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mardi 16 décembre 2025 - 22h55
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Caresse moi (Bertino le Pascalois)


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons, fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps. Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts. Fais moi croire que tu m`aimes vraiment. Caresse-moi, de tes mains, de tes regards. Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée. Que mon souffle chante comme une sirène. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes, caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes. Caresse-moi de grâce… Fais couler l`huile de l`amour dans mon corps. Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois

Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant. Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux.
Caresse moi (Bertino le Pascalois) (E)
Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons, fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps. Réveille chez moi des sentiment ...

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harem


Elle sort de la piscine, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs,
sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon,
dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond.
Des grands seins aux bouts noirs. elle me regarde
puis elle s'allonge sur le sofa et se tient prête.
Elle connaît mon désir, mon attrait pour ses formes rondes et voluptueuses
Je la rejoins. J'avance mon sceptre, vers ses grandes lèvres rosées.
Elle les écarte pour y accueillir mon glaive de chair,
Je m'enfonce en elle, je glisse entre ses lèvres faisant réagir son corps en entier,
Je pénètre sans résistance et m'enfonce jusqu'à sa source profonde.
sa bouche s'ouvre, son souffle chaud exhale des filets de salive.
J'explore ce doux et chaud territoire, ce corps tremblant et frémissant.
Tout le corps feminin commence à trembler,
les chairs ondulants sous les coups de mes bourses qui frappent contre l'entrée du puits.
Son corps se mouille, son visage se crispe, ses yeux se ferment, sa bouche s'ouvre,
sa mâchoire se serre, le cou s'arc-boute. elle serre les jambes autour de ma taille,
les muscles se referment sur le sceptre de ma future royauté.
Je suis prisonnier d'elle, en elle. Elle me serre et me griffe, comme une chatte enflammée.
Elle a le visage rouge, laisse échapper un cri, J'augmente la cadence de mes assauts
je la prend d'assaut et je conquiers le territoire, je l'envahis jusqu'au plus profond de son séant.
Penché sur elle, fusionné au plus profond d'elle,
Elle se cabre brusquement, les seins durs et hérissés se plaquant contre moi.
Je sens son souffle rapide, son haleine, de sa bouche qu'elle ne peut plus refermer,
Nos gémissements se succédent.
alors que le fond du puits je touche, atteignant la source du plaisir suprême.
Je sens son souffle chaud qui jaillit, au paroxysme du plaisir, elle tressaillit.
Elle me sert avec l'intensité de son plaisir, déchirant la nuit d'un long gémissement,
sous les assauts répétés, sous les coups du bélier, cognant de plus en plus vite
dans un grand couloir mouillé qui se ressert de plus en plus,

J'explose dans son ventre, en décharges multiples et je me laisse retomber sur elle, totalement vidé.
J'écarte ses cheveux de son front trempé
et je trempe mon regard dans l'éclat amoureux et embrasé de ses yeux lumineux.
Ses yeux verts félins en dessous desquels saillissent des joues rouges.
Une main indiscrète qui descend le long des hanches
ou qui remonte le ventre jusque sous les seins.

Les nuits sont froides dans le désert,
au coeur des palmiers verts, dans cet oasis, dans ce palais.
Mais les plaisirs torrides qui s'y déroulent enflamment l'atmosphère
pour ceux qui se saoulent de ce nectar divin.
harem (E)
Elle sort de la piscine, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs,
sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon,
dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond.
Des grands seins aux bouts ...

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femme du désert


Je considérais autour de moi ces femmes du desert qui vivaient dans leur corps des appétits secrets. j’essayais de deviner leurs corps, d'imaginer quelques affriolants dessous. Je me croyais transparent, effacé du monde. je laissais libre cours à mon imagination, à mes fantasmes. Je profitais sans limite de ces frôlements, de ces rencontres fortuites. C'est alors que je la vis, avec son voile de soie blanche, dans la chaleur de l’été. Ses formes étaient rondes, rebondies, et terriblement désirables.
C’est elle qui m'a regardé en premier je crois. C'est elle qui a trouvé des prétextes pour que je me rapproche. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son envie. J’imaginais son corps sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main relever ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux, son corps frotter mon ventre, ses lèvres frotter les miennes, sa langue chercher la mienne. J’imaginais encore, quand elle crut bon de me faire réagir,
- Ne restons pas ici ! Viens avec moi, Chut ! ne dis plus rien.
Je ne l’imaginais plus. Elle était contre moi et s’enroulait maintenant contre moi. Je compris que ses soupirs appuyés formaient un appel à plus d’impudeur.
- Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer.
- Je veux que tu me prennes comme on cueille un fruit,
- que tu me dégustes avec délice et gourmandise,
- Ne crains rien ! Et laisse ton corps parler !
- Tu effeuilleras mon corps, écarteras mon voile de soie,
- Il glissera consentant, trouble appel de mon corps dans la nuit.
- Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini,
- J'amènerai à toi, ma chair nue, découverte, balayée par le vent brulant d’Arabie.
- Éclairé des étoiles, sublimant cet instant, vois !
- mon corps se fera dunes, courbes incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant.
- Sous tes doigts pénétrants tu franchiras mes humides frontières.
- Devenue faible proie, je glisserai avec toi dans l’ultime
- Je suis prête maintenant à me donner à toi, tel un cadeau sucré.
- Fais jaillir en moi le feu sacré, fais moi rougir de plaisir... et laisse-toi aller à ton plaisir !
- C'est si bon de s’abandonner !
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ?
- et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps qui t'enveloppe doucement ?
- Je veux que tu m'aimes, sans retenue ! que tu me combles de tes prouesses,
- que tu dévores ma peau avec de tendres baisers.
- Dis moi tout bas tes plus folles pensées. Emmène-moi au paradis.
- Donnes moi de la magie, de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. -
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux sentir ton désir se dresser contre moi,
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées.
- Je veux que mon corps chaud t'enveloppe, t’enflamme, qu'il te brûle.
- Je veux sentir ton sexe s'enfoncer dans ma chair,
- qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il me pénètre, qu'il m'explore,
- qu'il me perfore, brutalement, sans concession,
- Je veux que tu me fasses jouir, que tu m'enflammes, que tu m'essouffles, que tu me finisses,
- Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, tu te libères en moi
- Donne moi ta sève chaude, remplis moi de toi, de ta liqueur douce amère,
- qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !
- Viens et allons nous aimer !
femme du désert (E)
Je considérais autour de moi ces femmes du desert qui vivaient dans leur corps des appétits secrets. j’essayais de deviner leurs corps, d'imaginer quelques affriolants dessous. Je me croyais transparent, effacé du ...

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La louve folle du Bois Perdu (Guillemette de Grissac)


J'aime les hommes, tous les hommes, violemment, sans retenue, j'aime les hommes et je les prends. Je les attrape au grain de ma peau élastique, je les piège aux lacs de mes cheveux roux, je les roule, je les domestique. J'aime quand leurs mains s'aimantent à mes seins, quand leurs lèvres s'abreuvent à l'ocre brun de mon téton grumeleux.
Souvent, solitaire, j'observe la pointe de mes seins. Il y vient le souvenir d'un pelage, l'innocence de quelques poils dorés. Je laisse proliférer cette toison relique, signe de la femelle qui vit en moi, de la louve tapie dans les replis de ma conscience archaïque.

J'aime quand l'homme se penche sur la mamelle, enfant sauvage d'une louve en rut, et quand sa main trouve l'autre toison, drue et moite, où mousse mon désir. Et voici qu'un membre de loup brutalise la tendre caverne où je palpite, toute entière ramassée.
La voix qui hurle à la lune, c'est la mienne. Cet homme-là, ensuite, ne sera plus qu'un chien, immobile à mes pieds, rassasié, recru de fatigue, grognant doucement au sein de rêves néolithiques.

Elle se raconte tout ça, la femme de ma tête, la louve de ma forêt secrète. Elle est plus désirable que les femmes des vidéos dans les cabines de gare, plus violente que celles de mon écran, plus voluptueuse que dans ce vieux roman trouvé à la cave, La louve folle du Bois Perdu.
Et moi, je marche tout doux sur mes talons plats, mon sac Monoprix à la main, Maman attend ses courses. Sur le trottoir du boulevard quelques herbes émergent des failles du ciment, ultimes traces de la forêt primaire.
Pour moi, personne ne s'arrête, sans doute ne me voit-on même pas, nul ne se retourne à mon appel, aucun homme ne revient sur ses pas
pour humer mon sillage, et ce long hurlement sauvage qui déchire tout mon être, au-dehors, il ne s’entend pas.

Guillemette de Grissac
La louve folle du Bois Perdu (Guillemette de Grissac) (E)
J'aime les hommes, tous les hommes, violemment, sans retenue, j'aime les hommes et je les prends. Je les attrape au grain de ma peau élastique, je les piège aux lacs de mes cheveux roux, je les roule, je les domestique. J'aime ...

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ma saveur (Oscar Wilde)


Je baiserai ta bouche,
y trouvant ma saveur,
Je saisirai la souche
de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres
pleines de saveur
En y laissant la sève
d'un plaisir érectile.
Pour que tes yeux se plissent,
que ton regard se trouble,
ma saveur (Oscar Wilde) (E)
Je baiserai ta bouche,
y trouvant ma saveur,
Je saisirai la souche
de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres
pleines de saveur
En y laissant la sève
d'un plaisir &eacu ...

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Au plaisir des caresses


Ce soir je me destine à ce que vous souhaitiez
Au plaisir des caresses que mes mains me procurent
Elles vont et viennent au rythme de mes pensées
Et font monter en moi au fur et à mesure
Le désir de vous plaire et de vous contenter.

Et j'imagine ainsi en flattant tout mon être
Qu'une main plus habile sur mon corps, s'agite
Et espère haletante la venue de mon Maître
Pour qu'il dompte avec fougue le démon qui m'habite
Et lie mes mains goulues au-dessus de ma tête.

Ainsi pieds et poings liés je perdrai tout honneur
Et de mon sexe chaud s'écoulera l'essence
Et dans mon ventre moite résonnera la peur
Et j'apprendrai aussi à contrôler mes sens
Pour m'ouvrir totalement et fondre de bonheur.

Par plaisir, je guiderai les élans de sa main
En basculant mon corps pour le rendre accessible
Et dans ma bouche ouverte j'espérerai en vain
Qu'il entre et me possède d'une force indicible
Puis pénètre mes chairs jusqu'au fond de mes reins.

Ainsi, femme soumise et entièrement offerte,
Je tâcherai de plaire à mon amant subtil
En acceptant toujours !, Ecoutant ses requêtes,
Du mieux que je pourrais, toujours les accomplir
Et capter sans faillir ses envies si expertes.

Pour pouvoir lui offrir au mieux, mes sentiments
Pour qu'il soit, presque heureux d'avoir si fièrement
Dominé ma personne, pour me faire m'ouvrir
Dominé mes envies, pour me faire ainsi jouir,
Et pris mon âme vierge de tels assouvissements
Pour les forger, vainqueur, à leur épanouissement
Et les ancrer en moi, pour les faire grandir…
Au plaisir des caresses (E)
Ce soir je me destine à ce que vous souhaitiez
Au plaisir des caresses que mes mains me procurent
Elles vont et viennent au rythme de mes pensées
Et font monter en moi au fur et à mesure
Le désir ...

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Votre arbre (Arthémisia)


Votre arbre, je le sens,
frémissant sous la brise d'automne,
tremblant mais résistant de toute sa force blonde,
vibrant, vivant et jaillissant en mille éclats
La lumière le dévore, le grignote,
Cet arbre m’aguiche, me provoque, m’interpelle. Il m’appelle,
Frondaison luxuriante de miel, fauve végétal,
Mon âme en est captive ; elle chavire en ses couleurs,
y nage et se délecte de sa gourmandise caramélisée,
se pare de son or, s’empare de son corps.
Je voudrais le prendre, le serrer, le manger,
me griser à ses épices, me saouler de son glen.
Ce matin, dans la lumière de l’est,
votre sexe est mon arbre.

Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau,
Je veux sentir en vous un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau

2006 © Arthémisia
Votre arbre (Arthémisia) (E)
Votre arbre, je le sens,
frémissant sous la brise d'automne,
tremblant mais résistant de toute sa force blonde,
vibrant, vivant et jaillissant en mille éclats
La lumière le dévore, le g ...

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Zahra à Teheran


C'est le crépuscule sur Téhéran. La nuit est fraîche. Des jeunes filles en groupes restreints s'amusent à narguer l'étranger que je suis, le groupe se resserre autour de moi, les filles sont légères et volubiles, belles derrières ces voiles légèrement écartés qui laissent deviner un peu de leurs charmes enfouis,
Zahra a attiré mon attention, elle se trouve légèrement à l'écart du groupe. La forme de son corps se devine sous son voile légèrement translucide, l'oeil noir provoquant, les doigts effilés bardés de quelques bijoux. Zahra a capté mon regard comme une supplique, elle éveille en moi un désir sensuel et violent. Je me rapproche d'elle, à la toucher, humant les parfums de son corps, elle me fixe d'un regard bienveillant, voir complice. Je l'aborde, elle de semble pas s'effaroucher, bien au contraire. Son visage est tout proche du mien.
Elle m'entraîne alors chez elle par la main, c'est à deux pas, une petite maison toute simple. Elle m'accueille dans son petit logement. Je ressens toute l'ivresse de l'exploit, Elle prend ma main et la guide lentement vers son visage la glissant pudiquement sur ses chairs aisément palpables à-travers les tissus enveloppants qui moulent son corps, les ondulations de ce corps magnifique réveillent en moi une violente attirance,
J'approche mon visage, elle n'esquive pas. Je dépose un baiser sur son front comme un père à sa fille, pudique, imprécis et malhabile. Elle se laisse faire et s'incruste volontiers contre moi. Elle accepte sans retenue, puis me tend une bouche entr-ouverte. Elle s'offre à ma bouche et j'y plonge avec ferveur, je dégage sa langue, j'aspire ses onctueuses salives, j'hume le souffle chaud qui jaillit de sa poitrine exhaltée. Je sens ses doigts parcourir mes reins. Les miens vont vers sa croupe, s'infiltrent dans les dédales sinueux de ses voiles lâchement disposés autour de son corps, atteignent les zones plus intimes, s'y attardent faisant vibrer son corps de spasmes erratiques. Puis elle s'écarte de moi, me regarde, intensément, et m’entraine par la main dans la pièce voisine. Elle me conduit dans l'alcôve puis elle s’allonge sur le lit. Elle écarte doucement les jambes, relève ses voiles sur ses hanches Elle est étendue là, devant moi, offerte. L’air frais sur sa toison humide me donne le frisson. Son regard tendre et humide me trouble terriblement
- Releve mon voile de soie, Ce voile, plein de ma faim, de ma soif de toi, Ce voile que j'écarte maintenant pour que tu viennes à moi.
- J'ouvre mes lèvres pour toi, pour que tu viennes en moi, regarde ce duvet au milieu de mes jambes nues. Entend mon ventre murmurer. Viens ! Goutte ! Entre ! C’est mon cadeau le plus émouvant !
Zahra m'attire vers elle avec une extrême douceur, comme si je planais comme si nos corps avaient cessé de se toucher. Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'appel. Mon envie d'elle se lève, se raidit, libre sous le voile, cherche instinctivement, sa voie ... pas longtemps, je sens sa main qui me guide.
Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère.
Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore,
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.

Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance.Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille:
- Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée.
- Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ...
- Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur,
- Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus... de ton jet de vie qui m'envahit, de ta semence chaude qui inonde mes chairs, de la jouissance qui nous prend, tous les deux, jusqu'à l'épuisement.
- Tu es mon délicieux amant secret !
- Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !
Zahra à Teheran (E)
C'est le crépuscule sur Téhéran. La nuit est fraîche. Des jeunes filles en groupes restreints s'amusent à narguer l'étranger que je suis, le groupe se resserre autour de moi, les filles sont lé ...

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tu veux maintenant ?


Lentement, il s'est enfoncé dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnaient d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquiétait de moi, me demandant si j'étais bien, si je voulais maintenant.
Je lui demandais d'attendre encore un peu. Je voulais qu'il poursuive ses douces caresses intimes. Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. Je me concentrais sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard ..... Je sentis alors un flot de me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour
tu veux maintenant ? (E)
Lentement, il s'est enfoncé dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'a ...

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onctuosités


Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
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Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. m'enfouir en toi et descendre, et descendre. Saisir ta bouche chaude, y introduire ma langue melanger nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent . Tissus qui se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs.
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Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
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Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin.
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Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux.
onctuosités (E)
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Un glissem ...

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avec Wahida


Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
avec Wahida (E)
Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...

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Abandonne toi à moi ! Ma belle pouliche !
Je goute les caresses de tes lèvres intimes.
Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler.
Offre moi ton corps, excitons nos sens
Et jouissons ensemble !
Es-tu prête à recevoir ma liqueur douce amère,
elle va jaillir en toi et remplir ton ventre.
Onction bénie, Je veux t'abreuver de ma sève.
Mon corps vibre et se tend ! Es-tu prête ?
Je ne me retiens plus ! Me sens-tu ?
Oui, ca y est ! Je me lâche ! Je jouis en toi !
Ma sève humide se repend dans ta chair
en vagues chaudes. Que c'est bon !
Je te donne tout de moi ! Je suis en toi,
Je t'inonde de moi. Je me répands dans ta chair
Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
nos sexes emboités, délicieusement,
Tu es ma belle amante !
(E)
Abandonne toi à moi ! Ma belle pouliche !
Je goute les caresses de tes lèvres intimes.
Cède à la volupté, sans chercher à te contrôler.
Offre moi ton corps, excitons nos sens

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Reste. N'allume pas la lampe (Jane Catulle Mendes)


Reste. N'allume pas la lampe. Que nos yeux
S'emplissent pour longtemps de ténèbres, et laisse
Tes bruns cheveux verser la pesante mollesse
De leurs ondes sur nos baisers silencieux.

Nous sommes las autant l'un que l'autre. Les cieux
Pleins de soleil nous ont trompés. Le jour nous blesse.
Voluptueusement berçons notre faiblesse
Dans l'océan du soir morne et délicieux.

Lente extase, houleux sommeil exempt de songe,
Le flux funèbre roule et déroule et prolonge
Tes cheveux où mon front se pâme enseveli...

Ô calme soir, qui hais la vie et lui résistes,
Quel long fleuve de paix léthargique et d'oubli
Coule dans les cheveux profonds des brunes tristes.
Reste. N'allume pas la lampe (Jane Catulle Mendes) (E)
Reste. N'allume pas la lampe. Que nos yeux
S'emplissent pour longtemps de ténèbres, et laisse
Tes bruns cheveux verser la pesante mollesse
De leurs ondes sur nos baisers silencieux.

Nous sommes las autant ...

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caressez moi (Bertino le Pascalois)


Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveillez chez moi des sentiments déments
Réveillez mes sens endormis et morts
Faites moi croire que vous m`aimez vraiment
Caressez-moi, de vos mains, de vos regards
Faites-moi tendre mes muscles, mes nerfs
Comme les cordes d’une cithare endiablée
Que mon souffle chante comme une sirène
Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes
Caressez-moi pour que je sache enfin
Que tendresse et passion ne sont pas mortes
Caressez-moi de grâce…
Faites couler l`huile de l`amour dans mon corps
Caressez-moi...de vos mains habiles
Faites-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois

Restez. N'allumez pas la lampe. Que nos yeux
S'emplissent pour longtemps de ténèbres, et laissez
Mes bruns cheveux verser la pesante mollesse
De leurs ondes sur nos baisers silencieux.

Nous sommes las autant l'un que l'autre. Les cieux
Pleins de soleil nous ont trompés. Le jour nous blesse.
Voluptueusement berçons notre faiblesse
Dans l'océan du soir morne et délicieux.

Lente extase, houleux sommeil exempt de songe,
Le flux funèbre roule et déroule et prolonge
Mes cheveux où mon front se pâme enseveli...

Ô calme soir, qui hais la vie et lui résistes,
Quel long fleuve de paix léthargique et d'oubli
Coule dans les cheveux profonds des brunes tristes.
caressez moi (Bertino le Pascalois) (E)
Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveille ...

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si tu viens (Lucie Delarue-Mardrus)


Si tu viens, je prendrai tes lèvres dès la porte,
Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins,
tu m'y feras tomber, longue comme une morte,
Et, passionnément, tu chercheras mes seins.

A travers mon bouquet de voile, ta bouche
Prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs,
Et m'écoutant gémir du baiser qui les touche,
tu me désireras, jusqu'aux pleurs, jusqu'aux pleurs !

Or, tes lèvres au sein, je veux que ta main droite
Fasse vibrer mon corps - instrument sans défaut -
Que tout l'art de l'Amour inspiré de Sapho
Exalte cette chair sensible intime et moite.

Lucie Delarue-Mardrus
si tu viens (Lucie Delarue-Mardrus) (E)
Si tu viens, je prendrai tes lèvres dès la porte,
Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins,
tu m'y feras tomber, longue comme une morte,
Et, passionnément, tu chercheras mes seins.

A trav ...

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Il a été très tendre


Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées
Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'adorais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction.

j'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, Je l'ai pris dans mes bras et je l'ai enbrassé, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. j'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance.
je voulais aussi sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
Il a été très tendre (E)
Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la t&eci ...

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Lorsque tu seras là


Lorsque tu seras là de nouveau auprès de moi, tu feras tomber ma robe qui glissera consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fera saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, amenant à toi, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Abyssinie.
Éclairé des étoiles sublimant cet instant, mon corps se fera dunes, courbures incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je glisserai dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, buvant au creux du corps, des replis de l’intime, l’oued libérateur, femelle de mon mâle.
Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer, tu me prendras comme on cueille un fruit, tu me degusteras avec délice et gourmandise, tu effeuilleras mon corps onctueux dans un soupir, tu caresseras mes lèvres à ta guise.
Je me donne à toi tel un cadeau sucré, Fais jaillir en moi le feu sacré, fais moi rougir de plaisir... Laisse toi aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !
Donne moi tes lèvres chaudes ! Echangeons un premier baiser pour un premier plaisir. Puis, un deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ... Et puis alors, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers
Chut ! ne dis plus rien. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre. Je te sens trembler et je t'entends gémir. Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ? Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ? Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent
soient l’oasis de nos jouissances Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle. Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair, Enfonce toi loin en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession, Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi Offre moi ta liqueur douce amère, Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi. Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide, Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !
Lorsque tu seras là (E)
Lorsque tu seras là de nouveau auprès de moi, tu feras tomber ma robe qui glissera consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sang ...

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lettre amoureuse (George Sand)


Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit
- là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
- affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
- vous dévoiler sans artifices mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
- Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
- sincère, capable de vous offrir l’affection
la plus profonde comme la plus étroite
- amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
- âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
- difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
- faire oublier par l’amour où je veux me
mettre.

Georges Sand
lettre amoureuse (George Sand) (E)
Je suis très émue de vous dire que j’ai
- bien compris l’autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
- danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais que ce soit ...

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lettre amoureuse (entre les lignes) (George Sand)


Je suis très émue de vous dire
que j’ai toujours une envie folle de me faire baiser
et je voudrais que ce soit par vous.
Je suis prête à vous montrer mon cul,
et si vous voulez me voir aussi toute nue,
venez me faire une visite.
Je vous prouverai que je suis la femme
la plus profonde comme la plus étroite
que vous puissiez rêver,
puisque votre bite est bien longue,
bien dure et souvent grosse.
Accourrez donc vite
et venez me la mettre.

Georges Sand



Je suis très émue de vous dire que j’ai
toujours une envie folle de me faire
baiser et je voudrais que ce soit
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
cul, et si vous voulez me voir aussi
toute nue, venez me faire une visite.
Je vous prouverai que je suis la femme
la plus profonde comme la plus étroite
que vous puissiez rêver, puisque votre
bite est bien longue, bien dure et souvent
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
mettre.

Georges Sand
lettre amoureuse (entre les lignes) (George Sand) (E)
Je suis très émue de vous dire
que j’ai toujours une envie folle de me faire baiser
et je voudrais que ce soit par vous.
Je suis prête à vous montrer mon cul,
et si vous voulez me voir au ...

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Leila sans voile


Leila me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu’il était très gros pour mon âge (mes organes sexuels, en effet, ont toujours été très volumineux), elle l’embrassa et me dit : « Vous avez un si joli instrument et vous ne savez pas vous en servir ! Voyez comme il est dur et chaud, ça prouve qu’à l’insu de son maître, il désire déjà la femme ! Avec un pareil objet, vous pouvez rendre heureuse une femme. » Je faisais comme si je ne comprenais pas. Alors elle poursuivit l’explication, décrivit, en termes lascifs, la copulation, puis leva son jupon et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille


Leila est voilée, complètement, mais ses yeux me fixent, avec une intensité redoutable. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit sous le voile, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Je les devine lourds, beaux, massifs, gonflés avec leurs pointes qui saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi. Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise.
Nous sommes sur le lit, desormais nus, l'un contre l'autre. Elle me sourit, je lui souris et lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.
Leila sans voile (E)
Leila me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu ...

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eclatante vitrine (Cyr)


Sa longue robe de nuit blanche, broderie de chair, sceint amoureusement ses hanches et lui donne un grand air. Comtesse parée de dentelle posée sur sa poitrine son corps entier brille éclatante vitrine ! Sa peau sous le satin explose riante, par endroit s'aventure en toute transparence... Et de son cou à ses seins je vois la douce pente, elle darde ses tétons qui pointent avec prestance ! elle cambre ses reins, puis entre deux doigts caresse en profondeur chair et dentelle, tissus et fleur, elle gonfle sensiblement ses seins Ses bras s'ouvrent, une bretelle tombe de l'épaule découvrant un mamelon frivole que maladroitement elle couvre d'une main preste et honteuse. Elle ondule des hanches Dans sa gorge chantent les violons

Cyr
eclatante vitrine (Cyr) (E)
Sa longue robe de nuit blanche, broderie de chair, sceint amoureusement ses hanches et lui donne un grand air. Comtesse parée de dentelle posée sur sa poitrine son corps entier brille éclatante vitrine ! Sa peau sous le ...

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Elle me proposa de me montrer comment les femmes d'arabie étaient faites et comment elles faisaient l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis elle leva son voile et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille
(E)
Elle me proposa de me montrer comment les femmes d'arabie étaient faites et comment elles faisaient l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis elle leva son voile et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu&rsqu ...

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Caressez-moi (Bertino le Pascalois)


Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveillez chez moi des sentiments déments
Réveillez mes sens endormis et morts
Faites moi croire que vous m`aimez vraiment
Caressez-moi, de vos mains, de vos regards
Faites-moi tendre mes muscles, mes nerfs
Comme les cordes d’une cithare endiablée
Que mon souffle chante comme une sirène
Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes
Caressez-moi pour que je sache enfin
Que tendresse et passion ne sont pas mortes
Caressez-moi de grâce…
Faites couler l`huile de l`amour dans mon corps
Caressez-moi...de vos mains habiles
Faites-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois
Caressez-moi (Bertino le Pascalois) (E)
Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveille ...

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nuits royales


Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris.
le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir grossir, durcir et t'allonger investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
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Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. m'enfouir en toi et descendre, et descendre. Saisir ta bouche chaude, y introduire ma langue melanger nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent .
Tissus qui se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin.
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J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi,dans un bruit de succion, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

nuits royales (E)
Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je ...

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Au plaisir des caresses


Ce soir je me destine à ce que vous souhaitiez
Au plaisir des caresses que mes mains me procurent
Elles vont et viennent au rythme de mes pensées
Et font monter en moi au fur et à mesure
Le désir de vous plaire et de vous contenter.

Et j'imagine ainsi en flattant tout mon être
Qu'une main plus habile sur mon corps, s'agite
Et espère haletante la venue de mon Maître
Pour qu'il dompte avec fougue le démon qui m'habite
Et lie mes mains goulues au-dessus de ma tête.

Ainsi pieds et poings liés je perdrai tout honneur
Et de mon sexe chaud s'écoulera l'essence
Et dans mon ventre moite résonnera la peur
Et j'apprendrai aussi à contrôler mes sens
Pour m'ouvrir totalement et fondre de bonheur.

Par plaisir, je guiderai les élans de sa main
En basculant mon corps pour le rendre accessible
Et dans ma bouche ouverte j'espérerai en vain
Qu'il entre et me possède d'une force indicible
Puis pénètre mes chairs jusqu'au fond de mes reins.

Ainsi, femme soumise et entièrement offerte,
Je tâcherai de plaire à mon amant subtil
En acceptant toujours !, Ecoutant ses requêtes,
Du mieux que je pourrais, toujours les accomplir
Et capter sans faillir ses envies si expertes.

Pour pouvoir lui offrir au mieux, mes sentiments
Pour qu'il soit, presque heureux d'avoir si fièrement
Dominé ma personne, pour me faire m'ouvrir
Dominé mes envies, pour me faire ainsi jouir,
Et pris mon âme vierge de tels assouvissements
Pour les forger, vainqueur, à leur épanouissement
Et les ancrer en moi, pour les faire grandir…
Au plaisir des caresses (E)
Ce soir je me destine à ce que vous souhaitiez
Au plaisir des caresses que mes mains me procurent
Elles vont et viennent au rythme de mes pensées
Et font monter en moi au fur et à mesure
Le désir ...

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ne cesse pas de me désirer


Tu feras tomber ma robe qui glissera consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fera saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, amenant à toi, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Abyssinie.
Éclairé des étoiles sublimant cet instant, mon corps se fera dunes, courbures incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je glisserai dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, buvant au creux du corps, des replis de l’intime, l’oued libérateur, femelle de mon mâle.
Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer, tu me prendras comme on cueille un fruit, tu me degusteras avec délice et gourmandise, tu effeuilleras mon corps onctueux dans un soupir, tu caresseras mes lèvres à ta guise.
Je me donne à toi tel un cadeau sucré, Fais jaillir en moi le feu sacré, fais moi rougir de plaisir... Laisse toi aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !
Donne moi tes lèvres chaudes ! Echangeons un premier baiser pour un premier plaisir. Puis, un deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ... Et puis alors, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers
Chut ! ne dis plus rien. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre. Je te sens trembler et je t'entends gémir. Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ? Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ? Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent
soient l’oasis de nos jouissances Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle. Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair, Enfonce toi loin en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession, Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi Offre moi ta liqueur douce amère, Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi. Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide, Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !












Elle me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu’il était très gros pour mon âge (mes organes sexuels, en effet, ont toujours été très volumineux), elle l’embrassa et me dit : « Vous avez un si joli instrument et vous ne savez pas vous en servir ! Voyez comme il est dur et chaud, ça prouve qu’à l’insu de son maître, il désire déjà la femme ! Avec un pareil objet, vous pouvez rendre heureuse une femme. » Je faisais comme si je ne comprenais pas. Alors elle poursuivit l’explication, décrivit, en termes lascifs, la copulation, puis leva son jupon et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille
ne cesse pas de me désirer (E)
Tu feras tomber ma robe qui glissera consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fera sai ...

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(E)
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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches,
Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
D'un coup de reins, elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, je me retiens … Et je lache ! D’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit.
(E)
Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...

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le naturel, la soie et la dentelle (Aphrodisia)


J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir votre esprit excité,
A-t-elle des dessous ou est elle dénudée ??
A vous d’imaginer, par vos écrits
Ce dont mon corps a besoin ou envie
Votre photo alléchante me met de l’eau au corps,
De ma bouche jusqu’aux lèvres suppliant des "encore..."
Et mes yeux noisette bordés de noir
Demandent corps et âme de vous revoir.
Je suis grande mais j’aime plaire à genou
Honorer votre grandeur et délicieux bijou
Je m’égare à nouveau je vous connais à peine
Et pourtant déjà l’excitation coule dans mes veines
Déjà nos écrits fait de petits rien
Resserrent et renforce notre intime lien
Effleurez-moi avec vos mots
Tourmentez moi donnez moi chaud

Aphrodisia
le naturel, la soie et la dentelle (Aphrodisia) (E)
J’aime le naturel, la soie et la dentelle
Ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J’aime savoir votre esprit excité,
A-t-elle des dessous ou est elle dénudée ??
A vous d’imaginer, p ...

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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches,
Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.





Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches,
Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
D'un coup de reins, elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, je me retiens … Et je lache ! D’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit.
(E)
Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme d ...