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mercredi 17 décembre 2025 - 16h29
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Il m'avait prise sur le fauteuil


Il m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
Il m'avait prise sur le fauteuil (E)
Il m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l&r ...

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un homme seduisant (1)


C'était un homme seduisant, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés à l'extérieur autour d'une table sous la douce chaleur d'un soir d'été, nous parlions de tout et de rien mais je découvrais une lumière pétillante dans ses yeux et, je dois l'avouer, j'étais sous le charme.
Il m'a invité à danser et j'ai accepté bien volontiers. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. le contact de sa jambe sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'entouraient de manière soutenue. Je sentais très nettement son pantalon pointer entre mes cuisses, sous le tissu de ma robe légère, un relief troublant sur lequel, inconsciemment, je commençais à me frotter.
Nous nous regardions sans parler, les yeux dans les yeux. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa manière de me serrer sans excès contre lui. Ses mains étaient douces, longues et fines, Je les regardais avec envie, je les désirais avec force. J’imaginais les caresses plus intimes qu’elles pourraient me faire, le plaisir qu’elles pourraient me donner. Ses mains restaient sages, trop sages. Je rêvais de toucher, sucer chacune de ses phalanges, de les soumettre à mon plaisir, de les guider sur mon corps, de les diriger pour qu'elles s'immiscent discrètement dans mon écrin.
Je sentis en même temps sa main effleurer très doucement mon sein, je le laissais faire. J'imaginais déjà une aventure avec lui et cette idée, loin de m'affoler commençait à envahir ma tête. Ma peau etait chaude, un peu moite, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. J'étais émoustillée Je me suis laissée entrainer dans une spirale que je ne dominais plus vraiment. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre moi. Je sentais tres nettement le relief de son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage,
Il s'est un moment détaché de moi pour me fixer etrangement. Et, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes, elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je ne sais pas pourquoi je l'ai l'embrassé à ce moment là avec plus d'ardeur. Toujours est-il que sa langue s'est de nouveau insinuée entre mes levres, et qu'il commençait à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir, pensant que nous allions rapidement reprendre nos esprits. Mais Il a commencé à écarter un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Je n'arrivai plus à faire quoi que ce soit. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les caresser, les palper, les presser l'un contre l'autre.
Rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Tout en continuant à le regarder droit dans les yeux, je pris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. je la laissais poursuivre sa douce exploration par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Sa main a soulevé le bord de ma robe, puis ma combinaison de soie et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de mes dessous intimes. C'est de ce contact direct dont j'avais secrètement besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus le doux tissu. C'était vraiment bon. Puis il a passé un doigt sous l'élastique, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts me penetrait. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait irremediablement en moi. Son autre main me caressait le ventre, et les seins.
Prise de légers spasmes, je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation. J'étais en train d'abdiquer. j'exprimai ma jouissance dans un râle long. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus.
Il était en train de faire fondre mes rares velléités de résistance. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, sa manière de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. En fait, je désirais cet homme. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Il était viril, plutôt gâté par la nature, il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui.

J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à crocheter et faire descendre sur mes jambes ma fine culotte de soie. J'ai essayé de le stopper, lui disant que nous étions en train de nous laisser emporter. Il m'a répondu qu'il s'arrêterait dés que je lui demanderai. Mais, je dois être honnête, je ne lui ai pas demandé, car inconsciemment j'avais envie qu'il continue. Je soulevais instinctivement mes hanches pour le laisser finir le travail. A peine tombée sur le sol la petite lingerie est partie directement dans sa poche. Je tentais encore vaguement de me raisonner mais sans vraiment résister, je glissais une main dans son pantalon et testais son désir, je le pris en main, le caressais et le massais doucement. Il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque ses intentions. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui avouer mon impatience, lui signifier que j'étais prête !

Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir. Il continuait à masser mes lèvres intimes de plus en plus mouillées. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, C'est à ce moment là que j'ai senti son sexe au contact de mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Il commençait à me pénétrer doucement. Je ne résistais pas. Et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais sous son emprise. J'ai resserré mes jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Je le sentais grossir de plus en plus en moi. Mon corps m'abandonnait, je me donnais peu à peu à lui, mes hanches se déplacaient contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je gémissais doucement pendant qu'il me conduisait au plaisir,

il était puissant et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder sous son contrôle. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il m'investisse jusqu'au fond de mon vagin, me remplissant complètement.
Je l'agrippai par les épaules pour ne pas crier pendant qu'il me mordillait le cou, il s'activait dans mon ventre de plus en plus vite. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Puis je l'ai senti s'enfoncer plus profondement. D'un coup, il s'est enfoncé au fond de mes entrailles, s’est arrêté, s'est crispé, j'ai senti son sexe se raidir, se contracter. Il poussa un cri rauque et long ... et son premier jet vint gicler au fond de moi, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Il jouissait dans mon ventre ! Il n'en a pas fallu plus pour que j'explose avec ce qui devait être le premier orgasme de cette soirée là, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Je sentais qu’il défaillait lui aussi. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse, il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait. Sa verge dure coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de lui. Mon corps avait finalement ce qu'il avait imaginé quelques temps plus tôt. C'était si agreable de l'avoir si ferme, si dur, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Il restait là contre moi, sa queue toujours bloquée en moi. Je la sentis se rétrécir, libérant nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

Quand je suis revenue à la réalité, je sentais toujours son sexe encore partiellement en moi, imbibé de son sperme. Il m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsqu'il s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un dernier chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Son sexe continuait à glisser doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé ce soir là un merveilleux amant.
Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
un homme seduisant (1) (E)
C'était un homme seduisant, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés à l'extérieur autour d'une table sous la douce chaleur d'un soir d'été, nous parlions de to ...

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une femme seduisante


Nous nous étions refugiés tous les deux dans un coin sombre de la salle, à l'écart des danseurs. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde sous sa combinaison de soie. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par le gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de le dissimuler jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille, serrez-moi encore ! ...
- Je prends ça pour une flatterie ! ajouta-t'elle avec un leger sourire complice
Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt sous la soie pour atteindre la peau satinée. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive, ses cuisses étaient écartées, comme en attente. Elle m'interrompit en me soufflant à l'oreille:
- j'ai envie !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde.
- ça va ? lui demandai-je, de plus en plus impatient
- Vous m'avez entendu ? insista-t'elle, ... J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Sa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta encore les jambes découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Elle me souffla à l'oreille en forme de supplique:
- Ne restons pas là !
Une fois dans sa chambre, le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé qu'elle avait pris en main, frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- Venez ! ... Vite !
mon sexe compressé contre son ventre, ses lèvres intimes toutes ouvertes. coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrassa, éperdument .... j'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Elle me caressa la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glissais ma main entre la soie et la peau... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'entendais le frottement de la soie sur ses cuisses...Je fermais les yeux. Le temps s'arrêta. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle esquissa un sourire.

A l'abri des regards, je relèvais sa jupe, elle ouvrit discrètement mon pantalon, prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland. Nos corps se rapprochaient, se trouvaient, enfin ...C'est à ce moment là que j'ai senti mon sexe litteralement aspiré entre ses lèvres intimes, je la penetrais naturellement, sans effort. elle se mit à tressaillir. Et je continuais à m'enfoncer un peu plus en elle. Elle était sous mon emprise. Elle a resserré ses jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Son corps s'abandonnait, elle se donnait peu à peu à moi, ses hanches se déplacaient contre moi au fur et à mesure de ma progression. Elle gémissait doucement pendant que je la conduisais au plaisir, j'étais puissant et doux à la fois, lui agrippant les hanches pour la garder sous mon contrôle. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, poussais encore plus profondément. J'entrais en elle et ressortais, descendant plus profondément à chacune de mes poussées, jusqu'à ce que finalement je l'investisse jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Je commencais à sentir chez elle arriver l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de son corps,
- Je suis prête !
Elle m'agrippait par les épaules pour ne pas crier pendant que je lui mordillais le cou, je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. J'étais sur le point de non retour. Je me suis enfonçé plus profondement, d'un coup, au fond de ses entrailles, je me suis arrêté, je me suis crispé, j'ai senti mon sexe se raidir, se contracter. Je poussais un cri rauque et long ... et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je jouissais dans son ventre ! Il n'en a pas fallu plus pour qu'elle explose avec ce qui devait être son premier orgasme de cette soirée là, pensant même qu'elle allait defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans son corps. Je sentais que je défaillais moi aussi. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau, m’arrêtais. Ma verge dure coulissait puissement dans sa fente humide. Elle était remplie de moi. Son corps avait finalement ce que j'avais imaginé quelques temps plus tôt. C'était si agreable de l'avoir si ferme, si dur, à l'intérieur d'elle, j'ai senti alors son deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de son estomac. Je lui envoyais une dernière giclée, me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle restait là contre moi, ma queue toujours bloquée en elle. Je la sentis se rétrécir, libérant nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle était aussi épuisée que moi.
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ... Vous avez été merveilleux !
Elle glissa les mains sous ma ceinture, me caressa, me fit durcir à nouveau ... j'avais envie encore de son ventre. Je l'attirais vers moi, Elle guida mon sexe d'une main experte. Je fermai les yeux ... Je la pénètrais très doucement, profondemment, très longtemps... Elle m'entoura la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... le plaisir était si fort. sa bouche était entrouverte, collée à la mienne, elle me lèchait avec lenteur, me mordillait les lèvres. Je la collai contre le mur .... et je m'enfoncai à nouveau dans sa chair. Elle se laissait embrasser partout ... Nous étions unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sentais sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. En elle bouillonnait le plaisir. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Mes mains caressaient ses cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille qu'elle taquinait avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Je regardais son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donnait, encore et encore. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondulait du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allongea sur mon torse. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- Je vous en prie ! Restez avec moi cette nuit !
une femme seduisante (E)
Nous nous étions refugiés tous les deux dans un coin sombre de la salle, à l'écart des danseurs. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde ...

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Tania


Tania, terminait de se preparer dans son cabinet de toilette. Cette femme était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Elle me donnait des sueurs froides, elle me regardait avec une bienveillance qui me destabilisait
Elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Puis elle me prit par la main, m'amena vers elle, s'enlaça autour de moi, son corps blotti contre moi, sa poitrine s'écrasait contre mon torse, son bassin se plaquait au mien et elle ondulait très lentement.
J'exprimais de maniere un peu honteuse mon émoi, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ? me demanda-t'elle avec un regard ravageur.
Je lui avouai mon émoi devant tant de beauté
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts sur mes lèvres entrouvertes.
- Serres toi bien contre moi ! Colle ton bassin contre le mien
- laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
Sa cuisse s'intercala doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir, tellement nous étions proches.

Tania feignait de ne rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tendres. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre.
N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus. Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- je te sens bien ...
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant une zone légèrement humide Tania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Que fais-tu ? Allons ! ... soyons sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffla à l'oreille
- j'ai retiré ... je n'ai plus rien sous ma robe ! ... Viens ! Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle. Ses main sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant, je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort. Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents.
- Ooohh ...ouiiiii... Tu me rends folle ! Mets le moi bien profond !
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
Tania (E)
Tania, terminait de se preparer dans son cabinet de toilette. Cette femme était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Elle me donnait des sueurs fro ...

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Au bout de ce salon immense ... elle ... seule...


Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser. Nos regards qui se télescopent ... L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs ... Temps suspendu ... Elle croise les jambes. longue robe de soie noire fendue qui laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore ... Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels.

Elle écarte un peu plus sa jambe, dévoile la splendide nudité d'une cuisse somptueuse ... Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens. A petits pas, le premier, j'ose l'insensé ... l'inviter à me suivre

Je me dirige vers le long couloir en lui lançant quelques regards.... Elle me suit. J'ouvre une porte, je m'abrite derriere, à l'écart. Je me retourne .... et là, dans la penombre, elle est là. Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire. Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou...
Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.

http://revebebe.free.fr/hishtml/reve1986.html
Au bout de ce salon immense ... elle ... seule... (E)
Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser. ...

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la femme du patron


J'étais invité avec quelques membres de la direction à un diner chez le patron. La femme du patron est une belle femme dont on m'a dit qu'elle n'est pas un exemple de vertu conjugale et qu'aurait même tendance à croquer ses proies en série, telle une mante religieuse. Elle est vêtue ce soir là d'un ensemble de soie troublant, dévoilant de manière très visible des formes généreuses qui remuent au rythme de sa respiration. Les seins sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie sous le corsage de soie fortement translucide.
Le repas du patron et de ses associes se prolonge, la maitresse de maison semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. Elle me fixe depuis un moment, elle provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle se lève, vient vers moi et me glisse à l'oreille
- Venez avec moi, j'ai des choses à vous dire !
Nous nous retrouvons dans le salon annexe, et sans attendre, elle s'avance vers moi brusquement, se presse contre moi, et m'embrasse sur la bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent.
- J'ai vu votre regard ! J'ai envie ! et je sais que vous aussi !
Elle ouvre une porte derrière moi, et me repousse à l'intérieur de la chambre. Je me retourne vers elle, je vois la robe tomber a terre. elle se penche en soutenant ses seins qui prennent un relief impressionnant.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille.
Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... J'ai besoin d'être baisée !

Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !
la femme du patron (E)
J'étais invité avec quelques membres de la direction à un diner chez le patron. La femme du patron est une belle femme dont on m'a dit qu'elle n'est pas un exemple de vertu conjugale et qu'aurait même tendance &ag ...

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pleine lune


C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mériterait d'etre davantage explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou.
Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. J'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte. Il me fit ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Comme moi ? lui demandai-je, en entrant consciemment dans son jeu
- Oui ! Comme vous ! me repondit-il tout en continuant à me caresser un sein,
Je l'ai alors senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je faisais semblant de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorateurs aiment explorer les terres inconnues, me souffla-t'il à l'oreille
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais violemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
- Il y a encore tant de terres à découvrir, poursuivai-je, consciente de ce que j'étais en train de déclencher
J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer les reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à me donner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement, les jugeant tres prometteurs. Il m'entraina doucement vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Il devenait bestial, presque animal et j'aimais ça ! il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir et son envie de moi. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard sans autre preliminaire:

- Je n'ai rien sous ma robe ! Viens, dépêche-toi, je suis prête !
Je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, je sentis alors son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée, puis, je le sentis s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs. Mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses intimes, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur. Puissamment, il glissait dans mon ventre, exprimant de longs râles.

Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. D’un coup de rein, Il enfonça son sexe tout au fond de moi, me faisant percevoir le contact de ses bourses, prêtes à exploser. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra.

Il ne résista pas très longtemps. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Apres quelques va et viens tres rapides, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Et la fusée partit ! ... Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants, il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:

- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laisse-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.

Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après une longue nuit amoureuse Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu
pleine lune (E)
C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, e ...

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fascinée par cet homme


J'étais allongée sur mon lit, fascinée par ce bel homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard avide se fixa sur mes seins pointant sous ma fine lingerie de soie rose. Il me mangeait littéralement du regard
Cet homme était impressionnant. J'admirais son corps musclé. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi sans complexe, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait ce mâle. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes pour me faire partager son désir de male
Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main pris possession de son sexe. Quelle forte sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de sa verge, tendrement, délicatement Je la sentais vivre et palpiter, irriguée par les veines gonflées. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Je le regardais droit dans les yeux, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure.
il m'excitait de plus en plus. Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais.
Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée.
Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.
Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort et je le sentis me penetrer furieusement encore plus loin, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin.
Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle s'allongea sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, il se rhabilla et quitta la chambre.
Je ne l'ai jamais revu..
fascinée par cet homme (E)
J'étais allongée sur mon lit, fascinée par ce bel homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard av ...

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Nous étions fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre, Il m'a alors emmené dans sa chambre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Nous nous sommes rapidement deshabillés. Il m'a allongée sur la moquette et il pénètré mon corps sans attendre, d'un coup. Je l'aspirai en moi avec gourmandise, mes chairs se distendaient. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. je mouillais sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchaient les siennes et j'attrapai sa bouche. Je le sentais me fouiller, me remplir. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissait. il collait son ventre contre le mien, nous étions emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi plus amplement, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnaient son corps et l'attiraient en moi chaque fois qu'il s'en éloignait. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient sur le lit, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis il alla plus loin, plus profond et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir dans mon ventre. Je frissonnais, je tremblais.... Je montais irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquerent une forte houle de sensations dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux :
Son plaisir s’annoncait, J'allais jouir d'un instant à l'autre, tout mon corps fut ébranlé, je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage.
Tout mon corps se mit à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sentit et d’un coup de rein, s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités, j’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Son corps entier a basculé en avant, s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se répandait dans mon ventre, La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais son sperme chaud commencer à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.

il retomba lourdement sur moi, il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je cherche à les contrôler. J'ai alors eu un dernier orgasme intense.
Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure.




Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Il m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre.

J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsqu'il s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un dernier chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Son sexe continuait à glisser doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé ce soir là un merveilleux amant.

Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau

Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.

Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
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Nous étions fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre, Il m'a alors emmené dans sa chambre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Nous nous sommes rapidement deshabill&e ...

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Il m'a prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
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Il m'a prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l&rsquo ...

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Lorsqu'elle m'apparut


Lorsqu'elle m'apparut, allongée nonchalamment au fond du grand canapé, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une robe moulante, fendue sur le coté jusqu’à mi-cuisse, une peau somptueuse et blanche, de longues jambes fines et musclées.
je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud. Elle me fixa d'un étrange sourire.
Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea sa robe de nuit de la main et fit apparaitre une ravissante combinaison blanche. Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains,l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine.
Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine. Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Je contemplais son dos, les courbes de ses reins Alors qu’elle me déposait de tendres baisers, je caressais maintenant ses épaules et son dos. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle m’embrassa la nuque, et bientôt flatta de petits coups de langues circulaires le lobe, puis le creux de mon oreille. Le souffle chaud de son haleine me fit tressaillir et en un geste réflexe je m’agrippai à son bras. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. A l’instant où mes doigts effleuraient le dessous de ses seins doux et souples, elle glissa sa main dans mes cheveux. Je malaxais la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites. Elle vint se blottir dans mes bras, sa poitrine contre mon torse. Ses cuisses chaudes et humides emprisonnaient les miennes. Elle approcha alors sa bouche pour m’embrasser avec sensualité. Elle suça ma langue comme un sucre d'orge. Son souffle chaud me caressait les lèvres.
Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Je sentis sa vulve glissante autour de mon gland. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à téter les miennes. Puis elle se fit coulisser autour de ma verge. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante nuisette transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore
à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir entièrement. je me mis à caresser son visage, pour m'attarder à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me lécher les doigts puis à les sucer voluptueusement. Elle commença alors à caresser mes testicules, puis ma verge. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers me caressant ensuite l'intérieur des cuisses
- Penetres-moi, je veux te sentir profondément...
Le fourreau de sa vulve brulante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Je glissais mon sexe en elle sans trop de résistance, je coulissais délicieusement dans ses chairs.
- Vas-y, je veux sentir ta chaleur liquide !
Bientôt je jouissais en elle, longuement.
Lorsqu'elle m'apparut (E)
Lorsqu'elle m'apparut, allongée nonchalamment au fond du grand canapé, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une robe moulante, ...

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cet instant magique


Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant qu'il m'embrassait passionnément, j'ai senti sa vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. Et pendant qu'il me câlinait très sensuellement, je l’ai senti tout doucement s'enfoncer en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je le sentais grossir et s'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Il faisait de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Mon amant d'un soir s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a ses épaules, et passai mes jambes autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait ce délicieux amant.
Il a alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, s’est arrêté de bouger ... puis, il explosa en moi. Je sentis le jet puissant de mon fougueux amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de ce délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de ce bel homme pour une dernière étreinte.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif.
Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps.
Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements,
mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.

Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire,
Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait.
Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique.
Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
cet instant magique (E)
Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant qu'il m'embrassait passionnément, j'ai senti sa vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. Et ...

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En ouvrant l'armoire de Tante Jeanne, je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des rangées complètes de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une affolante combinaison noire encore chaude de son corps, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
Je pris la combinaison noire encore tiède de Tatie. Je respirai ses effluves et me caressai avec. J'ai passé un moment merveilleux avec la douce lingerie de tatie en profitant de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des fines bretelles sur mes épaules. Puis j'enlevai la combinaison et enveloppai ma bourse et mon sexe dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et imaginai les images de ma tante dans sa jolie combinaison. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance.

C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle se dirigea vers moi, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ôta son peignoir et se retrouva en combinaison rose, délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Elle caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. elle n'avait plus dessous ni culotte ni soutien-gorge.
Puis elle vint vers moi et serra son corps contre le mien, passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Bon, alors, tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement.
- Je vais m'occuper de toi mon ange ... Allonge-toi et laisse-moi faire.
sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume.

Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma verge bien bandée. je me mis à tripoter es seins à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Elle me regarda.

Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- Vas-y mon cheri, je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut.
Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé. Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.


Mon corps pour vous se fait soyeux, De votre sexe faites moi douceur,
qu'il caresse, glisse, se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il m'explore, remonte, s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore plus loin, se faufile, me pénètre.
Qu'il se perde au fin fond de mon ventre, qu'il goute mon parfum de femme.

Je vous sens si fort, si fougueux ... Oh oui ... je vous sens bien !
Je suis toute à vous ! Je suis prête ! ... Venez ! Vite !
Oui !!! ... L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés, humidité abondante, majestueuse

c'est si bon ! Vous me faites du bien ! Non ! Restez !
Je veux garder dans ma chair un souvenir de vous !
Vous êtes venu en moi comme un arbre vivant
qui a fleuri dans ma chair, s'est épanoui en mes veines
et votre sève coule en longs flots continus

Ces moments sont trop brefs pour mon corps inassouvi
Une fois encore je demeure vacante,
gardant entre mes cuisses votre doux secret
Votre visage aux yeux clos me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud de vous,

vous m'avez donné votre sève, c'est par vous que je renais au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre nom...
(E)
En ouvrant l'armoire de Tante Jeanne, je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des rangées complètes de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une a ...

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(E)
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Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une des dentelles. J'ai chaud Elle me fixe, intensément, s'approche de moi et pose délicatement ses lèvres sur les miennes,
- vos lèvres sont chaudes !
- Je rentre chez moi ... Vous venez ?
Je la suis, entre chez elle à sa suite. Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines Elle s'approche près de moi, ses seins tremblent doucement sous mes yeux je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon torse, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, arrange ses cheveux, puis ... caresse ses seins, qui débordent de plus en plus de son soutien gorge, elle me provoque.
- J'ai besoin de me mettre à l'aise ! ... vous permettez ?
- Vous pouvez m'aider ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Je fais sauter l’agrafe. Elle me fixe à travers la glace.
Elle reste bien dix secondes contre moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ?
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines
- Ce n'est pas si désagréable ?
- Vos mains sont chaudes et douces !
Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle soupire,
Puis elle se retourne vers moi et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... et pose ses lèvres contre les miennes
- Donnez moi vos lèvres !
Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre Puis je sens ses mains descendre vers ma ceinture
- Je vous met à l'aise, Permettez moi que je vous aide !
une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand !
- Je vous sens plein de vigueur ! Je ne vous laisse pas indifférent ?
Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant,
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ...
- On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple.
Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- Je suis mure, vous aussi ! On continue ?
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement
- deshabillez-moi, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
- Ne soyez pas impatient, Sachez me faire attendre un peu
je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire
- Faites glisser ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... plus bas ...
Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon,
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Je vois ! Je sens ! Je vous sens bien mûr !
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- Attendez un instant ! Je vous appelle quand je suis prête !
Et elle file dans sa chambre
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !

- venez avec moi sur le lit ! ... j'ai si envie... donnez moi l'absolu ! je vous en prie !
Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle
- Venez ! ... vite !
Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules.Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Je suis prête ! Venez !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Je vous attend demain soir !
Puis je quitte sa chambre doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.
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Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Un décolleté troublant laissant entrevoir des poitrines généreuses enveloppées dans une des dentelles. J'ai chaud Elle me fixe, intens ...

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pleine lune


C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mériterait d'etre davantage explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou.
Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. J'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte. Il me fit ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Comme moi ? lui demandai-je, en entrant consciemment dans son jeu
- Oui ! Comme vous ! me repondit-il tout en continuant à me caresser un sein,
Je l'ai alors senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je faisais semblant de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorateurs aiment explorer les terres inconnues, me souffla-t'il à l'oreille
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais violemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
- Il y a encore tant de terres à découvrir, poursuivai-je, consciente de ce que j'étais en train de déclencher
J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer les reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à me donner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement, les jugeant tres prometteurs. Il m'entraina doucement vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Il devenait bestial, presque animal et j'aimais ça ! il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir et son envie de moi. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard sans autre preliminaire:

- Je n'ai rien sous ma robe ! Viens, dépêche-toi, je suis prête !
Je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, je sentis alors son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée, puis, je le sentis s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs. Mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses intimes, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur. Puissamment, il glissait dans mon ventre, exprimant de longs râles.

Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. D’un coup de rein, Il enfonça son sexe tout au fond de moi, me faisant percevoir le contact de ses bourses, prêtes à exploser. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra.

Il ne résista pas très longtemps. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Apres quelques va et viens tres rapides, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Et la fusée partit ! ... Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants, il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:

- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laisse-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.

Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après une longue nuit amoureuse Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu
pleine lune (E)
C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, e ...

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Isolés au sol dans un coin sombre de cette salle, elle me fixe, intensément, et s'empale sur moi. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. C'est un glissement onctueux, une pénétration puissante, Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle suce mon penis, l’aspire, le tire, elle joue de son corps, elle râle de plaisirs, Elle se penche vers moi. Ses yeux brillent. Sa vulve masse délicieusement ma verge avec un léger mouvement de succion. contractions spasmodiques, fermes penetrations, Elle lape avec sa vulve ma queue dressée en elle. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Je m’enfonce loin en elle, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Le trait m’échappe .... et je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme.
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Isolés au sol dans un coin sombre de cette salle, elle me fixe, intensément, et s'empale sur moi. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. C' ...

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au bout de ce salon immense


Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, Nos regards qui se télescopent...L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs... Temps suspendu...

Elle croise les jambes. longue robe de soie blanche fendue qui laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art
Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore...

Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle releve encore plus sa jambe, dévoile sa splendide nudité ...

Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens.

A petits pas, le premier, j'ose l'insensé ... l'inviter à me suivre Je me dirige vers le long couloir en lui lançant quelques regards....
Elle me suit. J'ouvre une porte, je m'abrite derriere, à l'écart. Je me retourne .... et là, dans la penombre, elle est là.
Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire.

Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement
au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.

http://revebebe.free.fr/hishtml/reve1986.html
au bout de ce salon immense (E)
Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser, ...

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eblouissante


Elle était éblouissante, des formes epoustouflantes, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs froides, vêtue d'un tailleur noir Chanel, un chemisier en mousseline de soie noire qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous
La journée était avançée, nous avancions le long de cette rue déserte, elle n'arrêtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait
- Ca va mon chéri ?
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Elle me glissa à l'oreille:
- Allez, emmène moi mon amour !
Tania me prit par la main et ondula en me guidant sur le trottoir, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ?
- oh oui !
- vas-y detends-toi bien, viens contre moi
- vous êtes plus belle que tout ce que je vois autour !
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes.
- fais-moi danser ! Serres toi bien contre moi !
La musique enchaîna sur un blues sensuel
- Colles bien ton bassin contre le mien et laisse moi te guider ... laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien,
son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre.
Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches.
Tania ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes,
sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant.
Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre.
N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies.
Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque.
Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe,
ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus.
Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi,
quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- C'est bien mon chéri, tu danses divinement bien, je te sens bien ... \"
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi.
J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement,
je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors un sexe ruisselant de désir.
Tania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Mais que fais-tu... \"
Je la plaquai alors énergiquement contre mon sexe.
- Non mon amour... soit sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir,
et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe,
- Oohh ... il est bien gros !
elle le plaça à l'entrée de sa vulve
- Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle.
- Ooohh ...ouiiiii... tu es fort, il est enorme, dis-moi, je te sens bien ...
je sortis un peu mon sexe et, de nouveau, la pénétrai jusqu'à la garde, ses fesses s'offraient à moi.
Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée.
- Tu me rends folle ... mon tresor !
Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes
Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre
Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant
Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir,
Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle.
Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi.
Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape,
ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps,
Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents.
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante.
J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées.
Nous restions un moment inertes, tetanisés
nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le \"désarrimage\".
pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle.
Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave !
- Rentrons chez moi !
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses.
C'était un peu d'elle qui coulait là !
à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe.
Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge.
Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons,
j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip.
Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse.
Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux.
Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle
nous fîmes l'amour comme des bêtes.
Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle.
Nous avons fait l'amour toute la nuit
eblouissante (E)
Elle était éblouissante, des formes epoustouflantes, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs fr ...

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etoffes legeres


Etoffes légères, délicates, de douces combinaisons de nylon à fines dentelles, de délicieuses petites culottes de soie. Son corps et son parfum envahissent l'alcove, un ventre trop charnel et des seins à croquer, de longues jambes divines. Je l'imagine déjà, sa robe tombe à terre et la culotte suit, son corps est nu, ses mains au bas de la douce étoffe, elle enfourne sa tête et y glisse son corps. volupté exquise de la soie sur sa peau. Elle se dénude doucement, pour mieux se revêtir. Tendre caresse de sa douce lingerie ! J'aime ce contact soyeux sur son entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J'aime son doux tissu qui glisse sur sa peau J'aime la sentir pleine du désir de moi. Je rêve de ses caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse. Cette lingerie de soie blanche, si fine, sur laquelle mes lèvres vont s’attacher Pleine de ses mains, de mes lèvres, de mon sexe, pleine de sa faim, de sa soif de plaisir, Cette lingerie qu'elle écarte un peu pour que je vienne en elle, pour que je me glisse en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de celle de la sienne, Qui lui fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie qui tombe dans la chambre, pleine de mon odeur mâle, de son odeur femelle Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme, joyeusement partagé, et qu'elle garde en haut de ses cuisses. Cette lingerie si remplie de moi, si remplie de son homme,


Je la vis un soir se diriger vers la salle de bain, avec ses affaires. Elle ôta sa robe et se retrouva en combinaison rose. Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Ils semblaient fermes, des tétons gros et longs, très foncés. Elle caressa lentement le dessous des seins, je remarquai qu'elle avait changé de combinaison, mais n'avait dessous ni culotte ni soutien-gorge. Elle se glissa dans une nouvelle robe, prit son linge et sortit. Elle avait laissé sa combinaison sur place Je pris la combinaison noire encore tiède et respirai ses effluves. Je la roulai en boule et la mis dans ma poche. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la belle combinaison noire. Je l'ai revêtue et toutes les images de l'après-midi sont revenues : les beaux seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluides j'enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images deMme Granger. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance. il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que j'aurais pu reconnaître les yeux fermés.
je revoyais ses seins tout ronds, et sa touffe noire. Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé !

C'est le grincement de la poignée de la porte qui m'a tiré de ma rêverie. Mme Granger était là, dans l'embrasure de la porte, Et moi, blanc comme un linge, sa culotte à la main. Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, elle avait l'air navrée d'être arrivée au mauvais moment.
- Tu aimes mes combinaisons ?
Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : Abasourdi, je m'assis sur le lit et contemplai sans dire un mot.
- Choisis celle que tu veux et je vais la mettre pour toi.
Je pris dans la pile une combinaison noire, ornée d'une fine dentelle à la poitrine.
- C'est tout ? Déshabille-toi, je reviens ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.
Je fis ce qu'elle m'avait demandé. Je l'entendis arriver et je sentis soudain sa présence contre moi. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. elle prit alors les choses en main.
- Calme-toi, mon ange, je vais m'occuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire.
Elle commença par venir m'embrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma tige turgescente.
- Elle est belle !
J'étais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment. Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. l'effet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, l'idée que tatie était là tout près, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Sans un mot, elle me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- caresse-moi mon chéri ! je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé.
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles.La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.
etoffes legeres (E)
Etoffes légères, délicates, de douces combinaisons de nylon à fines dentelles, de délicieuses petites culottes de soie. Son corps et son parfum envahissent l'alcove, un ventre trop charnel et des seins &ag ...

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