![]() | coup de chaudAllongés sur le sable dans un coin de la dune, il me caressait le visage, le corps et, d’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de cyprine. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes...Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé...Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie...” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie | coup de chaud (E) Allongés sur le sable dans un coin de la dune, il me caressait le visage, le corps et, d’un coup de rein, il est entré en moi, en poussant un long râle, il s’est immobilisé au fond de mon ventre, press ... |
![]() | juste là, sur le sable (Luz)Juste là, sur le sable, devant moi, un souffle de satin crème sur sa peau, et l’ondulation désordonnée de ses cheveux, la fraîcheur d’une cascade, une provocation... J’ai envie de la prendre, elle est à portée de mes yeux, elle aussi me tient sans le savoir. J'admire sa peau ambrée, son grain qui accroche la lumière lunaire. Un miracle, un prodige sensuel. Des ombres sur les courbes, le dégradé clair-obscur de sa peau halée découpée de plis satinés, la perfection des lignes, la courbure de ses épaules échappant aux mèches flammèches, la nudité devinée de ses seins, et ses hanches trésor de mon plaisir secret. Elle incline la tête, offerte. L’innocence et la transgression mêlées. J’entends mon cœur battre mes tempes. Une sidération latente, subjugué. Reculer sans bouger. Elle se laisse respirer, elle expire en attendant. Effluves sur sa peau, sa moiteur devinée, les saveurs épicées, florales, virginales, qui m’excitent et m’étourdissent. Elle est une terre de vertige. Je sens monter la fièvre, ma sourde tension animale. Mon doigt fébrile en suspension, le suspense du toucher. La soie qui glisse encore de ses épaules, elle et son corps, elle et sa peau, une brise chaude du Sud. Souffle et envie, le feu dans mes veines, les flammes sous ma peau, la respiration qui s’échauffe et s’accélère. La soie qui s’évanouit encore, qui s’embrase. Et l’apparition, ses seins, je les contourne de la pulpe du doigt, l’intrusion, et ma paume impatiente se saisit de sa féminité, yeux dans les yeux, plus personne sur la Terre. Au bord du gouffre, quelques centimètres, les yeux se ferment, l’air électrisé, les lèvres humides. J’en perds le souffle et la tête. Elle m’étreint, je la serre, elle me gère, je la mène. C’est une valse d’amants heureux qui n’ont plus que l’amour et le désir entre eux. | juste là, sur le sable (Luz) (E) Juste là, sur le sable, devant moi, un souffle de satin crème sur sa peau, et l’ondulation désordonnée de ses cheveux, la fraîcheur d’une cascade, une provocation... J’ai envie d ... |
![]() | Dans la chaleur de l'été (Michelle Meyer)Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont déjà irradiés de joies intimes. Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de nos corps. Nos visages se rapprochent. Elle est si proche, Je la respire. Nous nous déshabillons. Elle devient vitale. Je m’enfonce en elle. Frémissements. Je glisse dans son ventre, ses yeux sont fermés. Elle se détends. Elle me sent. Elle s’abandonne, liquide, légère, je voyage en elle. Je m'enfonce dans son ventre, profondément, je voyage en elle. les yeux fermés, je goute ses succions. Elle baigne dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendent. Je me raidis, je me retiens… et d’un souffle, je vide ma joie en elle. Je me penche contre elle. lui donne un baiser, tu souris. | Dans la chaleur de l'été (Michelle Meyer) (E) Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont dé ... |
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![]() | détenteJ'ai senti son sexe glisser hors de moi et n'ai rien fait pour le retenir. Je reste là, les cuisses ouvertes, béante. Il a joui en moi. Je t'ai senti se répandre. Je suis toute ouverte, trempée de son sperme. Je me sens sans force, Du liquide coule entre mes jambes, | détente (E) J'ai senti son sexe glisser hors de moi et n'ai rien fait pour le retenir. Je reste là, les cuisses ouvertes, béante. Il a joui en moi. Je t'ai senti se répandre. Je suis toute ouverte, trempé ... |
![]() | Il fait chaudElle regarde la mer, son corps est luisant, éclairé de soleil Ses seins sont reposés, ronds et beaux. Il fait chaud Ses jambes sont écartées. Je suis nu, je vois mon sexe se dresser vers son rêve. Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle s'ouvre Je la pénètre. Elle m'aspire, elle m’absorbe. Je sens sur mon sexe ses petites caresses intestines. J’oscille dans son ventre, sans faire de bruit. Elle m'avale, elle m'absorbe, elle digère sa proie. Je suis en elle, ses yeux se plissent, sa tête se balance. Ses muscles se raidissent, elle ouvre la bouche, Elle respire fort, je suis ancré en elle, Elle laisse échapper un cri, elle ouvre les yeux Elle me voit moi en elle, elle me tire à elle, - vite ! décharge, vide toi en moi, maintenant ! n’attends pas ! Je me pousse au fond d'elle, elle est belle dans sa folie. Je crache et je vide tout ce que je possède au plus profond de ses antres. Un trait, un premier, énorme jet de plaisir. Un second, je retiens, elle ouvre grand les yeux elle me veut tout entier. Un troisième, sorti de mon plaisir pour sentir ses ongles me pénétrer. Un quatrième, pour qu'elle ferme les yeux et tende ses muscles. Un cinquième, poussé loin en elle et long en elle. Un sixième qui avoue sa fin. Prends, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Elle referme les yeux et perds le sens de la vie. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, juste pour me donner un baiser, comme une reconnaissance | Il fait chaud (E) Elle regarde la mer, son corps est luisant, éclairé de soleil Ses seins sont reposés, ronds et beaux. Il fait chaud Ses jambes sont écartées. Je suis nu, je vois mon sexe se dresser vers son rêve. ... |
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| Installée sur moiInstallée sur moi, empalée sur mon sexe, elle se masturbe allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle me regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. elle absorbe toute la longueur de mon membre, Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. | Installée sur moi (E) Installée sur moi, empalée sur mon sexe, elle se masturbe allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle me regarde jouir, Ces p&eac ... |
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![]() | les collines de MelanieNous admirons la mer dans un coin de colline, son corsage rempli est près à éclater. J'admire. Elle me lance: - Qu'est ce que tu regardes ? - Tes collines vallonnées ! Elle baisse les yeux, les relève et me sourit, J'ai le cœur qui bat. je vois un soutien gorge noir brodé et gonflé à bloc laissant déborder un peu de chair plus blanche. Je reste stupéfait devant ces seins qui ne bougent presque pas ! j'approche mon visage du sien. Elle ferme les yeux. Je lui fais un baiser sur la joue, sur l'oreille, elle ne dit rien, Je sens sa main caresser mes cheveux ! Je prends l'autre sein doucement dans ma main gauche. - Bernard est-ce que je te fais bander ? Je reste interloqué ! - Melanie ! Depuis que tu es là avec moi, je bande Elle me regarde fixement ... puis, d'un coup, m'enlace et m'embrasse à pleine bouche !Je ne sais plus où je suis, je sens son corps sensuel contre le mien, ses seins pointus, et ses fesses dans mes mains ! il fait chaud, je me frotte de plus en plus à sa peau de velours, mon torse contre son dos, je prends ses seins dans chaque main... je l'embrasse dans le cou, les oreilles, le visage, puis sur la bouche ... baiser, long, sensuel... Je me penche, suce un téton et elle plaque mon visage contre elle. Je caresse ses cuisses, elle a un sein dehors ... Je caresse sa toisonJe touche ses poils, Elle tressaille, me laisse faire, et enfin, je sens sa fente, chaude, humide que je parcours d'un doigt... Elle tremble et soudain se dégage de moi, s'allonge, écarte les cuisses et me dit simplement - VIENS ! je me retrouve sur elle, frottant mon corps doucement sur le sien, un délice... La chaleur du soleil dans mon dos, l'odeur des pins, le bonheur ! Je l'embrasse à pleine bouche, elle me serre fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent... et d'un coup comme par miracle, je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement comme dans un rêve, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles Je fais quelques va-et-vient, elle s'accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux plus résister... Je m'enfonce en elle, au fond de son ventre et je me vide en elle, un plaisir immense. Je n'arrête pas de jouir, elle tremble de partout. Nous sommes l'un dans l'autre, je la contemple ... Elle pleure : Nous restons ainsi enlaces, nos sexes emboités delicieusement. - Tu m'a remplis de toi ! J'ai jamais senti ça ! On est fous ! Oh ! J'en peux plus ! Mon sexe palpite toujours en elle, je sens ses poils soyeux, elle m'enlace et me tend ses lèvres en me disant merci ! Elle me montre son nouveau soutien gorge, en fait jaillir un téton : elle presse ses seins l'un contre l'autre dans un geste superbe, une offrande dont la vue m'excite. Je suçe ses deux tetons avec ardeur - Que c'est bon ce que tu me fais ! mon sexe se durcit de nouveau, elle s'approche, me le branle doucement, puis me dit : - J'aime bien voir ton sexe qui bande, J'ai encore envie que tu le mettes en moi ! elle se glisse sur moi, jupe à la ceinture, les seins dehors, elle se tortille sur moi les yeux fermés, frottant son sexe au mien chatouillé par ses poils, elle est déchaînée, m'embrasse, me lèche le visage. Sous elle, je tiens mon sexe contre sa fente, puis elle s'empale sur moi d'un coup poussant un cri ! - Mmmmmh ! Que c'est bon ! Puis elle m'embrasse, on se tortille, on s'agite, sa chatte est brûlante, trempée, on tremble de partout, une étreinte, un orgasme, je me vide en elle pour un bonheur inouï qui nous laissera pétrifiés de longues minutes, elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vu, obscène presque, mais oh combien desirable dans cette offrande. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble J'approche mon sexe du sien, le frotte dessus, je pose mon gland sur le trou, pousse un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs très rouges, elle pousse un gros soupir quand j'arrive à fond, je fais durer le plaisir, mais d'elle-même elle bouge, me fait comprendre qu'elle a envie de jouir avec moi, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque sur elle, écrasant ma semence sur nos deux corps et on s'embrasse longtemps. on se donne un dernier baiser les larmes aux yeux. | les collines de Melanie (E) Nous admirons la mer dans un coin de colline, son corsage rempli est près à éclater. J'admire. Elle me lance: - Qu'est ce que tu regardes ? - Tes collines vallonnées ! Elle baisse les yeux, les rel&e ... |
![]() | contactsPremiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de toi. Nos visages se rapprochent. Tu es si proche, Je te respire. Nous nous déshabillons. Tu deviens vitale. Je m’enfonce en toi. Tu frémis. Je glisse dans ton ventre, tes yeux sont fermés. Je me détends. Tu le sens. Tu suces mon membre, Je te sens et je m’abandonne. Tu es liquide, légèreté. Je sens la chaleur humide de ton plaisir, l’envie de moi, le désir de toi. Tantôt dessus, tantôt dessous, goût du vertige, je voyage en toi. Je m'enfonce dans ton ventre, profondément, je voyage en toi. les yeux fermés, je goute tes succions. Tu me baignes dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendent. Je raidis, je me retiens… Je suis tendu D’un souffle je vide ma joie en toi. Tu te penches contre moi. me donnes un baiser, tu souris. Tu t’immerges dans mes sens sans égard pour mon désir. Tu hésites. Je ressens. Tu t’interroges. Je refais sans cesse ces secondes. Cela te trouble, te gêne. Cela m’envahit. Nos temps se séparent. | contacts (E) Premiers contacts entre nos peaux. Premières chaleurs de toi. Nos visages se rapprochent. Tu es si proche, Je te respire. Nous nous déshabillons. Tu deviens vitale. Je m’enfonce en toi. Tu frémis. Je gli ... |
![]() | lentes pénétrationsElle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. | lentes pénétrations (E) Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces ... |
![]() | à l'allemandeCette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la trentaine, J'étais contre elle dans la clairière, elle me collait litteralement. Elle était belle, elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles mon sexe a vivement reagi. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi. Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'avais qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle était si mouillée que je sentais sa toison trempée collée contre sa peau. J'ai pris sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours. Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre. Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle elle allait et venait lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps…J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme. Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… | à l'allemande (E) Cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la trentaine, J'étais contre elle dans la clairière, elle me collait litteralement. Elle était belle, elle était chaud ... |
![]() | Allongée sur le tapisAllongée sur le tapis, elle semblait attendre une initiative de ma part Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Ma main droite glissa dans l’ouverture de son corsage. elle se dégagea et ôta avec désinvolture son chemisier. Le soutien-gorge suivit et ses seins volumineux jaillirent, libérés de leur enveloppe de dentelle. Elle s'abandonna sur le sol et attendit, soumise. je me couchais sur elle et j'introduisais mon sexe entre les plis mous et humides de sa vulve. Je la penetrai lentement. Sa vulve massait ma verge avec un léger mouvement de succion. A ses contractions spasmodiques, correspondaient mes fermes penetrations, je glissais mes mains sous ses fesses. une frénésie s’empara de tout son corps, ses lèvres avaient quitté les miennes, balbutiaient des mots sans suite. Ce fut ensuite l'explosion. Le plaisir nous surprit tous les deux simultanément et j’éjaculais amplement dans son ventre | Allongée sur le tapis (E) Allongée sur le tapis, elle semblait attendre une initiative de ma part Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Ma main droite glissa dans l’ouverture de son corsage. elle se d&eacut ... |
![]() | Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… | (E) Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, ... |
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