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Marthe et Julien


La fête commençait à s'animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Presque toute la classe de terminale était là, même Julien, le petit nouveau. Madame Granger se reposait dans sa chambre, au premier étage. C'était son anniversaire, quarante-cinq ans, et ce soir elle avait envie de sexe elle s'était offert des dessous affriolants. Ses seins étaient merveilleusement mis en valeur. La culotte était de la même dentelle fine sous laquelle transparaissait sa toison soigneusement dessinée. Assise sur son lit, Marthe se regardait dans le miroir. Elle croisait les jambes, les décroisait, les croisait à nouveau remontant haut la jambe du dessus, faisait crisser ses bas l'un contre l'autre. Marthe se trouvait belle et désirable, et les rondeurs qu'elle redoutait étaient juste là où il faut pour exprimer l'épanouissement de sa féminité, son mètre soixante-dix lui conférant beaucoup de prestance. Devant son miroir, elle s'admirait, se tournait, se caressait une cuisse, lissait le haut d'un bas...
C'est à cet instant qu'elle entendit une voix de l'autre coté de la porte. Le jeune Julien était seul au premier étage. Marthe ouvrit la porte en grand et appela Julien d'une voix chaude et sensuelle qu'elle ne se connaissait pas. Julien tourna doucement la tête, et vit une femme à moitié dévêtue qui se tenait dans l'ouverture de la porte. Les longues jambes prolongées d'adorables chaussures étaient gainées de bas soyeux qui brillaient à contre jour, mais surtout dénudaient une bande de chair laiteuse en haut des cuisses, et cette vision eu pour effet de redonner de la vigueur à son menbre tendu, comme si cela était nécessaire dans son état ! Cette déesse à la chevelure flamboyante se tenait appuyée contre le chambranle de la porte,
l'autre bras tendu vers lui en signe d'invite et la tête nonchalament penchée sur le bras levé. Les jambes légèrement croisées dans une attitude divinement érotique, cette apparition l'appelait de sa bouche sensuelle aux lèvres si finement dessinées. Il était attiré par cette bouche sensuelle au sourire aguicheur, et aussi par ce regard farouche où les yeux brillaient de désir.
Julien, hypnotisé par ce qu'il voyait, se décolla du mur et commença à s'avancer vers elle. Ses habits baissés le bloquèrent et il s'arréta mi gêné mi décontenancé de sa niaiserie ! Marthe s'approcha de Julien, lui remonta maternellement ses habits, mais ne les remit pas vraiment en place et surtout ne recouvrit pas ce qui était devenu le seul objet de sa convoitise. Elle prit délicatement une main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Dans le même mouvement, son autre main s'était saisie de cette tige rigide qui omnubilait son esprit et elle se rapprocha de Julien pour lui souffler, lui murmurer, lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Viens, Julien, c'est mon anniversaire, mon mari n'est pas revenu, je suis trop seule, nous allons nous aussi nous échanger "nos cadeaux".
- Viens, je vais te donner du plaisir et toi, tu vas m'en donner aussi !
Marthe attira donc Julien dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaqua contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant tout son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, pour aller jusqu'au bout de ce qu'elle avait entrepris. Elle n'avait pas laché le membre turgescent du jeune homme et avait même commencé un lent et délicat massage. Julien commençait à reprendre ses esprits. La douce caresse de Madame Granger sur son sexe endolori, le souffle chaud de cette femme sur son visage, le poids de son corps contre le sien, tout le ramenait lentement à la réalité. Et Julien se demandait s'il voulait vraiment revenir à la réalité. Cette main douce le cajolant d'un mouvement lent et régulier lui apportait calme et réconfort et même l'insitait à propulser son bassin à la rencontre de la main de Marthe pour accentuer le bien-être qu'il éprouvait au travers de son bâton d'amour. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de cette partenaire qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Sa bouche cherchait celle de Marthe, ses lèvres voulaient attraper celles de cette femelle qui avait entrepris de frotter son pubis sur sa cuisse et même carrément sa vulve. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Dans le cerveau de Julien, un étrange combat était en train de se dérouler. Il avait toujours éprouvé pour la mère de Jacques un mèlange de respect et d'admiration. Il était très impressionné par son maintien, sa prestance, sa classe, sa douceur, et sa gentillesse à son égard. En cet instant tous ces mots étaient remplacés par d'autres : grâce, féminité, sensualité, lascivité, volupté. En ce moment le problème de Julien était qu'il désirait cette femme, qu'il voulait la posseder, lui donner le plaisir qu'elle réclamait de tout son corps et que lui n'était qu'un gamin, à peine sorti de l'adolescence, qu'il n'avait aucune expérience, qu'il n'était qu 'un puceau comme l'avait dit Vanessa. De plus il avait peur de jouir, d'exploser, de se répandre dans la main de Marthe, d'obtenir bien egoïstement une sorte de libération sans rien donner en échange à sa libératrice. Il voulait lui expliquer tout ce qui se bousculait dans sa tête. Il posa ses mains sur les épaules dénudées de Marthe et articula un début de phrase :
- Madame, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, Marthe avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait à cette intromission, elle se plaqua d'avantage contre son partenaire et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, et c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. A peine étirée sur la pointe des pieds, elle s'appuyait de tout son poids contre le corps du jeune garçon afin de donner encore plus de force à son baiser, mais sans pour autant relacher le membre raidi qu'elle continuait à cajoler de maniére plus douce pour faire une sorte de contraste entre ses deux caresses.
Julien, d'abord surpris par la fougue de Marthe, se ressaisit très vite et instintivement comprit ce qu'il devait faire. Dans un même mouvement, ses mains glissèrent des épaules de sa compagne pour l'enlacer et la coller encore plus fortement à lui, une main se posant sur le haut des fesses de Marthe. Dans ce geste les fines bretelles tombèrent sur les bras de Marthe où le violent désir qui l'étreignait avait fait apparaitre tout à la fois transpiration et chair de poule. Ayant ainsi pris possession du corps de Marthe, Julien lui rendit son sauvage baiser. Lui aussi chercha à pénétrer sa bouche, leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était à celui qui mettrait son organe le plus loin dans la gorge de l'autre ou aspirerait la langue adverse au plus profond de sa bouche. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Marthe était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement et même lui malaxait, lui pétrissait les fesses
la forçant, mais elle était consentante, à écraser sa vulve sur la cuisse qu'il avait serrée entre ses jambes .
Elle en profita pour se frotter contre cette masse de chair alors qu'elle continait de masturber le membre viril de son mâle. Instinctivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante de la main de sa divine partenaire sur sa barre tendue parce qu'il sentait son volume augmenter du fait du baiser de cette bouche vorace.
A bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Marthe dégagea ses lèvres de la bouche de Julien. Elle planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je vais te faire jouir ! Je vais te sucer, te pomper, je vais te vider les couilles mon amour.
Aprés lui avoir effleuré les lèvres et avoir exhalé un nouveau soupir pour qu'il sente son haleine de femelle en rut, Marthe se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait maintenant tout son esprit. Elle n'avait pas reconnu sa voix, c'était une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps, du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance. Elle n'avait jamais employé un tel language non plus, elle ne se reconnaissait ni dans ses gestes ni dans ses paroles.
La main de Marthe qui tenait le membre de Julien continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque. Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse. Mais il n'était qu'au début de ses découvertes, car déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Marthe posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis le béquota délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue. Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien. Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Marthe montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Marthe revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat, comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle. Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle, puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin. Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôlés. Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention. Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus. Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre, le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard. Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Marthe dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Marthe. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Marthe voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- Aaaahhh...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Marthe voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition. Le bâton de jouissance de son jeune amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance. Marthe se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Marthe adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Marthe à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
Julien prit Marthe par les épaules pour la relever, la faisant glisser sur toute la longueur de son corps comme elle l'avait fait avant de le prendre en bouche. En remontant, la guépière effleura à nouveau son sexe, divine caresse. Le frottement dénuda les seins magnifiques de sa maîtresse, laissant apparaître deux tétons dressés et durs au millieu des larges aréoles brûnes qui contrastaient avec blancheur laiteuse du reste des globes mamaires. Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps.
Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, et une nouvelle érection de son dard s'annonçait peut être même plus impressionnante que la première. La main de Marthe avait d'ailleurs reprit possession de cette tige de chair afin de la stimuler de nouveau. Le jeune homme avait une nouvelle fois enlacé sa compagne et la tenait serrée contre lui à l'étouffer. Plus sûr de lui, ses mains caressaient le dos de Marthe et même s'aventuraient sur ses fesses. Julien se permettait de les flatter, de les palper et de les empaumer pour mieux les pêtrir. Marthe, toujours collée aux lèvres de son amant et accrochée à son vît, se cambrait et tendait son cul pour répondre à la caresse. Le jeune garçon s'enhardissait et passait ses mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec la peau de sa maîtresse. Ainsi soudé à elle, Julien fit pivoter Marthe pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. La main qui flattait les fesses se trouva bloquée alors que certains doigts avaient découvert le sillon fessier de sa partenaire. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Mais leur baiser touchait à sa fin car la tension du désir de s'unir plus intimement grandissait au plus profond de chacun d'eux.
Leurs lèvres se séparèrent une dernière fois et ce sont leurs yeux qui se fixèrent. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Et ils s'embrassèrent à nouveau, peut-être par peur de ce qu'ils venaient de comprendre en se regardant. Leurs lèvres courraient sur leurs visages, et déjà leur souffle ne faisait plus qu'un.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Marthe, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. Ses lèvres se remirent à dévorer celles de sa maîtresse, alors que son autre main s'était accaparée de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. Il avait saisi les tétons érigés comme deux petites bites et les faisait rouler entre ses doigts de moins en moins délicatement. Le jeune homme entama un lent mouvement du bassin, pour faire coulisser son sexe rigide dans la main de sa partenaire.
Marthe se sentit prise, totalement possédée. Sa bouche était envahie par une langue vorace, sa vulve était littéralement écrasée par la masse musculaire de la cuisse de Julien, ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés.

Marthe avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. Elle se demanda si la situation n'était pas en train de lui échapper. Elle avait réveillé la bête qui dormait au plus profond du jeune homme, et maintenant elle allait se faire violer sauvagement au premier étage de sa propre maison. Mais les caresses de Julien, bien que de plus en plus appuyées, n'en étaient que plus agréables, et elle se laissa aller, s'abandonna aux attouchements pressants de son amant. Elle écarta franchement les jambes pour que la cuisse de Julien lui écrase complètement le clitoris. Elle ondula langoureusement le bassin pour facilité la palpation approfondie de ses fesses. Ses bras s'étaient resserrés comme pour étouffer son partenaire et sa bouche se colla encore plus intimement à celle du garçon. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Marthe dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame, je ... je voudrais ...
Marthe s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur. Elle venait de le sucer, elle avait sa verge dans sa main, il lui torturait divinement ces tétons et il la vouvoyait encore. Il demandait même l'autorisation pour lui faire l'amour.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur. J'ai envie de toi, j'ai envie que tu mettes ton sexe dans ma chatte... J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir... Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. Pour qu'il sache que ce qu'il demandait n'était pas mal ou tabou et que elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Ce qui l'excitait le plus, c'était de penser qu'elle allait faire l'amour debout pour la première fois de sa vie, décidément sacré anniversaire. Debout contre un mur comme n'importe qu'elle fille de rue. Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, son mari, il n'avait qu'à pas être en retard.
Marthe repoussa délicatement le jeune homme, qui découvrit pour la première fois la belle poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle de la guépière. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents et frippés. Un petit médaillon argenté pendait délicieusement à la naissance de la vallée séparant ces deux globes majestueux, animés par les inspirations profondes de Marthe.
Les bretelles tombées sur les bras, les balconnets de la guépière retournés sous les deux masses mamaires donnaient à Julien une image particulièrement sensuelle et excitante de cette femme qu'il admirait tant. Il avait devant ses yeux La Femme : la Mère, l'Epouse, la Maîtresse, la Première, l'Eternelle. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites.
Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches qui s'évasent pour donner toute la définition de féminité, des cuisses aux rondeurs harmonieuses. D'un geste qui aurait pu paraître grottesque ou obcène, mais que Marthe rendit extrèmement gracieux et sensuel, elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Marthe se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte baveuse. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes et commença à le téter de ses lèvres vaginales comme elle l'avait fait auparavent avec ses autres lèvres. Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Avec perversité Marthe venait percuter son petit bouton d'amour pour se rapprocher des limites du sublime, et repartait vers l'ouverture de son temple aux délices. Puis, brusquement, Marthe plaqua fermement son amant contre elle. Le jeune homme inexpérimenté comprit qu'il devait légèrement plier les genoux pour bien se positionner mais semblait attendre un signe pour aller plus loin. Et c'est Marthe qui s'en chargea. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y, prends-moi d'un coup, défonce moi !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Marthe, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Je vous ai fait mal ? Je...
- Ce n'est rien, Mon Chéri, tu as fait ce que je t'ai demandé, c'est très bien. Maintenant bouge comme tu le faisais dans ma main. C'est à toi de me faire jouir avec ta queue. Vas-y, c'est trop bon, c'est exactement ce que je voulais. Vas-y bouge, bouge et ne t'arrête pas !
Marthe murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Mais elle n'avait pas eu mal. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, fais moi l'amour.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Marthe se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Marthe qui eut un nouveau soupir de plaisir. Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Julien voulait donner à Marthe tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Marthe qui maintenant ronronnait comme une chatte. Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse.Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaient Marthe. Certaines réflexions obcènes de ses camarades lui revenaient en tête : celle-là, qu'est-ce qu'elle est bonne, ou encore c'est une chaude. Julien était choqué de ces remarques, mais aujourd'hui il se demandait s'il ne commençait pas à en saisir le sens. Marthe n'était pas bonne, elle était délicieuse. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Marthe n'était pas chaude, elle était brûlante. Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion. Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Marthe pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Marthe. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Marthe, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
La gémissante Marthe n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Marthe roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean, son époux. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Marthe mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelström. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.
Marthe voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Marthe y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Marthe. Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts.
Marthe n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Marthe était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Marthe gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Marthe, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde ! A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.
Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Marthe mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Marthe revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un jeune amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Marthe ...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Marthe replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.




Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
";"2006-03-15 18:03:25";"http://";;"5* nymph maturite";
"762";"Mme Granger [fel]";"Solange se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait son esprit.
Elle avait une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps,
du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance.
Elle tenait le membre de Julien, continuait son doux et lent massage,
alors que l'autre main, elle empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse.
Et déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe.
Solange posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'humecta délicatement de sa salive.
Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse
qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue.
Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient,
et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien.
Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur.
Solange montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point.
Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive,
Solange revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat,
comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle.
Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle,
puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin.
Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôles.
Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention.
Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus.
Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre,
le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée,
l'avaient amené à la limite du cataclysme.
Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame Granger, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame Granger, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Solange dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente.
Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Solange. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr.
Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Solange voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus.
Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine.
Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame Granger !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- HUUMMM ! HUOIUMMM ! HUUUUMMMMM...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Solange resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu.
La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses.
Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Madame Granger voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition.
Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance.Solange se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages.
Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
Marthe et Julien (E)
La fête commençait à s'animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Presque toute la classe de terminale était là, même Julien, le pe ...

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chez Marthe


Marthe aimait m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable. Elle me confiait ses conseils lors de nos rencontres avant que nous nous retrouvions dans sa chambre
- Regarde moi ! Ne te lasse pas de me regarder, Laisse pétiller tes yeux dans les miens, ne cesse pas de me désirer,
le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prenait ma main tremblante, la dirigeait sous le plissé de sa lingerie, pour la poser sur le haut de son sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me troublait terriblement: la sueur perlait en gouttes sous son décolleté, elle approchait alors son visage du mien. Elle continuait à me prodiguer ses conseils
- Tu vas me prendre comme on cueille un fruit,
- tu vas me déguster avec délice et gourmandise,
- tu vas effeuiller mon corps dans un soupir, tu vas caresser mes lèvres à ta guise.
- Là, maintenant ! Donne moi tes lèvres chaudes ! Et serre toi bien contre moi !
- Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir.
- Puis, ce deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ...
- Je suis collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers.
- Chut ! ne dis plus rien. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre.
Elle écartait ses jambes, sa main cherchait et flattait mes testicules, elle serrait mes bourses puis elle soulevait sa nuisette qui se gonflait en retombant sur mon corps.
- Je te sens trembler et je t'entends gémir.
- Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
- Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ?
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ?
- et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Elle finissait par se planter sur mon mat, ses lèvres humidifiées presque inondées absorbaient mon dard jusqu'a la base, elle mettait ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps,
- Et maintenant, donne-toi à moi tel un cadeau sucré,
- Fais jaillir en moi le feu sacré, celui qui fait rougir de plaisir...
- Laisse toi aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !
- Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse.
- Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses.
- Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées
- Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent.
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances -
- Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle.
- Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
je sentais alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobaient ma tige sur toute sa longueur ! c'était chaud et aqueux, son vagin se contractait d'un mouvement de constriction réflexe ;
- Serre-moi fort dans tes bras. Prends-moi avec modération
- Enfin nous sommes ensembles toi et moi. Fais-moi l'amour, tout simplement, comme si tu me connaissais depuis toujours
- Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair,
- Enfonce toi en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession,
- Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi
Pubis contre pubis elle remettait ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégageait un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire,
- Maintenant ! Offre moi ta liqueur douce amère, Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide,
- Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !
Lorsqu'elle basculait sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissait ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevenait Verge, je débandais en elle !
chez Marthe (E)
Marthe aimait m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable. Elle me confi ...

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le diable au corps (Raymond Radiguet)


Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.

Un jour que je m’approchais trop sans pourtant que mon visage touchât le sien, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite et appartient à l’aimant. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- tu es un enfant. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, c’est que je t’aime et que j'ai envie de toi.
- Va t’en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Mais je ne veux pas causer le malheur de ta vie. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je n’osais pas le lui demander, pensant qu’elle saurait les offrir elle-même, comme ses lèvres. Au bout de quelques jours, l’habitude d’avoir ses lèvres étant venue, je n’envisageai pas d’autre délice.
...
J’étais dans le lit. Marthe m’y rejoignit. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,
le diable au corps (Raymond Radiguet) (E)
Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveill& ...

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le diable au corps


J'avais permis à Julien de venir sur mon lit me tenir compagnie. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. J'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer.
Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Mon chéri, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Et quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alorsqu'il commença à me pénétrer.
- Mon chéri ! Que fais-tu ? !
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas !
- s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette période,
Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh mon chéri ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles.Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
le diable au corps (E)
J'avais permis à Julien de venir sur mon lit me tenir compagnie. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. J'ai senti à un moment ...

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les délices de la pénétration


Allongés tous les deux dans le lit de sa chambre, Marthe était excitée à l'idée de m'initier aux délices de la pénétration ... Apres avoir échangés entre nous de tendres caresses, elle s'empara adroitement de ma verge gonflée, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante et s'empala aussitot dessus d'un coup de reins, éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant mon énorme outil glisser dans ses chairs moites.
- Tu aimes ? me lance-t'elle
- Oh, oui, c'est doux et chaud.
Elle commença alors à glisser sur ma verge. Je me sentis aspiré en elle, je sentais ses contractions autour de mon penis avec un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégoulinait sur mon membre et sur mes bourses. Les draps étaient tachés de nos sécrétions. Planant sur un merveilleux nuage érotique, étendu sous le corps sensuel de ma chaude compagne, fasciné par ses gros seins se balançant doucement devant ses yeux je me laissai alors emporter par ma fougue amoureuse. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus.
Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, Lea avait compris que j'atteignais le point de non retour, aussi elle m'enserra encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.
Alors, tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement animal déversant mon sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sur mon corps lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants, nous restions ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer son corps devenu trop lourd, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Eh ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir



Il se trouve maintenant à hauteur de ma bouche. Je suis sous l'emprise de son souffle chaud. Il pose ses levres sur les miennes. Il m'affole Nous nous embrassons maintenant à pleine bouche. Il introduit doucement sa langue, je m'abandonne à son baiser. Sa main est au bas de mon dos, il remonte le bord de ma nuisette. Il me serre contre lui. Je ne peux plus rien arrêter. Nos corps se rapprochent et se déchainent d'une intense passion. Nos corps se heurtent, nos bouches se cherchent, nos mains s'explorent, je me sépare de lui
- On va trop loin !
- j'ai envie de vous
je l'enmene avec moi
- viens, ... !

- Tu aimes ? me lance-t'elle
- Oh, oui, c'est doux et chaud.
Elle commençe alors à glisser sur ma verge. Je me sens aspiré en elle, je sens ses contractions autour de mon penis avec un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Les draps sont tachés de nos sécrétions. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein me plante au plus profond d'elle et .... je gicle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux.
les délices de la pénétration (E)
Allongés tous les deux dans le lit de sa chambre, Marthe était excitée à l'idée de m'initier aux délices de la pénétration ... Apres avoir échangés entre nous de tendres ...

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Vas-y ! Accélère ! Abandonne toi à moi !
Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler.
Offre toi à mon corps, à nos sens
Et jouissons ensemble !
Offre moi ta liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.
Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !
Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !
(E)
Vas-y ! Accélère ! Abandonne toi à moi !
Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler.
Offre toi à mon corps, à nos sens
Et jouissons ensemble !
Offre ...

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J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton vit,
Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes,
Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse.
Je sublime cet instant et je ne dis mot,
Je veux tout ton amour, qu'il s'incruste sous ma peau
Et que mon âme fragile se mêle à la tienne.
Abandonne toi à moi ! Laisse toi aller !
Profite des caresses de mes lèvres intimes.
Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler.
Offre moi ton corps, laissons parler nos sens
Goutons notre plaisir, et jouissons ensemble !
Offre moi ta liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.
Onction bénie, abreuve moi de ta sève.
Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !
Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !
Donne moi tout de toi et reste encore en moi
Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondé de toi.
Tu es venu sexe nu en moi, et c'était la première fois.
Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
nos sexes emboités, délicieusement,
Tu es mon bel amant !

(E)
J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton vit,
Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes,
Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse.
Je sublime cet instant et je ne dis mot,
...

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bel amant


Julien est mon bel amant, il est total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donne et prend sans retenue. Il sait user, et abuser de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui suggére en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offre ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.

Il est fort, infatigable de son corps. Ses premières jouissances sont rapides, violentes. Les miennes viennent plus tard, elle sont sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sens se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.

Nous faisons l'amour longtemps. C'est un amant exemplaire, Il me remercie de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressent. Je m'avoue perverse et imaginative alors que je ne me connais que passive et classique. Il n'y est pour rien. Je suis là au bon moment, où il a besoin de se sentir mâle.
bel amant (E)
Julien est mon bel amant, il est total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donne et prend sans retenue. Il sait user, et abuser de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui suggére en quelques he ...

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la douce lingerie de Mme Granger


La porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Marthe est là, sans complexe, en combinaison de soie, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant les seins, ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant,
- Ca va mon chéri ? Tu peux venir, tu sais !
La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud.
- Je t'impressionne ? Approche toi !
Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Que fais-tu ? Tu caresses mes seins ? ils sont encore bien fermes, tu ne trouves pas ?
je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses
- Je te fais de l'effet, je vois !
Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé.
- Tu es en train de m'exciter !
je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement
- Tu touches des endroits intimes !
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas :
- Tu es fou. Je n'ai jamais joui aussi fort !
Son visage se transforme, elle semble réfléchir, puis me lance
- Viens ! On ne va pas en rester là !
Elle saisit sa culotte de soie qu'elle fait glisser sur ses cuisses. Un bruit d'élastique. Un silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa chemise de soie le long de ses hanches je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre.
- Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrasse moi !
- Viens allons dans ma chambre !
Elle me prend par la main, m'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nousDélicatement, elle dégage les bretelles de sa combinaison noire. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds.
- Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir
Je prend la combinaison noire encore tiède et respire ses effluves. Je l'enfile et profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse.
- Tiens ! prends la nuisette dans la table de nuit !
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Mets la sur moi !
Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie.
Elle passe une jambe entre les miennes, entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant.
- Eh bien ? qu'attends tu ? Avances tes doigts là, plus bas dans mon pubis, écartes mes lèvres.
- Tu vois elles sont toutes distendues, pretes pour t'accueillir.
- Profites-en, hume pleinement l’odeur de mon sexe, enivre-toi de mes effluves.
- Approche ton sexe, Vas-y, Enfouis-le bien profondément, écarte bien les lèvres,
- Hummmm comme je le sens bien. je bouge pas,
- Laisses moi te serrer avec mes jambes. Et toi au fait ? Tu tiens toujours ?
- Je te sens fort, périlleux, fougueux. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi.
- Vas-y ... encore ... ouiii ... ça vient !
- OUIII ! .... tu es un amant exemplaire. Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre,
- oh oui, je te sens, remplis-moi encore, enfonce moi, là je vais jouir, viens !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort !
Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances.
Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur
Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir,
Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle.
Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne,
Qui me fait comme un souvenir le jour durant.
Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme
Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses.
Cette lingerie si remplie de nous deux,




Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite.
Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main.
Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains.
la douce lingerie de Mme Granger (E)
La porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Marthe est là, sans complexe, en combinaison de soie, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir l ...

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Mme Granger (1)


Il était convenu que je loge quelques jours chez notre voisine, Mme Granger. Elle m'ouvre la porte ce soir là. Une belle femme, dans la maturité, troublante. Un décolleté profond, un corsage léger soutenant des poitrines généreuses à peine dissimulées par de fines dentelles Elle me fixe, intensément, s'approche de moi. J'ai chaud. Elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes, et me sourit J'entre chez elle. Elle me sourit, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement sous mes yeux je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous sommes dans la salle de bain. Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque. Elle me fixe à travers la glace, reste bien dix secondes contre moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines. Je les effleure, les touche. Son regard légèrement trouble me fait fondre Elle soupire et se retourne vers moi d'un coup. Elle m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle ... approche ses lèvres de moi ... avec un regard suppliant Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre Puis je sens ses mains descendre sur mon corps, s'attaquer aux crans de ma ceinture Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand ! Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant, Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire de nouveau mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison de soie tombe, Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon, Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau l'état de mon désir. Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins.
Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux, Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.





Il était convenu que je loge quelques jours chez notre voisine, Mme Granger. Elle m'ouvre la porte ce soir là. Une belle femme, dans la maturité, troublante. Un décolleté profond, un corsage léger soutenant des poitrines généreuses à peine dissimulées par de fines dentelles Elle me fixe, intensément, s'approche de moi. J'ai chaud. Elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes, et me sourit
- Rentre ! Je t'attendais.
J'entre chez elle. Elle me sourit, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement sous mes yeux je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration.
- Viens avec moi, je n'ai pas finis de m'habiller
Nous sommes dans la salle de bain. Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise ! ... tu permets ?
- Tu peux m'aider ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Je fais sauter l’agrafe. Elle me fixe à travers la glace, reste bien dix secondes contre moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? Tu ne trouves pas ?
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines. Je les effleure, les touche. Son regard légèrement trouble me fait fondre
- J'aime tes mains, elles sont chaudes et douces !
Elle soupire et se retourne vers moi d'un coup. Elle m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle ... approche ses lèvres de moi ... avec un regard suppliant
- Donne moi tes lèvres !
Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre Puis je sens ses mains descendre sur mon corps, s'attaquer aux crans de ma ceinture Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand !
- Je ne te laisse pas indifférent ?
Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant,
- Ne sois pas inquiet. Laisse toi faire ! J’ai des seins qui te plaisent, j’aime plaire ! ...
- On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire de nouveau mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- deshabille-moi !
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison de soie tombe, Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon, Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau l'état de mon désir. Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins.
Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- Je t'emmène dans ma chambre ! Viens !
Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle
- Viens ! ... vite !
Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Viens ! ... Je suis prête !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements.
Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Vite ! Vas-y ! Donne moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Tu as été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Tu reste avec moi ce soir !
Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
Mme Granger (1) (E)
Il était convenu que je loge quelques jours chez notre voisine, Mme Granger. Elle m'ouvre la porte ce soir là. Une belle femme, dans la maturité, troublante. Un décolleté profond, un corsage léger s ...

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tendre anniversaire


Seule dans sa chambre, Mme Granger avait attendu trop longtemps un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage. Elle ouvrit ma porte s'assit au bout de mon lit. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue, une belle femme, terriblement attirante et sensuelle dans une robe de nuit de soie blanche. Hypnotisé, je regardais Mme Granger qui s'approchait très près de moi. Elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue et se rapprocha un peu plus pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, tu veux bien ?
Elle se pencha langoureusement vers moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre, puis desserra ma ceinture. Tout en me regardant fixement, elle glissa une main dans mon pantalon, prit dans sa main mon sexe en erection et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur mon sexe m'apporta calme et réconfort. Inconsciemment, je recherchai le contact de la peau de Mme Granger, que je n'avais jamais songé à pouvoir un jour toucher. Je cherchais à remplir mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais ...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis sa main se posa et caressa ma joue. Son pouce se mis à glisser délicatement, sensuellement sur mes lèvres. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvrir mes lèvres et de pénétrer dans ma bouche, elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes, c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur. Je pris Madame Granger par les épaules pour la relever, je l'embrassais à pleine bouche, de toute la fougue de mes dix-huit ans. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Nos lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, nos langues ne se repoussaient plus mais s'enlaçaient, s'unissaient intimement.
Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de nos lèvres qui se séparaient pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est moi qui rompit notre étreinte pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais ...
Elle s'aggripa alors encore plus fortement à moi
- Oui, Julien, moi aussi, J'ai envie de toi ... tu veux bien me faire l'amour ?
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Elle aussi me désirait ardemment. J'étais subjugué par ses formes, des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches. Elle me regarda ... intensément ... puis elle se déhancha, écarta sa culotte de soie, et la roula sur le coté. J'étais subjugué par tant de grâce, de douceur, émerveillé par la beauté de ce corps féminin. Elle se hissa sur moi. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales, elle le promena sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, s'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Maintenant ! Viens !
Ce fut comme un signal pour moi et je propulsai mon bassin vers l'avant, elle me murmura ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Ma pénétration se fit facilement. Elle était bien, remplie de moi, comblée. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- Donne moi le meilleur de toi.
Le souffle chaud de ma maîtresse dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent. Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de Mme Granger me firent comprendre que j'avais vu juste, il me fallait combler cette femme merveilleuse. Je voulais lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds pour son plus grand ravissement. Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Mon membre raidi coulissait profondément dans le vagin de ma sensuelle maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait de nos corps, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, dans un véritable flot de lave en fusion. Je devenais fou. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur me faisait totalement perdre le contrôle de mes sens. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins ou les fesses. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court. Une nouvelle bourrade plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm.
J'avais compris ce qui était en train de se passer mais je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de ma maîtresse. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes pour enserrer encore plus ma colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre de l'intérieur de sa cuisse sur mes fesses m'électrisèrent. Ce fut pour moi le signal de l'assaut final.
Tel un bûcheron, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans son ventre, j'hurlais des rales d'effort à chaque violente poussée. Mme Granger n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé. Profitant de mes poussées fulgurantes, elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Je sentis alors l'imminence de mon éjaculation. Je sentis tout le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland turgescent. Un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetais au plus profond du ventre torride de Mme Granger. Enfin elle put s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans le cou de Madame Granger, je continuais de limer doucement mon amante qui revenait lentement à la réalité. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de ma longue barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.
tendre anniversaire (E)
Seule dans sa chambre, Mme Granger avait attendu trop longtemps un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage. Elle ouvrit ma porte s'assit au b ...

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fougue d'adolescent


Kevin se trouvait maintenant à hauteur de la bouche de Lea. Elle était sous l'emprise de son souffle chaud. Il posa ses levres sur celles de Lea. Il l'affolait. Ils s'embrassèrent maintenant à pleine bouche. Il introduisit doucement sa langue, elle s'abandonna à son baiser. La main de Kevin se glissa au bas du dos de Lea, il remonta le bord de sa nuisette. la serra contre lui. Elle ne pouvait plus rien arrêter. Leurs corps se rapprocherent et se déchainerent d'une intense passion. Nos corps se heurterent, nos bouches se chercherent, nos mains s'explorerent, elle se sépara de lui
- Que sommes nous en train de faire ?
- j'ai envie de vous
- viens, ... !
Terriblement excitée à l'idée de partager avec ce bel adolescent les délices de la pénétration... Lea s'empara du membre gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante: Elle aspira aussitot d'un coup la verge bandée éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant ce sexe dur glisser dans ses chairs moites. Elle sentit le gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve.
Planant sur un merveilleux nuage érotique, Kevin, étendu sur le corps sensuel de sa chaude compagne, fasciné par les gros seins de Léa, tremblant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que lui dispensait l'adolescent, et sous les chocs répétés du gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur les cuisses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses lèvres trempées :
- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son amante, Kevin, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, Lea avait compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.

Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
fougue d'adolescent (E)
Kevin se trouvait maintenant à hauteur de la bouche de Lea. Elle était sous l'emprise de son souffle chaud. Il posa ses levres sur celles de Lea. Il l'affolait. Ils s'embrassèrent maintenant à pleine bouche. Il i ...

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son sexe


son sexe était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle,
frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion. Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement. Je le sentis vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre.
L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.


son sexe (E)
son sexe était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle,
frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Dou ...

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branle


Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa doucement les bourses, les massant un peu, puis, elle versa doucement un lubrifiant au sommet du gland du jeune homme et elle reprit son rythme soutenu, masturbant l'adolescent avec ardeur ce qui eut pour effet de durcir et allonger rapidement le jeune sexe. Sa respiration s'accelerait de plus en plus, ses joues s'empourpraient, ses levres laissaient passer de faibles gemissements. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, collant ses meches brunes. La caresse des doigts féminins se fit plus rapide, plus insistante sur sa queue, plus precise a la base de son gland.
Pour Kevin, c'était chaud...et visqueux, coulant lentement le long de son sexe. Il se laissa envahir par une sorte de moiteur chaude et délicieuse. Sa queue glissait dans le fourreau étroit d'une gaine soyeuse. Sa respiration s'accelerait de plus en plus, ses joues s'empourpraient, ses levres laissaient passer de faibles gemissements quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, collant ses meches brunes. La caresse des doigts féminin se fit plus rapide, plus insistante sur sa queue, plus precise a la base de son gland. Lea glissa ses mains sur son sexe doucement. L'effet attendu fut immediat, ses yeux chavirerent, un profond gemissement rauque sorti de sa poitrine et Lea sentit entre ses doigts la tige congestionnee commencer a palpiter puis ...le sperme jaillit en longues saccades tiedes giclant sur le ventre de Lea, entre ses seins. Elle reccueillit son sperme chaud, animal, sa blanche liqueur.
branle (E)
Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa douceme ...

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douce masturbation


Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa doucement les bourses, les massant un peu, puis, elle versa doucement un lubrifiant au sommet du gland du jeune homme et elle reprit son rythme soutenu, masturbant l'adolescent avec ardeur ce qui eut pour effet de durcir et allonger rapidement le jeune sexe Pour Kevin, c'était chaud...et visqueux, coulant lentement le long de son sexe. Il se laissa envahir par une sorte de moiteur chaude et délicieuse. Sa queue glissait dans le fourreau étroit d'une gaine soyeuse. Sa respiration s'accelerait de plus en plus, ses joues s'empourpraient, ses levres laissaient passer de faibles gemissements quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, collant ses meches brunes. La caresse des doigts féminin se fit plus rapide, plus insistante sur sa queue, plus precise a la base de son gland. Lea glissa ses mains sur son sexe doucement. L'effet attendu fut immediat, ses yeux chavirerent, un profond gemissement rauque sorti de sa poitrine et Lea sentit entre ses doigts la tige congestionnee commencer a palpiter puis ...le sperme jaillit en longues saccades tiedes giclant sur le ventre de Lea, entre ses seins. Elle reccueillit son sperme chaud, animal, sa blanche liqueur.

Elle lui glissa alors:
- Maintenant je veux sentir ton sexe en moi !
elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante: Elle s'empala aussitot d'un coup de reins sur la verge bandée éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant ce sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, Kevin, étendu sous le corps sensuel de sa chaude compagne, fasciné par les gros seins se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent.
Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que lui dispensait l'adolescent, et sous les chocs répétés du gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur les cuisses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses lèvres trempées :
-- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son amante, Kevin, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, Lea avait compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
douce masturbation (E)
Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa douceme ...

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il découvrait


il découvrait pour la première fois ma poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Les bretelles tombées sur les bras, un corps aux formes harmonieuses, sublimes.
il découvrait (E)
il découvrait pour la première fois ma poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, l&ea ...

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Il se glisse dans mon dos
et prend mes seins en mains,
Il me parle des étoiles,
de la magie du ciel.
Il s’appuie contre moi
pour me faire sentir son desir,
Il se penche sur ma nuque
et se glisse dans mon ventre.
Il me fouille de sa langue,
il m’explore de ses doigts.
(E)
Il se glisse dans mon dos
et prend mes seins en mains,
Il me parle des étoiles,
de la magie du ciel.
Il s’appuie contre moi
pour me faire sentir son desir,
Il se penche sur ma nuque
et se glis ...

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l'initiatrice


Elle entra dans la chambre, se déshabilla lentement devant moi et une fois complètement nue, elle s’approcha du lit. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser, tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil. Pas longtemps,

Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Elle se tenait devant mon lit. Splendide. Elle reajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement.
Elle s’installa entre mes jambes sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil. Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation . Elle eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre femme, blonde cette fois-ci.
Elle me salua, prit place près de moi Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque mouvement, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins.
Sous sa combinaison, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. J'étais pratiquement réduit à l’état de légume mais je mangeais tout.
Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
Là-dessus, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu.
l'initiatrice (E)
Elle entra dans la chambre, se déshabilla lentement devant moi et une fois complètement nue, elle s’approcha du lit. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement, elle se pencha ...

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mon tendre enseignement (Carimo)


Si vous préférez mon tendre enseignement
Laissez-moi chevaucher en conduisant la danse
La mâle tension dont me plait l’impudence
Mènera à mon grès le chaud contentement

Variant les postures et verticalement
Du lent balancement à l’active mouvance
Laissez-vous capturer sans perdre contenance
Retardez le moment de votre enchantement

Si sachant refréner toute hâte excessive
À l’attrait féminin aimant la récidive
Vous accordez des feux de bonheur renaissant

Osez de votre ardeur montrer l’incandescence
Et de deux diapasons en furie s’accordant
Unissez de vos sens la sublime démence.

Carimo
mon tendre enseignement (Carimo) (E)
Si vous préférez mon tendre enseignement
Laissez-moi chevaucher en conduisant la danse
La mâle tension dont me plait l’impudence
Mènera à mon grès le chaud contentement

Var ...

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délices de la pénétration


Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du jeune sexe gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante et s'empala doucement sur la verge bandée éprouvant une agréable jubilation en sentant ce sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, Kevin, étendu sous le corps sensuel de sa chaude compagne, fasciné par les gros seins de Léa se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que lui dispensait l'adolescent, et sous les chocs répétés du gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur les cuisses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses lèvres trempées :
-- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son amante, Kevin, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus.
Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration.
Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, Lea avait compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
délices de la pénétration (E)
Excitée à l'idée d'initier l'adolescent aux délices de la pénétration... Lea s'empara adroitement du jeune sexe gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve rui ...

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le corsage de Tatie


Ma tante entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil sur mon corps, et vint vers moi. Son corsage aux derniers boutons ouverts devoilait un soutien gorge de dentelle blanche bien rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son décolleté un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Tatie poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser.
- Allons, je dois te laisser dormir à présent.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Tatie se tenait devant mon lit. Elle était magnifique. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil
Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin.
Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation .Tatie eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Tatie. Elle portait un plateau où se trouvaient, un petit déjeuner. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as bien dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa chemise de nuit était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous le fin tissu, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. Il mangea tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de lui Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire.
Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur,
puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base.
Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge,
mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Tu sais, Même si tu es faible, même si tu souffres, ta volonté, je suis là pour lui répondre et te remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
le corsage de Tatie (E)
Ma tante entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil sur mon corps, et vint vers moi. Son corsage aux derniers boutons ouverts devoilait un soutien gorge de dentelle blanche bien rempli. Elle se pencha pour r&eacu ...

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conclusion jaillissante


Je sentais qu'il defaillait. Soudain,
Je le sentis trembler et se figer face a moi.
Il poussa alors un cri rauque,
retira vite son sexe de mon ventre
Et son premier jet vint gicler sur mes seins,
suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants.
Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Les spasmes finis, je caressai sa queue ramollie
qui coulait sur mon ventre, liberant un flot de semence .
Il etait epuise. J'etais aussi epuisee que lui.
Je le regardais sans vraiment comprendre
comment nous en etions arrives là !
conclusion jaillissante (E)
Je sentais qu'il defaillait. Soudain,
Je le sentis trembler et se figer face a moi.
Il poussa alors un cri rauque,
retira vite son sexe de mon ventre
Et son premier jet vint gicler sur mes seins,
suivi de 4 ou 5 autre ...

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Je t'ai senti trembler et te figer au fond de moi.
Tu as poussé un cri rauque
et ton premier jet est venu frapper le fond de mon ventre,
suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants.
J'ai senti un flot humide
envahir mon ventre en vagues chaudes
J'ai senti que tu défaillais. Tes jambes tremblaient
Tu t'es affaissé, épuisé. J’étais aussi épuisée que toi.
Les spasmes finis, ta queue glissa hors de moi,
liberant un flot de semence.
Je te regardais sans vraiment comprendre
comment nous en étions arrivés là
(E)
Je t'ai senti trembler et te figer au fond de moi.
Tu as poussé un cri rauque
et ton premier jet est venu frapper le fond de mon ventre,
suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants.
J'ai senti un flot humide
envah ...

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apprentissage


Elle était belle, avec beaucoup de charme. J'essayais de la séduire depuis un moment Elle m'interrompit et me dit:
- retiens ceci : les femmes sont sensibles, sois tendre avec elles et tu auras tout ce que tu veux.
Elle me fixe dans les yeux, me dépose un baiser sur le bout des lèvres.
- Tu vois, tu es gentil avec moi, ça me donne envie de te faire des douceurs.
Je ne sais plus où je suis, je reste sans voix et savoure le moment. Elle reprend :
- Eh ! Tu m'écoutes ! Tu es avec moi ?
Son regard est maintenant différent, plus profond. Nous sommes l'un en face de l'autre. Je reste toujours sans voix
- il va falloir que je prenne les choses en main si je veux qu'on progresse !
Elle se rapproche encore et m'embrasse délicatement, je sens ses lèvres chaudes et humides sur les miennes, sa langue commence à effleurer mes lèvres, je me laisse faire mais je ne sais que faire de mes mains, elle se recule:
- un peu empoté, hein ?? Attends un instant.
Elle déplie ses jambes et les passe autour de ma taille. Elle recommence alors à m'embrasser, et glisse ses mains sous mon t-shirt. C'est divin, je la sens explorer mon dos avec douceur, je commence à être dans tous mes états,
elle me retire le T-shirt, et le sien mettant ainsi à nu cette poitrine délicatement enveloppée dans un soutien gorge de dentelle blanche, elle reprend ses baisers sur ma joue puis mon cou. Sa respiration change, elle a laissé sa tête retomber sur mon épaule et sa respiration se fait de plus en plus haletante, je sens ses bras me serrer, ses mains se crisper sur ma peau, elle relève la tête, me regarde droit dans les yeux et dit :
- maintenant il va falloir que tu assumes l'état dans lequel tu viens de me mettre !
Mes mains sont au niveau du soutien gorge et je cherche à l'ôter, elle sourit, passe ses mains dans son dos et me guide, elle bascule à nouveau son buste en arrière afin que je puisse libérer sa poitrine. Ses seins sont magnifiques, les bouts sont tendus sous l'excitation, j'entreprends de les embrasser, elle me serre la tête dans ses bras. Je passe mes mains sur sa poitrine puis j'en dessine délicatement le contour. Elle a les yeux fermés, sa respiration redevient haletante, elle reste accrochée à mon cou, sa tête repose sur mes cheveux.
Elle se relève et me lance :
- si tu continues comme ça, je ne vais plus pouvoir me tenir.
Avant que j'aie eu le temps de répondre, elle se libère de moi et me projette en arrière sur le lit, Elle me chevauche alors et recommence de fougueux baisers. Sa peau me semble de plus en plus douce et une odeur s'en dégage, l'ivresse me guette. Je libère délicatement la ceinture de son jean et défait les boutons un à un, elle souleve son bassin afin que je retire le pantalon. Apparaît alors devant moi, son slip de nylon blanc, il est auréolé et humide. Je parcours l'élastique de la taille en glissant un doigt en dessous et le fait délicatement glisser vers le bas, je vois apparaître petit à petit une toison brune et peu étoffée, l'odeur se fait de plus en plus forte. Son slip glisse le long de ses jambes et elle l'envoie balader d'un simple geste, elle garde uniquement une cuisse écartée. Je m'installe entre ses jambes et commence à embrasser toutes ses chairs, je vois son ventre qui commence à être pris de spasme, son bassin se balance, elle est prise de frisson, ses mains se crispent sur les draps avant de me saisir la tête et de la relever pour que nos regards s'échangent, elle me jette alors :
- pas comme ça, viens me faire l'amour
Elle joint les mots à l'action et me fait remonter sur son corps en tirant délicatement sur ma tête, je l'embrasse. elle me guide vers son sexe. Le bout de mon sexe est à l'entrée du sien, elle me regarde fixement, sourit et appuie sur mes fesses, je pénètre dans cet espace chaud et humide, elle soupire et je sens ses jambes se raidir, son bassin remonter. Une fois au fond, elle garde une pression forte sur mes fesses pour que je ne me retire pas,
elle relâche puis rappuie afin de m'imprimer le rythme. Ses yeux sont clos, sa respiration s'accélère, elle glisse ses mains sur mes hanches et ses ongles me blessent au rythme de ses spasmes. Sa tête s'agite, ses bras retombent sur le lit, ses jambes me resserrent, son bassin remonte, elle retient sa respiration un instant, ses mains se crispent sur les draps et elle lâche un long soupir suivi d'une respiration haletante, tous les muscles de son corps se relâchent, elle me repousse pour que je me retire et elle roule sur le ventre parcouru de frissons.
Je l'inonde. Je suis à ses côtés, je lui caresse le dos, elle me regarde, sourit, puis referme les yeux, elle savoure l'instant. Elle se rapproche de moi. Elle se love dans mes bras et nous profitons ensemble de ces instants. Je sens son odeur sur mon corps, l'ivresse me reprend. Elle se lève et me dit qu'il faut prendre une douche. Elle m'invite à la prendre ensemble. La douche fut ponctuée de baisers et de tendres caresses.
apprentissage (E)
Elle était belle, avec beaucoup de charme. J'essayais de la séduire depuis un moment Elle m'interrompit et me dit:
- retiens ceci : les femmes sont sensibles, sois tendre avec elles et tu auras tout ce que tu veux.
El ...

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Tout tournait autour de moi


Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tournait autour de moi,
Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. une gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe. Sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge. Elle entreprit de me sucer plus profondément en accélérant la cadence. Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoya mon gland de la dernière goutte.
Tout tournait autour de moi (E)
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre s'engouffrer dans ...

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Julien chez Mme Granger (1)


Mme Granger, seule dans sa chambre, attendait un mari, au premier étage. La fête continuait à s'animer au rez-de -chaussé, Julien était lui aussi seul au premier étage, elle entendit sa voix, ouvrit la porte en grand et l'appela. Julien tourna doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, hypnotisé, il commença à s'avancer vers Mme Granger qui s'approcha de lui, Elle lui remonta maternellement ses habits, puis elle prit délicatement la main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de Julien pour lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir,
- Viens ! Je t'emmène dans ma chambre !
Elle attira le jeune homme dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaça doucement contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, elle lui caressa le torse, le ventre, puis desserra sa ceinture. Elle glissa une main dans le pantalon et pris dans sa main le membre turgescent du jeune homme et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur le sexe endolori lui apportait calme et réconfort. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de Mme Granger qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Il posa ses mains sur les épaules dénudées et articula un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait, elle se plaqua d'avantage contre lui et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Elle était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement Elle en profita pour se frotter contre la protubérance masculine Instintivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante Ils étaient à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie,

Mme Granger dégagea ses lèvres de la bouche de Julien, planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie mon amour.
Sans attendre elle entraina Julien vers le lit lui demandant de s'allonger Elle se laissa couler le long du corps de Julien, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. La douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'embrassa délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est le sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Les caresses de sa sublime maîtresse, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement Il attrapa la tête de sa suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Madame Granger ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme qui s'annonçait proche
- Madame Granger !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant,
alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.

Julien prit Madame Granger par les épaules pour la relever, Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit ans et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps. Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait
et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre.

Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, Julien fit pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres
qui se séparent pour s'unir à nouveau. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Solange, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés. Elle avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Solange dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais faire l'amour...
Solange s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur.
- J'ai envie de toi, j'ai envie de ton sexe dans mon ventre ...
- J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir...
- Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Debout Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, il n'avait qu'à pas être en retard. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches

elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Solange se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, Madame Granger plaqua fermement son amant contre elle. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Solange, lui coupant le souffle.
Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Madame Granger murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, baise moi.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Solange se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse.
Julien voulait donner à Solange tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Solange qui maintenant ronronnait comme une chatte.

Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaent Solange. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante.
Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange
pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire
et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse.
Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean.
Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.

Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond.
Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour.
Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu.

Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre.
Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.

Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride. Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau. Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle.
Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Solange...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Solange replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.

Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie.
Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
Julien chez Mme Granger (1) (E)
Mme Granger, seule dans sa chambre, attendait un mari, au premier étage. La fête continuait à s'animer au rez-de -chaussé, Julien était lui aussi seul au premier étage, elle entendit sa voix, ouvrit ...

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chaude comme un cocon


Allongée sur le lit, Lea passe ses doigts dans les cheveux de Kevin, encadrant son visage de ses mains chaudes. Ils s'appartiennent un peu plus. A la fois troublé et inquiet, Kevin caresse la peau fraîche et lisse, arpente le corps féminin en tous sens. Puis, comme un signe d'invitation, Lea écarte ses jambes de façon presque imperceptible. D'une main, le guide vers elle. vers cette moite ouverture, chaude comme un cocon. Elle se laisse pénétrer. Il s'enfonce alors dans ses chairs doucement, profondément, puis Ils restent ainsi un moment sans bouger à se contempler l'un à l'autre unis, bonheur de se faire languir, de déguster avant d'engloutir, l'un à l'autre, lui en elle, le desir les fait tanguer puis les vagues se font plus fortes, un roulis les ébranle, leurs sens sont en fusion. Elle halete, elle se cambre et enroule ses jambes, il va et il vient entre ses cuisses, l'eau saline jaillit de sa source puis en elle comme un éclair fulgurant. il explose de tout son corps, leur navire s'échoue sur la rive dans un dernier soubresaut, secoués de spasmes alors qu'ils sont l'un sur l'autre à jouir du même orgasme
chaude comme un cocon (E)
Allongée sur le lit, Lea passe ses doigts dans les cheveux de Kevin, encadrant son visage de ses mains chaudes. Ils s'appartiennent un peu plus. A la fois troublé et inquiet, Kevin caresse la peau fraîche et lisse, arpen ...

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Acteur du temps (Sybille Rembard)


Ecoulement progressif Méandre alternatif Usure
Hier, aujourd’hui, nos demains Quand je ne serai plus là.
Je t’ai idolâtré Tu m’as trahie
Lâche Rivée sur moi-même, j’ai senti ton souffle
De plus en plus renversant
Mourir dans tes bras Survivre

Sybille Rembard, 2007
Acteur du temps (Sybille Rembard) (E)
Ecoulement progressif Méandre alternatif Usure
Hier, aujourd’hui, nos demains Quand je ne serai plus là.
Je t’ai idolâtré Tu m’as trahie
Lâche Rivée sur moi-même, j ...

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L'amie de ma mère


L'amie de ma mère s'était mis dans la tete de m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable

Elle m'entraîna un jour dans sa chambre dont le lit préparé sentait le propre de la soupline. Apres s'etre absentée un moment, elle apparut dans une chemise de soie, resserrée sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, nue sans l'être tout à fait elle jouait des plis de sa combinaison, puis elle referma la porte à clé ! Tout doucement elle vint s'asseoir à coté de moi sur le lit, ses seins libres ondulant sur une transparence laissaient voir des pointes roses. Assise, elle venait de croiser ses jambes laissant apparaître une cuisse splendide ses mains déboutonnèrent deux boutons de son deshabillé… Elle me chuchota
- Déshabille-toi, vite !
Nu je me glissai sous le drap cachant ma virilité brûlante par pruderie. mon sexe était à l'étroit, S'approchant de moi elle glissa ses doigts dans ma chevelure. sa bouche couvrit mes lèvres, mes joues, mon cou. mon penis en feu sentit son sein gauche le heurter.
le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggrava mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était moelleux comme jamais, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers son décolleté ; sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses la mienne tourna sous son sein , Elle écarta les jambes, et vint m'enjamber à califourchon, elle souleva sa nuisette qui se gonfla en retombant sur mon intimité tendue vers son sexe. Elle finit par se planter sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps,
je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement par son antre de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire,
Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle !
L'amie de ma mère (E)
L'amie de ma mère s'était mis dans la tete de m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noi ...

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