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mercredi 17 décembre 2025 - 23h21
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souvenirs d'un lundi après-midi


C'était la derniere journée de notre coiffeuse avant la fermeture annuelle , les derniers clients étaient partis. Il ne restait plus que moi. J'etais assis à quelques metres d'elle. Occupée un moment à regarder ses comptes, elle croisait et décroisait ses genoux denudés au comptoir et cela me fascinait. Je me suis souvenu des delicieux moments ou elle me coiffait en glissant sa main dans mes cheveux me provoquant de veritables frissons. Sa poitrine venait alors s'appuyer legerement sur mon visage au contact de ma joue. Je respirai ses effluves et son parfum ce qui me troublait au plus haut point. Je me suis rappelée de ses regards furtifs vers moi les semaines précédente lorsque j'attendais d'être coiffé et que je la regardais parfois avec un peu trop d'assiduité
- A votre disposition, quand vous voulez !
Elle me reveilla brutalement de mes reveries interdites. En m'installant dans le fauteuil, je pressentais que quelque chose d'imprevu allait arriver. Je remarquai immediatement qu'elle avait ouvert le haut de sa robe laissant entrevoir une gorge veritablement affolante affolante. Elle commenca à me coiffer beaucoup plus lentement que d'habitude en mettant directement ses souples rondeurs au contact de mon visage. Je respirai les effluves d'un envoutant parfum de lavande. J'avais la tres nette impression qu'elle agissait ainsi de maniere deliberée. Elle soulevait les bras pour enfiler sa main dans ma chevelure, degageant sous ses aisselles ses formes ensorcelantes, je n'arrivai plus à dissimuler mon émoi sous la forme d'un relief genant pointant a la verticale de mon pantalon. Elle le regarda en me gratifiant d'un sourire ravageur ce qui ne fit qu'aggraver mon état. C'est alors qu'elle stoppa son travail et me regarda droit dans les yeux:
- J'ai bien vu votre regard depuis tout à l'heure, ce n'est pas la premiere fois !
- Vous aimez bien me regarder ? Je vous plais tant ?
- A chaque fois que vous venez, votre regard ne me quitte pas !
- Vous, vous avez besoin de soins particuliers !
Je n'ai pas compris tout de suite le sens de cette phrase, jusqu'à ce qu'elle se dirige vers la porte qu'elle ferma à clef, puis elle abaissa le rideau et revint vers moi. Elle vint se positionner face à moi dans cette officine desormais vide. Sans dire un mot, et tout en me regardant fixement, elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe, livrant à mon regard une gorge splendide soutenue par une delicieuse combinaison de soie blanche laissant entrevoir de splendides poitrines, à peine comprimées par le doux tissu.
- Vous voulez les voir ?
Elle était desormais là devant moi, sans complexe, robe ouverte, offerte. Les caresses du tissu sur sa peau laissaient saillir les pointes de ses seins, épousant au plus pres son corps souple et chaud. Puis elle fit glisser subrepticement la bretelle droite de son soutien-gorge, dégagea l'épaule gauche. Ses seins s'affaisserent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leva d'un coup sous le fin tissu de mon pantalon, il durcissait et pointait maintenant de maniere indecente. Elle remonta ses mains sous ses lourdes poitrines qu'elle soupesa et malaxa lascivement sous mes yeux jouant avec les plis du tissu leger. Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant, j'étais interdit.
- Vous pouvez les toucher ! Ne soyez pas timide !
Je commencai alors à la carresser, à palper ses beaux seins, souples sous la soie, la pression monta de nouveau d'un cran.
- Vos main sont chaudes !
Encouragé par l'absence de reactions negative, ma main droite glissa plus bas, sur sa peau douce au dessus de genoux, je remontai alors doucement ma main sous la soie au contact d'une cuisse douce et chaude, Je sentais un corps voluptueux. elle ne reagissait toujours pas mais son sein droit vint s'appuyer plus franchement sur mes lèvres. Je continuai ma progression entre ses deux cuisses qui se sont alors écartés comme si elle m'encouragait à poursuivre. Ma main remontait plus haut, se glissait maintenant entre ses deux cuisses la ou le peau est si douce et chaude, elle arrivait au contact d'une fine culotte de soie legerement humide, lorsque brutalement, elle serra ses cuisses autour de ma main et me fixa avec des yeux presque severes. Son visage se transformait. Elle commença à trembler. Des frissons de plus en plus forts la secouerent. Elle se cambra dans un spasme violent et retomba toute molle contre moi. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre. Je touchai cette lingerie fine et douce, pleine de de son odeur.

Elle s'installa alors assise sur le buffet. Elle defit discretement une fine culotte qui tomba à terre. Elle me regarda en me fixant intensément. Puis elle releva sa jupe, me chevaucha sur le siege, extirpa mon sexe raide comme une barre et le presenta devant sa vulve humide et grande ouverte. Puis, vint le moment sublime ! Elle se laissa glisser lentement, tout doucement sur mon mat congestionné. Elle s'enfonca en moi, Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, elle m'aspirait dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça absorbant ma verge comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Elle se laissa glisser voluptueusement, je la pénétrai puissement. Son regard devint plus brillant, legerement vitreux, je m'enivrai de ses effluves. Elle m'encourageait, le spectacle de ses seins ballottant sous mes yeux me redonnait encore de la vigueur, nos ventres se touchaient, se frottaient l'un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle gemissait doucement, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait !
- Je vous en prie ! Venez ! Vite !
Je n'y tins plus ... je me figeai, je me bloquai ... et je me lâchai au fond de son ventre. Je jaillissais dans sa chair par jets successifs. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaissai sur elle.
Lorsqu'elle s'est retirée de moi, lentement, sortant ma verge ramollie de sa vulve trempée, je restais assis, affalé sur le fauteuil avec mon sexe gluant posé tristement à travers mon bas-ventre. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur ses cuisses. Elle était ouverte comme jamais, ses énormes seins étaient rouges et gonflés, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle me fit un baiser, se rhabilla et me signifia qu'il était temps de sortir
J'ai repensé toute la nuit à ma tendre caresse sur ses seins, mes rales éperdus au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
souvenirs d'un lundi après-midi (E)
C'était la derniere journée de notre coiffeuse avant la fermeture annuelle , les derniers clients étaient partis. Il ne restait plus que moi. J'etais assis à quelques metres d'elle. Occupée un moment &agra ...

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pulsion soudaine


Avec le bruit des machines, Angela ne m'a pas vu. Elle ne sait pas que je la vois. Sa main déboutonne le haut de son chemisier, avant de disparaître dans son soutien gorge et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gorge laisse bientôt s’échapper ses seins généreux aux pointes maintenant durcies. Sa respiration devient haletante, Après avoir écarté un peu plus ses jambes, sa main droite remonte entre ses cuisses, relève sa jupe. Sa main y plonge afin de poursuive ses caresses intimes. Sa main s’active, elle sollicite son clitoris. Sa respiration se fait plus rapide, son corps ondule sans retenue, sa langue lèche outrageusement ses lèvres. ses yeux brillent. Je n'en peux plus.

Je m'avance lentement vers elle, et j'agrippe ses hanches. Elle sursaute, désorientée, cesse brusquement ses caresses intimes, visiblement interrompue brutalement dans son rêve érotique,
Elle veut reprendre ses occupations sur la table de travail mais je me presse contre elle et lui signifie un autre projet pour elle, et pour moi. Je m'empare de ses seins. Je les libere de leur carcan de tissu. Ils jaillissent énormes, d'un blanc laiteux parsemé de veines bleues. Les bouts sont durs. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel.
Je la plaque contre le mur, elle n’offre aucune résistance. je n’y tiens plus. Ma main remonte sous sa robe, relèvent et glissent sous sa combinaison de nylon. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Je me sens mâle en rut. La tension est si forte ! Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
Je commence à la déshabiller. Elle ne resiste plus vraiment. Sa robe tombe au sol, soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Collé contre elle, je lui fais sentir ma vigueur de mâle, ma verge se dresse bien raide et bien dure entre ses cuisses. Sa vulve que je palpe est complètement trempée et distendue
Nous avançons lentement, je l'installe sur la table, moi lui barattant avec mes doigts ses intimités, Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle devient toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe, toute molle. Mon sexe a doublé de volume et devient sensible, presque douloureux. Je la tire vers moi, lui fais écarter les cuisses, je guide mon penis, je la pénétre lentement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. J'empoigne ses fesses et la souleve au maximum, sa grotte est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne et la fait rouler à côté de moi. Comme je n'ai pas encore joui. j'enfonçe de nouveau mon sexe dans sa fente et fait coulisser mon gland. Et je pars en de longues giclées dans son ventre.
Une poussée, deux poussées, Ohh Ouuii ! et je la remplis.
pulsion soudaine (E)
Avec le bruit des machines, Angela ne m'a pas vu. Elle ne sait pas que je la vois. Sa main déboutonne le haut de son chemisier, avant de disparaître dans son soutien gorge et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gor ...

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Angela


Angela passait l'aspirateur à quelques mètres de moi. Sa robe de chambre fluide soulignait une croupe genereuse et une belle poitrine, légèrement mobile. je la voyais se mouvoir, de maniere terriblement sensuelle, je sentis un désir inextinguible monter en moi. En quelques pas, j'étais près d'elle. Je mis ses mains sur ses hanches.
Elle se retourna, me vit, pâlit et laissa tomber le manche de l'aspirateur. Debout, comme siderée, elle semblait attendre. Je l'attirai vers moi, très doucement, lui faisant sentir de maniere assez explicite la realité de mon desir. Je mis mon bras autour de ses épaules et la guidai vers la chambre d'ami. Ses yeux à demi-clos me scrutaient. Les bras écartés, offerte, immobile, elle semblait soumise. J'entrepris de la déshabiller. Elle était totalement passive, mais dans ses yeux brillait une forme de désir. Je détaillais ses formes, sa peau sombre, sa toison développée, ses beaus seins, souples, et legerement tombant. Je bandais comme un fou entre ses jambes. Elle ne pouvait pas l'ignorer. Docile, elle écarta les cuisses lorsque je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime d'où sourdait un musc parfumé. Je touchais et flattai doucement son clitoris. Elle eut alors un leger spasme, doublé d'un discret gemissement rauque; ses mains se glissèrent sur mes joues, me caressant doucement le visage. Je l'embrassai goulûment à pleine bouche. Sa bouche, un peu froide, se donna, mais ses mains me bloquèrent aux épaules quand je voulus m'introduire en elle.
- "Monsieur !. Que faisons nous ?" soupira-t-elle entre deux soupirs.
Je n'en pouvais plus, je la voulais. J'avançais mon gland à l'entrée de sa vulve. le gland entra immédiatement dans son ventre. Elle eut un soupir puis se cambra avant de se détendre. Je la pris alors par les hanches et continuai de m'enfoncer dans son ventre. Quelle extase! Son vagin commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'au fond, avec infiniment de douceur. L'étreinte de son vagin était sublime. Ses gemissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Je n'allais pas pouvoir tenir longtemps .... Ses propos étaient incompréhensibles mais exprimaient de manière on ne peux plus claire son excitation et son plaisir. Je coulissais en elle comme un animal en rut. Mes bourses, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant. Puis, je sentis l'orgasme arriver, je m'enfonçai à fond en elle et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles visqueuses en une succession de cris rauques. L'ultime jet nous terrassa. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un dans l'autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses.

Nous reprîmes nos esprits. Je fus le premier à me lever et à lui apposer un baiser tendre sur la nuque. Après mes ablutions, je la conduisis vers la salle de bains. Là, Angela, le visage défait et épanoui à la fois, pris pour la première fois une douche chez moi.
je la regardai se laver.
- "Merci, Monsieur" parvint-elle à me dire.
Je voulus l'embrasser mais elle se détourna. Déçu, je voulus lui dire quelque chose mais elle me devança:
- "Il vaut mieux non, Monsieur. Je vais aller travailler. Il y a encore beaucoup choses à faire dans la maison".
Angela (E)
Angela passait l'aspirateur à quelques mètres de moi. Sa robe de chambre fluide soulignait une croupe genereuse et une belle poitrine, légèrement mobile. je la voyais se mouvoir, de maniere terriblement sensuelle ...

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dans sa chambre


Angela me conduisit dans sa chambre puis elle s’allongea sur son lit. Elle écarta doucement les jambes, me fis signe qu'elle était prête tout en me scrutant de son regard perçant. Je m'approchai d'elle et je la pénétrais doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppant mon pénis bandé pour elle, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace. Elle sourit et inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Angela, je vous sens bien, et vous ?
- Oh Monsieur ! Je vous sens fort
- Vous êtes prête pour aller jusqu'au bout, Angela ?
- Oui Monsieur, je suis à vous.
Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais resta quand même bien raide. J'en profitai pour continuer à me coulisser un peu en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux gros seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai de nouveau au fond de son ventre,
- Angela ! Je vais bientôt venir, vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! je vous sens bien, je suis prête ! !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Empalé à fond, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant. Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regardez bien mes seins palpez les, et mettez le moi bien profond !
Elle se déchaînait, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
- Angela ! Je viens !
- Oui Monsieur ! Allez-y ! Je suis prête !
et dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela. Je jouissai une deuxième fois, je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, Angela, vous êtes si douce !
- Oh Monsieur ! C'est si bon !
Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
dans sa chambre (E)
Angela me conduisit dans sa chambre puis elle s’allongea sur son lit. Elle écarta doucement les jambes, me fis signe qu'elle était prête tout en me scrutant de son regard perçant. Je m'approchai d'elle et je ...

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Angela


La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Monsieur !
- Détendez vous Angela ! Vous avez de beaux seins !
- Mes seins ? Oui, c'est vrai, ils sont encore bien fermes.
je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses.
- Vous sentez Angela ? comme vous me troublez !
- Je vous fais tant d'effet ?
Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé.
- Monsieur ! Vous êtes en train de m'exciter !
je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement
- Monsieur ! Vous touchez des endroits intimes !
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas :
- Oh Monsieur ! Je n'ai jamais joui aussi fort !
Son visage se transforme, elle semble réfléchir, je l'interrompt
- Angela ! On ne va pas en rester là !
Je saisis sa culotte de soie que je fais glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique, silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre.
- Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrassez moi !
- Venez allons dans ma chambre !

Je la prend par la main, l'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nous. Délicatement, je dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds.
- Je peux la prendre ? je la garde ... en souvenir
Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Je profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse.
- Tenez ! prenez ma nuisette dans la table de nuit !
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant.
- Eh bien ? qu'attendez vous ?
J'avance mes doigts plus bas dans son pubis, j'écarte bien ses lèvres, elles sont toutes distendues, pretes pour m'accueillir. J'en profite, je hume pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves. J'approche mon sexe, et je l'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres,
- Hummmm comme je te sens bien, Angela, et toi au fait ? Tu tiens toujours ?
- Je vous sens fort, périlleux, fougueux. Laissez-vous aller mon bel homme, je suis tout à vous.
- encore ... ouiii ... ça vient ! OUIII ! .... Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre,
- oh oui, je vous sens, remplissez-moi encore, enfoncez moi, là, je vais jouir !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regardez bien mes seins, c'est bon ! vous êtes bien profond en moi, allez-y, coulissez fort !
Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances.
Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur
Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir,
Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle.
Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne,
Qui me fait comme un souvenir le jour durant.
Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme
Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses.
Cette lingerie si remplie de nous deux,




Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite.
Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main.
Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains.
Angela (E)
La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Monsieur !

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Sa main s’active


Après avoir écarté un peu plus ses jambes,
sa main relève sa combinaison, remonte entre ses cuisses, .
Elle y plonge afin de poursuive ses caresses intimes.
Sa main s’active, elle sollicite son clitoris.
Sa respiration se fait plus rapide,
son corps ondule sans retenue,
sa langue lèche outrageusement ses lèvres. ses yeux brillent.
Sa main écarte le haut de sa combinaison,
avant de disparaître dans son soutien gorge
et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gorge laisse bientôt s’échapper
ses seins généreux aux pointes maintenant durcies.
Sa respiration devient haletante,
Sa main s’active (E)
Après avoir écarté un peu plus ses jambes,
sa main relève sa combinaison, remonte entre ses cuisses, .
Elle y plonge afin de poursuive ses caresses intimes.
Sa main s’active, elle sollicite s ...

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Que faites-vous Monsieur


La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Que faites-vous Monsieur ?
- Détendez vous Angela ! Vous avez de beaux seins !
- Mes seins ? Oui, c'est vrai, ils sont encore bien fermes.
je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses.
- Vous sentez Angela ? comme vous me troublez !
- Je vous fais tant d'effet ?
Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé.
- Monsieur ! Vous me mettez dans tous mes états !
je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement
- Monsieur ! Vous touchez des endroits intimes !
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas :
- Oh Monsieur ! Je suis toute bouleversée !
Son visage se transforme, elle semble réfléchir, je l'interrompt
- Angela ! On ne va pas en rester là !
Je saisis sa culotte de soie que je fais glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique, silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre.
- Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrassez moi !
- Venez allons dans ma chambre !

Je la prend par la main, l'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nous. Délicatement, je dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds.
- Je peux la prendre ? je la garde ... en souvenir
Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Je profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse.
- Tenez ! prenez ma nuisette dans la table de nuit !
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant.
- Eh bien ? qu'attendez vous ?
J'avance mes doigts plus bas dans son pubis, j'écarte bien ses lèvres, elles sont toutes distendues, pretes pour m'accueillir. J'en profite, je hume pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves. J'approche mon sexe, et je l'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres,
- Hummmm comme je te sens bien, Angela, et toi au fait ? Tu tiens toujours ?
- Je vous sens fort, périlleux, fougueux. Laissez-vous aller mon bel homme, je suis tout à vous.
- encore ... ouiii ... ça vient ! OUIII ! .... Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre,
- oh oui, je vous sens, remplissez-moi encore, enfoncez moi, là, je vais jouir !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regardez bien mes seins, c'est bon ! vous êtes bien profond en moi, allez-y, coulissez fort !
Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances.
Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur
Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir,
Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle.
Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne,
Qui me fait comme un souvenir le jour durant.
Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme
Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses.
Cette lingerie si remplie de nous deux,




Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite.
Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main.
Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains.
Que faites-vous Monsieur (E)
La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Que faites-vo ...

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Elle me réchauffe de son corps


Elle me réchauffe de son corps, me caresse de ses seins lourds et souples, ils sont mous et tendres. Son regard brille, son visage s'éclaire. Ses seins pendent comme des fruits murs ils se frottent contre mon torse, j'effleure de mes lèvres ses mamelons pointus. Elle se cambre, me fais entrer dans la chaleur de son intimité. Nos yeux s'illuminent. Elle m'aspire en elle, je vais et je viens, avec joie et jouissance, enfoui dans sa chair. Elle m'embrasse partout et me conduit au paradis. Je ne sais plus où je suis. Nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle
la vague se retire lentement nous laissant épuisés. Nous restons ainsi en silence sans bouger unis l'un à l'autre pour nous redire des mots tendres
Elle me réchauffe de son corps (E)
Elle me réchauffe de son corps, me caresse de ses seins lourds et souples, ils sont mous et tendres. Son regard brille, son visage s'éclaire. Ses seins pendent comme des fruits murs ils se frottent contre mon torse, j'effleure ...

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je m'insere


Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes compriment mon penis… je gémis… elle gémit…
après un moment, je recommence mes va-et-vient, la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus profondément…
mes bourses fremissent en frottant sa toison. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde…
mon souffle est court, ses gémissements augmentent… Deuxième orgasme…
Je ralentis la cadence, je vais caresser le clitoris tout en continuant de la pénétrer doucement,
je parcours son dos, ses hanches, ses cuisses… Elle gémit de plus en plus fort, Je n’en peux plus,
Elle contracte ses muscles et jouit très fort. Je laisse fuser en elle plusieurs giclées et m'effondre sur son dos.
Je suis toujours en elle, je reste debout, sans bouger, les yeux clos et je goutte les mouvements de son bassin.
je m'insere (E)
Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes ...

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lingeries


Je passais ce soir là devant la chambre de Louise, notre aide menagere. Son armoire était restée ouverte, présentant sous mes yeux sa lingerie fine qui, face à mes 18 ans me fit immediatement fantasmer, quitte à alimenter mes pollutions nocturnes. Je revais de la toucher, respirer son parfum et elle était là, à ma portée. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une adorable combinaison rose, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles. Je pris dans mes mains une combinaison couleur ivoire encore tiède et je respirai ses effluves. le contact du tissu soyeux aggravait systématiquement mon etat ! Je l'ai emmenée avec moi me jurant de ne rien lui avouer.
Retiré dans ma chambre, Je l'enfilais et profitais de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu faisait gonfler ma verge comme jamais. Sa douce lingerie sentait bon la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caressais le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu, la jolie dentelle titillant agréablement mon corps. Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux. Je sentis alors mon sperme bouillonner dans mes bourses, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance. J'ai fini par m'endormir. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la douce combinaison de Louise.

Le lendemain matin, j'enlevai la combinaison et m'apprêtait à la remettre à sa place dans l'armoire de Louise. C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle me dit avec un sourire rempli de malice
- Vous aimez ma lingerie ?
Apres m'avoir observé un moment, elle alla fermer la porte de la chambre et revint vers moi,
- Vous voulez choisir celle dans laquelle vous aimeriez me voir ? ... Je la mettrai pour vous !
Puis, délicatement, elle dégagea devant moi les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds, ne laissant sur elle qu'une fine culotte de soie et un soutien-gorge valorisant de magnifique poitrines.
- Vous la voulez ? Vous pouvez la prendre ! je vous la donne ... en souvenir
Je pris la combinaison encore tiède et qui diffusait ses effluves. Puis elle me demanda de choisir une lingerie de nuit dans laquelle j'avais envie de la voir. En ouvrant le tiroir, à coté de ses dessous intimes, de ses petites culottes en soie ajourées de dentelles rangées sommairement, Je repairais une nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Prenez la ! Je vous laisse la mettre sur moi !
Je la passais au dessus de sa tête et l'ajustais sur sa poitrine. le haut épousait la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissaient sur le satin; descendaient vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devenait manifestement mouillé. Je glissais mes doigts sous la soie.
Elle me prit alors contre elle, passa une jambe entre les miennes, entoura ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine. Puis elle écrasa ses seins contre mon torse et ne bougea plus. J'étais fou. Elle me regarda en souriant.
- Eh bien ? qu'attendez-vous ?
Elle me donna alors un tres sensuel baiser qui acheva de me faire fondre. Elle me regarda fixement
- Tu comptes me regarder longtemps ?
- Tu veux bien ôter mon soutien-gorge ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, caressant ses seins à travers la dentelle. Puis je passai mes main dans son dos pour degrapher le doux tissu qu'elle jeta negligement sur le lit. Puis elle commenca à me deshabiller lentement.

Malou prit ma main et m'entraîna vers le lit. Elle serra son corps contre le mien, me fixa de nouveau dans les yeux,
- Julien je vais te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Malou se laissa alors couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle aspira, sur toute sa longueur. Elle suçait ma verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui m'excitait au plus haut point. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de mon mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts m'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce qu'elle était en train de provoquer
- Malou ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, dirigea son regard vers le mien.
- Julien, mon chéri, tu vas venir en moi et me donner toute ta sève, au fond de mon ventre.
Et elle se mit sur moi, pris mon sexe et se l'enfila sans attendre engloutissant aussitôt mon gland tumefié qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait elle aussi se faire jouir. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle coulissait vigoureusement sur mon dard pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Malou ! Oh Malou ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Malou resserra ses lèvres intimes autour de mon sexe pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle pompait avec ardeur mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle n'en finissait pas de pomper cette verge bandée, cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, Malou m'adressa un regard langoureux. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté à la scene. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai Malou. Vision de rève, irréelle. Le visage était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Elle recommença avec ses lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis mon corps se tendre une nouvelle fois, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, je n'y tins plus ! la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, contre moi, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Ses lèvres reprirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle me murmura dans l'oreille :
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant. Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que ma verge s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. Je me bloquais et je me vidais en elle dans une serie de spasmes genereux
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.
lingeries (E)
Je passais ce soir là devant la chambre de Louise, notre aide menagere. Son armoire était restée ouverte, présentant sous mes yeux sa lingerie fine qui, face à mes 18 ans me fit immediatement fantasmer, qu ...

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Elle ne m'a pas vu


Avec le bruit des machines, la femme de menage ne m'a pas vu. Sa main déboutonne le haut de son chemisier, avant de disparaître dans son soutien gorge et commencer de subtiles caresses. Son soutien gorge laisse bientôt s’échapper ses seins généreux aux pointes maintenant durcies. Sa respiration devient haletante,
Après avoir écarté un peu plus ses jambes, sa main droite remonte entre ses cuisses, relève sa jupe. Sa main y plonge afin de poursuive ses caresses intimes. Sa main s’active, elle sollicite son clitoris. Sa respiration se fait plus rapide, son corps ondule sans retenue, sa langue lèche outrageusement ses lèvres. ses yeux brillent.
Je m'avance lentement vers elle, et j'agrippe ses hanches. désorientée, la jeune femme cesse brusquement ses caresses intimes.
- Oh Monsieur ! Je suis confuse !
Interrompue brutalement dans son rêve érotique, Elle veut reprendre ses occupations sur la table de travail mais je me presse contre elle, et je m'empare de ses seins J'empoigne les beaux seins à travers le tissu. Je les libere. Ils jaillissent énormes, d'un blanc laiteux parsemé de veines bleues. Les bouts sont durs. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je la plaque contre le mur, elle n’offre aucune résistance. je n’y tiens plus. Ma main remonte sa robe. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. Je commence à la déshabiller. Sa robe tombe au sol. soutien-gorge de dentelle noire et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Collé contre elle, je lui fais sentir ma vigueur de mâle ma verge se dresse raide et dure entre ses cuisses. Je glisse ma main sous sa culotte, J'atteints sa vulve complètement trempée et distendue Nous avançons lentement, je l'installe sur la table moi lui barattant avec mes doigts ses intimités, Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle devient toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe, toute molle.
- Monsieur ! Vous me rendez folle !
mon sexe a doublé de volume et devient sensible, presque douloureux. Je la tire vers moi, lui fais écarter les cuisses, je guide mon penis je la pénétre lentement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. J'empoigne ses fesses et la souleve au maximum sa grotte est glissante, moelleuse et profonde.
Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne et la fait rouler à côté de moi.
Comme je n'ai pas encore joui. j'enfonçe de nouveau mon sexe dans sa fente et fait coulisser mon gland. Et je pars en de longues giclées dans son ventre. Une poussée, deux poussées
- Ohh Ouuii !
et je la remplis.
- Oh Monsieur ! Qu'avons nous fait ?
Elle ne m'a pas vu (E)
Avec le bruit des machines, la femme de menage ne m'a pas vu. Sa main déboutonne le haut de son chemisier, avant de disparaître dans son soutien gorge et commencer de subtiles caresses. Son soutien gorge laisse bientôt s ...

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Angela


Angela s'écarta de moi, me fixa avec des yeux legerement mouillés. Elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe, m'ouvrant la vision de sa délicieuse lingerie. Angela était devant moi, la robe ouverte sur sa combinaison blanche. Deux beaux seins généreux, dans une position d'attente. Elle était comme offerte, prête à se donner totalement. Je pris ses hanches et l'attirai vers moi, très doucement. Elle pâlit. Les bras écartés, offerte, immobile, elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Je caressais ses formes, sa peau sombre, puis ses beaux seins, legerements tombant, les pointes agressives. Je bandais à la limite de l'indécence. Elle devait s'en apercevoir. Elle écarta lentement ses cuisses, docile, et je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime et moite. Elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque.
Je n'en pouvais plus, je la désirais violemment et elle semblait receptive.

Délicatement, Angela dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Sa douce lingerie diffuse son odeur, son parfum, c'est chaud, c'est doux ! la douceur du nylon que je passe sur ma peau, fait gonfler ma verge comme jamais.
- Vous pouvez la garder en souvenir si vous voulez.
- J'ai une douce nuisette dans le tiroir de la table de nuit, qui va vous plaire, j'en suis sure
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une courte chemise de nuit tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en me fixant intensément.
- Monsieur ... Je suis prête !
Je dirige mon gland et je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Je la pénétre puissement au plus profond de son ventre. Elle gémit comme une petite fille. Profondément empalée sur ma verge, son jus tiède m'inonde le bas ventre, je m'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres toutes distendues. Je goute pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves.
- Vous me sentez bien, Angela ?
- Oh oui Monsieur ! C'est si bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner encore de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande encore plus au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante,
- Oh Monsieur ! Je vais jouir !
elle m'encourage à lui en donner encore plus ! Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'y tiens plus ... J'accélère, ... je me fige, je me bloque ... et je lâche un flot de sperme qui gicle par saccades au fond de son profond vagin
- Oh Monsieur ! C'est si bon ! Merci ! Vous m'avez fait du bien ! Il y a si longtemps !
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaisse sur elle, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je garde dans mes mains cette lingerie fine et douce, pleine de mon odeur, de son odeur, pleine de nos sécrétions amoureuses, cette lingerie que j'ai écarté un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, qui alors s'est tachée, de nos jouissances, de notre orgasme joyeusement partagée, cette lingerie si remplie de nous deux, et qui me fera comme un souvenir le jour durant.
Angela (E)
Angela s'écarta de moi, me fixa avec des yeux legerement mouillés. Elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe, m'ouvrant la vision de sa délicieuse lingerie. Angela était devant moi, la robe o ...