![]() | mail amoureuxMa chère Louise, Consacre moi ce moment ... range toi sur le coté et arrête ton moteur Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Je glisse en toi, je pénètre ta chair, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. J'ondule, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce ... loin, très loin. Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire. Tu avales mon corps. Je me penche vers toi, tu souris. Je vais et je viens, des vagues de plaisir, des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. Je m'enfouis en toi, je descends, et descends. Je saisis ta bouche chaude, j'y introduis ma langue, mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent. Nos vêtements se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Mon corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, ton corps est frémissant, tendu comme un arc. Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent. Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle sur nos peaux rougissantes, ton goût de femme, ton odeur, ta chaleur, ta bouche affamée qui cherche mes baisers. Les larmes salées que tu laisses s'écouler. Au rythme de mon corps, tu te plies sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu. Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, je te reprends. complètement, passionnément. Mon corps collé au tien, je te pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en toi, grossir, durcir et m'allonger, investir ton ventre chaud. Tes jambes écartées pour mieux me recevoir; tes jambes resserrées pour mieux me retenir la jouissance qui monte en toi femme révélée Je t'investis, brutalement, sans concession, je te finis. Tu jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et nos yeux sont heureux. Tu peux reprendre la route ! Je t'aime ! | mail amoureux (E) Ma chère Louise, Consacre moi ce moment ... range toi sur le coté et arrête ton moteur Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vad ... |
![]() | mail amoureuxMon amour, Je repense à nous cette nuit, Je revis chaque moment de cette apothéose ! Tu te blottis contre moi, je te serre dans mes bras, Tu me réchauffes de ton corps Et puis, comme moi, tu as envie de plus, Tu t'installes sur moi, ton sourire complice me fait fondre tu me caresses de tes seins lourds et beaux ils sont mous et tendres, je les masse avec douceur tes seins devant mes yeux, pendent comme des fruits murs j'effleure de mes lèvres tes mamelons pointus ton regard brille, ton visage s'éclaire tu te cambres, tes yeux s'illuminent tu me fais entrer dans la chaleur de ton nid d'amour Tu montes et tu descend, tu glisses sur mon mat tu vas tu viens avec joie et jouissance tu m'embrasses partout et me conduis au paradis je ne sais plus où je suis nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle la vague se retire lentement nous laissant épuisés nous restons ainsi en silence sans bouger unis l'un à l'autre pour nous redire dans les yeux je t'aime à la folie | mail amoureux (E) Mon amour, Je repense à nous cette nuit, Je revis chaque moment de cette apothéose ! Tu te blottis contre moi, je te serre dans mes bras, Tu me réchauffes de ton corps Et puis, comme moi, tu as en ... |
![]() | cet instant magiqueJe repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans ce grand canapé, et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. Et pendant que tu me câlinais très sensuellement, je t’ai senti relever ma douce lingerie et tout doucement t'enfoncer en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Tu es resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient, glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je te sentais grossir et t'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Tu faisais de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans tes mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, Toi, mon amant d'un soir, tu t'es mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encourageaient. Puis tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Tu continuas tes va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui te remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour te faire perdre complètement le contrôle de tes actes. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous tes caresses intimes, toi, mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a tes épaules, et passai mes jambes autour de tes hanches pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur tes fesses t'électrisait litteralement. Tu as alors commencé à accélérer, ressortant complètement ton énorme pénis gluant pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais ton sexe durcir encore, s'allonger, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour que tu puisses aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant de tes poussées fulgurantes et de ta fougue, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Tu m'as empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ta proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque tu as a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti ton sexe gonfler encore et puis ... le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi, tu t’es arrêté de bouger ... puis, tu as explosé en moi. J'ai senti le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant tes derniers coups de belier. Je suis revenu lentement à la réalité et j'ai glissé mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Tes dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et la nuque de mon délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de mon bel homme pour une dernière étreinte. Tu as été total, amant, secret, ardent et directif. Tu as été câlin, joueur, félin et attentif. Tu as donné et pris sans retenue. Tu usas, abusas de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je t'ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je t'ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Tu étais vigoureux, infatigable de ton corps. Tes premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je te sentais te crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. tu étais très habile. Je te reconnus comme un amant exemplaire, Tu me remercias de tes caresses appuyées, de tes enlacements enfiévrés, du plaisir que tu ressentais. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'ai été là au bon moment, où tu avais besoin de se sentir mâle. | cet instant magique (E) Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans ce grand canapé, et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. E ... |
![]() | apres (17)Je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui t'effleure, enveloppe doucement ton sexe, le caresse, puis le guide vers le mien. Il se glisse alors dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur, petit à petit, tu te fonds en moi, nos sexes à l'unisson, immobiles un moment, tes yeux qui brillent de mille feux, je t'offre mes douces contractions. Puis, le rythme qui s'accélère, Au rythme de ton corps, je me plie sans effort, soumise et attentive Sous tes furieux assauts chacun de mes orgasmes, font monter mon désir d'expirer en un dernier spasme. mon ventre qui t'enserre, ton souffle qui se creuse, tout mon corps qui se cambre, et mes seins qui se dressent, un long râle de plaisir qui marque ta jouissance, nos lèvres qui se rejoignent, nos langues qui se confondent dans un dialogue sans bruit, mon sexe qui aspire le tien, la houle qui me soulève, tu te laisses emporter... tout ton corps se contracte, la vague m'étreint, Au plus profond de moi, ton sexe devient roi, se durcit à l'extrême limite de mes parois, tu exploses, tu jouis, contractions, convulsions, s'emparent de moi, un geyser jaillit, un autre lui succède, tu hurles ton plaisir, tu m'inondes de ta sève, nos corps soudés au rythme de nos spasmes... longuement, recevoir ta semence est ma plus douce jouissance. Un dernier baiser, un dernier sourire, un geste de la main... Nuit après nuit, je revis cette scène, seconde par seconde: je revis l'offrande que tu me fais de ton plaisir, la folle explosion que tu me procures... Je n'en peux plus. Reviens vite ! Tendrement, | apres (17) (E) Je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui t'effleure, enveloppe doucement ton sexe, le caresse, puis le guide vers le mien. Il se glisse alors dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur, petit ... |
![]() | Louis, vous êtes rempli de bienveillance à mon égard Votre réaction physique d'hier soir ? J'ai pris ca pour une flatterie de votre part ! Louis, vous avez su provoquer le désir d'une femme comme moi. J'étais un peu bouleversée par ce que vous m'avez demandé ! Mais j'ai voulu que nous vivions ensemble ce moment. Je vais vous faire un aveu ... depuis longtemps je pensais moi aussi à ce moment ! J'étais prête à me donner à vous ! Je crois que vous aussi ! Je vous ai accueillie, avec toute ma tendresse ! Vous êtes rentré doucement ... pour que nous puissions jouir ensemble... Vous avez été un ange, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. J'ai senti mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je tournais sans cesse la tête vers vous à la recherche de votre contact, l'envie que vous me touchiez, me frôliez, que tu m'enlaciez de vos douces caresses sans cesse répétées comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour vous dire que j'adorais ça, au plus profond de moi. J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, un vrai feu d'artifice. Je vous prenais dans mes bras et je vous embrassais, tendrement, passionement, Je vous ai aspiré goulûment en moi, vous m'avez rendue insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur vous, allant et venant, Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout de vous, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. je voulais aussi votre force animale quand vous vous empariez de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier je ne pouvais plus me contrôler Et puis j'ai explosé, ravagée par les spasmes en serie la seconde vague est arrivée, profonde, puissante, énorme, déclenchée par votre jouissance, vous, mon homme vigoureux J'avais la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... Vous m'avez fait du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! Je vous ai offert mon corps, Vous m'avez donné toute votre joie ! Je suis une femme comblée Je vous conserve dans ma chair. Restons l'un dans l'autre, délicieusement, Ne vous inquiètez pas de mes larmes. Je pleure de joie. vous êtes mon bel amant ! Vous avez été si tendre, si genereux et desirable. Vous m'avez comblée. Je vous garde en moi encore quelques instants, Ne bougez pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. Vous êtes mon tendre et généreux amant Quand vous reviendrez, je prendrai vos lèvres aussitot. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, Vous m'y ferez tomber, longue comme une morte, et, passionnément, vous chercherez mes seins. A travers mon bouquet de voile, votre bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, vous me désirerez, jusqu'aux pleurs ! De vos lèvres a mon sein, votre main fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour vous. Vous mon amant ami, je vous en prie, revenez moi vite ! | (E) Louis, vous êtes rempli de bienveillance à mon égard Votre réaction physique d'hier soir ? J'ai pris ca pour une flatterie de votre part ! Louis, vous avez su provoquer le désir d'une femme comme m ... |