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jeune allemande


Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un monastere. J'avais la quarantaine, je travaillais dans le quartier du Montparnasse. Elle faisait la queue pour monter dans la tour. Je me suis retrouvé contre elle dans la file. Puis nous sommes montés tous les deux dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excité, je lui ai proposé de la ramener en taxi. Elle habitait dans le 16ème. Nous étions à peine installés sur la banquette arriere que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêléesJe bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma tige. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses tétons roses. La fille, peu farouche, se laissait tripoter sous les regards ébahis des automobilistes qui passaient de chaque côté.
Nous avons grimpé quatre à quatre les escaliers de cette immeuble ancien. Sabine m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser avec passion et ... pour me calmer. J'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit Elle est montée sur moi après avoir simplement retiré son jean et sa veste.
Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en ai profité pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait la chamade… Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés.
Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre.Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…

Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune suissesse avait des formes à faire bander tout un monastere.
J'avais la quarantaine, Je me suis retrouvé contre elle dans l'ascenseur, elle me collait litteralement.
Elle était grande, elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever.
Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi.
Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains.
Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer.
je n'avais qu'une hâte, celle de planter mon sexe dans son ventre.
elle était si mouillée que je sentais sa culotte trempée collée contre sa peau.
Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge : J'ai enlevé son soutien-gorge
et j'ai dégagé sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours.
Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre.
Tout en se frottant à moi, elle s'attaqua à ma ceinture et dégrafa mon pantalon.
En même temps elle accélérait sans cesse le rythme,
Elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps,
j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter…
Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps…
Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle
elle allait et venait lentement le long de ma tige…
Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant…
Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion.
Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche.
Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles.
Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus,
Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment,
ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme
elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme
Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…
jeune allemande (E)
Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un monastere. J'avais la quarantaine, je travaillais dans le quartier du Montparnasse. Elle faisait la queue pour monter dans la tour. Je me suis ...

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mon modèle


Comme je lui ai demandée, elle s'est installée là, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis le creux de ses reins avant de redescendre le long de ses jambes finement galbées. Je passai un doigt d’ébène dans ses longs cheveux ondulés, avant de me noyer dans le bleu profond de son regard tourmenté. Je frôlai ses joues, comme essuyant une larme imaginaire, puis déposai sur ses lèvres un rouge vermeil qu’elle me renverrait en baiser. Ma main revela ensuite les contours gracieux de ses seins, ornant de rose et de brun les dunes satinées de sa poitrine tendue puis j'effleurais les plis discrets d’un souffle de hâle tout en voilant de gris le nid discret au creux de ses cuisses, m’imaginant les entrouvrir avant de m’y glisser et d’y mourir.

Elle me regarda d’un sourire malicieux qui me mit bien plus mal à l’aise qu’une quelconque réprimande. Elle reprit ensuite la pose dans un immobilisme statuesque. Je terminai alors consciencieusement d’orner ses longues jambes de mille reflets roses puis achevai mon travail par les nombreux détours de ses pieds fragiles.

Elle était toujours nue, allongée devant moi, mais je n’osais même plus la regarder. Pourtant, lorsque je relevai enfin les yeux, elle souriait. Puis, à ma grande surprise, elle approcha ses lèvres des miennes et y glissa un furtif baiser avant de me chuchoter dans le creux de l’oreille :
- vous devriez apprendre à maîtriser vos émotions !
Son sourire s’agrandit encore un peu plus. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras. De serrer son corps nu contre le mien
et de l’embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme. Elle s’aperçut de mon trouble, me fit un leger baiser sur la joue, un petit signe de la main, puis elle s’en alla.

Elle revint le jeudi suivant. Sans détacher son regard du mien, Elle laissa glisser sa robe sur le sol, lentement, pleinement consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Elle alla ensuite s’étendre sur le sofa et prit la pause. je me sentais encore plus nu qu’elle. Elle resta immobile, en attente;

Retenant le frisson qui menaçait mon corps, contrôlant la faiblesse qui s’emparait de mes jambes, j’écartai le canevas. Tout en me dirigeant vers elle, je guettai ses réactions, craignant un recul; elle n’en fit rien. Tendant ma main vers elle, j’effleurai son cou; ce qui lui fit à nouveau fermer les yeux. Doucement, j’attirai son corps contre le mien, sa chaleur affectant mes sens de plus en plus . Je decidai de la peindre en utilisant son corps comme toile, mes mains et ma bouche pour pinceaux. De ses mains douces, elle me devetit dans un geste sensuel rempli d’anticipation et de hâte. La tête me tournait légèrement, et je ne résistais pas aux impulsions qui me traversaient….

je l’entraînai doucement vers la moquette douce. Elle était maintenant allongée, en attente, un fruit prêt à être savouré. Je la regardais droit dans les yeux, toujours craintif de l’entendre me dire non …. mais elle était autant sous l’emprise du moment que moi. Je l’embrassai longuement, langoureusement, ma langue sondant la sienne, tout d’abord doucement puis dans un crescendo d’intensité enivrant. Je laissai ensuite mes lèvres suivre les contours de son cou; Sa peau était plus douce que la soie, et sa chaleur me la rendait que plus excitante. je continuais l’exploration de son corps voluptueux, parcourant ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur. ce fût ma main qui se mît à explorer les parois de son sexe, mes doigts glissant à répétitions sur ses levres humides. Chaque soubresaut de son corps sous mes caresses devenait un encouragement à aller encore un peu plus loin. Je jouais doucement , de mes doigts, de son bouton de plaisir gonflé à souhait… Je me délectais de la douce odeur de son sexe, de sa moîteur.
Une lueur de malice dans les yeux, elle reçu mon baiser. Féline, sensuelle, elle se replia sur elle même, en parcourant mon corps avec sa langue et ses mains. Mes sens envahis de toute part ne pouvaient plus que succomber. Puis elle s’arrêta, mon corps allongé sur le sien, elle me fit voir le plus beau des regards; plein d’attente, de désir ... je me déplaçai doucement vers ses jambes, les embrassant doucement, presqu’en frôlement, remontant ses cuisses. Le bruit de plus en plus saccadé de sa respiration, les tortillements de plaisir de son corps, ses gémissements s’intensifiaient. Je glissai ma langue à nouveau sur ses seins, suçant doucement ses mamelons durs et droits, puis les caressant de mes mains….. Déposant mes lèvres contre les siennes, ma langue contre la sienne, je sû qu’il était temps….

Mon sexe bandé chercha doucement et naturellement la voie de ses lèvres intimes … les effleura ... puis les pénétra doucement, sous un gémissement approbateur. Lentement, mon sexe glissa en elle, et je goûtai pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude …. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fit réagir … Quand la jouissance vint, je crû un moment que je perdais la tête en même temps que ma sève chaude s’écoulait dans son jardin secret… nos corps étaient simultanéments pris de secousses convulsives.

Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, assouvis. Tout ce que je voulais, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. au bout d,un moment, elle se releva, me regardant du regard le plus beau, le plus clair qu’elle pouvait, et se rhabilla en silence, elle vint déposer un furtif baiser sur mes lèvres, puis, sans même se retourner, franchit la porte de mon studio….

Plus jamais je n’ai travaillé dans ce studio sans revoir son image, son corps nu et ses formes de panthère, mais plus jamais je n’ai fait l’amour avec un de mes modèles; ça n’aurait été que tenter de retrouver un paradis perdu, un rêve terminé…
mon modèle (E)
Comme je lui ai demandée, elle s'est installée là, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos. Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis ...

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cool paul


Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu du chemisier.
- Ils sont à ton goût ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine. Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement mon sexe.
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est développée !
J'ai le corps en feu.
- Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance
- Paul je sens ton regard et ça m’excite.
Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein. Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis me suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé !
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber sur le tissu tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, se colle à moi, par devant cette fois, elle m’enlace et m'embrasse. Je l’embrasse pour la première fois, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagie, voilà que je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette. Je suis litteralement aimanté vers elle. Je me colle à elle et elle m’embrasse. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Je caresse d’abord doucement ses gros seins puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Alors je descends jusqu’à son sexe. J’écarte les pans de son déshabillé et j’y infiltre ma langue à la recherche du clitoris. Je le titille de plus en plus vite. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son sexe. Je la suce avidement. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle se déshabille devant moi. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules.
Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi
cool paul (E)
Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu du chemisier.
- Ils sont à ton goût ?
J’ai l’impres ...

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un serpent sur la braise (Charles Baudelaire)


" Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science
De perdre au fond d'un lit l'antique conscience.
Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,
Et fais rire les vieux du rire des enfants.
Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles,
La lune, le soleil, le ciel et les étoiles !
Je suis, mon cher savant, si docte aux Voluptés,
Lorsque j'étouffe un homme en mes bras redoutés,
Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste,
Timide et libertine, et fragile et robuste,
Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi,
Les anges impuissants se damneraient pour moi ! "

Charles Baudelaire - Les métamorphoses du Vampire - les fleurs du mal
un serpent sur la braise (Charles Baudelaire) (E)
" Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science
De perdre au fond d'un lit l'antique conscience.
Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,
Et fais rire les vieux du rire des enfants.
Je rempla ...

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repas d'affaire


Le repas du patron et de ses associes se prolonge, les discussions s'animent. Je regarde discrètement la maitresse de maison qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté dévoilant des seins généreux qui remuent au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie. Elle me fixe depuis un moment, elle provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle se lève, vient vers moi et me glisse à l'oreille
- pendant qu'ils discutent, Venez, nous avons des choses à nous dire !
Je me lève en m'excusant, et je la suis dans le couloir. Nous arrivons dans une alcôve, elle se retourne brusquement, se presse contre moi, se frotte et m'embrasse sur la bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent.
- J'ai vu votre regard ! J'ai envie ! et je sais que vous aussi !
Elle ouvre une porte derrière moi, et me repousse à l'intérieur de la chambre. Je me retourne vers elle, je vois la robe noire tomber a terre. elle se penche en soutenant ses seins qui prennent un relief impressionnant.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille.
Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ...
Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !

repas d'affaire (E)
Le repas du patron et de ses associes se prolonge, les discussions s'animent. Je regarde discrètement la maitresse de maison qui semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. C'est une belle femme. un large décolleté d&ea ...

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le corps de Barbara


J’adore le corps de Barbara. Barbara est fine, Ses seins, son dos sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser. Barbara a un beau corps à la peau diaphane enveloppé dans une élégante robe de nuit de soie blanche.
- Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens, mon amour, viens. Tu m’aimes, je t’aime. Et nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête ! Ce soir, c’est notre soir.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Ce soir je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules, que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu me ramones, que tu me chéries, que tu me câline !
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Elle s'ouvre à moi. Elle gémit, elle m'accueille, son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Barbara, ma douce !
- Nicolas, mon amour !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes mouvements. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus, elle se redresse, se met à jouir. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un plein récital. Fin du concert.
Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos substances. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.
le corps de Barbara (E)
J’adore le corps de Barbara. Barbara est fine, Ses seins, son dos sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser. Barbara a un beau corps à la peau diaphane enveloppé dans une élégante rob ...

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intensément


Isolés au sol dans un coin sombre de cette salle, elle me fixe, intensément, et s'empale sur moi. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. C'est un glissement onctueux, une pénétration puissante, Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle suce mon penis, l’aspire, le tire, elle joue de son corps, elle râle de plaisirs, Elle se penche vers moi. Ses yeux brillent. Sa vulve masse délicieusement ma verge avec un léger mouvement de succion. contractions spasmodiques, fermes penetrations, Elle lape avec sa vulve ma queue dressée en elle. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Je m’enfonce loin en elle, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Le trait m’échappe .... et je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme.
intensément (E)
Isolés au sol dans un coin sombre de cette salle, elle me fixe, intensément, et s'empale sur moi. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. C' ...

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Quand au lit des amants, la nuit chaude et féline
Devient au son des cris, l’enfer du paradis,
Dessinant le plaisir aux mots de l’interdit,
L’esquisse de l’amour a le goût de praline.

Des jeux luxurieux, gourmandises charnelles
Pour des couples ayant faim de jardin des délices,
De caresses sans fin, de sucres et d’épices
Et de peau qui se suce au parfum de cannelle.

Sur des bonbons de miel aux pointes de réglisse,
Des guimauves trop roses devenues sucre d’orge,
En douceur de langue, se font petits caprices.

Et de son roudoudou en coquillage suave
S’écoule un sirop doux des lèvres à la gorge
Vous donnant des envies de saveur de goyave.

Moietmoi
(E)
Quand au lit des amants, la nuit chaude et féline
Devient au son des cris, l’enfer du paradis,
Dessinant le plaisir aux mots de l’interdit,
L’esquisse de l’amour a le goût de praline.

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secousses


je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante. Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent mon dos, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement.

Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque au fond de son ventre. Je pousse un cri rauque. Et je lache un premier jet qui vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants.
Elle me serre contre elle aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes. Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là
secousses (E)
je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétani ...

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orgasmes en continu


Angela est désormais sous mon emprise. Allongée sous mon corps, je la regarde fixement, elle esquisse une légère grimace. Puis je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement.
Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque alors au fond de son ventre Je pousse un cri rauque. Et mon premier jet vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants. Elle pousse son bassin contre moi aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs ce qui déclenche de nouveau chez elle l'orgasme. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes
Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle,
liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là
orgasmes en continu (E)
Angela est désormais sous mon emprise. Allongée sous mon corps, je la regarde fixement, elle esquisse une légère grimace. Puis je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme vi ...

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contractions, tremblements


Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Il halète bruyamment. la sueur lui perle sur le front. Son sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Ses cheveux noirs lui collent aux tempes. Il m'attrape les cheveux, me serre la tête. Il tremble, et se fige, tendu dans une puissante contraction, il se soulève, se cambre, comme tétanisé. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, un véritable feu d’artifice. Il se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletant. Tout son corps vibre. Il se bloque au fond de mon ventre, pousse un cri rauque. Et son premier jet vient frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants. Je pousse mon bassin contre lui aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans mes chairs ce qui déclenche de nouveau chez moi l'orgasme. Je me sens défaillir avec lui. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Il tire un nouveau chargement au fond de mon ventre, pendant de longues secondes ... puis il s'affaisse sur moi, complètement épuisé. Je m'abandonne aussi, me livre aux flots qui m'absorbent... Je m'abîme, sombre, m'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, sa queue glisse hors de moi, liberant un flot de semence. Je suis aussi épuisée que lui. Il me caresse, m'embrasse, jusqu'à sa libération finale qui le laisse affalé contre moi. Je le regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là
contractions, tremblements (E)
Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Il halète bruyamment. la sueur lui perle sur le front. Son sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Ses cheve ...

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vibrations et secousses


Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer
Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre
Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés,
reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre

Puis sur ma langue coule, échappée du foyer
Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule
Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer
Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule

Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir
Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme;
Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir
Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes

Djoe L'indien
vibrations et secousses (E)
Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer
Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre
Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés,
reflétant la bougie et ses chauds rayon ...

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Le plaisir est arrivé


Le plaisir est arrivé,
fort, puissant,
je n’ai pas pu me retenir de crier
et mon corps s’est mis à trembler.
Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi,
Tu t'es crispé,
Tu t'es arrêté de bouger ...
Et je t'ai senti te répandre ...
un envahissement chaud ...
de longs jets de sperme
contre mes muqueuses.
J’ai été prise de tremblements
de tout mon corps
et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue.
Puis Tu t'es collé à moi
et tu as commencé à m’embrasser
doucement dans le cou,
Le plaisir est arrivé (E)
Le plaisir est arrivé,
fort, puissant,
je n’ai pas pu me retenir de crier
et mon corps s’est mis à trembler.
Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi,
Tu t'es crispé, ...

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Tu t'es retiré doucement


Tu t'es retiré doucement,
tu m’a prise dans tes bras
et nous nous sommes embrassés
passionnément.
Je conserve dans ma chair
ton sexe emprisonné.
Des larmes de bonheur
inondent mes paupières.
Tu t'es retiré doucement (E)
Tu t'es retiré doucement,
tu m’a prise dans tes bras
et nous nous sommes embrassés
passionnément.
Je conserve dans ma chair
ton sexe emprisonné.
Des larmes de bonheur
inon ...

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Au son de nos soupirs


Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer
Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux
Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés,
reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre

Puis sur ma langue coule, échappée du foyer
Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule
Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer
Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule

Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir
Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme;
Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir
Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes

Djoe L'indien
Au son de nos soupirs (E)
Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer
Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux
Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés,
reflétant la bougie et ses chauds rayon ...

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Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !
Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !
Donne moi tout de toi et reste encore en moi
Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondé de toi.
Tu es venu sexe nu en moi, et c'était la première fois.
Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
nos sexes emboités, délicieusement,
Tu es mon bel amant !
(E)
Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !
Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon ...

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Lorsqu'il s'est retiré de moi


Lorsqu'il s'est retiré de moi, lentement, je me suis redressée et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Ma robe chiffonnée sur les draps et ma culotte trempée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et gonflée, entièrement imprégnée de sperme. Mes seins étaient couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait sur mes cuisses, sous moi, sur les draps. J'étais ouverte comme jamais. Il gisait sur le lit avec son sexe gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
Lorsqu'il s'est retiré de moi (E)
Lorsqu'il s'est retiré de moi, lentement, je me suis redressée et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. ...

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secretions amoureuses


Il reste planté en moi, immobile ... nos corps sont repus... Une lourdeur pesante envahit mes membres, Je sens un flot de sperme me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. Il semble vidé, épuisé, après tant de luxure, il se relâche totalement, avec des grondements d'ours blessés. Des voiles se referment, la tension se relâche, sa chaleur humide s’épanche de mon corps. Je conserve un moment dans ma chair son sexe emprisonné, puis je le laisse diminuer de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s’échappe alors totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de son jus qui coule délicieusement entre mes fesses. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe...
Lorsqu'il se retire de moi, lentement, je me redresse et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'ai encore jamais rien vu de pareil. Ma robe chiffonnée sur les draps et ma culotte trempée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve est rouge et gonflée, entièrement imprégnée de sperme. Mes seins sont couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coule sur mes cuisses, sous moi, sur les draps. Je suis ouverte comme jamais. Il git sur le lit avec son sexe gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
secretions amoureuses (E)
Il reste planté en moi, immobile ... nos corps sont repus... Une lourdeur pesante envahit mes membres, Je sens un flot de sperme me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. Il semble vidé, épuisé, apr ...

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Au rythme de son corps, je me plie sans effort.
Courtisane lascive, soumise et attentive
Sous ses furieux assauts chacun de mes orgasmes,
Crescendo de plaisirs, fait monter son désir
D'expirer en un dernier spasme.
Au plus profond de moi, son sexe devient roi,
Se durcit à l'extrême limite de mes parois,
Et lors de l'implosion,
Contractions, convulsions, s'emparent de moi,
Recevoir sa semence est ma plus douce jouissance.
(E)
Au rythme de son corps, je me plie sans effort.
Courtisane lascive, soumise et attentive
Sous ses furieux assauts chacun de mes orgasmes,
Crescendo de plaisirs, fait monter son désir
D'expirer en un dernier spasme ...

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épuisantes luxures (Bertino le Pascalois)


Ce matin, je suis las de tant d'épuisantes luxures
Le parfum émané de mes membres meurtris
Est plein de souvenirs des lentes meurtrissures
La débauche a creusé mes yeux bleus assombris.

Ces fièvres des nuits avidement rêvées
Rend plus pâles encor mes cheveux blond
Mes attitudes ont des langueurs énervées
Lorsque je vois mon amante aux cheveux longs.

Elle me ressaisit, m’étreint et m’embrasse
D'une ardeur si sauvage et si douce à la fois
Que mon corps brisé s'offre en demandant grâce
Dans un râle d'amour, de désirs et d'effrois.

Râles et sanglots monte avec monotonie
S'exaspérant finalement de tant de volupté
Hurler comme on crie aux moments d'agonie
Sans espoir d'attendrir l'immense surdité.

Bertino le Pascalois
épuisantes luxures (Bertino le Pascalois) (E)
Ce matin, je suis las de tant d'épuisantes luxures
Le parfum émané de mes membres meurtris
Est plein de souvenirs des lentes meurtrissures
La débauche a creusé mes yeux bleus assombris.
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Irene (Aragon)


Comme il se tend vers nos yeux,
comme il bombe, attirant et gonflé,
avec sa chevelure d’où sort,
pareil aux trois déesses nues
au-dessus des arbres du Mont Ida,
l’éclat incomparable
du ventre et des deux cuisses.
Touchez mais touchez donc
vous ne sauriez faire
un meilleur emploi de vos mains.
Touchez ce sourire voluptueux,
dessinez de vos doigts l’hiatus ravissant.
Là que vos deux paumes immobiles,
vos phalanges éprises
à cette courbe avancée
se joignent vers le point le plus dur,
le meilleur,
qui soulève l’ogive sainte à son sommet,
ô mon église.

Aragon (le con d'Irene)
Irene (Aragon) (E)
Comme il se tend vers nos yeux,
comme il bombe, attirant et gonflé,
avec sa chevelure d’où sort,
pareil aux trois déesses nues
au-dessus des arbres du Mont Ida,
l’éclat incomp ...

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je veux tout (Luciano - Bertino le Pascalois)


De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent
Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices
De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie le plaisir de nos corps
De mes seins lourds et chaleureux qui t'affolent, qui t’excitent
Je veux qu’ils soient l’oasis de nos orgasmes
Je veux me soumette à tes assauts
Que de mon soleil t’enflamme, qu'il te brûle, te vide de ton corps.
Que dans mon nid parfumé d’encens, je te mouille de mon nectar.
Que tu puisse, tel un Phoenix, renaître de tes cendres.

Fais moi retrouver ce frisson ultime De tes mains sur ma peau
Retrouver le bouillonnant tumulte De mes sens éveillés.
Quand tu te glisses en moi Je quitte un peu le monde
Et je t'entraine avec moi Pour éclairer notre nuit.

Luciano - Bertino le Pascalois
je veux tout (Luciano - Bertino le Pascalois) (E)
De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent
Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices
De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie le plaisir de n ...

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osmose


- Ne te lasse pas de me regarder,
- ne cesse pas de me désirer,
- Prends-moi comme on cueille un fruit,
- déguste-moi avec délice et gourmandise,
- Effeuille mon corps dans un soupir,
- caresse mes lèvres à ta guise.
- Je me donne à toi tel un cadeau sucré,
- Fais jaillir en moi le feu sacré,
- fais moi rougir de plaisir...
- Laisse toi aller à ton plaisir !
- C’est si bon de s’abandonner !

- Donne moi tes lèvres chaudes !
- Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir.
- Puis, ce deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ...
- Et maintenant, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers
- Chut ! ne dis plus rien.
- Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre.
- Je te sens trembler et je t'entends gémir.
- Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
- Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ?
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ?
- et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?

- Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse
- Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses
- Devore ma peau avec de tendres baisers
- Dis moi tout bas tes plus folles pensées
- Enmene moi au paradis.
- Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout !
- Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent.
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent
soient l’oasis de nos jouissances
- Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle.
- Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar,
- Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
- Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair,
- Enfonce toi loin en moi, pénètre moi, explore moi,
- Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession,
- Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi,
- Et toi, remplis moi de toi
- Offre moi ta liqueur douce amère,
- Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide,
- Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !
- Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !






Tu fais tomber ma robe qui glisse consentante,
offrant mon corps de femme aux braises alanguies,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes,
ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes,
d’un désir si intense appuyé, infini,
Amenant à toi, ma chair nue, découverte,
balayée par un vent brulant d’Abyssinie.
Éclairé des étoiles sublimant cet instant,
Mon corps se fait dunes, courbures incendiaires,
Vagues de sable chaud, oasis brulant.
Sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je glisse dans l’ultime,
tenaillée de cette faim d’appétence animale,
Buvant au creux du corps, des replis de l’intime,
L’oued libérateur, femelle de mon mâle.






Elle me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu’il était très gros pour mon âge (mes organes sexuels, en effet, ont toujours été très volumineux), elle l’embrassa et me dit : « Vous avez un si joli instrument et vous ne savez pas vous en servir ! Voyez comme il est dur et chaud, ça prouve qu’à l’insu de son maître, il désire déjà la femme ! Avec un pareil objet, vous pouvez rendre heureuse une femme. » Je faisais comme si je ne comprenais pas. Alors elle poursuivit l’explication, décrivit, en termes lascifs, la copulation, puis leva son jupon et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille
osmose (E)
- Ne te lasse pas de me regarder,
- ne cesse pas de me désirer,
- Prends-moi comme on cueille un fruit,
- déguste-moi avec délice et gourmandise,
- Effeuille mon corps dans un soupir,
- caresse m ...

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(E)
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doucement, interminablement


Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle.
Elle s'empale sur moi, doucement, interminablement, ralentit sa descente, la reprend.
Cette lente pénétration affole nos sens. La sensation est délicieuse, affolante.
Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait.
Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres.
Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, les yeux à moitié fermés,
Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs.
Une penetration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule.
Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps.
Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir me perdre au plus profond d'elle.
Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles, j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris,
nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes
et, nos corps agités par de violents frissons,
nous mourons foudroyés au sein du firmament...
doucement, interminablement (E)
Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle.
Elle s'empale sur moi, doucement, interminablement, ralentit sa descente, la reprend.
Cette lente pénétration affol ...

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tu sens


- Tu sens ? Je suis prête !
- Embrasse moi, partout, léche moi, pince moi,
- griffe moi, mord moi, mange moi.
- Je veux que tu me soulèves,
- que tu me retournes, me désarticules,
- que tu me démantibules, que tu m’écartèles,
- que tu me pilonnes, que tu me ramones,
-------------------------------
- En somme, tu veux que je te baise ?
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- Oui, voilà !
- Je ne savais pas comment te le dire, mon chou.
-------------------------------
- ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins,
- ils sont tellement gros, tellement lourds.
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- Mon Cheri ! Je vais jouir !
- Aah
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- Je viens aussi !
- Aaahh !
-------------------------------
- mon amour !
-------------------------------
- ma douce !
- Que c'était bon !
tu sens (E)
- Tu sens ? Je suis prête !
- Embrasse moi, partout, léche moi, pince moi,
- griffe moi, mord moi, mange moi.
- Je veux que tu me soulèves,
- que tu me retournes, me désarticules,
- que tu ...