![]() | Elle prit une cerise ...Elle prit une cerise, et tout en me regardant fixement, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer doucement. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion sur la friandise soumise, mon sang fut sous pression. Elle termina sa cerise et se passa la langue sur ses lèvres pulpeuses. Un peu de pulpe lui restait aux commissures des lèvres, elle me demanda de lui retirer. J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais avec ma langue la pulpe mouillee. Elle ferma les yeux, un léger frisson la parcourut et elle me souria à son tour. Elle s’étira longuement comme un chat. Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Ce fut le début de l'histoire ... | Elle prit une cerise ... (E) Elle prit une cerise, et tout en me regardant fixement, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer doucement. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion sur la friandise soumise, mon ... |
![]() | cueillir sa boucheD'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lui donne un leger baiser sur le bord des lèvres, nos bouches se cherchent, se rapprochent, se trouvent, enfin, a l'abri des regards, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Je goûte ses lèvres douces et parfumées, c'est un baiser profond, sensuel, mouillé. je l’embrasse avec douceur. Je goute enfin ses lèvres délicieuses mélangeant mon souffle au sien. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes. Elle a les yeux fermés, est absente, Elle m’embrasse toujours, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau. Nos jeux de langues s'intensifient pendant de longues minutes. Nos lèvres se rejoignent. Accélérant les battements de nos cœurs. Je vole. Je rêve. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser ! Nos bouches se séparent une fraction de seconde. Puis elle m'offre sa bouche. Nos langues se cherchent un instant puis se lancent dans une course effrénée. Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il enfonce sa langue et la tourne lentement, doucement autour de la mienne. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Il m'embrasse avec fougue ... Le baiser est long. Il me lèche les levres, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. Il me suce, me mordille. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Nos baisers deviennent de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s'accélère. Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens. Je ferme les yeux pour mieux savourer, m'abandonnant à ce long baiser sensuel. | cueillir sa bouche (E) D'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. Je lu ... |
![]() | timidité d'une premièreElle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur. Nous sommes là, face à face, isolés dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche ? Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules, revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels. Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si... Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ? Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence, des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples. Comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, l'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes. le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon... Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoitési délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue. Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit... c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure. Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel. Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore. Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée Comme par enchantement il trouve le chemin , comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer, Ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour» ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. | timidité d'une première (E) Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe ... |
![]() | tendre fin de soiréeElle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par un gonflement au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffla: - restez tranquille, serrez-moi encore ! Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein. Je commençais alors à caresser son sein à travers le satin du bout des doigts. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle me caressa la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, à pleine bouche, mêlant nos salives. Elle redressa le buste la poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. j'ai posé ma main sur le sein le plus proche. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour toucher la peau satinée de son sein. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Mon sexe bouillait. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Elle m'interrompit: - partons d'ici, et allons dans ma chambre Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées. Son entrejambe apparut. Une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Elle glissa une main entre ses cuisses et du bout des doigts, sous mes yeux, elle se caressa à travers l'étoffe. - j'ai envie de vous ! Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement. - ça va ? - vous avez entendu ? J'ai envie de vous ! Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude. - ça va ? - pfouh oui, je suis sur un nuage mon sexe compressé contre son ventre. elle luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Je pris mon sexe et je caressais sa fente avec mon gland. Elle soupirait les yeux fermés Sans précipitation je la pénétrai. Ses chairs laissèrent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle grimaçait. Je commencais à coulisser en cadence. Je caressais ses flancs. Elle fermait les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippais à ses hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables soulevèrent son corps. Je continuais mon va et vient. J'ai rugi très fort et j'ai giclé en elle. | tendre fin de soirée (E) Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la t ... |
![]() | Offre moi (Arthémisia)Offre moi ton envie, Je veux briller dans ton âme. Offre moi ton regard, Je veux fondre sous ton œil. Offre moi ta main, Je veux serpenter sous tes doigts. Offre moi tes baisers, Je veux disparaître sous ta bouche. Offre moi ton lit, Je veux plonger dans ta couche. Offre moi ton sexe, Je veux vivre sous ton plaisir. Offre moi ta vie, Je veux tout partager avec toi, Désire moi. Dévore moi. Caresse moi. Embrasse moi. Allonge moi. Pénétre moi. Comble moi. Donne moi, Tout ! Arthémisia Offrez moi votre envie, Je veux briller dans votre âme. Offrez moi votre regard, Je veux fondre sous votre œil. Offrez moi votre main, Je veux serpenter sous vos doigts. Offrez moi vos baisers, Je veux disparaître sous votre bouche. Offrez moi votre lit, Je veux plonger dans votre couche. Offrez moi votre sexe, Je veux vivre sous votre plaisir. Offrez moi votre vie, Je veux tout partager avec vous, Désirez moi. Dévorez moi. Caressez moi. Embrassez moi. Allongez moi. Pénétrez moi. Comblez moi. Donnez moi, Tout ! Arthémisia | Offre moi (Arthémisia) (E) Offre moi ton envie, Je veux briller dans ton âme. Offre moi ton regard, Je veux fondre sous ton œil. Offre moi ta main, Je veux serpenter sous tes doigts. Offre moi tes baisers, Je veux disparaître sous ta bo ... |
![]() | douce chair laiteuseJe découvrais pour la première fois sa poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses bretelles tombées sur ses bras, un corps aux formes harmonieuses, sublimes. | douce chair laiteuse (E) Je découvrais pour la première fois sa poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle La douce chair laiteuse contrastait avec les aré ... |
![]() | sensationsElle sent sous ses doigts la base de ses seins. Les doigts écartés, elle cherche ses tétons à travers le tissu. Ses doigts roulent maintenant les pointes de ses seins à travers le corsage. Une de ses mains se glisse dans l'échancrure de son chemisier. C'est merveilleusement obscène, son sein déformé jaillit hors de sa prison de tissu, le bout raide, tendu. Elle caresse sa poitrine, en palpe la forme longue, en devine les pointes grossières, tendues à l'extrême. Prise d'un vertige sensuel, elle referme ses doigts sur ses bouts de seins, les presse, les roule, jouissant des gémissements qu'elle provoque à chaque fois. | sensations (E) Elle sent sous ses doigts la base de ses seins. Les doigts écartés, elle cherche ses tétons à travers le tissu. Ses doigts roulent maintenant les pointes de ses seins à travers le corsage. Une de ses mains ... |
![]() | Tu viens mon chériElle se tourne vers moi, me sourit. Elle m'attend, jambes ouvertes, corps abandonné et offert. - Tu viens me faire l'amour mon chéri ? Elle agite son bas-ventre, releve ses jambes, les ecarte pour moi. je m'approche et je la pénètre ... tout doucement. Le va-et-vient se fait lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, la respiration forte et rapide. l'entendre jouir amplifie mon plaisir. De lent et langoureux, le rythme devient rapide et vigoureux. bien au fond d'elle, ses muscles me compressent. Que c'est bon ! Je ralentis le rythme. sa respiration est rapide, Elle m'empoigne par les fesses et me serre contre elle. Je la prend par les hanches, je la défonce, elle jouit. Je m'agite et explose dans un orgasme bruyant. Elle n'en peut plus et me colle contre elle alors que je jouis et l'inonde au fond d'elle. Je la caresse amoureusement, ma belle de nuit est magnifique. Je l'embrasse délicatement sur tout son visage, j'effleure sa peau avec mes lèvres. Je me couche derrière elle, en cuillère comme elle aime Ma princesse se rendort sous mes douces caresses. | Tu viens mon chéri (E) Elle se tourne vers moi, me sourit. Elle m'attend, jambes ouvertes, corps abandonné et offert. - Tu viens me faire l'amour mon chéri ? Elle agite son bas-ventre, releve ses jambes, les ecarte pour moi. je m'approche e ... |
![]() | peur de se faire surprendreNous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Assis à côté d'elle, je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche ? Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules, revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels. Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si... Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ? Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence, des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples. Comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, l'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes. le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon... Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoitési délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue. Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit... c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure. Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel. Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore. Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée Comme par enchantement il trouve le chemin , comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer, Ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour » ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. | peur de se faire surprendre (E) Nous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Assis à côté d'elle, je m'aventure à ... |
![]() | Manon- Que veut tu me dire, mon Nicolas ? - Manon ! ... J'ai envie de toi ! - J'attendais ce moment ! ... - Tu veux bien ? - Viens ! Je suis toute mouillée ... à cause de toi ! - Je te sens ouverte et accueillante ! - Viens ! Je t'invite chez moi ! - Je me glisse dans ton ventre ! Tu m'accueilles ! C'est divin ! - Oh oui ... c'est bon ! C'est doux ! nos ventres se rencontrent, - Je te sens bien - Tu t'enfonces dans mes chairs ! Je t'aspire de mes muscles intimes - Tu me reçois ! Je m'enfonce en toi .... - Restons immobiles un moment ! Je sens ta verge frémir ! - Tu es secouée d'un spasme. Je t'offre ma bouche. - Reçois ma langue ! Fermons les yeux pour mieux goûter l'instant. - Je glisse dans tes chairs ! C'est suave ! - Retires toi ... puis reviens. Tes mouvements sont de plus en plus amples - Je goute l'instant ! Et toi ? Tu es bien ? mon amour ? - Oui ... C'est bon... Je te sens bien ... Tu t'allonges et grossis dans mon ventre - Tu veux...maintenant ? - Non...Pas encore... . - Tu me diras ? - Oui ... je te dirais ! Continue tes amples mouvements de va et vient ! - Tu sens mes coups de reins ? - Je sens tes bourses qui claquent contre mes cuisses ! - Je vois tes seins trembler. Ton regard me trouble ! Tu m'excites terriblement ! - Regardes moi ! Mon amour ! J'aie envie de toi ! - Je suis au fond de toi ! J'explore tes muqueuses ! Tu me donnes le vertige ! - Je pense à ton gros gland qui me fouille et que j'aime. - La transpiration perle entre tes seins. Elle nous gagne tous les deux. - J'aime l'ampleur et la puissance de ta verge, le clapotis de nos sexes emmêlés - J'aime le claquement de nos chairs qui se heurtent - Mon amour ! ... Je viens ! ... Je n'en peux plus ! - Maintenant ! ... Vas-y ! Je suis prête ! - je m'enfonce un peu plus. Je me raidis. Je râle ! Je me bloque au fond de ton ventre - Oui ! Vas y ! - OUI, Ca y est ! je jouis ! - Mon chéri, je te reçois, donne moi toute ta liqueur de vie ! - Aaah ! C'est bon ! - Je sens les flots de ton sperme chaud envahir mon ventre par saccades successives ! - Je n'arrête pas ! - Repose toi affaisse toi contre moi ! - Que c'est bon !. - Je caresse amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. - Je relâche mes muscles - Je conserve ton sexe emprisonné dans mon ventre. - Des larmes de bonheur inondent nos paupières. - Manon ! ... J'ai envie de toi ! Tu veux bien ? - Je te sens ouverte et accueillante ! - Je me glisse dans ton ventre ! Tu m'accueilles ! C'est divin ! Je te sens bien - Tu me reçois ! Je m'enfonce en toi .... Tu es secouée d'un spasme. - Je t'offre ma bouche. Je glisse dans tes chairs ! C'est suave ! - Je goute l'instant ! Et toi ? Tu es bien ? mon amour ? - Tu veux...maintenant ? Tu me diras ? Tu sens mes coups de reins ? - Je vois tes seins trembler. Ton regard me trouble ! Tu m'excites terriblement ! - Je suis au fond de toi ! J'explore tes muqueuses ! Tu me donnes le vertige ! - La transpiration perle entre tes seins. Elle nous gagne tous les deux. - J'aime le claquement de nos chairs qui se heurtent - Mon amour ! ... Je viens ! ... Je n'en peux plus ! - je m'enfonce un peu plus. Je me raidis. Je râle ! Je me bloque au fond de ton ventre - OUI, Ca y est ! je jouis ! Aaah ! C'est bon ! Je n'arrête pas ! Que c'est bon !. - Je relâche mes muscles Des larmes de bonheur inondent nos paupières. - Que veut tu me dire ? - J'attendais ce moment ! ... Viens ! - Je suis toute mouillée ... à cause de toi ! - Viens ! Je t'invite chez moi ! - Oh oui ... c'est bon ! C'est doux ! nos ventres se rencontrent, Je te sens bien - Tu t'enfonces dans mes chairs ! Je t'aspire de mes muscles intimes - Je te reçois ! Tu t'enfonce en moi .... - Restons immobiles un moment ! Je sens ta verge frémir ! - Fermons les yeux pour mieux goûter l'instant. - Tu glisses dans tes chairs ! C'est suave ! - Retires toi ... puis reviens. Je sens tes mouvements, de plus en plus amples - Je goute l'instant ! Et toi ? Tu es bien ? mon amour ? - Je te sens bien ... Tu t'allonges et grossis dans mon ventre - Non...Pas encore ... je te dirais ! Continue tes amples mouvements de va et vient ! - Je sens tes bourses qui claquent contre mes cuisses ! - Tu vois mes seins trembler. Ton regard me trouble ! Tu m'excites terriblement ! - Tu es au fond de moi ! Tu explores mes muqueuses ! Tu me donnes le vertige ! - Je pense à ton gros gland qui me fouille et que j'aime. - La transpiration perle entre tes seins. Elle nous gagne tous les deux. - J'aime l'ampleur et la puissance de ta verge, le clapotis de nos sexes emmêlés - J'aime le claquement de nos chairs qui se heurtent - Regardes moi ! Mon amour ! Je suis prête ! - Maintenant ! ... Vas-y, donne moi toute ta liqueur de vie ! - Aaah ! C'est bon ! Je sens ton sperme chaud par saccades successives ! - Repose toi affaisse toi contre moi ! Que c'est bon !. - Je conserve ton sexe emprisonné dans mon ventre. - Des larmes de bonheur inondent nos paupières. | Manon (E) - Que veut tu me dire, mon Nicolas ? - Manon ! ... J'ai envie de toi ! - J'attendais ce moment ! ... - Tu veux bien ? - Viens ! Je suis toute mouillée ... à cause de toi ! - Je te sens ouverte et accueil ... |
![]() | sous la tenteSabrina n'avait plus de sac de couchage. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas de dormir dans le mien. Elle se glissa à mes cotés. Je pouvais sentir la courbe de ses fesses sur mon bassin, Une vraie bouillotte ! C'était vraiment très serré à l'intérieur, sans le vouloir j'effleurais la cuisse de Sabrina. Elle se cambra, et sa bouche se retrouva au niveau de mes oreilles. Elle me murmura à l'oreille tout doucement, d'une voix à peine audible. - laisse ta main contre moi ! Je me sens bien contre toi Je glissais alors ma main le long de sa cuisse, tout doucement. puis, sous son collant. De sa main droite, elle guidait ma main, et de sa main gauche elle me caressais tendrement la nuque. Au bout de quelques minutes, elle guida ma main vers ses parties intimes. Je continuais de la caresser tendrement, elle me fit comprendre avec sa main qu'elle voulait plus. J'enfonçais alors en elle un doigt tout doucement et je pus sentir sa douceur, ainsi que sa chaleur. Elle me caressait toujours la nuque, et elle continuait d'accompagner ma main dans son lent va et vient. Elle poussa un soupir, et sa respiration se fit plus rapide. Après quelques minutes, elle commença à me griffer la nuque, tout en gigotant de plus en plus. Elle mouillait beaucoup, Je compris qu'elle n'était plus très loin de la jouissance. J'ai accéléré la cadence de mes doigts entrant et sortant de son vagin, j'ai senti l'étreinte de son bras sur mon cou se resserrer, et elle se cambra tout en poussant un petit cri. L'étreinte de son vagin sur mes doigts se resserra un peu plus. Je lui déposais un baiser tendre dans le cou. Elle me rendis mon baiser en m'embrassant sur mon épaule. Elle était bouillante dans le sac de couchage. J'avais envie de l'embrasser, je lui ai déposé une myriade de petit baisers dans les cheveux. Elle sentait bon, et j'avais envie que ce moment dure une éternité. Elle gloussa doucement, et me chuchota que elle était vraiment bien ici avec moi. elle se serra encore plus fort à moi, ouvrit la bouche, et m'embrassa à pleine bouche. Nos deux langues s'enlaçaient tendrement, et j'en profitais pour défaire son soutien-gorge. en posant mes lèvres sur ses tétons, j'ai aussitôt constaté qu'ils étaient bien durs. Je continuais de lécher tendrement ses seins, Elle se laissait faire et me caressait tendrement la tête avec ses deux mains. Ma main gauche continuait de caresser doucement son corps. sa chatte était encore plus trempée que tout à l'heure. Mes doigts se sont a nouveau insinués, Sabrina commença à accompagner le va et vient et de mes doigts de son bassin. Elle se mit à gémir et poussa un petit cri, qu'elle tenta elle même d'étouffer, Elle s'est alors abandonnée contre moi comme une masse. Elle était toute rouge, Je m'allongeais sur elle. Je commençais à la pénétrer, tout doucement. Elle posa sa main droite à la base de mon cou et attira mon visage contre le sien. Ensuite elle m'embrassa goulûment, enlaçant sa langue avec la mienne. Je sentais sa chaleur intime s'installer tout le long de mon sexe. j'avais peur de lui faire mal. son sourire me rassura. Elle était encore plus belle que d'habitude. Ses cheveux étaient étalés en arrière, et des gouttes de sueur étaient apparues sur son visage. Ses yeux et son sourire s'étaient associés pour lui donner un air heureuse, mais épuisée. Je sentais mon membre entrer et sortir plus rapidement que ce que j'aurais cru. Sabrina mouillait beaucoup, Son odeur me rendait fou... Elle avait relâché totalement sa tête, ses yeux étaient fermés. Je lui demandais comment elle allait, elle pris mon cou entre ses bras. Je sentais sa chaleur sur mon corps, et j'entendais sa respiration, qui devenait de plus en plus forte. Son étreinte se fit vite plus forte, et elle recommençait à pousser des gémissements. Elle faillit m'étrangler pendant quelques secondes, puis elle relâcha tout ses muscles d'un coup. Elle avait atteint l'orgasme, et moi non plus je n'en étais plus loin. en quelques secondes je giclais en elle. Je n'avais jamais joui comme ça, la violence de cette éjaculation m'a presque fait perdre l'équilibre. Je sentais un flot de sperme s'échapper de moi, et aller directement dans le ventre de Sabrina. Lorsque que quelques secondes après je rouvrais mes yeux, je vis Sabrina déposer un baiser sur le haut de mon front Elle se redressa, et croisa mon regard. Je devais avoir l'air surpris, Avant que je puisse réagir, elle avait glissé sa langue dans ma bouche. Nous avons passé une nuit enlacés tendrement tout les deux, nous déposant fréquemment de petits baisers furtifs sur n'importe quel partie de nos corps. | sous la tente (E) Sabrina n'avait plus de sac de couchage. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas de dormir dans le mien. Elle se glissa à mes cotés. Je pouvais sentir la courbe de ses fesses sur mon bassin, Une vraie bouillot ... |
![]() | gestes tendresMarine est là, vêtue de sa jupe de crepe noire aux bretelles défaites. En s'asseyant, sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. le dos appuyé au mur, les jambes legerement écartées. Mon imagination s'envole. Elle se contorsionne légèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi un flot d'adrénaline. M'avançant d'un pas, je pose le bout des doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme un sursaut, Elle ferme légèrement les yeux, gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour la rapprocher de mes doigts. Je la complimente: - ils sont beaux, tu sais ! - tu trouves ? redis le moi ! Enhardi, je pose doucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement. Elle ne fait pas un geste. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sa peau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaud au bas-ventre, Mon autre main rejoint la première, enroulant mes doigts autour d'un globe chaud, ferme et affolant. Marine se cambre. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche de plaisir se dessine sur son visage. - C'est agréable ce que tu me fais, tu sais. C'est bon... D'un geste assuré, elle se retourne et se blottit le dos contre moi. - fais moi encore des choses gentilles. Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mains descend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle se contracte un peu plus, ses fesses pressent sur mon sexe gonflé. Fermant les yeux, elle oscille, frottant ses fesses contre mon membre. Je bande de plus en plus, ma verge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables qui accentuent encore le contact brûlant de son corps. Elle appuie encore un peu plus ses fesses contre moi, et ses mains caressent mes cuisses, m'invitant à continuer. De ses lèvres s'échappe un faible murmure inintelligible. -Mmmmhh ... Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à son bas ventre, j'en caresse le tissu. Marine suspend ses mouvements, sa bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte. Un moment d'extase muette pendant lequel elle découvre les sensations nouvelles de mes caresses à travers le tissu. Elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de ma main, pour en augmenter les effets. Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mes doigts passent à l'intérieur de son slip. - Que fais-tu ? Mmmmh ! c'est pas bien ! ... mais continue quand meme ! Ils continuent à descendre contre sa peau nue. Le visage de Marine est brillant et illuminé. Mes doigts rencontrent sa toison légère et douce. J'explore cette petite fourrure qui m'électrise. Marine hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque. Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts. Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. Mes doigts atteignent enfin le sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes et gonflées par l'attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'ouvrir. A nouveau, Marine a cessé de bouger, toute à l'attente et la découverte de ces sensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme de plus en plus rapide. Elle sent son plaisir. Marine mouille. Mes doigts effleurent un bourgeon naissant, arrachant un nouveau hoquet à Marine dont la plaisir augmente encore. - tu sais t'y prendre avec les femmes ! Elle avance sa main derriere elle, avec des mouvements un peu désordonnés. Ses doigts caressent légèrement mon sexe à travers mon pantalon, en évaluent le volume, mais elle n'ose pas franchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique me secoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. En reponse, ma main se crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entre ses grandes lèvres toutes lubrifiées. Marine geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, le plaisir se lit distinctement sur son visage. Marine reprends l'initiative: elle defait rapidement la ceinture de mon pantalon, elle saisit mon membre et le libere de son carcan de tissu. Sa main se referme sur mon membre durci, une véritable décharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j'ai du mal à me retenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle explore les contours de mon membre, Je me cambre violemment et laisse à mon tour échapper un grognement de plaisir. Enchantée de sa découverte, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante. - Tu sais, souffle-t-elle soudain, c'est la première fois que je fais ça à un homme ! - Mais tu fais ça très bien, tu peux pas savoir comme c'est bon ! Elle lâche alors un instant mon sexe agité de palpitations, et tire mon pantalon vers le bas, le laissant tomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend mon sexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mes testicules. Ma verge palpite dans sa main et lui indique au fur et à mesure le plaisir qu'elle me fait ressentir, elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente et commence à la pénétrer doucement. Ses mains quittent mon ventre et se posent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôt l'encouragent, elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, mon regard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'une courte toison blonde. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le lui caresse en même temps. Je saisis l'elastique de son slip pour le faire descendre. Elle me facilite la tache en se dehanchant, je lui ôte son slip, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant à hurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante sur sa vulve. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent, libérée de toute inhibition, elle accompagne mes doigts avec des mouvements du bassin sans plus aucune retenue. Son plaisir coule sur mes doigts. Je n'y tiens plus, sans cesser ma caresse, mon autre main guide mon gland vers elle. Le bout de mon sexe gonflé à éclater commence à presser sur sa vulve trempée, elle se cambre, retournant son visage vers moi et me supplie dans un murmure : - oh oui ... viens dans mon ventre... Je la pénètre lentement, doucement, profitant totalement de mon plaisir, de la sensation de ma verge qui écarte les parois de son vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur son visage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offert s'ouvrant et appelant ma pénétration. Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s'il était immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, nous retenons notre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de mon sexe l'a pénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et de contentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée contre moi. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre. Marine frissonne doucement, se préparant à un nouveau torrent de plaisir. - Oh ! Que c'est bon ! ... Cet extraordinaire sommet de plaisir se prolonge. Je la regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peine entrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres gonflées laissent échapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus tels des obus. Son ventre se soulève régulièrement au rythme de sa respiration. Mon penis est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humide qui m'enserre délicatement. Nos deux corps nus sont imbriqués l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bande terriblement fort, envahissant totalement le sexe de Marine. Tout doucement, je tente de me retirer d'elle. Elle me rattrape pour me retenir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre. Une ou deux fois encore, je sors un peu d'elle et je rentre, la jouissance s'épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples et d'instinct Marine devine mes propres mouvements pour m'accompagner. Elle respire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elle s'empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit sans retenue. Elle guide mon mouvement en elle à son rythme qu'elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l'orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne. Je plante alors ma verge au plus profond de son vagin et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants et interminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par une palpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d'artifice m'aveugle et doucement j'arrête de la pilonner, je suis vidé. Nous restons immobiles quelques instants, son sexe paraît serrer le mien encore raide dans son ventre. Je profite de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l'orgasme, - \"Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es gros et dur ! c'est fou, ça m'a envahie !\" Délicatement je sors mon membre de son délicat fourreau. Marine a un mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m'en extrais pourtant complètement dans un agreable bruit se succion. elle assimile peu à peu toute le plaisir qu'elle vient d'éprouver. Elle se retourne et me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux, de tout son corps. - \"Alors c'était tout ça ? C'est extraordinaire, c'est fantastique... Hummmm ce que c'est bon !\" Ses bras m'enlacent et elle me serre contre elle tout son corps rivé au mien, même. Écartant légèrement son visage, elle colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau. Elle pose sa tête dans le creux de mon cou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pas débander... - \"C'est merveilleux de faire l'amour,\" me chuchote-t-elle dans l'oreille, - \"il faudra qu'on refasse l'amour ensemble encore, c'est bon, j'aime ça très fort. Tu me referas l'amour, dis ? - Bien sûr ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablement excitante quand tu fais l'amour, c'est très très bon et doux, et j'ai joui très très fort dans ton ventre...\" - \"Tu sais, quand je t'ai senti rentrer dans mon ventre, j'ai failli tourner de l'œil tellement c'était bon. - D'ailleurs, quand j'ai... quand j'ai joui, je crois que j'ai perdu conscience un instant. - Et puis j'ai senti comme ton... comme tu gonflais encore dans mon ventre et les contractions de ton sexe. - J'ai aimé quand j'ai senti que tu giclais en moi. Oh, je savais pas que c'était aussi bon ! - tu m'as mis plein de... plein de sperme dans mon ventre ? ... Je suis pleine de toi ! \" Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement, amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction et de reconnaissance mélangées. Je regarde sa main qui caresse ma verge toute humide de ses propres sécrétions et de mon sperme, et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées et repues de plaisir. Très vite, je sors, je cours vers la piscine et m'y plonge au plus vite, Marine m'y rejoint. Nous sommes tous les deux sur le bord. Elle ne se rend pas compte que sa position, les fesses tournées vers moi, est abominablement excitante et que ma verge déjà dressée fantasme à tour de bras. Je ne resiste pas et me plaque pratiquement sur son dos, en lui enserrant les seins des deux mains. Elle se cambre encore plus, ses fesses frôlant le bout de mon gland : Je dégrafe son soutien-gorge, et je reprends ses seins nus dans mes mains : ils sont doux, fermes et lourds, ils pèsent agréablement dans mes paumes. Je les caresse sans retenue. Elle murmure simplement un \"Humm\" approbateur. Ses fesses nues et claires sont tendues vers moi, j'y pose mes mains et les caresse, j'en éprouve le galbe et la fermeté. Marine donne un coup de reins. Elle tourne la tête et se contorsionne pour m'embrasser, et me susurre des \"c'est bon !\" dans la bouche. Subrepticement, je guide mon membre à l'entrée de son vagin, puis je prends ses seins à deux mains. Elle comprend, et je la sens fondre sous moi, s'ouvrir pour me laisser le passage. Mon sexe tendu comme un arc s'enfonce en elle. Elle pousse sa langue dans ma bouche au moment où mon gland la pénètre. Elle se cambre, je me recule et sors un peu de son ventre, Marine suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en elle. Elle recule encore et mon gland entre un peu plus. Le dos et les reins cambrés, la tête rejetée en arrière, tout son corps se tend vers mon sexe qui la pénètre. Lentement, inexorablement, je m'enfonce en elle. Je glisse tout doucement dans son ventre parfaitement lubrifié : je m'enfonce en elle comme dans une motte de beurre tiède, avec la douce résistance d'un fourreau crémeux et souple. Lorsque mon ventre vient se coller à ses fesses, elle laisse échapper un long gémissement de plaisir qui manque me faire jouir. - \"Reste, reste comme ça, ne bouge plus\", me supplie Marine. Planté en elle, je ne fais plus un mouvement, seules continuent les palpitations de mon sexe dans son vagin. Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, haletants. Marine me chuchote - \"viens encore un peu plus\", et d'un léger coup de reins, je bute au fond de son ventre. Elle a une contraction brutale accompagné d'un \"han !\" de plaisir. Je la tiens par les flancs et je recommence mes coups de reins, elle se contracte chaque fois violemment et geint en continu. Je sens que mes poussées pourtant retenues l'amènent très vite à la jouissance. Je continue et soudain elle jouit avec un grand frisson, ses jambes cèdent sous elle et je dois la retenir pour qu'elle ne tombe pas dans l'eau. Toujours plantée en elle, je la soutiens pendant qu'elle reprend ses esprits. Enfin elle se redresse, ma verge sortant doucement de son sexe, puis elle se retourne vers moi, m'enlace et pose sa tête dans mon cou, et se met à pleurer en m'embrassant. Mon sexe toujours raide contre son ventre me gêne un peu dans ce moment d'émotion, mais elle ne s'en offusque pas. Petit à petit, elle se calme, puis me susurre à l'oreille : - \"Oh, j'aime bien quand tu me fais ça, c'est trop, je voudrais que ça recommence ! J'imaginais pas pouvoir jouir aussi fort. - Tu appuyais au fond de mon ventre et à chaque fois ça faisait une véritable décharge de plaisir ! C'est formidable de baiser...\" Je dois dire que ce dernier mot m'étonne un peu de sa part, mais après tout c'est bien ce que ça veut dire, et il est temps qu'elle s'émancipe un peu aussi dans son langage. - \"Merci, toi !\" dit-elle à mon sexe qu'elle a pris dans ses mains et à qui elle applique une caresse reconnaissante. - \"Je suis complètement vidée, crevée, je ne tiens plus sur mes jambes !\" Marine sort de la piscine sans même se rendre compte qu'elle est encore totalement nue. Je repêche son maillot et le mien. Je me rhabille puis je l'aide à en faire autant. Flageolante, elle se dirige vers un matelas de bain sur lequel elle s'allonge mollement, les jambes ouvertes dans une position impudique mais satisfaite. Pendant que Marine sombre dans un sommeil réparateur, je vais vers la douche, Le ruissellement de la douche me fait le plus grand bien, mais me retrouver nu me rappelle mes moments d'intimité avec Marine, et je sens mon sexe se réveiller hardiment. Le savonnage n'arrange pas les choses ... C'est à ce moment précis que la porte de la douche s'ouvre et que Marine, ravie, me regarde en souriant. Un peu surpris quand même, je me savonne le torse distraitement. Elle se saisit alors du savon et me frictionne le sexe - \"Mes doigts glissent tout seuls avec le savon, sur ta... sur ton... sur toi. Oh, allez, sur ta queue ! Sur ta grosse queue, sur ta bite, na ! Ça y est, je l'ai dit !\" C'est marrant, c'est plus difficile pour elle de prononcer ces mots que de prendre ma bite dans sa main... Nous rions tous les deux de sa confusion, mais elle ne cesse pas pour autant de me caresser. - \"Et sur toi ça glisse tout seul, là ?\" Et je rentre ma main dans son maillot. Comme son maillot n'est retenu que par des nœuds sur les côtés, j'en défais un prestement, et le reste tombe. Ravie de se retrouver nue avec moi, Marine écarte légèrement les jambes pour que ma main trouve mieux son sexe. Saisissant le savon mouillé, je l'applique sur le ventre et sur le sexe. Bien entendu, ça glisse bien, et je ne me prive pas de faire durer ma caresse, d'insister sur sa fente, de passer sur son clitoris avec le savon ... Elle écarte encore plus les jambes pour que mes caresses puissent atteindre ses moindres replis. Je colle mon ventre contre le sien et ma bite raide vient se plaquer contre son sexe. Je glisse ma verge contre sa fente, Marine pousse son ventre en avant, je pousse mon gland ... et je commence à pénétrer en elle comme dans un étui fait sur mesure. Je la remplis doucement, sans résistance, et un soupir de plaisir accompagne ma lente progression. Je pousse jusqu'au fond de son ventre, et je sens son clitoris palpiter sur la racine de mon sexe. Je commence à la pistonner sans retenue et nous montons tous les deux rapidement vers un orgasme ravageur. Les yeux à moitié révulsés, Marine halète de plus en plus vite, devançant mes coups de reins. J'ai eu tort de la regarder comme ça, elle est si excitante que je ne peux plus me retenir, je jouis brutalement en un long jet de sperme. Mon orgasme déclenche celui de Marine et les mouvements convulsifs de son ventre accompagnent les derniers flots que je déverse en elle. La respiration bloquée, elle jouit longuement, comme si des vagues successives la submergeaient. Tous les deux vidés de notre énergie, nous restons un moment immobiles, puis Marine descend son pied du rebord et refermant ses jambes, emprisonne mon pieu dans son vagin serré : Mais je sais aussi bien jouer qu'elle, et je recommence de petits mouvements du bassin qui font aller et venir ma bite encore raide dans sa chatte bien huilée par mon sperme. Le vagin encore très sensible de nos ébats à peine terminés, Marine est d'abord surprise de l'effet produit, mais y retrouve vite son plaisir et le renforce en serrant plus fort les jambes. Doucement, je sors mon sexe de son ventre, et rapidement nous nous rinçons. J'embrasse légèrement ses lèvres, et prenant au passage une serviette, je me réfugie dans ma chambre. Pas un bruit dans la maison. Les volets des chambres sont tous ouverts, sauf ceux de la chambre de Marine. M'approchant pour les ouvrir, je découvre qu'en réalité elle est encore au lit, dormant profondément... je vois la masse soyeuse de ses cheveux coulant autour de son front nu, à la peau joliment ambrée, le bout de son nez qui dépasse, et une épaule ronde à moitié découverte par le grand t-shirt qui lui sert de chemise de nuit. Je vais pour lui déposer un baiser tout à fait innocent sur le bout du nez, mais en m'approchant, je découvre que son drap est tombé au pied de son lit. Mon esprit s'enflamme immédiatement, je choisis de déposer un baiser nettement moins innocent sur cette toison si douce et si tendrement offerte. Marine n'a aucune réaction, je me penche à nouveau sur son ventre. Je respire l'odeur douce de son corps tiède. J'embrasse sa vulve du haut en bas. Cette fois, Marine réagit, ouvre à peine les yeux et découvre ma tête entre ses jambes. Elle devine tout de suite d'où vient cette sensation et murmure : \"Hummm, c'est bon, c'est divin d'être réveillée comme ça !\" J'entraîne Marine dans des mouvements convulsifs du bassin, accompagnés de soupirs. Son clitoris est tendu, je le prends dans ma bouche, je le suce, je l'aspire entre mes lèvres, ma langue en explore tous les recoins. Elle pose ses mains sur ma tête, alternativement suivant et guidant mes mouvements. La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute, elle a les seins tendus, le ventre contracté : qu'elle est belle, Mes lèvres remontent le long de sa fente. Marine geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre qui oscille à la recherche d'un plaisir total. Doucement je mordille son clitoris : Marine se cambre violemment, s'arc-boute, et elle jouit d'un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc. Laissant enfin échapper l'air de ses poumons, elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants, totalement comblée. Je remonte un peu, je glisse ma langue dans son nombril. Je continue mon ascension jusqu'à ses seins, entre lesquelles j'enfouis mon visage, je les embrasse et j'en suce les bouts. Je continue à remonter vers son visage, mon gland vient toucher sa vulve. En écrasant un peu mon ventre sur le sien, je la pénètre facilement. Son sexe est bien huilé... - \"Oh, encore, viens dans mon ventre, viens, viens vite et fort !\" Dit-elle sur un ton gourmand. Je me soulève un peu en me remontant, et je la pénètre jusqu'au plus profond de son sexe. - \"Ouch !\" Réagit-elle, avec tout de même un léger mouvement de recul du bassin, un peu estomaquée par ma pénétration sans ménagement. D'elle-même elle entame un mouvement de reins qui me fait aller et venir en elle. Je la laisse ainsi conduire le mouvement un moment, tout au plaisir de la sentir me faire l'amour, et je joue même un peu le voyeur. Je suis ses gestes, ses réactions, son visage, son souffle, sa poitrine qui se soulève, ses seins qui durcissent, leurs aréoles qui s'élargissent. Fichtre qu'elle est bandante ! Je ne peux plus me retenir, et j'accompagne ses mouvements, parfois les amplifie, parfois les contrarie. Par moment elle me laisse faire, par moment elle reprend les rênes, par moment elle m'accompagne. Nous restons l'un dans l'autre sans bouger, à nous dire des mots doux, à nous embrasser. et nous continuons à jouer à la limite de l'orgasme. Mais ça ne peut pas durer éternellement, et quand Marine dans un souffle dit - \"j'en peux plus, j'peux plus !\", Je me rue en elle, je précipite mes mouvements, et je la vois sombrer dans un plaisir qui dure, qui dure... Je me retiens encore le temps qu'elle reprenne un peu ses esprits, et je recommence doucement mes mouvements jusqu'à lui offrir ma propre jouissance, sans aucune retenue. - \"Oh, c'est beau, c'est beau...\" balbutie-t-elle alors que mon sperme finit de gicler dans son ventre. J'ai l'impression d'en déverser des litres en elle ! Brisé, je m'écroule sur elle, collant mes lèvres aux siennes, submergé par une gigantesque vague de tendresse partagée. Il nous faut encore de longues minutes de baisers avant de nous décider à nous relever pour aller prendre notre petit déjeuner, tous les deux un peu tiraillés par la faim. Fichtre, quels dégâts ! Il faut que Marine change ses draps, mon sperme a largement coulé de son ventre, et une vaste auréole plus que suspecte s'étale au beau milieu ! Je trouve Marine très désirable : elle porte une chemise déboutonnée simplement nouée sous les seins, et une (très) petite jupe serrée qui lui moule les fesses. Elle s'écarte de moi, elle enlève tous ses vêtements et avant que j'ai eu le temps de réagir, me déshabille en un tour de main. Nus tous les deux, nous nous étreignons à nouveau, mon sexe raidi appuyé contre son ventre. Nous savourons chacun la peau nue de l'autre. Nos mains s'égarent, se promènent et caressent nos corps brûlant d'excitation. Mes mains pétrissent ses seins, doucement mais avidement, je les soupèse au creux de mes paumes, je les enferme dans mes doigts, je joue avec leurs pointes. Appuyant sur mes épaules, Marine me demande de me baisser, elle accompagne mon mouvement, puis me fait coucher sur le lit et se couche sur moi. J'ai repris mes caresses sur tout son corps, de sou cou à ses cuisses. Ma main continue à parcourir ses seins, son ventre, son sexe, ses cuisses. Mes doigts jouent dans sa toison. Elle écarte un peu les jambes, les collant aux miennes. Il ne me faut qu'un geste pour la basculer sur moi, ses seins écrasant ma poitrine, son sexe contre le mien, dressé entre ses cuisses, elle se soulève un peu et picore mes lèvres avec les siennes, pressant sa poitrine contre moi, puis son ventre. Elle découvre ces nouvelles sensations en continuant à m'embrasser, jusqu'à ce qu'elle découvre les mouvements de son bas-ventre faisant frotter sa chatte contre ma bite raidie, elle se cambre et un sourire de plaisir se dessine sur ses lèvres. Elle souffle fort, de plus en plus vite. Ses mouvements s'accélèrent, se renforcent, elle appuie fort sa vulve contre ma verge dressée. Et soudain elle jouit en se raidissant brutalement, écrasant son pubis contre moi, vidant ses poumons de tout l'air qu'ils contiennent. Puis reposant sa tête contre la mienne, elle reprend petit à petit son souffle. - \"Oh, j'ai joui toute seule ! Oh, j'avais l'impression d'avoir un pieu entre les cuisses, c'était bon !...\" Marine reste dans cette position à ronronner contre moi, bougeant à peine, juste pour un baiser ici et là dans mon cou. Elle s'étire de tout son long, et ne manque pas de sentir contre son sexe ma bite toujours raide et qui n'attend qu'elle. Avec une moue de gourmandise, elle se contorsionne pour essayer de me faire pénétrer dans son ventre - \"Attends, c'est moi qui vais te faire l'amour !\" déclare-t-elle avec un grand sourire. Elle se redresse à califourchon sur moi, et tout doucement, elle redescend son bassin, ses lèvres appuient sur mon gland. Ce simple début de pénétration, qu'elle provoque elle-même, affole ses sens. Elle rouvre les yeux, et en surveillant mes réactions sur mon visage et aux contractions de mon sexe, elle s'empale doucement dessus. Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma bite, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa progression quand elle sent mes sens s'affoler. Je voudrais avoir un sexe d'un mètre ! Je la sens toute entière autour, comme si tout son corps m'enserrait. La sensation est diabolique, Petit à petit, elle a recouvert toute la longueur de mon sexe, maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions involontaires qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle me sourit de contentement et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans quitter mon pal qui la pénètre profondément. Son mouvement déplace mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation dans son ventre. Elle découvre au fur et à mesure toutes les sensations qu'elle peut provoquer. Elle se soulève encore un peu et se baisse à nouveau, sent ma verge coulisser dans son ventre. - \"Hummm ! C'est moi qui, que tu, qui me baise avec toi... Humm, je peux me faire ça moi-même avec ta bite !\" Elle a encore des découvertes de pucelle, ça m'excite encore plus. Ma verge bat spasmodiquement dans son ventre, Marine a du mal à maîtriser le jeu. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés. Elle parvient à contenir la montée de son plaisir en ralentissant par moments ses mouvements, ou en leur donnant moins d'ampleur. Amplifiant son mouvement, elle en vient à se dégager complètement de mon sexe, et un très court instant, j'aperçois son visage un peu décontenancé, comme déçu, et sa chatte à quelques centimètres au-dessus de mon gland luisant, rouge, tendu. Tout de suite elle s'abaisse rapidement, engloutissant brutalement et d'un coup toute la longueur de ma bite ! - \"Ahhh !...\" Cette pénétration massive et violente lui coupe le souffle, elle pousse un cri, mélange de surprise, de plaisir et peut-être de douleur, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'en fais j'essaye d'en faire autant, bien que submergé par la sensation et le spectacle qu'elle m'offre. Après un moment, deux fois, trois fois, elle recommence ce même envahissement brutal, réprimant de plus en plus difficilement un orgasme tout proche. Devant l'imminence de sa jouissance, elle se contente de se soulever, puis à petits coups de ventre, fait juste entrer et sortir mon gland de sa vulve. Mon sexe est tendu à éclater et je suis aussi au bord de l'orgasme, le souffle me manque. Elle parvient à cesser tout mouvement, plantée sur mon sexe qu'elle n'a jamais senti aussi gros, aussi envahissant. Elle a un hoquet, et se penchant vers moi, réfugie son visage dans mon cou, fond en larmes. - \"Ohhh, Tom, c'est bon, c'est bon...\" balbutie-t-elle au milieu de sanglots saccadés. \"C'est trop bon, je vais éclater... Oh, j'aime ça, j'aime tant ça... Il ne faut pas arrêter, mais je vais partir comme une fusée...\" - \"Mais vas-y, continue, jouis, jouis de ton plaisir, Marine !...\" - \"Oui, mais je voudrais que ça dure, que ça dure, que ça ne s'arrête pas... Je découvre tellement de choses, Tom, je voudrais tout découvrir...\" Et puis Marine se soulève, rampe en arrière vers le bas de mon corps, je la tire vers moi. Elle reprend position sur moi, s'empale à nouveau et me serre encore dans ses bras. Sa langue fouille dans ma bouche. En même temps, je la cajole, je caresse son dos, ses fesses. Je passe une main entre ses deux globes fermes et trempés de sueur. en gesticulant de tous côtés, elle découvre de nouvelles sensations, celle de tourniquer autour de ma bite : - \"oh, ça aussi c'est bon !\". Elle se redresse complètement, empalée sur mon sexe comme sur un pivot, et entame des mouvements en cercle avec son bas-ventre. En relevant un peu la tête, je peux voir ses yeux fermés, ses narines pincées, sa bouche grande ouverte qui respire à grands coups, les muscles de son ventre eux aussi luisants de transpiration qui se contractent et travaillent pour frotter en rond sa chatte sur mon pubis, ma verge fouillant profondément son vagin, frottant sur toutes ses parois, trouvant les moindres parcelles de plaisir. Jusqu'à son clitoris largement sorti de son capuchon, qui frottent les poils de mon pubis. Le spectacle est tellement excitant que je ne peux m'empêcher de mêler à ses mouvements mes propres coups de boutoir, plantant mon gland au plus profond de son ventre. Le corps raidi, Marine geint à haute voix, halète, précipite son mouvement. Puis, avec un long cri étouffé, elle repose ses mains sur ma poitrine, semble s'étirer tout en s'écrasant sur mon sexe, et jouit longuement, agitée de sursauts incontrôlables. Ce feu d'artifice déclenche mon propre orgasme avec un instant de retard, et je la rejoins dans un torrent de plaisir, le dos et les reins cambrés, arqués, la soulevant haut au bout de ma bite, déversant au fond d'elle un flot de sperme. - \"Ahhhhhhhh !...\" C'est un cri de jouissance pure que pousse Marine. Je la garde comme ça sur moi un moment, perchée sur mon ventre, les bras ballants, ma verge enfoncée en elle. Puis lorsqu'elle rouvre les yeux et me regarde avec un sourire d'une infinie tendresse, je me détends, reposant à nouveau sur le sol et je lui tends les bras. Elle se couche sur moi, étend les jambes en enserrant les miennes, couvre mon cou de baisers. - \"Hummm, mon Tom, ça peut être aussi fort que ça ? J'ai pas rêvé ? J'ai joui comme ça ?\" - \"Hum oui ma Marine, tu as joui comme une reine, comme une déesse, et tu m'as fais jouir comme tu peux pas imaginer !\" - \"C'est toi qui m'a donné ton plaisir, j'ai senti tout ton foutre gicler au fond de moi, tu m'as tout donné...\" Je nous fais basculer d'un demi-tour, et Marine se retrouve maintenant sous moi, mon sexe toujours planté dans son ventre, pas encore dégonflé. Pour la taquiner, je vais et je viens un peu dans son vagin, mais elle proteste en riant : \"stop ! Arrête, enfin ça y est, je suis comblée, j'en peux plus, je suis moulue, je demande grâce ! Heu, jusqu'à la prochaine fois seulement, hein ?!?\" Je ris aussi, et doucement je me retire d'elle, puis je m'étends à ses côtés. Cette fois, les caresses que je lui fais nous laissent ne réveillent pas tout de suite nos appétits, et nous nous disons des tendresses, les yeux dans le vague, tout à notre bonheur. Longtemps, longtemps après, enfin reposée de nos fatigues, Marine se lève et s'éloigne de quelques pas pour un petit besoin qu'elle s'en va satisfaire discrètement, bien que complètement nue. Ses petites fesses musclées et fermes qui s'éloignent me font monter le sang à la tête. Et quand je la vois revenir, exposant sans pudeur tout son corps nu, ses seins magnifiques et fermes bougeant à peine, la petite tache blonde de sa toison les lèvres de son sexe encore gonflées de nos coïts, je sens mon sexe se redresser, gonfler à nouveau. Je me relève pour l'accueillir, la serre contre moi, frottant ses seins durs contre ma poitrine. L'effet est foudroyant, ma bite se raidit brutalement et pousse contre le ventre de Marine. La coquine sourit de surprise et se met à frotter son ventre contre ma verge, la faisant gonfler et raidir encore plus. - \"Je te fais encore bander, hein ! T'as encore envie de moi ! \" Se haussant sur la pointe des pieds, elle a passé ma bite entre ses cuisses serrées, et ondulant du bassin, elle se masturbe doucement sur mon sexe long et raide. Je la saisis sous les aisselles, la monte un peu plus haut, et d'instinct elle ouvre les jambes et les enroule sur mes hanches, passe ses bras autour de mon cou. A bonne hauteur, elle m'embrasse divinement, tout en continuant à se masturber sur mon sexe. Je bande de plus en plus fort, presque douloureusement tellement ses frottements m'excitent. D'une main, je guide le bout de ma verge vers sa fente, et le mouvement suivant de son bassin me fait pénétrer profondément dans son sexe encore tout lubrifié de mon sperme. De surprise, elle manque me lâcher, m'enfonçant encore plus en elle. Le plaisir brutal la tétanise une seconde, puis immédiatement elle déchaîne les mouvements de son bassin, faisant pénétrer et sortir ma verge de son vagin brûlant, ses lèvres toujours plaquées aux miennes. Elle mordille mes lèvres, alternant les mots d'amour, des mots plus crûs et des halètements. - \"J'aime ! Ohhh... J'aime ta bite dans mon ventre ! Pousse fort ! Ohh, je t'aime, je t'aime... Ouuf ! Doucement, viens, recule, viens ! C'est bon, ce que c'est bon !... Ta queue dans mon ventre, ta queue... Ahhh !... Ahhh ! Arrête un instant, oh non continue... Viens, viens ! Plante-moi ta bite, jouis ! Je vais jouir, me laisse pas, viens !...\" Nous jouissons presque ensemble, le plaisir est tellement fulgurant que je suis obligé de m'agenouiller, incapable de nous porter. Je gicle encore en elle alors que nous sommes tous deux agenouillés au sol, mon sexe rivé dans le sien. Le souffle court, étonnés de la rapidité et de la force de notre jouissance, nous revenons peu à peu sur terre. Marine me pousse doucement en arrière pour m'allonger sur le dos, et vient s'installer sur mon ventre, sa chatte humide sur mon nombril. Pendant qu'elle caresse tendrement ma poitrine et mon cou, je caresse aussi doucement sa toison blonde, sa douce fourrure claire et soyeuse. Je frôle le capuchon de son clitoris maintenant calmé, je passe le pouce le long de sa fente trempée. Nos sens sont calmés, repus. Amoureusement, Marine frotte sa toison sur ma poitrine, comme avec une petite brosse, riant doucement. Je la regarde faire, et elle ne s'aperçoit pas que de son sexe enfin détendu, s'écoule tout le sperme que j'y ai déversé. Jusqu'à ce que cette humidité inattendue contre son ventre la surprenne : - \"Oh, je coule sur toi ! Ton sperme coule de mon ventre... Et c'est vrai qu'une large flaque blanche couvre maintenant mon ventre. la faim nous tiraillant, nous nous rhabillons paresseusement. Qu'elle est belle ! Nue ou habillée, elle est jolie ! Je l'aime mieux nue, mais même habillée, elle me fait aussi bander. | gestes tendres (E) Marine est là, vêtue de sa jupe de crepe noire aux bretelles défaites. En s'asseyant, sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. le dos appuyé au mur ... |
![]() | la première foisDes doigts qui se font légers, timides et tremblent un peu, couché à côté d'Elle, je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève, l'angoisse est répartie entre nos deux êtres qui sont là, côte à côte, allongés dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Je revois cette chambre, cette douce après-midi où un rayon de soleil venait éclairer en biais le lit. J'ai en mémoire le moelleux du sommier Je suis emprunté, ému, tremblant, transi, amoureux... D'abord cueillir sa bouche... sa langue fraîche et encore maladroite, comme la mienne, dans un doux baiser. Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, encore couvertes d'un chemisier gris clair A travers le tissu soyeux, le petit bourrelet de la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... coupés courts sur la nuque, revenir sur le cou... Stratégie de mouvements volontairement lascifs qui doivent apparaître naturels et que je calcule, millimètre après millimètre... Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il m'a fallu du temps, de la patience... pour moi, pour Elle.Pour moi, qui n'étais sûr de rien et en connaissais encore moins. Pour Elle, qui était moins sûre que moi et devait être rassurée, réconfortée tout en cachant son impatience. Pour nous deux, c'est la toute première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionne pas, ne marche pas... et si... Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ? Les mécanismes humains sont pleins de ressources imaginatives, inventives et surtout adaptatives, sauf devant la fermeture d'un soutien-gorge. Le baiser cesse, le buste s'avance, des mains fines... Les doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur et difficultés sous le coup de son émotion, tirent nerveusement sur les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré par les bonnets blancs opalescents à la limite de la transparence et laissent voir des seins comprimés, des bouts rosâtres bruns, malmenés, aplatis par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou les épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil d'envie et de désir vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! Voilà ! Les seins sont libres ! comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Dessiner des arabesques, tordre le bout ? Non. L'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... Câlinement, amoureusement ses lèvres recollent aux miennes... Ma main, plus affermie mais toujours avec timidité, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des nerfs, des sens. Premiers effets d'un souffle que j'écoute, que je guette qui s'ébauche. Et nos bouches sont toujours soudées. La main s'égare sur la cuisse, couverte d'un jean serré, nouvelle barrière infranchissable... La main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu raboteux et presque empesé, au milieu des coutures dures, la main est en contact avec l'entrejambe.Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu gêne, les cuisses s'écartent et claquent sur la main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent et un premier soupir fait comprendre qu'une vague de désir monte chez Elle (ça, on ne le comprend qu'après). Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, pantalon qui roule sur les cuisses et emporte avec lui le slip. Jambes qui se lèvent alors que le buste bascule sur le lit, bottes qui se déchaussent, pantalon qui glisse, enlevant au passage les chaussettes.Vision fugace, attendue, espérée d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent la tête à l'envers, le feu au ventre.Tension extrême dans mon pantalon... Le corps est couché sur le lit, les jambes sont posées, serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Jamais plus je ne retrouverai cette émotion ni avec elle, ni avec d'autres. La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur déjà éprouvée et déjà renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. La main glisse et s'égare, les cuisses s'ouvrent avec détermination. Les doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoité. Ici, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terrain inconnu. Raidissement soudain du corps, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers les yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ?... C'est elle qui le demande, qui le dit... c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir.Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure blonde. Je suis presque étalé sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent, m'étouffent presque. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander.sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas la main explore, palpe, tâte, tâtonne encore. Elle joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Me voilà nu... Sourire, puis rire, puis moquerie de sa part. Et soudain je ne vois plus que ça ! Ça est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie qu'elle est prête, qu'elle m'attend...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel. Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Enfin, je la surplombe. Hésite encore puis me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais, d'un doux et long baiser, cueillir ses lèvres. Ses mains se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles appuient, m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Comme par enchantement l'un trouve le chemin alors que l'autre s'écarte pour me recevoir. Magie du contact ! Suprême moment ! Délice de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, ses mains me bloquent immédiatement, m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains largement appliquées sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Cette fois j'appuie ma pression, bute et force légèrement le passage. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate.Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur.J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour », de passer dans la catégorie des « hommes » ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute - « Je t'aime ». Et nous nous sommes serrés l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un.Je m'en souviens comme si c'était hier. | la première fois (E) Des doigts qui se font légers, timides et tremblent un peu, couché à côté d'Elle, je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève, l'angoisse est r&ea ... |
![]() | Il doit avoir dix-neuf ansLe nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. sa jambe pénètre plus avant, son bras entoure un peu plus ma taille, je sens sa respiration s'accélérer. nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Sa main presse la mienne. Il me resserre contre son ventre. Je le sens durcir. Un vertige me prend. Les lumières se font plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Le contact de son sexe me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles au contact de son torse. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, ce contact me fait tressaillir. Il me pousse à l'écart, à l'abri des regards. Enlaçement, caresses, il emprisonne mon visage et s'active sur mes lèvres. Il les lèche, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur sa poitrine, j'entends son cœur qui bat à coups sourds. Il s'attaque aux boutons de mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge. je deboutonne sa chemise, son torse vient au contact de mes seins. Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je degage son sexe et le prends en main. Il est brûlant. Je le sens palpiter. Il se saisit de mes deux seins. Il joue de mon corps. ses mains partent à l'aventure. Je les sens sur mes seins, sur mon ventre, Il me suce, me mordille. mes seins durcissent, mes mamelons pointent. Sa bouche me fait frémir. je prend sa tête dans mes deux mains, le tire vers moi et lui murmure : - J'ai envie de toi ... J'écarte les cuisses et le dirige au bon endroit, je m'offre toute grande. - Viens ! La pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son membre palpite dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Il jouit ! Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | Il doit avoir dix-neuf ans (E) Le nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. sa jambe pénètre plus avant, son bras entoure un peu plus ma taille, je sens sa respira ... |
![]() | Un glissement onctueuxManon se positionne sur moi, s’arrête un moment, me fixe intensement, remue très legerement puis se laisse descendre, lentement ... Un glissement onctueux, une penetration lente, Elle absorbe mon sexe, elle s'empale sur moi, je me perds en elle Elle remonte un peu, redescend un peu plus. un frottement délicat Elle se frotte, se soulève, ondule. Elle m’aspire, me tire, me pousse en jouant de son corps. Elle râle, je gémis Ses seins tremblent au dessus de mes yeux Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et me sourit. | Un glissement onctueux (E) Manon se positionne sur moi, s’arrête un moment, me fixe intensement, remue très legerement puis se laisse descendre, lentement ... Un glissement onctueux, une penetration lente, Elle absorbe mon sexe, elle s'empale sur m ... |
![]() | douceur infinieAllongée sous la tente, il me rejoint et tout doucement, me caresse. Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. J'attends impatiemment qu'il vienne. Et il vient. Il s’enfonce en moi tout doucement, par glissades subtiles. Je frémis. Il glisse dans mon ventre, je ferme les yeux. Je me détends. Je le sens et je m’abandonne à lui, liquide, légère; il voyage en moi. Il s'enfonce dans mon ventre, profondément, je goute ses succions. Nous baignons dans une lumière veloutée. Il s'enfonce un peu plus, explore mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge palpite dans mon ventre, je suis secouée de plusieurs petits spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un délicieux bruit de liquide. Sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... J'aime ... C'est bon... - Tu veux...maintenant ? - Non...Pas encore... Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde amoureusement. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Puis il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard ..... Ses muscles se tendent. Il raidit, se retient… puis d'un souffle, il se vide en moi, sans retenue, dans un long râle. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. Il se penches sur moi. me donne un baiser, me sourit. | douceur infinie (E) Allongée sous la tente, il me rejoint et tout doucement, me caresse. Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de lui. Nos visages se rapprochent. Il est si proche, Je le respire. J'attends impatiemment qu'il vienn ... |
![]() | offrandeSon corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Son souffle etait lent, j'étais en elle et plus rien ne comptait Elle avait les yeux fermés, offerte, la bouche entrouverte, une main enfouie dans ses cheveux, je lui caressais son visage, lui mordillais les levres, doucement le rythme s'accelera, Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore, | offrande (E) Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Son souffle etait lent, j'étais en ... |
![]() | Paulina 2Paulina soupirait les yeux fermés. Puis, sans précipitation, ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement son souffle etait lent, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. j'atteignis bientot le fond, je restais un moment en elle sans bouger elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce penetration. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore, Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient. Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps... Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. - Paulina ! J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir. - Paulina ! Je t'aime ! Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser. Je n’en pouvais plus... je lâchais tout ... un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de plaisir. Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose, - Paulina ... tu es mienne. Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire. Tu bouscule ma vie. Tu me donnes ta douceur, ta tendresse, ta fraîcheur ... tes horizons sont vastes, tu es belle et souveraine... Je t'embrasse, te caresse... Je glisse hors de toi... Je t'aime | Paulina 2 (E) Paulina soupirait les yeux fermés. Puis, sans précipitation, ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir control&e ... |
![]() | PaulinaUn paradis de douceur me cerne, me boit. Tu t’ouvres à moi et me dévores, sensation délicieuse et presque douloureuse. Je suis en toi, au plus profond de toi. Je sens la chaleur de ton ventre tout autour de moi, j’appartiens à tes entrailles, je fais partie de toi, je t’habite. Tout s'estompe, je ressussite, je savoure cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre. Tu bouges lentement, tu caresses mon membre, tu me suces, m'enroules et me déroule. Tu te creuses pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau te remplir de moi. Tu modules le rythme, tu glisses, légère, agile, tu ondules fluide, féline. tes muscles se contractent et se relâchent, Tu as fermé les yeux, tu te tends, tu te crispes, tu haletes, tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi. agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir. Tu remues, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. tu me serres de ta bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. je sens les contractions qui pulsent dans ta vulve. je me sens emporté, sur le point d’exploser. Je n’en peux plus... je lâche tout ... un fleuve de volupté ... Je t’inonde ... et ce flot déclenche en toi des vagues de plaisir. puis tu t’abas sur moi, haletante. soulagement, liberation, plenitude Je te serre contre moi, je t’étreins. ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque. Mes mains dans le creux de tes reins, sur ta peau lisse et douce. Tu es blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sens riche de toi, toujours en toi, apaisé, vidé, comblé, je rêve d’éternité, je veux qu’en cet instant le temps se décompose, Paulina ... tu es mienne Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire. Tu as bousculé ma vie. Tu me donnes ta douceur, ta tendresse, ta fraîcheur ... tes horizons sont vastes, tu es belle et souveraine... Je t'embrasse, te caresse... Je glisse hors de toi... Je t'aime | Paulina (E) Un paradis de douceur me cerne, me boit. Tu t’ouvres à moi et me dévores, sensation délicieuse et presque douloureuse. Je suis en toi, au plus profond de toi. Je sens la chaleur de ton ventre tout autour de moi, j ... |
![]() | Je t'accueille et tu viensJe t'accueille et tu viens, lentement, tendrement, tu t’enfonces en mon sein. Tu me pénètres ou tu me prends. Mon paradis de douceur qui te cerne, te boit. Je m’ouvre à toi et te dévore, sensation délicieuse et presque douloureuse. Tu es en moi, au plus profond de moi. Tu appartiens à mes entrailles, tu fais partie de moi, tu m’habites. Tout s'estompe, je ressussite. Savoure cette douce sensation à l’extrémité de ton être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre. Tu bouges lentement, je caresses ton membre, je te suce, t'enroule et te déroule. Je me creuse pour toi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de toi. Module le rythme, glisse en moi, sois légèr, agile, je serai fluide, féline. Mes muscles se contractent et se relâchent, Tu as fermé les yeux, tu te tends, tu te crispes, tu haletes, tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi. Agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si beau en ton plaisir. Tu remues, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. Je te serre de mes lèvres amoureuses, juteuses comme une mangue. Sens mes contractions qui pulsent dans ma vulve. je te sens emporté, sur le point d’exploser. Je n’en peux plus... toi non plus ! Tu lâches tout ... un fleuve de volupté ... Tu m’inonde ... et ce flot déclenche en moi des vagues de plaisir. puis tu t’abas sur moi, haletant. soulagement, liberation, plenitude. Je te serre contre moi, je t’étreins. ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de tes reins. Tu es blotti contre moi, inerte et si vivant. Je me sens riche de toi, toujours en moi, apaisé, vidé, comblé, je rêve d’éternité, je veux qu’en cet instant le temps se décompose, Je suis tienne Je te sens contre moi, Tu as bousculé ma vie. Je t'ai donné ma douceur, ma tendresse, ma fraîcheur ... , tu es beau et souverain... Je t'embrasse, te caresse... Je te laisse glisser hors de toi... Je t'aime | Je t'accueille et tu viens (E) Je t'accueille et tu viens, lentement, tendrement, tu t’enfonces en mon sein. Tu me pénètres ou tu me prends. Mon paradis de douceur qui te cerne, te boit. Je m’ouvre à toi et te dévore, sensation d&e ... |
![]() | elle m'emprisonne en elle. Nous poussons un cri, de longs souffles succédent. ma jouissance explose, | (E) elle m'emprisonne en elle. Nous poussons un cri, de longs souffles succédent. ma jouissance explose, ... |
![]() | J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton vit, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je veux tout ton amour, qu'il s'incruste sous ma peau Et que mon âme fragile se mêle à la tienne. Sofifée | (E) J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton vit, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, ... |
![]() | Entre tes seins chaleureux (Cyr)J'ai fermé les yeux Entre tes seins chaleureux Et, doucement, venant chatouiller mes sens, J'ai senti la volupteuse et paresseuse essence Du parfum de tes douces mamelles, Du souffle de ma bouche sur elles, Raviver en mes inconscientes narines Un ressac d'ardeurs sous-marines Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques En des rivages paradisiaques... Sous mes yeux fermés et frémissants Des songes allument des feux d'illusions Qui se consument lentement Telle une fumée de tison, Son corps surgit alors du brouillard Gonflé d'un désir charnel Qui fait s'élever au ciel Mon phallus fier étandard ! Mes envies laissent libres leur cours Elle m'enlace - Je la possède Je me prélasse - Elle m'obsède Maintes fois nous faisons l'amour Sexes ou bouches - Enchevêtrés Sueurs et frissons - Embaumés Au solstice de la nuit Dans l'odeur chaude des ombres Où toujours plus je sombre, M'agitant dans le lit Savourant cet échange, Se produit soudain un évènement étrange... Dans la moiteur de mes rêves Je sens monter un vent de fièvres Jusqu'au bord de mes lèvres Mon membre semble proche d'exploser Telle une bouteille de champagne Trop agitée avant de servir Et de mon gland vient couler Sur la cuisse de ma compagne Quelques gouttes de plaisir... La fragance poivrée Animale De ce précieux miel Parvient jusqu'au nez De ma belle Et distille moultes phéromones mâles En ces sens qui bientôt s'éveillent ! L'essence masculine et virile Se difuse en elle avec force La rendant soudain si fébrile Qu'elle se redresse, Bombe le torse Cambre les fesses Et vient s'empâler dans un râle Sur mon sexe boréal ! Tandis que l'aurore soudain illumine Mon rêve qui se termine... Cyr | Entre tes seins chaleureux (Cyr) (E) J'ai fermé les yeux Entre tes seins chaleureux Et, doucement, venant chatouiller mes sens, J'ai senti la volupteuse et paresseuse essence Du parfum de tes douces mamelles, Du souffle de ma bouche sur elles, Ra ... |
![]() | à peine 20 ansLe nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. Sa jambe s'immisce plus avant, entre mes jambes qu'il écarte doucement. Je me laisse faire, son bras, entoure un peu plus ma taille, je sens sa respiration s'accélérer. nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Sa main presse la mienne. Il me resserre contre son bas ventre. Je le sens durcir. Un vertige me prend. Les lumières se font plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'electrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Le contact de son sexe me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles au contact de son torse. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, ce contact me fait tressaillir. Il me pousse à l'écart, à l'abri des regards. Enlaçement, caresses, il emprisonne mon visage et s'active sur mes lèvres. Il les lèche, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur sa poitrine, j'entends son cœur qui bat à coups sourds. Il s'attaque aux boutons de mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge. je deboutonne sa chemise, son torse vient au contact de mes seins. Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je degage son sexe et le prends en main. Il est raide et brûlant. Je le sens palpiter. Il se saisit de mes deux seins. Il joue de mon corps. ses mains partent à l'aventure. Je les sens sur mes seins, sur mon ventre, Il me suce, me mordille. mes seins durcissent, mes mamelons pointent. Sa bouche me fait frémir. je prend sa tête dans mes deux mains, le tire vers moi et lui murmure : - J'ai envie de toi ... J'écarte les cuisses et le dirige au bon endroit, je m'offre toute grande. - Viens ! La pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son membre palpite dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Il jouit ! Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | à peine 20 ans (E) Le nombre des danseurs s'éclaircit et les lumières s'assombrissent, Il doit avoir dix-neuf ans, Sa peau est douce et chaude. Sa jambe s'immisce plus avant, entre mes jambes qu'il écarte doucement. Je me laisse faire, so ... |
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![]() | jeunes amoursElle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur. Une ruelle, un muret, un champ, une obscurité propice. J’ai envie de son sein et elle me l’offre. je remonte ma bouche vers la sienne, ses jambes s’écartent. Elle me supplie de venir. Je rentre en elle. C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. sa jouissance nous inonde. Je vais et viens doucement et sa position se change pour être totalement prise, l’offrande totale. puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communique à l’intégralité de ma peau. Elle me masse avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monte et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se referment sur mes hanches et me maintiennent ancré au plus profond d’elle. Je n’ose pas rompre cette harmonie, doucement elle me berce en enfouissant sa figure dans mon torse. je lui prodigue des massages au plus profond d’elle. les sensations sont fortes et me prenent du haut en bas. Elle se crispe, ses ongles dans ma peau. Je me deverse en elle. Nous revenons lentement sur terre, et je la quitte doucement, Elle a toujours les seins découverts, elle sort un tampon de son sac et se l’enfile en me regardant : Elle me sourit et se rhabille complètement. Je suis mouillé de son plaisir, elle est pleine de moi. | jeunes amours (E) Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe ... |
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![]() | il a joui en moiIl a joui en moi. Je retiens dans mon ventre son sperme chaud. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, il me sourit doucement. Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. Je n’osais pas lui dire oui. J’ai bien failli refuser, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent il m'a avoué son désir. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il s'est répandu en une apothéose … Je me sens droguée, mes hormones vont exploser, Qu'il continue ! c’est bon ainsi. Oh oui… Que c’est bon ! Il me voit étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le canapé, ouverte, obscène presque, je relève la tête vers lui, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie. Il s'approche de moi, pose son sexe qui durcit sur le mien, le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. C'est le paradis ! Il s'enfonce doucement, écarte bien mes chairs rosées, il me le met tout au fond et fai durer le plaisir. Il accélère maintenant. Oui ... Je n'en peux plus. Je jouis ! et luii aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui, | il a joui en moi (E) Il a joui en moi. Je retiens dans mon ventre son sperme chaud. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, il me sour ... |
![]() | peur de se faire surprendreNous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Assis à côté d'elle, je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche ? Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules, revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels. Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si... Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ? Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence, des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples. Comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, l'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes. le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon... Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoitési délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue. Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit... c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure. Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse... Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel. Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore. Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée Comme par enchantement il trouve le chemin , comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer, Ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour » ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. | peur de se faire surprendre (E) Nous sommes là, côte à côte, assis dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Assis à côté d'elle, je m'aventure à ... |
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![]() | a0099-000037Young Couple Making Love | a0099-000037 (E) Young Couple Making Love ... |
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![]() | Elle allait et venait doucementElle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre. Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage pendant quelques minutes Mon sexe était gonflé comme jamais. Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base. Elle me regarda profondément. alors que je voyais sa bouche s'ouvrir, et engloutir mon sexe. Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide, Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir. Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir. Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais. Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les couilles. De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement. Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts. Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle. Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent. | Elle allait et venait doucement (E) Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre. Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences prévisibles ... |
![]() | VanessaUne vraie sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de la piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Provocante. Elle s'accroche sur le bord, me voit, s'arrête et me nargue, elle me demande le l'aider à remonter. Je la prend par la taille elle s’élance ... mais se laisse retomber dans l’eau ... et m'entraine avec elle ... dans un grand éclat de rire. Elle se raccroche à moi ... s'approche ... et tombe litteralement dans mes bras. Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. Puis sans hésiter, elle me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, elle est chaude, ses seins me narguent, je bande. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris, elle sort mon sexe de mon maillot et d'un coup, je le sens aspiré dans le sien.ça glisse tout seul, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je libére toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment. Elle me sourit, et me donne son numéro de cabine. Puis elle file. Je retourne à ma cabine, petite douche, et je me dirige vers la cabine 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… | Vanessa (E) Une vraie sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de la piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse, dé ... |
![]() | Paulinachevelure blonde qui flotte librement. grâce élastique, élégance naturelle, sourire lumineux, nos regards se croisent. Trouble. Elle s’appuie sur mon bras, me touche. Frisson sa chaleur, son parfum, son visage me grisent chaque pas anime sa poitrine. Elle est éblouissante. Une jupe légère qui la couvre à mi-cuisses, un pull leger moule des seins adorables qui pointent outrageusement. elle me saute au cou, me dispense un baiser qui me coupe le souffle. elle me prend la main, virevolte, et m’entraîne. - Viens, je t’emmène chez moi, ne restons pas là ! Sa voix est douce, suave, souple comme une liane, et j’ai peine à la suivre. Nous marchons, montons ... nous sommes dans sa chambre Elle s’arrête enfin, me fait face, les bras le long du corps, les paumes tournées vers moi, Mes jambes ont du mal à me porter... Je suis anéanti, liquéfié. Je la regarde, je la détaille, je me remplis les yeux. Son corps, ses mouvements, ses expressions, tout en elle est emprunt d’une sensualité indéfinissable, envoûtante. - Viens te réchauffer contre moi, me lance t'elle d'une voix suave Allongée sur le lit, les yeux fermés, sa respiration soulève sa poitrine. Une respiration lente, calme. Les pointes de ses seins se dressent sur des mamelons crispés par la fraicheur. ses mains me caressent mon ventre. Elle me caresse les flancs. Elle me pétrit la nuque, colle ses seins sur mon torse, fait éclore des baisers chauds dans mon cou. De longs frissons voluptueux me parcourent l’échine. Mon sexe me fait mal, bandé à pouvoir pénétrer un mur. Elle se jette sur mes lèvres, fouille ma bouche, me baise les yeux, mordille mes oreilles, se colle contre moi. Je suis envahi par un tourbillon sauvage qui me déborde de toute part. Assise sur mon ventre, la poitrine en avant, elle contemple son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles devant mon nez, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéanti, son corps est contre le mien, sa chaleur irradie. En appui sur ses bras, elle leve son bassin, se positionne au dessus de moi, et dirige mon sexe vers ses lèvres intimes. Puis elle s'empale petit à petit. Chaude humidité. Sensation divine Lentement ses hanches remuent, sa vulve absorbe mon gland. C’est un ciel sans fin dans lequel je me noie. Mes mains sur ses reins suivent son mouvement. Elle bouge lentement, se délectant de la caresse qu’elle se procure. Sa bouche s’est ouverte, je respire son haleine parfumée. Elle se recule... se redresse, me prend de nouveau à l’orée de son ouverture. Les yeux fermés, attentive, lentement elle se plante, m’enfonce en son sein. Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. sensation délicieuse, presque douloureuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite. Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, Elle se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir de moi. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur le guide, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Sous mes doigts tous ses muscles entrent en mouvement, marée vivante qui se contracte et se relâche, chair ferme et souple. Elle a fermé les yeux, ses narines palpitent, le rose qui lui vient aux joues témoigne du plaisir qui monte en elle. elle aussi se tend, se crispe sous l’effet du plaisir, Elle jouit de mon corps... de mon sexe. Elle va jouir de moi, sur moi et moi en elle. bonheur de la voir perdre pied. Elle remue, imperceptiblement, appliquée à prolonger sa jouissance. Elle ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle se redresse, tête en arrière, seins pointés vers le ciel, secoue sa crinière, cambrée, me possédant, inflexible en elle, elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde... Paulina j’aime ton plaisir plus que le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. J’aime le battement de tes cuisses contre les miennes. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir. Mes mains se posent sur ses seins, j’en effleure le contour, j'enveloppe de mes paumes leur galbe parfait. La caresse lui fait fermer les yeux, sa langue passe et repasse sur ses lèvres ouvertes. Ma verge ressent les contractions qui pulsent dans sa vulve. Son visage s’empourpre à nouveau. - Je veux que tu jouisses de moi, je veux sentir ta jouissance envahir mon ventre... - je veux que tu me remplisses de toi C’est irrésistible, je me sens emporté, mon sexe est dur, raide, sur le point d’exploser. J’ai beau me retenir, resister au traitement qu’elle me fait subir, je ne peux plus me contenir. Je n’en peux plus... Je gemis, je lâche tout, je laisse jaillir avec soulagement un fleuve de volupté. Je l’inonde, et ce flot déclenche en elle de nouvelles vagues de plaisir. Elle clame éperdument sa jouissance, tendue dans une ultime contraction, puis elle s’abat sur moi, haletante ... Je la serre contre moi, je l’étreins. Elle étend les jambes contre les miennes, roule sur le coté. J’ai son visage dans mon cou, son souffle chaud sur ma nuque. Mes mains plongent dans le creux de ses reins, glissent sur sa peau lisse et douce. Je saisis sa taille fine, souple, presque fragile, celle qui à l’instant était si ardente, se déchaînait sur moi. J’effleure la naissance de ses fesses, l’émouvant sillon qui part plonger entre ses cuisses, son dos plat, le creux de ses omoplates, comme deux ailes d’ange qui auraient oublié de pousser. Elle est blottie contre moi, la joue contre ma poitrine, inerte et tellement vivante. Toujours en elle, apaisé, vidé, comblé au delà de toute espérance, je rêve d’éternité. Je voudrais qu’en cet instant le temps se décompose, que l’air cristallise en fines paillettes, qu’il nous fige ainsi pour toujours, satellisés dans les étoiles. la vie suit son cours, les oiseaux chantent, rivalisent de trilles stridentes, Paulina... Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire. Tu me donnes ta jeunesse, ton innocence, ta fraîcheur, tu me réssuscites... tes horizons sont vastes, tu es belle indépendante et souveraine... Je te quitte... Je glisse hors de toi... heureux | Paulina (E) chevelure blonde qui flotte librement. grâce élastique, élégance naturelle, sourire lumineux, nos regards se croisent. Trouble. Elle s’appuie sur mon bras, me touche. Frisson sa chaleur, son pa ... |
![]() | Mains exploratrices Ton corps est une contrée Route parfumée Ta bouche entrouverte Mon doigt glisse entre tes lèvres Pénétration brève Sur ton sein charnu Je dépose mes baisers Mieux te contenter Jambes écartées Effluves de ton désir Je te veux entière Tribades amours Deux corps entremêlés Deux corps embrasés Deux doigts recourbés Ton corps se cambre plus fort Petite mort 2010 © ruichan | (E) Mains exploratrices Ton corps est une contrée Route parfumée Ta bouche entrouverte Mon doigt glisse entre tes lèvres Pénétration brève Sur ton sein charnu Je dé ... |
![]() | subrepticement il posa une main sur l'un de mes seins puis glissa deux doigts sous le leger soutien-gorge, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il prit alors le second sein et entreprit de palper les 2 seins objets de ses fantasmes d'adolescent. Il me créait un trouble au fil des caresses, sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. mon corps fut parcouru d'un long frémissement érotique, | (E) subrepticement il posa une main sur l'un de mes seins puis glissa deux doigts sous le leger soutien-gorge, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il pr ... |
![]() | caressés, parfuméssubrepticement il posa une main sur l'un de mes seins puis glissa deux doigts sous le leger soutien-gorge, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il prit alors le second sein et entreprit de palper les 2 seins objets de ses fantasmes d'adolescent. Il me créait un trouble au fil des caresses, sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. mon corps fut parcouru d'un long frémissement érotique, nos seins excitent les mains et les regards des hommes Ils agacent nos pointes, et les font se dresser pour mieux les masser. caressés, parfumés, poudrés. Ils les envient sous nos chemises de soie ou nos décolletés insolents. Nous sentons approcher leurs mains émues, nous les sentons se glisser subrepticement sous nos corsages, et monter doucement, Leurs mains jouent avec nous, nous soupèsent, apprécient notre fermeté, nous pétrissent délicatement comme des boules de pâte à pain et nous forment à leur goût. Quand elles s'emparent de nos pointes dressées, | caressés, parfumés (E) subrepticement il posa une main sur l'un de mes seins puis glissa deux doigts sous le leger soutien-gorge, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il pr ... |
![]() | les seins (Albert Mérat)L'éclosion superbe et jeune de ses seins Pour enchaîner mes yeux fleurit sur sa poitrine. Tels deux astres jumeaux dans la clarté marine Palpitent dévolus aux suprêmes desseins. Vous contenez l'esprit loin des rêves malsains, Nobles rondeurs, effroi de la pudeur chagrine ! Et c'est d'un trait pieux que mon doigt vous burine, Lumineuses parmi la pourpre des coussins. Blanches sérénités de l'océan des formes, Quelquefois je vous veux, sous les muscles énormes, Géantes et crevant le moule de mes mains. Plus frêles, mesurant l'étreinte de ma lèvre, Vers la succession des muets lendemains, Conduisez lentement mon extase sans fièvre. Albert Mérat. | les seins (Albert Mérat) (E) L'éclosion superbe et jeune de ses seins Pour enchaîner mes yeux fleurit sur sa poitrine. Tels deux astres jumeaux dans la clarté marine Palpitent dévolus aux suprêmes desseins. Vous con ... |
![]() | subrepticement il posa une main sur l'un de mes seins, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il prit alors le second sein et entreprit de palper les 2 seins objets de ses fantasmes d'adolescent. Il me créait un trouble au fil des caresses, sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. mon corps fut parcouru d'un long frémissement érotique, | (E) subrepticement il posa une main sur l'un de mes seins, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le léger tissu. Je le laissai faire. Terriblement excité, il prit alors le second sein et entreprit de palper les 2 ... |
![]() | nos seinsNos seins excitent les mains et les regards des hommes. Ils agacent nos pointes, et les font se dresser pour mieux les masser. Caressés, parfumés, poudrés. Ils les envient sous nos chemises de soie ou nos décolletés insolents. Nous sentons approcher leurs mains émues, nous les sentons se glisser subrepticement sous nos corsages, et monter doucement. Leurs mains jouent avec nous, nous soupèsent, apprécient notre fermeté, nous pétrissent délicatement comme des boules de pâte à pain et nous forment à leur goût. Quand elles s'emparent de nos pointes dressées, | nos seins (E) Nos seins excitent les mains et les regards des hommes. Ils agacent nos pointes, et les font se dresser pour mieux les masser. Caressés, parfumés, poudrés. Ils les envient sous nos chemises de soie ou nos décolle ... |
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![]() | peur de se faire surprendreNous sommes là, côte à côte, allongés sur son lit, dans sa chambre, porte fermée Elle s'est offerte à moi. Ses mains agrippées et se calées sur mes fesses, chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Mon sexe est en contact avec le sien. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce frôlement de mon corps intime avec le sien. Poussée, légère résistance, grimace, cri vite étouffé dans mon épaule puis, va-et-vient, puis, extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour » ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. | peur de se faire surprendre (E) Nous sommes là, côte à côte, allongés sur son lit, dans sa chambre, porte fermée Elle s'est offerte à moi. Ses mains agrippées et se calées sur mes fesses, chaudes, moites, trembl ... |
![]() | Nos corps se trouventNos corps se rapprochent, se trouvent enfin, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exaltation des sens, caresses ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps ... le plaisir est si fort. Sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre moi .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser, partout, sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule... Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ... elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque. Accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... Je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques ... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle m'absorbe telle un poulpe. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines... peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glisse, se frotte, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés. Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés. | Nos corps se trouvent (E) Nos corps se rapprochent, se trouvent enfin, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exaltation des sens, cares ... |
![]() | Son corps tout entier se donne peu à peuSon corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Elle s'ouvre, tendre et humide, elle s'offre à moi. Doucement, je glisse en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Je sens ses douces caresses intimes, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspire, elle m’absorbe. son souffle est lent, plus je l'investis, plus il est long et profond. Je la pénétre doucement, tendrement, puis reste un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. Nos mouvements reprennent, ils sont plus amples, ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je ressens sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, Je suis aspiré, absorbé par son corps. J'accélére peu à peu, la douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferme les yeux, elle s'offre à moi, la bouche ouverte, tout son corps jouit de ma douce penetration. Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage. J'oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, elle digère sa proie, comme si une crème enveloppait mon pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J'entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas et dès son premier soupir, je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Elle bouge pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige. Je me concentre sur ce gros sexe qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien me fait perdre toute retenue. Je saisis alors ses épaules, j'augmente l'ampleur et la puissance de mes va et viens, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis, encore et encore, j'accélère ... puis je m'arrete net. Je me sens venir, elle crispe son regard ..... elle me tire à elle. Je viens. Me voici ! Je lache un flot de liquide de vie. Je la remplis. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Puis je m'effondre avec des grondements d'ours blessé. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. | Son corps tout entier se donne peu à peu (E) Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Elle s'ouvre, tendre et humide, elle s'offre à moi. Doucement, je glisse en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Je sens ses douce ... |
![]() | sous la tenteSabrina posa sa main sur mon épaule. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas de dormir dans le même sac de couchage. Elle se glissa à mes cotés. Je pouvais sentir la courbe de ses fesses sur mon bassin, Une vraie bouillotte ! C'était vraiment très serré à l'intérieur, sans le vouloir j'effleurais la cuisse de Sabrina. Elle se cambra, et sa bouche se retrouva au niveau de mes oreilles. Elle me murmura à l'oreille tout doucement, d'une voix à peine audible. - laisse ta main contre moi ! Je me sens bien contre toi Je glissais alors ma main le long de sa cuisse, tout doucement. puis, sous son collant. De sa main droite, elle guidait ma main, et de sa main gauche elle me caressais tendrement la nuque. Au bout de quelques minutes, elle guida ma main vers ses parties intimes. Je continuais de la caresser tendrement, elle me fit comprendre avec sa main qu'elle voulait plus. J'enfonçais alors en elle un doigt tout doucement et je pus sentir sa douceur, ainsi que sa chaleur. Elle me caressait toujours la nuque, et elle continuait d'accompagner ma main dans son lent va et vient. Elle poussa un soupir, et sa respiration se fit plus rapide. Après quelques minutes, elle commença à me griffer la nuque, tout en gigotant de plus en plus. Elle mouillait beaucoup, Je compris qu'elle n'était plus très loin de la jouissance. J'ai accéléré la cadence de mes doigts entrant et sortant de son vagin, j'ai senti l'étreinte de son bras sur mon cou se resserrer, et elle se cambra tout en poussant un petit cri. L'étreinte de son vagin sur mes doigts se resserra un peu plus. Je lui déposais un baiser tendre dans le cou. Elle me rendis mon baiser en m'embrassant sur mon épaule. Elle était bouillante dans le sac de couchage. J'avais envie de l'embrasser, je lui ai déposé une myriade de petit baisers dans les cheveux. Elle sentait bon, et j'avais envie que ce moment dure une éternité. Elle gloussa doucement, et me chuchota que elle était vraiment bien ici avec moi. elle se serra encore plus fort à moi, ouvrit la bouche, et m'embrassa à pleine bouche. Nos deux langues s'enlaçaient tendrement, et j'en profitais pour défaire son soutien-gorge. en posant mes lèvres sur ses tétons, j'ai aussitôt constaté qu'ils étaient bien durs. Je continuais de lécher tendrement ses seins, Elle se laissait faire et me caressait tendrement la tête avec ses deux mains. Ma main gauche continuait de caresser doucement son corps. sa chatte était encore plus trempée que tout à l'heure. Mes doigts se sont a nouveau insinués, Sabrina commença à accompagner le va et vient et de mes doigts de son bassin. Elle se mit à gémir et poussa un petit cri, qu'elle tenta elle même d'étouffer, Elle s'est alors abandonnée contre moi comme une masse. Elle était toute rouge, Je m'allongeais sur elle. Je commençais à la pénétrer, tout doucement. Elle posa sa main droite à la base de mon cou et attira mon visage contre le sien. Ensuite elle m'embrassa goulûment, enlaçant sa langue avec la mienne. Je sentais sa chaleur intime s'installer tout le long de mon sexe. j'avais peur de lui faire mal. son sourire me rassura. Elle était encore plus belle que d'habitude. Ses cheveux étaient étalés en arrière, et des gouttes de sueur étaient apparues sur son visage. Ses yeux et son sourire s'étaient associés pour lui donner un air heureuse, mais épuisée. Je sentais mon membre entrer et sortir plus rapidement que ce que j'aurais cru. Sabrina mouillait beaucoup, Son odeur me rendait fou... Elle avait relâché totalement sa tête, ses yeux étaient fermés. Je lui demandais comment elle allait, elle pris mon cou entre ses bras. Je sentais sa chaleur sur mon corps, et j'entendais sa respiration, qui devenait de plus en plus forte. Son étreinte se fit vite plus forte, et elle recommençait à pousser des gémissements. Elle faillit m'étrangler pendant quelques secondes, puis elle relâcha tout ses muscles d'un coup. Elle avait atteint l'orgasme, et moi non plus je n'en étais plus loin. en quelques secondes je giclais en elle. Je n'avais jamais joui comme ça, la violence de cette éjaculation m'a presque fait perdre l'équilibre. Je sentais un flot de sperme s'échapper de moi, et aller directement dans le ventre de Sabrina. Lorsque que quelques secondes après je rouvrais mes yeux, je vis Sabrina déposer un baiser sur le haut de mon front Elle se redressa, et croisa mon regard. Je devais avoir l'air surpris, Avant que je puisse réagir, elle avait glissé sa langue dans ma bouche. Nous avons passé une nuit enlacés tendrement tout les deux, nous déposant fréquemment de petits baisers furtifs sur n'importe quel partie de nos corps. | sous la tente (E) Sabrina posa sa main sur mon épaule. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas de dormir dans le même sac de couchage. Elle se glissa à mes cotés. Je pouvais sentir la courbe de ses fesses sur mon b ... |
![]() | Elle jouait avec cerise ...Elle jouait avec une cerise entre ses lèvres, elle l'enroulait de sa langue et la suçait goulument. Elle la faisait entrer et sortir de sa bouche, avec des bruits de succion terriblement érotiques , mon sang était sous pression. Puis, elle termina sa cerise et se passa sa langue sur ses lèvres mouillées Un peu de pulpe lui restait aux commissures des lèvres, elle me demanda de lui retirer. J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais avec ma langue la pulpe mouillee. Elle ferma les yeux, un léger frisson la parcourut et elle me souria à son tour. Elle s’étira longuement comme un chat. Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes Ce fut le début de l'histoire ... | Elle jouait avec cerise ... (E) Elle jouait avec une cerise entre ses lèvres, elle l'enroulait de sa langue et la suçait goulument. Elle la faisait entrer et sortir de sa bouche, avec des bruits de succion terriblement érotiques , mon sang &eacut ... |
![]() | Paulina 1Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par un gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffle: - restez tranquille, serrez-moi encore ! Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives. Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour atteindre la peau satinée. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Elle m'interrompit: - partons d'ici, et allons dans ma chambre Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées, comme en attente. - j'ai envie de vous ! Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. - ça va ? lui demandai-je de plus en plus impatient - vous avez entendu ? J'ai envie de vous ! Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Aa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude. - ça va ? - pfouh oui, je suis sur un nuage mon sexe compressé contre son ventre. le sien luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland. | Paulina 1 (E) Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la t ... |
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