arpoma
mercredi 17 décembre 2025 - 00h43
menu / rep

atlas / rech


repertoires:

(diapo) (rep-list) (grd ecran)
   .. / stud
Nombre de fichiers dans le répertoire : 18
@

experience (Luna M. Marie-Claire)


Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le vertige. Elsa doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, là, plaquée contre la paroi, elle sourit, et m’embrasse à nouveau, nos cuisses se frôlent, nos hanches...je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brûle.
D’instinct, ma main se glisse à l’intérieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute première fois. « Laisse-toi aller », me susurre Elsa à l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise.
Arrivées dans la chambre, nous nous mettons toutes deux sur le lit, Je prends goût à ces drôles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un désir que je n’imaginais pas, Nos lèvres ne s’effleurent plus, elles se dévorent. Nos corps ondulent, flottant sur la même vague. Tout ça me paraît si naturel, si évident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe,
j’adore la cambrure de ses reins.
J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien à voir pourtant avec le désir pour un homme. C’est à la fois plus épidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre appréhension. Il doit y avoir quelque chose de fœtal dans ce désir...
Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frôlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre à moi. J’en veux encore. Elsa a dû le sentir. Elle dégrafe ma jupe. Ses doigts remontent délicatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure à peine, je retiens mon souffle.
Quand je la sens, sûre d’elle, arrivée entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette créature délicate, qui me caresse et me fait cet effet-là... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste.

Pour le moment, je la laisse faire, entièrement offerte. Juste, je la déshabille. Très excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rôle. Déboutonner une robe, dégrafer un soutien-gorge... Ça doit être merveilleux d’être un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pénètrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. Décidément, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingénue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise.
Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaît mieux que moi-même, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. « Suçe-moi », m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si près le sexe d’une femme. Il est épilé et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lèvres et ma langue se glisse. Le goût est un peu salé, pas acide du tout. La sentir trempée sous mes doigts, frémir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet.

Nous faisons l’amour ainsi, l’une précédant l’autre puis la suivant, mêlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques
pour réussir à coller nos deux sexes frissonnants l’un à l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts à l’intérieur d’elle.
Et me murmure : « Encore ! » « Viens ! » « Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment où je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lèvres si précises, je... jouis, aussi fort, peut-être plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idée que c’est grâce à cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgré moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tête de nouveau vers son sexe, où je me perds délicieusement, en essayant d’être aussi délicate qu’elle, aussi attentive. « Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens à son tour, se contracter tout entière, et de sa main elle m’intime d’arrêter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle était emportée loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient à elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est étrange, une femme qui jouit... Nous nous affaissons toutes les deux, épuisées par ce corps à corps torride

Nos corps sont moites, nos têtes pendent dans le vide du lit défait. Ma douce Elsa propose un bain. Plongées dans la pénombre et la mousse délicatement parfumée, nous sommes allongées comme des amantes. C’est doux, intime. Naturel... , c’est l’histoire d’une nuit, A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. je suis vidée. Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une dernière fois,
et elle disparaît. Moi, je reste là, allongée seule sur le lit de la chambre d’hôtel, bouleversée.

Luna M. Marie-Claire
experience (Luna M. Marie-Claire) (E)
Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... ...

@

experience (Luna M. Marie-Claire)


Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le vertige. Elsa doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, là, plaquée contre la paroi, elle sourit, et m’embrasse à nouveau, nos cuisses se frôlent, nos hanches...je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brûle.
D’instinct, ma main se glisse à l’intérieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute première fois. « Laisse-toi aller », me susurre Elsa à l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise.
Arrivées dans la chambre, nous nous mettons toutes deux sur le lit, Je prends goût à ces drôles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un désir que je n’imaginais pas, Nos lèvres ne s’effleurent plus, elles se dévorent. Nos corps ondulent, flottant sur la même vague. Tout ça me paraît si naturel, si évident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe,
j’adore la cambrure de ses reins.
J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien à voir pourtant avec le désir pour un homme. C’est à la fois plus épidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre appréhension. Il doit y avoir quelque chose de fœtal dans ce désir...
Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frôlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre à moi. J’en veux encore. Elsa a dû le sentir. Elle dégrafe ma jupe. Ses doigts remontent délicatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure à peine, je retiens mon souffle.
Quand je la sens, sûre d’elle, arrivée entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette créature délicate, qui me caresse et me fait cet effet-là... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste.

Pour le moment, je la laisse faire, entièrement offerte. Juste, je la déshabille. Très excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rôle. Déboutonner une robe, dégrafer un soutien-gorge... Ça doit être merveilleux d’être un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pénètrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. Décidément, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingénue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise.
Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaît mieux que moi-même, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. « Suçe-moi », m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si près le sexe d’une femme. Il est épilé et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lèvres et ma langue se glisse. Le goût est un peu salé, pas acide du tout. La sentir trempée sous mes doigts, frémir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet.

Nous faisons l’amour ainsi, l’une précédant l’autre puis la suivant, mêlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques
pour réussir à coller nos deux sexes frissonnants l’un à l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts à l’intérieur d’elle.
Et me murmure : « Encore ! » « Viens ! » « Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment où je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lèvres si précises, je... jouis, aussi fort, peut-être plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idée que c’est grâce à cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgré moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tête de nouveau vers son sexe, où je me perds délicieusement, en essayant d’être aussi délicate qu’elle, aussi attentive. « Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens à son tour, se contracter tout entière, et de sa main elle m’intime d’arrêter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle était emportée loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient à elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est étrange, une femme qui jouit... Nous nous affaissons toutes les deux, épuisées par ce corps à corps torride

Nos corps sont moites, nos têtes pendent dans le vide du lit défait. Ma douce Elsa propose un bain. Plongées dans la pénombre et la mousse délicatement parfumée, nous sommes allongées comme des amantes. C’est doux, intime. Naturel... , c’est l’histoire d’une nuit, A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. je suis vidée. Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une dernière fois,
et elle disparaît. Moi, je reste là, allongée seule sur le lit de la chambre d’hôtel, bouleversée.

Luna M. Marie-Claire
experience (Luna M. Marie-Claire) (E)
Elsa s’approche, et, sans un mot, m’embrasse. Ses lèvres sont douces. Comme c’est étrange, le contact de cette peau douce, cette façon si délicate de s’y prendre, et ce parfum de fille... ...

@


Il entoura sa belle et lui offrit une étonnante sensation de chaleur. Il passait et repassait sur son corps. L’amoureuse en eut des frissons, et comprit qu’il s’agissait de caresses. Une forme de massage tout d’abord, puis des passages plus sensuels, ne faisant que l’effleurer. Elle reconnaissait bien là toute la dextérité de son homme. Quelques instants plus tard, c’était sous ses vêtements. Au premier contact, ce fut comme si des mains se posaient sur elle, et la jeune fille en poussa un cri. Puis la sensation vira au tiède, et enfin au chaud. Ô seigneur que c’est bon, se dit-elle. Soudain, elle détestait ses vêtements. Voulant retirer son chemisier, elle dut s’y reprendre à plusieurs fois, ses membres étant comme figés, et son corps paralysé. Se faisant violence, elle parvint enfin à coordonner ses mouvements, en profitant pour tout enlever aussi vite qu’elle en était capable. Chemisier déboutonné, puis soutien-gorge, chaussettes, pantalon, culotte. Elle le fit telle une prisonnière se défaisant de ses chaînes, et prit plusieurs minutes à parvenir à ses fins. Lorsque Sandrine fut entièrement nue, ce fut pour elle comme une libération. Se jetant au sol, elle s’allongea sur le dos, écarta les bras et entrouvrit les jambes. La température montait trop pour prendre son temps… par ailleurs, qui sait combien de minutes Amaury pourrait rester. Qui sait si chaque moment qui passait ne serait pas le dernier, et qu’il serait contraint de la quitter définitivement. Son cœur se mit à battre à tout rompe, et elle souffla pour expulser son trop-plein d’émotions. Elle devinait bien entendu le désir de son copain, même si elle ignorait encore si ce serait possible. Ce serait si beau, si inespéré qu’elle n’osait y croire. L’éventualité était tant enivrante qu’effrayante. Cela rendrait leur amour, en un sens, plus fort que la mort elle-même.

La posture que Sandrine avait prise, si simple soit-elle, arrangeait tout : dorénavant, elle n’avait rien d’autre à faire que de laisser cette boule de plaisir l’approcher et faire tout ce qui lui plairait. Qu’elle ne puisse bien maîtriser ses mouvements n’avait plus grande importance : son corps, comme son être, étaient désormais espace d’accueil. L’âme masculine répondit à cette invitation, et s’étendit sur sa conquête de tout son long. De premières vagues de caresses passèrent, des orteils au visage. Mille bras l’exploraient, comme dans ces animations japonaises où des extraterrestres aux multiples tentacules soumettent d’innocentes écolières aux pires outrages. La petite amie aurait eut peine à décrire tout cela. Toute image ne pouvait que s’approcher de ce qui se déroulait, sans pour autant le refléter totalement.

Les caresses furent langoureuses, innombrables, explorant ses hanches, sa nuque, ses jambes, sa poitrine. Le garçon était partout à la fois, elle ne l’entendait pas, ne sentait pas son odeur, mais aurait presque cru pouvoir le toucher ou croiser son regard. Les seuls mouvements dont elle était capable était ceux de se tortiller en tout sens, d’une manière presque involontaire, son excitation ayant besoin d’être extériorisée. Elle comprenait mieux les témoignages des quelques copines ayant vécu des partouzes ou gang-bangs, lui confiant qu’avoir des mains en tout endroit sur le corps procurait des sensations indescriptibles…

Si ce n’est qu’elle-même était en train de vivre quelque chose d’encore mieux, et bien plus fort. Aucune partie de sexe de groupe, pour peu qu’elle en vive un jour, ne lui apporterait autant. Entre elle et lui, le signe du Yin Yang transparaissait. Elle de chair, lui d’âme. Elle d’une maladresse inhabituelle, lui d’une habileté hors-norme. Bien qu’excellent amant, il n’avait jamais été aussi doué de son vivant. En fait, ne plus avoir de corps le rendait plus vivant que jamais. Pas de doute : la mort n’existait pas, on ne faisait que passer d’un état à un autre.

Les gestes se concentrèrent de plus en plus au niveau du bassin, puis de la vulve. Sandrine savait que le surnaturel de la situation rendait inutile qu’elle écarte les cuisses, elle se permit donc le luxe de les frotter l’une contre l’autre pour mieux faire passer son plaisir. L’âme se posa sur son clitoris et devint plus fraîche, comme si c’était tantôt une langue, tantôt un doigt qui pressait ce point qu’elle aimait tant. Sa respiration était sonore, elle commençait à laisser échapper des sortes de plaintes, et se connaissait trop bien pour ignorer qu’elles iraient crescendo. La présence de Vanessa dans l’appartement l’incommodait, sans compter les voisins du dessous, au courant de la triste nouvelle, qui s’imagineraient qu’elle se faisait déjà sauter par un autre à peine quelques heures après le décès de son petit ami. Comment leur expliquer, et qui la croirait ? De toute façon, l’envie était trop forte pour qu’elle puisse se réfréner. Un œil extérieur, s’il y en avait eu un, n’aurait vu dans cette pièce qu’une belle jeune fille nue, seule, ondulant pendant un rêve érotique… ou plutôt pornographique, car les positions prises étaient de plus en plus obscènes. Que ce soit utile ou non, l’amante écartait à présent les cuisses. Non pas qu’il ne saurait la pénétrer autrement, elle avait surtout l’intuition que les sensations seraient encore meilleures ainsi. Toutefois, il n’entra pas en elle immédiatement, comme s’il voulait la faire languir. Comme s’il attendait qu’elle soit presque implorante et suppliante, ce qu’elle était pourtant déjà.

Les ondes changèrent de forme. Elles étaient dorénavant comme un souffle de vent mêlé à de l’électricité statique, qui la rendait toute humide. Son corps entier fut enveloppé dans une sorte de cocon. Enveloppe magnétique qui devint chaude. Plus chaude encore, presqu’incandescente. Comment une telle température pouvait-elle être aussi plaisante ? Rien ne l’ébouillantait, au contraire elle vénérait cette chaleur, pourtant brûlante. Le cocon se défit : Sandrine eut soudainement froid. L’instant d’après, l’énergie se concentrait sur les tétons. L’amoureuse se cambra en gémissant longuement. Ses yeux se rouvrirent, et elle observa, fascinée, ses propres membres. Si l’entité restait invisible, son effet était voyant : les bouts de sein gonflaient, pointaient et s’agitaient tout seuls, inexplicablement. Le bassin bougeait sans même qu’elle ait quelque effort à produire. L’étudiante eut envie de se caresser ailleurs afin de l’accompagner. La présence était si omnisciente et comprenait si bien ses pensées quelle n’en eut nullement besoin. Dès que ce désir lui traversa l’esprit, la présence quitta son corps. Sandrine la perçut au-dessus d’elle. Transportée d’émotion, ses pupilles se dilatèrent en même temps que son intérieur. Quelle âme splendide son amant possédait-il ! Même sans son physique si craquant, il restait emprunt d’une ineffable beauté. L’homme aurait été laid de son vivant qu’elle aurait sans doute finit par l’aimer autant, telle Roxanne lisant dans la noblesse du cœur de Cyrano.

Écartant encore davantage les jambes, elle saisit que l’âme se préparait… et s’apprêtait à plonger en piqué, tel un aigle fondant sur sa proie. À la différence près que la proie en question ne demandait qu’à être dévorée.

Alors que le corps féminin avait été, jusqu’à présent, exploré et découvert par petites touches, la donne fut changée lorsque l’âme redescendit pour la pénétrer. De nouveau, ce fut différent de toutes les fois où ils faisaient l’amour, lorsqu’Amaury prenait tout son temps, se masturbant contre son entrecuisse, frottant son pénis contre le clitoris puis laissant d’abord le gland en surface avant de descendre plus profond. Car la jeune fille fut visitée d’un seul coup d’une bonne quinzaine de centimètres.

Dès lors, la visitée ne sut plus vraiment qui elle était ni ce qu’elle faisait, trop occupée sur les sensations pour s’occuper du reste. Bougeait-elle, émettait-elle des sons, avait-elle les yeux ouverts ou fermés ? Lorsqu’elle y resongea par la suite, elle s’aperçut qu’elle n’en avait aucune idée sur le moment. Un état d’hypnose total, un oubli d’elle-même au profit du plaisir. Ils n’étaient plus qu’un.

Le pénis, ou plutôt cette énergie qu’elle ressentait comme un pénis, revêtait différentes apparences sensorielles. Chaud, lumineux, spongieux, humide. Ne ressortant pas réellement, il se bornait à reculer pour mieux revenir, ne cessant d’honorer son corps tel une déesse. Il descendit plus profond encore. En fait, son ascension semblait sans limites. Cela avait déjà dépassé la longueur et la circonférence que le corps de son conjoint possédait. Et à vrai dire, cela dépassait même les plus gros sexes que Sandrine avait connus de toute son existence. Même le petit copain qu’elle avait eu il y a quelques années, membré d’une vingtaine de centimètres, était petit joueur comparé à ce qu’elle vivait en cet instant. Du reste, alors que les vingt centimètres de cet ex lui avaient souvent fait mal, elle ne percevait présentement aucune souffrance. Uniquement du bien-être…

La pénétration s’allongea encore. En fait, cela atteignait désormais son organisme, encore plus profond que le point le plus profond de son vagin. Ne comprenant bien quel chemin était emprunté en elle, Sandrine sentit bientôt que la force était dans son côlon, puis rejoignait son anus. Une sorte de fluide entre anus et vagin la parcourut ainsi, tandis qu’elle n’en pouvait plus de se tordre et de gémir. Ce n’était plus à proprement parler une pénétration ou des va-et-vient, car cela circulait comme un courant continu : les ondes entraient et sortaient en même temps. Puis, afin qu’il lui fasse vivre la totale, l’âme étendit son exploration vers ses entrailles, pour remonter dans la gorge et sortir par la bouche, qu’elle ouvrit tout grand, à la fois pénétrée par la cavité vaginale, anale et buccale, et ce par un seul et même homme.

L’amante ne parvenait à déterminer si tout cela avait ou non un effet visible sur la matière. Peut-être que les parois de son vagin étaient écartées par cette force magnétique, et que son anus n’était plus un petit point mais un rond de dix centimètres de tour. Qui sait même si sa gorge ne subissait pas un sort similaire. Comment savoir ? Il aurait fallu qu’elle ouvre les yeux, se contorsionne pour s’observer, se regarder dans un miroir. Là était bien le cadet de ses soucis. En fait, ces questionnement physiques lui viendraient bien plus tard. Pour l’heure, tout ce qui lui importait était de sentir, ressentir, vivre, vibrer avec lui.

Puis, les ondes prirent trop d’ampleur pour qu’on puisse les comparer à un sexe d’homme. L’âme étendit son aura dans son ventre, ses jambes, ses épaules. Elle s’étendit jusqu’à habiter la moindre parcelle de son intérieur. Son entrecuisse était humide, et pour une fois ce lubrifiant naturel était inutile au rapport sexuel. Pour tout dire, le couple n’était plus tout à fait dans un rapport sexuel : cela se situait au-delà. Bien entendu, les ressentis de la jeune fille restaient pleinement sexuels, et elle eut d’ailleurs un premier orgasme en très peu de temps. Les fluides cessèrent de circuler afin de le laisser passer. Elle s’agita, secouée de spasmes. L’âme marqua un temps puis reprit de plus belle, la faisant décoller, encore et encore, comme si elle était prête à rejoindre elle aussi le monde de l’invisible, comme s’il allait littéralement la tuer de plaisir. Tout du moins ce monde, elle le touchait du bout des doigts… Si elle avait pu partir avec lui, elle n’aurait pas hésité une seconde.

Sandrine eut un second orgasme, puis un troisième. Jamais elle n’en avait eu autant en un laps de temps si court, et jamais ils n’avaient été si bons. Et pourtant, Amaury avait déjà placé la barre très haut lors de leurs nuits d’amour. Qui plus est, il n’y avait aucune raison biologique pour que cela s’arrête. Pas d’irritation, pas d’éjaculation, pas de sexe usé ayant besoin de se reposer. Il lui semblait que les ondes débordaient de son corps, et emplissaient la pièce. L’âme était à l’intérieur comme à l’extérieur d’elle.

Cependant, les fluides se mirent peu à peu au repos. Sandrine n’était plus dans une extase intense, davantage dans un sentiment de plénitude absolu. Un curieux sentiment l’habitait. Le sentiment de ne plus être elle-même. Le sentiment d’être un corps, une âme, tout en étant une partie d’Amaury. D’être également l’air qu’elle respirait, d’être la pièce, et l’univers entier. Cela ressemblait aux descriptions de certains Chamans qu’elle avait lues dans les livres de Vanessa. Elle y retrouvait cette certitude de faire Un avec la création, de vivre au cœur d’un monde riche et beau, malgré les turpitudes humaines. Oui, la jeune fille était prête pour rester ainsi jusqu’au lendemain. Pourtant, après quelques dernières caresses d’adieu, l’âme se retira tout doucement, quittant chacun de ses membres un à un, et finissant par son sexe. Elle sentit l’esprit s’éloigner, puis disparaître. Il ne fallait pas s’en étonner. L’amante, bien que déçue que cela s’achève sitôt, bien qu’attristée de sentir celui qu’elle aimait la quitter cette fois pour de bon, louait le ciel de lui avoir fait vivre un tel moment.
(E)
Il entoura sa belle et lui offrit une étonnante sensation de chaleur. Il passait et repassait sur son corps. L’amoureuse en eut des frissons, et comprit qu’il s’agissait de caresses. Une forme de massage tout d&rsqu ...

@


tu es couverte de sueur, et joignant le geste à la parole, elle alla dans la salle de bains, mouilla un gant de toilette, revint et lui essuya délicatement le visage avec un gant humide qu’elle reposa sur une chaise. Essaye de te rendormir. Il est deux heures du matin. Anne s’assit à ses côtés, la ramena au creux de son épaule et tarit ses larmes avec ses paumes :
- Calme-toi, ma douce, lui chuchota-t-elle.
Puis, elle écarta les draps d’un geste vif et encercla sa taille d’un bras protecteur :
- Ne crains rien, ma chérie, lui affirma-t-elle d’une voix sourde, en l’embrassant fugitivement sur la bouche. Tu es ma protégée maintenant. Je veillerai sur toi.
Les yeux brillants de convoitise, Anne se redressa, se dépouilla de ses sous-vêtements, les jeta sur le sol, et s’allongea, resplendissante de beauté dans sa nudité auprès d’Isabelle, qui mollit à son approche, frémissante et effarouchée à la fois. Elle rejeta dans un angle la nuisette qui gênait ses manœuvres, caressa lentement de sa main gauche ses seins au galbe parfait et ses tétons aux auréoles sombres, mordilla sa chair tandis que ses mains s’activaient, délivrant des messages de délices, l’enfourcha, flatta son périnée et son mont de Vénus d’un index interrogateur, introduisit deux doigts qu’elle tourna interminablement dans son clitoris et continua au ralenti son exploration câline vers son vagin et jusqu’à sa matrice.
C’en était trop ! C’était si bon, si parfait, si délicat, si chaud ! Déjà excitée par ces débuts prometteurs, le pouls de sa partenaire s’accéléra. Elle l’exhorta à continuer en rugissant à maintes reprises « oh oui, oui ! », hoqueta par des saccades vives et répétées des petits cris de biche effarouchée, émit des roulements rauques et plaintifs, et retomba, extasiée, exhalant des sanglots de plaisir qui l’amenèrent sur les grèves de la félicité.
Epuisée, Anne essuya leurs visages luisants de sueur avec un coin de drap, se lova contre elle, et lui demanda humblement, ravie par cette débauche et cette fringale de volupté :
- Regrettes-tu ? Je t’aime depuis ton apparition au siège de l’association. Peut-être m’en veux-tu d’avoir profité de ton état de faiblesse. Tu m’es apparue si vulnérable, si fragile que je mourais d’envie de te serrer dans mes bras et de t’embrasser.
- Non, bien au contraire, répondit son vis-à-vis, dont les yeux pétillaient de liesse et de paix. Je pensais, avant de te connaître, que l’amour n’existait pas, que la jouissance sexuelle était réservée à des initiés, et particulièrement aux mâles, et que je ne correspondais pas, somme toute, aux normes sociales, car je n’ai jamais connu le coït. Mon mari et les hommes qui m’ont précédée avant lui n’ont professé, à mon encontre, au mieux que de la condescendance, de la misogynie, et plus fréquemment de la violence. Pour ces tristes sires, seul comptait le contentement de leur libido.
Elle se tut, laissant son annulaire fureter les épaules de sa partenaire et reprit :
- Avec toi, tout est différent. Tu m’as fait éprouver l’orgasme pour la première fois de mon existence. Tu m’as révélé ma véritable nature. Je me sens pleinement Femme. Je n’ai jamais ressenti envers quiconque auparavant une telle passion qui ne s’apparente qu’à la Grâce, une telle inclination, une telle quiétude. J’idolâtre tout de toi : l’ovale de ton visage, la blancheur de ta peau, le cuivré de ta chevelure, la fourrure de tes aisselles et de ton sexe, ta bonté, ton âme. J’envisage l’avenir avec sérénité. Tu es mienne désormais, je t’adorerai pour toujours, conclut-elle en attirant à elle son joli minois qu’elle maintint de ses paumes fines et en insinuant sa langue agile entre ses lèvres pleines.
A ces mots, Anne, dont le cœur battait la chamade, la pressa délicatement entre ses jambes, peau contre peau, seins contre seins, ventre contre ventre, pubis contre pubis, cajola son visage d’une multitude de baisers, et lui susurra, les prunelles scintillantes :
- Je vais t’honorer encore mon aimée, sans hâte, plus alanguissement. Après, fais-moi l’amour, je t’en supplie ! Je te guiderai, je t’apprendrai au besoin et nous goûterons ensemble les orgues de la sensualité et de la tendresse. J’ai tant faim et tant besoin de toi !
(E)
tu es couverte de sueur, et joignant le geste à la parole, elle alla dans la salle de bains, mouilla un gant de toilette, revint et lui essuya délicatement le visage avec un gant humide qu’elle reposa sur une chaise. Ess ...

@

french kiss


Cette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Elle se dirige vers moi. Baiser rapide dans le cou, elle me prend la main, m'entraîne à l'écart, et me sussure :
- Please ! Give me a french kiss...
Nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je bande, avec indécence ... gestes précis, plus besoin du verbe, elle extirpe, experte, de mon pantalons mon dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Elle ouvre sa chemise, exhibe deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et s'introduit mon membre oblong. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce qu'il disparaisse ...dans l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon pénis, sur ses mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles, et sa cyprine qui coule sur mes bourses sensibles, Ses jambes se resserrent, elle tremble. Elle a du jouir, il me semble... Quand à moi, rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui avoue mon désir d'enfin la satisfaire. En son ventre offert mon sexe put se complaire, et je me répandis en une apothéose … Remise de ses émotions Elle se retire de mon aiguillon, se positionne dans l'autre sens. Je ne me fais pas prier deux fois, En à peine quelques allées-venues, mes mains accrochées à ses fesses, ma queue en elle... explose ! Fin de la fête,
C'était la première fois. J'avais bien décidé, une fois dans son ventre, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien amusé et on a tant ri, que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui !


Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
french kiss (E)
Cette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Elle se dirige vers moi. Baiser rapide dans le cou, elle me prend la main, m'entraîne à l'écart, et me sussure :
- Please ! Give me a french kiss... ...

@

La voix de Barbara


La voix de Barbara est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinent sous le décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu du chemisier. Je suis litteralement scotché
- Ils sont à ton goût ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tente de me ressaisir. Elle se penche sur moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps. Elle se colle et m’enlaçe ... puis me tend ses lèvres. Je tente de resister mais plus bas, mon désir monte, presque douloureux, c'en est presque indecent.
- Dis moi ... je ne te laisse pas indifferent !
Gené, je cherche à detourner le sujet
- Comment une reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient jauger délicatement le relief de mon pantalon
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est développée !
J'ai le corps en feu.
- Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance et mon embarras semble l'amuser
- Paul je sens ton regard et ça m’excite me lance-t'elle en se caressant un sein à travers son chemisier
- Je ne peux pas te laisser comme ça ... Laisse moi faire !
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis le suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte rapidement, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé !
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber sur le tissu tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, se colle à moi, par devant cette fois, elle m’enlace et m'embrasse. Je l’embrasse pour la première fois, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagie, voilà que je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette. Je suis litteralement aimanté vers elle. Je me colle à elle et elle m’embrasse. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Je caresse d’abord doucement ses gros seins puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Alors je descends jusqu’à son sexe. J’écarte les pans de son déshabillé et j’y infiltre ma langue à la recherche du clitoris. Je le titille de plus en plus vite. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son sexe. Je la suce avidement. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle se déshabille devant moi. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules.
Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi
La voix de Barbara (E)
La voix de Barbara est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinent sous le décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu du chemisier. Je suis litteralement scotché
- Ils sont à ...

@

après l'étreinte


Nos corps sont repus... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Il reste planté en moi, immobile ... Je sens un flot de sperme ruisseler sur mes cuisses. Je suis inondée d'une douce chaleur. Il semble vidé, épuisé, comme moi, après tant de luxure, il se relâche totalement, avec des grondements d'ours blessés.

Courtisane lascive, soumise et attentive, je me suis pliée sans effort au rythme de son corps. Au plus profond de moi, son sexe s'est fait roi, durci à l'extrême limite de mes parois. Sous ses furieux assauts chacun de mes orgasmes a fait monter son désir d'expirer en moi en un dernier spasme. Et lors de l'implosion, contractions, convulsions, se sont emparées de moi, recevoir sa semence a été ma plus douce jouissance.

Et maintenant, les voiles se referment, la tension se relâche, une chaleur humide s’épanche de nos corps. Je conserve un moment dans ma chair son sexe emprisonné, puis je le laisse diminuer de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s’échappe alors totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de son jus qui coule délicieusement entre mes fesses.
Puis sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Il se retire de moi, lentement, et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'ai encore jamais rien vu de pareil. Ma robe chiffonnée sur le sol, ma culotte trempée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve est rouge et gonflée, entièrement imprégnée de sperme. Mes seins sont couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve liquide coule sur mes cuisses, sous moi, sur les draps. Je suis ouverte comme jamais. Il git sur le lit avec son sexe gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. Il m'emeut.
après l'étreinte (E)
Nos corps sont repus... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Il reste planté en moi, immobile ... Je sens un flot de sperme ruisseler sur mes cuisses. Je suis inondée d'une douce chaleur. Il semble vidé, épu ...

@

Sergine


D’un geste, je fis glisser ma petite jupe bleue qui s’écroula à mes pieds. Sans même qu’elle me le demandât, j’ôtai aussi mon corsage, et demeurai simplement vêtue d’une courte culotte très collante en jersey de soie bleu pâle, et d’un très léger soutien-gorge de tulle, bien serré sur mes jeunes seins. Alors, sans un mot, la grande blonde se leva, me prit par la main, et collant son corps au mien, m’entraîna sur le divan où nous tombâmes ensemble. Avec brusquerie, elle m’embrassa sur la bouche, et je sentis sa langue fraîche franchir le rempart de mes dents consentantes. Longuement cette langue fouilla ma bouche, me grisant de sa caresse. Les seins durs de la lesbienne se pressaient contre ma poitrine. Ses mains glissées derrière moi m’étreignaient la croupe, enfonçant entre mes fesses le fin jersey de ma culotte. Vibrante d’ardent désir, je lui rendis son baiser, et explorai à mon tour l’antre hospitalier de sa bouche ouverte. D’une main fébrile, Sergine fit sauter le bouton de mon soutien-gorge. Délivrés, mes seins dardèrent, irrités et durs, prêts aux caresses. Alors avec un sourd gémissement de plaisir, la belle blonde colla sa tête à ma poitrine, et saisit entre ses lèvres la pointe d’un sein qu’elles pressèrent.

Avec un cri, je renversai la tête et offris mieux encore mon sein à la subtile caresse. Emprisonné dans la bouche de la femme qui le suçait ardemment, il écrasait entre les dents de nacre son beau globe de chair brûlante. Et lorsqu’enfin la bouche le délivra, je me renversai sur les coussins, folle de plaisir. Sergine se leva, et arracha sa veste de pyjama, mettant au jour une victorieuse poitrine, à la peau blanche comme du lait. Elle dénoua le pantalon de soie noire, qu’elle enjamba. Elle était divine, dressée dans l’épanouissement de sa chair. Seule sa croupe était emprisonnée dans une mince culotte de soie blanche, rendue vivante par le gonflement des fesses magnifiques. Elle s’abattit sur le divan comme une bête ivre d’amour. De nouveau, nos corps se soudèrent, nos jambes s’enlacèrent, et nos reins houleux se livrèrent un harmonieux combat. Je sentais contre mon ventre la courbe du sien, et nos seins roulaient, pressés par notre étreinte. Les mains de la lesbienne caressaient à nouveau mes fesses, par dessus la culotte. J’en fis autant, et effleurai de mes doigts tremblants le fond du pantalon de soie que portait ma nouvelle amie. Sergine poussa un soupir ; alors avec sauvagerie, je me mis à pétrir ce splendide derrière, et mes ongles crispés déchirèrent la soie blanche. La jeune femme se pâma, s’écrasant encore plus contre mon corps. Nos culottes collantes et minces nous permettaient de sentir le gonflement de nos féminités. Et le rythme de l’amour, pareil à celui de l’homme, nous conduisait à l’extase dans le magnifique tumulte d’un corps-à-corps éperdu.

Soudain, ensemble, nous poussâmes un cri de volupté et de triomphe. Et tandis que dans mes bras Sergine se renversait, presque évanouie, je sentis ma culotte se tremper brusquement d’un fluide d’amour.

Alors, le silence et la pénombre pesèrent sur nos corps apaisés, double forme nouée, blanche et pâle sur les coussins noirs du divan.
Sergine (E)
D’un geste, je fis glisser ma petite jupe bleue qui s’écroula à mes pieds. Sans même qu’elle me le demandât, j’ôtai aussi mon corsage, et demeurai simplement vêtue d’une co ...

@


Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, sa langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge. Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot. Mon vit sanglote de salive. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe gonflé s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. Elle me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte.

(E)
Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression d ...

@


(E)
...

@


Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, sa langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge. Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot. Mon vit sanglote de salive. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe gonflé s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. Elle me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte.

(E)
Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression d ...

@

le baiser


D'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche.
Je lui donne un leger baiser sur le bord des lèvres, nos bouches se cherchent, se rapprochent, se trouvent, enfin, a l'abri des regards, elle m'embrasse, éperdument ....
je suis ivre, je tremble. Je brûle. Je goûte ses lèvres douces et parfumées, c'est un baiser profond, sensuel, mouillé.
je l’embrasse avec douceur. Je goute enfin ses lèvres délicieuses mélangeant mon souffle au sien. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes. Elle a les yeux fermés, est absente, Elle m’embrasse toujours, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau.
Nos jeux de langues s'intensifient pendant de longues minutes. Nos lèvres se rejoignent. Accélérant les battements de nos cœurs. Je vole. Je rêve. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser !
Nos bouches se séparent une fraction de seconde. Puis elle m'offre sa bouche. Nos langues se cherchent un instant puis se lancent dans une course effrénée. Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il enfonce sa langue et la tourne lentement, doucement autour de la mienne. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Il m'embrasse avec fougue ... Le baiser est long. Il me lèche les levres, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. Il me suce, me mordille. nos bouches se soudent.Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues.
Nos baisers deviennent de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s'accélère.
Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses.
Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Notre baiser se prolonge longtemps,
accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés,
de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre.
Nous nous dévorons, répondant sans retenue à l'appel de nos sens.
Je ferme les yeux pour mieux savourer, m'abandonnant à ce long baiser sensuel.
le baiser (E)
D'abord cueillir sa bouche... C'est elle qui vient au devant de mes lèvres, nos lèvres se frôlent. Ses lèvres s'entrouvrent, se posent sur les miennes, Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche.
...

@

@


(E)
...

@


(E)
...

@

@

dans la fièvre


Je la prends dans son lit. Elle est là, contre moi, dans la fièvre de moi ... Je glisse en elle, puissement et de plus en plus vite. Je m'arrête, je reviens, je ressors. Ses lèvres me happent, m'attrapent, m'emprisonnent. Ses parois se contractent pour m'aspirer en elle. Elle halète et soupire au même rythme que moi. Tout son corps imprime le mouvement et le rythme. Elle se cambre, mes mains, montent et descendent le long de ses jambes. Et son rythme, les mouvements de son corps, comme une onde, se propagent à mon corps. Je vais et je viens, de plus en plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne pense plus, je bande !

Puis, d'un coup, de violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute, elle jouit ! Serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonne. Elle se soulève, se cambre, comme tétanisée. se laisse emporter dans un long râle. Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'est la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont déjà irradiés de joies intimes. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice Elle se déchaîne, crie, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps vibre. Elle part...
envolée prodigieuse, elle brâme, elle rugit, C'est une longue plainte sauvage, un long râle de volupté Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort.
Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Son corps se tend et vibre, elle jouit et m'emporte avec elle. Je me lache. Je jaillis dans son ventre qui m'avale, qui me boit. Je me vide, par saccades, Je m'immerge dans son corps, je me noie. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.

Mon corps disparaît dans le sien, je suis cette verge qui la bourre, l'enfonce, reviens et repart. Je sens le sperme qui monte, progresse par paliers, accentue sa pression, Il monte encore, je me tend, je me bloque ... c'est la première giclée. Chaude, visqueuse, elle explose au fond de son vagin. puis une seconde et une troisième. Nous gardons le rythme, continuons à nous agiter dans tous les sens. Les salves faiblissent. Le rythme se ralentit, s'adoucit. Je sors de son ventre, lentement. Remonte le long de ses lèvres. Ses jambes glissent le long de mes cuisses, Elle s'assied, se penche vers mon sexe, encore dur mais déjà mollissant. Je caresse ses cheveux. Merveilleuse inconnue.
dans la fièvre (E)
Je la prends dans son lit. Elle est là, contre moi, dans la fièvre de moi ... Je glisse en elle, puissement et de plus en plus vite. Je m'arrête, je reviens, je ressors. Ses lèvres me happent, m'attrapent, m'empri ...

@