![]() | L'ascenseur était bloqué entre le 2e et le 3eDepuis toute la matinée il n'arretait pas de me regarder, il m'excitait et je n'avais qu'une hate, qu'il me deshabille sauvagement, qu'il me prenne, qu'il s'enfonce en moi, qu'il me la mette bien profond, bref, qu'il me baise ... goulument ! Il fallait que l'occasion se presente ... et elle s'est presentée peu avant la fermeture des bureaux. Nous nous sommes retrouves tous les deux dans l'ascenseur et, comme par hasard, la cabine s'est bloquée entre le 3e et le 2e. J'ai su par la suite que c'est lui qui l'avait bloqué. Confinés tous les deux dans cet espace clos, il n'en fallait pas plus pour que nous nous laissions aller à nos plulsions mutuelles. Apres avoir rapidement abaissé son pantalon, relevé ma robe et fait tomber ma fine culotte, j'ai relevé et serré mes jambes autour de ses hanches, je l'ai alors senti penetrer mon ventre, d'’un coup de rein, puissement, en poussant un "Aaahhh " de satisfaction, puis il s’est immobilisé au fond de moi, pressé entre mes muqueuses trempées. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe long, dur, enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il se retirait doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, puis rentrait de nouveau en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Ses va et viens étaient intenses, somptueux, sensuels. Nos ebats s'acceleraient, il me besognait de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations puissantes dans tout mon corps. C’etait violent, et intense. Ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan. Je l'ai senti s’immobiliser, son sexe profondement fiché au fond de mon vagin ... Son visage s'est crispé, je sentais mes muscles se contracter. et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla : “Oh... Marie... C'est si bon ! ” il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie Lentement, comme à regret, il s'est retiré de moi. J'ai senti sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J’étais aussi épuisée que lui. Je me regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il venait de jouir en moi, et me laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses. Je me sentais sans force. Il était toujours là devant moi, il me fixa à nouveau avec un regard d'envie, se remit à bander, sans retenue. Il revint vers moi, posa son sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil sur le mien, le poussa un peu en moi, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement excitant. Il s'enfonca bien au fond, écarta bien mes chairs rosées et fit durer le plaisir. puis Il accélèra dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Je jouissais, lui aussi ! Il se vidait de nouveau dans mon ventre, n'en finissait plus de se vider en moi ! Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 20 ans, j'étais sa jeune secretaire, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il avait tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Apres m'avoir baisé deux fois dans cette cabine d'ascenseur, Il s'est rhabillé en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres , il a remis en marche l'ascenseur et il s'est rapidement eclipsé. | L'ascenseur était bloqué entre le 2e et le 3e (E) Depuis toute la matinée il n'arretait pas de me regarder, il m'excitait et je n'avais qu'une hate, qu'il me deshabille sauvagement, qu'il me prenne, qu'il s'enfonce en moi, qu'il me la mette bien profond, bref, qu'il me baise ... gou ... |
![]() | il s’est approché de moiJe me souviens de cette soirée d'hiver au bureau. Je restais quasiment seule dans le service. Je rangeais quelques articles dans la remise. Le patron est venu derrière moi, a posé ses mains sur mes hanches puis, m'a embrassé dans le cou, je n'ai pas vraiment essayé de résister, je le laissais faire. Il a commencé à me caresser doucement, puis de manière plus appuyée. Ses mains puissantes ont commencé à glisser sous ma robe légère, relevant ma combinaison, le long de mes cuisses. Je sentais entre mes fesses le relief indécent son pantalon. Les coutures de ma robe ont craqué, il était presque brutal de maladresse. il m'a poussée contre les étagères et a aggripé mes seins qu'il a palpé et malaxés longuement. Puis je l'ai senti passer sa main entre mes cuisses. Je tentais, sans insister, de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Devais-je si vite lui succomber ? Je n'étais pas encore décidée. Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti. Je me suis rappelée ses regards furtifs depuis son bureau, et cela ne me déplaisait pas. Ses mains puissantes me caressaient avec audace et gourmandise. Il s’imposait, fort, viril, dominant. Il m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller. En fait je le désirais, je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier. Son pantalon est tombé et son sexe brûlant s'est mis à frotter contre mes cuisses. Il gémissait, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir montait irrémédiablement. J'étais troublée de la grosseur de son sexe. Il me caressa les cheveux. Puis sa main se referma sur ma nuque et il tira mon corps vers lui. Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Bestial, animal, il m'a pris. A bout de force, je l'ai senti entrer et ressortir en moi, violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors les etageres comme je pouvais. Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. | il s’est approché de moi (E) Je me souviens de cette soirée d'hiver au bureau. Je restais quasiment seule dans le service. Je rangeais quelques articles dans la remise. Le patron est venu derrière moi, a posé ses mains sur mes hanches puis, m'a emb ... |
![]() | La patronne est en entretien (Jacques Lucchesi) (1)À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. - Eh bien, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ... Je m’appelle Viviane. Et vous ? - Jérôme ? ... Jerome, ca vous va bien ! ... Je suis sûre que vous avez de très bonnes dispositions ! Elle alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi. Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand ne me laissant pas le loisir de reflechir trop longtemps, elle s'approcha de moi et sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Elle resta ains une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan - Vos lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien. - Jerome, je vous sens plein d'ardeur ! C'est bon signe ! Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. Elle revint vers moi, s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté. D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, assise sur le bureau, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour: - Jerome, montrez moi ce que vous savez faire ! Je restais sans voix. Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes - Vous sentez ? ... Je suis toute chaude .... et je mouille ! ... Allons ! Je vous attends ! Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente, - Je veux que vous me baisiez ... là ! ... Maintenant ! ... Allons ! Ne faites pas le timoré ! Elle se cambra et d’un coup de rein, elle aspira mon sexe, l'absorbant jusqu’aux couilles. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud. - Je vous veux bien profond ! Collez-vous à moi et sentez mes lèvres gourmandes ! - Redonnez moi vos lèvres ! ... Elles sont bien chaudes ! Et j'aime ! - Et maintenant, prenez mes seins ! Caressez les ! A pleines mains ! Ne soyez pas timide ! - Vos mains sont douces ! Vous savez vous y prendre. Nous progressons ! - Explorez moi ! Percez moi ! Perforez moi ! Baisez moi ! Avec ardeur ! - Deployez tout votre talent ! et montrez moi que vous êtes à la hauteur ! Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption - Non restez ! Bien au fond ! ... Et concluez ! Vite ! Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Elle resta là devant moi, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis ! - Jerôme, je crois que vous êtes plein de ressources ! Je n'en esperais pas tant ! Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - Je pense que vous êtes bon pour le service ! - Je vous attends mercredi pour faire le point, d'accord ? À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. - Je m’appelle Viviane. Et vous ? - Jérôme ! ... Ca vous va bien ! ... Je suis sûre que vous avez de très bonnes dispositions ! Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas, j'en profitais de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien. Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle me fixa avec fermeté, alla précipitamment fermer la porte à clef. Elle revint vers moi. D’une main sèche, elle jeta au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, se fit plus directive: - Donnez moi vos lèvres ... Elles sont toutes chaudes ! ... J'aime - Caressez mes seins ! A pleines mains ! Palpez les ! Petrissez les ! ... - C'est bien ! - Jérôme, je veux que vous me preniez, là sur mon bureau. Je restais sans voix. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. M'attirant vers elle, elle défit nerveusement ma ceinture et le temps d'écarter et de baisser rapidement sa fine culotte, puis elle prit ma main et l'amena entre ses cuissses - Vous sentez ? ... Je mouille ! .... Et je suis toute chaude ! Assise sur le bureau, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour : - Vous allez me montrer ce que vous savez faire ! D'accord ? Elle s'affairait sur moi, sortant ma queue, puis glissant mon gland le long de sa fente, Elle se cambra et d’un coup de rein, elle engloutit mon sexe, l'absorbant jusqu’aux couilles. Et je me sentis alors aspiré dans son ventre chaud. - Je vous veux bien profond ! - Collez-vous à moi ! Que je vous suçe, que je vous aspire ! - Explorez moi ! Percez moi ! Perforez moi ! Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. - Maintenant ! Vite ! Lachez-vous ! J'accélerai. Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, elle pouvait sentir mes jets de foutre. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coule dans sa fente. Elle se lèva en vitesse,sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours, - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis ! Je vous sens plein de ressources ! Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose. - Ok c'est bon ! ... vous êtes bon pour le service ! Merci ! (Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien). - Redonnez moi vos lèvres ! ... Elles sont bien chaudes ! Et j'aime ! - Et maintenant, prenez mes seins ! Caressez les ! A pleines mains ! Ne soyez pas timide ! - Palpez les ! Petrissez les ! ... Oui, c'est bien ! ... Ils vous excitent, hein ? - Vos mains sont douces ! Vous savezy prendre. Nous progressons ! | La patronne est en entretien (Jacques Lucchesi) (1) (E) À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. - Eh bien ... |
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