![]() | vol 880 Paris - TorontoJ'avais trouvé ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancaient avec leurs bagages. Une jeune femme a tout de suite retenu mon attention, elle cherchait sa place elle aussi et semblait encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrêta à mon niveau et soupira, semblant soucieuse à l'idée de me déranger. Elle portait un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur bien visible sous son décolleté, et une robe fluide fendue sur le devant. J'avais du mal à cacher mon trouble. - c'est ici, j'y suis - je crois que j'occupe le siège à coté de vous ! puis elle tenta un court moment de soulever son sac vers le casier en mettant tres en relief ses jolies rondeurs. - Attendez ! je vous aide, lui dis-je. En saisissant la poignée du sac je touchais inopinement son corsage, elle me sourit - vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois Je levai le sac avec elle, rempli des effluves d'un délicieux parfum de christian dior, puis le coinçai dans le casier. Elle me remercia avec un large sourire, ôta son manteau, et s'installa à coté de moi, se mettant à l'aise, ce qui ne fit qu'augmenter mon trouble. Nous avons décollé à l'heure prévue. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonçait des turbulences. Ma voisine semblait avoir quelques difficultés à boucler sa ceinture et m'appela à l'aide. En me penchant vers elle pour l'aider je fus litteralement envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commencait à tanguer serieusement dans tous les sens, et je sentis ses mains me serrer l'avant bras, - les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle collait ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revint, et elle reprit sa place en s'excusant en posant sa main sur mon bras, le serrant tendrement, en me remerciant d'un sourire qui me fit fondre litteralement. Nous bavardions et faisions connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprit le bras avec plus d'insistance pour me montrer le coucher de soleil. Je sentis ses effluves subtiles. Ma tete touchait presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonnait. Puis les lumieres s'éteignirent. L'hotesse nous donna deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me proposa avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux, puis elle l'installa sur nos genoux. Elle me reprit le bras et me dit avec un sourire complice - nous sommes bien ici, nous pouvons dormir. Puis, elle s'endormit ou feignit de s'endormir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête. la climatisation amenait un air frais sur nos tetes, je saisissais l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sentis alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe pour me remercier, mais cette main resta en place. Mon pantalon se gonflait et ce relief commencait à me gêner sérieusement, je ne savais plus ou me mettre. Elle s'en aperçut et me lança un sourire mutin en inclinant la tete vers moi. Je ne retenais plus ma main droite qui se posa sur la sienne sous la couverture. Elle me laisse faire, puis elle laissa sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se précipitait. Ses joues se colorerent. Mon pantalon se tendit. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit: - Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ? Je trouve ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancent avec leurs bagages. Une jeune femme retient mon attention, elle cherche sa place elle aussi et semble encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrete à mon niveau et soupire - c'est ici, j'y suis - je crois que je vais vous deranger ! puis elle tente de soulever son sac vers le casier en mettant en relief de très jolies formes. Elle porte un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur chair, et une robe fluide fendue sur le devant. Je cache à peine mon trouble. - Attendez ! je vous aide, lui dis-je. En saisissant la poignée du sac je touche inopinement son corsage, elle me sourit - vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois Je leve le sac avec elle, puis le coince dans le casier. Elle me remercie avec un large sourire, ote son manteau, et s'installe, se mettant à l'aise et dans le même temps augmentant mon trouble. Nous decollons. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonce des turbulences. Ma voisine a quelques difficultés et m'appelle à l'aide. En me penchant vers elle pour fixer sa ceinture, je suis envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commence à tanguer serieusement dans tous les sens, je sens les mains de ma voisine me serrer l'avant bras, - les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle colle ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revient, et elle reprend sa place en s'excusant. Je lui souris. Elle pose alors sa main sur mon bras et le serre tendrement en me remerciant d'un sourire qui me fait fondre litteralement. Nous bavardons et faisons connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprend le bras avec plus d'insistance pour me montrer le coucher de soleil Je sens ses effluves subtiles. Ma tete touche presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonne. Puis les lumieres s'éteignent. L'hotesse nous donne deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me propose avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux puis elle l'installe sur nos genoux. Elle me reprend le bras et me dit - nous sommes bien ici, nous pouvons dormir. Elle s'endort ou feint de s'endormir. Mes pensées se bousculent. la climatisation amene un air frais sur nos tetes, je saisis l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sens alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe. Mon pantalon se gonfle, je ne sais plus ou me mettre. Elle s'en apercoit et me lance un sourire complice en inclinant la tete vers moi. Je ne retiens plus ma main droite qui se pose sur la sienne sous la couverture. Elle laisse faire, puis elle laisse sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se precipite. Ses joues se colorent. Mon pantalon se tend. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit: - Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ? | vol 880 Paris - Toronto (E) J'avais trouvé ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancaient avec leurs bagages. Une jeune femme a tout de suite retenu mon attention, elle cherchait sa place elle aussi et semblait encombrée d'un sac noir ... |
![]() | dans l' autobus bondéElle est là, contre moi. Tissu frais et rose, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matinée de juin était déjà chaude. Il avait fallu quelques ruses, quelques mensonges peut-être, pour en arriver à se retrouver là derrière elle, profitant de l'affluence des passagers, comprimés les uns sur les autres. Aurions-nous le temps ? les habits déjà se froissaient, les peaux s'irritaient … l'impatience devenait violence, de peur de devoir renoncer au plaisir…J'ai laissé balader mes doigts et mes lèvres, dans une découverte tendre. Puis ont été défaits, un à un, lentement et tranquillement, les petits boutons de sa chemise légère, s'ouvrant sur sa peau douce et chaude d'envie. Mes mains sous le fin tissu ont exploré, poursuivant leur chemin, nos corps se sont tendus de désir, de dialogues, de caresses, correspondance muette, lecture de l'envie de l'autre ... accord … puis les habits se sont relevés, nos bouches, nos doigts, nos sexes se sont emmêlés, rattrapés par un beau plaisir, trop vite transformé en souvenir d'une première fois dont nous redoutions qu'elle soit aussi la dernière. Tu m'as promis de ne jamais te séparer de ta chemise aux petits boutons que j'avais défaits, un à un… Prune | dans l' autobus bondé (E) Elle est là, contre moi. Tissu frais et rose, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matinée de j ... |
![]() | confinementElle est là, contre moi. Tissu frais, lingerie fine, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matinée de juin était déjà chaude. Il avait fallu quelques ruses, quelques mensonges peut-être, pour en arriver à se retrouver là, comprimés l'un contre l'autre dans ce parking de super-marché. Aurions-nous le temps ? les habits déjà se froissaient, les peaux s'irritaient … l'impatience devenait violence, de peur de devoir renoncer au plaisir…J'ai laissé balader mes doigts et mes lèvres, dans une découverte tendre. Puis ont été défaits, un à un, lentement et tranquillement, les boutons de sa chemise légère, s'ouvrant sur sa peau douce et chaude d'envie. Mes mains sous le fin tissu ont exploré, poursuivant leur chemin, nos corps se sont tendus de désir, de dialogues, de caresses, correspondance muette, lecture de l'envie de l'autre ... accord … puis les corps se sont trouvés, nos bouches, nos doigts, nos sexes se sont emmêlés, rattrapés par un plaisir, trop vite transformé en souvenir d'une première fois dont nous redoutions qu'elle soit aussi la dernière. Tu m'as promis de ne jamais te séparer de ta chemise aux petits boutons que j'avais défaits, un à un… Prune | confinement (E) Elle est là, contre moi. Tissu frais, lingerie fine, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matiné ... |
![]() | confinement sensuelJe me glisse dans l'échancrure du chemisier. Je sens et respire la splendeur de sa gorge. C'est merveilleusement doux, Je découvre pour la première fois ses deux belles poitrines. Deux seins bien ronds, bien souples, harmonieusement dessinés, sublimes, à peine affaisés sur la dentelle. La douce chair laiteuse contraste avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Les bretelles du soutien-gorge sont affaissées sur ses bras. Je flatte son sein soyeux, de mes mains chaudes. Elle aime. J'effleure doucement ses tétons au bout dur et nacré. Elle aime. Elle a extrait plus bas mon arme bien affutée, et se l'enfile sans vergogne, je m'immisce, je glisse, j'arpente, elle soupire. Je me fais onctueux pour mieux remonter ses flancs. Elle apprecie ma chaleur, ma douceur. J'explore, je descends, je glisse mes mains chaudes sous sa combinaison de soie, j'explore plus loin, je creuse, me faufile, pénètre, je sens, son humidité abondante, majestueuse. Je me perds totalement entre ses lèvres. Je goute son parfum de femme. Installée sur moi, Barbara sait développer ses charmes et ses effluves sous mon nez et mes yeux, tout en se faisant plaisir en coulissant sur mon mat. La caresse de ses muqueuses sur ma verge est étonnamment douce, je me détends en elle, elle se penche sur moi, me donne un sensuel baiser et se releve en me souriant avec tendresse: - Tu aimes ? ... Moi aussi ! - Maintenant, tu es chez moi ! tu m'appartiens ! Sa caresse est divine, parfumée et c'est tellement doux. Je me sens dur comme le bois, aspiré, suçé, coulissant délicieusement dans son ventre. Elle se penche en avant et frotte ses seins sur mon visage, elle monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je suis au paradis, je découvre cette sensation délicieuse d'une partie de mon corps massé dans son ventre doux, glissant en elle comme dans du beurre. Je suis bien, elle me sourit. - Oui ! c'est bon ... mon amour ! Je te sens bien, reste comme ça, tu me fais du bien ! Ma queue reste bien enfouie dans ses chairs moites, elle prolonge son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi m'excite au plus haut point, j'ai besoin de les prendre, les caresser, les palper. Son regard devient vitreux. Je bande, de plus en plus fort au fond de son vagin brulant. Je la tiens par les hanches et elle souleve son bassin puis s'empale de nouveau avec un soupir de satisfaction en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois. Je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Plantée à fond sur moi, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus ! - Oui mon chéri, caresse bien mes seins, ils t'excitent ! Palpe les bien ! Tu m'excites toi aussi ! J’adore le corps de Barbara. Son corps, ses seins, son dos sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, je lui palpe les seins et elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements. Elle s'ouvre totalement à moi. Elle m'accueille dans son ventre chaud qui m’enserre, me presse. Son intérieur est si humide que je touchais le fond à chacun de mes mouvements. Je la regarde droit dans les yeux pour retarder l’explosion qui guette. Elle coulisse sur moi avec retenue, se retirant à chaque fois pour mieux goûter au plaisir de se faire pénétrer à nouveau. Je vois ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oh, ma chérie, c'est si bon ! Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs sont fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, lubrifiant mon mat de ses fluides amoureux. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple son excitation ... et la mienne. Elle se contracte, le souffle de plus en plus court, elle accélére la cadence, se déchaîne sur moi, ses seins ballottent de droite à gauche, elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Ce prodigieux spectacle déclenche chez elle et moi une jouissance toute aussi intense. Un plein récital. Je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier toujours plus, Je veux me retenir, mais malgré moi, je me sens venir. Je ne peux plus rien empêcher et j'expulse mon sperme bien au fond dans son ventre, je jouis à n'en plus finir, elle le ressent et m'encourage, - Oui ! Continue ! C'est bon ! Remplis moi bien ! Je jouis en elle, un flot de sperme gicle par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je suis comblé! et elle aussi ! Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de nos substances. Je sens couler nos sécrétions sur les cuisses gluantes de Barbara, le long de nos peaux moites, la respiration haletante. Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes comblés, apaisés, heureux. | confinement sensuel (E) Je me glisse dans l'échancrure du chemisier. Je sens et respire la splendeur de sa gorge. C'est merveilleusement doux, Je découvre pour la première fois ses deux belles poitrines. Deux seins bien ronds, bien souples, ha ... |
![]() | dechainéeElle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. Elle me plaque sur le siege à l'intérieur de l'habitacle. Sa robe noire tombe a terre. elle ouvre son corsage et prend ses seins qu'elle soutient et qui prennent un relief impressionnant. Elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison de soie, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - Reprenons nos esprits, sinon ils va se douter de quelque chose. Je reprend ma place au volant. Elle remet sa robe, se recoiffe, se re-maquille et me lance à travers le retroviseur: - Ah voilà le patron ! Merci d'avoir patienté si agreablement avec moi ! | dechainée (E) Elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. Elle me plaque sur le siege à l'intérieur de l'habitacle. Sa robe noire tombe a terre. elle ouv ... |
![]() | vite fait sur le parkingElle s'est positionnée sur moi, puis, me fixant intensement, elle s'est litteralement empalée sur ma verge, outrageusement bandée. J'ai alors senti un étui chaud et humide qui m'entourait petit à petit, m'engloutissait et me brûlait. Elle se faisait coulisser sur moi, doucement, interminablement, ralentissait sa descente, la reprenait. Cette lente pénétration affolait nos sens. La sensation était délicieuse, sublime, troublante. Je la sentis toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. - Tu aimes ? m'a-t'elle demandé simplement comme pour se faire plaisir à elle-même Elle me souriait, savourant ses propres sensations et les miennes en se penchant vers moi. Elle se soulèvait un peu et se baissait à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agitait, s'empalait un peu plus, sur mon sexe qui se tendait et s'allongeait dans ses chairs. Une penetration prodonde. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, se masturbant sur mon sexe. c'était suave, onctueux comme un doigt dans le beurre, nous étions au paradis, je sentais ses legeres contractions sur les parois de ma verge prete à exploser. le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi me donnaient vigueur ! Je bandais au fond de son ventre, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée bien au fond, nos ventres se frottaient l'un contre l'autre. Puis, elle se déchaîna, se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait, au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Le doux clapotis de nos sexes emboités donna le signal Je dechargeai à n'en plus finir au fond de son ventre par salves successives et un immense sentiment de bien être m'envahit ! nos corps furent agités par de violents frissons, Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la voiture Je ne l'ai jamais revue | vite fait sur le parking (E) Elle s'est positionnée sur moi, puis, me fixant intensement, elle s'est litteralement empalée sur ma verge, outrageusement bandée. J'ai alors senti un étui chaud et humide qui m'entourait petit à petit, m' ... |
![]() | en stationnement prolongéLe reunion du patron et de ses associes se prolonge. Comme chauffeur il m'arrive souvent d'attendre ainsi plus ieurs heures au meme endroit. Mais cette fois ci, sa femme l'attends aussi à l'arriere de la voiture. Je la regarde discrètement dans le retroviseur. C'est une belle femme. un large décolleté dévoilant des seins généreux qui remuent au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie. Elle semble s'ennuyer, comme moi, mais moi, j'ai l'habitude. Nos regards finissent par se croiser dans le retroviseur et c'est maintenant elle qui me fixe et ne me lache plus des yeux, elle me provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en aperçoit. Elle se penche vers moi et me glisse à l'oreille - pendant qu'ils discutent, Venez donc me tenir compagnie à l'arriere ! Je m'execute et m'assoie à coté d'elle pensant faire la conversation, mais elle ne me donne pas vraiment le temps de reflechir. D'un coup, elle me tire vers elle et m'embrasse à pleine bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. - J'ai vu votre regard ! Je sais que vous en avez envie ! Et j'ai envie moi aussi ! Elle ferme la portiere, baisse les rideaux et me plaque sur le siege à l'intérieur de l'habitacle. Je vois la robe noire tomber a terre. elle ouvre son corsage et prend ses seins qu'elle soutient et qui prennent un relief impressionnant. - Vous êtes folle, lui dis-je litteralement affolé. - Ils discutent. Nous avons tout le temps ! Elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison de soie, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - Reprenons nos esprits, sinon ils va se douter de quelque chose. Je reprend ma place au volant. Elle remet sa robe, se recoiffe, se re-maquille et me lance à travers le retroviseur: - Ah voilà le patron ! Merci d'avoir patienté si agreablement avec moi ! | en stationnement prolongé (E) Le reunion du patron et de ses associes se prolonge. Comme chauffeur il m'arrive souvent d'attendre ainsi plus ieurs heures au meme endroit. Mais cette fois ci, sa femme l'attends aussi à l'arriere de la voiture. Je la regarde discr& ... |
![]() | conclusionje la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante. Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent mon dos, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque au fond de son ventre. Je pousse un cri rauque. Et je lache un premier jet qui vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants. Elle me serre contre elle aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes. Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là | conclusion (E) je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétani ... |
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![]() | Elle s'est positionnée doucement sur moi, me fixant intensement. Puis elle a pris ma verge, outrageusement bandée et l'a dirigée entre ses grandes lèvres. J'ai alors senti un étui chaud et humide qui l'entourait petit à petit, l'engloutissait et la brûlait. Elle s'empalait sur moi, doucement, interminablement, ralentissait sa descente, la reprenait. Cette lente pénétration affolait nos sens. La sensation était délicieuse, sublime, troublante. Je la sentis toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. - Tu aimes ? m'a-t'elle dit simplement Elle me souriait, savourant ses propres sensations et les miennes en se penchant vers moi. Elle se soulèvait un peu et se baissait à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agitait, s'empalait un peu plus, sur mon sexe qui se tendait et s'allongeait dans ses chairs. Une penetration prodonde. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, se masturbant sur mon sexe. c'était suave, onctueux comme un doigt dans le beurre, nous étions au paradis, je sentais ses legeres contractions sur les parois de ma verge prete à exploser. le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi me donnaient vigueur ! Je bandais au fond de son ventre, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée bien au fond, nos ventres se frottaient l'un contre l'autre. Puis, elle se déchaîna, se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait, au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Le doux clapotis de nos sexes emboités donna le signal Je dechargeai à n'en plus finir au fond de son ventre par salves successives et un immense sentiment de bien être m'envahit ! nos corps furent agités par de violents frissons, Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la voiture Je ne l'ai jamais revue | (E) Elle s'est positionnée doucement sur moi, me fixant intensement. Puis elle a pris ma verge, outrageusement bandée et l'a dirigée entre ses grandes lèvres. J'ai alors senti un étui chaud et humide qui l'ent ... |
![]() | déchainéeElle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. Elle me plaque sur le siege à l'intérieur de l'habitacle. En combinaison, elle enfonce mon visage entre ses deux seins qu'elle soutient et qui prennent un relief impressionnant. Elle se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses somptueuses poitrines. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, mon pantalon pointe entre ses cuisses. Tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sous sa combinaison de soie, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue entre ses cuisses, mon sexe ne cesse de durcir et grossir, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens. Ses mains attrapent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique. Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, - Oh que c'est bon ! Tu m'excites ! Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure - Maintenant ! Vite ! Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. - Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins. - Reprenons nos esprits, sinon ils va se douter de quelque chose. Je reprend ma place au volant. Elle remet sa robe, se recoiffe, se re-maquille et me lance à travers le retroviseur: - Ah voilà le patron ! Merci d'avoir patienté si agreablement avec moi ! | déchainée (E) Elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent. Elle me plaque sur le siege à l'intérieur de l'habitacle. En combinaison, elle enfonce mon visa ... |
![]() | vol 880 Paris - TorontoJ'avais trouvé ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancaient avec leurs bagages. Une jeune femme a tout de suite retenu mon attention, elle cherchait sa place elle aussi et semblait encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrêta à mon niveau et soupira, semblant soucieuse à l'idée de me déranger. Elle portait un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur bien visible sous son décolleté, et une robe fluide fendue sur le devant. J'avais du mal à cacher mon trouble. - c'est ici, j'y suis - je crois que j'occupe le siège à coté de vous ! puis elle tenta un court moment de soulever son sac vers le casier en mettant tres en relief ses jolies rondeurs. - Attendez ! je vous aide, lui dis-je. En saisissant la poignée du sac je touchais inopinement son corsage, elle me sourit - vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois Je levai le sac avec elle, rempli des effluves d'un délicieux parfum de christian dior, puis le coinçai dans le casier. Elle me remercia avec un large sourire, ôta son manteau, et s'installa à coté de moi, se mettant à l'aise, ce qui ne fit qu'augmenter mon trouble. Nous avons décollé à l'heure prévue. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonçait des turbulences. Ma voisine semblait avoir quelques difficultés à boucler sa ceinture et m'appela à l'aide. En me penchant vers elle pour l'aider je fus litteralement envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commencait à tanguer serieusement dans tous les sens, et je sentis ses mains me serrer l'avant bras, - les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle collait ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revint, et elle reprit sa place en s'excusant en posant sa main sur mon bras, le serrant tendrement, en me remerciant d'un sourire qui me fit fondre litteralement. Nous bavardions et faisions connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprit le bras avec plus d'insistance pour me montrer le coucher de soleil. Je sentis ses effluves subtiles. Ma tete touchait presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonnait. Puis les lumieres s'éteignirent. L'hotesse nous donna deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me proposa avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux, puis elle l'installa sur nos genoux. Elle me reprit le bras et me dit avec un sourire complice - nous sommes bien ici, nous pouvons dormir. Puis, elle s'endormit ou feignit de s'endormir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête. la climatisation amenait un air frais sur nos tetes, je saisissais l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sentis alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe pour me remercier, mais cette main resta en place. Mon pantalon se gonflait et ce relief commencait à me gêner sérieusement, je ne savais plus ou me mettre. Elle s'en aperçut et me lança un sourire mutin en inclinant la tete vers moi. Je ne retenais plus ma main droite qui se posa sur la sienne sous la couverture. Elle me laisse faire, puis elle laissa sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se précipitait. Ses joues se colorerent. Mon pantalon se tendit. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit: - Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ? Je trouve ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancent avec leurs bagages. Une jeune femme retient mon attention, elle cherche sa place elle aussi et semble encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrete à mon niveau et soupire - c'est ici, j'y suis - je crois que je vais vous deranger ! puis elle tente de soulever son sac vers le casier en mettant en relief de très jolies formes. Elle porte un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur chair, et une robe fluide fendue sur le devant. Je cache à peine mon trouble. - Attendez ! je vous aide, lui dis-je. En saisissant la poignée du sac je touche inopinement son corsage, elle me sourit - vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois Je leve le sac avec elle, puis le coince dans le casier. Elle me remercie avec un large sourire, ote son manteau, et s'installe, se mettant à l'aise et dans le même temps augmentant mon trouble. Nous decollons. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonce des turbulences. Ma voisine a quelques difficultés et m'appelle à l'aide. En me penchant vers elle pour fixer sa ceinture, je suis envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commence à tanguer serieusement dans tous les sens, je sens les mains de ma voisine me serrer l'avant bras, - les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle colle ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revient, et elle reprend sa place en s'excusant. Je lui souris. Elle pose alors sa main sur mon bras et le serre tendrement en me remerciant d'un sourire qui me fait fondre litteralement. Nous bavardons et faisons connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprend le bras avec plus d'insistance pour me montrer le coucher de soleil Je sens ses effluves subtiles. Ma tete touche presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonne. Puis les lumieres s'éteignent. L'hotesse nous donne deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me propose avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux puis elle l'installe sur nos genoux. Elle me reprend le bras et me dit - nous sommes bien ici, nous pouvons dormir. Elle s'endort ou feint de s'endormir. Mes pensées se bousculent. la climatisation amene un air frais sur nos tetes, je saisis l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sens alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe. Mon pantalon se gonfle, je ne sais plus ou me mettre. Elle s'en apercoit et me lance un sourire complice en inclinant la tete vers moi. Je ne retiens plus ma main droite qui se pose sur la sienne sous la couverture. Elle laisse faire, puis elle laisse sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se precipite. Ses joues se colorent. Mon pantalon se tend. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit: - Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ? | vol 880 Paris - Toronto (E) J'avais trouvé ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancaient avec leurs bagages. Une jeune femme a tout de suite retenu mon attention, elle cherchait sa place elle aussi et semblait encombrée d'un sac noir ... |