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mercredi 17 décembre 2025 - 16h30
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dans la penombre


J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre.
Je sens à proximité une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. puis le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents.
Le parfum est discret, entêtant. Des levres humides parcourent ma peau. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens une poitrine chaude et souple s'affaisser sur ma peau. Je caresse des cheveux, un visage, essayant de deviner des traits familiers Je saisis des chairs douces à pleines mains. La sensation est intense. La respiration s'accélere. je sens des lèvres chaudes s'ouvrir sur mon gland mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Cette femme me pousse à boutJe suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant.
Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.




Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
dans la penombre (E)
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre.
Je sens à proximité une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternit&ea ...

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une bouffée d'air chaud


J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Je sens à proximité une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. puis le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents.
Le parfum est discret, entêtant. Des levres humides parcourent ma peau. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens une poitrine chaude et souple s'affaisser sur ma peau. Je caresse des cheveux, un visage, essayant de deviner des traits familiers Je saisis des chairs douces à pleines mains. La sensation est intense. La respiration s'accélere. je sens des lèvres chaudes s'ouvrir sur mon gland mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Cette femme me pousse à boutJe suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant.
Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.

une bouffée d'air chaud (E)
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Je sens à proximité une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité ...

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une odeur à la fois subtile et raffinée


Lorsque la porte s’ouvrit, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une longue chemise satinée fendue sur le coté jusqu’à mi-cuisse, une peau somptueuse et blanche, de longues jambes fines et musclées. Elle m’accompagna et je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud.

Elle me fixa d'un étrange sourire et m'invita a monter avec elle. Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea sa jupe étroite de la main et fit apparaitre une ravissante combinaison blanche , Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains,l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine.

Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Je contemplais son dos, les courbes de ses reins Alors qu’elle me déposait de petits baisers, je caressais maintenant ses épaules et son dos. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle m’embrassa la nuque, et bientôt flatta de petits coups de langues circulaires le lobe, puis le creux de mon oreille. Le souffle chaud de son haleine me fit tressaillir et en un geste réflexe je m’agrippai à son bras. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. Ses lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. A l’instant où mes doigts effleuraient le dessous de ses seins doux et souples, elle glissa sa main dans mes cheveux. Je malaxais la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites. Elle vint se blottir dans mes bras, sa poitrine contre mon torse. Ses cuisses chaudes et humides emprisonnaient les miennes. Son sexe brûlant était placé juste au contact du mien. Elle approcha alors sa bouche pour m’embrasser avec sensualité. Elle suça ma langue comme un sucre d'orge. Son souffle chaud me caressait les lèvres. Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Je sentis sa vulve glissante autour de mon gland. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à téter les miennes. Puis elle se fit coulisser autour de ma verge. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante nuisette transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir entièrement. je me mis à caresser son visage, pour m'attarder à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me lécher les doigts puis à les sucer voluptueusement. Elle commença alors à caresser mes testicules, puis ma verge. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers me caressant ensuite l'intérieur des cuisses
- Penetre-moi, je veux te sentir profondément
Le fourreau de sa vulve brulante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Je glissais mon sexe en elle sans trop de résistance, je coulissais délicieusement dans ses chairs.
- Vas-y, plus vite, je veux sentir ta chaleur liquide !
Bientôt je jouissais en elle, longuement.

une odeur à la fois subtile et raffinée (E)
Lorsque la porte s’ouvrit, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une longue chemise satinée fendue sur le coté jusqu&rsqu ...

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Ma tante entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil sur moi, et vint vers moi. Sa nuisette devoilait un soutien gorge de dentelle blanche bien rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son décolleté un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Tatie poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser.
- Allons, je dois te laisser dormir à présent.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Tatie se tenait devant mon lit. Elle était magnifique. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil
Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin.
Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation .Tatie eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Tatie. Elle portait un plateau où se trouvaient, un petit déjeuner. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as bien dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa chemise de nuit était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous le fin tissu, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. Il mangea tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de lui Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire.
Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur,
puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base.
Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge,
mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Tu sais, Même si tu es faible, même si tu souffres, ta volonté, je suis là pour lui répondre et te remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
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Ma tante entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil sur moi, et vint vers moi. Sa nuisette devoilait un soutien gorge de dentelle blanche bien rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce ...

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sur la table d'examen


Il m'a prise sur la table d'examen. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, dans l'attente fievreuse de son sexe enorme que je sentais dur contre moi, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
il est alors entré en moi, dans un mouvement long et puissant, Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes, il glissait puissement dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens.
Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché en moi... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Son plaisir s’annoncait, telle la lave montant dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Je sentis alors dans ma chair un jet liquide jaillir et se repandre sur mes muqueuses ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.
Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
sur la table d'examen (E)
Il m'a prise sur la table d'examen. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, ...

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La sueur perlait sur son front


La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils... Il accélera. J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Je sentis alors dans ma chair un jet liquide jaillir et se repandre sur mes muqueuses ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.
La sueur perlait sur son front (E)
La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils... Il accélera. J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme t&ea ...

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dans un demi-sommeil


J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
dans un demi-sommeil (E)
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qu ...

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pose régénératrice à l'hôpital


Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais régulièrement l'esprit. Ce soir là, n'en pouvant plus, et excitée à l'idée à l'idée de m'adonner avec lui aux délices d'une relation plus intime ... je suis venu discrètement dans sa chambre, sans faire de bruit, je déboutonnai ma chemise, mettais à l'air mes deux belles poitrines qu'il avait souvent célébré, puis, je suis monté sur son lit, me plaçant à califourchon sur son corps, je m'emparai du sexe gonflé de mon beau patient, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et m'empalai doucement sur ce pieu béni du ciel. J'éprouvai une merveilleuse jubilation en sentant ce beau et vigoureux sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, mon jeune patient, étendu sous le corps sensuel de sa chaude infirmière, fasciné par mes seins opulents se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par ses pulsions. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe trempé, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous ces agréables intrusions, je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon patient, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! … bien au fond !…
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon vigoureux patient, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son infirmière amante, il s'activa de plus belle dans mon ventre accueillant, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Je sentais chez mon partenaire d'un soir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. J'avais compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa sève ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon sexe dégoulinant. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune homme. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.

Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, je fits basculer le corps devenu trop lourd de mon patient à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune homme pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? lui demandai-je maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
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J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.
pose régénératrice à l'hôpital (E)
Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais régulièrement l'esprit. Ce soir là, ...