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jeudi 18 décembre 2025 - 22h13
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Il m'a serré contre lui, m'a embrassé dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches, puis il a écarté mon corsage. Je l'ai senti passer sa main sous mes seins puis plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées.
Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur mon intimité. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais, et je finis par me laisser aller.
A présent je réalisais en fait que je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse gémir …
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'étais en train d'abdiquer. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. Il commença à descendre son pantalon, puis releva rapidement ma jupe, descendit ma culotte qui tomba sur le sol. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte. je l'ai alors senti venir, entrer en moi, profondément, puis ressortir et rentrer de nouveau, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors le mur comme je pouvais pour ne pas hurler …
Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il finit par jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.
Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.




Baiser rapide dans le cou, je lui prends la main toute douce et l'entraîne un peu plus au pied de l'arbre. Nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je bande. Je la déshabille, gestes précis, plus besoin du verbe, elle extirpe, experte, de mon pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Elle ouvre sa chemise, exhibe deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et s'introduit le membre oblong. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce que mon penis disparaisse ...dans l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon sexe, sur ses mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles et sa cyprine qui coule sur mes bourses sensibles, Ses jambes se resserrent, elle tremble. Elle a du jouir, il me semble... Quand à moi, rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui avoue mon désir d'enfin la satisfaire. Et en son ventre offert mon sexe put se complaire, et je me répandis en une apothéose… En à peine quelques allées-venues, mes mains accrochées à ses fesses, ma queue en elle... explosa ! Fin de la fête,
Remise de ses émotions Elle s'est retirée de mon aiguillon, C'était la première fois; j'avais bien décidé, une fois dedans, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien réjoui et on a tant ri que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui !
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Il m'a serré contre lui, m'a embrassé dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches, puis il a écarté mon corsage. Je l'ai senti passer sa main sous mes seins puis plus ...

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Adele et Sargines


Adèle est partie prendre l'air ce matin d'été au bord de l'étang Ses longs cheveux déployés flottent sur ses épaules. Elle avance doucement son pied, interroge avec timidité la profondeur de l'eau.
Le jeune Sargines, s'avance et lui présente sa main et tous deux s'éloignent un peu plus loin. Parvenu dans un endroit assez discret, le fripon prodigue à sa jeune compagne les caresses les plus vives: celle-ci les lui rend avec forte émotion et témoigne du désir d'apprendre. Soutenu par la main secourable, le joli corps d'adèle commence à se balancer plonge, disparaît à ses yeux, et tandis qu'elle le cherche, un baiser, tel qu'elle n'en reçut jamais, l'avertit de l'endroit où il est.

Vaincue par l'émotion, elle se tapit derriere un arbre. L'amant, devient plus tendre, plus pressant; il fait parler le désir, la curiosité. Adèle s'abandonne doucement à l'instinct du plaisir. Il hasarde un baiser, ose de nouvelles témérités, porte une main tremblante sur une jeune gorge de vingt ans. Toucher délicieux! Un marbre brûlant et mobile semble fuir et chercher les doigts qui le pressent. Des lèvres ardentes apportent à leur tour sur ce sein juvenil l'offrande de mille baisers, avec un empressement si tendre, qu'il se colore bientôt d'un rose plus vif.

Emportés par la fougue des désirs, ils se retrouvent tous deux couchés sur l'herbe humide, il fond sur elle comme l'épervier sur la faible colombe; et tandis que sa bouche s'abreuve de soupirs enflammés, un doigt, messager de plaisir, chemine jusqu'à cet asile mystérieux où, sur un trône humide et brûlant, siège la volupté du délire.
- Arrêtez, mes yeux se troublent ... je n'en puis plus... ayez pitié de moi ...
Et en prononçant ces mots, elle presse plus fortement son amant contre son sein. Brûlé de tous les feux qu'il allume, dévoré de désirs, le sacrificateur attaque enfin la victime qui tressaille ! L'émotion violente l'agite et de tendres gémissements, étouffés à leur source, décèlent les progrès dont sa jolie main s'assure avec effroi. ses bras s'enlacent avec force autour de son heureux vainqueur, dont les transports violents ouvrent la route du bonheur.

Enfin, le charme est rompu; le dernier cri de l'innocence atteste le premier triomphe de l'amour, et sa flèche victorieuse repose dans son carquois ensanglanté. Mais déjà la plus douce ivresse succède aux angoisses douloureuses; Adèle et Sargines, étroitement enlacés, unis par tous les points de leur existence, semblent désormais animés par une seule âme qu'ils exhalent dans les soupirs, qu'ils se disputent par des baisers;

Un frisson voluptueux, universel, une fureur aimable les agitent, les transportent; des articulations demi-formées expirent sur leurs lèvres, un voile s'étend sur leurs yeux; ils se plongent et s'abîment dans un océan de délices. Revenue à elle-même, l'intéressante novice jette avec douleur ses regards autour d'elle; la lumière l'afflige, quelques larmes tombent de ses beaux yeux, et la pudeur qui reprend ses droits s'empresse de jeter un voile sur des objets que l'illusion abandonne. Après avoir pleuré avec sa victime, Sargines s'éloigne à regret, et la pauvre Adèle, plus instruite et moins tranquille, regagne lentement sa retraite, en songeant au moyen de revoir son amant et de tromper sa tante.

Cette femme du monde, Pâle et blonde, Qu’on voit d’un pas pressé, L’œil baissé,
Filer sous les grands arbres Loin des marbres, Héros, Amours, Bergers, Trop légers,
S’en va vers un coin sombre Voilé d’ombre, Derrière les massifs De vieux ifs.
Sans manteau qui la drape Un Priape Lascif dresse en ce lieu Son long pieu,
Que couronne d’acanthe La bacchante. Par delà le nombril Son outil
Lui monte jusqu’au buste, Gros, robuste, Par le chaud, par le froid, Toujours droit.
Sous l’acier qui paillette Sa voilette, Le cachemire long Au talon,
Cette sainte Nitouche Qu’effarouche Le moindre mot plaisant Non décent,
Chaque soir rend hommage À l’image Que le gamin impur Trace au mur.
Sur le dieu de Lampsaque Elle braque Son lorgnon et ses yeux Curieux,
Et d’un regard de chatte Délicate Croque comme un oiseau Ce morceau.
Foin de ces dieux superbes, Mais imberbes, Qui vous montrent un nu Si menu.
La plus chaste matrone, Dit Pétrone, Toujours volontirs vit Un gros vit !

Théophile Gautier — Poésies libertines
Adele et Sargines (E)
Adèle est partie prendre l'air ce matin d'été au bord de l'étang Ses longs cheveux déployés flottent sur ses épaules. Elle avance doucement son pied, interroge avec timidité la profond ...

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dans des fourrés


Il m'entraîne dans des fourrés, un peu plus loin derrière un pré, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il me pousse dans l'herbe, gestes précis, plus besoin du verbe, il extirpe, expert, de son pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Il ouvre ma chemise, exhibe mes deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et m'introduit son membre oblong. Lentement, sûrement, il glisse, coulisse, jusqu'à ce que son penis disparaisse ...dans mon orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, je minaude, chaloupe sensuelle, des hanches j'ondule. Je ne bouge pas, me concentre en mon centre, toute entière prise, happée, dans cette bulle, Il n'ose encore toucher ni mes seins, ni mon ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui le taraude. Je le remue de l'intérieur de mon ventre, me remplit profondément de son pénis, sur mes mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, je déverse un flot de mots incompréhensibles et ma cyprine qui coule sur ses bourses sensibles, Mes jambes se resserrent, je tremble, je jouis. Quand à lui, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il m'avoue son désir d'enfin me satisfaire, et en mon ventre offert, son sexe put se complaire, et il se répandit en une apothéose … Fin de la fête,
C'était la première fois. Iil avait pourtant bien décidé, une fois dedans, de se retirer à temps. Mais une fois chez moi, il s'est bien amusé et on a tant ri, qu'il n'a pas su se retirer. On a jamais autant joui !
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Il m'entraîne dans des fourrés, un peu plus loin derrière un pré, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il me pousse dans l'herbe, gestes pr& ...

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Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Il me plaque contre un arbre, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre papillonner, mes jambes tremblent déjà. Puis doucement, avec délicatesse et élégance, il égraine un à un mes vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'au lit où il me couche. Nos baisers sont plus doux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne.Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Je pose mes mains sur son torse déjà nu, je descends jusqu'à la ceinture, un à un je fais sauter les boutons de son jean. Je voyage au gré de mon envie, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis, l'objet de mon désir, son sexe, saillant et tendu sous le boxer. À mon tour, j'ôte la dernière barrière pour enfin mettre ma bouche sur ce vît
qui attend les caresses de ma langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Soudain, je sens ses bras qui me retournent, je croise son regard dans le miroir. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, je sens sa quête, il me trouve enfin, son sexe me pénètre lentement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est derrière moi, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.

À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, il tombe près de moi, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...

Il se lève, allume une cigarette, le moment que je choisis pour partir. Je reprends le même chemin, à l'envers, je retrouve mes dentelles, ma robe, mon foulard, je les enfile un à un, et j'arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver mon quotidien. Doucement il arrive derrière moi, se colle à moi, la chaleur de son corps nu, je me retourne, je lui offre encore ma bouche et lui, ses derniers baisers. Il remet mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime.

Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! »
Je suis bien.
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Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Il me plaque contre un arbre, m'embrasse, assoiffé, affamé, morda ...

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C'était la première fois. Iil avait pourtant bien décidé, une fois dedans, de se retirer à temps. Mais une fois chez moi, il s'est bien amusé et on a tant ri, qu'il n'a pas su se retirer. On a jamais autant joui !
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Il m'entraîne dans des fourrés, un peu plus loin derrière un pré, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il me pousse dans l'herbe, geste ...

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Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Il me plaque contre un arbre, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre papillonner, mes jambes tremblent déjà. Puis doucement, avec délicatesse et élégance, il égraine un à un mes vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'au lit où il me couche. Nos baisers sont plus doux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne.Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Je pose mes mains sur son torse déjà nu, je descends jusqu'à la ceinture, un à un je fais sauter les boutons de son jean. Je voyage au gré de mon envie, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis, l'objet de mon désir, son sexe, saillant et tendu sous le boxer. À mon tour, j'ôte la dernière barrière pour enfin mettre ma bouche sur ce vît
qui attend les caresses de ma langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Soudain, je sens ses bras qui me retournent, je croise son regard dans le miroir. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, je sens sa quête, il me trouve enfin, son sexe me pénètre lentement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est derrière moi, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.

À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, il tombe près de moi, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...

Il se lève, allume une cigarette, le moment que je choisis pour partir. Je reprends le même chemin, à l'envers, je retrouve mes dentelles, ma robe, mon foulard, je les enfile un à un, et j'arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver mon quotidien. Doucement il arrive derrière moi, se colle à moi, la chaleur de son corps nu, je me retourne, je lui offre encore ma bouche et lui, ses derniers baisers. Il remet mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime.

Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! »
Je suis bien.
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Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il aime ça et j'aime qu'il aime.

Il me plaque contre un arbre, m'embrasse, assoiffé, affamé, morda ...

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dans des fourrés


Le regard que nous échangeâmes au moment où il me déposa, avec mille précautions, sur la paille de cette grange, était d'une tendresse infinie. Cet homme était bon, généreux et tendre, j'en avais là la confirmation la plus limpide. Je sentis qu'il s'arrachait à mon regard et il me sembla voir ses joues s'empourprer légèrement. Il se mit à masser ma cheville endolorie avec des gestes doux et attentionnés. Le contact était agréable que je vécus plus comme une première caresse que comme un acte de soin destiné à apaiser ma douleur.
Il sortit son mouchoir de sa poche et, après l'avoir légèrement humecté de salive, le posa délicatement sur ma cuisse à l'endroit de la blessure. Je remarquai, non sans une secrète satisfaction, qu'il regardait ma jambe avec admiration. Je ne pus m'empêcher de la remuer légèrement pour mieux l'offrir à son regard. Lorsque ses yeux se reportèrent sur moi, ils brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard à présent et je tressaillis de fierté lorsque son regard avide se riva un instant sur mes seins avant de m'envelopper dans un vaste coup d'œil circulaire puis de remonter vers mon visage.

Lorsque j'entrouvris les lèvres et inclinai légèrement la tête sur le côté, il se rapprocha de moi, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage ; ses yeux sautaient d'une de mes pupilles à l'autre, à toute allure… il eut une sorte de soupir d'animal blessé puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Nos langues se cherchèrent un bref instant puis se lancèrent dans une course effrénée. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle je sentais gronder dans son corps massif. Il me serrait à me briser les côtes et c'était divin ! Quelle force, quelle fougue. Dieu que j'avais envie de cet homme, de ce mâle ! Notre baiser se prolongea longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante de l'autre.
Il finit par se ressaisir. Il détacha son visage du mien, me sourit et me regarda avec une tendresse qui acheva de me faire fondre. Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée puis, sans un mot, me souleva comme une plume et m'entraîna dans ses bras puissants. Je m'efforçai de me faire aussi légère que possible dans ses bras. Il m'allongea sur la paille et entreprit aussitôt de soigner ma cheville endolorie. Elle était à peine gonflée, et je pouvais la remuer sans occasionner d'élancements douloureux. j'avais pris soin de déboutonner légèrement mon chemisier de façon à laisser voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il était sur moi, haletant, en proie à une belle excitation, lui aussi.

Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Le membre accusait une belle taille, j'en fus fortement impressionnée. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants sous mes yeux ravis avant de se faire happer par ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, tendu de désir, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à masser vigoureusement le sexe ainsi brandi, offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu.
Je devinai que cet homme avait envie de moi. Délaissant le phallus incendié, je dégrafai mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, m'étendant de tout mon long sur la paille, les mains ramenées dans ma chevelure. Je me cambrai, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer de longues et insistantes caresses. Rapidement, je fus dans tous mes états, le danger qu'il y avait à être surpris ajoutait encore à l'excitation. Je poussai un petit gémissement de plaisir lorsqu'il s'empara de mes seins et se mit à les caresser et les palper. Je me tendis vers lui, vers ses mains, vers sa force…

Etendue dans le foin, je le sentais venir, je sentais son enorme appareil au contact de ma chemise de nuit et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. me regarda droit dans les yeux, les miens étaient rivés ailleurs, sur son sexe massif et troublant. Il écarta mes cuisses, et le fit rentrer doucement en me regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement Et il commença ses va et vient. Chaque coup de rein m'emplissait de plaisir. les mouvements devenaient de plus en plus violent il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, il me fit jouir en même temps que lui. pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je me réveillais, Il était toujours sur moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours J'avais encore envie de le sentir venir en moi. Et les va et vient infernaux continuèrent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Après m’avoir limé pendant un grand moment, nous jouissions ensemble dans un cri commun. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Je m'endormis dans ses bras puissants...

Le moment était venu : je me redressai et m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis se glisser en moi d'un seul coup. Il me pénétra bien profondement presque aussitôt tant j'étais prête : ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que ce fut bon ! Il me besognait lentement durant quelques longs moments, et s'emballa soudain
Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Ce martèlement dura un bon moment, délicieux, sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Il explosa presque aussitôt et je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de son plaisir. Je fus secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits.

Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi.
J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire puis, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.



Sentant s'ouvrir à moi sa douce intimité, ma main s'invite à la douceur des chairs. Le sang afflux si fort dans nos parties secrètes, que le rythme à l'unisson de nos cœurs affolés nous chavire : déferlante vague noire au-dedans de nos corps enlacés.
À terre nous voici, étendus dans la paille et l'odeur animale. Écartées par mes hanches, les cuisses de Jeanne battent la mesure de mes élans puissants : ailes de papillon prenant son envol.
Nos bouches sont collées, l'une sur l'autre et l'autre sur elle ; langues mouvantes dans la bouche de l'autre. Notre désir s'exprime par les bouches et les ventres ; deux points d'énergie pure qui annihilent les corps pour n'en plus faire qu'un pôle où le plaisir explose...
Puis nous voici silencieux, retenant l'instant fatal de la décollaison ; les choses de ce monde redeviennent banales
et le dégoût s'installe irrémédiablement, inversant le courant qui nous avait soudés.
Glissant le long de ma cuisse : gluant et rétréci, comme pas fier de lui, le voici oublié et vite emmitouflé dans son nid de coton.
L'intimité de Jeanne aussi est bien vite à l'abri entre ses cuisses chaudes, recouverte par l'étoffe de ses jupes rabattues.Pas un mot n'a franchi la barrière de nos dents. Jeanne, au cul des vaches retourne décrotter le cuir de noir et blanc tacheté ; ses joues sont enflammées, mes jambes flageolantes.
dans des fourrés (E)
Le regard que nous échangeâmes au moment où il me déposa, avec mille précautions, sur la paille de cette grange, était d'une tendresse infinie. Cet homme était bon, généreux et t ...