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envies


Allongés dans le salon les corps sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur lui, ses seins étalés sur son torse. Ils sont beaux tous les trois, ils m'excitent. Je souhaiterais faire partie de leur baise. Je n’y tiens plus. Je me soulage, en glissant ma main entre mes cuisses. Douce et agile elle s'immisce, ma main s’emballe. En les voyant, je rêve qu’il m’embroche de son pale, pendant que lui la retourne et l’empale avec un râle. Je la vois, elle va jouir et moi aussi. je ne peux plus arrêter, c’est divin Ca y est elle halète, ils me font perdre la tête, Je prends mon plaisir jambes écartées et tremblantes de jouir. Une pluie fine commence à tomber, me ramène à la réalité, le rideau est à présent tiré et le spectacle terminé…

2013 © Flore
envies (E)
Allongés dans le salon les corps sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur lui, ses seins étalés sur son torse. Ils ...

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joue contre joue


Je ne sais rien d’elle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Mes mains glissent sur la soie de sa robe, avant de rencontrer la douceur de son dos nu.
Elle a passé ses deux bras autour de mon cou et collé son corps au mien. Ses seins fermes et rebondis sous un décolleté vertigineux se pressent contre ma poitrine. Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre ma main joue avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou me concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains me caresser le dos à travers ma veste, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir.
ma main caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque mes doigts effleurent ses lèvres intimes, sa vulve ramollit et s'ouvre sous mes doigts. je caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur.
Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, Ma main est maintenant complètement collée à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée.
Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. comprends qu’elle est proche de l’orgasme
et concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et ma main recommence instantanément son manège.
Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains glissent de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme.
Croyant en avoir terminé, je tente de me retirer, mais elle me retient avec fermeté. Nous restons comme ça une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par me libérer et je me detache d'elle,

Découvrant sans surprise l’érection qui déforme mon pantalon, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque je me penche sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui me saisi de nouveau la tête et attire mon visage vers le sien, et tandis que ma langue s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage du mien, elle me murmure :
- Baise-moi. Là. Maintenant.
Ces mots sonnent dans mon esprit autant comme un ordre que comme une autorisation, ses mains glissent de mes cheveux à mon dos, puis à mes fesses et ses cuisses se relèvent légèrement autour de mon bassin. Son bassin frotte contre le mien, mon sexe plus dur que jamais.
Visiblement impatiente, elle m’abaisse mon pantalon jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds. Me voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de mes cuisses et se glissent sous l’élastique, explorant un court instant l’intérieur de mon caleçon avant de l’abaisser lui aussi, libérant mon sexe en érection qui se dresse. Elle le guide jusqu’à elle. Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc, mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur. Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps, puis je commence un lent mouvement de va et vient. Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir. Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme. Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien. Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité. Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi, mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable. Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent,

Je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants. Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, elle s’écroule sur moi, appuyant ma tête contre sa poitrine. La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse, je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde. Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir, je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée, nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions…

joue contre joue (E)
Je ne sais rien d’elle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Mes mains glissent sur la soie de sa robe, avant de rencontrer la douceur de son dos nu.
Elle a passé ses deux bras a ...

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rencontre (elle)


J'étais appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui avait capté mon attention. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Je ne résistais pas, nos langues se cherchèrent un bref instant puis se nouèrent passionnément. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps puissant. Il me serrait à me briser les côtes ! Notre baiser se prolongea, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Puis il détacha son visage du mien et me regarda avec une envie qui acheva de me faire fondre.
J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
rencontre (elle) (E)
J'étais appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui avait capté mon attention. Il s'approcha de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment éta ...

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rencontre (lui)


Il y a ce salon immense. Tous ces gens que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la grande salle... Elle ... seule... splendide inconnue, enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards se télescopent...une impression physique. L'explosion d'un désir.
En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne au monde..., deux corps, deux désirs... Temps suspendu...Elle croise les jambes tres haut. Sa longue robe noire fendue laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art par deux épingles d'ivoire croisées. Son regard projette dans l'espace vide du salon, plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion...Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore...
Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle releve encore plus sa jambe, dévoile sa splendide nudité ... Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens. Le premier, j'ose l'insensé ... Je l'embrasse ! ... Elle ferme les yeux, et prend mes lèvres, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire. Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou...Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps...le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ... sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir...Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Un peu plus loin, dans la lumière, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'affaisse sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.
rencontre (lui) (E)
Il y a ce salon immense. Tous ces gens que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la grande salle... Elle ... seule... splendide inconnue, enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la ...

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un beau mâle


Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti, J'étais tres excitée par ce qui était en train de se passer entre nous, nos deux corps étaient désormais dénudés, serrés l'un contre l'autre dans la semi obscurité de cette salle. il avait relevé mes dessous. Il bandait de manière indécente contre moi, me faisant sentir ses dispositions. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement excitée par la situation dans laquelle nous étions en train de nous mettre. Sa main se glissait au bas de mon dos, il remontait encore le bord de ma lingerie. Je ne parvenais plus à l'arrêter, il cherchait ma bouche, et mes mains, malgré moi, exploraient ses hanches, son torse musclé.
Visiblement excité à l'idée de partager avec loi une aventure d'un soir, il s'excitait sur mon corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Je l'ai alors senti passer sa main entre mes cuisses. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ? Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur des endroits plus intimes. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller.
En fait, je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Ses mains étaient douces, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais à moi. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier.
Il m'a alors plaquée contre le mur, pour me soumettre, me tenant les mains, sans que je puisse me débattre … Et d'ailleurs, pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué. J'avais envie de lui. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.

Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, je glissai ma main sous sa ceinture et m'emparai de son sexe gonflé, prêt à exploser, et le massais sensuellement. Il s'ingenia dans le meme temps à baisser ma culotte qui s'affaissa sur le sol. Puis, n'y tenant plus, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante. Ses bourses étaient pleines. Il n'en fallait pas plus pour qu'il s'enfonce d'un coup en moi, la verge bandée, éprouvant visiblement une jubilation inédite en enfilant son sexe dur dans mes chairs moites. Je sentais le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve. J'étais à la fois complètement affolée et totalement réceptive. Bestial, animal, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai ses epaules comme je pouvais …
Planant sur un puissant nuage érotique, il ne m'écoutait plus, il s'affairait sur mon corps, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux. Il se laissa alors emporter par sa fougue de mâle en rut. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon fougueux partenaire, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :


il m'a pris. Il a fait glisser ma culotte au sol, m'a soulevée par les fesses et s'est introduit en moi. A bout de force, je l'ai senti entrer et ressortir en moi,
Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Ce soir la, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.


- Plus vite ! grognai-je… bien au fond !
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle dans mon ventre désormais totalement investi, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Il ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée, j'avais compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, et, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant son sperme abondant au plus profond de mon sexe ravagé. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon amant d'un soir, lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps devenu trop lourd de à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement
un beau mâle (E)
Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti, J'étais tres excitée par ce qui était en train de se passer entre nous, nos deux corps étaient désormais dénudés, serrés ...

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a l'abri des regards


Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire.

Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement
au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.
a l'abri des regards (E)
Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. ...

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le tentateur


Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti, il s’est approché de moi, je me laissais faire. Il a commencé à me caresser, à poser ses lèvres dans mon cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes lorsque je l'ai senti passer sa main entre mes cuisses là là où la peau est si douce, là ou c'est si agreable.
Devais-je si vite lui succomber ? Je n'étais pas encore décidée. Je résistais tant que je pouvais, mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'ai fini par capituler.
A présent je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent … Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il est entré en moi. A bout de force, je l'ai senti glisser sur mes muqueuses, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors ses epaules comme je pouvais et en mis une dans ma bouche pour ne pas hurler … Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il a joui en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.
le tentateur (E)
Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti, il s’est approché de moi, je me laissais faire. Il a commencé à me caresser, à poser ses lèvres dans mon cou. Je cherchais à ret ...

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une reaction physiologique


Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds ballotent devant mes yeux, elle me provoque. - Dis moi ? Je ne te laisse pas de marbre je vois !
Je n'arrive pas a cacher l'effet qu'elle produit sur moi.
- Ils sont à ton goût ?
J'essayais de me defendre en decrivant une simple reaction physiologique.
- Comment une simple reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu n'arretes pas de regarder mes seins !
Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine. Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement le relief de mon pantalon.
- Dis moi, ta réaction physiologique s’est développée !
J'ai le corps en feu.
- Cool ! laisses-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance
- Je sens ton regard et ça m’excite.
Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Dis moi ... tu ne vas pas me laisser comme ca !
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
- Est-ce que je t'excite ?
Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Elle pose sa main sur mon appareil génital
- Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées
Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Lentement, je lui caresse son ventre. Elle gémit. Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus.
- Je suis chaude ! ... et ouverte ! Profites en !
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. Elle promene mon gland sur sa vulve. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. Elle m’avale le sexe tout entier puis le suce langoureusement. Dieu que c’est bon !
- Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ?
Elle commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris de jouissances. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux.

Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ! Ca va mieux ?
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main caresse mon mat encore douloureux
- Hé ! Tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter à moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagir, je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement.
Elle reste là, contre moi, les cuisses écartées, béante. elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi,
une reaction physiologique (E)
Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds ballotent devant mes yeux, elle me provoque. - Dis moi ? Je ne te laisse pas de marbre je vois !
Je n'arrive pas a cacher l'effet qu'elle produit sur moi.
- Ils sont à ton ...

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J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. J'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, J'étais tellement chaude que je gémissais très fort.
Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alorsqu'il commença à pousser en moi le gland. et il continuait. J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir.
Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.

C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait avec tant de force que je pouvais ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons.

Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
(E)
J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. J'ai senti qu'il commençai ...

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Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds ballotent devant mes yeux, elle me provoque. Je n'arrive pas a cacher l'effet qu'elle produit sur moi
- Dis moi ? Je ne te laisse pas de marbre je vois !
- Ils sont à ton goût ?
J'essayais de me defendre en decrivant une simple reaction physiologique.
- Comment une simple reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu n'arretes pas de regarder mes seins !
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine. Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement le relief de mon pantalon.
- Dis moi, ta réaction physiologique s’est développée !
- Je sens ton regard et ça m’excite.
J'ai le corps en feu.
- Allez ! Cool ! laisse-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Laisse moi prendre les choses en main !
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis me suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ! Ca va mieux ?
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main caresse mon mat encore douloureux
- Hé ! Tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter à moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe.
- Dis moi ... tu ne vas pas me laisser comme ca !
Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagir, je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement.

Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette. Je suis litteralement aimanté. Je me colle à elle Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre, puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Alors je descends jusqu’à son sexe. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son buisson ardent. Je la suce avidement. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre.
Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle se déshabille devant moi. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi
(E)
Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds ballotent devant mes yeux, elle me provoque. Je n'arrive pas a cacher l'effet qu'elle produit sur moi
- Dis moi ? Je ne te laisse pas de marbre je vois !
- Ils sont à ton ...

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Je ne sais rien d’elle. Nous sommes dans un coin sombre de la salle, allongés sur une moquette epaisse. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Mes mains glissent sur sa peau douce, avant de rencontrer la douceur de son dos nu.
Elle a passé ses deux bras autour de mon cou et collé son corps au mien. Ses seins fermes et rebondis s'etalent sur son torse. Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre ma main joue avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou me concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains me caresser le dos à travers ma veste, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir.
ma main caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque mes doigts effleurent ses lèvres intimes, je caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous mes doigts
Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, Ma main est maintenant complètement collée à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée.
Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. comprends qu’elle est proche de l’orgasme
et concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et ma main recommence instantanément son manège.

Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains glissent de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme.

Croyant en avoir terminé, je tente de me retirer, mais elle me retient avec délicatesse. Nous restons comme ça une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par me libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en moi, plus fort que jamais. Découvrant sans surprise l’érection qui déforme mon pantalon, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque je me penche sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui me saisi de nouveau la tête et attire doucement mon visage vers le sien.
Notre baiser est tendre et passionné, et tandis que ma langue s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage du mien, elle me murmure :
- Fais-moi l’amour. Là. Maintenant.
Ces mots sonnent dans mon esprit autant comme un ordre que comme une autorisation.
Je me presse sur elle, mes vêtements frottants contre sa peau humide.
Je l’embrasse à nouveau, avec fougue cette fois,
ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche,
telle une future pénétration, ses mains glissent de mes cheveux à mon dos, puis à mes fesses
et ses cuisses se relèvent légèrement autour de mon bassin,
de telle sorte que mon sexe, tendu dans mon caleçon, effleure le sien à chacun de nos mouvements.
Elle écarte presque violemment les deux pans de ma veste
et ses deux mains caressent longuement mon torse dénudé sous la chemise
avant de la faire glisser le long de mes bras et de l’envoyer voler à travers la pièce.
A demi-nu, je reprends appui sur le mur et me penche sur elle pour l’embrasser.
Son bassin frotte contre le mien, mon sexe plus dur que jamais.
Visiblement impatiente, elle m’abaisse mon pantalon jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds.
Me voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de mes cuisses et se glissent sous l’élastique,
explorant un court instant l’intérieur de mon caleçon avant de l’abaisser lui aussi,
libérant mon sexe en érection qui se dresse maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées.
Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle.
Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc,
mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur.
Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps,
puis je commence un lent mouvement de va et vient.
Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit
tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir.
Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme.
Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien.
Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment
puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité.
Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi,
mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable.
Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent,
je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme.
Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants.
Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine.
La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse,
je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde.
Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir,
je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée,
nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions…
(E)
Je ne sais rien d’elle. Nous sommes dans un coin sombre de la salle, allongés sur une moquette epaisse. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Mes mains glissent sur sa peau douce, ava ...

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un beau mâle


Allongée façe à lui au fond du canapé, J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était impressionnant. Ce beau mâle était devant moi en pleine érection. J'étais hypnotisée par son sexe énorme. Je sentais mon corps frissonner, et ma vulve se mouiller. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue. Mes jambes tremblaient. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, ma vulve mouillait tellement que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant ma chemise de nuit. Je ne pouvais détacher le regard de son entrejambe, son membre erigé m'attirait comme un papillon la lumière. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes.
- Touche ! Sens ! regarde comme mes bourses sont pleines!
- Mon sperme est tout chaud et prêt à gicler dans ton ventre.
Sans m'en rendre compte, je commençais à caresser son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus droit. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus.
Doucement, il se pencha vers moi. Il prit mon visage entre ses mains. Je le regardais droit dans les yeux. Je senti son souffle, j’entrouvris les lèvres, sa bouche se posa sur la mienne, s'y appuya, l'ecrasa. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, ma langue dansait avec lui. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. mon corps entier frémit. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda dans les yeux et sans me demander,
releva ma chemise de nuit, exposant mes seins, mon ventre.. mon sexe. Je tremblais comme une feuille.
Je sentis alors sa bouche sur ma poitrine, sa langue taquiner mon mamelon, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Il ouvrit la bouche et engloutit mon sein. Sa langue continuait un mouvement circulaire, excitant ma pointe. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Il laissa mon sein, se releva légèrement, me poussa doucement au fond du canapé. Je fermai les yeux. Sa main descendit, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de mon sexe.
D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe enorme était devant moi. Son gland, rouge vif, était luisant. Je fermais les yeux, Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, sa queue glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément.. Sans m’en rendre compte mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses, et caressait ses bourses Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider dans ses va et viens. Il accéléra soudain Je savais qu’il arrivait au point de non retour. Il doubla ses coups de boutoir. Soudain, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
un beau mâle (E)
Allongée façe à lui au fond du canapé, J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était impressionnant. Ce beau mâle était devant mo ...

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d'un coup


Nous etions tous les deux excités. Je mouillais comme une fontaine et il bandait contre moi à la limite de l'indécence. La semi-obscurité aidant, nous nous sommes éclipsée vers le fond de cette grande salle et sans attendre, Il me prit d'un coup contre le mur, lingerie et pantalons, à terre, paroxysme des sens, je sentis sa queue s'engouffrer toute entière entre mes levres trempées, écartant mes muscles, les pressant, Il ressortit, s'enfonça encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec une douce ardeur mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il prit ma bouche et m'embrassa tres charnellement. Et il recommença ses va et vient. Chaque coup de rein m'emplissait d'excitation. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, il me fit jouir en même temps que lui. pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours sur moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours Je voulais le sentir revenir vite en moi. Et les va et vient infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis se glisser furieusement en moi d'un seul coup. Il me pénétra très profondement m'arrachant un long râle tant j'étais prête : ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait.
Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour.
Il explosa presque aussitôt, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de son plaisir. Je fus secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Je m'assoupis dans ses bras puissants... Puis une fois réveillés, Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
d'un coup (E)
Nous etions tous les deux excités. Je mouillais comme une fontaine et il bandait contre moi à la limite de l'indécence. La semi-obscurité aidant, nous nous sommes éclipsée vers le fond de cette gran ...

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Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute.
(E)
Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. El ...

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orgasme


elle glisse sur moi, les seins dehors, se frotte, se soulève, redescend, ondule,
Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, elle joue de mon corps.
Elle s'empale, se tortille, s'agite sur mon sexe, et tremble de partout,
De violentes secousses lui traversent les entrailles...
Elle se crispe et s'immobilise, serrant ma chose au fond de son vagin bouillant
Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction,
déclenche une série de spasmes violents qui la désarçonnent.
Elle se laisse emporter dans un long râle, se cambre, comme tétanisée.
vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins,
Un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante,
Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps se met à vibrer.
Elle part... envolée prodigieuse, c'est une longue plainte sauvage.
Elle se cambre en poussant, reins arqués, un long râle de volupté
Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort.
Ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus !
Elle halète bruyamment, la sueur lui perle sur le front.
Ses cheveux lui collent aux tempes. Une étreinte, un cri !
Elle jouit ! Elle jouit longuement.
Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent...
Elle s'abîme, sombre, s'anéantit...
milles bulles éclatent.
orgasme (E)
elle glisse sur moi, les seins dehors, se frotte, se soulève, redescend, ondule,
Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, elle joue de mon corps.
Elle s'empale, se tortille, s'agite sur mon sexe, et tremble de parto ...

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sur la moquette


Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps l'un sur l'autre. Je m''enfonce en elle ! Je la pénètre ! Elle gémit doucement. Je l'explore et la remue. Elle cambre ses reins, elle s'abandonne, elle se livre totalement, bruits de succion, glissements mouillés, respiration bruyante. Je m''enfonce, encore et encore, elle gémit, de plus en plus fort. Je donne et je donne. Je me retire ... doucement, j'extrais mon sexe long ... énorme, gluant. Nouveau bruit de siphon. Elle reprend sa respiration, contemple mon grand sexe. Elle inspire un grand coup, se mordille la lèvre, puis je replonge en elle, d'un coup. Nouveaux va et viens, elle semble prendre son plaisir, je coulisse doucement en elle, elle se masturbe avec ma queue fichée dans sa chair, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, agrippe mes fesses pour me faire rentrer encore plus profondément.
Ses cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige. Elle explose ! Elle vient de jouir. Je m'arrête un instant, la laisse reprendre ses esprits Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce dans son ventre. Elle referme les jambes autour de ma taille. Je m'enfonce plus profondément encore et accélère le rythme. Elle attrape un coussin et le serre très fort, Je vais venir. Elle aussi. Sa respiration s'accélère, son rythme aussi. Je me défonce. Je sors ma queue et la rentre ... tout au fond... je donne... j'accelère, l'orgasme est bientot là, je vais plus au fond, encore, encore, encore...
Et je lâche. Dans un râle étouffé je fais jaillir mon foutre. Ma tête tourne, je ferme les yeux. Elle me serre contre elle. Je la serre un peu plus. Je m'immerge dans ses chairs. Je vois ses articulations blanchir, Je sens mon liquide chaud se repandre dans son ventre. Elle me répond par des palpitations incontrôlées. Je laisse tomber ma tête au creux de son épaule, je respire toujours fort.
Nous restons immobiles, longue jouissance partagée ... Sourires échangés. Délicatement je lui caresse un sein ... et je sors mon long sexe, ramolli et gluant de sperme ... dans un agreable bruit se succion. elle est trempée, en sueur. Nos corps se séparent, mon sexe sort doucement.


Affalée sur la moquette sous mon corps, elle me suppliait d'accélérer sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter…. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… Avec dextérité elle aspirait ma bite dans son vagin, mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…
sur la moquette (E)
Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps l'un sur l'autre. Je m''enfonce en elle ! Je la pénètre ! Elle gémit doucement. Je l'explore et la remue. Elle cambre ...

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sur la moquette


Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps l'un sur l'autre. Je m''enfonce en elle ! Je la pénètre ! Elle gémit doucement. Je l'explore et la remue. Elle cambre ses reins, elle s'abandonne, elle se livre totalement, bruits de succion, glissements mouillés, respiration bruyante. Je m''enfonce, encore et encore, elle gémit, de plus en plus fort. Je donne et je donne. Je me retire ... doucement, j'extrais mon sexe long ... énorme, gluant. Nouveau bruit de siphon. Elle reprend sa respiration, contemple mon grand sexe. Elle inspire un grand coup, se mordille la lèvre, puis je replonge en elle, d'un coup. Nouveaux va et viens, elle semble prendre son plaisir, je coulisse doucement en elle, elle se masturbe avec ma queue fichée dans sa chair, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, agrippe mes fesses pour me faire rentrer encore plus profondément.
Ses cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige. Elle explose ! Elle vient de jouir. Je m'arrête un instant, la laisse reprendre ses esprits Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce dans son ventre. Elle referme les jambes autour de ma taille. Je m'enfonce plus profondément encore et accélère le rythme. Elle attrape un coussin et le serre très fort, Je vais venir. Elle aussi. Sa respiration s'accélère, son rythme aussi. Je me défonce. Je sors ma queue et la rentre ... tout au fond... je donne... j'accelère, l'orgasme est bientot là, je vais plus au fond, encore, encore, encore...
Et je lâche. Dans un râle étouffé je fais jaillir mon foutre. Ma tête tourne, je ferme les yeux. Elle me serre contre elle. Je la serre un peu plus. Je m'immerge dans ses chairs. Je vois ses articulations blanchir, Je sens mon liquide chaud se repandre dans son ventre. Elle me répond par des palpitations incontrôlées. Je laisse tomber ma tête au creux de son épaule, je respire toujours fort.
Nous restons immobiles, longue jouissance partagée ... Sourires échangés. Délicatement je lui caresse un sein ... et je sors mon long sexe, ramolli et gluant de sperme ... dans un agreable bruit se succion. elle est trempée, en sueur. Nos corps se séparent, mon sexe sort doucement.


Affalée sur la moquette sous mon corps, elle me suppliait d'accélérer sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter…. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… Avec dextérité elle aspirait ma bite dans son vagin, mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…
sur la moquette (E)
Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps l'un sur l'autre. Je m''enfonce en elle ! Je la pénètre ! Elle gémit doucement. Je l'explore et la remue. Elle cambre ...

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je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante. Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent mon dos, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement.

Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque au fond de son ventre. Je pousse un cri rauque. Et je lache un premier jet qui vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants.
Elle me serre contre elle aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes. Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là
(E)
je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétani ...

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Il a joui en moi


Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale
Je n’osais pas lui dire oui. J’ai bien failli refuser, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il a su me convaincre et il s'est emparé de moi. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il s'est répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée, ouverte, obscène presque.
Je relève la tête, il est toujours là devant moi, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie. Il se remet à bander, sans complexe. Il remet son sexe qui durcit dans le mien, le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. C'est le paradis ! Il s'enfonce doucement, écarte mes chairs rosées, il me le met tout au fond et fait durer le plaisir. Il accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et luii aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il prend de nouveau son sexe et caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je ressens son plaisir monter. Le mien aussi. Mon vagin se contracte et des spasmes formidables soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par gicler une nouvelle fois en moi.

J'avais 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adorais lorsqu'il me faisait l'amour
Il a joui en moi (E)
Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'in ...

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quel âge peut-elle avoir (d'apres Pierre Vassiliu)


quel âge peut-elle avoir, Ses seins sont déjà lourds, mais aussi, bien fermes contre moi, Elle se colle, elle me provoque, mon sexe devient dur et se frotte contre elle, J'essaye de le dissimuler
- Restez tranquille, me glisse-t'elle dans l'oreille
je l'enlace un peu plus, je pose legerement mes lèvres sur son cou. Elle me presse contre elle et dans le noir sa main se glisse, evalue sa prise, la masse et la presse. Je frémis, je bondis de baisers en baisers tout le long de son cou puis j'attrape sa bouche, ses lèvres sont humides, elle s'agrippe à moi, tandis que tout au bout de mes doigts, roule, s'étend, soupire le début de son sein droit qui se gonfle. Elle ne porte pas de culotte. Mes mains se baladent autour de ses poils chauds, elle tressaille, elle sursaute, et les yeux dans les yeux nous nous regardons

Incrustée et collée consciemment tu t'écroules et je trouve que c'est bien, et maintenant c'est toi qui dirige ma main, et tu pleures de joie,
Des couples nous regardent et sourient gentiment, je cherche comme un malade les clefs de l'appartement,
je finis mon cognac, nous traversons la salle, voilà que je vois double,
les odeurs de ton corps volent au-dessus des tables et tes jantes miroitent sur la piste glacée.
Sur mon cheval noir qui nous conduit au pas ta jupe est retroussée et tes cuisses bronzées éclatent sous mes mains.
Le vent prend la musique qui tourne dans tes cheveux. (Pierre Vassiliu)
On arrive chez moi, tu m'écrases le bras tu entre dans la chambre et tu te déshabilles, tu m'attrapes,
tu m'agrippes et tu m'enfonces en toi tu me veux tout entier,
tu me manges, tu me bois, tu me veux, et tu ris, et tu cris et tu jouis, tu jouis, tu jouis, (Pierre Vassiliu)
quel âge peut-elle avoir (d'apres Pierre Vassiliu) (E)
quel âge peut-elle avoir, Ses seins sont déjà lourds, mais aussi, bien fermes contre moi, Elle se colle, elle me provoque, mon sexe devient dur et se frotte contre elle, J'essaye de le dissimuler
- Restez tranquille, ...

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contre un mur plongé dans la penombre


Il m'avait prise dans un recoin du mur. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
contre un mur plongé dans la penombre (E)
Il m'avait prise dans un recoin du mur. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamme ...

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Elle voulait absolument me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis le suça délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive, ses caresses m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement J' attrapai sa tête pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Oh attention ! ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon sexe pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le mien.
- Mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, maintenant.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Marthe !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de moi, son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Mme Granger à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
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Elle voulait absolument me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se ...

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à trois


mes lèvres sur celles de Suzon, je viens de me retirer de lucy. Entre les jambes de Lucy coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes, Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, elle reste là, épuisée par notre corps à corps torride pendant que je m'apprête à baiser Suzon. Un peu de sueur a collé ses cheveux sur notre silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir
Suzon est assise sur son lit, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, Elle relève la tête vers moi, me regarde dans les yeux d'un regard trouble. Je m'approche, je prend ses lèvres, je pose mon sexe sur le sien, je le pousse un peu, le ressors, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque sur elle, écrasant nos deux corps

à trois (E)
mes lèvres sur celles de Suzon, je viens de me retirer de lucy. Entre les jambes de Lucy coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes, Immobile, ext ...

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à trois


Cette jeune allemande avait des formes à faire bander toute la garnison. Nous avions la trentaine, Elle nous avait attiré à l'écart de la caserne, derrière un bosquet, elle nous collait litteralement. Elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles nos sexe ont reagi. Nous nous sommes mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre nous.
Nous bandions comme un cheval, elle mit ses mains sur le bas ventre de mon ami et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents. Nous n'avions qu'une hâte, celle de nous planter dans son ventre. elle était si mouillée que nous sentions sa culotte trempée collée contre sa peau. j'ai palpé sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours. Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre.
Tout en se frottant à nous deux, elle accélérait sans cesse le rythme, elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, nous sentions sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle nous a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps…
Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, tandis que mon ami, attendant son tour, lui malaxait les seins. Je me suis voluptueusement enfonçé en elle; elle allait et venait lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, et je coulissais dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait mon membre sauvagement , mon ami lui baisait la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré les uns et les autres la cadence, J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme.
Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… Mon ami a alors pris le relai
à trois (E)
Cette jeune allemande avait des formes à faire bander toute la garnison. Nous avions la trentaine, Elle nous avait attiré à l'écart de la caserne, derrière un bosquet, elle nous collait litteralement. Elle ...

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fulgurances de plaisirs


il se sont emparés tour à tour de mes cuisses, de mes seins, de tout ce qu’il pouvait attraper de mon corps. Ils semblaient faire un concours à qui me pétrirait le plus fort. Il m’ont entrainée sur le tapis, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés de mes bras, mes jambes, mes seins, mes fesses, qui les excitaient, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’étais le jouet de ces deux hommes assez forts. L'un, accroupi sur mon ventre me bloquait de tout son poids, et l'autre coinçait mes cuisses avec les siennes. Tous les deux me fouillaient. Pas un brin de timidité. Je laissais les sensations m’envahir, fulgurances de plaisir.
fulgurances de plaisirs (E)
il se sont emparés tour à tour de mes cuisses, de mes seins, de tout ce qu’il pouvait attraper de mon corps. Ils semblaient faire un concours à qui me pétrirait le plus fort. Il m’ont entrainée ...

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Couples lunaires (Jacques Hiers)


Nous étions sur la couche où la lune dansait, si blanche et peu farouche, dont nos corps là baignés prenaient sous la lumière des formes d’hologrammes grouillants et occupés à se bien satisfaire… Pierrots et Colombines, des souffles murmurés qui sortaient de nos bouches, de beaux propos osés et des corps qui se touchent, qui s’épousent, s’unissent, se retiennent soudés… Des cons, des culs, des cuisses et des seins ronds dardés… Ô divines orgies, ô lune de luxure pour toutes les folies et tant de démesures !

Nous buvions de nos âmes tous les désirs cachés, se lutinaient nos femmes bellement enchâssées, ventres aux sèves de lune, toutes lèvres épousées, là Nicole la brune, ici la chevelure blonde entre deux cuisses serrées de ma femme Françoise occupée à gouiner une lesbienne Amie gémissante à souhait… Nous, Albin et Armand, à nos mâts accrochés, branlant avec ardeur nos prépuces dressés : couchés, agenouillés, murmurant de grand cœur nos encouragements à nos femmes épousées…

Il y avait ces senteurs, ces suints, ces odeurs de semences, laitances éparpillées sur des langues tendues, petits serpents de chair échappés de ces bouches avides et gourmandes de venir gourmander le jus de nos amandes si longuement branlées… Et puis, nos langues se mêlaient, chaudes, visqueuses, étrangement parfumées, intimité de l’autre, salives échangées, foutre encore tiède qui allait se figer sur un sein, sur des lèvres, sur un ventre ou un cul, dans le fossé velu de nos ardentes Belles… Et puis, bas et jarretelles qui doucement crissaient, gainant icelles de leurs soies bien tendues, épousant là des cuisses enfermant leurs abysses ou aimions à nous perdre, ici, à corps…perdus… Point de repos, nos vices s’affichaient, je prenais un derrière et Albin me suivait où même le contraire ; les cons furent partagés et les intimes chairs furent ici arrosées de laiteuses rivières… Nos belles Colombines se faisaient gourmandines et voulaient tout goûter, la divine foutrine, la belle odeur d’un cul sur un prépuce à nu ayant sodomisé peu avant l’autre femme, elle suçait cette pine, la fellait rageusement en belle gourgandine, car nous partagions tout, la lune rendant fous Pierrots et Colombines… Nous nous permettions tout, visitant chaque trou, ces petites « troulines », nous faisions troulinou d’une langue taquine, excitant bien le trou d’une langue serpentine allant s’introduisant dans le calice anal d’un beau derrière tendu, allant jusqu’à l’extase qui rendait folle la partenaire, la faisant là danser du con et du derrière jusqu’à l’épuisement… Nous étions ces Amants qui voulions tout de nous, visitant chaque trou de nos deux partenaires… Nous étions serpentaires aux langues en remous, bandant devant, derrière, branlant tout notre soûl, nos belles queues de chair… Le foutre jaillissait, bouillonnait, se figeait, échappé du cratère à l’œil de Cyclope… Laves, laves, nos corps sont ces volcans de chairs qui dessinent leur voie lactée… Et nous nous délaissions, puis nous nous reprenions, à bras le corps, à bras le ventre, cuisses étaient violons et nos vits archets, nos cordes étaient pincées par de beaux doigts experts, longs comme des nuitées, plongés dans nos enfers et nous menions grand train. Imaginez quatre Lucifers en sueurs, dépêchés par Vulcain, forgeant et forniquant de satanée manière, bouches mêlées, langues-vipères se cherchant et, dans la blondeur calme de la lune roulant, nos corps enluminés en poses singulières, sans cesse ressoudés et jamais rassasiés du corail rose clair des sexes écartelés de nos dives Compagnes… Que des chants qu’accompagnent nos plaintes en prières et nos corps bouillonnants sous la clarté lunaire… Agonies et silences, s’aimer, s’aimer, s’aimer à coups d’impatiences et de débordements ! Alors, nos corps roulaient pareils à des pierres que l’on aurait lancées à la face de la terre. Une harpe, un violon…quelques doigts de champagne en des flûtes embuées… Une morsure de dents à la base d’un cou, nos louves reposaient, seins encore haletants, leurs chairs brodées de foutres, hiéroglyphes d’argent à leurs toisons mêlés, dernières neiges sur des Monts de Vénus aux volcans apaisés et tout n’était qu’odeurs aux intimes parfums et nos vits en main retrouvaient leur gaieté doucement astiqués par des doigts libertins venus les enserrer… Ô chairs vénérées qui toujours se redressent, regardant fixement de leur œil enfoutré quelques splendides fesses, quelque con entrouvert demeurant bouche bée… Et de nouveaux échanges à nouveau reprenaient, osmose des peaux et des chairs, brûlances, vapeurs, cris et appels, gesticulations, positions démentielles, quatre corps toujours liés aux reins couleur de lune qui doucement glissait en des ravins fessiers que des doigts visitaient ouvrant des fleurs si belles n’attendant qu’une tige qui vint les pénétrer… Mouvements perpétuels, débauches éhontées, le sperme comme fiel se voyait déversé tout mêlé à ce miel que la lune versait, témoin et Amante éternelle des couples du péché…


Nicole, Françoise, Albin, Armand, ces Amants éternels, mêmes sangs, mêmes foutres, mêmes cyprines belles, mêmes salives…des bas griffés, jarretelles en pattes d’araignée, hanches, reins, toisons incendiées, masques vénitiens, mêmes chants des corps à leur ancre attachés : le désir ! Et ces bateaux lunaires si bellement tanguaient que leurs proues en craquaient, mâts dressés enfilant des Cythère, les envergeant, les dévergeant pour mieux encore pénétrer à tous vents les corps de ces Maîtresses aux matrices béantes… Les draps étaient ces mers plissées et replissées où bellement houlaient ces chairs prises et reprises et puis délaissées pour le temps d’une haleine épousant l’oreiller… Et Nicole et Françoise l’une sur l’autre disposées offraient à quelque vit l’alternance du plaisir, phallus envitant l’une pour mieux enviter l’autre en con comme en cul ; leurs chants se succédaient, les humeurs de l’une partagées avec l’autre, ainsi à tour de rôle et jusqu’à la jutée finale, démesurée ! Et la branle des mâts ainsi se poursuivait, folle, démente, soutenue, inventive, deux compagnes à la suite envitées, sans relâche… Le champagne était là et Mozart le versait à petits filets dans la lunaire chambre ces corps se tordaient toute en proie à leurs flammes, les foutres n’étaient que cendres sur des braises sans cesse ravivées au souffle des haleines et des longs cris d’amour presque désespérés qui montaient à la chaîne sous le grand baldaquin… Nicole aimait Françoise, Albin se masturbait, Armand solitaire jouissait, puis tous deux remontaient sur la couche, forniquant en des bouches les suçant sans arrêt : y avait-il encore de la semence en ces couillines torturées ? Ces vits bandaient-ils ? Eh bien, oui, mets et champagne aidant, huitres et autres remontants, postures, fesses, cuisses, bas, ces visages masqués souriant au plaisir, figés dans leurs délires… La lune elle-même pouvait-elle rougir devant de tels excès ? C’était impossible à dire, car rien ne s’arrêtait…

Sur la couche roulait, une lune de verre fêlée… La fin de nos accouplements…

Vous, charmantes lectrices dont je baise les doigts, vous lecteurs attentifs qui suivez mes émois, je vous salue ici et vous sais gré, ma foi, d’avoir lu ces ébats.

Révérence, mes Chers, à la prochaine fois…

Le Marquis de Chair
Couples lunaires (Jacques Hiers) (E)
Nous étions sur la couche où la lune dansait, si blanche et peu farouche, dont nos corps là baignés prenaient sous la lumière des formes d’hologrammes grouillants et occupés à se bien s ...

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il ne cessait de me dévisager


Depuis le début de la soirée, il ne cessait de me dévisager moi et ma copine qui ne cessait de me tripoter les seins. Cela semblait exciter notre homme. Ce beau mâle était d'âge mûr, cheveux déjà gris mais plutôt bien conservé pour son âge. Je décidais d'aller vers lui. Je sentais que ce n'était pas lui qui allait lancer les hostilités.
- il fait chaud ! Vous permettez que je me mette à l'aise ?
je dégagerai un peu mes poitrines ... Je m'approchais de lui. Je lui posai d'entrée un baiser appuyé sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, il me regarda avec des yeux luisants. je ne portais rien sous ma robe de soie, Il devait s'en rendre compte et je m'amusais à sentir son regard qu'il essayait de faire discret sur mes seins. Je lui pris doucement la main et la posa sur mon sein. Il le caressa à travers la soie.
- c'est doux ! ... vous ne trouvez pas ?
Il maintenait ses doigts sur ma robe. Je défis un premier bouton.
- Je m'aère un peu, vous permettez ?
- vous voulez continuer ? lui demandai-je
il s'appliqua à poursuivre le travail, degageant mes belles poitrines, lourdes et fermes à la fois, L'entrée en matière était faite. Je lui caressais le torse, puis, plus bas, son entrejambe de plus en plus volumineux. Je lui glissais à l'oreille:
- Je ne vous laisse pas indifférent !
Ma robe de soie épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glisserent sur le satin avec de longs va et vient puis il descendit sa main plus bas.
- Là sous ma robe, Oui !, … Allez-y, doucement.
Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Je commençais à soupirer. Ses caresses devenaient insistantes. Il glissa ses doigts sous la soie, écarta le satin dévoilant ma vulve trempée. et il commença à me masturber doucement, profondément. Je gemissai. Il introduisit son index et le fit coulisser de plus en plus profondemment.
- Vous savez faire ! lui avouai-je en lui glissant un baiser sur les lèvres
- Continuez, c’est très agréable. Vous êtes très doux !
Il alternait caresses profondes et sensuelles.
- Attendez, ma culotte vous gene. tirez-la vers le bas, je veux mieux sentir vos doigts.
C'est alors que j'eu mon premier orgasme, mes premiers frissons. Je lui pris alors la main pour qu'il continue à me masturber Puis, je le regardai avec insistance:
- Je suis prête ! Je sens que vous aussi ! Je suis toute ouverte ! Venez !
Sa pénétration fut absolument divine ! Je l'encourageai avec passion
- Met le moi bien profond ! ... Oui ! C'est bon ! Je te sens bien !
- Je te sens fort, puissant, fougueux. Donne moi tes lèvres, vite ! Et prend mes seins!
- Laisse toi aller, je suis à toi ! ... Baise-moi fort ! ... Encore ... Plus vite ! .... Maintenant !
- OUIII ! .... Oh que c'est bon !
- Ne restons pas là, emmène moi dans ta chambre ! La nuit est à nous !
il ne cessait de me dévisager (E)
Depuis le début de la soirée, il ne cessait de me dévisager moi et ma copine qui ne cessait de me tripoter les seins. Cela semblait exciter notre homme. Ce beau mâle était d'âge mûr, cheveux d&e ...

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Il est venu doucement derrière moi. J'ai senti ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes seins, il les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lachait ... ils reviennaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée faisait sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectuait de petits cercles concentriques et écrasait mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. il pressait doucement ma pointe par une légère torsion et l'étirais. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne comptais plus, je me cambrai pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….

Ses deux mains chaudes se sont posées en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Puis elles les soulèvaient. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons et les pressa durement, cherchant à enfoncer mes pointes durcies dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main, et leur faisait décrire des cercles aussi grands qu'il le pouvait. Il palpait délicatement mes seins, puis les serrait doucement, et recommençait. Sentant cette fois-ci une douce chaleur, il pouvait les palper, les caresser à loisir. J'étais allongée, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement de plaisir au gré de ses caresses. Mon sexe coulait. chaque malaxage attisait dans mon sexe une boule de lave incandescente. les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Il imposa une lente et savante rotation à mes pointes gonflées. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. je râlais de plaisir et un filet de salive glissait sur mes levres. J'étais au bord de l'orgasme.

Ma main sous ton sein pour le faire saillir. Il est souple, chaud, vibrant Je caresse ta douce poitrine, le sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je le presse, je le roule, Le sein se gonfle. Le bout est durs, Tu pousses un profond soupir. Tu t'agite. Ton sein est secoué de mouvements érotiques la croupe tendue vers moi, impudique, Tu t'offre de toutes parts, te laisse posséder. Tes spasmes se succédent de plus en plus vite ... de plus en plus fort. Tu tends ton buste lourd, tes bras de maniere voluptueuse,


Mes mains sous tes seins pour les faire saillir. Ils sont souples, chauds, vibrants Je caresse tes douces poitrines, les sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je les presse, je les roule, Les seins se gonflent. Les bouts sont durs, Tu pousses un profond soupir. Tu t'agites. Tes seins sont secoués de mouvements érotiques la croupe tendue vers moi, impudique, Tu t'offres de toutes parts, te laisse posséder. Tes spasmes se succédent de plus en plus vite ... de plus en plus fort. Tu tends ton buste lourd, tes bras de maniere voluptueuse,







Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix;
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts...

Et pareils à ceux-là qui viennent des voyages,
Mes doigts ont parcouru d'infinis horizons.
Ils ont éclairé, mieux que mes yeux, des visages,
Et m'ont prophétisé d'obscures trahisons.

Ils ont connu la peau subtile de la femme
Et ses frissons cruels et ses parfums sournois.
Chair des choses! J'ai cru parfois étreindre une âme
Avec le frôlement prolongé de mes doigts...

Le givre et le brouillard des pâles broderies
Où les tisseuses ont tramé leurs rêveries...
Parèrent savamment ta savante impudeur
Et ton corps où le rut a laissé sa tiédeur.

Renee Vivien
(E)
Il est venu doucement derrière moi. J'ai senti ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes seins, il les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lacha ...

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mon sexe pointait vers sa bouche pulpeuse, rouge de désir. Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Sa langue brillante de salive, s'enveloppa sur mon mat. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés vers mon autre fée, je sentais mon membre s'engouffrer dans une bouche toujours plus profonde. Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale, j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir. Tout tournait autour de moi, je retenais un cri rauque qui voulait sortir de ma gorge, et me décidais à regarder le spectacle: sa main droite fermement scotchée à la base de mon membre, sa deuxième main devant sa bouche, suivant le rythme effréné de ses succions jouissives. Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de mon gland. Ses yeux félins dévorant les miens, fut ma dernière vision ... avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme abondant. Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive, et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.
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mon sexe pointait vers sa bouche pulpeuse, rouge de désir. Ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Sa langue brillante de salive, s'enveloppa sur mon mat. Une impression de chaleur et ...

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J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce, Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. J'ai étouffé un gémissement. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, J'étais tellement chaude que je gémissais très fort.

Je n'avais pas realisé qu'il avait entre temps ouvert son pantalon mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je fis mine de reagir et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté mollement. J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus et s'allonger en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir.
Il entrait en moi et ressortait, allant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans en moi, me remplissant complètement le ventre. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de la soirée, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir !

Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle je pense encore chaque jour. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland au fond de mon vagin. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Il jouissait à m'en faire perdre la tête. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. Je sentais maintenant le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.

Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons.

Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
(E)
J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce, Il promenait sa main sur mon vent ...

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Elle reste là, les cuisses écartées, béante.
elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue,
obscène presque, mais oh combien desirable.
Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble
Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir.
Je me rapproche je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort,
c'est le paradis,
et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées,
elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond,
je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus !
elle jouit soudain Je ne tiens plus !
je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider !
Elle rouvre les yeux pour constater
tout ce qu'elle a reçu de moi,
(E)
Elle reste là, les cuisses écartées, béante.
elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue,
obscène presque, mais oh combien desirable.
Elle relève la tête, me regarde dans le ...

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Je l'avais fait asseoir dans un coin de la piece. J'étais chaude et mouillée d'excitation. J'ai relevé rapidement ma robe, ma lingerie, j'ai ouvert son pantalon, j'ai liberé son sexe, enorme, je l'ai positionné à la verticale et je me suis empalée, doucement, interminablement. Mon étui chaud et humide entoura petit à petit sa verge, l'engloutit. J'ai ralenti ma descente, la repris. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
J'étais desormais toute entière autour de son sexe, l'enveloppant, comme si tout mon corps l'enserrait. Petit à petit, j'absorbai toute la longueur de son membre, je l'enveloppai d'un fourreau chaud, doux, vivant. mes petites contractions qui agiterent mon vagin firent comme si une main serrait son sexe dans mon ventre. La sensation était délicieuse, affolante.
Je savourai mes propres sensations et les siennes. Je lui souris et me penchai vers ses lèvres pour les embrasser sans lacher son pieu qui me pénètrait profondément. Mes mouvements déplacaient son sexe dans mon ventre. Je me redressai, nouvelle sensation. Je me soulèvai un peu et me baissai à nouveau, je sentais sa verge coulisser en moi et fremir dans mon ventre. Je recommencai mes mouvements verticaux, tour à tour me dégageant et m'empalant sur son sexe,
Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air son gland luisant, rouge, tendu, je m'abaissai rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de son membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, il pousse un cri, resta un moment comme tétanisé. Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas jouir, et il essayait d'en faire autant.

Puissamment, je l'aspirais dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je me glissai hors de lui, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée.

Je le laissais là, les cuisses écartées, le sexe gluant et pendant, obscène presque, il me regarda fixement, lorsque je me suis ravisée, je me suis rapprochée, et je me le suis enfilé de nouveau de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
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Je l'avais fait asseoir dans un coin de la piece. J'étais chaude et mouillée d'excitation. J'ai relevé rapidement ma robe, ma lingerie, j'ai ouvert son pantalon, j'ai liberé son sexe, enorme, je l'ai positionn&ea ...