![]() | offrandeSa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide ! Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état, - Tu es bien ? - Oh oui... j'aime ! Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage - Tu veux...maintenant ? - Non...Pas encore... Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard ..... - Tu veux que je me retire ? - Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | offrande (E) Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offra ... |
![]() | douce intrusionSon corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement son souffle etait lent, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. j'atteignis bientot le fond, je restais un moment en elle sans bouger elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce penetration. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore, | douce intrusion (E) Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement s ... |
![]() | tu veux maintenant ? (Joyce Mansour)Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi: - Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ? - Non ... Pas encore ... Continue tes caresses ! Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. - Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ? - Non ! Reste ! La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard ..... - Marie ! ... Je viens ! - Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond ! Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés. - Oh Marie ! Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières. Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur. Joyce Mansour | tu veux maintenant ? (Joyce Mansour) (E) Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement dans mon ventre ... |
![]() | longue jouissance partagéeune nuit avec lui ... C'est un ciel qui s'illumine Des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine C'est un oui dans un râle Des caresses intimes Que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent Aux allures animales C'est le désir présent C'est le oui de nos corps La maitresse, l'amant C'est le silence qui dort Les yeux reclamant A grands cris des encore Des caresses s'engageant En des doux accords C'est les non, c'est les oui C'est nos corps qui réclamment Des ébats dans un lit Nos désirs qui s'enfflamment Ce sont des jeux interdits A faire perdre nos âmes Ce sont nos corps qui crient Les plaisir que l'on damne C'est un plaisir sans fin Dans un désir assouvi C'est le mien c'est le tien C'est un cadeau de la vie Que l'on veut quotidien C'est les étoiles qui brillent Quand le soleil revient Dans nos yeux qui scintillent longue jouissance partagée, chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Il baise mes seins, mon ventre. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés. | longue jouissance partagée (E) une nuit avec lui ... C'est un ciel qui s'illumine Des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine C'est un oui dans un râle Des caresses intimes Que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent Aux allures anima ... |
![]() | un ange de douceurIl a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il me caressait avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Je me sentais amoureuse, folle, Il m'a pris dans les bras et m'a embrassé, tendrement, passionnément, un vrai feu d'artifice. J'avais envie de lui, de son corps, de son sexe. J'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rendit insatiable et enflammée. Il s'est enfilé en moi, allant et venant, me retenant au niveau des épaules, lentement. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. Je voulais sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... | un ange de douceur (E) Il a été très tendre, un ange de douceur. Sa main glissait tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il me caressait avec u ... |
![]() | désirs partagésQu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par ces mots impudiques que tu as murmuré à mon oreille. J'ai senti le plaisir au fonds de toi trésaillir, puis, comme une eau vive, ruisseler et jaillir en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant. Attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant. Quel délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés ! Tu as ensorcelé ta belle au corp parfumé | désirs partagés (E) Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par ces mots impudiques que tu as murmuré à mon oreille. J'ai senti le plaisir au fonds de toi trésaillir, puis, comme une eau vive ... |
![]() | Lui: Retrouver ce frisson ultime De tes caresses sur ma peau Retrouver le bouillonnement tumulte De mes sens en éveil Par tes mains sillonnant mon dos Jouant au plus profond De ces petits points sensible de moi Qui cabrent mes reins épris Et m'arrachant des petits cris. Elle: Comment te dire à quel point La magie de tes mains m'ensorcelle Et comment dans le feu qui m'inonde Je quitte un peu le monde Pour gagner celui des étoiles Puis retomber en chaude larmes Chaleur de mes émois transis Et finir la tête sur ton épaule En une violente jouissance Le Chat à la Rose Quand, pris dans la douceur de ton intimité Je m’en vais et reviens au rythme de tes reins Tout mon être n’est plus que la sublimité D’un air de toccata joué au clavecin. De ton corps qui gémit aux arias de ma peau S’écoutent des sanglots de limbes de corolles Qui font vibrer le vent, comme un frêle rideau Aux bruissements de l’air, se gonfle et puis s’envole. En mille éclats de doigts, mes mains devenues toi Se sont mises à jouer un solo d’harmonie En trois petites notes, à nous, à toi, à moi. Et au bout de l’instant, quand, éclos de la nymphe Se déchirent du ciel les nuages en un cri C’est la larme d’un luth qui coule de la lymphe Le Chat à la Rose Bertino le Pascalois | (E) Lui: Retrouver ce frisson ultime De tes caresses sur ma peau Retrouver le bouillonnement tumulte De mes sens en éveil Par tes mains sillonnant mon dos Jouant au plus profond De ces petits points sensi ... |
![]() | Puisque la réalité m'est interdite Alors ne me restent plus que mes songes Et juste pour toi, mes mots, j'allonge Me laissant guider près du feu qui crépite A défaut de ton corps, je m'en réchauffe De sa chaleur s'embaume mon cœur Et de ma plume je t'en fais l'ébauche Aucune retenue, aucune pudeur Ne viendra masquer mon désir pressant Je vis et je meurs à rêver de ce pêché Mon être tout entier ne fait que s'enflammer Et je sens alors mon "ennemi" brulant Frémir sous l'effet de tes doigts sur moi Tumecaresses tel l'ébéniste sur le bois Se laissant guider par son savoir faire Tu me prends et tu te délectes de ma chair Esclave du plaisir et de la volupté Je m'abandonne toute entier à tes baisers Sous les draps, jeux de dominances s'alternent Et nos rythmes effrénés se déchainent Transportes par l'extase de cette frénésie Tu m'emportes dans les profondeurs de la nuit Je perds alors toutes notions du temps Rester dans l'infini de ce rêve troublant Ou je te vois donner corps à mes fantasmes Tu libères en moi une furie exaltée Et tu laisses en émoi cette démone acharnée T'étant soumis pour atteindre l'orgasme Et quand la jouissance suprême m'épuisera Je laisserai alors le sommeil me gagner Je me blottirai dans la douceur de tes bras Et je rêverai encore de ce moment partagé Jusqu'a ce que l'aube finisse par t'emporter Alors dans un dernier baiser tu partiras Mais de cette nuit, souvenirs, tu garderas Car nos esprits et nos corps en resteront gravés Même si le blafard matin me dit : Tu as rêvé. Bertino le Pascalois Croissant de lune et soupirs d'or A l'heure prodige des songes Lorsque la ville s'endort Et qu'auprès de moi tu t'allonges Douce et irrésistible chaleur Qui, sûrement m'envahit Quand dans tes bras cajoleurs Un désir sauvage revient à la vie. Délicieuse et cruelle morsure Dans la chair de mon cou Les paroles se font murmures Et les gestes, insensés et fous O bonheur de cette fébrile étreinte Les baisers follement s'enhardissent De désirs, mes joues se teintent Sous la suavité de tes mains qui glissent... Enivre moi d'insupportables caresses Dompte en moi le tigre qui paresse Fais toi astronaute, soit femme opportune Célèbre amante parcours le pic et sa lagune Emplis mon ciel de tes doux yeux bruns Revêt nos corps de luxurieux embruns Sublimes rêves qui loin de Morphée me tirent Et me noient dans ton bassin d'insatiable désir. Ma chair palpitante furieusement te réclame Noie ce doux brasier que mon esprit enflamme Alors que chaque jour là près de toi qui attise De ces voluptueuses et torrides braises Même dans les froidures des jours sans bises Froidure d’un souffle qui jamais ne m’apaise... Que vienne la nuit quand la ville s'endort Que nos âmes rassasies leur faim sur nos corps... Bertino le Pascalois Le Chat à la Rose | (E) Puisque la réalité m'est interdite Alors ne me restent plus que mes songes Et juste pour toi, mes mots, j'allonge Me laissant guider près du feu qui crépite A défaut de ton corps, je ... |
![]() | mon amant amiLongue, douce et sensuelle a été notre nuit J'ai touché ton coeur, toi mon amant-ami Je t'ai attendu impatiemment depuis six longs mois Enfin nous sommes ensemble toi et moi. Tu m'as fait tout simplement l'amour Comme si tu me connaissais depuis toujours Serre-moi fort dans tes bras Tu es maintenant à moi, tu es mon Roi. | mon amant ami (E) Longue, douce et sensuelle a été notre nuit J'ai touché ton coeur, toi mon amant-ami Je t'ai attendu impatiemment depuis six longs mois Enfin nous sommes ensemble toi et moi. Tu m'as fait tout simplemen ... |
![]() | Dors mon Amour (Bertino le Pascalois)Les heures tournent et je te regarde. Tu sommeilles, tu dors, tu es belle. Pourtant à te caresser je me hasarde, espérant des frissons rebelles. Ma bouche accompagne lutine cette délicieuse visite de ta peau. Et ma langue experte et mesquine cherche délicatement ton ruisseau, le faire devenir rivière, océan, le faire devenir prière, bible de cet instant Ta peau est un psaume. Tu dors et tu jouis en silence dans la nuit, sans résistance. Tu es belle et sublime sous tes draps de satin, quand je recouvre ton abîme par des gestes si câlins. Dors mon Amour. Je veille sur toi. Demain au petit jour je serai toujours là. Bertino le Pascalois | Dors mon Amour (Bertino le Pascalois) (E) Les heures tournent et je te regarde. Tu sommeilles, tu dors, tu es belle. Pourtant à te caresser je me hasarde, espérant des frissons rebelles. Ma bouche accompagne lutine cette délicieuse visite de ta peau. Et ma lang ... |
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![]() | devant ma glaceJ'etais en tenue légère devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. Tout naturellement, j'écartais les cuisses, et je décidais alors de m'offrir à lui, toute grande. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corp puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou, Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un nouvel spasme Il s'enfonca un peu plus, s'extraya, puis revint. Je fermais les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Son sexe plongeait en moi et gonflait en meme temps, occupant mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... Il s'agrippa alors à mes épaules et repris ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - tu es prête ? - Oui, maintenant ! lui dis-je. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il se mit à jouir lui aussiJe sentis un flot de me remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément. | devant ma glace (E) J'etais en tenue légère devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pre ... |
![]() | comme on cueille un fruit- Ecoutez moi ! Ne vous lassez pas de me regarder, ne cessez pas de me désirer. Prenez-moi comme on cueille un fruit, dégustez moi avec délice et gourmandise, caressez mes lèvres à votre guise. Donnez moi vos lèvres chaudes ! Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir ... et ce deuxième baiser, plus mouillé, plus profond ... Je suis collée à vos lèvres ... et c'est bon ! Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre. Je vous sens trembler et je vous entends gémir. Sentez-vous mes seins qui sur vous se frottent doucement ? Sentez vous mes mains vagabondes qui sur vous se promènent et qui vous trahissent ? Vos mains sont douces et chaudes, vous sentez ? Je suis prête ! Je vous offre mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel de mon corps dans la nuit, Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, amenant à vous, ma chair nue, découverte, chaude. Sublimant cet instant, mon corps se fait dunes, courbes incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant. Sous vos doigts pénétrants, n'hésitez pas à franchir mes humides frontières. Devenue faible proie, je glisse volontiers dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, buvant au creux du corps, des replis de l’intime, l’oued libérateur, femelle de mon mâle. Je suis prête à me donner à vous tel un cadeau sucré ! Faites jaillir en moi le feu sacré, faites moi rougir de plaisir... Laissez-vous aller à votre plaisir ! C'est si bon de s’abandonner ! Sentez-vous ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ? Sentez-vous la chaleur de mon corps qui vous enveloppe doucement ? - Je veux que vous m'aimiez, sans retenue ! que vous fassiez de moi votre déesse ! Je veux être comblée de vos prouesses ! Dévorez ma peau avec de tendres baisers. Dites moi tout bas vos plus folles pensées. Emmenez moi au paradis. Donnez moi de la magie de la passion et du plaisir ! De votre corps, je veux tout ! Que vos lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que votre bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent. - Ne dissimulez rien ! J'aime vous sentir, sentir votre désir qui se dresse contre moi, Je veux que mes seins lourds que vous caressez et qui vous troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées. Je veux que mon corps chaud vous enveloppe, vous enflamme, qu'il vous brûle. - Venez là contre moi ! Je veux sentir votre sexe s'enfoncer dans ma chair, qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il m'explore, me perfore, brutalement, sans concession. Je veux que vous me fassiez jouir, que vous m'enflammiez, que vous m'essouffliez, que vous me finissiez, Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, vous vous libèriez en moi et que vous me donniez toute votre sève chaude, que vous me remplissiez de vous, de votre liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres tout au fond de moi. Je veux que vous m'abreuviez de votre onction liquide, que vous fassiez jaillir votre miel d'homme, que vous m'inondiez de vous ! Sans attendre ... Aimons-nous ! Quelles caresses ! Je ploie, je dérive ... Continuons ! Je suis exsangue, écartelée! Je ne bouge pas, je tremble. Votre sexe raide bat la mesure de mon cœur affolé, bougeons dans nos chairs, profondément ! plus vite ! Mes muscles se contractent, des vagues de chaleur envahissent mon ventre. Tout bascule. Je crie, mon corps est en branle. Je m'ouvre tout entière pour vous. Venez ! ... Donnez moi tout ! ... Oui ! ... C'est si bon ! ... Votre jouissance est à moi. Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés. J'ai senti le plaisir au fonds de moi tressaillir, puis comme une eau vive ruisseler et jaillir, en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant de l'attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant. Délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés. Vous avez ensorcelé votre belle aux jupons parfumés ! Vous êtes mon bel amant ! | comme on cueille un fruit (E) - Ecoutez moi ! Ne vous lassez pas de me regarder, ne cessez pas de me désirer. Prenez-moi comme on cueille un fruit, dégustez moi avec délice et gourmandise, caressez mes lèvres à votre guise. Donnez moi ... |
![]() | cantiqueComme ils sont beaux tes pas toi fille de noble race. Tes rondeurs sont comme des joyaux, modelés par les mains d'un artiste. Ton nombril forme un cratère arrondi où l'eau-de-vie de vin parfumé ne manque pas. Ton ventre, un amas de froment au milieu des lys. Tes deux seins ressemblent à deux faons, jumeaux d'une chevrette. Ton cou ressemble à une tour d'ivoire. Tes yeux sont comme les piscines de Heshbon, Ton nez est aussi gracieux qu'une tour du Liban, Ta tête est fière comme le Mont Carmel. Les boucles de tes cheveux ont des reflets de pourpre. Que tu es belle et fascinante, ô amour, dans ces délices ! Cette taille te fait ressembler à un palmier. Tes seins sont pour moi comme des grappes de raisin. Et le parfum de ton haleine fleure bon comme celui des pommes, Ton palais comme un vin exquis ! ------------------------------- Il va tout droit, ce vin, à mon bien-aimé, Il coule sur les lèvres de ceux qui sont assoupis. Moi, je suis à mon bien-aimé Et son désir se porte sur moi. Viens-t'en mon amour. Sortons à la campagne, Passons la nuit dans les villages. De bonne heure, allons dans les vignobles, pour voir si la vigne a des bourgeons, si ses pampres sont en sève, et si les grenadiers sont en fleur. Et là je te donnerai mes étreintes. Les mandragores exhalent leur parfum. A nos portes, il y a toute sorte de fruits exquis, des nouveaux et aussi des vieux. Mon amour, je les ai réservés pour toi. | cantique (E) Comme ils sont beaux tes pas toi fille de noble race. Tes rondeurs sont comme des joyaux, modelés par les mains d'un artiste. Ton nombril forme un cratère arrondi où l'eau-de-vie de vin parfumé ne manqu ... |
![]() | ton regard (Renée Vivien)Le charme de tes yeux sans couleur ni lumière Me prend étrangement : il se fait triste et tard, Et, perdu sous le pli de ta pâle paupière, Dans l’ombre de tes cils sommeille ton regard. J’interroge longtemps tes stagnantes prunelles. Elles ont le néant du soir et de l’hiver Et des tombeaux : j’y vois les limbes éternelles, L’infini lamentable et terne de la mer. Rien ne survit en toi, pas même un rêve tendre. Tout s’éteint dans tes yeux sans âme et sans reflet, Comme un foyer rempli de silence et de cendre. Le jour râle là-bas dans le ciel violet. Dans cet accablement du morne paysage, ton froid mépris me prend des vivants et des forts. J’ai trouvé dans tes yeux la paix sinistre et sage, Et la mort qu’on respire à rêver près des morts. Renée Vivien | ton regard (Renée Vivien) (E) Le charme de tes yeux sans couleur ni lumière Me prend étrangement : il se fait triste et tard, Et, perdu sous le pli de ta pâle paupière, Dans l’ombre de tes cils sommeille ton regard. ... |
![]() | Tu me réchauffes de ton corps tu me caresses de tes seins lourds et beaux je les les masse avec douceur ils sont mous et tendres ton regard brille ton visage s'éclaire tes seins pendent comme des fruits murs se frottent contre mon torse j'effleure de mes lèvres tes mamelons pointus tu te cambres tu me fais entrer dans la chaleur de ton intimité nos yeux s'illuminent tu vas tu viens avec joie et jouissance tu m'embrasses partout et me conduis au paradis je ne sais plus où je suis nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle la vague se retire lentement nous laissant épuisés nous restons ainsi en silence sans bouger unis l'un à l'autre pour nous redire sans un mot je t'aime à la folie | (E) Tu me réchauffes de ton corps tu me caresses de tes seins lourds et beaux je les les masse avec douceur ils sont mous et tendres ton regard brille ton visage s'éclaire tes seins pendent comme des fruits ... |
![]() | Blanche ombrelle, jeunesse dentelleBlanche ombrelle, jeunesse dentelle, robe satin, rêve, voile fin Noce blonde emportée par la ronde, ruban papillonnant, cheveux au vent baisers sur tes lèvres braisées, pétales velours, prison d'amour Age heureux, cocktail amoureux, jardin de séduction aux fruits de la passion Emotion, anneau d'or, union comme accord 2006 © Mychèle | Blanche ombrelle, jeunesse dentelle (E) Blanche ombrelle, jeunesse dentelle, robe satin, rêve, voile fin Noce blonde emportée par la ronde, ruban papillonnant, cheveux au vent baisers sur tes lèvres braisées, pétales velours, prison d'amo ... |