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mercredi 17 décembre 2025 - 12h58
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french kiss


Cette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Elle se dirige vers moi. Baiser rapide dans le cou, elle me prend la main, m'entraîne à l'écart, et me sussure :
- Please ! Give me a french kiss...
Nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je bande, avec indécence ... gestes précis, plus besoin du verbe, elle extirpe, experte, de mon pantalons mon dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Elle ouvre sa chemise, exhibe deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et s'introduit mon membre oblong. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce qu'il disparaisse ...dans l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon pénis, sur ses mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles, et sa cyprine qui coule sur mes bourses sensibles, Ses jambes se resserrent, elle tremble. Elle a du jouir, il me semble... Quand à moi, rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui avoue mon désir d'enfin la satisfaire. En son ventre offert mon sexe put se complaire, et je me répandis en une apothéose … Remise de ses émotions Elle se retire de mon aiguillon, se positionne dans l'autre sens. Je ne me fais pas prier deux fois, En à peine quelques allées-venues, mes mains accrochées à ses fesses, ma queue en elle... explose ! Fin de la fête,
C'était la première fois. J'avais bien décidé, une fois dans son ventre, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien amusé et on a tant ri, que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui !
french kiss (E)
Cette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Elle se dirige vers moi. Baiser rapide dans le cou, elle me prend la main, m'entraîne à l'écart, et me sussure :
- Please ! Give me a french kiss... ...

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hypnotisé


Elle se tenait dans l'ouverture de la porte, en longue robe de nuit de soie blanche. Sensuelle, aguicheuse, des yeux brillant et humides. J'etais hypnotisé. Elle referma la porte derrière elle. et s'approcha de moi Elle caressa mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur. un parfum capiteux et envoûtant de feminité, un mélange étrange de fleurs, de chair, lascivité, volupté.
Elle posa un doigt sur ma bouche. le glissant sur mes lèvres. sa langue s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Ses mains m'enlacerent pour me coller encore plus fortement à elle. Les fines bretelles de la robe tombèrent. Je lui rendis son sauvage baiser et cherchais moi aussi à pénétrer sa bouche, Nos lèvres s'écraserent les unes contre les autres dans un obcène bruit mouillé, Nos langues se cherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. Ce fut un ballet violent, animal, sauvage, melant nos souffles, nos haleines, nos salives. Ses doigts courraient sur ma peau, à la limite de l'asphyxie, Elle planta ses yeux dans les miens, un regard de feu, de passion, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Prend moi !
Elle se laissa couler le long de mon corps, toute la dentelle de sa combinaison caressa mon sexe qui se dressait de plus en plus. Sa voix était chaude, rauque. Je la pénétrais doucement, glissant facilement dans des chairs trempées. Elle s'abandonnait totalement à moi.
Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément en elle. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle était brûlante. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait son corps, Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes, Mes dents jouaient avec ses pointes.
Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle râlait sous mes caresses intimes. Une nouvelle penetration plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa. Elle me mordit l'épaule. Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence amplifiant ainsi sa jouissance. Elle s'aggripa a mes épaules, passa sa jambe autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Contractant ses muscles intimes, la pression emprisonnant mon gland fut le signal. Je bandais mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruais au plus profond de son ventre, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle n'en pouvait plus, son sexe était investi, envahi, ses deux jambes serrées autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. J'accélérais la force de mes allées et venues dans son ventre brûlant. Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude. Nous recherchions notre respiration. Je continuais de coulisser doucement dans son ventre. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle.
Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux, Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.
hypnotisé (E)
Elle se tenait dans l'ouverture de la porte, en longue robe de nuit de soie blanche. Sensuelle, aguicheuse, des yeux brillant et humides. J'etais hypnotisé. Elle referma la porte derrière elle. et s'approcha de moi Elle caress ...

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vision (Flore)


Allongés dans le salon les corps des deux amants sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur lui, ses seins étalés sur son torse. Ils sont beaux tous les deux, ils m'excitent. Je souhaiterais faire partie de leur baise. Je n’y tiens plus. Je me soulage, en glissant ma main entre mes cuisses. Douce et agile elle s'immisce, ma main s’emballe. En les voyant, je rêve qu’il m’embroche de son pale, pendant que lui la retourne et l’empale avec un râle. Je la vois, elle va jouir et moi aussi. je ne peux plus arrêter, c’est divin Ca y est elle halète, ils me font perdre la tête, Je prends mon plaisir jambes écartées et tremblantes de jouir. Une pluie fine commence à tomber, me ramène à la réalité, le rideau est à présent tiré et le spectacle terminé…

2013 © Flore
vision (Flore) (E)
Allongés dans le salon les corps des deux amants sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur lui, ses seins étalés su ...

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caresses


Je sens sa main qui vient se poser sur mon ventre. Je ne bouge pas, la chaleur de sa main irradie sur mon nombril. Je le laisse faire, sa main remonte vers ma poitrine, s'immobilise un instant. Je ne dis rien, je le laisse venir. Et puis, il recommence à bouger sa main, doucement, elle est douce et délicate, elle remonte vers mon sein, s'y pose et le presse doucement. Il remplit bien sa main, ses doigts atteignent la pointe qui se durcit aussitot, Ma respiration s'accelere Il le sent et il sait que je commence à éprouver du plaisir. Il passe sa main d’un sein à l’autre, je sens ma culotte se soie se mouiller. Je suis toujours sur le dos et il vient se serrer contre moi, je sens la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourt mon ventre et remonte doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènent sur mon bras, remontent vers mon cou, caressent mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses.
J’aime ces préliminaires qui durent et petit à petit embrasent mon corps et affolent mes sens. Il dépose de doux baisers, dans mon cou, sur mon front, sur mes yeux fermés, passive, je m’abandonne. Sa main reprend l’exploration de mon corps, descend plus bas, atteint ma culotte et glisse dessus sans y entrer.
Elle caresse mes cuisses puis mes genoux, remonte lentement à l’intérieur de mes cuisses, là ou la peau est douce et sensible, Sa main revient se poser sur ma culotte empoignant mon sexe à pleine main. Elle se fait plus précise et j’entrouvre un peu plus les cuisses en signe d’encouragement. Il glisse une jambe entre les miennes, toujours allongé contre moi. Je sens son sexe durcir contre ma cuisse. Sa main descend vers ma vulve, je sens que le tissus est humide, lui aussi sans doute, il sait que j’attends. A travers le tissu humide, je sens son doigt appuyer plus fortement sur mes lèvres, mon clitoris est gonflé.
Sa bouche suçe mes seins. Il les mordille doucement ses doigts ont écarté ma culotte, cheminé vers mes levres intimes, penetré ma vulve. Elle est trempée et chaude Il sait que je vais jouir, il mouille ses doigts en les enfonçant profondément dans mon vagin, j’ai écarté les jambes et c’est trois doigts qu’il arrive à y enfoncer avant de revenir caresser mon clitoris. Je sens la jouissance monter et exploser une première fois. Elle envahit mon ventre, vague de chaleur qui monte, mon corps est agité de soubresauts. Petit à petit, après la tornade, le calme revient. Il reprend ses caresses sur mon ventre et mes seins. Je sens son sexe encore plus ferme que tout à l’heure contre ma cuisse. Je le prends dans ma main et je commence à le caresser. Je soulève les fesses pour l’aider à enlever ma culotte. Il me prend dans ses bras. Il est maintenant tout contre moi. Je sens ses cuisses entre mes jambes, son sexe qui bat à l’entée du mien, son ventre contre mon ventre, sa poitrine puissante contre mes seins. Il a glissé ses mains sous mes épaules et me serre contre lui. Il m’embrasse d’abord doucement puis à peine bouche avec passion, je lui rends son baiser avec tout autant de passion, le corps à nouveau en feu. Je sens mon bassin onduler au rythme des baisers, j’ai envie qu’il me penetre. Je sens son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glisse ma main pour le guider en moi. Il est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser Je sens son cœur qui bat dans son sexe, je le tiens bien en main et j’en profite pour promener son gland sur mes levres ouvertes, que c’est bon. Puis, j'avance un peu mon bassin pour lui faire sentir que je suis prête. il commence aussitot à pousser et à me pénétrer. C’est une pénétration puissante, lente, je sens mes chairs qui s’écartent, j’aime cette possession de mon corps par mon homme. J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi. Il va et vient en moi, je sens son bassin venir au devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. Je suis trempée, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Je sens son gland buter contre mon utérus tellement il me pénètre loin et pourtant j’ai envie de lui donner encore plus, je relève les jambes et je les noues derrière ses reins. Mon bassin vient à sa rencontre chaque fois qu’il écartèle mon sexe, je sens ses testicules qui frappent mon entre jambes. Que c’est bon, mais que c’est bon…
Nos corps en sueur qui s’embrassent, qui s’embrasent qui partent ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sens le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sens cette vague, cette déferlante qui va me déborder. Lui aussi a senti que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi,
je me sens complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possède. Son rythme se fait plus rapide, il m’entraîne dans un plaisir indescriptible. Je crie mon plaisir, je le griffe dans le dos, ca y est, il jouit, je le sens qui éjacule, qui inonde mon vagin, nous ne faisons plus qu’un dans la jouissance. Petit à petit, nous reprenons notre souffle, toujours enlacés, grisés.
Puis, nos corps se séparent à regret. Je viens me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous trouvons le sommeil.
caresses (E)
Je sens sa main qui vient se poser sur mon ventre. Je ne bouge pas, la chaleur de sa main irradie sur mon nombril. Je le laisse faire, sa main remonte vers ma poitrine, s'immobilise un instant. Je ne dis rien, je le laisse venir. Et puis, i ...

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un air subtilement parfumé


Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. puis le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents.
Le parfum est discret, entêtant. Des levres humides parcourent ma peau. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens une poitrine chaude et souple s'affaisser sur ma peau. Je caresse des cheveux, un visage, essayant de deviner des traits familiers Je saisis des chairs douces à pleines mains. La sensation est intense. La respiration s'accélere. je sens des lèvres chaudes s'ouvrir sur mon gland mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Cette femme me pousse à boutJe suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant.
Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
un air subtilement parfumé (E)
Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'&eac ...

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chaude et mouillée


Elle est chaude et mouillée. Terriblement excité, j'écarte son chemisier et son soutien-gorge pour dégager ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe
- Vite ! Met le moi bien profond !
Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
- Vite ! Maintenant !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle se retourne ... et me sourit
- Oh c'est bon ! ... Merci !
chaude et mouillée (E)
Elle est chaude et mouillée. Terriblement excité, j'écarte son chemisier et son soutien-gorge pour dégager ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantal ...

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Son corps se tend et vibre


Son corps se tend et vibre,
et tremble, et se vide, par saccades,
Il jaillit dans mon ventre qui l'avale, qui le boit…
Il s'immerge dans mon corps,
Il se noie en moi.
Son corps se tend et vibre (E)
Son corps se tend et vibre,
et tremble, et se vide, par saccades,
Il jaillit dans mon ventre qui l'avale, qui le boit…
Il s'immerge dans mon corps,
Il se noie en moi. ...

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(E)
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vos doigts complices


lorsque vos doigts complices de votre oeil capricieux
lors de nos prémices ravagent malicieux
la chair de mes cuisses. Un petit monticule précieux,
cependant pourrait répondre à votre durcissement.
Il gît là, bien caché, c’est bien mon clitoris
que vous gobez, gourmand sans mon assentiment !
vos doigts complices (E)
lorsque vos doigts complices de votre oeil capricieux
lors de nos prémices ravagent malicieux
la chair de mes cuisses. Un petit monticule précieux,
cependant pourrait répondre à votre durcissement. < ...

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douces lèvres (Luna M. Marie-Claire)


Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le vertige. Elsa doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, là, plaquée contre la paroi, elle sourit, et m’embrasse à nouveau, nos cuisses se frôlent, nos hanches...je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brûle.
D’instinct, ma main se glisse à l’intérieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute première fois. « Laisse-toi aller », me susurre Elsa à l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise.
Arrivées dans la chambre, nous nous mettons toutes deux sur le lit, Je prends goût à ces drôles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un désir que je n’imaginais pas, Nos lèvres ne s’effleurent plus, elles se dévorent. Nos corps ondulent, flottant sur la même vague. Tout ça me paraît si naturel, si évident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe,
j’adore la cambrure de ses reins.
J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien à voir pourtant avec le désir pour un homme. C’est à la fois plus épidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre appréhension. Il doit y avoir quelque chose de fœtal dans ce désir...
Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frôlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre à moi. J’en veux encore. Elsa a dû le sentir. Elle dégrafe ma jupe. Ses doigts remontent délicatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure à peine, je retiens mon souffle.
Quand je la sens, sûre d’elle, arrivée entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette créature délicate, qui me caresse et me fait cet effet-là... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste.

Pour le moment, je la laisse faire, entièrement offerte. Juste, je la déshabille. Très excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rôle. Déboutonner une robe, dégrafer un soutien-gorge... Ça doit être merveilleux d’être un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pénètrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. Décidément, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingénue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise.
Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaît mieux que moi-même, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. « Suçe-moi », m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si près le sexe d’une femme. Il est épilé et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lèvres et ma langue se glisse. Le goût est un peu salé, pas acide du tout. La sentir trempée sous mes doigts, frémir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet.

Nous faisons l’amour ainsi, l’une précédant l’autre puis la suivant, mêlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques
pour réussir à coller nos deux sexes frissonnants l’un à l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts à l’intérieur d’elle.
Et me murmure : « Encore ! » « Viens ! » « Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment où je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lèvres si précises, je... jouis, aussi fort, peut-être plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idée que c’est grâce à cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgré moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tête de nouveau vers son sexe, où je me perds délicieusement, en essayant d’être aussi délicate qu’elle, aussi attentive. « Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens à son tour, se contracter tout entière, et de sa main elle m’intime d’arrêter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle était emportée loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient à elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est étrange, une femme qui jouit... Nous nous affaissons toutes les deux, épuisées par ce corps à corps torride

Nos corps sont moites, nos têtes pendent dans le vide du lit défait. Ma douce Elsa propose un bain. Plongées dans la pénombre et la mousse délicatement parfumée, nous sommes allongées comme des amantes. C’est doux, intime. Naturel... , c’est l’histoire d’une nuit, A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. je suis vidée. Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une dernière fois,
et elle disparaît. Moi, je reste là, allongée seule sur le lit de la chambre d’hôtel, bouleversée.

Luna M. Marie-Claire
douces lèvres (Luna M. Marie-Claire) (E)
Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... ...

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glissement onctueux


Coincé au sol entre deux table, je suis à sa merci. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, ses seins ballottent au-dessus de moi, me redonnent vigueur ! je bande comme un cheval au fond de son ventre, elle soulève son bassin puis se laisse redescendre pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée, elle remue sur moi pour bien me sentir en elle Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! je sens un flot de sperme gicler en elles par saccades et un immense sentiment de bien être m'envahit !
glissement onctueux (E)
Coincé au sol entre deux table, je suis à sa merci. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, ses seins ballottent au-dessus de moi, me redonnent vigueur ! je bande comme un cheval au fond de son ventre, elle soul&egr ...

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frottements, ondulations


Elle s'excite, s'agite, s'empale sur moi, fait grossir mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Une penetration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles, j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament...

frottements, ondulations (E)
Elle s'excite, s'agite, s'empale sur moi, fait grossir mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Une penetration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'a ...

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dans la remise


Coinces dans la remise, à l'abri des regards indiscrets, nous en profitons amplement pour nous tripoter ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien. Son coeur bat la chamade, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa jupe étroite jusqu'à sa taille.
Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Les lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe
- Vite ! Met le moi bien profond !
Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement.
- Vite ! Maintenant !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle se retourne ... et me sourit
- Oh c'est bon ! ... Merci !
dans la remise (E)
Coinces dans la remise, à l'abri des regards indiscrets, nous en profitons amplement pour nous tripoter ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien. Son coeur bat la chamade, et tandis que je m'appuie encore d ...

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(E)
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rouge de désir


Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir. Mon cœur failli à nouveau s'arrêter, imaginant cette bouche pulpeuse engoufrer mon sexe. Sa langue brillante de salive, s'enveloppa sur mon sexe. Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale, j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir. Tout tournait autour de moi, je retenais un cri rauque qui voulait sortir de ma gorge, et me décidais à regarder le spectacle: sa main droite fermement scotchée à la base de mon membre, sa deuxième main devant sa bouche, suivant le rythme effréné de ses succions jouissives. Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon membre. Ses yeux félins dévorant les miens, fut ma dernière vision ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme. Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive, et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
rouge de désir (E)
Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir. Mon cœur failli à nouveau s'arrêter, imaginant cette bouche pulpeuse engoufrer mon sexe. Sa langue brillante de salive ...

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la tante et la niece


Chloé était dans sa chambre et se masturbait sans vergogne. Ses doigts passant lentement entre ses grandes et petites lèvres, descendaient vers son vagin pour s'y introduire et collecter un peu de son abondante mouille et la ramener vers le haut appuyant très fort sur tout le parcours de sa fente pour finir sur son bouton qui pointait en attendant la caresse ultime et la délivrer enfin de la trop forte tension qui s'était accumulée depuis le début. Son corps s'arquebouta ne laissant plus que la tête et les talons sur le lit puis retomba lourdement sur le lit en faisant grincer les ressorts du matelas. Chloé ne savait pas que derrière la porte de sa chambre se tenait sa tante qui savait pertinemment que sa nièce s'adonnait à la masturbation.
- Ca va ma chérie lui dit-elle?
- Oui ma tante répondit Chloé le souffle court et les joues légèrement rouges.
A partir de ce jour sa tante prit l'habitude quelques soirs et quelques matins, de coller son oreille à la porte de la chambre de sa nièce. Puis, nue devant sa glace, elle contemplait son corps qui avait pris quelques kilos mais qui, dans l'ensemble restait appétissant. Des seins lourds légèrement tombants, Elle savait qu'elle allait s'allonger sur le lit, jambes ouvertes et que ses mains, ses doigts allaient retrouver le chemin qu'elle avait emprunté si souvent dans ses jeunes années. Elle avait, grâce à Chloé, retrouvé son identité de femme.

Chloé qui avait oublié un de ses livres, rentra de manière inopinée et passa en coup de vent devant la porte de la chambre, ne laissant pas à sa tante le temps de reprendre une tenue décente. Elle stoppa sa course et revint sur ses pas. Sa tante dans sa précipitation n'avait pas réussi à remettre son peignoir sous lequel elle était nue. elle ne put s'empêcher de regarder sa nièce dont les jambes s'étaient ouvertes en grand, exposant à sa tante sa chatte à peine poilue et qui plongeait ses doigts dans sa fente en faisant entendre les clapotis de sa mouille. Sa jouissance vint très vite avec une rare violence comme un volcan qui crachait son feu après avoir été trop longtemps contenu. Ce cri résonna dans la tête de la tante qui, dans un élan sensuel, se précipita vers sa nièce et la serra très fort dans ses bras. Elle sentit le corps de sa nièce, d'abord tendu, s'apaiser lentement, et affectueusement elle l'embrassa non pas sur le front ou les joues mais sur la bouche. Son baiser se voulait chaste mais Chloé l'avait saisi derrière le cou en appuyant plus fortement ses lèvres, allant même jusqu'à les entrouvrir et glisser sa langue vers les lèvres de sa tante qui, inconsciemment, fit la même chose et le baiser devint un véritable baiser passionné.
Chloé dut se rendre compte que sa tante était dans un état second et en profita pour lui saisir la main et la diriger vers son bas-ventre. La tante de Chloé n'opposa aucune résistance et, comme si cela était parfaitement normal, elle caressa sa nièce. Elle trouva rapidement les zones sensibles ainsi que le bon rythme comme elle l'aurait fait sur elle-même. Elle voyait le bassin de Chloé venir à la rencontre de ses doigts de plus en plus fort, elle sentit que c'était le moment d'en finir et son doigt se dirigea vers le clitoris qu'elle avait volontairement ignoré jusque là. Chloé se mit à gémir plus fort en criant:
- Oh Oui ma Tante, c'est bon, n'arrêtez pas.
Le corps de la nièce se raidit, libérant un flot de mouille.
- Si vous saviez ma Tante depuis quand j'attendais ce moment.
Chloé posa sa main sur les genoux de sa tante et remonta lentement le long de la cuisse.
- Vous voulez bien ma Tante, dis, vous voulez bien?
Pour toutes réponses la mère écarta les jambes.
- Oui ma petite, oui! Nous allons être heureuses toutes les deux.
la tante et la niece (E)
Chloé était dans sa chambre et se masturbait sans vergogne. Ses doigts passant lentement entre ses grandes et petites lèvres, descendaient vers son vagin pour s'y introduire et collecter un peu de son abondante mouille ...

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tendres poitrines


Sa poitrine imposante arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, elle poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire. Elle était magnifique. Elle réajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit contre moi, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil. Plantée à côté de moi, un sourire carnassier sur les lèvres, elle s'installa à califourchon sur moi, prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Le doux clapotis allié à la vision de ses seins ballotant contre ma poitrine et à la sensation de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation. Elle eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins.
Elle défit son chignon et laissa ses cheveux descendre en cascade sur ses reins, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
tendres poitrines (E)
Sa poitrine imposante arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, elle poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sent ...

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Basic Instinct-085


Michael Douglas and Sharon Stone kissing in scene from the film 'Basic Instinct', 1992. (Photo by TriStar/Getty Images)
Basic Instinct-085 (E)
Michael Douglas and Sharon Stone kissing in scene from the film 'Basic Instinct', 1992. (Photo by TriStar/Getty Images) ...

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