![]() | collines et vallonsle ciel etait bleu, l'air déja chaud, elle avait une robe légère, je sentais sous le tissu la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille. Sa peau etait chaude, un peu moite. J'aimais la carresser avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posait, une de ses main sur la mienne, et me guidait parfois vers des endroits plus intimes. J'aimais la regarder, admirer ses formes, ses rondeurs, son corsage bien rempli était près à éclater. Elle me lancait alors: - Qu'est ce que tu regardes Nicolas ? - Je regarde tes collines vallonnées ! Elle baissait les yeux, les relèvait et me souriait, J'avais le cœur qui bat. je vois la naissance d'un delicieux soutien gorge brodé et gonflé à bloc laissant déborder un peu de chair plus blanche. Je reste stupéfait devant ces seins qui ne bougent presque pas ! J'approche mon visage du sien. Elle ferme les yeux. Je lui fais un baiser sur la joue, sur l'oreille, elle ne dit rien, Je sens sa main caresser mes cheveux ! Je prends l'autre sein doucement dans ma main gauche. - Nicolas est-ce que je te fais bander ? Je reste interloqué ! - Barbara ! Depuis que tu es là, avec moi, je bande Elle me regarde fixement ... puis, d'un coup, m'enlace et m'embrasse à pleine bouche !Je ne sais plus où je suis, je sens son corps sensuel contre le mien, ses seins pointus, et ses fesses dans mes mains ! il fait chaud, je me frotte de plus en plus à sa peau de velours, mon torse contre son dos, je prends ses seins dans chaque main... je l'embrasse dans le cou, les oreilles, le visage, puis sur la bouche ... baiser, long, sensuel... Je me penche, suce un téton et elle plaque mon visage contre elle. Je caresse ses cuisses, elle a un sein dehors ... Je caresse sa toisonJe touche ses poils, Elle tressaille, me laisse faire, et enfin, je sens sa fente, chaude, humide que je parcours d'un doigt... Elle tremble et soudain se dégage de moi, s'allonge, écarte les cuisses et me dit simplement - VIENS ! je me retrouve sur elle, frottant mon corps doucement sur le sien, un délice... La chaleur du soleil dans mon dos, l'odeur des pins, le bonheur ! Je l'embrasse à pleine bouche, elle me serre fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent... et d'un coup comme par miracle, je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement comme dans un rêve, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles Je fais quelques va-et-vient, elle s'accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux plus résister... Je m'enfonce en elle, au fond de son ventre et je me vide en elle, un plaisir immense. Je n'arrête pas de jouir, elle tremble de partout. Nous sommes l'un dans l'autre, je la contemple ... Elle pleure : Nous restons ainsi enlaces, nos sexes emboités delicieusement. - Tu m'a remplis de toi ! J'ai jamais senti ça ! On est fous ! Oh ! J'en peux plus ! Mon sexe palpite toujours en elle, je sens ses poils soyeux, elle m'enlace et me tend ses lèvres en me disant merci ! Elle me montre son nouveau soutien gorge, en fait jaillir un téton : elle presse ses seins l'un contre l'autre dans un geste superbe, une offrande dont la vue m'excite. Je suçe ses deux tetons avec ardeur - Que c'est bon ce que tu me fais ! mon sexe se durcit de nouveau, elle s'approche, me le branle doucement, puis me dit : - J'aime bien voir ton sexe qui bande, J'ai encore envie que tu le mettes en moi ! elle se glisse sur moi, jupe à la ceinture, les seins dehors, elle se tortille sur moi les yeux fermés, frottant son sexe au mien chatouillé par ses poils, elle est déchaînée, m'embrasse, me lèche le visage. Sous elle, je tiens mon sexe contre sa fente, puis elle s'empale sur moi d'un coup poussant un cri ! - Mmmmmh ! Que c'est bon ! Puis elle m'embrasse, on se tortille, on s'agite, sa chatte est brûlante, trempée, on tremble de partout, une étreinte, un orgasme, je me vide en elle pour un bonheur inouï qui nous laissera pétrifiés de longues minutes, elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vu, obscène presque, mais oh combien desirable dans cette offrande. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble J'approche mon sexe du sien, le frotte dessus, je pose mon gland sur le trou, pousse un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs très rouges, elle pousse un gros soupir quand j'arrive à fond, je fais durer le plaisir, mais d'elle-même elle bouge, me fait comprendre qu'elle a envie de jouir avec moi, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque sur elle, écrasant ma semence sur nos deux corps et on s'embrasse longtemps. on se donne un dernier baiser les larmes aux yeux. | collines et vallons (E) le ciel etait bleu, l'air déja chaud, elle avait une robe légère, je sentais sous le tissu la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille. Sa peau etait chaude, un peu moite. J'aimais la carresser avec douceur, elle ... |
![]() | Adam et Eve (Edmond Haraucourt)Tous deux s’étonnaient de tant de différence Dans les formes du corps et les tons de la peau. Adam la trouvait belle ; Ève le trouvait beau. Adam la questionna: « Comme vous êtes blanche ! Pourquoi Dieu vous-a-t-il mis des cheveux si longs ? Les miens sont courts et noirs et les vôtres tout blonds. Et ces machines rondes, Là, sur votre poitrine, à quoi cela sert-il ? Et moi dites-vous, au-dessous de mon nombril, dans cette touffe noire, je m’en sers… après boire. Oui vous pouvez toucher. C’est tout rouge au bout. On dirait une rave !". Et les mignons doigts roses Allaient, couraient, venaient, faisaient de courtes poses, Comme des papillons voltigeant sur des fleurs. « Oh mais, regardez donc. Il a pris des couleurs. Comme c’est drôle ! ll est plus grand que tout à l’heure. Il se dresse, il frémit. Ciel ! une larme : il pleure ! » Ève essuya la larme à ses cheveux dorés. Oh, monsieur Adam ! il est énorme, Maintenant ! Il n’a plus du tout la même forme, C’est très raide et très dur… A quoi peut-il servir ? » Adam lui répondit, dans un profond soupir : « Est-ce que vous croyez qu’il sert à quelque chose ? Eve lui rétorqua " Moi, je n’ai que la place. Voyez ... Ici… Regardez bien. La fosse est toute fraîche… Diable ! C’est bien étroit ! » Adam glissa sous la femme une main caressante...Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante, Les seins tendus, les poings crispés dans ses cheveux. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux, soupirant des "Encore !" Elle entr'ouvrit ses deux cuisses cambrées, et omme il croisait ses mains sous deux épaules blanches, Adam sentit deux pieds se croiser sur ses hanches. Leurs membres innocents s'enlaçaient, s'emmêlaient. S'ils avaient pu savoir, au moins, ce qu'ils voulaient ! Alors, presque sans le comprendre, Tous deux en même temps, d'une voix faible et tendre, s'avouerent leur amour. Et le premier baiser vint, en papillonnant, se poser sur leurs lèvres unies. Puis, comme le serpent, Adam s'élanca, recula, avanca; à la recherche d'un trou, un asile où faire jaillir sa sève bouillonante. Il chercha, il trouva enfin, Il entra et ne sortit plus. Adam avait trouvé ! Un cri, puis des soupirs : l'homme avait compris la femme. Les deux corps enlacés semblaient n'avoir qu'une âme. Ils se serraient, ils se tordaient, ils bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient. Les veines se gonflaient. Les langues acérées cherchaient une morsure entre les dents serées, Des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, Des élans furieux, des bonds de voluptés... Plus fort ! Plus vite ! Enfin, c'est la suprême étreinte, Le frisson convulsif... Eve, alanguie, éteinte, Se pâme en un soupir et fléchit sur ses reins ;Ses yeux cherchent le ciel ; son coeur bat sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige, S'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège. Adam, heureux et las, se couche à son côté. Puis, tous deux, lourds, le sein doucement agité Comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, Rêvent, dans la langueur des voluptés finies. Mais Eve : "Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison, Dieu fait bien ce qu'il fait... Viens là ! Recommençons..." Edmond Haraucourt | Adam et Eve (Edmond Haraucourt) (E) Tous deux s’étonnaient de tant de différence Dans les formes du corps et les tons de la peau. Adam la trouvait belle ; Ève le trouvait beau. Adam la questionna: « Comme vous êtes blanche ! Pourquoi Die ... |
![]() | avant l'orageJ’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux n’avait plus la force. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue chevelure et ses légères robes fleuries, cette adorable fille de la campagne m’avait charmé dès le premier regard. Le jour de mon arrivée, elle m’avait déjà presque hypnotisé en plongeant ses yeux dans les miens, me dévisageant des pieds à la tête alors que je déposais mon baluchon sur le lit de la chambre qu’elle me faisait visiter. Alors qu’elle se penchait pour ouvrir les volets extérieurs afin d’accueillir plus de lumière dans cette pièce au plafond bas, je n’avais pas pu m’empêcher de glisser un œil indiscret sur l’ourlet de sa jupe qui lui remontait jusqu’à mi-cuisse. J’avais déjà fauché plus des trois quarts de la prairie cet après-midi-là. Aussi c’est avec une grande joie que je vis arriver Bella, son panier d’osier à la main. Elle m’apportait une délicieuse bouteille de thé glacé concocté par ses soins, dans laquelle elle avait ajouté une bonne dizaine de glaçons : le rafraichissement idéal ! Je n’avais jamais vu le petit short en jean qu’elle portait ce jour-là ; il était presque indécent tellement il était court, laissant voir la naissance de ses fesses. Sa petite blouse blanche sans manche était courte, elle aussi. Lorsqu’elle m’invita à m’asseoir à ses côtés et qu’elle me tendit un grand gobelet de boissons glacée, je remarquai l’absence de soutien-gorge, ce qui contribua à me troubler encore un peu plus. Elle me complimenta sur le travail déjà accompli ainsi que sur le hâle de mes biceps en sueur. Je la remerciai en balbutiant maladroitement quelques mots, puis avalai d’un trait la moitié de ce providentiel breuvage. Bella me regardait faire, laissant pendre nonchalamment sa jambe droite en bas de la remorque, alors que son pied gauche était posé à plat sur la benne, son menton posé sur son genou. J’avais du mal à ne pas mater ses cuisses, aussi tendres que généreuses. Le ciel commençait à s’assombrir de plus en plus, mais aucune goutte de pluie n’était encore tombée. Elle me fit signe de m’approcher, et elle embrassa ma bouche d’un long baiser fruité que je n’oublierai jamais de ma vie ! La suite se passa comme dans un rêve ! Sans dire un seul mot, nous nous sommes enlacés, mus par un désir mutuel. Allongés sur le plancher en bois de la remorque, nos mains partaient à la découverte de nos corps, alors que nos langues faisaient connaissance avec de plus en plus de fougue. Sa bouche était tendre et gourmande à la fois. Sa cuisse vint se caler entre mes jambes. Mes doigts fébriles se glissèrent sous sa blouse, partant à la recherche de ses merveilleux globes d’amour, tendus d’excitation. Les petits gémissements qu’elle poussait m’indiquaient qu’elle devait au moins être aussi excitée que moi, ce qui me fut confirmé au moment où elle me lança un « Prends-moi ! » gorgé de désir, dans un souffle, entre deux baisers torrides. C’est à ce moment que j’ai remarqué qu’elle m’avait déjà facilité la tâche en déboutonnant son petit short en jean ; je n’avais plus qu’à glisser ma main le long de son bas-ventre pour plonger dans un doigt explorateur sur le dessus de son clitoris en feu. Un long soupir s’échappa de sa gorge lorsqu’elle sentit mon index s’immiscer en elle, glissant d’autant plus facilement que sa vulve était déjà trempée. Mon sexe me faisait presque mal, tant il se sentait prisonnier à l’étroit dans mon pantalon encore fermé. D’une main experte, Bella le dégagea de son carcan, pour se mettre à le goûter avidement. Sa bouche formait un véritable écrin de velours autour de mon gland durci par l’immense excitation qui m’envahissait. Les baisers qui suivirent, mêlant salive et mouille suave, achevèrent de nous saouler de désir, et c’est le moment qu’elle choisit pour me chevaucher et guider mon sexe en elle. Elle s’y empala jusqu’à la garde, me fixant du regard. Comme hypnotisé par ses yeux de féline, je saisis ses seins lourds dans mes mains ; grâce aux mouvements de son bassin je n’avais même pas besoin de bouger mes mains pour masser ses deux sublimes mamelles, qui bougeaient dans le rythme de ses ondulations. Quelques gouttes de pluie ont alors commencé à tomber, mais nous étions trop occupés à goûter ce moment que pour nous en soucier. Au contraire, elle se mit à me baiser encore plus énergiquement dès que le premier éclair zébra le ciel. On eut dit que tous les dieux de l’Olympe avaient décidé de photographier nos ébats, flashant de plus belle alors que le tonnerre commençait à gronder ! Frissonnant à chaque goutte de pluie qui coulait dans son dos, Bella décida de changer de position et m’invita à la protéger de mon corps. Allongée sur le dos, elle m’ouvrit ses cuisses si largement que je compris en un clin d’œil la caresse qu’elle attendait. Mon gland déjà bien lubrifié par sa mouille abondant n’eût aucune peine à se frayer un chemin dans l’étroit conduit de son anus. Elle gémit un peu au moment où toute sa tête disparut entre ses fesses, puis je poussai délicatement et très progressivement mon sexe jusqu’au plus profond de ses entrailles. L’orage redoubla alors d’intensité, comme si les dieux avaient décidé de désapprouver cette position pourtant si terriblement excitante. Et c’est finalement sous une pluie chaude et battante que Bella m’invita à remplir sa bouche d’une longue et puissante rasade d’un sperme chaud et abondant. C’était le dernier jour de ma mission de saisonnier à la ferme. Le vieux Ramedillis me remit ma paie ce soir-là, et je n’ai plus jamais revu la torride Bella. | avant l'orage (E) J’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux n’avait plus la force. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue ... |
![]() | Ce fut tout en haut de la ville, dans ce jardin au panorama enchanteur, que nous allâmes poursuivre notre conversation. Là, sur un banc ombragé, sa fine chemise blanche glissa alors de son épaule gauche, me révélant un délicat petit sein. Puis nos corps, incités par ce hasard malicieux, se rapprochèrent, nos langues s’emmêlèrent de plus en plus fougueusement sans souci des regards envieux tout autour. Juste en face de nous, deux filles ne perdaient rien de nos ébats ; l’une d’elle, timidement, lança à ma petite Portugaise : « On partage ? » Mais A., dans un sursaut, la rembarra sans ménagement. Elle voulait autant que moi ce moment de désir brûlant et entendait bien que personne ne le lui volât. Malgré tout, elle refusa, ce soir-là, de me faire découvrir sa chambre et je la quittais à regret pour m’en retourner vers ma solitude marseillaise. Je le rejoignis plus tard dans ma chambre où, dans la pénombre, elle m’attendait à moitié nue sur le lit. J’achevai ainsi de la déshabiller, découvrant et caressant son corps menu de la tête aux pieds, lui laissant prendre l’initiative des premiers jeux buccaux — ce qu’elle pratiquait très bien malgré le peu d’expérience sexuelle qu’elle disait avoir. son pubis, extrêmement pileux, avait sous mes doigts la douceur d’une motte végétale. Je trouvai néanmoins, à deux reprises, le chemin vers sa bouche d’ombre et, le plaisir à peine retombé, nous nous endormîmes presque l’un dans l’autre malgré la canicule. Au petit matin, le désir de la pénétrer à nouveau me revint. Elle ne s’y opposa pas mais voulût, juste après, que je la lèche. Sa fente encore gluante et sa forte pilosité pubienne ne m’incitaient guère à un cunnilingus. Après un petit déjeuner, nous nous recouchâmes et passâmes le reste de la matinée au lit, entre caresses et confidences. | (E) Ce fut tout en haut de la ville, dans ce jardin au panorama enchanteur, que nous allâmes poursuivre notre conversation. Là, sur un banc ombragé, sa fine chemise blanche glissa alors de son épaule gauche, me r&eacu ... |