entière, à l'écoute de son corps qui réagit sous mes doigts,
Le rythme s'accélère alors de plus en plus, tandis que je sens son plaisir arriver à grande vitesse.
Serrée contre moi, les bras accrochés autour de mon cou, j'entends son souffle,
parfois saccadé, parfois sifflant longuement dans mes oreilles...
Son corps se raidit de plus en plus en plus, ses muscles sont contractés, et elle me serre très fort.
Je continue à masser vigoureusement son clitoris.
Et puis, ça y est, elle part... Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
Ma verge toujours enlacée par sa main tressaille elle aussi, t'inondant la main ...
Marthe (E)
Lorsque j'arrive chez elle, il est déjà tard. Marthe s'est retirée dans sa chambre. Elle me dit de rentrer et de monter tout de suite chez elle. La porte de la chambre vient à peine de s'ouvrir, mes sens sont imp ...

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les beaux seins de Barbara


J’adore le corps de Barbara. Barbara est délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus.
- Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens, mon amour, viens. Tu m’aimes, je t’aime. Et nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête ! Ce soir, c’est notre soir.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Ce soir je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules, que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu me ramones, que tu me chéries, que tu me câlines, que tu m’aimes !
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je me frotte contre elle, mon bassin contre le sien, mon sexe contre ses cuisses. Je bande, elle le sent. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse.Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Barbara, Barbara, ma douce.
- Nicolas, mon amour !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette.
Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.
les beaux seins de Barbara (E)
J’adore le corps de Barbara. Barbara est délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un bea ...

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avec Jeanne la première fois


Nous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. assis à côté d'elle, je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé

Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche, Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle.

C'est la toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si...

Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ?

Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi !

Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, 'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril.

Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...

Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes. le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon...

Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance.

Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoité, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue.

Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit... c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure.

Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser.

Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent.En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ?

Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi.

Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel.

Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser.

Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée. Comme par enchantement, il trouve le chemin, comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer, ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate.

Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour » ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un.
avec Jeanne la première fois (E)
Nous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. assis à côté d'elle, je m'aventure à ...

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Marthe ne dort pas. Moi non plus. C'est elle qui m'appelle au téléphone la première, et me demande de venir un moment. Je frappe à la porte et entend très clairement sa douce voix
- Entre ! Je t'attends !
Elle est installée sur son lit, vetue d'un voluptueux déshabillé de soie blanche, mes sens sont impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. elle joue des plis de sa combinaison, ses seins ondulent sous une transparence laissant deviner des pointes en saillie. ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous la soie. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et malaxe lascivement.Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse et blanche, le corps libre sous le fin tissu, Elle m'accueille de sa voix chaude, mes sens s'enflamment, sauvages, irraisonnés. Elle me fixe d'un étrange sourire et m'invite a la rejoindre sur le canapé Ses lèvres sont pulpeuses. Sa poitrine est souple et légèrement tombante, sa chemise de nuit flotte doucement sur la pointe de ses seins, sa respiration est rauque et son débit saccadé. J'ai chaud !Sa robe est remplie de ses formes généreuses, elle suçe ses doigts innocemmentChaque courbe de son corps est un appel à la volupté, une invitation au plaisir des sens. Elle n’a pas d’âge. Elle incarne la sensualité dans son paroxysme, la femme accomplie. Son souffle chaud, enivrant, Une odeur de lavande. Une bouffée d’intense chaleur me traverse le visage. Elle porte une robe de nuit fortement décolletée et délicatement transparente voluptueuse dans sa jupe diaphane, les cuisses légerement degagées. Ses seins dardent leurs pointes sous le leger satin. Ils ballottent doucement. La soie crisse doucement. Les caresses du tissu laissent saillir les pointes, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. La fermeté de ses seins, la plénitude de ses hanches, font monter le desir. Je sens le parfum de ses cheveux, Elle me prend la main, me fixe d'un regard trouble puis me tend ses lèvres entrouvertes Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elle gémit doucement... Je frotte doucement mes levres contre sa peau je sens le frémissement de son corps ... qui peu à peu s'abandonne Imperceptiblement, ses cuisses se désserrent, lentement comme une invitation. Ses lèvres humides et chaudes s'entrouvrent. Ses yeux se ferment et un sourire étire ses lèvres. Son corps ondule sous mes caresses Son corsage, qu'elle a à peine fermé, baille largement sur sa poitrine, les bouts des seins dressés. Elle me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. ses seins volumineux tremblent doucement à quelques centimètres sous le tissu, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, je glisse une main dans son corsage et j'englobe ses seins ... je les palpe. Les pointes se durcissent, Elle parle de façon hésitante, cherche ses mots.
Elle se penche et ses seins gonflés viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre contre moi et m'enlaçe étroitement je tends mes lèvres en la fixant, elle les regarde, s'en approche et y pose delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Je me mets à caresser doucement son sein, elle pose sa main sur la mienne comme pour m'inciter à augmenter la caresse, tout en continuant à m'embrasser. Les deux seins forment un long sillon profond et étroit. Elle se saisit lentement de sa bretelle en me regardant droit dans les yeux. La robe glisse. Le soutien-gorge est en fine dentelle. Il soutient fermement une poitrine lourde. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Deux mamelles genereuses, lourdes et gonflées, douces et blanches, en forme de poires géantes. Elle commence à se caresser le sein droit. Je n'en peux plus. Je bande. Je glisse mes mains sur ses seins volumineux qui jaillissent, libérés de leur enveloppe de dentelle.
Ils s'épanouissent, gonflés, fermes et voluptueux ! mes mains chaudes les pressent légèrement, pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapproche l'un de l'autre. je les lache ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée provoque un trouble chez elle, qui fait sortir les pointes de ses seins. J'enfonce mes doigts, dans sa chair laiteuse, effectue de petits cercles concentriques et écrase ses tétons. je presse doucement sa pointe ... et l'étire. Elle ressent des ondes de chaleurs Elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme…. Mes deux mains chaudes se posent en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. Puis je les soulève. Je plaque ensuite mes doigts sur ses mamelons et les presse durement, cherchant à enfoncer ses pointes durcies dans la masse laiteuse. Mes mains pétrissent, malaxent cette chair rosée. Elle essaye de respirer lentement et profondément, Je glisse l'autre main sous sa robe, vers son intimité chaude et musquée. C’est chaud, c’est doux. je sens ses jambes s’écarter davantage. Je sens sous mes doigts ses lèvres chaudes, humides et gonflées. la chair est tendre et savoureuse. J'écarte de mes doigts ses lèvres intimes et darde un doigt dans sa vulve distendue. Elle ne parle plus Son corps s'arque dans une succession de spasmes ... puis elle retombe sur moi, parcourue de frissons. Elle se lève, s'écarte de moi, va refermer la porte à clé ! puis revient vers moi avec un sourire étrange Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Elle saisit de sa culotte de soie blanche qu'elle fait glisser sur ses cuisses belles et rondes. Un bruit d'élastique. Un silence. Elle s'allonge sur le lit et attend, soumise. Je m'approche d'elle, Elle m'attire vers elle. Je sens une bouffée d'air chaud subtilement parfumé ... Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens ses gestes lents. puis le contact de son corps Je sens les seins qui s'écrasent mollement contre ma poitrine. Je goute le contact sensuel des deux masses élastiques je pose une main sur l'un des seins fremissants, le palpe avec émotion, souple au toucher. elle se laisse faire son regard devient plus trouble au fil des caresses, sa respiration s'accélére, se fait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambre ses reins Elle est allongée contre moi, son parfum est discret, entêtant. Elle parcourt mes membres de ses levres humides. Je sens sa poitrine au contact de ma peau. Je caresse ses cheveux, son visage. Sa respiration s'accélere. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Elle halète de plus en plus fort, Je saisis ses chairs à pleines mains. puis elle saisit mon membre, le fait glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus .... Mon gland appuie sur sa vulve trempée .... Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Je glisse en elle avec volupté. Je sens un corps onctueux. Une vague nous inonde. Le rythme s'accélere, Les corps se tendent, se tendent ... puis retombent. Libération Je lui donnes tout, elle m'absorbe


L'eau chaude mouille nos corps dénudés et fébriles.
Nos corps sont mousseux, glissant subtilement l'un contre l'autre :
le contact de ses seins excite mes sens, mon sexe se leve sur son ventre, glisse entre ses deux cuisses.
Ses deux seins sont ruisselants sous le savon glissant, je les palpe à pleines mains
Ses mains enserrent légèrement mes bourses puis entourent ma verge, elle malaxe le tout dans l'eau savonneuse
Je me glisse alors derrière elle, et je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses.
ma main passe sur son ventre que je me mets à savonner doucement avant de remonter vers ses seins
Ses poitrines souples glissent doucement dans les paumes de mes mains.
je palpe cette chair élastique et mes doigts taquinent ses pointes durcies
Je sens mon sexe qui durcit petit à petit....
Je me serre un plus près d'elle et, en l'embrassant dans le cou,
je regarde avec delice ses deux seins tout mousseux qui se ballottent dans mes mains.
je suis collé à elle, et elle ne peut ignorer mon desir qui s'appuie doucement sur ses fesses.
mes mains passent de ses seins à son ventre
Progressivement, je la sens se détendre doucement et cambrer les reins,
je frotte doucement mon sexe contre elle ce qui ne fait que le durcir encore.
elle passe sa main entre nous pour s'emparer de mon sexe.
"Il est beau !" me chuchote-t'elle.
Elle se retourne et fait coulisser doucement mon sexe dans sa main.
Mon pénis grossit encore dans sa main savonnée qui s'active doucement.
Elle me regarde, regarde mon sexe qui entre et ressort dans sa main, puis reprend du gel douche en souriant.
Sous ses caresses, je me met alors à onduler d'avant en arrière et je savoure avec délice ce moment.
Je sens la jouissance qui me gagne petit à petit. Elle accélère le mouvement, comme pour me soulager.
Ma main glisse alors entre nos deux corps pour descendre le long de son ventre avant de sentir sa toison bouclée,
je sens alors son sexe chaud. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent
Je les sens, tendres et fragiles On dirait du velours...
Je continue lentement la caresse, en me faisant plus précis à chaque mouvement....
Elle ne dit rien, les yeux fermés, balançant légèrement son corps... Je sais qu'elle se retient.
Je remonte mon doigt. Elle plaque alors sa main sur la mienne en appuyant fort.
Je la sens excitée. On s'embrasse. On se serre. L'eau dégouline sur nos corps.
Elle s'accroche à moi, se frotte à mon sexe. J'aime sentir ces chairs tendres et fragiles,
la chaleur qui vient de son ventre, cette moiteur, et ce corps qui s'abandonne peu à peu à mes caresses.
Puis, mon doigt se fait un peu plus insistant à l'entrée de son vagin. Il s'enfonce, c'est brûlant...
Je sens ses muqueuses qui se dilatent, comme pour que j'aille plus loin...
Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient.
J'entame alors quelques légers mouvements. je ne sens aucune résistance,
Je passe un long moment à caresser sa vulve entière, à l'écoute de son corps qui réagit sous mes doigts,
Le rythme s'accélère alors de plus en plus, tandis que je sens son plaisir arriver à grande vitesse.
Serrée contre moi, les bras accrochés autour de mon cou, j'entends son souffle,
parfois saccadé, parfois sifflant longuement dans mes oreilles...
Son corps se raidit de plus en plus en plus, ses muscles sont contractés, et elle me serre très fort.
Je continue à masser vigoureusement son clitoris.
Et puis, ça y est, elle part... Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
Ma verge toujours enlacée par sa main tressaille elle aussi, t'inondant la main ...
(E)
Marthe ne dort pas. Moi non plus. C'est elle qui m'appelle au téléphone la première, et me demande de venir un moment. Je frappe à la porte et entend très clairement sa douce voix
- Entre ! Je t'atten ...

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un soir avec Mary


Nos corps se rapprochent et maintenant se frôlent. Nous sommes maintenant joue contre joue. Nos bras s’enlacent plus étroitement, je me sens bien contre elle, elle doit deviner les premiers effets de mon trouble contre sa cuisse. Les yeux fermés, elle se laisse aller au lent mouvement de la musique, Mes mains sont plus fermes dans son dos et sur sa hanche. Je dépose mes lèvres sur son front, et les fait glisser progressivement vers sa joue. Contact avec le coin des lèvres de Mary. Elle ne réagit pas, garde les yeux fermés. Nouveau contact, elle tourne légèrement la tête et je sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écartent un moment, puis, se rejoignent, augmentent leur pression, Nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Je presse maintenant ma cavalière contre moi. Elle, se pend littéralement à mon cou. Elle se serre contre moi, je suis submergé par un désir violent. Je commence à caresser le dos de Mary, puis sa nuque. Je serre la jeune femme contre moi, elle est toujours accrochée à son cou,
Je l’emmène discrètement dans un coin plus sombre au fond du salon. Elle me laisse l'emmener Nos bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Je caresse son front, je glisse mes mains sur son visage et ses joues, le long du cou Sa peau est chaude, son contact apaisant et tranquille. Je glisse mes doigts dans son décolleté généreux, en écartant doucement le tissu, Je détache un, puis deux boutons, elle ne réagit pas. Mes doigts rencontrent une douce dentelle qui abrite une poitrine ronde et ferme. Je glisse ma main sous la soie du corsage et je suis la courbe du sein, Je fais courir le bout de mes doigts sur le satin. Sa respiration saccadée soulève la poitrine. Mes doigts glissent entre la peau et le tissu, sentent une pointe dressée par l’excitation. Je dégrafe les boutons qui retiennent encore les pans du chemisier et les écarte. Je sens Mary, visiblement, offerte, impudique. Elle se serre contre moi. Je glisse ma main derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge et libère ses poitrines qui s'affaissent. Mary se presse contre mon torse pour prolonger la caresse. Ses joues rougissent, entrebaillant ses paupières, elle me regarde, gourmande, reconnaissante. Je glisse mes mains sur sa longue robe fendue, je m'immisce dans l'ouverture en haut de sa cuisse Je remonte ma main, franchis la limite des bas, entre au contact d'une peau douce, tendre et chaude. Elle se serre plus fort contre mon cou, elle semble approuver la tournure des événements. J'atteins le fin tissu d'une culotte de soie et commence à le tirer vers le bas. Mary me regarde un moment d'un regard intense, se serre contre mon cou, commence à se tortiller Et je sens la fine lingerie glisser lentement le long de ses cuisses, apparaître sous la jupe, enfin se retrouver sur le sol. Je ne me tiens plus. Son ventre contre le mien, comme si elle testait la vigueur de mon désir Je retrousse sa robe, caresse la peau chaude de ses cuisses et de son ventre. Nos corps se cherchent. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. La piece est vide
Mary leve une de ses jambes contre moi, je la saisis et la serre contre moi. Elle se retrouve offerte, les cuisses écartées. Elle plonge alors la main vers le sexe qu’elle sait trouver là, juste sous la fine toison. Elle y pose une caresse de braise, je plante mes doigts dans son nid suintant et chaud, fouillant entre les lèvres trempées et distendues. Sous l’assaut, Mary se cabre, projetant en avant son bassin, comme pour mieux sentir les doigts qui la fouillent. Elle empaume ses seins, les presse l’un contre l’autre, crispe ses doigts dessus. Elle se sent presque hystérique, libérée de tabous qui la paralysaient. Elle m'attrape par la chemise, recherche ma bouche pour regoûter ma salive. Elle glisse fébrilement sa main dans mon pantalon. ses doigts entrent en contact avec le membre congestionné. Elle le saisit, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant les testicules. Elle manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. Elle écarte ses cuisses pour l’accueillir. Mary plonge alors son regard dans le mien, dit oui de la tête et guide mon sexe vers le sien. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. Le regard de Mary devient vitreux, elle presse ma taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. Elle me sent maintenant arriver au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Je me concentre pour faire durer le plaisir mais je sens monter à travers quelques tremblements l’orgasme de la jeune femme, Je sens ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s’évanouir. Elle pousse un cri déchirant qui déclenche ma propre jouissance et j'explose dans son ventre et continue à lui donner jusqu’à la dernière goûte de mon sperme chaud.
Enfin, épuisée, Mary s’affaisse, Je suis toujours en elle, mais me retire dans un agréable bruit de succion. Elle m'essuie avec un mouchoir et me sourit avec tendresse et gratitude.
un soir avec Mary (E)
Nos corps se rapprochent et maintenant se frôlent. Nous sommes maintenant joue contre joue. Nos bras s’enlacent plus étroitement, je me sens bien contre elle, elle doit deviner les premiers effets de mon trouble contre sa ...

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(E)
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D’un coup de rein


D’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide de plaisir. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes...Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie
D’un coup de rein (E)
D’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide de plaisir. Un gigantesque frisson s' ...

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les seins de Lea


Lea me regarde depuis la glace, une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est nue: Les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale et vient glisser sournoisement contre moi, où elle s'incruste avec passion. La pression de sa chair chaude s'intensifie, elle bouge légèrement, les pointes de ses seins s'incrustent plus profondément sur ma peau. les chairs sont appétissantes, mon sexe se gonfle. Mon corps s'agite. Les chairs chaudes qui m'enrobent se resserrent, s'échauffent, et s'agitent au rythme des palpitations de mon corps. Elle se penche sur moi et engouffre doucement mon pénis entre ses lèvres glissantes. Elle absorbe mon sexe qui se gonfle de sang, plonge, pénètre plus profondément, puis elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre chaud.
les seins de Lea (E)
Lea me regarde depuis la glace, une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est nue: Les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale et vient glisser sournoisement contre moi, o& ...

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lente penetration


j’ai senti son gland s'enfoncer entre mes levres trempées, il est entré doucement en moi. Il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient à coup de reins puissants. Je sentais son sexe glisser a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe mâle dans ma chair. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi.

Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes.
lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...

Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ...
lente penetration (E)
j’ai senti son gland s'enfoncer entre mes levres trempées, il est entré doucement en moi. Il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient à coup de reins puissants. Je sentais s ...

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allongés cote à cote


Les jambes recroquevillées et les pieds posés l'un sur l'autre, sur le grand canapé de velours, vous êtes assise à mes côtés. J'admire sans réserve votre mélange sensuel d'angles et de courbes. Je vous observe. J'aime votre coiffure qui dégage votre nuque sur laquelle seuls quelques cheveux rebelles dessinent d'attendrissantes volutes. J'ai une soudaine envie de plonger dans ces spirales et de m'enivrer de leurs trésors que sont le grain de votre peau et son parfum sucré. Je m'y perds par la pensée un long instant.
Doucement j'avance ma main vers vous, vous ne remarquez rien. Votre tête est légèrement tirée en arrière. Vos yeux brillent, vous me fixez un instant puis baissez votre regard. Alors ma main glisse lentement vers votre nuque dont j'effleure les contours. Vous fermez les yeux. Je m'occupe de vous, tendrement.

La nuit est tombée, les enfants dorment paisiblement dans la chambre au bout du couloir. Nous sommes maintenant tous deux allongés côte à côte dans le lit conjugal, Nous nous regardons et je lis encore en vous toute l'émotion de mes caresses sur votre nuque. Vous vous approchez timidement pour embrasser mes lèvres. J'accepte. Alors je glisse ma main sur votre épaule pour remonter le long de votre cou. Je progresse en vous effleurant et de mes doigts. Je me faufile à travers votre chevelure. Je plante de doux baisers sur votre jugulaire puis je remonte vers vos oreilles. Ma main est toujours accrochée dans vos cheveux alors je tire encore un peu plus pour offrir l'autre côté de votre gorge à mes baisers. Vous tressaillez, j'exulte.

Le plaisir est arrivé comme souvent lorsque, tous deux, nous mélangeons nos corps et nos âmes. Je me suis retiré de vous, mon foutre dans votre ventre. Qu'il reste en vous le plus longtemps possible un peu de moi.
allongés cote à cote (E)
Les jambes recroquevillées et les pieds posés l'un sur l'autre, sur le grand canapé de velours, vous êtes assise à mes côtés. J'admire sans réserve votre mélange sensuel d'angles ...