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mercredi 17 décembre 2025 - 16h36
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Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, c’est que je t’aime et que j'ai envie de toi.
- Va t’en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je n’osais pas le lui demander, pensant qu’elle saurait les offrir elle-même, comme ses lèvres. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse
- Tu es triste ? .... Il ne faut pas !
- Approche toi ! ... Et donne moi tes lèvres !
Nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. je me mis à la caresser, massant ses seins et les palpant doucement à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
- Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ...
Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que je lui appose mes lèvres sur son sein puis mes mains sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Viens ! Je t'offre mon corps ! Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça !
Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour. Elle aussi avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage.
- Viens près de moi. Je veux te toucher, j'ai envie de te sentir,
Elle m’a caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité a venir la rejoindre
- Viens ! .... Je suis prête !
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



(E)
Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveill& ...

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Je suis venu vers elle


- Je t'en prie, viens ! ... Je suis prête !
Je suis venu vers elle, sur son lit, je me suis positionné sur elle, je l'ai interrogée du regard, attendant un signal. elle m'esquissa un sourire en guise de reponse. Sa main me guida discretement et naturellement elle m'accueillit, elle s'offrait à moi, totalement. Elle s'ouvrait, tendre et humide, et me laissait glisser en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. J'étais à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans cet étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je pouvais sentir ses douces caresses intimes, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé.
Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Son souffle était lent. Je la pénétrais doucement, tendrement, puis restais un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Elle occupait son espace tout entier. Elle me faisait découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède. J'accélérai peu à peu, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle fermait les yeux, elle s'offrait un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je sentais mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? lui demandai-je
- Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillais en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace, elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J'entamai des mouvements d’avant en arrière, Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra.
Je m'agrippai à ses épaules et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrais sur mon enorme sexe qui la fouillait et qu'elle semblait aimer. La transpiration perlait entre ses seins, Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Je saisis alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait de plus en plus tous les deux. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Puis j'arrêtai net. Elle me sentit venir, je crispai mon regard ..... Elle me tira vers elle ... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. j'explosai en elle ! lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur. Puis je m'effondrai avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserva un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
Nous venions de faire merveilleusement l'amour

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Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
Je suis venu vers elle (E)
- Je t'en prie, viens ! ... Je suis prête !
Je suis venu vers elle, sur son lit, je me suis positionné sur elle, je l'ai interrogée du regard, attendant un signal. elle m'esquissa un sourire en guise de reponse. Sa m ...

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Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



(E)
Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en e ...

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andromaque


Elle me fixe, intensément. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes qui s'etalent sur mon torse. Elle me sourit et se penche, pose un baiser mouillé sur mes lèvres chaudes. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle me guide en elle, m'avale, m'absorbe, lentement, tout doucement. Je m'enfonçe en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée.
Un va et vient s'amorçe, un glissement onctueux, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Ses yeux sont magnifiques, son regard intense. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Mon sexe dur glisse en elle, comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent.
Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle suce mon penis, l’aspire, le tire, elle joue de son corps et du mien, elle râle de plaisirs, Ses yeux brillent. Sa vulve masse délicieusement ma verge avec un léger bruit de succion. contractions spasmodiques, Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland.

Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend, me regarde avec des yeux troubles. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle pousse un grand soupir, Je me sens aspiré. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, elle savoure ses propres sensations et les miennes.
Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.

Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Je m’enfonce loin en elle, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Le trait m’échappe .... et je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme.

andromaque (E)
Elle me fixe, intensément. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes qui s'etalent sur mon torse. Elle me sourit et se penche, pose un baiser mouillé sur mes lèvres chaudes. Et puis vient le m ...

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Mathilde et Benjamin (version allégée)


Mathilde était mon professeur de violoncelle, c'était une très belle femme malgré ses 50 ans. Plutot reservée et austère dans ses tenues , j'avais pourtant discerné en elle une beauté particulière faite de charme à discrétion. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop enveloppantes, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte ... Il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, j'imaginais Mathilde juste revêtue d'un jupon de tulle noir, ne jouer que pour moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules de danseuse d’opéra. A la vérité, je ne lui avais jamais avoué que ses cours étaient un faux prétexte visant à dissimuler le désir d'un rapprochement plus intime.
Et ce soir là, nous fetions la fin des cours, était-ce in signe de sa part, elle m'était apparue chez elle rayonnante de séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une poitrine genereuse et troublante. Mais toute sa séduction résidait dans le choix de sa robe plus legere, moulant à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je devinais que sous le tissu noir moiré se cachait le somptueux corps d'une belle femme, prête, j'en étais convaincu, à être aimée.
Mathilde, semblait émue par mon regard. J'en avais baissé les yeux, profondément troublé par ce qui était en train de se passer entre nous.

Nous nous sommes regardés un moment. Puis, osant l'insensé, j'avais passé mes doigts dans ses cheveux. J'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules. Elle m'en voulu un court moment, mais je vis que les joues de Mathilde s’étaient empourprées. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Mathilde, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage soyeux, qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps, et qu'elle semblait s’abandonner doucement.
Il y avait si longtemps. Elle avait bien eu un ou deux amants, mais rien qui n’imprime son cerveau de souvenirs frappants. Et moi, ce jeune homme audacieux, je ranimais, sans son consentement à priori, un trouble sensuel dont elle avait oublié jusqu’à la signification. Au fond, elle espérait peut-être que je franchisse ces limites.
Perdue dans ses égarements, elle semblait absente lorsque, dans son cou, elle avait ressenti ma bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Les frissons léchaient maintenant ses jambes, de ses chevilles fines jusqu’en haut de ses cuisses. Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin trublion.

J'avais enrobé Mathilde de mes bras. elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques, puis elle m'avait embrassé avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune des respirations de Mathilde, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé une troublante gourmandise de dévorer ses seins.
Avec une douceur presque féminine, j'avais défait un à un les boutons de son corsage, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses belles dentelles intimes ...
Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais mon effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle en avait tout oublié, la différence d’âge n’était plus une barrière.
Elle savait dans mon regard qu’elle allait m'aimer, moi ce tendre jeune homme si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas, je lui avais clamé mon désir d'elle.

Elle avait écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte dont j'avais si souvent rêvé était en train de se donner à moi, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était encore malhabile, imprégnée de désir et de timidité, mais les yeux de Mathilde, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle si volubile, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses.

M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité que j'interprétais comme un signe d'encouragement, alors même que Mathilde, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités. Elle m'offrait son corps en m'avouant qu'elle aussi elle me désirait, et bien plus que je ne le pensais m'avoua-t'elle.

La si respectable Mathilde, venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore, tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Elle avait envie de faire l’amour, de s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle voulait aussi désirer et être désirée.
Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté. Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi.

C'est alors qu'elle me fit signe de venir la rejoindre. Sans attendre plus longtemps, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Elle me demandait de me perdre en elle, me noyer dans sa source, l'aimer sans restriction et lui donner tout de moi !
Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, m'unissant à Mathilde, désormais ma maîtresse adorée. Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Mathilde se révélait bien plus amante que je n’y croyais.
J'avais emporté Mathilde à moitié nue dans mes bras et l’avait déposée amoureusement sur le lit défait. Avant de se lover contre moi, elle m'avait délicatement défait ma chemise, puis me l'avait ôtée en faisant glisser ses mains fiévreuses sous le tissus de coton. Nous nous étions allongé tous les deux, nos membres enchevêtrés, nos peaux et nos odeurs mélangées, et Mathilde avec tendresse et sensualité avait laissé longtemps ses doigts parcourir la ma poitrine. Elle aimait ces moments de tendresse qui succèdent à l’impétuosité de la jouissance, puissante, démesurée. Elle aimait ce silence qui s’instaure alors, où l’on peut entendre à nouveau les battements des cœurs s’harmoniser. Elle avait savouré ces instants comme un vrai bonheur presque insolite.
Emu par cette maîtresse femme redevenue enfant, je caressais les cheveux déliés de Mathilde, de la tendresse au bout des doigts.
Mathilde et Benjamin (version allégée) (E)
Mathilde était mon professeur de violoncelle, c'était une très belle femme malgré ses 50 ans. Plutot reservée et austère dans ses tenues , j'avais pourtant discerné en elle une beauté ...

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douce intrusion


Je sens les pointes de ses seins qui caressent delicieusement mon torse. Elle m'avale, m'absorbe, lentement, tout doucement. Mon sexe dur glisse en elle, comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. C'est un glissement onctueux, une pénétration puissante, Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans son ventre. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle suce mon penis, l’aspire, le tire, elle joue de son corps et du mien, Ses yeux brillent. Sa vulve masse délicieusement ma verge, Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire, reviens, me serre et me dévore, une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Je m’enfonce loin en elle, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Le trait m’échappe .... et je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme.
douce intrusion (E)
Je sens les pointes de ses seins qui caressent delicieusement mon torse. Elle m'avale, m'absorbe, lentement, tout doucement. Mon sexe dur glisse en elle, comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. C'e ...

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J’étais deja dans mon lit lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris, je l'ai attiré dans mes bras, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie contre son torse. J'ai tenté de me séparer de lui, mais ses mains se déplaçaient déjà tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est trouve alors à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur les miennes. Il m'affolait littéralement Nous nous sommes embrassé à pleine bouche, je m'abandonnais à son baiser. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainés, se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
J'eu alors une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens .. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'une premiere serie de spasmes. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondais de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ça va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, libérant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous étions arrivés ensemble à l'orgasme. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Je lui avais permis de revenir le lendemain sur mon lit. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Je le savais. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. J'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts pénétrait mon intimité.
- Mon chéri, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commençais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Et quand j'ai senti le contact de son sexe bandé sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à me pénétrer.
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, il ne s’arrêtait pas !
- Mon chéri ! Que fais-tu ? s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son sexe grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa pénétration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son énorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette période,
Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissamment dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il râlait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh mon chéri ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commençais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le résultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles.Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.

Julien est revenu le jour suivant, nous nous sommes vite retrouvés dans le lit. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Il plongeait en moi et gonflait en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon... Tu me fais du bien !
Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles.
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait Julien. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,

J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe mâle dans ma chair. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi.
Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes.
lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque pénétration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rythme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfoncé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.

Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, Je sentis enfin le jet puissant de mon jeune amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin,
le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
(E)
J’étais deja dans mon lit lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris, je l'ai attiré dans mes bras, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vrai ...

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Chloé était dans sa chambre et se masturbait sans vergogne. Ses doigts passant lentement entre ses grandes et petites lèvres, descendaient vers son vagin pour s'y introduire et collecter un peu de son abondante mouille et la ramener vers le haut appuyant très fort sur tout le parcours de sa fente pour finir sur son bouton qui pointait en attendant la caresse ultime et la délivrer enfin de la trop forte tension qui s'était accumulée depuis le début. Son corps s'arquebouta ne laissant plus que la tête et les talons sur le lit puis retomba lourdement sur le lit en faisant grincer les ressorts du matelas. Chloé ne savait pas que derrière la porte de sa chambre se tenait sa tante qui savait pertinemment que sa nièce s'adonnait à la masturbation.
- Ca va ma chérie lui dit-elle?
- Oui ma tante répondit Chloé le souffle court et les joues légèrement rouges.
A partir de ce jour sa tante prit l'habitude quelques soirs et quelques matins, de coller son oreille à la porte de la chambre de sa nièce. Puis, nue devant sa glace, elle contemplait son corps qui avait pris quelques kilos mais qui, dans l'ensemble restait appétissant. Des seins lourds légèrement tombants, Elle savait qu'elle allait s'allonger sur le lit, jambes ouvertes et que ses mains, ses doigts allaient retrouver le chemin qu'elle avait emprunté si souvent dans ses jeunes années. Elle avait, grâce à Chloé, retrouvé son identité de femme.

Chloé qui avait oublié un de ses livres, rentra de manière inopinée et passa en coup de vent devant la porte de la chambre, ne laissant pas à sa tante le temps de reprendre une tenue décente. Elle stoppa sa course et revint sur ses pas. Sa tante dans sa précipitation n'avait pas réussi à remettre son peignoir sous lequel elle était nue. elle ne put s'empêcher de regarder sa nièce dont les jambes s'étaient ouvertes en grand, exposant à sa tante sa chatte à peine poilue et qui plongeait ses doigts dans sa fente en faisant entendre les clapotis de sa mouille. Sa jouissance vint très vite avec une rare violence comme un volcan qui crachait son feu après avoir été trop longtemps contenu. Ce cri résonna dans la tête de la tante qui, dans un élan sensuel, se précipita vers sa nièce et la serra très fort dans ses bras. Elle sentit le corps de sa nièce, d'abord tendu, s'apaiser lentement, et affectueusement elle l'embrassa non pas sur le front ou les joues mais sur la bouche. Son baiser se voulait chaste mais Chloé l'avait saisi derrière le cou en appuyant plus fortement ses lèvres, allant même jusqu'à les entrouvrir et glisser sa langue vers les lèvres de sa tante qui, inconsciemment, fit la même chose et le baiser devint un véritable baiser passionné.
Chloé dut se rendre compte que sa tante était dans un état second et en profita pour lui saisir la main et la diriger vers son bas-ventre. La tante de Chloé n'opposa aucune résistance et, comme si cela était parfaitement normal, elle caressa sa nièce. Elle trouva rapidement les zones sensibles ainsi que le bon rythme comme elle l'aurait fait sur elle-même. Elle voyait le bassin de Chloé venir à la rencontre de ses doigts de plus en plus fort, elle sentit que c'était le moment d'en finir et son doigt se dirigea vers le clitoris qu'elle avait volontairement ignoré jusque là. Chloé se mit à gémir plus fort en criant:
- Oh Oui ma Tante, c'est bon, n'arrêtez pas.
Le corps de la nièce se raidit, libérant un flot de mouille.
- Si vous saviez ma Tante depuis quand j'attendais ce moment.
Chloé posa sa main sur les genoux de sa tante et remonta lentement le long de la cuisse.
- Vous voulez bien ma Tante, dis, vous voulez bien?
Pour toutes réponses la mère écarta les jambes.
- Oui ma petite, oui! Nous allons être heureuses toutes les deux.
(E)
Chloé était dans sa chambre et se masturbait sans vergogne. Ses doigts passant lentement entre ses grandes et petites lèvres, descendaient vers son vagin pour s'y introduire et collecter un peu de son abondante mouille ...

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Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui aime se faire plaisir, surtout avec des jeunes hommes, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût. Je suis en vacances chez un couple d’amis avec qui nous sommes devenus très proche. Claude, leur fils va fêter ses 17 ans demain, on dirait que je lui fais de l’effet car il ne me quitte pas des yeux. Il vient me demander s’il peut me tenir compagnie.
J’accepte, il s’assied à coté de moi la tête en arrière, nos jambes se touchent, je souris intérieurement mais le laisse faire, jusqu'à ce que je sente sa main sur ma cuisse. Il doit croire que je me suis assoupie. Sa main remonte lentement à la fourche de mes cuisses. J'ouvre alors les yeux. Quand il me voit le fixer, il prend peur, complètement affolé et s’enfuit, regagnant sa chambre. Sa mère, a suivit son manège, elle vient vers moi et me parle de son fils.
- Claude est d’une timidité maladive, il n’a aucune relation avec les filles car dès qu’elles commencent à le remarquer, il perd tous ses moyens et laisse tomber. Il est pourtant bien fichu et en rendrait plus d’une heureuse.
Soudain elle me fait une proposition que rarement une mère demande à sa meilleure amie.
-- Je sais que ce que je vais te demander va te paraître incongru, mais accepterais-tu de le déniaiser un peu pour lui donner un peu de confiance en lui ? Ce sera son cadeau d’anniversaire.
Je suis si surprise par sa demande et mets plusieurs minutes avant de lui répondre. Après tout, pourquoi pas,
- Tu peux aller le voir, il doit être dans sa chambre, passe par le jardin, par la porte de derrière.
Je m’approche de la fenêtre de la chambre de Claude et regarde à travers la fenêtre. Claude est allongé sur son lit, complètement nu.
C’est un jeune ado bien charpenté, aux muscles saillants. Il a la tête tournée vers la télé, ses yeux sont rivés sur l’écran, mes yeux sont vite attirés vers son entre-jambe. Il bande ! à la limite de l'indecence. J’ai comme un choc. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’affole. J’ai déjà vu bien des choses mais là je contemple avec stupéfaction une jeune verge énorme, je n’ai jamais imaginé être confrontée un jour à un tel organe. Mes mains deviennent moites, mon ventre me brûle, ma gorge est sèche. Je regarde autour de moi instinctivement, comme pour m’assurer que personne ne m’observe voulant garder pour moi seule le secret de cette extraordinaire vision. J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant un film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin. Je marche vers lui comme un automate. Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé. Je vais vers lui, et pose rapidement ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
- Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal, murmurai-je
Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
- Que c’est beau ! Tu as une belle vigueur
Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls. Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement. Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je prend ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon. Mais le soc massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore. Un émoi étrange m’étreint. Tout en caressant ses bourses velues, j’approche ma bouche et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements. Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue. Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie. Claude n’en peut plus. Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge. Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer. Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme.
Excitée par l’odeur qui se dégage de l’énorme pénis, je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre. Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux. J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu.

Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum. S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées. J’ai un instant de doute, je n’ai jamais fais l’amour avec un partenaire si jeune, et le contraste entre ce corps qui n’a pas encore quitté complètement l’enfance et ce sexe incroyable est tellement bizarre. Mais au diable les remords. A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente. Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles.
Claude entre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps. Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé. Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre.
Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur. Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles. Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives. J’hurle d'un plaisir hystérique de mon corps, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun. Claude s’est tari, j’ai réussi à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide. Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale.

Mais il faut que je pense à continuer son éducation. Je me retire avec regret du sexe de ce faune Ma main a glissée sur son corps et s’est emparée de son engin toujours vaillant. Mes doigts se saisissent d’un pieu de bois dur et chaud qui sous ma caresse grossit encore. Je veux lui rendre ses caresses et ma bouche reprend de nouveau possession de cette matraque merveilleuse. Je mets toute ma science dans cette fellation incroyable ou je ne peux absorber que son gland énorme. Je compense ma frustration par des caresses de ma langue tout au long de sa hampe et en gobant ses œufs pleins de sa semence. Il halète et tout son corps se raidit. Son gros dard gonfle sous mes lèvres habiles qui le pompent avec avidité. Un gémissement rauque sort de sa bouche quand il lâche des jets copieux jusqu’au fond de ma gorge. Je presse ses couilles avec mes doigts pour en extraire jusqu’à la dernière goutte, le sperme continue à gicler par saccades. Puis, Sa verge perd de la superbe mais même comme ça, ce que je vois ferait pâlir de jalousie la plupart des hommes. Je le félicite de ses performances et lui fait une proposition :

- Tu sais que tu es monté comme un cheval ? Je t’ai fait découvrir ce qu’était le corps d’une femme mais la leçon n’est pas finie. Si tu es d’accord, je reviendrai ce soir te faire découvrir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.
(E)
Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui aime se faire plaisir, surtout avec des jeunes hommes, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût. Je suis en vacances chez un ...

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le diable au corps (Raymond Radiguet)


Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, c’est que je t’aime et que j'ai envie de toi.
- Va t’en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je n’osais pas le lui demander, pensant qu’elle saurait les offrir elle-même, comme ses lèvres. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse
- Tu es triste ? .... Il ne faut pas !
- Approche toi ! ... Et donne moi tes lèvres !
Nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. je me mis à la caresser, massant ses seins et les palpant doucement à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
- Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ...
Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que je lui appose mes lèvres sur son sein puis mes mains sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Viens ! Je t'offre mon corps ! Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça !
Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour. Elle aussi avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage.
- Viens près de moi. Je veux te toucher, j'ai envie de te sentir,
Elle m’a caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité a venir la rejoindre
- Viens ! .... Je suis prête !
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



le diable au corps (Raymond Radiguet) (E)
Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveill& ...

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Il est venu en moi


Julien s'est approché, à relevé ma chemise de nuit. J'ai senti le contact de son sexe sur mes grandes lèvres, bien ouvertes et bien humides ... et il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles un moment. Sa verge glissait dans mon ventre. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, ses mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle finit par occuper mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais.
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore... Continue
La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Julien saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard ..... Je sentis alors un flot de me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressai amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservai dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il est venu en moi (E)
Julien s'est approché, à relevé ma chemise de nuit. J'ai senti le contact de son sexe sur mes grandes lèvres, bien ouvertes et bien humides ... et il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douc ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus ses yeux, Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non ... Pas encore... lui répondis-je, continue tes douces caresses intimes !
je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Il se remit à osciller en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Donne moi ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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La fête commençait à s'animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Presque toute la classe de terminale était là, même Julien, le petit nouveau. Madame Granger se reposait dans sa chambre, au premier étage. C'était son anniversaire, quarante-cinq ans, et ce soir elle avait envie de sexe elle s'était offert des dessous affriolants. Ses seins étaient merveilleusement mis en valeur. La culotte était de la même dentelle fine sous laquelle transparaissait sa toison soigneusement dessinée. Assise sur son lit, Marthe se regardait dans le miroir. Elle croisait les jambes, les décroisait, les croisait à nouveau remontant haut la jambe du dessus, faisait crisser ses bas l'un contre l'autre. Marthe se trouvait belle et désirable, et les rondeurs qu'elle redoutait étaient juste là où il faut pour exprimer l'épanouissement de sa féminité, son mètre soixante-dix lui conférant beaucoup de prestance. Devant son miroir, elle s'admirait, se tournait, se caressait une cuisse, lissait le haut d'un bas...
C'est à cet instant qu'elle entendit une voix de l'autre coté de la porte. Le jeune Julien était seul au premier étage. Marthe ouvrit la porte en grand et appela Julien d'une voix chaude et sensuelle qu'elle ne se connaissait pas. Julien tourna doucement la tête, et vit une femme à moitié dévêtue qui se tenait dans l'ouverture de la porte. Les longues jambes prolongées d'adorables chaussures étaient gainées de bas soyeux qui brillaient à contre jour, mais surtout dénudaient une bande de chair laiteuse en haut des cuisses, et cette vision eu pour effet de redonner de la vigueur à son menbre tendu, comme si cela était nécessaire dans son état ! Cette déesse à la chevelure flamboyante se tenait appuyée contre le chambranle de la porte,
l'autre bras tendu vers lui en signe d'invite et la tête nonchalament penchée sur le bras levé. Les jambes légèrement croisées dans une attitude divinement érotique, cette apparition l'appelait de sa bouche sensuelle aux lèvres si finement dessinées. Il était attiré par cette bouche sensuelle au sourire aguicheur, et aussi par ce regard farouche où les yeux brillaient de désir.
Julien, hypnotisé par ce qu'il voyait, se décolla du mur et commença à s'avancer vers elle. Ses habits baissés le bloquèrent et il s'arréta mi gêné mi décontenancé de sa niaiserie ! Marthe s'approcha de Julien, lui remonta maternellement ses habits, mais ne les remit pas vraiment en place et surtout ne recouvrit pas ce qui était devenu le seul objet de sa convoitise. Elle prit délicatement une main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Dans le même mouvement, son autre main s'était saisie de cette tige rigide qui omnubilait son esprit et elle se rapprocha de Julien pour lui souffler, lui murmurer, lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Viens, Julien, c'est mon anniversaire, mon mari n'est pas revenu, je suis trop seule, nous allons nous aussi nous échanger "nos cadeaux".
- Viens, je vais te donner du plaisir et toi, tu vas m'en donner aussi !
Marthe attira donc Julien dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaqua contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant tout son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, pour aller jusqu'au bout de ce qu'elle avait entrepris. Elle n'avait pas laché le membre turgescent du jeune homme et avait même commencé un lent et délicat massage. Julien commençait à reprendre ses esprits. La douce caresse de Madame Granger sur son sexe endolori, le souffle chaud de cette femme sur son visage, le poids de son corps contre le sien, tout le ramenait lentement à la réalité. Et Julien se demandait s'il voulait vraiment revenir à la réalité. Cette main douce le cajolant d'un mouvement lent et régulier lui apportait calme et réconfort et même l'insitait à propulser son bassin à la rencontre de la main de Marthe pour accentuer le bien-être qu'il éprouvait au travers de son bâton d'amour. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de cette partenaire qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Sa bouche cherchait celle de Marthe, ses lèvres voulaient attraper celles de cette femelle qui avait entrepris de frotter son pubis sur sa cuisse et même carrément sa vulve. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Dans le cerveau de Julien, un étrange combat était en train de se dérouler. Il avait toujours éprouvé pour la mère de Jacques un mèlange de respect et d'admiration. Il était très impressionné par son maintien, sa prestance, sa classe, sa douceur, et sa gentillesse à son égard. En cet instant tous ces mots étaient remplacés par d'autres : grâce, féminité, sensualité, lascivité, volupté. En ce moment le problème de Julien était qu'il désirait cette femme, qu'il voulait la posseder, lui donner le plaisir qu'elle réclamait de tout son corps et que lui n'était qu'un gamin, à peine sorti de l'adolescence, qu'il n'avait aucune expérience, qu'il n'était qu 'un puceau comme l'avait dit Vanessa. De plus il avait peur de jouir, d'exploser, de se répandre dans la main de Marthe, d'obtenir bien egoïstement une sorte de libération sans rien donner en échange à sa libératrice. Il voulait lui expliquer tout ce qui se bousculait dans sa tête. Il posa ses mains sur les épaules dénudées de Marthe et articula un début de phrase :
- Madame, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, Marthe avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait à cette intromission, elle se plaqua d'avantage contre son partenaire et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, et c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. A peine étirée sur la pointe des pieds, elle s'appuyait de tout son poids contre le corps du jeune garçon afin de donner encore plus de force à son baiser, mais sans pour autant relacher le membre raidi qu'elle continuait à cajoler de maniére plus douce pour faire une sorte de contraste entre ses deux caresses.
Julien, d'abord surpris par la fougue de Marthe, se ressaisit très vite et instintivement comprit ce qu'il devait faire. Dans un même mouvement, ses mains glissèrent des épaules de sa compagne pour l'enlacer et la coller encore plus fortement à lui, une main se posant sur le haut des fesses de Marthe. Dans ce geste les fines bretelles tombèrent sur les bras de Marthe où le violent désir qui l'étreignait avait fait apparaitre tout à la fois transpiration et chair de poule. Ayant ainsi pris possession du corps de Marthe, Julien lui rendit son sauvage baiser. Lui aussi chercha à pénétrer sa bouche, leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était à celui qui mettrait son organe le plus loin dans la gorge de l'autre ou aspirerait la langue adverse au plus profond de sa bouche. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Marthe était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement et même lui malaxait, lui pétrissait les fesses
la forçant, mais elle était consentante, à écraser sa vulve sur la cuisse qu'il avait serrée entre ses jambes .
Elle en profita pour se frotter contre cette masse de chair alors qu'elle continait de masturber le membre viril de son mâle. Instinctivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante de la main de sa divine partenaire sur sa barre tendue parce qu'il sentait son volume augmenter du fait du baiser de cette bouche vorace.
A bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Marthe dégagea ses lèvres de la bouche de Julien. Elle planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je vais te faire jouir ! Je vais te sucer, te pomper, je vais te vider les couilles mon amour.
Aprés lui avoir effleuré les lèvres et avoir exhalé un nouveau soupir pour qu'il sente son haleine de femelle en rut, Marthe se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait maintenant tout son esprit. Elle n'avait pas reconnu sa voix, c'était une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps, du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance. Elle n'avait jamais employé un tel language non plus, elle ne se reconnaissait ni dans ses gestes ni dans ses paroles.
La main de Marthe qui tenait le membre de Julien continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque. Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse. Mais il n'était qu'au début de ses découvertes, car déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Marthe posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis le béquota délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue. Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien. Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Marthe montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Marthe revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat, comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle. Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle, puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin. Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôlés. Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention. Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus. Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre, le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard. Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Marthe dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Marthe. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Marthe voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- Aaaahhh...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Marthe voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition. Le bâton de jouissance de son jeune amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance. Marthe se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Marthe adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Marthe à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
Julien prit Marthe par les épaules pour la relever, la faisant glisser sur toute la longueur de son corps comme elle l'avait fait avant de le prendre en bouche. En remontant, la guépière effleura à nouveau son sexe, divine caresse. Le frottement dénuda les seins magnifiques de sa maîtresse, laissant apparaître deux tétons dressés et durs au millieu des larges aréoles brûnes qui contrastaient avec blancheur laiteuse du reste des globes mamaires. Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps.
Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, et une nouvelle érection de son dard s'annonçait peut être même plus impressionnante que la première. La main de Marthe avait d'ailleurs reprit possession de cette tige de chair afin de la stimuler de nouveau. Le jeune homme avait une nouvelle fois enlacé sa compagne et la tenait serrée contre lui à l'étouffer. Plus sûr de lui, ses mains caressaient le dos de Marthe et même s'aventuraient sur ses fesses. Julien se permettait de les flatter, de les palper et de les empaumer pour mieux les pêtrir. Marthe, toujours collée aux lèvres de son amant et accrochée à son vît, se cambrait et tendait son cul pour répondre à la caresse. Le jeune garçon s'enhardissait et passait ses mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec la peau de sa maîtresse. Ainsi soudé à elle, Julien fit pivoter Marthe pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. La main qui flattait les fesses se trouva bloquée alors que certains doigts avaient découvert le sillon fessier de sa partenaire. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Mais leur baiser touchait à sa fin car la tension du désir de s'unir plus intimement grandissait au plus profond de chacun d'eux.
Leurs lèvres se séparèrent une dernière fois et ce sont leurs yeux qui se fixèrent. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Et ils s'embrassèrent à nouveau, peut-être par peur de ce qu'ils venaient de comprendre en se regardant. Leurs lèvres courraient sur leurs visages, et déjà leur souffle ne faisait plus qu'un.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Marthe, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. Ses lèvres se remirent à dévorer celles de sa maîtresse, alors que son autre main s'était accaparée de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. Il avait saisi les tétons érigés comme deux petites bites et les faisait rouler entre ses doigts de moins en moins délicatement. Le jeune homme entama un lent mouvement du bassin, pour faire coulisser son sexe rigide dans la main de sa partenaire.
Marthe se sentit prise, totalement possédée. Sa bouche était envahie par une langue vorace, sa vulve était littéralement écrasée par la masse musculaire de la cuisse de Julien, ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés.

Marthe avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. Elle se demanda si la situation n'était pas en train de lui échapper. Elle avait réveillé la bête qui dormait au plus profond du jeune homme, et maintenant elle allait se faire violer sauvagement au premier étage de sa propre maison. Mais les caresses de Julien, bien que de plus en plus appuyées, n'en étaient que plus agréables, et elle se laissa aller, s'abandonna aux attouchements pressants de son amant. Elle écarta franchement les jambes pour que la cuisse de Julien lui écrase complètement le clitoris. Elle ondula langoureusement le bassin pour facilité la palpation approfondie de ses fesses. Ses bras s'étaient resserrés comme pour étouffer son partenaire et sa bouche se colla encore plus intimement à celle du garçon. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Marthe dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame, je ... je voudrais ...
Marthe s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur. Elle venait de le sucer, elle avait sa verge dans sa main, il lui torturait divinement ces tétons et il la vouvoyait encore. Il demandait même l'autorisation pour lui faire l'amour.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur. J'ai envie de toi, j'ai envie que tu mettes ton sexe dans ma chatte... J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir... Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. Pour qu'il sache que ce qu'il demandait n'était pas mal ou tabou et que elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Ce qui l'excitait le plus, c'était de penser qu'elle allait faire l'amour debout pour la première fois de sa vie, décidément sacré anniversaire. Debout contre un mur comme n'importe qu'elle fille de rue. Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, son mari, il n'avait qu'à pas être en retard.
Marthe repoussa délicatement le jeune homme, qui découvrit pour la première fois la belle poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle de la guépière. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents et frippés. Un petit médaillon argenté pendait délicieusement à la naissance de la vallée séparant ces deux globes majestueux, animés par les inspirations profondes de Marthe.
Les bretelles tombées sur les bras, les balconnets de la guépière retournés sous les deux masses mamaires donnaient à Julien une image particulièrement sensuelle et excitante de cette femme qu'il admirait tant. Il avait devant ses yeux La Femme : la Mère, l'Epouse, la Maîtresse, la Première, l'Eternelle. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites.
Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches qui s'évasent pour donner toute la définition de féminité, des cuisses aux rondeurs harmonieuses. D'un geste qui aurait pu paraître grottesque ou obcène, mais que Marthe rendit extrèmement gracieux et sensuel, elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Marthe se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte baveuse. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes et commença à le téter de ses lèvres vaginales comme elle l'avait fait auparavent avec ses autres lèvres. Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Avec perversité Marthe venait percuter son petit bouton d'amour pour se rapprocher des limites du sublime, et repartait vers l'ouverture de son temple aux délices. Puis, brusquement, Marthe plaqua fermement son amant contre elle. Le jeune homme inexpérimenté comprit qu'il devait légèrement plier les genoux pour bien se positionner mais semblait attendre un signe pour aller plus loin. Et c'est Marthe qui s'en chargea. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y, prends-moi d'un coup, défonce moi !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Marthe, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Je vous ai fait mal ? Je...
- Ce n'est rien, Mon Chéri, tu as fait ce que je t'ai demandé, c'est très bien. Maintenant bouge comme tu le faisais dans ma main. C'est à toi de me faire jouir avec ta queue. Vas-y, c'est trop bon, c'est exactement ce que je voulais. Vas-y bouge, bouge et ne t'arrête pas !
Marthe murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Mais elle n'avait pas eu mal. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, fais moi l'amour.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Marthe se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Marthe qui eut un nouveau soupir de plaisir. Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Julien voulait donner à Marthe tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Marthe qui maintenant ronronnait comme une chatte. Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse.Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaient Marthe. Certaines réflexions obcènes de ses camarades lui revenaient en tête : celle-là, qu'est-ce qu'elle est bonne, ou encore c'est une chaude. Julien était choqué de ces remarques, mais aujourd'hui il se demandait s'il ne commençait pas à en saisir le sens. Marthe n'était pas bonne, elle était délicieuse. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Marthe n'était pas chaude, elle était brûlante. Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion. Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Marthe pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Marthe. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Marthe, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
La gémissante Marthe n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Marthe roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean, son époux. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Marthe mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelström. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.
Marthe voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Marthe y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Marthe. Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts.
Marthe n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Marthe était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Marthe gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Marthe, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde ! A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.
Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Marthe mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Marthe revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un jeune amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Marthe ...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Marthe replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.




Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
";"2006-03-15 18:03:25";"http://";;"5* nymph maturite";
"762";"Mme Granger [fel]";"Solange se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait son esprit.
Elle avait une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps,
du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance.
Elle tenait le membre de Julien, continuait son doux et lent massage,
alors que l'autre main, elle empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse.
Et déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe.
Solange posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'humecta délicatement de sa salive.
Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse
qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue.
Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient,
et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien.
Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur.
Solange montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point.
Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive,
Solange revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat,
comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle.
Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle,
puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin.
Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôles.
Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention.
Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus.
Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre,
le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée,
l'avaient amené à la limite du cataclysme.
Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame Granger, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame Granger, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Solange dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente.
Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Solange. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr.
Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Solange voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus.
Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine.
Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame Granger !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- HUUMMM ! HUOIUMMM ! HUUUUMMMMM...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Solange resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu.
La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses.
Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Madame Granger voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition.
Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance.Solange se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages.
Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
(E)


La fête commençait à s'animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Presque toute la classe de terminale était là, même Jul ...

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Je regardai Tante Jeanne qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa belle poitrine encore ferme, seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc terminé par une merveilleuse toison brune fournie ! Elle essaya de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elle, sa main dans mes cheveux, son haleine toute proche, la chaleur de son corps nu si près qu’elle finissait par me troubler… Elle réfléchissait, silencieuse, l’une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse… elle m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Elle me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche en murmurant : « Depuis le temps que j’en avais envie ! »
Je sombrai.

Nous gagnâmes le salon « Allez, trinquons à notre ménage, mon Chéri et vivons heureux et cachés, bien cachés ! ». Je heurtai ma flûte de champagne à la leur et pris une gorgée fraîche et pétillante qui me fit du bien… Elle m’embrassa sur la bouche… Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles, mais révélateurs d’une libido qui ne demandait qu’à être libérée… Je me mis à lutiner ma Tante Jeanne qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux. Notre immoralité se scellait. Le péché, l’envie, le désir, la recherche de l’inavouable, voilà à présent ce qui nous guidait.

Nous gagnâmes la chambre et je demandai à Tante Jeanne de ne point quitter ses bas et porte-jarretelles, car cela m’excitait et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elle ne sut point me refuser un tel plaisir ; elle revint du cabinet de toilette fraîche, parfumée, épanouie, souriante et plus séduisante que jamais ; Elle me voyait ainsi comblé.

elle m’excitait, quel partage, quel échange allions-nous avoir en cette chambre close et feutrée où, en sourdine, jouait Mozart !… J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de Tante Jeanne parfois en jupes courtes — mais là, j’étais réellement gâté et je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne la quittant plus des yeux. Excité à l'extrême, J’allais décharger… je m’approchai d'elle, disposant ma verge, coincée dans le fossé ombreux de ses jolies fesses, mes couilles bien au chaud sur leurs rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ses fesses ! Je succombai. Je me mis à bander sur elle, quiconque nous eût vus, n’eût décidément plus eu aucune illusion ou doute sur la nature de nos relations ! Je fis aller et venir ma queue, L’arc bandé de ma chair frottait délicatement ses soies, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche des magnifiques fesses… Les bas crissaient en douceur, faisant une petite musique érotique.
Quelle délicieuse bandaison je faisais là, n’attendant que mon bon plaisir… m'enfoncer en elle d’elle … Une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes couilles que l'on pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans le beau ventre ouvert de Tante Jeanne, celle-ci émit une petite plainte étouffée, je forniquai bellement, avec douceur, prenant mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu qui m’échoyait… sans doute stimulée, elle ouvrit un peu plus les cuisses, se donnant totalement.
Je déchargeai abondamment dans la divine fosse, planté dans son humidité … Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…

Tante Jeanne avait quelques cinquante-cinq ans, bien conservée, toujours impeccablement habillée, soignée de la tête aux pieds… elle faisait bien cinq ans de moins, distinguée, allure noble, port haut, imposant.

Jeanne reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux : « Alors, mon chéri, comment avez-vous trouvé ma petite minoune ? je répondis par un baiser sur ses lèvres chaudes, la serrant contre moi et dis : « Délicieuse, absolument délicieuse, ma Chère Tante». Elle me serra contre elle, je rebandais, elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la fella lentement, se gorgeant de mon foutre, la branla, la fit danser entre ses doigts, ardente, sensuelle à souhait en faisant tinter joyeusement la gourmette à son poignet dans la branle soutenue qu’elle imprimait à ma queue !
et elle rit, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses gros seins… J’avais encore envie de la baiser alors qu'elle s’employait à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), m’embrassant sur la bouche, et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre ses mains…
Je suçai les seins de Tante Jeanne, tétant goulument à ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins,
J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Elle se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés… Elle me masturbait, ne me quittant pas des yeux et disant des : « Oh, mon Chéri, ouuiiii, c’est bon, vas-yyyyy, tu me rends folle… . ». De fait, je déchargeai assez rapidement dans le ventre de Tante Jeanne qui criait, haletait, caressant d’une main ses seins tout agités … Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond mon amante, mes mains sur ses fesses pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…

Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle à souhait, là, au creux de notre lit se donnant du plaisir sans retenue, sous mes yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être à présent réunis, soudés, Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de Tante Jeanne qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis qu'elle s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je la baisais, elle murmura en haletant : « plus vite, mon chéri, mets-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis folle de ta baise, mon Amour… ». Je déchargeai en Jeanne qui releva les jambes… Nous étions soudés, fous de sexe. Je sentis la cyprine de Jeanne couler doucement, mes bourses imprégnées de ce beau jus intime que cette divine femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager…

Tante Jeanne se dégagea et se pencha sur mon sexe pour en lecher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, sa langue insistant, pointue, dansante, chercheuse… comme elle léchait bien, la belle mature !! Tante Jeanne délaissa ma verge et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de moi, seins dressés aux belles aréoles rose-brun.

Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé si doux et chaud… Tante Jeanne me dit à sa fille : « Tu bandec encore mon chéri, je te sens tout contre mes cuisses» ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée « Tu es à point, mon Chéri, puis-je te recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant…
De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses m’excitant au plus haut point… et je commençai à jouir en Jeanne… un petit flot bouillant projeté profondément dans le ventre … je ressortis de suite… poussai de nouveau … déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu de ma Tante, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en elle … le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante débordant du volcan anusien de Jeanne… sa vulve expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…

Tante Jeanne, encore excitée — était-ce l’odeur de nos sexes, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? — je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait ; elle lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue, comme une petite bouche pincée…

Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous deux enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée


Le Marquis de Chair
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Je regardai Tante Jeanne qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa belle poitrine encore ferme, seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc terminé par une merveilleuse toison brune fournie ! E ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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(E)
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Elle retroussa alors sa jupe et chevaucha le jeune homme, seins au vent. Installée à califourchon sur lui, Lea ondulait lascivement des hanches. Elle enfouit la tete du garçon entre ses deux poitrines. Il éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse, douce et veloutée, soyeuse et chaude. Lea se sentit elle, irradiée par des sensations voluptueuses. Elle s'empara alors adroitement du membre gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante et fit tourner le gland au bord du trou:

Impatient, Kevin se cambra, impatient d'enfonçer d'un coup de reins sa longue verge dans l'antre féminin brûlant, elle se laissa alors penetrer de tout son poids sur le pieu de chair. Un long frisson de volupté lui irradia aussitôt le bas-ventre lorsque le gland massif s'enfonça dans sa vulve humide, écartant ses chairs intimes pour venir investir son vagin en fusion. Les mains posées sur la large torse masculin, elle entama alors une intense chevauchée, s'embrochant sur la verge tendue avec une rage de jouissance. Dans les mouvements désordonnés qui agitaient son corps, les bretelles de sa chemise de nuit avaient glissées de ses épaules rondes, libérant ses magnifiques seins blancs. Redecouvrant la sensuelle poitrine de Lea, Kevin ne put s'empêcher de contempler longuement les merveilleuses poitrines qui tressautaient d'une manière terriblement érotique, au rythme des mouvements amoureux.

Du plus profond de son vagin en fusion, un véritable torrent jaillit, lui éclaboussant l'intérieur des cuisses, avant de tremper copieusement le bas-ventre et les bourses de son amant. A la chaleur soudaine qui lui enserra la verge, Kevin comprit que ses succions avaient fait leurs effets. Haletante, elle se déchaîna sur le bas-ventre de Kevin, remuant à un rythme effrénée, faisant coulisser les grandes lèvres de sa vulve le long de la tige charnelle dans un va-et-vient véhément. Sentant le plaisir monter le long de son membre affreusement gonflé, il attrapa la croupe qui s'agitait avec fougue pour la forcer à modérer son allure.
- Prends moi les seins ! supplia-t'elle
Il empauma les deux masses soyeuses, rondes et ferme, et fiévreusement entreprit de les presser, de les pétrir de ses doigts, comme l'aurait fait un boulanger avec sa pâte à pain. Immobilisée, les reins cambrés, les cuisses largement écartées, Lea cacha son visage dans le cou de Kevin afin d'étouffer les cris de plaisir qu'elle ne pouvait s'empêcher de pousser. La puissante queue de son amant lui dispensait un formidable plaisir physique. Prise d'une frénésie sexuelle elle accéléra encore sa luxurieuse chevauchée, agitant farouchement sa croupe, s'empalant avec une espèce de fureur érotique, pressée d'atteindre l'orgasme avant que Kevin ne décharge sa semence. A bout de force, ne pouvant se retenir plus longtemps, il s'enfonça, d'un coup de reins violent, au plus profond du vagin de sa sensuelle compagne. Il déchargea alors son sperme épais en grognant de volupté. Comme si elle n'avait attendu que cette éjaculation pour s'envoyer au septième ciel, Lea se mit à jouir comme une folle en s'immobilisant toute, profondément fichée sur le pieu de chair tressautant. Un affolant bruit de clapotis s'éleva soudain. De son orifice béant un flot brûlant jaillit, lui aspergeant l'intérieur des cuisses avant de tremper le bas-ventre…



Kevin, se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il entreprit de faire coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant les chairs moites.

elle retroussa hâtivement sa fine chemise de nuit pour enjamber Kevin. Béat de satisfaction, sous les attouchements fiévreux qu'elle lui prodiguait, Kevin s'abandonna complètement aux appétits sexuels de Lea.
(E)
Elle retroussa alors sa jupe et chevaucha le jeune homme, seins au vent. Installée à califourchon sur lui, Lea ondulait lascivement des hanches. Elle enfouit la tete du garçon entre ses deux poitrines. Il éprouva ...

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Elle retroussa alors sa jupe et chevaucha le jeune homme, seins au vent. Installée à califourchon sur lui, Lea ondulait lascivement des hanches. Elle enfouit la tete du garçon entre ses deux poitrines. Il éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse, douce et veloutée, soyeuse et chaude. Lea se sentit elle, irradiée par des sensations voluptueuses. Elle s'empara alors adroitement du membre gonflé, elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante et fit tourner le gland au bord du trou:

Impatient, Kevin se cambra, impatient d'enfonçer d'un coup de reins sa longue verge dans l'antre féminin brûlant, elle se laissa alors penetrer de tout son poids sur le pieu de chair. Un long frisson de volupté lui irradia aussitôt le bas-ventre lorsque le gland massif s'enfonça dans sa vulve humide, écartant ses chairs intimes pour venir investir son vagin en fusion. Les mains posées sur la large torse masculin, elle entama alors une intense chevauchée, s'embrochant sur la verge tendue avec une rage de jouissance. Dans les mouvements désordonnés qui agitaient son corps, les bretelles de sa chemise de nuit avaient glissées de ses épaules rondes, libérant ses magnifiques seins blancs. Redecouvrant la sensuelle poitrine de Lea, Kevin ne put s'empêcher de contempler longuement les merveilleuses poitrines qui tressautaient d'une manière terriblement érotique, au rythme des mouvements amoureux.

Du plus profond de son vagin en fusion, un véritable torrent jaillit, lui éclaboussant l'intérieur des cuisses, avant de tremper copieusement le bas-ventre et les bourses de son amant. A la chaleur soudaine qui lui enserra la verge, Kevin comprit que ses succions avaient fait leurs effets. Haletante, elle se déchaîna sur le bas-ventre de Kevin, remuant à un rythme effrénée, faisant coulisser les grandes lèvres de sa vulve le long de la tige charnelle dans un va-et-vient véhément. Sentant le plaisir monter le long de son membre affreusement gonflé, il attrapa la croupe qui s'agitait avec fougue pour la forcer à modérer son allure.
- Prends moi les seins ! supplia-t'elle
Il empauma les deux masses soyeuses, rondes et ferme, et fiévreusement entreprit de les presser, de les pétrir de ses doigts, comme l'aurait fait un boulanger avec sa pâte à pain. Immobilisée, les reins cambrés, les cuisses largement écartées, Lea cacha son visage dans le cou de Kevin afin d'étouffer les cris de plaisir qu'elle ne pouvait s'empêcher de pousser. La puissante queue de son amant lui dispensait un formidable plaisir physique. Prise d'une frénésie sexuelle elle accéléra encore sa luxurieuse chevauchée, agitant farouchement sa croupe, s'empalant avec une espèce de fureur érotique, pressée d'atteindre l'orgasme avant que Kevin ne décharge sa semence. A bout de force, ne pouvant se retenir plus longtemps, il s'enfonça, d'un coup de reins violent, au plus profond du vagin de sa sensuelle compagne. Il déchargea alors son sperme épais en grognant de volupté. Comme si elle n'avait attendu que cette éjaculation pour s'envoyer au septième ciel, Lea se mit à jouir comme une folle en s'immobilisant toute, profondément fichée sur le pieu de chair tressautant. Un affolant bruit de clapotis s'éleva soudain. De son orifice béant un flot brûlant jaillit, lui aspergeant l'intérieur des cuisses avant de tremper le bas-ventre…



Kevin, se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il entreprit de faire coulisser son membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant les chairs moites.

elle retroussa hâtivement sa fine chemise de nuit pour enjamber Kevin. Béat de satisfaction, sous les attouchements fiévreux qu'elle lui prodiguait, Kevin s'abandonna complètement aux appétits sexuels de Lea.
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Elle retroussa alors sa jupe et chevaucha le jeune homme, seins au vent. Installée à califourchon sur lui, Lea ondulait lascivement des hanches. Elle enfouit la tete du garçon entre ses deux poitrines. Il éprouva ...

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Entre ses cuisses ouvertes, je voulais me délecter, sous la douceur de ses doigts fébriles de cette humidité signifiant de sa part un appel à plus d'audace, alors que, déjà, elle plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Combien de fois n’ai-je rêvé Benjamin que tu caresses et ouvre mes cuisses
- Que tu viennes t’y glisser et t’abreuver du plaisir que tu pourrais me donner.
- Viens vite Benjamin. Je t'offre mon corps,
Loin des inhibitions, de ma bouche, j'avais parcouru chaque parcelle de sa peau Sous les frémissements de sa peau inondée de codes érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques, j'avais écarté un peu plus grand ses cuisses, mon regard captivé par la louve attirante, ma bouche folle de désir pour son sexe licencieux.
La si respectable Mathilde venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt.
son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide.
Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Son goût prononcé pour la sensualité, lui avait valu bien des déboires. Son attirance pour l’érotisme l’avait poussée bien malgré elle, à se perdre dans des aventures aussi sensuelles qu’illusoires.
Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée car elle souffrait d’une grande carence affective, elle endurait le manque d’amour comme l’attribut de son destin.
Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté, qu’elle allait m’adorer
Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. J'étais fort bien fait, une beauté presque rare.
- J'ai envie de te toucher, envie de te sentir, Benjamin. Viens près de moi.
Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi.
Alors sans prévenir, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et en accord parfait avec les attentes discrètes de Mathilde, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Benjamin, Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin.
- Je t’aime Mathilde, j’ai tant besoin de toi.
Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.
(E)
Entre ses cuisses ouvertes, je voulais me délecter, sous la douceur de ses doigts fébriles de cette humidité signifiant de sa part un appel à plus d'audace, alors que, déjà, elle plissait ses yeux. ...

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tendre humidité


Entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant un appel à plus d'audace de ma part, alors que, déjà, elle plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Combien de fois n’ai-je rêvé Benjamin que tu caresses et ouvre mes cuisses
- Que tu viennes t’y glisser et t’abreuver du plaisir que tu pourrais me donner.
- Viens vite Benjamin. Je t'offre mon corps,
Loin des inhibitions, de ma bouche, j'avais parcouru chaque parcelle de sa peau Sous les frémissements de sa peau inondée de codes érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques, j'avais écarté un peu plus grand ses cuisses, mon regard captivé par la louve attirante, ma bouche folle de désir pour son sexe licencieux.
La si respectable Mathilde venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt.
son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide.
Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Son goût prononcé pour la sensualité, lui avait valu bien des déboires. Son attirance pour l’érotisme l’avait poussée bien malgré elle, à se perdre dans des aventures aussi sensuelles qu’illusoires.
Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée car elle souffrait d’une grande carence affective, elle endurait le manque d’amour comme l’attribut de son destin.
Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté, qu’elle allait m’adorer
Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. J'étais fort bien fait, une beauté presque rare.
- J'ai envie de te toucher, envie de te sentir, Benjamin. Viens près de moi.
Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi.
Alors sans prévenir, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et en accord parfait avec les attentes discrètes de Mathilde, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Mathilde avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Benjamin, Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Benjamin, la baisait avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin.
- Je t’aime Mathilde, j’ai tant besoin de toi.
Elle avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.
tendre humidité (E)
Entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité signifiant un appel à plus d'audace de ma part, alors que, déjà, elle pli ...

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Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, c’est que je t’aime et que j'ai envie de toi.
- Va t’en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je n’osais pas le lui demander, pensant qu’elle saurait les offrir elle-même, comme ses lèvres. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse
- Tu es triste ? .... Il ne faut pas !
- Approche toi ! ... Et donne moi tes lèvres !
Nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. je me mis à la caresser, massant ses seins et les palpant doucement à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
- Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ...
Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que je lui appose mes lèvres sur son sein puis mes mains sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Viens ! Je t'offre mon corps ! Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça !
Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour. Elle aussi avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage.
- Viens près de moi. Je veux te toucher, j'ai envie de te sentir,
Elle m’a caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité a venir la rejoindre
- Viens ! .... Je suis prête !
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



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Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveill& ...

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Mme Granger, seule dans sa chambre, attendait un mari, au premier étage. La fête continuait à s'animer au rez-de -chaussé, Julien était lui aussi seul au premier étage, elle entendit sa voix, ouvrit la porte en grand et l'appela. Julien tourna doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, hypnotisé, il commença à s'avancer vers Mme Granger qui s'approcha de lui, Elle lui remonta maternellement ses habits, puis elle prit délicatement la main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de Julien pour lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir,
- Viens ! Je t'emmène dans ma chambre !
Elle attira le jeune homme dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaça doucement contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, elle lui caressa le torse, le ventre, puis desserra sa ceinture. Elle glissa une main dans le pantalon et pris dans sa main le membre turgescent du jeune homme et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur le sexe endolori lui apportait calme et réconfort. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de Mme Granger qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Il posa ses mains sur les épaules dénudées et articula un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait, elle se plaqua d'avantage contre lui et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Elle était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement Elle en profita pour se frotter contre la protubérance masculine Instintivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante Ils étaient à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie,

Mme Granger dégagea ses lèvres de la bouche de Julien, planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie mon amour.
Sans attendre elle entraina Julien vers le lit lui demandant de s'allonger Elle se laissa couler le long du corps de Julien, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. La douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'embrassa délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est le sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Les caresses de sa sublime maîtresse, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement Il attrapa la tête de sa suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Madame Granger ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme qui s'annonçait proche
- Madame Granger !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant,
alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.

Julien prit Madame Granger par les épaules pour la relever, Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit ans et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps. Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait
et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre.

Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, Julien fit pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres
qui se séparent pour s'unir à nouveau. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Solange, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés. Elle avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Solange dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais faire l'amour...
Solange s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur.
- J'ai envie de toi, j'ai envie de ton sexe dans mon ventre ...
- J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir...
- Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Debout Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, il n'avait qu'à pas être en retard. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches

elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Solange se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, Madame Granger plaqua fermement son amant contre elle. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Solange, lui coupant le souffle.
Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Madame Granger murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, baise moi.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Solange se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse.
Julien voulait donner à Solange tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Solange qui maintenant ronronnait comme une chatte.

Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaent Solange. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante.
Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange
pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire
et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse.
Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean.
Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.

Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond.
Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour.
Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu.

Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre.
Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.

Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride. Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau. Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle.
Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Solange...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Solange replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.

Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie.
Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
(E)
Mme Granger, seule dans sa chambre, attendait un mari, au premier étage. La fête continuait à s'animer au rez-de -chaussé, Julien était lui aussi seul au premier étage, elle entendit sa voix, ouvrit ...