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Tu as été très tendre


Mon amour,

Tu as été très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. A ton approche, je sentais mes nerfs frissoner tout autour de ma nuque. Je tournais la tête vers toi à la recherche de contact, l'envie que tu me touches, que tu me frôles, que tu m'enlaces de tes langoureuses caresses sans cesse répétées

Tu m'a caressée avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour te dire que j'adorais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, Je t'ai pris dans mes bras et je t'ai enbrassé, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice.

J'avais envie de t'aspirer lentement, goulûment en moi, tu me rendis insatiable et enflammée. je me suis enfilée sur toi, allant et venant, te retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance.

Je voulais aussi ta force animale quand tu t'empares de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de toi, mon homme, profonde, puissante, énorme...

Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
Longue, douce et sensuelle a été notre nuit, tu m'as touchée au coeur, toi mon tendre amant. Je t'attendais impatiemment depuis six longs mois et enfin, nous nous sommes retrouvés ensemble toi et moi. Tu m'as fait merveilleusement l'amour, comme si tu me connaissais depuis toujours. Je te serre fort dans mes bras ! Tu es maintenant à moi, tu es mon Roi.

Je t'aime.
Tu as été très tendre (E)
Mon amour,

Tu as été très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. A ton approche, je sentais mes nerfs frissoner tout autour de ma nuque. ...

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Lettre à l'amant d'un soir


Très Cher,

Je repense tous les soirs à ces instants magiques. Nous étions enlacés dans le grand canapé, vous souvenez-vous ?
Et pendant que vous m'embrassiez passionnément, j'ai senti votre vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. Vous aviez envie de moi, et j'avais envie de vous. Et pendant que vous me câliniez très sensuellement, je vous ai senti tout doucement venir en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Vous êtes resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je vous sentais grossir et vous allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Vous faisiez de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins doucement palpés et caressés de vos mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie à ce moment là,
Vous, mon amant d'un soir, vous êtes mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles vous encouragaient. Vos mouvements se firent plus amples, plus profonds. Votre sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continuait ses va et vients réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Vpus enfonciez votre sexe sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui vous remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour vous faire perdre complètement le contrôle de vos actes. Vos mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a vos épaules, et passai mes jambes autour de vos hanches pour que vous vous enfonciez encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur vos fesses vous électrisait.
Vous avez alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais votre sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour que vous puissiez aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant de vos poussées fulgurantes, mes deux jambes autour de votre taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni, vous m'avez empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de votre proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque vous avez encore ralenti le rytme de vos intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti votre sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Vous vous êtes alors enfonçé bien au fond de moi, vous vous êtes arrêté de bouger ... puis, vous vous êtes liberé en moi. J'ai senti le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de votre divine colonne de feu.
A bout de souffle, vous avez enfoui votre tête dans mon cou, m'assenant vos derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Vos dernières caresses intimes me comblaient de bonheur. Je caressais doucement vos cheveux et votre nuque, vous qui m'aviez tant fait jouir, m'embrassant tendrement dans le cou pour une dernière étreinte.

Vous avez été total, amant, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif.
Vous avez donné et pris sans retenue, usé et abusé de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Je vous ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je vous ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Vous étiez infatigable de votre corps.
Vos premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements,
mes cris rauques quand je vous sentais vous crisper et me saisir comme pour mieux me garder.

Nous fîmes l'amour longtemps. Vous étiez malhabile. Je vous fis passer pour un amant exemplaire,
Vous m'avez remercié de vos caresses appuyées, de vos enlacements enfiévrés, du plaisir que vous ressentiez.
Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique.
Vous n'y étiez pour rien. J'ai été là au bon moment, où vous aviez besoin de vous sentir mâle.
Lettre à l'amant d'un soir (E)
Très Cher,

Je repense tous les soirs à ces instants magiques. Nous étions enlacés dans le grand canapé, vous souvenez-vous ?
Et pendant que vous m'embrassiez passionnément, j'ai senti ...

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Lettre à ma meilleure amie


Chere Lena

Tu me demandais comment est Louis dans l'intimité avec moi. Je peux te dire que c'est un homme très tendre, un ange de douceur, je fond sous ses caresses. Je pense à ses mains glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sens mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me caresse alors avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemande sans cesse, mon corps tout entier est là pour lui dire que j'adore ça, que j'en ai envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction, je me sens amoureuse, folle.

Quand nous faisons l'amour, j'ai envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rend insatiable et enflammée. Je m'enfile sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitent d'envie. Le rythme insidieusement s'accélére par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Avec lui, j'ai tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. j'aime aussi sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mords les lèvres, je secoue la tête, j'ai envie de crier. Et puis j'explose, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague arrive, déclenchée par sa jouissance, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévorent encore et encore, qui me donnent la chair de poule et des frissons partout. C'est bon, merveilleux, pétillant...

Louis est mon bel et merveilleux homme, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donne et prend sans retenue. Il sait user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Il est encore bien vigoureux, infatigable de son corps. Ses jouissances sont rapides, sont violentes. J'aime. Les miennes sont plus sauvages. Je crois qu'il aime.
Nous faisons l'amour longtemps, Il me remercie de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressent. Je m'avoue perverse et imaginative alors que je ne me connais que passive et classique. Il n'y est pour rien. Je suis là au bon moment, où nous avons besoin l'un de l'autre.
Lettre à ma meilleure amie (E)
Chere Lena

Tu me demandais comment est Louis dans l'intimité avec moi. Je peux te dire que c'est un homme très tendre, un ange de douceur, je fond sous ses caresses. Je pense à ses mains glissant tout autour de ...

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Lettre à mon mari


Cher Louis,

Tu te souviens ? Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque tu es arrivé, j'ai bien vu dans ton regard que mon corps enveloppé dans ma belle chemise de nuit de soie blanche que tu aimes tant, ne te laissait pas indifférent. Je me suis assise à coté de toi, te diffusant sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum sur ton visage. Cette proximité me donnait soudain des envies de te sentir un peu plus contre moi. Je ne sais pas ce qui m'a pris alors, j'ai alors dégagé un sein que j'ai livré à tes lèvres chaudes. J'ai alors senti plus nettement ton désir s'affermir contre ma cuisse. J'ai alors ressenti que mes seins réagissaient à ce contact. Tu commencais à caresser doucement ma poitrine. Je sentais tes mains caresser doucement mon dos. J'étais sous l'emprise de ton souffle chaud. J'ai alors pris les devants et j'ai posé mes levres sur les tiennes, doucement d'abord, puis de manière plus appuyée. Tu me serrais contre toi. J'eu alors une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour mon beau corps de senior qui m'attirait terriblement. Ton sourire fut une injonction impérative. Je t'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et je me suis glissé auprès de toi. Je me suis blotti dans tes bras. Je t'ai murmuré à l'oreille "Louis ... ton corps est tout chaud !". Tu m'as souri de tes yeux legerement embués. Je t'ai caressé, le torse, le ventre, puis ... plus bas, j'ai pris doucement ta verge, déjà bien bandée, et je l'ai caressée en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. Mes douces caresses avient un effet rapide sur la vigueur de ta verge
Tu semblais épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma robe de chambre et je me suis allongée sur le dos, juste vêtue de ma légere chemise de nuit que tu aimes tant et que je relevais, les jambes légèrement écartées, je t'ai souri, et je me suis tournée vers toi: "Louis ! ... Je suis prête !" t'ai-je dis, "Je crois que moi aussi" as-tu ajouté ! . Tu t'es alors installé sur mon corps, et je t'ai aidé guidé vers moi. Je t'ai demandé d'entrer doucement ... pas trop vite, pour que nous puissions jouir ensemble...
Tu t'es alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à toi, telle un offrande. Tu semblais bien. Tu me pénétrais tendrement, avec délicatesse. Ton souffle était lent. Tu restas un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans tes cheveux, je te carressai le visage, "tu me fais du bien" t'ai-je dis. Je te faisais sentir mes douces caresses intimes sur ton sexe qui allait et venait en moi. Je t'offrais mon corps, et tu m'offrais le tien ! J'étais une femme comblée. Tu m'as regardé tendrement en me demandant de te donner mes lèvres. Je te les offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis tu as entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Ton sexe bien calé au fond de moi, tu me caressais la poitrine, titillant mes pointes dures, tu malaxais avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Tu t'occupais de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme de vieux amants.... Tu étais très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers toi à la recherche de contact, l'envie que tu me pénètres ... encore plus loin, que tu m'enlaces de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Tu me câlinais comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour te dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Tu savais me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Ton membre palpitait dans mon ventre lorsque je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inondais de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se furent plus amples, chacun de tes retraits s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Tu plongeais en moi et gonflait en meme temps. Ta verge occupait mon espace tout entier. Tu t'es mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encouragaient. J'ai senti que tu n'allais pas tenir très longtemps à ce rythme et que tu étais en train de venir. Je t'ai demandé de continuer tes doux va et viens, j'avais encore besoin de tes douces et profondes caresses !
Tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. tu continuais tes va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses.
Je n'en pouvais plus. J'étais prête. J'avais envie que tu viennes, vite ! Je m'agrippai a tes épaules, je passai ma jambe autour de ta hanche pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument que tu jouisses avec moi. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. "Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Viens vite ! '' tai-je supplié. Tu as alors saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, tu bandais alors tes muscles et de toute la puissance de tes reins, tu te ruas au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur toi, tu m'empoignais les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour toi, Je t'ai senti trembler et te figer au fond de moi. Puis tu t'arreta net et crispa ton regard. Ton premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que tu défaillais. Tes jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. Je sentais un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon bel homme qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. "Oh Marie !! ...". me lança-tu dans un râle profond juste avant de t'écrouler sur mon corps. Ton sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon bel homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais maintenant ce qui venait d'arriver. et regardais entre mes jambes ouvertes. Tu continuais à me limer doucement, ton sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de toi. Tu étais toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à tes lents et subtils va et viens. Tu m'as embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que ton membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à ta rencontre. Tu as libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, toi bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de ton sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et ta nuque, toi, mon délicieux amant t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement ta bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, ta queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Tu t'affaissas, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que toi. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
- Louis ! Tu es si tendre, si genereux et desirable ! ...Tu m'as comblée.
- Je conserve dans ma chair un petit peu de toi. Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, délicieusement,
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes. Je pleure de joie. Tu es mon bel et merveilleux amant !
- Louis, je te garde en moi encore quelques instants, Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant tes derniers coups de belier puis tu t'effondras avec des grondements d'ours blessés. Tu me laissais ouverte comme jamais, obscène presque, Je caressais amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule.

Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente a fait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Je t'ai pris la tête puis tes lèvres pour t'embrasser tendrement. Ton sperme chaud coulait entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
Puis tu t'es retiré de moi, lentement, ma vulve encore imprégnée de nos sécrétions amoureuses qui coulaient sur mes cuisses, sur les draps. Mes seins étaient couverts de marques de ses douces succions. J'étais encore toute ouverte. Tu gisais sur le lit avec ton sexe mouillé posé paisiblement à travers ton bas-ventre. Nous nous sommes serrés dans les bras l'un de l'autres baignant dans nos secretions amoureuses qui nous ont fait rire tous les deux

Ta tendre Marie
Lettre à mon mari (E)
Cher Louis,

Tu te souviens ? Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque tu es arrivé, j'ai bien vu dans ton regard que mon corps enveloppé dans ma belle chemise de nuit de ...

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Sachez me convoiter, me désirer


mon cher,

Sachez me convoiter, me désirer, me captiver. ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressé
Dévorez-moi des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Déshabillez-moi, oui mais, pas tout de suite, pas trop vite! Effeuillez moi, doucement, tendrement.
Choisissez bien tes mots, dirigez bien tes gestes, ni trop lents, ni trop lestes,

J'aime me sentir belle J'aime votre regard brulant et vos gestes de douceur
J'aime l’odeur de vos mains quand vous me caressez, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de votre corps quand vous vous approchez, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
Respirez, goûtez les aromes qui perlent sur ma peau,
Sentez mes sens en éveil, Sentez le vent léger. Approchez voss lèvres des miennes,
N'arrêtez surtout pas vos murmures, vos caresses.
Donnez moi vos lèvres chaudes, et serrez moi dans vos bras, serrons nous l'un vers l'autre,

Et maintenant, Effeuillez ma fine lingerie de soie, De mes entraves libèrez moi.
Dévoilez les courbes de ma chair, celle d’une blonde pour vous plaire,
Faites éclore mon buste, degagez mes appats. Patiemment, écartez le pétale de mes émois,
Sentez le bruissement de la soie qui glisse sur ma peau, desormais fievreuse
Ecoutez mon corps impatient qui frémit, Et ce désir qui monte quand je murmure votre nom
C'est un désir infini bien au delà des mots, Un désir insensé au-delà de la raison.
De mes lèvres douces, humides, à ma fleur intime, de la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
je sais pour vous le goût de mon corps, de tous ses arômes et plus encore
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau, promesse d'une longue et douce nuit

Venez, je vous accueille maintenant. Fermez les yeux, et suivez-moi, tendre coeur
Je vous nvite dans mon lit. Ayez confiance. J'ouvre pour vous mes draps, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisse, consentante, vous offrant mon corps impatient,
mes lèvres déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Je vous offre ma chair nue, prête a vous recevoir. Mon corps déjà se fait dunes, courbures incendiaires,
Devenue faible proie, je suis prête à glisser avec vous dans l’ultime,
Cette nuit est à vous, Venez vite dans mon lit, j'ai hâte d'être aimée

Vous me ferez l'amour, je me ferai tendresse Nous allons faire l'amour à en mourir d'ivresse
Il coule dans mes veines le flot de la folie. Emmènez moi au loin jusqu'à demain matin
Faites nous voyager tout au long de la nuit. Puissiez vous faire de mon corps votre unique chemin
Caressez de vos doigts ma peau lisse et douce. Posez vos mains sur mes seins. Palpez-les. Caressez-les.
Interpellez leurs rondeurs rebelles. Sentez ! Ils réagissent et pointent à votre tactile appel.
Soyez enrobant, modèlez, pétrissez mes pommes rondes, Regardez les, palpitants, arrogants,
Ils se dressent vers vous, Ils réclament vos lèvres, vos mains, Ils brandissant leur émoi,

A votre bouche je vous offre ma peau douce, avant les secousses.
Sachez mordre mes rondeurs, avant les chaleurs.
Humez le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes. Ecoutez bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
Donnez moi vos lèvres, enflammez ma bouche, enserrez mes reins de vos bras et de vos chaudes mains
Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps.
Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à vous, ne le voyez-vous pas ? J'ouvre mes ailes pour vous !
Vos yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu. A tvotre désir mon corps vous est offert.
Croquez le, maintenant !

Venez en moi doucement, tendrement. glissez-vous bien dans ma chair.
Je m'abandonne à vous, toute en ébullition. Je veux sentir votre souffle qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que votre chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Vous êtes là, Je vous sens ! ... prenez le temps ... arretez-vous ... Et puis, revenez ! ... bien au fond !
Sentez mes douces caresses intimes, mes tendres contractions. Investissez bien mon ventre chaud !

Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prenez le temps ... Profitez de mon corps, je profite du votre !
Reprenez votre course tendre au plus profond de moi, je veux vous sentir vibrer dans ma chair,
Vous êtes doux ! Je vous sens vivre dans mon corps, au plus profond de moi !
Je vous sens grandir et vous affermir, délicieuse intrusion
Et maintenant ... Accélèrez ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de vous !
Je veux que que vous me preniez tout, que le contrôle vous échappe, fondus l'un dans l'autre.
Je suis prête ! Donnez moi tout ! Je veux votre jet de vie, qu'il ensemence ma terre
Réchauffez vite mon corps de votre semence chaude, infusez moi le meilleur de vous !
Lâchez-vous ! Jouissez en moi ! Cèdez à la volupté, Ne vous retenez plus !
Offrez moi votre liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.

Ton corps vibre et se tend ! Oh oui ! ... Onction bénie ! ... Je te sens !
Tu enflammes nos corps, et nos sens. Tu m'abreuves de toi,
Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes !
Continue ! Encore ! ... bien au fond ! ... Je suis remplie de toi !
Reste bien au fond. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Garde moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge pas.
Regarde moi dans les yeux, Mon corps te reclame ! j'ai encore faim de toi.
Approche-toi à nouveau, Enfonce-toi doucement, Glisse bien au fond de moi.
Tu sens ? c'est de nouveau le paradis. Et maintenant, accélère, ...
plus vite ... Bien au fond ! Et fuse dans mon ventre ! Oui !
le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir.

laisse moi regarder tout ce que j'ai reçu de toi. Je sens ta semence qui coule et m'envahit,
Je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Je te garde en moi encore quelques instants. Ne t'inquiète pas de mes larmes.
Je pleure de joie. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Ne bouge pas. Regarde moi ! Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Tu m'a inondée, comblée.
Tu te retires doucement de moi. Je garde dans mon corps le souvenir de toi
Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité...
Sachez me convoiter, me désirer (E)
mon cher,

Sachez me convoiter, me désirer, me captiver. ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressé
Dévorez-moi des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sachez m'hypno ...

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mes sens en éveil


Sens mes sens en éveil, observe bien ma peau Regarde s'en échapper la sueur par ses pores
Qui semble, à s'y méprendre, ressembler aux joyaux Garnissant le coffre du plus beau des trésors
N'arrête surtout pas tes murmures, tes caresses Je ne résiste plus, intérieurement je fonds
Même de glace je ne pourrai que céder à l'ivresse Tu viens de faire de moi, le chaud des glaçons

Il coule dans mes veines le flot de la folie Emmène moi au loin jusqu'à demain matin
Fais nous voyager tout au long de la nuit Puisses tu faire de mon corps ton unique chemin
Avec tes doigts, souligne mes rondeurs. Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes doigts,
Noie moi de caresses, de tes joues, de tes lèvres. Caressons nous ces sublimes instants,

Pose tes mains sur mes seins. Palpe-les. Soupèse-les. Interpelle leurs rondeurs rebelles Sens !
Sois enrobant, modèle, pétris ces pommes rondes, Vois ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.
Tu fais naître chez moi un élan qui pointe vers tes yeux.Regarde les, palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi,
Ils brandissant leur émoi, ils bandent de désir. Ils réclament tes lèvres, tes mains,

Viens contre moi, que je sente ta peau contre la mienne Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche
Effeuille moi doucement. Fais éclore mon buste, degage mes appats. Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu.
A ta bouche je t'offre ma peau douce ... avant les secousses Sache mordre mes rondeurs ... avant les chaleurs
Hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes Ecoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous

Ton sexe vient à grandir aux portes que tu viens d'ouvrir...A ton désir mon corps t'est offert. Croque le, maintenant !
Je m'abandonne à toi, toute en ébullition. Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande.
Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ? J'ouvre mes ailes pour toi ! Viens en moi, je t'en prie. Viens doucement et glisse-toi bien dans ma chair

Tu es là, Je te sens, prend le temps, arrete-toi, et puis, reviens ! ... bien au fond !
Sens mes tendres caresses intimes. Investis bien mon ventre chaud ! Tu es doux ! Je te sens vivre ! au plus profond de moi !
Sens mes douces contractions qui caressent ta verge Tu vois ? Le désir monte en moi femme révélée
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ... Profite de mon corps, je profite du tien !

Reprend ta course tendre au plus profond de moi, je veux te sentir encore, durcir et grandir dans ma chair, C'est si bon !
Et maintenant ... Accélère ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de toi !
Je suis prête ! Donne moi tout ! Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude,
Oh oui ! ... Comme c'est bon ! ... Continue ! Inonde moi de toi ! Encore ! ... Oh que c'est bon ! ... Je suis remplie de toi !

Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, toi mon bel amant !
Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
Garde moi dans tes bras encore quelques instants,
Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
mes sens en éveil (E)
Sens mes sens en éveil, observe bien ma peau Regarde s'en échapper la sueur par ses pores
Qui semble, à s'y méprendre, ressembler aux joyaux Garnissant le coffre du plus beau des trésors
N'arr&ec ...

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Lettre à un futur amoureux


Viens, je t'accueille au gré de mon humeur. Ferme les yeux, tu vas me suivre mon tendre coeur. Je veux t'emmèner au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aies confiance en la vie. Aujourd'hui, tu vas me suivre au pays de mes envies. Ecoute le bruit de cette onde qui murmure. Sens le vent léger sur notre peau si pure. Tu vas venir, tu aimeras, tu peux en être sûr. Nous allons nous glisser ensemble dans la joie de nos sens. Sens, mes seins gonflés, ton désir se lève, je le vois se dresser. Avec tes mains, par les hanches, tu vas me prendre. L'eau fraîche va devenir notre lit d'amants. Tu es prêt, je le sais, nous jouirons ensemble. Tu vas venir maintenant, car j'ai hâte d'être aimée

Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons, fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, caresse mon charnel corps. Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts. Fais moi croire que tu m'aimes vraiment. Caresse-moi, de tes mains, de tes regards. Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée. Que mon souffle chante comme une sirène. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes, caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes. Caresse-moi de grâce… Fais couler l'huile de l`amour dans mon corps. Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins … Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Pénètre moi ! Enfonce toi dans ma chair, comble moi de toi, mon ventre est en feu. Viens vite, je te reçois.

J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse, désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre. Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes doigts plus bas. Ecarte vite ma robe de satin sur mes lèvres en offrande. Viens vite explorer mon jardin secret gorgé de parfums de désirs. J'aime tes mains glissant le long de mes reins, caressant doucement mes seins. J'aime tes fesses que j'effleure dans l’allégresse, que je palpe dans une caresse dans nos jeux pleins de tendresse. J'aime tes lèvres qui me transmettent ta fièvre.

Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades, Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel. Tu serres nos corps jusqu’à la douleur. Tu dessines dans le vide des arabesques d’or. D'une main habile, tu t'invites entre mes cuisses Tu y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main tu caresses, de l'autre, tu pénètres cet insondable gouffre, si avide de tendresse, Mes lèvres sont entrouvertes, ton doigt glisse en dedans, pénétration brève Main tiède égarée, rondeurs serrées, sillon secret, sensations affolantes fluidité de la soie, pudeur de mes cuisses, moiteur sous le tissu, main tiède affolée, sombre gorge, portes secrètes, faille offerte, chasteté de dentelle, Et ce frémissement si doux qui se diffuse dans ma toison

J'aime tes tendres caresses sur ma douce lingerie ! J’aime son contact soyeux sur mon entre cuisse. J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente. Il m'aide à m'offrir à toi et à colorer ton désir. Tes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup, ton doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse. Envie de te perdre totalement entre mes lèvres. Ta main part à ma découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme. Mes cuisses, douces comme la soie, se desserrent et tu sens maintenant la ligne de partage de ma chair. Et c'est enfin la pleine rivière que tu remontes sans effort, Un doigt, c'est trop peu. Deux, c'est mieux. Trois, je soupire. Quatre, j'expire Tu visites mon ventre. Tu agaces mes muqueuses. Digital en mon antre, comme un espace inconnu, une autre voie... doigts brandis dans mon sexe en fusion, extrême onction Sueur, jouissance, passion ! Rougissante, je suis au supplice, et je rêve qu'en glisse, tes doigts fins effleurent mon clitoris Mes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous tes doigts Enfonce tes doigts plus profondément, écoute mes gémissements réguliers. Je suis proche de l’orgasme, tout mon corps se crispe sous l’effet du plaisir. Mes muscles se détendent, se contractent, puis se détendent encore. De légers spasmes font tressauter mon corps glissant de sueur et de musc L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. étouffés entre nos bouches.
Sens, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Donne moi des frissons, fais-moi rêver jusqu’ au bas de mes reins. Mes pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

Lettre à un futur amoureux (E)
Viens, je t'accueille au gré de mon humeur. Ferme les yeux, tu vas me suivre mon tendre coeur. Je veux t'emmèner au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aies confiance en la vie. Aujourd'hui, tu vas me suivre au ...

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Lettre à une femme eloignée


Mon amour,

J'ai ton visage sous mes yeux, mais c'est ton corps tout entier qui peu à peu s'offre à moi,. Tu t'ouvres, comme une fleur au matin de sa premiere floraison. J'entre doucement en toi, ton ventre est doux et chaud. Ton souffle est lent, Tu es si douce ! Plus je te pénétre, plus il est long et profond. Je reste un moment en toi sans bouger, Tu as les yeux fermés, le corps offert, la bouche ouverte.
Doucement le rythme s'accelere, Tu es maintenant totalement offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus ton visage, ton expression, si intense, je sens le plaisir monter, l'envie de m'abandonner, mais il ne faut pas , pas maintenant, pas encore, je dois tenir, profiter encore un peu, quelques minutes .
Ton souffle devient plus court , plus saccadé, tu te mords les levres, tu recherches ma bouche, Tu serres mes doigts d'une main et agrippe mon epaule de l'autre, les traits de ton visage sont tirés, les yeux fermes, mes va-et-viens deviennent plus vigoureux, j'accélére le rythme, nos doigts s'entrelaçent, nos sexes sont unis dans un meme elan, un même desir, cette envie folle qui nous étreint, Tu redresses la tete, et dans un rale profond, ta bouche ouverte, tu mords dans la chair de mon épaule,
je n'en peux plus, tenir encore un peu, et puis non ! mon sexe vibre en toi, je sens tes contractions, je me libere enfin au plus profond de ta chair. Je te remplis de moi, je te donne ma joie !
Lettre à une femme eloignée (E)
Mon amour,

J'ai ton visage sous mes yeux, mais c'est ton corps tout entier qui peu à peu s'offre à moi,. Tu t'ouvres, comme une fleur au matin de sa premiere floraison. J'entre doucement en toi, ton ventre est doux e ...

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Lettre de ma secretaire


Mon cher Louis,

Je repense à cette soirée d'hier. Vous avez été merveilleux avec moi ! Votre gêne physique au bureau ? J'ai ben compris que c'était une flatterie de votre part ! Vous avez su declencher le désir d'une femme comme moi. J'étais, c'est vrai, un peu bouleversée par ce que vous m'avez demandé ! Vous avez voulu que nous vivions ensemble ce moment. Je vais vous faire un aveu ... depuis longtemps je pensais moi aussi à ce moment !

J'étais prête à me donner à vous ! Je crois que vous aussi ! Une fois isolés dans ma petite chambre, nos deux corps reunis, je vous ai accueillie, avec toute ma tendresse ! Vous avez été un ange, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. J'ai senti mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je tournais sans cesse la tête vers vous à la recherche de votre contact, l'envie que vous me touchiez, me frôliez, que tu m'enlaciez de vos douces caresses sans cesse répétées comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour vous dire que je voulais ça, au plus profond de moi. J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle, un vrai feu d'artifice.

Je vous ai pris dans mes bras et je vous ai embrassée, tendrement, passionement, J'étais impatiente de votre corps, de vous sentir dans ma chair Vous êtes rentré doucement ... pour que nous puissions jouir ensemble... Et je vous ai aspiré goulûment en moi, je me suis enfilée sur vous, Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. allant et venant, vous m'avez rendue insatiable et enflammée. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout de vous, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. je voulais aussi votre force animale quand vous vous empariez de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie de crier je ne pouvais plus me contrôler

Et puis j'ai explosé, ravagée par les spasmes en serie la seconde vague est arrivée, profonde, puissante, énorme, déclenchée par votre jouissance, vous, mon homme vigoureux. J'avais la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant... Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je vous ai senti gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration.
Puis, vous vous êtes immobilisé, votre verge s'est bloquée au fond de mes entrailles. Et vous êtes venu ! Vous avez jailli dans mon ventre ! .. J'étais remplie de votre joie liquide. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. J'étais comblée de vous

Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se firent plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompa progressivement... Des voiles se refermerent, Je vous conservais dans ma chair. Nous sommes restés un moment l'un dans l'autre, délicieusement, Je vous ai offert mon corps, Vous m'avez donné toute votre joie ! Vous vous êtes inquièté de mes larmes. Or je pleurais de joie. Vous avez été si tendre, si genereux et desirable. Vous m'avez comblée. Vous m'avez fait du bien, vous savez ! Il y a si longtemps ! Une bulle lumineuse nous coupait du monde. Vous êtes aujourd'hui devenu mon tendre et généreux amant

Quand vous reviendrez demain, je prendrai vos lèvres aussitot. Nous irons de nouveau, sans attendre, dans l'ombre et les coussins, Vous m'y ferez tomber, vous me deshabillerez, et, passionnément, vous chercherez mes seins. A travers mon bouquet de voile, votre bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, vous me désirerez ! De vos lèvres a mon sein, votre main fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour vous.
Vous mon amant ami, je attends, revenez moi vite !
Lettre de ma secretaire (E)
Mon cher Louis,

Je repense à cette soirée d'hier. Vous avez été merveilleux avec moi ! Votre gêne physique au bureau ? J'ai ben compris que c'était une flatterie de votre part ! Vous avez su ...

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Tu t'es enfoncé en moi


Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Puis ta verge s'est de nouveau glissée le long de mes muqueuses. Tu t'es enfonçé un peu plus, tu t'extrayais, puis revenais. Je t'inondai de ma douce chaleur liquide. J'ai fermé les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se sont fait plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Ta verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle a fini par occuper mon espace tout entier. Tu m'as demandée si j'étais bien. Je t'ai répondu que j'étais aux anges, berçée par tes douces caresses intimes. Tu t'es agrippé alors alors à mes épaules et repris tes longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître nos sensations. Tu me regardais. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, tu m'as pénetrée plus profondément, j'ai été prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me suis concentrée sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. Tu m'as demondée si je voulais maintenant. J'avais encore besoin de tes douces caresses intimes. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! t'ai-je dis
Tu as saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, tu poursuivais ta chevauchée. Je jouissais encore et tu continuais. Puis tu t'arrêtas net et crispa ton regard ..... Je sentis alors un flot de toi me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin tu t'es éffondré avec des grondements d'ours blessés. J'ai caressé amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Tu t'es enfoncé en moi (E)
Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Puis ta verge s'est de nouveau glissée le long de mes muqueuses. Tu t'es enfonçé un pe ...

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Tu t'es enfoncé en moi


Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Ta verge glissait dans mon ventre. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se sont fait plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Ta verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle finit par occuper mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me soufflas-tu à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Tu t'es agrippé alors alors à mes épaules et repris tes longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître nos sensations. Tu me regardais. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, tu m'as pénetrée plus profondément, j'ai été prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me suis concentraé sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais.
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore... Continue
La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! t'ai-je dis
Tu as saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, tu poursuivais ta chevauchée. Je jouissais encore et tu continuais. Puis tu t'arrêtas net et crispa ton regard ..... Je sentis alors un flot de toi me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin tu t'es éffondré avec des grondements d'ours blessés. J'ai caressé amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Tu t'es enfoncé en moi (E)
Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Ta verge glissait dans mon ventre. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inon ...

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Lettre à une femme entrevue (Ewan MacColl)


Chere Barbara,

La première fois que j'ai vu ton visage, j'ai pensé que le soleil se levait dans tes yeux et que la lune et les étoiles étaient des dons à l'obscurité et aux cieux vides
La première fois que j'ai embrassé tes lèvres, j'ai senti la terre tourner dans ma main comme le coeur tremblant d'un oiseau captif. C'était là à mon desir le plus cher
La première fois que je me suis étendu avec toi et senti ton battement de coeur près du mien, j'ai pensé que notre joie remplirait la terre et durerait jusqu'à la fin des temps






La première fois que j'ai vu ton visage
J'ai pensé que le soleil se levait dans tes yeux
Et que la lune et les étoiles étaient des dons
A l'obscurité et aux cieux vides

La première fois que j'ai embrassé tes lèvres
J'ai senti la terre tourner dans ma main
Comme le coeur tremblant d'un oiseau captif
C'était là à mon desir le plus cher

La première fois que je me suis étendu avec toi
Et senti ton battement de coeur près du mien
J'ai pensé que notre joie remplirait la terre
Et durerait jusqu'à la fin des temps



The first time ever I saw your face
I thought the sun rose in your eyes
And the moon and the stars were the gifts you gave
To the dark and the empty skies my love
To the dark and the empty skies
The first time ever I kissed your mouth
I felt the earth turn in my hand
Like the trembling heart of a captive bird
That was there at my command my love
That was there at my command
The first time ever I lay with you
And felt your heart beat close to mine
I thought our joy would fill the earth
And would last 'till the end of time my love
And would last 'till the end of time
Lettre à une femme entrevue (Ewan MacColl) (E)
Chere Barbara,

La première fois que j'ai vu ton visage, j'ai pensé que le soleil se levait dans tes yeux et que la lune et les étoiles étaient des dons à l'obscurité et aux cieux vides
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douces perspectives


Mon cher,

Mon corps pour vous est prêt à se faire soyeux, De votre sexe, faites moi douceur, Je voudrais le sentir caresser, glisser, se faire onctueux pour mieux remonter ma chair. je voudrais le sentir m'explorer, remonter, s'immiscer dans mes tendres muqueuses
m'explorer plus loin, se faufiler, me pénètrer. se perdre enfin au fin fond de mon ventre, où vous pourrez gouter mon doux parfum de femme.
Je vous sens si fort, si fougueux ... Oh oui ... je vous sens déjà ! Je me suis prête à me donner toute à vous, esperer l'orgasme, merveilleux, en partage total. Qu'il se fasse rivière, fleuve, océan de volupté. c'est si bon ! Vous me ferez tant de bien ! Je garderai dans ma chair un souvenir de vous !
Vous viendrez en moi comme un arbre vivant fleurissant dans ma chair, s'épanouissant en mes veines vous me donnerez votre sève qui coulera en moi en longs flots continus
Ces moments seront trop brefs pour mon corps inassouvi Une fois encore je demeurerai vacante, gardant entre mes cuisses votre doux secret Votre visage aux yeux clos me renverra l'image de ma joie
Je vous aime déjà, mon corps est chaud de vous, c'est par vous que je renaitrai au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre nom...


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons, fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps. Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts. Fais moi croire que tu m`aimes vraiment. Caresse-moi, de tes mains, de tes regards. Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée. Que mon souffle chante comme une sirène. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes, caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes. Caresse-moi de grâce… Fais couler l`huile de l`amour dans mon corps. Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois

Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant. Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux.

douces perspectives (E)
Mon cher,

Mon corps pour vous est prêt à se faire soyeux, De votre sexe, faites moi douceur, Je voudrais le sentir caresser, glisser, se faire onctueux pour mieux remonter ma chair. je voudrais le sentir m'explorer, re ...

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pas tout de suite, pas trop vite


mon chéri,

Tu t'étonnes de ma retenue l'autre soir. Ne sois pas étonné, j'aime les preludes.
J'aime être apprivoisée, convoitée, désirée, captivée. j'aime que l'on ne soit pas trop pressé
Que l'on me dévore des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
J'aime être hypnotisée, enveloppée, capturée, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
J'aime être deshabillée, oui mais, pas tout de suite, pas trop vite! être effeulliée, doucement, tendrement.
Que l'on choisisse bien les mots, les gestes, ni trop lents, ni trop lestes,

J'aime qu'un homme me trouve belle J'aime son regard brulant et ses gestes de douceur
J'aime l’odeur de ses mains quand elles me caressent, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de son corps quand il s' approche, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
J'aime quand il vient doucement, tendrement vers moi, sans me brusquer
J'aime quand il respire, goûte les aromes qui perlent sur ma peau,
Et qu'il sent mes sens en éveil,
quand il commence à éffeuiller ma fine lingerie de soie, qu'il me libere de mes entraves, une à une.
Quand il dévoile les courbes de ma chair, celle d’une blonde pour lui plaire,
Qu'il fait éclore mon buste, degage mes appats et patiemment, écarte le pétale de mes émois,
qu'il sente le bruissement de la soie qui glisse sur ma peau, desormais fievreuse
qu'il ecoute mon corps impatient qui frémit, Et ce désir qui monte quand je murmure son nom
C'est un désir infini bien au delà des mots, Un désir insensé au-delà de la raison.
De mes lèvres douces, humides, à ma fleur intime, de la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
je sais pour lui alors le goût de mon corps, de tous ses arômes et plus encore
Je veux alors ses mains sur moi, sa peau contre ma peau, promesse d'une longue et douce nuit

Viens, je t'accueille. Ferme les yeux, et suis-moi, mon tendre coeur
Je t'invite dans mon lit. Aies confiance. J'ouvre pour toi mes draps, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisse, consentante, t'offrant mon corps impatient,
mes lèvres déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Je t'offre ma chair nue, prête a te recevoir. Mon corps déjà se fait dunes, courbures incendiaires,
Devenue faible proie, je suis prête à glisser avec toi dans l’ultime,

Cette nuit est à toi, Viens vite dans mon lit, j'ai hâte d'être aimée
Tu vas me faire l'amour, je me ferai tendresse Nous allons faire l'amour à en mourir d'ivresse
Il coule dans mes veines le flot de la folie. Emmène moi au loin jusqu'à demain matin
Fais nous voyager tout au long de la nuit. Puisses tu faire de mon corps ton unique chemin
Caresse de tes doigts ma peau lisse et douce. Pose tes mains sur mes seins. Palpe-les. Caresse-les.
Interpelle leurs rondeurs rebelles. Sens ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.
Sois enrobant, modèle, pétris mes pommes rondes, Tu fais naître chez moi un élan qui pointe vers tes yeux.
Regarde les, palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi, Ils réclament tes lèvres, tes mains, Ils brandissant leur émoi,
A ta bouche je t'offre ma peau douce, avant les secousses. Sache mordre mes rondeurs, avant les chaleurs.
Hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes. Ecoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
Donne moi tes lèvres, enflamme ma bouche, enserre mes reins de tes bras et de tes chaudes mains
Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps.
Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ? J'ouvre mes ailes pour toi !
Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu. A ton désir mon corps t'est offert. Croque le, maintenant !

Viens en moi doucement, tendrement. glisse-toi bien dans ma chair.
Je m'abandonne à toi, toute en ébullition. Je veux sentir ton souffle qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Tu es là, Je te sens ! ... prend le temps ... arrete-toi ... Et puis, reviens ! ... bien au fond !
Sens mes douces caresses intimes, mes tendres contractions. Investis bien mon ventre chaud !
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ... Profite de mon corps, je profite du tien !
Reprend ta course tendre au plus profond de moi, je veux te sentir vibrer dans ma chair,
Tu es doux ! Je te sens vivre dans mon corps, au plus profond de moi !
Je te sens grandir et t'affermir, délicieuse intrusion
Et maintenant ... Accélère ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de toi !
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe, fondus l'un dans l'autre.
Je suis prête ! Donne moi tout ! Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre
Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude, infuse moi le meilleur de toi !
Lâche toi ! Jouis en moi ! Cède à la volupté, Ne te retiens plus !
Offre moi ta liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.

Ton corps vibre et se tend ! Oh oui ! ... Onction bénie ! ... Je te sens !
Tu enflammes nos corps, et nos sens. Tu m'abreuves de toi,
Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes !
Continue ! Encore ! ... bien au fond ! ... Je suis remplie de toi !
Reste bien au fond. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Garde moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge pas.
Regarde moi dans les yeux, Mon corps te reclame ! j'ai encore faim de toi.
Approche-toi à nouveau, Enfonce-toi doucement, Glisse bien au fond de moi.
Tu sens ? c'est de nouveau le paradis. Et maintenant, accélère, ...
plus vite ... Bien au fond ! Et fuse dans mon ventre ! Oui !
le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir.

laisse moi regarder tout ce que j'ai reçu de toi. Je sens ta semence qui coule et m'envahit,
Je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Je te garde en moi encore quelques instants. Ne t'inquiète pas de mes larmes.
Je pleure de joie. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Ne bouge pas. Regarde moi ! Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Tu m'a inondée, comblée.
Tu te retires doucement de moi. Je garde dans mon corps le souvenir de toi
Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité...
pas tout de suite, pas trop vite (E)
mon chéri,

Tu t'étonnes de ma retenue l'autre soir. Ne sois pas étonné, j'aime les preludes.
J'aime être apprivoisée, convoitée, désirée, captivée. j'aime qu ...

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Lettre à un futur amant


Cher Louis,

Vous evoquez notre prochaine rencontre chez moi et vous me demandez ce que vous pourriez m'apporter. Sachez que J’aime le naturel, la soie et la dentelle Ou alors rien du tout, excitante et rebelle J’aime savoir votre esprit excité, Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ? A vous de rêver, A vous d’imaginer ce dont mon corps a besoin ou envie
Votre regard me met de l’eau au corps, De ma bouche jusqu’aux lèvres suppliant des "encore..." Et mes yeux noisette bordés de noir Demandent corps et âme de vous revoir. Je suis grande mais j’aime plaire à genou Honorer votre grandeur et délicieux bijou. Je m’égare à nouveau je vous connais à peine et pourtant déjà l’excitation coule dans mes veines. Déjà nos écrits faits de petits rien resserrent et renforcent notre intime lien
Effleurez-moi avec vos mots Tourmentez moi donnez moi chaud Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mon sein, Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue Révélant mes courbes à votre œil éffleurant, lentement, jusqu’à nu. Je suis comme cette feuille qui rougit dans un long frisson et s’enflamme tel un buisson, désespérant d'être cueillie. Je suis comme cette feuille qui tourbillonne autour de vous pour finir délicatement mon vol léger, là, posée sur vous, fragile au creux de vos bras, pour y rester une nuit.
J'ai besoin d’amour cette nuit, que vous veniez à moi sans faire de bruit…J'ai envie de vous ! Mon amour ! Venez ! Vite !

Aphrodisia - Dentelle
Lettre à un futur amant (E)
Cher Louis,

Vous evoquez notre prochaine rencontre chez moi et vous me demandez ce que vous pourriez m'apporter. Sachez que J’aime le naturel, la soie et la dentelle Ou alors rien du tout, excitante et rebelle J’aime sa ...

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Lettre à un eleve amoureux


Ce que je veux ?

Je veux que tu viennes à moi doucement, tendrement. Je veux que tu viennes en moi lentement, puissament. Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi, Je veux sentir ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint, Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe, Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre. Prends moi ! Je t'en prie !
Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair. Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi, Je veux te faire sentir la caresse de mon ventre. Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir. Cette nuit c'est toi qui m'aimes sans que rien ne te retienne Pour une fois, prends les devants. Apprends moi tous tes secrets Fais-moi l'amour sans retenue et sans gène Deviens mon roi et je serais tout entiere à toi

Tu es là, Je te sens, sillonnes-moi de ton membre, Prend le temps, arrêtes-toi, puis reprends. Ne bouge plus ! Reste en moi ... un instant ! Sens mon corps ! Sens mes seins ! Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure ... et ces frémissements... Et puis maintenant, reprends ta course folle au plus profond de moi. Je veux te sentir encore grossir, durcir et t'allonger. Recommence ! Plus vite ! Enfonce-toi plus franchement, que le monde disparaisse, Va et viens dans mes chairs, glisse bien sur mes muqueuses. J’aime les soubresauts qui t’agitent.

Je te sens trembler ... Ton sexe vibre et se tend. Plus loin, plus loin, Viens, viens ... gonfle bien ta verge ! Je sens tes bourses pleines ! Tu es prêt ? Je suis prete ! Et maintenant, Lache toi ! Je veux ton jet de vie ! Maintenant ! Vas-y ! ...
Ouuuii , Cà y est ! Oh c'est chaud ! Oui, c'est bon ! Je sens ta semence chaude ! C'est doux, tu me remplis ... Oh oui ! .... Encore ! Remplis moi bien de toi ! J'aime Ta verge gonflée de sève se vide dans mon ventre, j'aime J'aime ton regard éperdu, tes râles de plaisir, J'aime ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes. J'aime ton sexe bouillant qui m'irradie de chaleur. Que c'est bon ! ... Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces, Nos sexes emboités, délicieusement, Tu es mon bel amant !
J'ai l'été dans les reins. J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre. J'ai ouvert mes jambes à ta semence et dans mon ventre bleu j'ai la mère des étoiles. Laisse mes cheveux verser la pesante mollesse de leurs ondes sur nos baisers silencieux. Nous sommes las, autant l'un que l'autre. Voluptueusement, berçons notre faiblesse dans l'océan du soir

Tu te retires doucement de moi. Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Ton sperme chaud coule entre mes cuisses. Ton foutre m'inonde et se répand sur nos draps. j'en tremble encore de plaisir, c'est si bon, tu ne trouves pas ? je reste là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé mes cheveux sur notre silence. Je suis ouverte comme jamais, obscène presque, Regarde moi dans les yeux, approche-toi à nouveau, Redonne moi ton beau sexe, j'aime sa douce chaleur Remets le dans le mien, pousse-le, un peu, ressors-le, Tu sens ? c'est de nouveau le paradis. Enfonce-toi doucement, écarte mes chairs rosées, Tu t'allonges ... et grossit de nouveau dans mon ventre ! Je frémis quand tu arrives au fond, fais durer le plaisir, Et maintenant, accélère, ... plus vite je n'en peux plus ! Jouis avec moi ! Fuse dans mon ventre, vide-toi, n'en finis plus de te vider !

Laisse moi regarder tout ce que j'ai reçu de toi Tu m'a inondée, comblée. J'ai dans mon corps cette sensation de puissance Je sens ta semence qui coule et m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Je suis enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux. Tout pantelants encore de notre doux exploit Je sens ton liquide chaud couler dans mon ventre. Une paix profonde me gagne, toute de quiétude et de sérénité... nos corps sont repus... Tu n'as jamais été aussi genereux et desirable. Je conserve dans ma chair un souvenir de toi. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir Des larmes de bonheur inondent mes paupières. Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, toi mon bel amant ! Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie. Je te garde en moi encore quelques instants, Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
Lettre à un eleve amoureux (E)
Ce que je veux ?

Je veux que tu viennes à moi doucement, tendrement. Je veux que tu viennes en moi lentement, puissament. Je veux que tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps Je veux que ta chair se melange à ma cha ...

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Lettre à un amoureux


Mon bel amant,

Depuis que je te connais, toutes les nuits, sans exception, tu es ma dernière pensée. Mon coeur bat pour tes yeux clairs. Leur voile se dépose sur mon corps nu. Allongée sur mon lit blanc, auréolé de bleu, fraîcheur de mon innocence, je renais alors pour toi. Pour tout ce que tu m'as offert. Oh, mon soleil ! Ma plus belle image, Celle de ces nuits inoubliables.
Ah, mon ami ! Tu m'a fait tant de choses inedites, pour une immense joie,.. Je revois encore nos ébats. Dabord discret, tu l'étais à la peine, Je retrouve encore ton premier baiser, sur mes lèvres. Celui au plus intime de mon être.
Je ressens tes cheveux gris sur mon ventre, tandis que nous parlions de notre hotel de Guérande. Tu te reposais alors, sur le dos, au travers du lit, des misères de ta vie. J'étais, réellement, ton soutien. après mille baisers d'amour.
Comment ai-je pu douter, en te relisant, que tu m'aies aimée ? Impossible maintenant. Je te revois me poursuivre de caresses, autour de la table, et malgré l'étroitesse de ta cuisine. Nous n'étions, alors, plus seuls dans notre antre et je te fuyais, riante. Après le repas, un baiser offert, langoureux à souhait. En fermant les yeux, je ressens encore mes doigts qui écrivent ton nom, libre, partout à mes côtés. Sur le moelleux oreiller, Sur la porte entrebâillée, Sur mon ventre dénudé, T'en souviens-tu ? C'était avant notre toute première rencontre... La sensation, lèvres et langue, de tes baisers entourant mes doigts, mains, pieds, est toujours là.
Souvent, je m'allonge à nouveau, les bras en croix, et de larmes point. Avec délicatesse, tu me recueillais... mon puits d'amour, se remplissait toujours, pour toi. Ton sirop au parfum d'embruns... Ton nom est aussi doux, que ta Corse d'origine, à l'ombre du soleil.
L'ascenseur me manque, et ta vue aussi, A l'époque, je me trémoussais en tenues d'hiver, évaluant d'un œil fier les regards des passants. Ils n'étaient pas toi. mais étaient des regards d'hommes. Vois comme tu m'as rendue heureuse, presque orgueilleuse, devant ces dames, et midinettes...! J'étais heureuse de t'aimer et fière que tu m'aimes, fière de t'avoir attiré vers moi, comme aucune d'entre elles n'auraient pu, ou voulu, le faire. L'amour tel un doux aveuglement. Le mien fut trop puissant...
J'aimerais écrire ta dédicace, pour moi. Elle orne ton petit, et seul livre, un recueil de plaisirs, "Pour A---, Incomparable délice, Ma tendresse." Elle est enveloppée parmi l'échantillon de feuilles d'automne 2017, ramassées pour moi. La feuille de figuier fleure toujours le safran... Ta pochette verte, forêt, préservée telle un secret. Elle l'est, chaque jour à mes côtés, ta première surprise... Je revois surtout, pour la fin ma plus forte pensée, nos deux corps réchauffés, sous la tour Montparnasse.
Nous étions tels deux frégates, selon toi, oui, comme deux oiseaux, épanouis parmi Paris... Puis, nous avancions par les boulevards, moi devant, toi, "comme une biche" avec un sac rempli de livres, non ouverts. Nous avions alors passé cinq heures unis par des caresses, par des baisers, au creux de ton lit, et souvent près d'en tomber... Puis, tu m'avais offert, suite au tardif déjeuner, bien des carrés de chocolat noir. Mes dents les recueillaient et ma lèvre léchait, suçait, tes deux doigts délicats. Ton regard bleu, plié de bonheur. Deux précieuses perles, perdues parmi les cernes, de ta dure existence...
Tu m'appelais "miracle", tandis que je m'émerveillais pour chacun de tes gestes qui te, et me rhabillait. La première fois, pressée, parmi les rires. La seconde, et dernière, enchantée par nos poèmes, par ceux que je te récitais en pliant ma jupe. J'ai adoré te reboutonner en appelant l'ascenseur.
Dedans, ce ne fut qu'étreinte, baiser, et séparation, à cause du monde, qui n'aurait pas supporté de nous voir ensemble. Plus pudique, mal à l'aise, peut-être, j'en étais plus gênée que toi. Mais, sache, après tous ces soupirs, après tous ces mots, très peu nombreux, mais qui ont peinés à s'écrire... Sache que ce ne sont pas nos actes en eux-mêmes qui m'ont fait le plus d'effet. Chauds, ils l'étaient. Frissonnants, un peu moins, sauf à la toute fin, lorsque tu m'embrassais le bas du dos et que j'osais me caresser, pour toi, juste là, à cet endroit si sensible de moi... Non, ce ne sont pas tes actes, mais bien tes poèmes, dans un premier temps, et depuis toujours, qui m'ont chavirés pour toi.
Si aucun train n'avait existé, si tu avais continué ton chemin, là où tu savais que c'était bon, alors, sans doute, que j'aurais joui pour toi. Sans doute que je t'aurais amené, pour la première fois, jusqu'à mon clitoris, jusqu'alors introuvable pour ta langue enivrée. Oh, ces baisers-là échangés, tes yeux dans les miens, et tes mordillements d'amour (traces de croissants rouges, entre mes cuisses), pendant que tu te raccrochais à chacun de mes seins... La douceur de mon visage, celle de ma peau, que tu as chanté, et nos deux corps qui s'enroulaient sur ton lit ... Pour tout cela, pour tous mes mots, ici désordonnés, et les nôtres entremêlés, pour, aussi, la gousse de vanille et le carré de chocolat juste à mon endroit, et que tu as savouré.
Pour tout ce que nous avons vécu, mon tendre chéri, et pour tout ce que nous vivons encore, fort différemment, alors moi, ta lumière du jour, ton étoile de la nuit, ta douce , je te remercie.

Ta douce et tendre gazelle

Lettre à un amoureux (E)
Mon bel amant,

Depuis que je te connais, toutes les nuits, sans exception, tu es ma dernière pensée. Mon coeur bat pour tes yeux clairs. Leur voile se dépose sur mon corps nu. Allongée sur mon lit blan ...

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Monsieur mon Amour,



Hier, vous avez été méchant avec moi. Notre réveil fut aussi vif qu’il peut l’être lorsque la sonnerie nous fait part de son ordre de se lever. J’ai senti la force de vos bras m’entourer, me câliner. Vos lèvres sont venues se perdre sur l’arrondi de mon épaule. Mon gémissement vous fit rire et vos dents se sont plantées dans ma nuque. Mon corps ne pouvait que réagir à votre faim et se tendit plus qu’il n’aurait sans doute dû le faire, car l’appétit vous vint autant qu’il me prit en otage.

Je salivais déjà à l’idée de vos mains sur ma peau brûlante. Comment vouliez-vous que je reste indifférente ou vertueuse, vos doigts se refermant avec fermeté sur la pointe de mon sein ? Que l’enfer s’ouvre devant moi. Je vous suppliais de continuer plus fort encore ! Vous me retourniez vers vous. Votre regard était intense. Je savais ce que vous envisagiez. Soudain, votre visage plongea, vos dents attrapèrent le téton durci. Ma main se crispa sur votre nuque et vous retint pour que votre délicieuse torture ne s'arrêta pas. Je hurlais de plaisir, ondulais à la recherche du contact de votre sexe, le mien ruisselait. J'avais envie de vous mordre, mais vous me refusiez cette petite compensation. Votre sourire en disait long sur votre désir, votre contentement au jeu qui nous animait. La lave en fusion se répandait dans mes veines et offrait à ma peau la sensibilité la plus intense que je pouvais supporter. Mon esprit s'évadait sous la pression de vos doigts. Le feu de la terre m'embrasait toute entière me faisant écarter mes cuisses largement.
Cri de délivrance, je recevais votre cierge violemment en ma chapelle et des larmes pieuses coulaient sur mes joues. Mes seins se dressaient sous le plaisir que vos coups de reins graduels me procuraient. Votre regard plongea dans le mien et votre sourire me fit craindre le pire... vous vous retirâtes en me lançant : « Allez, allez, votre ascension ne sera que pour ce soir. »

Méchant, vous dis-je !! voilà ce que vous fûtes pour moi… aussi pensez bien que je me ferai joie de vous ouvrir les portes de l’enfer et de vous faire hurler chaque plaisir que je vous infligerai, Monsieur mon Amour. De mes doigts, mes mains, ma bouche, ma langue, je vous ferais découvrir tout l'étendu de mes vices.

Votre pieuse Louve, Maîtresse de tous vos tendres tourments.

Monsieur mon Amour, (E)

Hier, vous avez été méchant avec moi. Notre réveil fut aussi vif qu’il peut l’être lorsque la sonnerie nous fait part de son ordre de se lever. J’ai senti la force de vos bras m&rsquo ...

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Lettre pour une nuit de noces


Mon chéri,

Je serai, pour vous, toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux
prête, pour notre première nuit, à être effleurée de vos mains, lentement, jusqu’à nue.
Ma douce lingerie est prête à glisser consentante, vous offrant mon corps de femme,
paré de mes deux seins lourds qui attendent vos lèvres et vos mains,
mon corps se fait déjà dunes, courbures incendiaires, sous vos doigts pénétrants mes humides frontières.
Je me sens déjà pleine du désir de mon homme. J'aime savoir votre esprit excité,
Mon corps frémit déjà sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ça lisse, ça crisse, ça glisse ! J'aime ce contact soyeux sur mon entre cuisse
Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse dans ma fente
J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors, rien du tout, excitante et rebelle
Je suis comme une fleur, désespérant d'être cueillie et qui tourbillonne autour de vous
impatiente de finir délicatement au creux de vos bras, et y rester toute la nuit.
Le bruissement de la soie qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Et ce désir qui monte en murmurant votre nom C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu Il me coupe le souffle et je respire à peine
Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau, Je veux sentir en vous un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour vous le goût de mon corps, de tous ses arômes, et plus encore
Senteurs sucrées d'une longue nuit, parfums secrets et interdits,
Quand vous viendrez, je prendrai vos lèvres dès la porte.
Nous irons, sans parler, vers mon lit paré de ses coussins,
Vous m'y ferez tomber, longue comme une morte,
et, passionnément, vous chercherez mes seins.
J'ouvrirai pour vous mon lit, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisserai, consentante, vous offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Vous offrant ma chair nue, prête a vous recevoir
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de vous satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.
Vous me ferez l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai besoin d’amour cette nuit, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à vous satisfaire de tout mon corps
J'ai besoin que vous veniez à moi, sans faire de bruit…
Venez ! Vite ! Je vous attends !





Regardez. Ecoutez, touchez, respirez, goûtez, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche vos baisers.
J'aime l’odeur de vos mains quand vous me caressez, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de votre corps quand vous vous approchez, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;

Ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin, sensations troublantes sur mes seins,
Lettre pour une nuit de noces (E)
Mon chéri,

Je serai, pour vous, toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à votre œil amoureux
prête, pour notre première nuit, à être effleurée de v ...