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Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse


Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, mon dessous de chemisier, mes dessous de dentelles. L'effeuillage est rapide, Il s’approche, me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve, une invite discrète :
- Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme !
Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.
Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse (E)
Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au p ...

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Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.
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Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. so ...

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Nous sommes seuls dans cette rue sombre, collés l'un à l'autre dans la chaleur de l'été. Il doit avoir quarante-cinq ans, sa peau est encore douce et chaude, son ardeur communicative. Sa jambe glisse entre les miennes et pénètre plus avant, son bras entoure ma taille, sa respiration s'accélère, nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Sa main presse la mienne. Il me serre contre lui.

Je le sens durcir contre mon ventre. Il me trouble. Un vertige me prend. Les lumières se font discrètes. Sa joue caresse la mienne, je reçois ses lèvres douces pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Nos corps se cherchent et se frottent. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Le contact de son sexe me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille, mes seins s'affermissent et deviennent sensibles au contact de son torse. Ses baisers dans mon cou me font frissonner. Ses mains s'attardent sur mes seins, ce contact me fait tressaillir.

Il m'entraine à l'écart, à l'abri des regards. Enlaçement, caresses, il emprisonne mon visage et s'active sur mes lèvres. Il les lèche, les suce, les aspire l'une après l'autre, puis toutes les deux ensemble. nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur sa poitrine, j'entends son cœur qui bat à coups sourds. Il s'attaque aux boutons de mon chemisier de soie il glisse sa main dans mon dos, dégrafe mon soutien-gorge. je deboutonne sa chemise, son torse est au contact de mes seins sensibles. Il s'affole, il m'affole, je prend sa tête dans mes deux mains, et lui murmure :
- J'ai envie de toi ...
ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Il joue de mon corps, me murmure:
- Moi aussi !
ses mains sont sur mes seins, descendent vers mon ventre, Il me suce, me mordille. Sa bouche me fait frémir. Je degage son sexe ferme, puissant monstrueux presque et le prends en main. Il est brûlant. Je le sens palpiter. J'écarte les cuisses et le dirige au bon endroit, je m'offre toute grande.
- Viens !
Il s'introduit en moi, doucement La pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Il se retire un peu et s'enfonce à nouveau, son regard est vitreux Nous restons immobiles de longues minutes. Je sens son sexe énorme palpiter dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Il occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un coup de rein, plus franc il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Il se cambre, puis s'affaisse sur moi avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
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Nous sommes seuls dans cette rue sombre, collés l'un à l'autre dans la chaleur de l'été. Il doit avoir quarante-cinq ans, sa peau est encore douce et chaude, son ardeur communicative. Sa jambe glisse entre les mi ...

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Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, mon dessous de chemisier, mes dessous de dentelles. L'effeuillage est rapide, Il s’approche, me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve, une invite discrète :
- Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme !
Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.
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Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au p ...

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