![]() | Une allée, une impasseUne allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, froissent ma robe, mes dessous. L'effeuillage est rapide, Il me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, le chaud de ses levres voraces m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre frissoner, mes jambes tremblent déjà, Je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve: mes lèvres entrouvertes s'offrent à ses mains qui me fouillent et se levres me suçent. - Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme ! son sexe, saillant et tendu sous le pantalon. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches. Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, cherche son trou, le trouve enfin, et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant, puissement, Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Nous ne faisons plus qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos odeurs, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Je me laisse aller, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée, jusqu'à l'épuisement ! Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | Une allée, une impasse (E) Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, froissent ma robe, mes dessous. L'effeuillage est rapide, Il me serre contre lui, agrippe mes &ea ... |
![]() | à sa merciMe voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches. Un relief explicite, tendu sous le pantalon. Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, cherche son trou, le trouve enfin, et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant, puissement. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Nous ne faisons plus qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos odeurs, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Je me laisse aller, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée, jusqu'à l'épuisement ! Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | à sa merci (E) Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches. Un relief explicite, tendu sous le pantalon. Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il re ... |
![]() | Jeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de languesJeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de langues, nous sommes collés l'un contre l'autre contre ce mur sombre, à l'ecart, et plus bas, nos corps emboités, un glissement indecent, une plongée puissante, une progression lourde, un frottement excitant, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Je m'enfonce, je me perd entre ses muqueuses Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Ses yeux sont gourmands. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. C'était un soir d'été Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | Jeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de langues (E) Jeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de langues, nous sommes collés l'un contre l'autre contre ce mur sombre, à l'ecart, et plus bas, nos corps emboités, un glissement indecent, une plongée puissante, une ... |
![]() | J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Nous étions allongés sur mon lit. J'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Pierre, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ? Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alorsqu'il commença à pousser en moi le gland. - Pierre ! - juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, - Pierre s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait avec tant de force que je pouvais ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus. - Oh Pierre ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis .... Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - je sens que je viens encore ! Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. | (E) J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Nous étions allongé ... |
![]() | Rencontre fortuite, insensée, hasardeuseRencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, mon dessous de chemisier, mes dessous de dentelles. L'effeuillage est rapide, Il s’approche, me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve, une invite discrète : - Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme ! Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse (E) Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au p ... |