arpoma
mercredi 17 décembre 2025 - 00h43
menu / rep

atlas / rech


repertoires:

(diapo) (rep-list) (grd ecran)
   .. / hop
Nombre de fichiers dans le répertoire : 11
@


Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité.
Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence.
Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler.
Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé,
puis de nouveau le contact d'une main. frissonement.
Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche.
Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit.
Je sens des gestes lents.
Elle est à mes côtés, son parfum est discret, entêtant.
Elle parcourt ma peau de ses levres humides.
Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi.
Je sens sa poitrine au contact de ma peau.
Je caresse ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits.
Je saisis ses chairs à pleines mains. La sensation me comble. Sa respiration s'accélere.
je sens mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes.
Je suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder.
Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur.
Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle.
Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort
puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes,
Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant.
Elle me tient à distance, un court moment seulement.
Et puis vient le moment, oh subtile jouissance !
Elle redescent lentement, tout doucement.
Je m'enfonce en elle avec un rare délice,
je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante.
Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre,
ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent.
Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou.
Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues.
Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus.
Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées,
je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle.
Ses gémissements me précipitent.
Je sens un corps voluptueux.
Suit un furieux corps à corps.
Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat,
bercé par ses gémissements, qui montent en intensité au rythme de son bassin,
je commence à crier moi-aussi, en même temps qu'elle,
tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois.
Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent.
Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
(E)
Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité.
Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence.
Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler.
Je ...

@

infirmière de nuit


Je suis dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tire soudain de ma torpeur. Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents. Elle est à mes côtés, son parfum est discret, entêtant. Elle parcourt ma peau de ses levres humides. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens sa poitrine au contact de ma peau. Je caresse ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisis ses chairs à pleines mains. La sensation me comble. Sa respiration s'accélere. je sens mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Je suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tient à distance, un court moment seulement.

Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Je sens un corps voluptueux. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montent en intensité au rythme de son bassin, je commence à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
infirmière de nuit (E)
Je suis dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tire soudain de ma torpeur. Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe ...

@

bruit feutré


Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol.
Un bruit d'élastique. Un silence.
Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre.
je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité.
le contact d'une main. Je tressaille.
l'autre main sur mon ventre. Sa chaleur m'envahit.
Mon corps se raidit.
Je sens des gestes lents. mon pyjama qui glisse furtivement vers le bas.
Je sens venir sur moi un corps de femme.
Ses jambes nues qui s'enroulent autour de mes cuisses.



Elle se laisse enfoncer sur mon sexe
et se donne du plaisir pendant de longs moments.
J'entends les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin
Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis
a pour effet de m'amener une puissante éjaculation .
Elle ondule toujours du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin,
elle se redresse, ramasse ses affaires et sort de la chambre.
Je me retrouve de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager.
bruit feutré (E)
Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol.
Un bruit d'élastique. Un silence.
Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre.
je n'endends plus rien. Le silence dure une éterni ...

@

assistante à domicile (Claire Rousset-Lys)


J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendiss plus rien. Le silence dura une éternité. Puis, Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais pas parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentis des gestes lents. Elle était à mes côtés, son parfum est discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrai sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis alors sa poitrine au contact de mes lèvres. Je caressais ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de son corps. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchais avec mes lèvres L'infirmière défit son chignon et laissa ses cheveux descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, dégagea sa poitrine de son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait déjà mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle me présenta un de ses seins qu'elle me mis contre mes lèvres
Je baisais doucement sa belle poitrine, qui coulait dans ma bouche. Je pouvais sentir sa pointe, palpitant sous mes touches. J'essayais de le contenir entier entre mes lèvres ; Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre. Je suçais son élixir, la joie de mon œuvre... Ce beau sein sur ma bouche, Qu'il était pur ! Ce bouton que je touchais, Qu'il était dur ! Je voulais descendre au-dessous;
Elle s’assit alors sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son buisson luisant. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.
Puis elle se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Je sentais son corps s'embraser. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions. ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins, elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager
assistante à domicile (Claire Rousset-Lys) (E)
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendiss plus rien. Le silence dura une éternité. Puis, Un bruit feutré de t ...

@

une étreinte sans bruit


Collés l'un contre l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts effleurent sa blouse de travail fine et délicate, je m'abreuve du mouvement de ses cheveux. Je sens sa chair tendre sous le léger nylon. Je caresse la naissance des seins. Je surfe lentement plus bas près d'endroits plus intimes. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, j'ouvre patiemment sa fente qui se gonfle, humide. Je la sens frémir, je goûte à ces caprices immobiles. ses seins au creux de mes mains. le contact est chaud, les pointes sont douces. Je me laisse coulisser au creux de sa tanniere Je perçois sa liqueur douce, qui coule le long de ses chairs roses. je la mouille encore plus, je sens ses seins se tendre entre mes doigts, mon sexe approche du sien. Je la caresse au plus chaud de son envie. L'explosion vient de la succion du puit qu'elle m'ouvre. Je me déverse en elle. Diluant mon plaisir dans le sien, La prendre et être pris. Échange total.
une étreinte sans bruit (E)
Collés l'un contre l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts effleurent sa blouse de travail fine et délicate, je m'abreuve du mouvement de ses cheveux. ...

@

service de nuit


J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. L'infirmière se tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa blouse, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes.

Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son buisson luisant. Et se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre
pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions
ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins,

elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens
Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre infirmière, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Vous avez dormi, il faut vous nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit.
Cette infirmière était aussi sinon plus désirable que la première J'étais pratiquement réduit à l’état de légume mais je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi
- Il paraît que vos reflexes fonctionnent bien. Cela ne peut que nous faire espérer un rétablissement rapide.
Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
- Vous réagissez bien aux stimuli. Je pense que vous vous remettrez rapidement.

Là-dessus, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes.
Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Vous savez, dit-elle, la volonté constitue cinquante pour cent du chemin.
- Même si vous êtes faible, même si vous souffrez, vous devez persévérer.
- Votre volonté, nous sommes là pour lui répondre et vous remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
service de nuit (E)
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. L'infirmière se tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa blouse, ...

@

sur mon lit d'hôpital


Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre aspiré, absorbé dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tournait autour de moi, une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. une gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe. Sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge. Elle entreprit de me sucer plus profondément en accélérant la cadence. Je me répandis aussitot dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoya mon gland de la dernière goutte.
sur mon lit d'hôpital (E)
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre aspiré, abs ...

@

à l'hôpital


Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tournait autour de moi,
Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul.
une gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance. En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
elle entreprit de me sucer plus profondément en accélérant la cadence. Je me répandis aussitot dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoya mon gland de la dernière goutte.
à l'hôpital (E)
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre s'engouffrer dans ...

@

Elle était infirmière (Pierre Perret)


Elle était infirmière Dans un hôpital blanc.
Moi, j’avais un ulcère Qui nageais dans le vin blanc.
Elle arrivait de toulouse, Moi j’étais de St-mandé
Elle avait rien sous sa blouse Et ça me faisait de l'effet
Elle me dit que venez-vous faire En ces lieux de misère ?
Il n'y a plus de lits, plus de médocs Plus assez d’infirmières
Il y a même dans un hamac Le ministre de la santé,
Il a une crise cardiaque, C’est bien fait pour ses pieds !
La petite infirmière, Quand elle raconte ça,
Elle crie, vocifère, Ça lui coupe les bras.
A sept heure du matin,
Au cours de sa petite ronde, La Petite Infirmière
vient ôter la sonde qu'ils m'ont mise dans le nez.
Je lui demande Play-Boy, Elle me refille la bible.
Elle me dit votre fusible Fait déjà trop le mariole
Pourtant ne sait-elle pas De son poignet tonique,
Apaiser l’hystérique Ou le manchot des deux bras.
Et elle n’hésite même pas Dés qu’un papy vas mieux
A se glisser dans ses draps, Elle se prend un petit coup de vieux

La petite infirmière, Ici on l’aime tant.
La petite infirmière, Elle est notre printemps.
Elle dit qu’aux grandes vacance Ils abandonnent la nuit
Sur le trottoir des urgences, Les papys, les Mamys.
Elle a fait une petite note A tous ces prédateurs
Pour qu’ils déposent leurs viols Au plus tard a vingt heure
Les futurs héritiers Ecrivent avant d’partir,
On vous confie l’lapé Y d’vrait bientôt mourir,
Mais nous déranger pas On s’ras à St-tropez
Appelez les pompes funèbres Le cercueil est payé
La p’tite infirmière, Quand elle raconte ça,
Elle crie, vocifère, Ça lui coupe les bras.
Elle dit ceux d’la consulte On peut plus les soigner.
Nos médecin les auscultent, Assis dans l’escalier.
Ils se protège la poire Avec un p’tit mouchoir
Des effluves de viande froide Entassées dans l’couloir
Voilà m’sieur tout est dit, On manque de matériel,
De locaux, de crédits, D’hygiène et d’personnels.
C’est pour toutes ses raisons, Que c’est notre charcutiere
Qui attaquera votre ulcère Au couteau à jambon !
La p’tite infirmière, Oh qu’il est mignon,
La p’tite infirmière, Elle en a ras l’chignon,
La p’tite infirmière, Ici on l’aime tant.
La p’tite infirmière, Elle est not’printemps.

Pierre Perret
Elle était infirmière (Pierre Perret) (E)
Elle était infirmière Dans un hôpital blanc.
Moi, j’avais un ulcère Qui nageais dans le vin blanc.
Elle arrivait de toulouse, Moi j’étais de St-mandé
Elle avait rien sous sa b ...

@

service de nuit


L'infirmière entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil à la feuille de soins accrochée au bas, et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa blouse blanche aux derniers boutons ouverts devoilait un soutien gorge abondamment rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler sa blouse un peu plus, Sa poitrine genereuse débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, l’infirmière poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. L’infirmière resta un court instant penchée sur moi. Elle finit par se redresser.
- Allons, je dois vous laisser dormir à présent.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.

Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. L'infirmière de tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa blouse, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible,
sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil
Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, ma belle infirmière écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation . L’infirmière eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre infirmière, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Vous avez dormi, il faut vous nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit.
Cette infirmière était aussi sinon plus désirable que la première J'étais pratiquement réduit à l’état de légume mais je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi
- Il paraît que vos reflexes fonctionnent bien. Cela ne peut que nous faire espérer un rétablissement rapide.

Je la vis alors, était-ce encore un rêve ? défaire son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement.
Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux. Dans un demi-sommeil je l'entendis dire:

- Vous réagissez bien aux stimuli. Je pense que vous vous remettrez rapidement.

Toujours à moitié inconscient, je la vis monter sur le lit, et l’enjamber après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière
Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait.
Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Je l'entendis une nouvelle fois m'encourager:

- Vous savez, dit-elle, la volonté constitue cinquante pour cent du chemin.
- Même si vous êtes faible, même si vous souffrez, vous devez persévérer.
- Votre volonté, nous sommes là pour lui répondre et vous remettre en forme.

J'avais l'impression que mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
service de nuit (E)
L'infirmière entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil à la feuille de soins accrochée au bas, et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa blouse blanche aux derni ...

@

guérison


Soucieuse de mon état de santé, Lea, ma douce infirmière engagée auprès de moi, entra dans la chambre, s’approcha du lit et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa robe de chambre de soie blanche aux derniers boutons ouverts devoilait la délicieuse fente de ses seins. Ma douce Lea se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son peignoir un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Lea poussa un petit soupir, se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche.
Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande.
Lea resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser.
- Allons, je vais te laisser dormir un moment.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais quelque peu émoussé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi dans un demi sommeil. Lea était devant moi, magnifique. Elle avait déboutonné sa robe de chambre, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi. Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers sa vulve trempée. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe féminin absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation ce qui provoqua chez elle un violent orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin,
elle se redressa, me donna un doux baiser et sortit de la chambre.
La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Lea, Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire.
Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- Je crois que tu as apprécié mes soins amoureux !
Lea défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de ma douce crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de ma belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
- Tu réagis bien aux stimuli. Je pense que tu vas déjà beaucoup mieux !
Là-dessus, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse.
Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres,
puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans son ventre Lea resta assise sur moi, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Puis mon sexe finit par ramollir dans son vagin et se recroqueviller peu à peu, dans la convalescence. J'étais guéri.
guérison (E)
Soucieuse de mon état de santé, Lea, ma douce infirmière engagée auprès de moi, entra dans la chambre, s’approcha du lit et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa robe de ...