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mercredi 17 décembre 2025 - 18h19
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je vois ton sexe gonfler
et je le sens fremir.
laisses moi le regarder.
Laisses moi le toucher
le caresser doucement.
Laisse moi le sucer
en jouant de ma langue,
laisse toi te liberer
laisses moi
sentir ta jouissance
la recueillir dans ma bouche.
(E)
je vois ton sexe gonfler
et je le sens fremir.
laisses moi le regarder.
Laisses moi le toucher
le caresser doucement.
Laisse moi le sucer
en jouant de ma langue,
laisse toi te liberer
laisses moi
s ...

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ultimes frissons


Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d’apaiser, cette hampe inouïe
Offerte, insatiable, où chante ton d’ardeur,
Dont les élans d’amour, me laissent éblouie !
Tu prises ma caresse et, sans nulle tiédeur,
Soyeuse, délicate, en te comblant sans fin,
Ma langue douce, chaude, apprécie, amoureuse,
De goûter ton offrande… assouvissant ta faim
Et ton bel appétit, pour en jouir, heureuse !
ultimes frissons (E)
Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d& ...

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une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine glissante et douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Puis elle se fit coulisser autour de ma verge.
Ses seins splendides se mirent à ballotter librement.
Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière.
Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée,
mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin.
Bientôt je me vidais en elle. Elle s’effondra littéralement sur moi.
Je m’endormais ainsi , une main lovée dans la raie, l’autre empoignant son téton turgescent.
(E)
une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine glissante et douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Puis elle se fit coulisser autour de ma ...

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Ta langue agile et douce
vient sucer mes bourses,
ta bouche avec adresse
suçe ce qui se dresse
de vie et d'allégresse
sous tes subtiles caresses.
(E)
Ta langue agile et douce
vient sucer mes bourses,
ta bouche avec adresse
suçe ce qui se dresse
de vie et d'allégresse
sous tes subtiles caresses. ...

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Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale. un moment ..
Puis je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe.
j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir.
Tout tournait autour de moi,
Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre.
Ses yeux félins dévorant les miens, ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme.
Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive,
et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
(E)
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son é ...

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le cierge fier


Tes mains viennent serrer le cierge fier dressé
Que tu portes à ta bouche et glisse entre tes lèvres,
Qui tout au bout du gland se mettent à danser
Tentant d'en extirper la chaude et claire sève
le cierge fier (E)
Tes mains viennent serrer le cierge fier dressé
Que tu portes à ta bouche et glisse entre tes lèvres,
Qui tout au bout du gland se mettent à danser
Tentant d'en extirper la chaude et claire sèv ...

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j'adore, c'est divin,
quand seule ta bouche lisse sur ma verge coulisse
Et me pâme à ta passion, salive à mon gland turgescent
A ma lance Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir atteint fulgurant Des faîtes indescriptibles
Seuls râles et gémissement En sont alors dicibles
Tandis qu'au rytme de tes succions J'ai encore la frêle illusion
De garder ascendant et contrôle Allons donc, faisons le drôle !
Tu sais, ma belle amante, Le jouir déjà me tente !
Je suis en proie à un tel transport Qui se diffuse en mes sens, en mon corps
La fièvre me traverse de part en part Et toi ô animale tu t'en empares
Savoureuse et profonde Enfantant tout un monde !
Je voudrais retarder l'instant Mais n'en ai pas le pouvoir,
Tu me possèdes trop bien Ah ! tu m'ennivres de ton chant
Et soudain un éclair noir Comme tes longs cheveux
Je sens que je viens Ô mon dieu !
Juguler ma jouissance Est pure utopie,
Je m'abandonne enfin Me laisser aller serein Je cris et jouis,
Dans ta bouche, mon essence
Mes muscles tremblent, faiblesse d'amour
Je coule en toi, nectar nacré
A ton doux palais, sur ta langue velours ;
A ton sourire qui m'a comblé
Je m'essaime... Je t'aime

Cyr
(E)
j'adore, c'est divin,
quand seule ta bouche lisse sur ma verge coulisse
Et me pâme à ta passion, salive à mon gland turgescent
A ma lance Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir atteint fulgurant D ...

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J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs
En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit
Et c'est moi qui fléchit.

Et je ne sais plus de tes lèvres,
De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre,
De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme,
A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends
Le plaisir que tu me donnes

Mon amour, mon âme
Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!

Bertino le Pascalois
(E)
J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau e ...

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je veux (Moietmoi)


Je veux sentir tes mains, voyager sur mon corps,
Aller se promener au gré de leurs envies,
Partout où elles peuvent, inventer de la vie,
En me faisant crier, tous ces mots, comme encore.

Je veux bien de ta bouche attendre mon plaisir,
Sentir entre tes lèvres, arriver mon bonheur,
Perdre ici la notion de l’endroit et de l’heure
Et me laisser aller, au bout de mon désir.

Je veux que tous mes sens, partent dans tous les sens,
Que ma peau se hérisse, d’océan de frissons
Et que mon explosion arrive à l’imminence,

Je veux enfin jouir, en restant tout en toi,
Mon Priape et ta langue, enfin à l’unisson,
A me laisser, vidé et ma fois tout pantois !

Moietmoi
je veux (Moietmoi) (E)
Je veux sentir tes mains, voyager sur mon corps,
Aller se promener au gré de leurs envies,
Partout où elles peuvent, inventer de la vie,
En me faisant crier, tous ces mots, comme encore.

Je veux bien de ta ...

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Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est t ...

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Sa bouche, ronde et distendue
Aspire mon dard, dans sa gorge goulue
Elle gémis, en aspirant mon vit
Appliquée comme dans un rite
(E)
Sa bouche, ronde et distendue
Aspire mon dard, dans sa gorge goulue
Elle gémis, en aspirant mon vit
Appliquée comme dans un rite
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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
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Mon sexe était en joie,
d’une lubricité humide et chaude
bordée d’algues et de mousse écumante.
Mon sexe scintillait
se tordait du plaisir
de la vague assassine, venant et revenant,
du ressac éternel, assourdissant élan de tes marées viriles.
Mon sexe s’exhibait
nu, sous ton soleil violine et voyeur
suintant de sa vie marine,
dans l’océan jurant d’orgiaques phonèmes
qui faisaient rirent les mouettes.
Mon sexe disparaissait,
englouti par le flot, la caresse dévoreuse,
le baiser infini porteur de tous mes rêves.

Arthemisia
(E)
Mon sexe était en joie,
d’une lubricité humide et chaude
bordée d’algues et de mousse écumante.
Mon sexe scintillait
se tordait du plaisir
de la vague assassine, venant et revenan ...

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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
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liberation


La vue de mes seins l'acheva
et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur
un abondant jet de semence,
il se déversa copieusement,
jusqu'à la dernière goutte.
Sa semence ruisselait
sur mes seins et sur mes cuisses,
liberation (E)
La vue de mes seins l'acheva
et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur
un abondant jet de semence,
il se déversa copieusement,
jusqu'à la dernière goutte.
Sa semence ...

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Tu prends ma main. Je me laisse fuir. Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris. Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue. Tu es si délicate.
mon sexe dans ta bouche. Je bande, les yeux fermés
Tu le sens et tu en profites. Tu me suces,
Je te sens et je m’abandonne.
Amour de ta langue sur le coussin de mon muscle.
Tu es liquide, légèreté. l’envie de moi, le désir de toi.
Les bords de ta langue me donnent le goût de ce vertige.
mon sexe entre tes lèvres se tend.
Tes yeux fermés, tes succions, des voluptés.
Tu me baignes dans une lumière veloutée.
Tu accentues et affermis ta succion. Tu me branles.
Vite et fort tu caresses, tu mords,
Trop de volupté … je me retiens… Je suis tendu
D’un souffle je vide ma joie en traits liquides
qui aspergent tes seins, ton ventre, mon ventre.
Tu obtiens encore les versements d’un plaisir qui t’échappe.
Les spasmes remontent au jour l’envie de vivre que je te dois.
Tu t’écartes, regardes et frottes de ta main le sperme qui fait briller ta peau.
Tu ris, te penches et lèches mon corps partout où il brille de ma jouissance.
Tu te relèves, me donnes un baiser, souris.
«La vie est à nous maintenant» déclares-tu heureuse.
Nous devions nous rencontrer ce jour. Premiers contacts entre nos peaux.
Premières chaleurs de toi. Premières sensations de toi.
Tu es si proche, Je te respire. Tu t’immerges dans mes sens.
Ces secondes sont précieuses. Inouïes nous jouirons ensemble.


Pour vous, aux sexes dressés ou flapis,
aux caresses rudes ou tendres
aux éjaculations tardives ou précoces,
pour vos forces et vos faiblesses,
violence ou tendresse,
lâches ou héros,
pour votre génie comme pour vos maladresses,
votre talent ou vos failles,
pour vos oublis et pour vos mémoires attentives
pour savoir ou négliger ce qui me fait vibrer,
pour vos lèvres inventives et vos langues curieuses
pour vos doigts doux ou rugueux me fouillant,
délicates ou maladroites caresses,
pour me faire présent de votre désir,
pour le sel de vos envies, fugaces ou tenaces,
pour vous : mon libre plaisir…

2008 © Prune
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Tu prends ma main. Je me laisse fuir. Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris. Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue. Tu es si dé ...

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Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
Je mets mon vit contre ta joue
le bout frôle ton oreille
lèche mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
s ...

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ultimes frissons


Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d’apaiser, cette hampe inouïe
Offerte, insatiable, où chante ton d’ardeur,
Dont les élans d’amour, me laissent éblouie !
Tu prises ma caresse et, sans nulle tiédeur,
Soyeuse, délicate, en te comblant sans fin,
Ma langue douce, chaude, apprécie, amoureuse,
De goûter ton offrande… assouvissant ta faim
Et ton bel appétit, pour en jouir, heureuse !

ultimes frissons (E)
Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d& ...

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tenant d'une main ferme mon membre oblong,
je décharge comme fou mon sperme
sur le blé de ton poil blond,
je fais jaillir une blanche écume :
foutre parfumé de mon désir,
liqueur trouble qui s'abat et fume
sur ton sexe saphir !

Puis, comme la lune à la croisée du soir
j'élève vers ton visage, ô ma déesse,
ma verge encore pleine de promesses
tel un flamboyant encensoir
et j'arrose, une dernière fois, de foutre
ta bouche, fleur de sang,
vidant comme une outre mon désir évanescent...

Cyr
(E)
tenant d'une main ferme mon membre oblong,
je décharge comme fou mon sperme
sur le blé de ton poil blond,
je fais jaillir une blanche écume :
foutre parfumé de mon désir,
liqueur troubl ...

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j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse
Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion
Salives à mon gland Turgescent
Pressions en free-lance A ma lance
Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir atteint fulgurant Des faîtes indescriptibles
Seuls râles et gémissement En sont alors dicibles
Tandis qu'au rytme de tes succions
J'ai encore la frêle illusion
De garder ascendant et contrôle
Allons donc, faisons le drôle !
Tu sais, ma belle amante, Le jouir déjà me tente !
Je suis en proie à un tel transport
Qui se diffuse en mes sens, en mon corps
La fièvre me traverse de part en part
Et toi ô animale tu t'en empares
Savoureuse et profonde Enfantant tout un monde !
Je voudrais retarder l'instant Mais n'en ai pas le pouvoir,
Tu me possèdes trop bien Ah ! tu m'ennivres de ton chant
Et soudain un éclair noir Comme tes longs cheveux
Je sens que je viens Ô mon dieu !
Juguler ma jouissance Est pure utopie,
Je m'abandonne enfin Me laisser aller serein
Je cris et jouis, Dans ta bouche, mon essence
Mes muscles tremblent, faiblesse d'amour
Je coule en toi, nectar nacré
A ton doux palais, sur ta langue velours ;
A ton sourire qui m'a comblé Je m'essaime...
Je t'aime

Cyr
(E)
j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse
Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion
Salives à mon gland Turgescent
Pressions en free-lance A ma lance
Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir ...

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Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
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mes yeux rivés au plafond, je sentis mon membre s'engouffrer dans sa bouche,
toujours plus profond.
Tout tournait autour de moi,
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Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre.
tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau.
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Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul.
une gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe
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sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance.
En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
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elle entreprit de me sucer plus profondément en accélérant la cadence.
Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette,
elle nettoya mon gland de la dernière goutte.
(E)
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
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mes yeu ...

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Sa langue mouillée se mit à caresser mon membre congestionné.
Cette langue brillante de salive, prit vite ses marques sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale. un moment ..
Puis je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe.
j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir.
Tout tournait autour de moi,
Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre.
Ses yeux félins dévorant les miens, ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme.
Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive,
et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
Après quelques secondes, elle me dit comme si de rien n'était :
- \"c'était bien bon !\"
(E)
Sa langue mouillée se mit à caresser mon membre congestionné.
Cette langue brillante de salive, prit vite ses marques sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement ...

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Je cale ton sexe entre mes seins, le masse et la dorlote. Tu bandes vite. Je veux te sucer.
Je caresse tes bourses. Je les surprends, les entreprends, Je les humecte, les cajole, les chatouille et les presse.
Et ma langue s'agite le long de ton membre, humidifie ton gland rougi.
ma langue frissonne d'un plaisir inconnu, - ma bouche est affamée -, tandis que tu gémis.
Je prends ta verge voluptueuse et la fourre dans ma bouche, le racle fortement contre mon palais, l'aspire entièrement
Je te dévore, tu éjacules. Nous jouissons. Ensemble. Encore une fois. J'en crève.
Tu souffles, avec un sourire tendre et me chuchotes : tu n'es plus mon rêve, mais ma réalité.

Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre.
Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante.
Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal,
Elle continua son massage pendant quelques minutes Mon sexe était gonflé comme jamais.
Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais.
Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait.
Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base.
Elle me regarda profondément. alors que je voyais sa bouche s'ouvrir, et engloutir mon sexe.
Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide,
Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland.
Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir.
Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir.
Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais.
Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi.
Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les couilles.
De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement.
Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait.
La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts.
Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle.
Je sentis ses globes fessiers se contracter.
Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer,
Je sentais ma sève monter progressivement.
Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme.
Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper.
Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent.
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Elle passe sur le trottoir, elle provoque, elle est belle. Il avance et hésite.
Elle s’approche de lui. Le dialogue est bref. Ils se dirigent vers l'hotel, la chambre est petite.
Elle fouille dans son sac. Il la regarde. Il bande.
Elle passe sa main dans le pantalon sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou.
Elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Des seins relevés, il y porte ses mains.
Elle reprend le branle, commence à le sucer, s’agite autour de sa queue.
Il se raidit, se tend, se libere. Elle le complimente. C’est bientôt fini.
Il tend ses muscles. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà.
Elle tend un kleenex. Il retire le préservatif.
Elle remet sa robe, range ses affaires. Il a rangé son sexe.
Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?…
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il était dans un etat second, les yeux clos et le souffle court.
je repris son sexe en main et l'enfournai entre mes levres, subtilement, j'aspirais dans ma bouche son pieu d'acier
Il n'arrivait plus à ouvrir les yeux, il était noyé sous le plaisir !
il tenta d'aller plus profondement en moi en soulevant ses reins,
je le laissais coulisser de plus en plus vite en entre mes levres,
La vue de mes gros seins l'achevèrent et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur un abondant jet de semence au fond de ma bouche , il se déversa copieusement,
et je continuais à le pomper pour le vider à fond.
Quand la source fut tarie, je décidais de masser ma poitrine avec ce sexe de jeune mâle de 21 ans !
il continuait à éjaculer sur ma poitrine et avec quelques paroles d'encouragement, il se déversa jusqu'à la dernière goutte sur mes seins.
Sa semence ruisselait sur mes seins et sur mes cuisses, je lui souriais et je coinçais son sexe entre mes deux mamelles,
son penis glissait à merveille entre mes deux seins!
Derrière moi, je commençais à apercevoir les premières lueurs de l'aube pointer derrière la forêt.
--------------------------------------------------------------------
Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir.
Mon cœur failli à nouveau s'arrêter, imaginant cette bouche pulpeuse engoufrer mon sexe.
Sa langue brillante de salive, s'enveloppa sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale.
- \" Regardes moi, c'est ta punition pour avoir visité mon intimité … \"
Je ne pu baisser les yeux tout de suite. Je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe.
j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir.
Tout tournait autour de moi, je retenais un cri rauque qui voulait sortir de ma gorge, et me décidais à regarder le spectacle:
sa main droite fermement scotchée à la base de mon membre,
sa deuxième main devant sa bouche, suivant le rythme effréné de ses succions jouissives.
Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre.
Ses yeux félins dévorant les miens, fut ma dernière vision ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme.
Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive,
et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
(E)
Je cale ton sexe entre mes seins, le masse et la dorlote. Tu bandes vite. Je veux te sucer.
Je caresse tes bourses. Je les surprends, les entreprends, Je les humecte, les cajole, les chatouille et les presse.
Et ma langue s'agite ...

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Tu prends ma main. Je me laisse fuir.
Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris.
Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue.
Tu es délicate, si délicate.
Je bande, les yeux fermés
mon sexe dans ta bouche.
Je me détends.
Tu le sens et tu en profites.
Tu suces mon sexe,
tu le promènes entre douceur et fermeté.
Je le sens et je m’y abandonne.
Amour de ta langue
sur le coussin de mon doigt.
Tu es liquide, légèreté.
Je sens ton muscle
promener en fantaisie
la chaleur humide de ton plaisir.
Sous-jacent, l’envie de moi, le désir de toi.
Tes dents se resserrent
promenant l’arrête vive
en amont de la volupté
que tu offres comme un reproche.
Une coupure
comme un barrage retient les effluves
d’une langueur dont je me laisse envahir.
En aval l’irréalité suave de ta caresse.
Tantôt au-dessus, tantôt en dessous,
tantôt sur un coté, tantôt sur l’autre.
Les bords de ta langue me donnent la mesure,
goût de ce vertige, un voyage en toi.
Tes dents affirment ta volonté,
mon sexe se tend.
Tu enfonces mon sexe au fond de ta gorge, profondément,
je voyage dans ta bouche,
chemine tendu dans la beauté
de mon prochain naufrage.
Tes yeux fermés,
tes succions rendent à ma mémoire
des voluptés déjà ressenties, jamais imagées.
Tu me baignes dans une lumière veloutée.
Tu me donnes à voir.
Mes muscles se tendent.
Je me tiens raide sur le fauteuil.
Cela monte en moi fortement.
Tu accentues et affermis
les gestes de ta succion.
Tu branles mon sexe.
Vite et fort tu caresses, tu mords,
tu enroules le derme
qui se tord de plaisir
sous la pression de ta douceur.
Ce sperme monte en moi
cherche son issue.
Tu t’assois sur mon ventre.
Mon sexe se raidit.
Je sens le dos de ta langue
le serrer violemment.
Trop de volupté dans ton geste…
je me retiens…
Je suis tendu et te porte sur mon ventre…
D’un souffle
je vide ma joie en traits liquides
qui aspergent tes seins, ton ventre, mon ventre.
Tu te penches contre moi,
obtiens encore les versements
d’un plaisir qui t’échappe.
Les spasmes remontent au jour
l’envie de vivre que je te dois.
Tu t’écartes, regardes et frottes de ta main
le sperme qui fait briller ta peau.
Tu ris, te penches et lèches mon corps
partout où il brille de sa jouissance.
Tu te relèves, me donnes un baiser, souris.
«La vie est à nous maintenant»
déclares-tu heureuse.
(E)
Tu prends ma main. Je me laisse fuir.
Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris.
Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue.
Tu ...

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dans le compartiment la nuit


Une douce chaleur humide et moite
envahissait mon bas ventre.
juste une douce caresse indéfinissable
qui effleurait ma peau.
elle entreprit de me sucer
plus profondément
en accélérant la cadence.
Je me répandis aussitot
dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin
qu’une chatte qui fait sa toilette,
elle nettoya mon gland
de la dernière goutte.
dans le compartiment la nuit (E)
Une douce chaleur humide et moite
envahissait mon bas ventre.
juste une douce caresse indéfinissable
qui effleurait ma peau.
elle entreprit de me sucer
plus profondément
en accéléran ...

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Une douce chaleur humide et moite
envahissait mon bas ventre.
Sur le haut de mes jambes
tout juste une douce caresse indéfinissable
qui effleurait ma peau.
Un parfum capiteux flottait dans l’espace.
Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul.
Je portais ma main au bas de mon ventre.
Bientôt mes doigts se glissèrent
dans une texture fine et soyeuse qui couvrait mon corps.
C’était une longue chevelure , la chevelure de ma secretaire.
Mes mains caressèrent la nuque,
qui fléchissait en de longs mouvements réguliers ,
effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède.
Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait,
soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers.
La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe,
c’était la bouche de ma secretaire !
mon hôtesse s’était glissée discrètement dans la pièce ,
pour me prodiguer cette sublime fellation.
Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur,
et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue,
j’avais été un instant abusé.
Maintenant sa langue fougueuse
léchait mon gland avec plus d’insistance.
En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément
en accélérant la cadence.
Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer,
mon liquide se répandit dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin
qu’une chatte élégante qui fait sa toilette,
pour nettoyer mon gland de la dernière goutte.
J’allais lui susurrer des mots tendres.
Mais brusquement elle se redressa
et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette
disparaissant dans l’embrasure de la porte.
Les jours de la semaine qui suivirent,
j’étais torturé par sa présence.
Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle.
(E)
Une douce chaleur humide et moite
envahissait mon bas ventre.
Sur le haut de mes jambes
tout juste une douce caresse indéfinissable
qui effleurait ma peau.
Un parfum capiteux flottait dans l’espace.

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ta langue douce (Bertino le Pascalois)


J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!

Bertino le Pascalois
ta langue douce (Bertino le Pascalois) (E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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Elle lui enleva ses cuissards pour enfin permettre à son pénis gonflé de trouver un peu d'espace.
Elle le caressa doucement, de haut en bas, pour ensuite s'attarder sur ses testicules puis remonter jusqu'au gland.
Elle approcha ensuite sa bouche et le lécha, dans tous ses coins et recoins,
jusqu'à ce que le pénis de Martin fut tout humide de sa salive.
Isabelle le prit ensuite dans sa bouche et se mit à le mordiller, à le sucer, à le téter, tout en caressant ses testicules.
Martin gémissait doucement, sa respiration s'accélérait, il ne vivait plus que pour la bouche et la main d'Isabelle.
(E)
Elle lui enleva ses cuissards pour enfin permettre à son pénis gonflé de trouver un peu d'espace.
Elle le caressa doucement, de haut en bas, pour ensuite s'attarder sur ses testicules puis remonter jusqu'au gland. ...

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Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir.
Mon cœur failli à nouveau s'arrêter, imaginant cette bouche pulpeuse engoufrer mon sexe.
Sa langue brillante de salive, s'enveloppa sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale.
- Regardes moi, c'est ta punition pour avoir visité mon intimité …
Je ne pu baisser les yeux tout de suite. Je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe.
j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir.
Tout tournait autour de moi, je retenais un cri rauque qui voulait sortir de ma gorge, et me décidais à regarder le spectacle:
sa main droite fermement scotchée à la base de mon membre,
sa deuxième main devant sa bouche, suivant le rythme effréné de ses succions jouissives.
Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre.
Ses yeux félins dévorant les miens, fut ma dernière vision ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme.
Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive,
et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
(E)
Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir.
Mon cœur failli à nouveau s'arrêter, imaginant cette bouche pulpeuse engoufrer mon sexe.
Sa langue brillante ...

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La belle Angèle a bientôt seize ans
Pour son âge ell' baise énormément
La belle Angèle mouille tant et tant...
Rien qu'avec elle on remplit l'étang...
Le curé dans la sacristie
Lui apprend les bonnes manières
La façon de gober le vit,
A genoux comm' pour la prière
Au pays c'est la plus douée
Pour avaler la fumée
La belle Angèle a de beaux seins blancs...
Comm' les mamell's de la vache à Jean...
La belle Angèle a bientôt seize ans...
Tire la moelle à tous les passants...
Ell' fait des concours de succion
La belle Angèle a bientôt seize ans...
N'est plus pucell' derrièr' ni devant
(E)
La belle Angèle a bientôt seize ans
Pour son âge ell' baise énormément
La belle Angèle mouille tant et tant...
Rien qu'avec elle on remplit l'étang...
Le curé dans la sac ...

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il se reprenait à bander
dans la fougue de ses 18 ans.
Alors je le pompai plus vigoueusement,
sensation inouïe, qui lui fit perdre la tête,
Je happai délicatement entre mes lèvres
le sexe encore couvert de sperme,
et descendis lentement ma bouche jusqu'à sa base.
Je'administrai un va-et-vient lent et voluptueux
sur son jeune membre,
tandis qu'il me flattait les seins.
Je sentis une deuxième éjaculation
monter au chaud contact
de ma langue et de mes muqueuses,
Il tenta de me prévenir
pour qu'il puisse jouir hors de ma bouche.
Mais je fis non de la tête
sans abandonner son sexe.
Alors, ne cherchant plus à se contenir
il lâcha une seconde décharge
au fond de ma bouche.
J'accueillai son sperme sans m'émouvoir
et commencai à avaler sa semence
au fur et à mesure,
en gardant bien son sexe au chaud en moi
(E)
il se reprenait à bander
dans la fougue de ses 18 ans.
Alors je le pompai plus vigoueusement,
sensation inouïe, qui lui fit perdre la tête,
Je happai délicatement entre mes lèvres
le ...

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Hum... que j'aime tes lèvres pulpeuses
qui gobent mes pleines bourses
et ta langue qui suit sa course
sur peau peau douce et crémeuse,

Et je fonds ainsi dans ta bouche
toi ma belle si peu farouche,
tant tu t'appliques sur mon dard
pour en éprouver la dureté rare.

Et de ma zone génitale
sourd un plaisir indicible :
mais ô combien visible,
dressé à la verticale,
entre vos caresses buccales
savament animales,
mêlant vos chaudes langues
contre ma chair exsangue.

Cyr
(E)
Hum... que j'aime tes lèvres pulpeuses
qui gobent mes pleines bourses
et ta langue qui suit sa course
sur peau peau douce et crémeuse,

Et je fonds ainsi dans ta bouche
toi ma belle si peu farouche,

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Il jouit presque tout de suite,
après trois ou quatre mouvements,
en giclées abondantes
qui semblaient ne pas devoir cesser.
J'observais, fascinée, le sexe chaud
agité de soubresauts,
qui crachait le sperme par jets puissants.
Je le reçus sur mon ventre,
mes seins, mes bras...,
Sa semence ruisselait
sur mes seins et mes cuisses,
je lui souriais
Derrière moi, les premières lueurs de l'aube.
(E)
Il jouit presque tout de suite,
après trois ou quatre mouvements,
en giclées abondantes
qui semblaient ne pas devoir cesser.
J'observais, fascinée, le sexe chaud
agité de soubresauts,

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La vue de mes seins l'achevèrent
et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur
un abondant jet de semence,
il se déversa copieusement,
jusqu'à la dernière goutte.
Sa semence ruisselait
sur mes seins et sur mes cuisses,
(E)
La vue de mes seins l'achevèrent
et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur
un abondant jet de semence,
il se déversa copieusement,
jusqu'à la dernière goutte.
...

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je sens ton sexe gonfler et je le sens fremir.
Laisses moi le prendre dans ma main
et le caresser doucement.
Je t’entends gémir, ta jouissance approche,
Laisse moi te sucer en jouant de ma langue,
oui, libere toi : voilà !
je recueille ta jouissance au fond de ma gorge.
(E)
je sens ton sexe gonfler et je le sens fremir.
Laisses moi le prendre dans ma main
et le caresser doucement.
Je t’entends gémir, ta jouissance approche,
Laisse moi te sucer en jouant de ma langue,
oui, ...

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Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est t ...

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Doigts fins saisissant la raideur voulue
Branle de haut en bas le compas
Fierté décalottée, mise à nue
Frappe le coin de ta bouche en émoi

Bout tété du bout des lèvres
Avant goût de folles fièvres
Succion souple et lascive
Embouché chaude salive

Gorge gourmande, palais vorace et avide
Comblée du dard n'y laissant aucun vide
Mange aphone la veine de sang
Que je pousse désir entre tes dents

Langue léchant la ligne longue
De ma hampe solide, colonne de chair
Et finissant bolide, sa course, sa glisse
Buvant deux autres affaires
Mes bourses douces et lisses
Fondantes à tes diphtongues*

Cyr
(E)
Doigts fins saisissant la raideur voulue
Branle de haut en bas le compas
Fierté décalottée, mise à nue
Frappe le coin de ta bouche en émoi

Bout tété du bout des lè ...

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Succion souple et lascive
Embouché de chaudes salives
Bout tété du bout des lèvres
Avant goût de folles fièvres

Langue lustrant la ligne longue
De ma hampe solide, colonne de chair,
Finissant sa course suçant deux autres affaires
Bourses douces et lisses, fondantes à tes diphtongues*

Doigts fins saisissant la raideur voulue
Branle de haut en bas le compas
Fierté décalottée, mise à nue,
Frappe le coin de ta bouche en émoi

Gorge gourmande, palais vorace et avide
Comblés d'un dard n'y laissant aucun vide,
Mangent aphone les veines gonflées de sang
Que je pousse en désir limant tes dents

Bonheur dominateur de baiser ton beau visage
Jusqu'à parfois l'éclabousser en hommage
D'un foutre vainqueur brûlant tes joues
Ô mon amour, tu me fais jouir comme un fou !

Cyr
(E)
Succion souple et lascive
Embouché de chaudes salives
Bout tété du bout des lèvres
Avant goût de folles fièvres

Langue lustrant la ligne longue
De ma hampe solide, colonne de ...

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Tu prends ma main. Je me laisse fuir. Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris. Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue. Tu es si délicate.
mon sexe dans ta bouche. Je bande, les yeux fermés
Tu le sens et tu en profites. Tu me suces,
Je te sens et je m’abandonne.
Amour de ta langue sur le coussin de mon muscle.
Tu es liquide, légèreté. l’envie de moi, le désir de toi.
Les bords de ta langue me donnent le goût de ce vertige.
mon sexe entre tes lèvres se tend.
Tes yeux fermés, tes succions, des voluptés.
Tu me baignes dans une lumière veloutée.
Tu accentues et affermis ta succion. Tu me branles.
Vite et fort tu caresses, tu mords,
Trop de volupté … je me retiens… Je suis tendu
D’un souffle je vide ma joie en traits liquides
qui aspergent tes seins, ton ventre, mon ventre.
Tu obtiens encore les versements d’un plaisir qui t’échappe.
Les spasmes remontent au jour l’envie de vivre que je te dois.
Tu t’écartes, regardes et frottes de ta main le sperme qui fait briller ta peau.
Tu ris, te penches et lèches mon corps partout où il brille de ma jouissance.
Tu te relèves, me donnes un baiser, souris.
«La vie est à nous maintenant» déclares-tu heureuse.
Nous devions nous rencontrer ce jour. Premiers contacts entre nos peaux.
Premières chaleurs de toi. Premières sensations de toi.
Tu es si proche, Je te respire. Tu t’immerges dans mes sens.
Ces secondes sont précieuses. Inouïes nous jouirons ensemble.


Pour vous, aux sexes dressés ou flapis,
aux caresses rudes ou tendres
aux éjaculations tardives ou précoces,
pour vos forces et vos faiblesses,
violence ou tendresse,
lâches ou héros,
pour votre génie comme pour vos maladresses,
votre talent ou vos failles,
pour vos oublis et pour vos mémoires attentives
pour savoir ou négliger ce qui me fait vibrer,
pour vos lèvres inventives et vos langues curieuses
pour vos doigts doux ou rugueux me fouillant,
délicates ou maladroites caresses,
pour me faire présent de votre désir,
pour le sel de vos envies, fugaces ou tenaces,
pour vous : mon libre plaisir…

2008 © Prune
(E)
Tu prends ma main. Je me laisse fuir. Tu prends mon sexe. Je l’oublie.
Tu le portes à ta bouche. Je suis surpris. Tu l’enfonces dans ta bouche. Je frémis.
Tu le caresses avec ta langue. Tu es si dé ...

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Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.
Tes mouvements sont de lents va-et-vient
Tout au long de ma hampe que tu branles à deux mains.
Comme une naufragée s'accrochant à l'épave,
Tu la serres plus fort dans des gestes plus suaves,
En l'agrippant.
Puis ta langue gourmande montre soudain sa pointe
Entre deux lèvres ourlées pareilles à deux mains jointes.
Ta bouche entraînée par un désir plus fort
Forme un coeur de baiser et s'approche encore,
L'embrassant.
Tu le lèches, l'agaces, le couvres de baisers,
Ta langue monte, descend, pour tout me titiller
Et ta bouche vorace gobe en un geste sûr
Tout le haut de mon sexe, rouge comme un fruit mûr,
L'avalant.
Ni tes mains, ni ta bouche, n'accordent de répit
A mon sexe tendu, cette bite, ce vit.
Tu le dégages enfin de tes lèvres brûlantes
Pour contempler, gourmande, cette pine bouillante,
Turgescente.
Tu renifles et flaires mes arômes secrets,
Le doux parfum d'un corps par ton corps excité.
Tout en cambrant le coup, tu humes chaque pli
D'un membre déployé en ce début de nuit,
Odorant.
Inlassable pourtant tu reprends ton ouvrage.
Montant et descendant et à chaque passage,
Ta langue m'excite fort lorsqu'enfin tu l'enroules,
Avant de regober et ma queue et mes boules,
Me suçant.
T'accordant par instant un répit mérité,
De ta bouche de feu ta main prend le relais,
Pressante et agitée, en danseuse hystérique,
Elle effectue sur moi une danse érotique,
Me branlant.
Agitées par tes mains qui bien plus haut s'activent
En soubresauts coquins, mes bourses t'invectivent,
T'interpellent parfois dans leur rondeurs ovales.
Alors, tu tends tes doigts vers les fruits de ton mâle,
Les flattant.
Puis tu reprends ta course, buccale cavalière,
Me pompant crescendo, moi, te regardant faire.
Je me laisse sombrer dans la mer de plaisirs
Où tu m'as entraîné, manquant de défaillir,
En giclant.
Impassible pompeuse, tu accueilles mon sperme.
Ton regard de triomphe défie mes yeux qui se ferment.
Mes saccades agitent mon membre tuméfié.
Toi, tu gardes mon jus comme un trésor confié,
M'absorbant.
Appliquée et sensuelle tu continues ton oeuvre,
Ne laissant rien se perdre en futiles manoeuvres.
Tu désembouches enfin mon sexe ramolli,
T'allonges près de moi et mets ta main sur lui,
Le flattant.
(E)
Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.
...

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une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine glissante et douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Puis elle se fit coulisser autour de ma verge.
Ses seins splendides se mirent à ballotter librement.
Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière.
Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée,
mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin.
Bientôt je me vidais en elle. Elle s’effondra littéralement sur moi.
Je m’endormais ainsi , une main lovée dans la raie, l’autre empoignant son téton turgescent.
(E)
une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine glissante et douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Puis elle se fit coulisser autour de ma ...

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il était dans un etat second,
les yeux clos et le souffle court.
je repris son sexe en main
et l'enfournai entre mes levres,
subtilement,
j'aspirais dans ma bouche son pieu d'acier
Il n'arrivait plus à ouvrir les yeux,
il était noyé sous le plaisir !
il tenta d'aller plus profondement en moi
en soulevant ses reins,
je le laissais coulisser
de plus en plus vite en entre mes levres,
La vue de mes gros seins l'achevèrent
et je ne fis rien pour le retenir
il éjacula avec vigueur
un abondant jet de semence
au fond de ma bouche ,
il se déversa copieusement,
et je continuais à le pomper
pour le vider à fond.
Quand la source fut tarie,
je décidais de masser ma poitrine
avec ce sexe de jeune mâle de 21 ans !
il continuait à éjaculer sur ma poitrine
et avec quelques paroles d'encouragement,
il se déversa jusqu'à la dernière goutte
sur mes seins.
Sa semence ruisselait
sur mes seins et sur mes cuisses,
je lui souriais
et je coinçais son sexe entre mes deux mamelles,
son penis glissait à merveille entre mes deux seins!
Derrière moi, je commençais à apercevoir
les premières lueurs de l'aube pointer derrière la forêt.
(E)
il était dans un etat second,
les yeux clos et le souffle court.
je repris son sexe en main
et l'enfournai entre mes levres,
subtilement,
j'aspirais dans ma bouche son pieu d'acier
Il n'arrivait plus &ag ...

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sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance.
Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette,
elle nettoya mon gland de la dernière goutte.
(E)
sa langue fougueuse léchait mon gland avec insistance.
Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette,
elle nettoya mon gland ...

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Une jeune nonnette En s'éveillant, Du haut de sa chambrette,
Vit dans un champ, Un garçon qui jouait gaiement
D'un bel instrument Long comme cela.

Se mit à la fenêtre, Le regardant. Puis, d'un air très honnête,
Va demandant: "Beau garçon, dites franchement
Quel est l'instrument Dont vous jouez là ?"

"Vous jouez d'un air tendre Qui me plait tant ! Je voudrais bien l'apprendre
Tout promptement; Ce serait grand contentement
Pour tout le couvent De savoir cela"

Regardant la pucelle Fort tendrement Et, la voyant si belle,
Dit en riant: "Descendez, car mon instrument,
Quoiqu'il soit bien grand, N'atteindra pas là"

Ne se fit point attendre, Vint promptement.
D'abord il lui fit prendre Son instrument
Et joua si parfaitement, Si gaillardement Dès ce moment-là.

Cette leçon finie Trop brusquement,
Notre nonne jolie Dit doucement:
"J'en aurais joué plus longtemps"
Puis, elle fit tant Qu'il recommença.

Voyant quelqu'un paraître, La pauvre enfant Remercia son maître
En lui disant: "N'oubliez donc pas le couvent.
Revenez souvent: On étudiera"







Mon sexe était en joie,
d’une lubricité humide et chaude
bordée d’algues et de mousse écumante.
Mon sexe scintillait
se tordait du plaisir
de la vague assassine, venant et revenant,
du ressac éternel, assourdissant élan de tes marées viriles.
Mon sexe s’exhibait
nu, sous ton soleil violine et voyeur
suintant de sa vie marine,
dans l’océan jurant d’orgiaques phonèmes
qui faisaient rirent les mouettes.
Mon sexe disparaissait,
englouti par le flot, la caresse dévoreuse,
le baiser infini porteur de tous mes rêves.

Arthemisia
(E)
Une jeune nonnette En s'éveillant, Du haut de sa chambrette,
Vit dans un champ, Un garçon qui jouait gaiement
D'un bel instrument Long comme cela.

Se mit à la fenêtre, Le regardant. Puis, d'un air ...

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Ma main se baigne dans tes cheveux,
flots soyeux
étincellant et noir
et sur tes seins
ronds comme des vagues
mes longs doigts nerveux
improvisent comme sur un clavecin
aux touches d'ivoire
une mélodie douce et vague.

Alors ton corps s'ouvre et monte
respire
comme une ample houle
où mon désir
s'exprime sans honte
et chante son plaisir
à la foule.
(E)
Ma main se baigne dans tes cheveux,
flots soyeux
étincellant et noir
et sur tes seins
ronds comme des vagues
mes longs doigts nerveux
improvisent comme sur un clavecin
aux touches d'ivoire
une mé ...

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J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs
En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit
Et c'est moi qui fléchit.

Et je ne sais plus de tes lèvres,
De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre,
De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme,
A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends
Le plaisir que tu me donnes

Mon amour, mon âme
Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau e ...

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Je saisis doucement sa tige qui s'affermit
je la recueille dans ma main.
Il gémit et se retourne vers moi,
respirant profondément, les yeux fermés.
Doucement, en guettant son visage,
je le branle.
Il se crispe, se détend. Son plaisir monte.
Je suis ravie de le voir ainsi abandonné,
lui si conquérant quelques secondes auparavant.
son sexe devient enorme.
Il me regarde avec une imploration muette.
Je souris.
il me caresse les cheveux.
Puis sa main se referme sur ma nuque
j'avance mon visage vers son sexe.
J'obtempère à son caprice d'enfant gâté
et je l'accueille dans ma bouche.
Il est heureux. La fellation est douce.
Je le suce, un jeune homme de dix-huit ans
plein de santé.
Je le suce, longuement, surprise du plaisir
que je ressens à le sentir en moi, chaud et vibrant,
à la merci des ondulations de ma langue
que j'enroule autour de sa tige de chair.
Je me mets en mouvement ,
montant et descendant sur sa bite tendue.
chacun de ses gémissements
se répercute en moi en frisson de luxure,
au fur et à mesure que mon ventre se tord de désir
et que grandit le sentiment de vide,
entre mes cuisses serrées.
(E)
Je saisis doucement sa tige qui s'affermit
je la recueille dans ma main.
Il gémit et se retourne vers moi,
respirant profondément, les yeux fermés.
Doucement, en guettant son visage,
je le branl ...

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Elle allait et venait doucement,
testant de ses doigts
la consistance de mon membre.
Ses mains étaient d'une extrême douceur,
et d'une fraîcheur surprenante.
Ce massage divin
eut des conséquences prévisibles :
je libérais peu à peu du liquide pré séminal,
Elle continua son massage
pendant quelques minutes
Mon sexe était gonflé comme jamais.
Elle fixait intensément mon sexe
alors que je la fixais.
Penchée vers mon penis qu'elle branlait,
elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait.
Elle posa ses lèvres sur mon gland,
Puis elle l'engloutit jusqu'à la base.
Elle me regarda profondément.
alors que je voyais sa bouche s'ouvrir,
et engloutir mon sexe.
Mon sexe semblait être
dans une cavité chaude et humide,
Elle resta comme ça,
me faisant sentir son souffle chaud,
puis elle referma les lèvres à la base de mon gland.
Je sentis alors sa langue s'activer,
tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir.
Elle s'attardait toujours sur le gland,
provoquant des gémissements
que j'avais du mal à retenir.
Puis doucement,
elle descendit encore
et je me sentais englouti comme jamais.
Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait
étaient nouveaux pour moi.
Elle allait et venait avec sa bouche
pendant que sa main me caressait les couilles.
De temps en temps, elle inversait,
et me léchait les couilles doucement.
Ma main se faisait de plus en plus présente
sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé la fine culotte,
et je passais et repassais mes doigts
dans la faille qui s'ouvrait.
La situation l'avait excitée.
Je sentais la sueur commencée à se former,
facilitant le glissement de mes doigts.
Ma caresse avait du déclencher
une vague de plaisir chez elle.
Je sentis ses globes fessiers se contracter.
Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe
et je la sentis m'aspirer,
Je sentais ma sève monter progressivement.
Elle accéléra encore le mouvement de ses mains
et se releva légèrement
pour regarder le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas.
J'explosais soudainement,
jouissant comme rarement
sous les caresses d'une femme.
Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres
et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper.
Elle me regardait avec des yeux plein de malice,
et semblait savourer l'instant présent.
(E)
Elle allait et venait doucement,
testant de ses doigts
la consistance de mon membre.
Ses mains étaient d'une extrême douceur,
et d'une fraîcheur surprenante.
Ce massage divin
eut des cons&eac ...

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Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau.
Un parfum capiteux flottait dans l’espace de la chambre. C’était comme une présence invisible.
Je me disais qu’elle était là. Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi.
Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce pour me ramener à l’évidence que j’étais seul.
Son odeur témoignait pourtant de son passage, et cette seule idée décupla mon excitation.
Epuisé, je me sentais glisser vers le sommeil, m’abandonnant à l’idée qu’elle était venue m’observer alors que je dormais.
Je m’assoupissais à nouveau. C’est alors que j’eu un léger sursaut nerveux.
Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre.
Bientôt mes doigts se glissèrent dans une texture fine et soyeuse qui couvrait mon corps.
C’était une longue chevelure , la chevelure d’une femme.
Mes mains caressèrent la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers ,
effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Son odeur, c’était bien son odeur !
Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers.
La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était la bouche de la mère de Florient !
mon hôtesse c’était glissée discrètement dans ma pièce , puis sous mes draps, pour me prodiguer cette sublime fellation.
Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur, et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue, j’avais été un instant abusé.
Maintenant sa langue fougueuse léchait mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément en accélérant la cadence.
Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer, mon liquide se répandit dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte.
J’allais lui susurrer des mots tendres. Mais brusquement elle se redressa
et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette disparaissant dans l’embrasure de la porte.
Les jours de la semaine qui suivirent, j’étais torturé par sa présence. Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle.
(E)
Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau.
...

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Le long de ton torse, Lentement je descends,
Ma langue avec force En transe te rend,
Doucement, doucement, Je descends,
Attend moi, gourmandise interdite,
Attend moi, friandise subite, Je suis là, toute à toi,
Mes lèvres lentement se posent,
Ma langue tranquillement se dépose,
Et là, sans crainte, sans peur, le dur labeur….
J’aspire le fruit de ton désir, Ô extrême jouissance,
Je sens tous tes sens Tu t’égares, tu trembles,
Tes mains se crispent, ton dos se cambre,
Tu n’arrives plus à respirer,
Pris par un désir enflammé, C’est moi qui suis en transe,
Lorsqu’avec passion, tu me pénètres,
Toi mon démon,Toi, mon bien-être.
Quelle sublime sensation, Quel étrange plaisir,
Lorsqu’avec émotion, tu constates mon plaisir !
Orgasme partagé, plaisir satisfait,
Désir indécis, qui brûle de recommencer !

Sylvie
(E)
Le long de ton torse, Lentement je descends,
Ma langue avec force En transe te rend,
Doucement, doucement, Je descends,
Attend moi, gourmandise interdite,
Attend moi, friandise subite, Je suis là, toute à to ...

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Alors elle suce, lèche et aspire
Ses boules, son gland et le pénis tout entier !
Selon son bon plaisir
Elle s'en va même le mordiller...
Il faut dire qu'il fait tout pour qu'elle chavire
Puisque d'un doigt maraudeur
s'en va chatouiller sa fleur
A chaque passage sur son clitoris
Un frisson de délice
Lui parcours l'échine
Et la rend plus que jamais... féline !
(E)
Alors elle suce, lèche et aspire
Ses boules, son gland et le pénis tout entier !
Selon son bon plaisir
Elle s'en va même le mordiller...
Il faut dire qu'il fait tout pour qu'elle chavire
Puisque d' ...

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Juste envie d'un doigt glissant sur mes lèvres mouillées
Le lécher puis le sucer, confiserie…
Et nos langues en jeu rigolo.
Juste envie d'une farce de mains qui se courent après,
Se cachent et cherchent où on ne les trouvera pas...
Cascade et roulades sur l'échine,
Détours et petits tours, sur un lobe, sur un sein …
Petites blagues excitantes.
Juste envie de tissus qui s'envolent,
De dessous qui tombent s'éparpillant,
Loterie de fouillis.
Juste envie de la course de nos souffles qui s'affolent,
De caresses coquines à ton sexe qui se dresse,
De petites balades à la frontière du mien,
Acrobates suspendus au plaisir,
Basculent et bousculent, rires et soupirs
Juste envie de petites folies avant le beau vertige…

2006 © Prune
(E)
Juste envie d'un doigt glissant sur mes lèvres mouillées
Le lécher puis le sucer, confiserie…
Et nos langues en jeu rigolo.
Juste envie d'une farce de mains qui se courent après,
Se cachent ...

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Suce Excite Lèche
La raideur de mon membre
A t’empaler la bouche
---------------------
Que ton sexe se dresse
Droit comme de la corne
Sous le feu de mes sens
--------------------
Suce Excite Lèche
Que tous mes muscles bandent
A te darder la peau
----------------------
Que ta passion l’attise
Ainsi qu’une hérésie
Enfer de sa damnation
--------------------
Suce Excite Lèche
Transpire mon odeur
Comme une chienne en rut

Viole et mange sa bouche
De tes lèvres gourmandes
Que tes cheveux l’enivrent


Suce Excite Lèche
A mordiller son torse
Affoler l’animal
L’aimer à l’épuiser
A lui offrir la voie lactée

Marion Lubreac
(E)
Suce Excite Lèche
La raideur de mon membre
A t’empaler la bouche
---------------------
Que ton sexe se dresse
Droit comme de la corne
Sous le feu de mes sens
--------------------
Suce Excite L&eg ...

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langue douce (Licorne)


J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
langue douce (Licorne) (E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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Il se dresse devant moi, droit comme de la corne
Sous le feu de mes sens ,
tous tes muscles bandent
A te darder la peau
Je te suce je t'excite je te lèche
Je flatte la raideur de ton membre
A l’empaler en bouche
Je Transpire ton odeur
comme une chienne en rut
Je viole et mange ton sexe
de mes lèvres gourmandes
Que mes cheveux t’enivrent
en caressant ton torse
J'affole l’animal, je l'épuise,
je l'aime
Je t'offre la voie lactée

d'après Marion Lubreac
(E)
Il se dresse devant moi, droit comme de la corne
Sous le feu de mes sens ,
tous tes muscles bandent
A te darder la peau
Je te suce je t'excite je te lèche
Je flatte la raideur de ton membre
A l’empal ...

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je sens dans ma bouche fremir ton sexe dur
Laisse moi le sucer en jouant de ma langue,
Laisse moi le sentir gonfler entre mes lèvres
Et maintenant ! libère toi !
Donne moi ta jouissance
Vas-y ! Jouis ! OUI !
(E)
je sens dans ma bouche fremir ton sexe dur
Laisse moi le sucer en jouant de ma langue,
Laisse moi le sentir gonfler entre mes lèvres
Et maintenant ! libère toi !
Donne moi ta jouissance
Vas-y ! Jouis ! O ...

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D'une tige éperdue, aspirant la corolle,
Farouche, elle absorbait chaque tressaillement,
Consacrant son désir à quelque course folle
Dont le but est l'étrange ivresse d'un moment.

Le silence imprimait de plaintives minutes :
Leurs corps ne comptaient plus les successives chûtes
Vers ce gouffre où notre innocence s'immola.

Soudain, l'ombre exila la lumière éblouie,
Et, dans un même élan, la fleur épanouie
Répandit sa rosée et la source coula.

Jacques Brindejont-Offenbach
(E)
D'une tige éperdue, aspirant la corolle,
Farouche, elle absorbait chaque tressaillement,
Consacrant son désir à quelque course folle
Dont le but est l'étrange ivresse d'un moment.

Le silence ...

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Les titillations de ta langue savante
Autour du gland qui gonfle et devient rubescent
Font mon désir plus vaste et plus concupiscent
Sous la salivation de ta bouche bavante.

Va redouble d’ardeur que rien ne t’épouvante
La sève va jaillir dans un effort puissant
Qu’en le méat, ouvert par son bout caressant,
Ta langue vibratile entre, très énervante.

Hume, suce, remonte et jusqu’au périnée
Que ton baiser léchant ma chair abandonnée
Dans un spasme final brise mon corps tendu.

Prends tout ! Et ton travail qui s’achèvera farouche
M’ayant conduit au but longuement attendu
Pour prix t’apportera … mon foutre dans ta bouche.

Frédillo
(E)
Les titillations de ta langue savante
Autour du gland qui gonfle et devient rubescent
Font mon désir plus vaste et plus concupiscent
Sous la salivation de ta bouche bavante.

Va redouble d’ardeur que rien n ...

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Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.

Tes mouvements sont de lents va-et-vient
Tout au long de ma hampe que tu branles à deux mains.
Comme une naufragée s'accrochant à l'épave,
Tu la serres plus fort dans des gestes plus suaves,
En l'agrippant.

Puis ta langue gourmande montre soudain sa pointe
Entre deux lèvres ourlées pareilles à deux mains jointes.
Ta bouche entraînée par un désir plus fort
Forme un coeur de baiser et s'approche encore,
L'embrassant.

Tu le lèches, l'agaces, le couvres de baisers,
Ta langue monte, descend, pour tout me titiller
Et ta bouche vorace gobe en un geste sûr
Tout le haut de mon sexe, rouge comme un fruit mûr,
L'avalant.

Ni tes mains, ni ta bouche, n'accordent de répit
A mon sexe tendu, cette bite, ce vit.
Tu le dégages enfin de tes lèvres brûlantes
Pour contempler, gourmande, cette pine bouillante,
Turgescente.

Tu renifles et flaires mes arômes secrets,
Le doux parfum d'un corps par ton corps excité.
Tout en cambrant le coup, tu humes chaque pli
D'un membre déployé en ce début de nuit,
Odorant.

Inlassable pourtant tu reprends ton ouvrage.
Montant et descendant et à chaque passage,
Ta langue m'excite fort lorsqu'enfin tu l'enroules,
Avant de regober et ma queue et mes boules,
Me suçant.

T'accordant par instant un répit mérité,
De ta bouche de feu ta main prend le relais,
Pressante et agitée, en danseuse hystérique,
Elle effectue sur moi une danse érotique,
Me branlant.

Agitées par tes mains qui bien plus haut s'activent
En soubresauts coquins, mes bourses t'invectivent,
T'interpellent parfois dans leur rondeurs ovales.
Alors, tu tends tes doigts vers les fruits de ton mâle,
Les flattant.

Puis tu reprends ta course, buccale cavalière,
Me pompant crescendo, moi, te regardant faire.
Je me laisse sombrer dans la mer de plaisirs
Où tu m'as entraîné, manquant de défaillir,
En giclant.

Impassible pompeuse, tu accueilles mon sperme.
Ton regard de triomphe défie mes yeux qui se ferment.
Mes saccades agitent mon membre tuméfié.
Toi, tu gardes mon jus comme un trésor confié,
M'absorbant.

Appliquée et sensuelle tu continues ton oeuvre,
Ne laissant rien se perdre en futiles manoeuvres.
Tu désembouches enfin mon sexe ramolli,
T'allonges près de moi et mets ta main sur lui,
Le flattant.
(E)
Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.
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Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.

Tes mouvements sont de lents va-et-vient
Tout au long de ma hampe que tu branles à deux mains.
Comme une naufragée s'accrochant à l'épave,
Tu la serres plus fort dans des gestes plus suaves,
En l'agrippant.

Puis ta langue gourmande montre soudain sa pointe
Entre deux lèvres ourlées pareilles à deux mains jointes.
Ta bouche entraînée par un désir plus fort
Forme un coeur de baiser et s'approche encore,
L'embrassant.

Tu le lèches, l'agaces, le couvres de baisers,
Ta langue monte, descend, pour tout me titiller
Et ta bouche vorace gobe en un geste sûr
Tout le haut de mon sexe, rouge comme un fruit mûr,
L'avalant.

Ni tes mains, ni ta bouche, n'accordent de répit
A mon sexe tendu, cette bite, ce vit.
Tu le dégages enfin de tes lèvres brûlantes
Pour contempler, gourmande, cette pine bouillante,
Turgescente.

Tu renifles et flaires mes arômes secrets,
Le doux parfum d'un corps par ton corps excité.
Tout en cambrant le coup, tu humes chaque pli
D'un membre déployé en ce début de nuit,
Odorant.

Inlassable pourtant tu reprends ton ouvrage.
Montant et descendant et à chaque passage,
Ta langue m'excite fort lorsqu'enfin tu l'enroules,
Avant de regober et ma queue et mes boules,
Me suçant.

T'accordant par instant un répit mérité,
De ta bouche de feu ta main prend le relais,
Pressante et agitée, en danseuse hystérique,
Elle effectue sur moi une danse érotique,
Me branlant.

Agitées par tes mains qui bien plus haut s'activent
En soubresauts coquins, mes bourses t'invectivent,
T'interpellent parfois dans leur rondeurs ovales.
Alors, tu tends tes doigts vers les fruits de ton mâle,
Les flattant.

Puis tu reprends ta course, buccale cavalière,
Me pompant crescendo, moi, te regardant faire.
Je me laisse sombrer dans la mer de plaisirs
Où tu m'as entraîné, manquant de défaillir,
En giclant.

Impassible pompeuse, tu accueilles mon sperme.
Ton regard de triomphe défie mes yeux qui se ferment.
Mes saccades agitent mon membre tuméfié.
Toi, tu gardes mon jus comme un trésor confié,
M'absorbant.

Appliquée et sensuelle tu continues ton oeuvre,
Ne laissant rien se perdre en futiles manoeuvres.
Tu désembouches enfin mon sexe ramolli,
T'allonges près de moi et mets ta main sur lui,
Le flattant.
(E)
Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.
La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige
Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.
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Entre tes lèvres, tu l’auras
Lorsque la nuit tombera
Bâton d’amour t’appartiendras.
Amour phallique animal.
Tu l’auras entre tes lèvres
Tu le téteras. Toute la nuit
Plaisir buccal
Entre tes dents tu croqueras
Ce fruit défendu.
Tu l’auras entre tes lèvres
Tu le suceras.
A en faire jaillir la sève.

Christian Rabussier
(E)
Entre tes lèvres, tu l’auras
Lorsque la nuit tombera
Bâton d’amour t’appartiendras.
Amour phallique animal.
Tu l’auras entre tes lèvres
Tu le téteras. Toute la nuit
...

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Tes mains viennent serrer le cierge fier dressé
Que tu portes à ta bouche et glisse entre tes lèvres,
Qui tout au bout du gland se mettent à danser
Tentant d'en extirper la chaude et claire sève
(E)
Tes mains viennent serrer le cierge fier dressé
Que tu portes à ta bouche et glisse entre tes lèvres,
Qui tout au bout du gland se mettent à danser
Tentant d'en extirper la chaude et claire sèv ...

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La journée était chaude,
Vider ce désir, vite,
dans un sexe de femme.
Pouvoir marcher librement, soulagé.
Elle attend dans la rue,
elle me regarde,
elle provoque,
elle est belle.
J'avance, j'hésite. Lui parler.
oui mais alors tous ces regards.
Il faut faire vite.
Je passe, je feins et je continue,
mais je regrette déjà ma peur.
Elle est somptueuse.
habillée d’une robe moulante et fluide.
Elle marche, elle vole au dessus de l’asphalte.
Je reviens sur mes pas.
Je pense à mon désir. Je bande.
il faut me refroidir.
Je risque de me vider
avant même qu’elle ait eu le temps
de m'habiller de son sexe.
elle est belle et son corps
est un vrai bonheur,
d’une fermeté provocante,
d’une ardeur évidente,
elle est fière, certainement emportée.
Ses seins, deux anges ailés
qui virevoltent devant elle quand elle marche.
Légers, lourds, ronds, ensorcelants. Elle sait cela.
Elle me regarde droit dans les yeux.
Un regard. Un signe: deux cents francs.
Deux cents francs
juste pour pouvoir contempler librement son corps.
Pas de client pour l’enlever.
Je peux raisonnablement penser être le prochain.
Il faut faire vite.
Elle me voit venir, elle comprend.
J'avançe et mon cœur bat.
Je ralentis mon pas.
Elle s’approche discrètement de moi.
Je viens à elle. Le dialogue est bref.
Elle me tutoie. J'aime.
Elle m'entraine derriere le mur.
Elle seule marche sans honte.
On sera tranquille.
Elle fouille dans son sac.
Je la regarde. Je bande.
Elle passe sa main dans mon caleçon,
sort mon sexe, enfile le préservatif.
Elle branle le mou.
Elle roule sa robe jusque sous ses bras.
Son corps est beau.
Une couleur légèrement ambrée.
Des seins relevés, j'y porte mes mains.
Elle reprend le branle.
Elle commence à me sucer.
Elle s’agite autour de ma queue.
Je me raidis. Elle me complimente. Je monte.
Je tends les muscles des jambes.
Le préservatif se remplit
comme par dépit d’une humeur trop épaisse.
Voilà. Elle me tend un kleenex.
Je retire le préservatif.
Je regarde son corps une dernière fois.
Elle remet sa robe, range ses affaires.
Je range mon sexe
et jette le kleenex et le préservatif dans la poubelle.
- Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?…
(E)
La journée était chaude,
Vider ce désir, vite,
dans un sexe de femme.
Pouvoir marcher librement, soulagé.
Elle attend dans la rue,
elle me regarde,
elle provoque,
elle est belle ...

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Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d’apaiser, cette hampe inouïe
Offerte, insatiable, où chante ton d’ardeur,
Dont les élans d’amour, me laissent éblouie !
Tu prises ma caresse et, sans nulle tiédeur,
Soyeuse, délicate, en te comblant sans fin,
Ma langue douce, chaude, apprécie, amoureuse,
De goûter ton offrande… assouvissant ta faim
Et ton bel appétit, pour en jouir, heureuse !
(E)
Toute pleine de toi ma bouche aspire encore
Les ultimes frissons de l’infini plaisir,
Te laissant palpitant, dont la sève décore,
D’une perle opaline évoquant ton désir
Que je viens d& ...

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Quand perle sa rosée


Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

Aspiré sans vergogne, il trouve bien sa place
Dans ma gorge profonde, avec empressement,
Car ce fourreau soyeux est loin d’être de glace :
Il prise ses assauts au moindre glissement.

Raidi par ton désir et par ma langue experte
Il a pris de l’ampleur ; c’est le fruit tropical
Dont la taille étourdit par sa mesure offerte
En comblant un banquet… tel un dessert royal !

Allant, venant, d’ivresse il inflige à mes lèvres
Un rythme plus rapide et, déjà, l’avant-goût
De cette quintessence - affluant par mes fièvres -
Qu’il me délivrera me grise plus que tout.

Les remous de sa sève élèvent leur cantique.
Mais, voulant savourer encore un peu le jonc,
Je retarde son flux d’une habile pratique,
Juste avant que, d’émoi, n’explose son bourgeon.

La passion l’emporte, alors d’un bel entrain
Je suce goulûment ce fruit qui me rend folle
Pour recueillir son flot robuste, souverain,
Sur mes papilles où leur seul sens en raffole

Au verger de l’amour où, simplement, je t’aime
Quand perle sa rosée (E)
Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

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nectar


Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...
nectar (E)
Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est t ...

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Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

Aspiré sans vergogne, il trouve bien sa place
Dans ma gorge profonde, avec empressement,
Car ce fourreau soyeux est loin d’être de glace :
Il prise ses assauts au moindre glissement.

Raidi par ton désir et par ma langue experte
Il a pris de l’ampleur ; c’est le fruit tropical
Dont la taille étourdit par sa mesure offerte
En comblant un banquet… tel un dessert royal !

Allant, venant, d’ivresse il inflige à mes lèvres
Un rythme plus rapide et, déjà, l’avant-goût
De cette quintessence - affluant par mes fièvres -
Qu’il me délivrera me grise plus que tout.

Les remous de sa sève élèvent leur cantique.
Mais, voulant savourer encore un peu le jonc,
Je retarde son flux d’une habile pratique,
Juste avant que, d’émoi, n’explose son bourgeon.

La passion l’emporte, alors d’un bel entrain
Je suce goulûment ce fruit qui me rend folle
Pour recueillir son flot robuste, souverain,
Sur mes papilles où leur seul sens en raffole

Au verger de l’amour où, simplement, je t’aime
(E)
Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

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Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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un bonbon au nectar de framboise


Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
un bonbon au nectar de framboise (E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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Sa bouche est tropicale


Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
Sa bouche est tropicale (E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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J'aime ta langue douce


J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
J'aime ta langue douce (E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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fièvre (Cyr)


j'aime, c'est divin
Quand ma bouche lisse sur ta verge coulisse
Ma salive coule sur ton gland turgescent
Je vais et je viens sur ton pieu qui est en feu
Ton plaisir fulgurant est indescriptible
Tes râles et gémissements sont très dicibles
Tandis qu'au rytme de mes succions
Tu as encore la frêle illusion de garder le contrôle
Allons donc, fais le drôle ! Le jouir déjà te tente !
Je suis en proie à un tel transport
Qui se diffuse en mes sens, en mon corps
La fièvre te traverse de part en part
Et moi, gourmande, je m'en empare
Savoureuse et profonde, enfantant tout un monde !
Tu voudrais retarder l'instant, mais n'en a pas le pouvoir,
Je te possède trop bien
Ah ! Je t'ennivre de mon chant
Voilà soudain l'éclair noir, comme mes longs cheveux
Je sens que tu viens ! Ô mon dieu !
Tu t'abandonnes enfin, Tu cris et tu jouis,
Dans ma bouche, ton essence jaillit
Tes muscles tremblent, faiblesse d'amour
Tu coules en moi, nectar nacré
A mon doux palais, sur ma langue velours ;
A ton sourire qui m'a comblé
Je m'essaime ... Je t'aime

Cyr





j'aime, c'est divin
Quand sur ma verge coulisse ta bouche lisse
Ta salive coule sur mon gland turgescent
Tu vas et viens sur mon pieu, il est en feu
Mon plaisir fulgurant est indescriptible
Mes râles et gémissements sont alors dicibles
Tandis qu'au rytme de tes succions
J'ai encore la frêle illusion de garder le contrôle
Allons donc, faisons le drôle ! Le jouir déjà me tente !
Je suis en proie à un tel transport
Qui se diffuse en mes sens, en mon corps
La fièvre me traverse de part en part
Et toi, gourmande, tu t'en empares
Savoureuse et profonde, enfantant tout un monde !
Je voudrais retarder l'instant, mais n'en ai pas le pouvoir,
Tu me possèdes trop bien
Ah ! tu m'ennivres de ton chant
Et soudain un éclair noir, comme tes longs cheveux
Je sens que je viens ! Ô mon dieu !
Je m'abandonne enfin, Je cris et jouis,
Dans ta bouche, mon essence
Mes muscles tremblent, faiblesse d'amour
Je coule en toi, nectar nacré
A ton doux palais, sur ta langue velours ;
A ton sourire qui m'a comblé
Je m'essaime ... Je t'aime

Cyr
fièvre (Cyr) (E)
j'aime, c'est divin
Quand ma bouche lisse sur ta verge coulisse
Ma salive coule sur ton gland turgescent
Je vais et je viens sur ton pieu qui est en feu
Ton plaisir fulgurant est indescriptible
Tes râles et g&eac ...

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Mais la langue vive et la bouche
Baveuse et buveuse d'orgeats !
Langue fourrée, langue pineuse d'entrechats
Ou d'entre-fesses ! Et les chibres qu'elle débouche !
Goulot d'amour, sa poitrine fleurie, ô ses seins !

Arthur Rimbaud
(E)
Mais la langue vive et la bouche
Baveuse et buveuse d'orgeats !
Langue fourrée, langue pineuse d'entrechats
Ou d'entre-fesses ! Et les chibres qu'elle débouche !
Goulot d'amour, sa poitrine fleurie, ô ...

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Ah oui
C'est ça
Branle moi
Oui comme ça
Bien au creux de ta main

J'attrape tes cheveux
Et guide ta bouche
Tes yeux sont fiévreux
Un peu farouches
De sentir mon dard qui sonde
Ô ta gorge si profonde !

Je tire soudain ta tête en arrière
Ta bouche baveuse s'ouvre en chaleur
Ainsi sonne l'heure
Que je glisse mon membre dans la profonde ornière,
Là, entre tes seins énormes à ravir !

Ah
Oui !
C'est ça
Oui ! Oui !
Suce moi bien
Pompe ma verge d'airain
Tant et si bien
Qu'à la fin
Je jouis !
Sur ton visage
En longues giclées sauvages...

Cyr
(E)
Ah oui
C'est ça
Branle moi
Oui comme ça
Bien au creux de ta main

J'attrape tes cheveux
Et guide ta bouche
Tes yeux sont fiévreux
Un peu farouches
De sentir mon dard qui sonde < ...

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Goutte, gouttelette de lui
Là c'est moi qui mouille.

Mots et mélodie d'enfants
Se conjuguent au présent
Quand vient le délicieux moment
Où son sexe perle doucement.

Mon bas ventre s'enflamme
J'ai faim de son âme.
J'ai soif de sa liqueur
Je vais m'offrir ce bonheur.

D'une langue gourmande
Je lape la gouttelette
Lèche sa queue, offrande
Comme une sucette.

Son pieu ne résiste pas
A mon désir de lui
Il grandit et se tient droit
Ma bouche l'engloutit.

Je l'absorbe, je l'aspire
Il tressaille et se retire.
Que nenni, mon bel ami
C'est moi qui commande ici.

Je reprends mon joujou,
Jusqu'à le rendre fou.
Il gémit, à mes cheveux, il s'accroche
Je le sens la fin est proche.

Il tremble, il se cambre
Il relâche enfin son membre
En un cri de bonheur
Et me livre sa liqueur.

Chris
(E)
Goutte, gouttelette de lui
Là c'est moi qui mouille.

Mots et mélodie d'enfants
Se conjuguent au présent
Quand vient le délicieux moment
Où son sexe perle doucement.

Mon ba ...

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Mon dieu !
Je vois ton sexe gonfler
Je le sens le fremir.
Laisse moi le caresser, doucement.
Je le sens grossir et durcir
---------------------------
Je vois tes seins gonfler
Je vois tes yeux briller
Viens dans la voiture
Mes bourses sont pleines !
Mon sperme est tout chaud
et prêt à gicler en toi.
Viens me suçer. Viens.
Et ferme la portière
(E)
Mon dieu !
Je vois ton sexe gonfler
Je le sens le fremir.
Laisse moi le caresser, doucement.
Je le sens grossir et durcir
---------------------------
Je vois tes seins gonfler
Je vois tes yeux briller
Vien ...

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J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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Gentiment et avec prudence
il me demanda une fellation
Après tant de plaisirs
je n'ai pu lui refuser cette proposition

Tout en ayant peur qu'il perde
le contrôle de la situation
C'est assise et lui debout
qu'il s'est mis en position
Me tenant la tête des deux mains
en poussant l'accélération
Il s'en est allé
jusqu'aux gémissements
puis l'éjaculation

Pour moi c'était une première
et je ne voulais pas le décevoir
Alors je l'es satisfait
en goûtant ce doux nectar
Puis il est parti
sans plus jamais le revoir
Mais je garde toujours espoir.
(E)
Gentiment et avec prudence
il me demanda une fellation
Après tant de plaisirs
je n'ai pu lui refuser cette proposition

Tout en ayant peur qu'il perde
le contrôle de la situation
C'est assise e ...

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Une saveur salée, sur mes lèvres, posée,
Découverte subite d'un flash sensoriel,
Qui explose en mon corps en frissons supposés,
Prémices de plongées en abysses charnels.

Mes yeux s'ouvrent sur les boucles abondantes
D'une chevelure voletant en ondes,
Au gré du courant caressant ma descente
En compagnie d'une créature blonde.

Du grain de peau délicat de ma nudité,
Sa bouche s'intime à chercher les malices,
Que la clé du plaisir, par sa langue, tournée,
Ouvre grandes les voies des ébats complices.

Ce ballet aquatique aux mille mains formées,
Mille langues en tourbillon d'indécence,
Déchaine à outrance des plaisirs effrontés
Exprimés par l'aplomb de ma turgescence.

Ses lèvres ne lâchent leur torride etreinte,
Qu'une fois assouvis leurs fantasmes polissons,
Qu'un réveil surprend en brutale contrainte,
Un rêve qui se termine en queue de poisson...

2010 © François
(E)
Une saveur salée, sur mes lèvres, posée,
Découverte subite d'un flash sensoriel,
Qui explose en mon corps en frissons supposés,
Prémices de plongées en abysses charnels.

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les sucettes à l'anis d'Annie (Serge Gainsbourg)


Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorge d'Annie, Elle est au paradis
quand elle n'a sur sa langue que le petit bâton
Elle prend ses jambes à son corps et retourne au drugstore
Pour quelques pennies Annie a ses sucettes à l'anis
Elles ont la couleur de ses grands yeux,
la couleur des jours heureux
Lorsque le sucre d'orge Parfumé à l'anis
Coule dans la gorge d'Annie
Elle est au paradis
les sucettes à l'anis d'Annie (Serge Gainsbourg) (E)
Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorg ...

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Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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Le jus de ma treille (Philippe Clavel)


Le serpent pénètre
l'entrée de mon jardin zen
et jaillit la fontaine

Le jus de ma treille
amoureusement pressé
inonde sa bouche
Le jus de ma treille (Philippe Clavel) (E)
Le serpent pénètre
l'entrée de mon jardin zen
et jaillit la fontaine

Le jus de ma treille
amoureusement pressé
inonde sa bouche ...

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Un jour une fillette vit
Un rustre endormi sur sa couche.
Il était porteur d'un gros vit.
La friponne y porta la bouche.
On ne peut guère l'excuser,
Pourtant, que faut-il qu'on en dise ?
Mes amis, doit-on l'accuser
De luxure ou de gourmandise ?

Armand Gouffé
(E)
Un jour une fillette vit
Un rustre endormi sur sa couche.
Il était porteur d'un gros vit.
La friponne y porta la bouche.
On ne peut guère l'excuser,
Pourtant, que faut-il qu'on en dise ?
Mes amis, doit- ...

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Quand dans l'excitation
elle aperçu mon sexe
Elle le regarda
et resta un perplexe
Elle ne se démonta pas
et d'un seul coup
s'agenouilla
Le pris délicatement
et dans sa bouche le mis
comme ça
Ce fut certes délicieux
mais en même temps déroutant
Car c'te gonzesse ,
je la connaissais pas
2 heures auparavant
(E)
Quand dans l'excitation
elle aperçu mon sexe
Elle le regarda
et resta un perplexe
Elle ne se démonta pas
et d'un seul coup
s'agenouilla
Le pris délicatement
et dans sa bouche le m ...

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sucettes à l'anis (Serge Gainsbourg)


Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorge d'Annie, Elle est au paradis
quand elle n'a sur sa langue que le petit bâton
Elle prend ses jambes à son corps et retourne au drugstore
Pour quelques pennies Annie a ses sucettes à l'anis
Elles ont la couleur de ses grands yeux,
la couleur des jours heureux
Lorsque le sucre d'orge Parfumé à l'anis
Coule dans la gorge d'Annie
Elle est au paradis
sucettes à l'anis (Serge Gainsbourg) (E)
Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorg ...

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Annie


Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorge d'Annie, Elle est au paradis

quand elle n'a sur sa langue que le petit bâton
Elle prend ses jambes à son corps et retourne au drugstore
Pour quelques pennies Annie a ses sucettes à l'anis
Elles ont la couleur de ses grands yeux,
la couleur des jours heureux

Lorsque le sucre d'orge Parfumé à l'anis
Coule dans la gorge d'Annie
Elle est au paradis
Annie (E)
Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé
lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis
coule dans la gorg ...

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Je me suis fait sucé
j'ai rempli sa bouche
de ma chair exangue
elle était bien pleine,
jusqu'à mes bourses
douces comme la laine.

J'ai coulé dans ses lèvres de soleil
ma verge brûlante, fière chandelle,
ouvrant les voies sans sommeil
de son vibrant palais de dentelles.

Elle n'as pas eu son pareil
pour faire des merveilles
de sa jeune langue sensuelle,
de sa fine bouche en rondelle.

Et avant de perdre haleine,
elle m'a dit : "faut qu'ça vienne !"
Alors de ses seins à ses oreilles
et jusqu'au fond de sa gorge groseille,
j'ai aussitôt fait gicler mon miel
en une pluie diluvienne !

Cyr
(E)
Je me suis fait sucé
j'ai rempli sa bouche
de ma chair exangue
elle était bien pleine,
jusqu'à mes bourses
douces comme la laine.

J'ai coulé dans ses lèvres de soleil
ma ...

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Laisser mes mains attrapper ta verge docile,
Pour t'effleurer du bout de mes doigts, te chérir
Laisse toi prendre au jeu, c'est doux c'est facile,
Laisse toi aller... te sentir dans ma bouche... te raidir...

Ma langue est farouche, laisse la encore jouer,
Je te veux excité, je veux te cajoler, je veux t'engloutir,
Mon regard au creux du tien pour une éternité,
Et le sentiment valorisant de t'avoir si bien... fait jouir...
(E)
Laisser mes mains attrapper ta verge docile,
Pour t'effleurer du bout de mes doigts, te chérir
Laisse toi prendre au jeu, c'est doux c'est facile,
Laisse toi aller... te sentir dans ma bouche... te raidir...

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Elle posa ses lèvres sur mon gland
pour esquisser un baiser.
Elle refit le même geste
en descendant jusqu'à la base,
puis en remontant.
Elle releva alors la tête
et me regarda profondément.
Je la fixais intensément
alors que je voyais sa bouche s'ouvrir,
et engloutir mon sexe.
Mon sexe semblait être
dans une cavité chaude et humide,
Elle resta comme ça,
me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland.
Je sentis alors sa langue s'activer,
tourner autour de mon bout
rougi et gonflé de désir.
Elle s'attardait toujours sur le gland,
provoquant des gémissements
que j'avais du mal à retenir.
Puis doucement, elle descendit encore
et je me sentais englouti comme jamais.
Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait
étaient nouveaux pour moi.
Elle allait et venait avec sa bouche
pendant que sa main me caressait les couilles.
De temps en temps, elle inversait,
et me léchait les couilles doucement.
Ma main se faisait de plus en plus présente
sur ses fesses que je saisissais
maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé la fine culotte,
et je passais et repassais mes doigts
dans la faille qui s'ouvrait.
La situation l'avait excitée.
Je sentais la sueur commencée à se former,
facilitant le glissement de mes doigts.
Ma caresse avait du déclencher
une vague de plaisir chez elle.
Je sentis ses globes fessiers se contracter.
Ses mains resserrèrent leur étreinte
autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer,
Je sentais ma sève monter progressivement.
Elle accéléra encore le mouvement de ses mains
et se releva légèrement pour regarder
le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement,
jouissant comme rarement
sous les caresses d'une femme.
Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres
et elle aspira toute la jouissance
qui continuait à s'échapper.
Elle me regardait avec des yeux plein de malice,
et semblait savourer l'instant présent.
La belle rousse finit par quitter mon entrejambe.
Elle rabaissa ma blouse
et remonta le drap et la couverture.
- nous sommes quitte !
Elle me quitta sur ces mots.
(E)
Elle posa ses lèvres sur mon gland
pour esquisser un baiser.
Elle refit le même geste
en descendant jusqu'à la base,
puis en remontant.
Elle releva alors la tête
et me regarda profond& ...

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Appliquée comme dans un rite


Ta bouche, ronde et distendue
Aspire mon dard, dans ta gorge goulue
Tu gémis, en aspirant mon vit
Appliquée comme dans un rite
Appliquée comme dans un rite (E)
Ta bouche, ronde et distendue
Aspire mon dard, dans ta gorge goulue
Tu gémis, en aspirant mon vit
Appliquée comme dans un rite
...

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elle entreprit de me sucer plus profondément
en accélérant la cadence.
Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin
qu’une chatte qui fait sa toilette,
elle nettoya mon gland jusqu'a la dernière goutte.
(E)
elle entreprit de me sucer plus profondément
en accélérant la cadence.
Je me répandis aussitot dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin
qu’une chatte qui fait s ...

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Sa langue mouillée se mit à caresser mon membre congestionné.
Cette langue brillante de salive,
prit vite ses marques sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus
et engloutirent progressivement mon gland.
Une impression de chaleur et de douceur
me coupa de la réalité,
mes yeux rivés au plafond,
je sentais mon membre s'engouffrer
dans sa bouche, toujours plus profond.
Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale.
un moment ..
Puis je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe.
j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir.
Tout tournait autour de moi,
Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre.
Ses yeux félins dévorant les miens, ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme.
Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive,
et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
Après quelques secondes, elle me dit comme si de rien n'était :
- "c'était bien bon !"
(E)
Sa langue mouillée se mit à caresser mon membre congestionné.
Cette langue brillante de salive,
prit vite ses marques sur mon sexe.
Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus
et engloutirent progr ...