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mercredi 17 décembre 2025 - 14h22
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Viens, je t'accueille


Viens, je t'accueille au gré de mon humeur
Ferme les yeux, suis-moi mon tendre coeur
Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur.
Donne moi ta main, aies confiance en la vie

Aujourd'hui, tu me suis au pays de mes envies.
Ecoute le bruit de cette onde qui murmure
Sens le vent léger sur notre peau si pure
Allez viens, tu aimeras, tu peux en être sûr

Glissons nous ensemble dans la joie de nos sens.
regarde, mes seins gonflés
ton désir se lève, je le vois se dresser
Avec tes mains, par les hanches, tu vas me prendre

L'eau fraîche est devenue notre lit d'amants
Tu es prêt, je le sais, nous jouirons ensemble
Viens maintenant, j'ai hâte d'être baisée
Viens, je t'accueille (E)
Viens, je t'accueille au gré de mon humeur
Ferme les yeux, suis-moi mon tendre coeur
Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur.
Donne moi ta main, aies confiance en la vie

Aujourd'hui, tu me suis au p ...

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j'aime tes caresses


J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse,
désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre
Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes doigts plus bas,
Ecarte vite ma robe de satin sur mes lèvres en offrande

Viens vite explorer mon jardin secret gorgé de parfums de désirs
J'aime tes mains glissant le long de mes reins, caressant doucement mes seins
J'aime tes fesses que j'effleure dans l’allégresse,
que je palpe dans une caresse dans nos jeux pleins de tendresse

J'aime tes lèvres qui me transmettent ta fièvre
J'aime tes tendres caresses sur ma douce lingerie !
J’aime le contact soyeux sur mon entre cuisse
J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente

Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.

Tu serres nos corps jusqu’à la douleur.
Tu dessines dans le vide des arabesques d’or.
D'une main habile, tu t'invites entre mes cuisses
Tu y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux

D'une main tu caresses, de l'autre, tu pénètres
cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Mes lèvres sont entrouvertes, ton doigt glisse en dedans,
pénétration brève Main tiède égarée, rondeurs serrées,

sillon secret, sensations affolantes fluidité de la soie,
pudeur de mes cuisses, moiteur sous le tissu, main tiède affolée,
sombre gorge, portes secrètes, faille offerte, chasteté de dentelle,
Et ce frémissement si doux qui se diffuse dans ma toison

Ma lingerie m'aide à m'offrir à toi et à colorer ton désir.
Tes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup,
ton doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse.
Envie de te perdre totalement entre mes lèvres.

Ta main part à ma découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme.
Mes cuisses, douces comme la soie, se desserrent
et tu sens maintenant la ligne de partage de ma chair.
Et c'est enfin la pleine rivière que tu remontes sans effort,

Un doigt, c'est trop peu. Deux, c'est mieux. Trois, je soupire. Quatre, j'expire
Tu visites mon ventre. Tu agaces mes muqueuses.
Digital en mon antre, comme un espace inconnu, une autre voie...
doigts brandis dans mon sexe en fusion, extrême onction Sueur, jouissance, passion !

Rougissante, je suis au supplice,
et je rêve qu'en glisse, tes doigts fins effleurent mon clitoris
Mes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous tes doigts
Enfonce tes doigts plus profondément, écoute mes gémissements réguliers.

Je suis proche de l’orgasme, tout mon corps se crispe sous l’effet du plaisir.
Mes muscles se détendent, se contractent, puis se détendent encore.
De légers spasmes font tressauter mon corps glissant de sueur et de musc
L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.

Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés entre nos bouches.
je ne connais pas ton nom...






D'une main vous caressez, de l'autre vous pénètre cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Entre mes cuisses tièdes, tu viens de glisser ta main,
et d'instinct je m'ouvre pour que ton doigt s'insinue dans ma fentine suintante;
Telle une chatte je ronronne, mais mes joues soudain virent a un beau rouge écarlate;
Pour bien garder prisonnière cette main au creux de mon écrin,
tu la serres comme dans un étau de tous tes muscles génitaux;
Puis tu laisses échapper un soupir avant de m'inonder de ton miel.

Mes doigts effleurent, s’attardent, puis s'introduisent. Deux caresses intimes. Tout ton corps se raidit,
ta tête brinquebale, tu chavires, une coulée de plaisir se répand dans ton corps.
tes muscles se contractent, ton cœur bat la chamade. Tu te mords les lèvres,
Tes cuisses se resserrent et emprisonnent la main. Tu me fixes du regard ... et tu me souris

Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifie.
Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues,
t'arrachant des gémissements à chaque pénétration.

La tendre humidité , l 'émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée,
Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense , Qui ouvre ses pétales mille fois désirés.
De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres Sublimes et si douces, imprégnées de ton miel,
Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, Puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel.

Un bouton qui cede, ta robe que j'écarte, et sous mes doigts, soudain, une douce toison, pour un autre plaisir, douce exploration
J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir,
Je te sens trembler et tu m'entends gémir. tes seins contre moi qui se frottent doucement...
et je sens le velours de ta langue qui glisse en même temps sur ma peau enfiévrée...
Audacieux, j'explore le plus petit recoin, jusqu'à venir me perdre au creux de ta féminité...
Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas.

Je ne sens ma main vraiment vivante que quand elle s’enfonce entre tes deux cuisses
pour y chercher ton sexe qui se laisse découvrir comme un beau fruit dans l’herbe

Ma main sculpte tes seins et l'autre te dessine.
Aux flots de tes cheveux, tombant sur tes épaules, Je glisse mon visage et ma joue te ravine,
Mes lèvres te goûtant, baisers que tu me voles.
Un peu comme un aveugle, en te prenant les mains, Je te découvre en braille et cherche tes chemins.
Comment me détacher, mes doigts que tu enserres, Le soc de ma charrue labourant en tes terres.
Tu ronronnes féline et, mi-femme, mi-chatte, Tu me dis "je suis sage" et puis, d'un coup de patte,
Tu m'affoles indécente et tu fais connaissance De mes sens en attente qui te sont renaissance.
Tu es là, assouvie de nos folles amours, Tu rêves alanguie au fil de ce parcours,
Mon livre entre tes doigts, repos de la guerrière, Pour que ton âme vaque en vague cavalière.

Ma main t'entre-baille, vivante rose de cyprès, et tout de suite travaille, d'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d'œuvre de la nature, vit d'oiseau, pine en miniature,
bouton subitement durci, qui, dans l'écartement des lèvres, tout baigné d'amoureuses fièvres,
dresse la tête et bande aussi.

Ma main tout doucement, se pose sur ton genou, Elle reste là, figée, n’ose pas d’avantage,
Se permettre autre chose serait un rêve fou, pourtant tant de trésors et tant d’autres rivages.
Et voilà que ma main se permet une avance, elle doit se sentir bien car elle s’arrête à nouveau,
L’endroit est doux et chaud et mérite une danse, une cuisse qui vibre, rien ne sera plus beau.
Mais pourtant sans attendre elle remonte un peu plus, sous la jupe à présent la voici qui découvre,
Comme un léger barrage en un bout de tissu, sans frapper à la porte la voilà qui l’entrouvre.
La main a dû trouver là sa destination, car elle ne bouge plus de cet endroit divin,
Et voilà qu’elle s’endort dans un léger frisson, rêvant à d’autres lieux, et à d’autres câlins.

ma main tremblante avance vers tes flancs. Contact. Douceur.
sur ton ventre, peau de pèche velouté fragilité Contact soyeux. Découverte.
Ma main glisse et s'égare, tes cuisses s'ouvrent. mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé.
Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, si délicatement offert.
Mes doigts gênés s'égarent et avancent en terre inconnu. Raidissement soudain de ton corps, tétanie passagère.
Regard vers tes yeux, mon amour ... C'est bon ? Encore ? Je continue ... ?
C'est toi qui le demande, tu diriges ma main, mes doigts,
les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas...
Tu me nommes les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief,
de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir.

Ouvre tes jambes, prends mes flancs.
Dans ces rondeurs blanches et lisses, ouvre tes genoux tremblants …
ouvre tes cuisses, ouvre tout ce qu’on peut ouvrir
Dans les chauds trésors de ton ventre, j’inonderai sans me tarir L’abîme où j’entre.

Source d'amour, fontaine de douceur, joli petit ruisseau apaisant toute ardeur, mal et langueur
ô lieux solacieux et gracieux séjour délicieux, voluptueux, plus que tout autre au monde
Petit sentier qui droit mène à la bonde d'excellent bien et souverain plaisir,
Heureux sera cil duquel le désir contentera qui prendre te pourra et qui de toi pleinement jouira

Je te salue, Ô merveillette fente, qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis, qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente l’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles: Tous vers galans devraient, pour t’honorer,
A beaux genoux te venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles!

Pierre de Ronsard (1570)
j'aime tes caresses (E)
J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse,
désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre
Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes ...

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Nos corps se desirent


Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair.
Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi,
Je veux te faire sentir la caresse de mon ventre.
Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir.

Cette nuit c'est toi qui m'aimes sans que rien ne te retienne
Pour une fois, prends les devants. Apprends moi tous tes secrets
Fais-moi l'amour sans retenue et sans gène
Deviens mon roi et je serais tout entiere à toi

Tu es là, Je te sens, sillonnes-moi de ton membre,
Prend le temps, arrêtes-toi, un moment
Et puis maintenant, reprends ta course folle
au plus profond de moi
Nos corps se desirent (E)
Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair.
Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi,
Je veux te faire sentir la caresse de mon ventre.
Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir.

Cette nuit ...

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Sens, touche, respire


Sens, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Donne moi des frissons, fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins.

Mes pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Je veux que tu viennes à moi doucement, tendrement.
Je veux que tu viennes en moi lentement, puissament.
Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps

Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe,
Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre

Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.
Prends moi ! Je t'en prie !

Sens, touche, respire (E)
Sens, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Donne moi des frissons, fais-moi rêv ...

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Je suis prête


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, caresse mon charnel corps.
Réveille chez moi des sentiments déments,
réveille mes sens endormis et morts. Fais moi croire que tu m'aimes vraiment.
Caresse-moi, de tes mains, de tes regards.
Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée.
Que mon souffle chante comme une sirène. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes.
Caresse-moi de grâce… Fais couler l'huile de l`amour dans mon corps.
Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir,
ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent
et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Pénètre moi ! Enfonce toi dans ma chair,
comble moi de toi, mon ventre est en feu.
Viens vite, je te reçois.





Sens mon corps ! Sens mes seins ! Caresse mon ventre ... là, plus bas .
Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure ... et ces frémissements...
Sens ma vulve mouillée ! Je suis prête !
Tu sens ? mes muscles intimes, mes légères contractions ?
Je sens tes testicules taquiner mes cuisses, c'est délicieux.
Ne bouge plus ! Reste en moi ... un instant !
Je veux te sentir encore grossir, durcir et t'allonger
Je te sens trembler ... Recommence ! Plus vite !
Enfonce-toi plus franchement, que le monde disparaisse,
Va et viens dans mes chairs, glisse bien sur mes muqueuses,
J’aime les soubresauts qui t’agitent. Ton sexe vibre et se tend.
Plus loin, plus loin, Viens, viens ... gonfle bien ta verge !
Je sens tes bourses pleines ! Tu es prêt ? Je suis prete !
Et maintenant, Lache toi ! Je veux ton jet de vie ! Maintenant !
Vas-y ! ... Ouuuii , Cà y est ! Oh c'est chaud ! Oui, c'est bon !
Je sens ta semence chaude ! C'est doux, tu me remplis ...
Oh oui ! .... Encore ! Remplis moi bien de toi ! J'aime
Ta verge gonflée de sève se vide dans mon ventre, j'aime
J'aime ton regard éperdu, tes râles de plaisir,
J'aime ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes.
J'aime ton sexe bouillant qui m'irradie de chaleur.
Je suis prête (E)
Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, caresse mon charnel corps.
Réveille che ...

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J'ai l'été dans les reins.
J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre
J'ai ouvert mes jambes à ta semence
et dans mon ventre bleu j'ai la mère des étoiles.
Laisse mes cheveux verser la pesante mollesse
De leurs ondes sur nos baisers silencieux.
Nous sommes las, autant l'un que l'autre.
Voluptueusement berçons notre faiblesse
Dans l'océan du soir morne et délicieux.
Lente extase, houleux sommeil exempt de songe,
Le flux funèbre roule et déroule et prolonge
Tes cheveux où mon front se pâme enseveli...
Ô calme soir, qui hais la vie et lui résistes,
Quel long fleuve de paix léthargique et d'oubli
Coule dans les cheveux profonds des brunes tristes.
(E)
J'ai l'été dans les reins.
J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre
J'ai ouvert mes jambes à ta semence
et dans mon ventre bleu j'ai la mère des étoiles.
Laisse mes che ...

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le gout de ton corps (2a)


Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu m'investis, brutalement, sans concession, je vais jouir !
Accélère ! ... Plus vite ! ... Je suis prête ! Maintenant !
Plus loin ! ... Plus fort ! ... Délivre moi vite ta sève !
Mon corps a faim de toi ! Lâche toi ! Donne moi tout ! ... Maintenant !
Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude,
Tu exacerbes mon désir ! ... la jouissance monte en moi femme révélée.
Infuse moi ton venin de mâle ! et jouissons ensemble ! I
Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens ! OUI ! .... Encore ! .... C'est bon !
Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes i
Oh oui ! ... Comme c'est bon ! ... Continue ! Inonde moi de toi !
Encore ! ... Je suis remplie de toi !
Donne moi tout de toi et reste encore en moi
le gout de ton corps (2a) (E)
Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en m&e ...

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le gout de ton corps


Que c'est bon ! ... Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
Nos sexes emboités, délicieusement, Tu es mon bel amant !
Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
Garde moi dans tes bras encore quelques instants,
Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
le gout de ton corps (E)
Que c'est bon ! ... Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
Nos sexes emboités, délicieusement, Tu es mon bel amant !
Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
Ne t'inquiète pas de mes larm ...

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le gout de mon corps (3)


Tu te retires doucement de moi. Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu.
Ton sperme chaud coule entre mes cuisses. Ton foutre m'inonde et se répand sur nos draps.
j'en tremble encore de plaisir, c'est si bon, tu ne trouves pas ?

je reste là, épuisée par notre corps à corps torride.
Un peu de sueur a collé mes cheveux sur notre silence.
Je suis ouverte comme jamais, obscène presque,
Regarde moi dans les yeux, approche-toi à nouveau,
Redonne moi ton beau sexe, j'aime sa douce chaleur
Remets le dans le mien, pousse-le, un peu, ressors-le,
Tu sens ? c'est de nouveau le paradis.
Enfonce-toi doucement, écarte mes chairs rosées,
Tu t'allonges ... et grossit de nouveau dans mon ventre !
Je frémis quand tu arrives au fond, fais durer le plaisir,
Et maintenant, accélère, ... plus vite
je n'en peux plus ! Jouis avec moi !
Fuse dans mon ventre, vide-toi, n'en finis plus de te vider !
Laisse moi regarder tout ce que j'ai reçu de toi
Tu m'a inondée, comblée. J'ai dans mon corps cette sensation de puissance
Je sens ta semence qui coule et m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence
Je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Je suis enflammée jusqu'au cœur.
Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Tout pantelants encore de notre doux exploit
Je sens ton liquide chaud couler dans mon ventre.
Une paix profonde me gagne, toute de quiétude et de sérénité...
nos corps sont repus... Tu n'as jamais été aussi genereux et desirable.
Je conserve dans ma chair un souvenir de toi.
le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir
Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, toi mon bel amant !
Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
Je te garde en moi encore quelques instants,
Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
le gout de mon corps (3) (E)
Tu te retires doucement de moi. Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu.
Ton sperme chaud coule entre mes cuisses. Ton foutre m'inonde et se répand sur nos draps.
j'en tremble encore de plaisir, c'est si bon, tu ne ...

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confidences sur l'oreiller


J'aime ce glissement onctueux, j'aime cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défais, plonge, me retire. J'avale ton corps. Tu es ma flèche, fichée dans ma chair,
J'ai le corps frémissant. Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
Courtisane lascive, soumise et attentive, au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.
Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir,
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément.
Ton corps collé au mien. Tu me pénètres de nouveau, totalement.
Je te sens en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud.
Mes jambes écartées pour mieux te recevoir, mes jambes resserrées pour mieux te retenir.
La jouissance monte en moi femme révélée. Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis.
Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense.
Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance.
Naître à nous-mêmes en même temps. Enflammée jusqu'au cœur.
Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
confidences sur l'oreiller (E)
J'aime ce glissement onctueux, j'aime cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, ...

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