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mardi 16 décembre 2025 - 22h57
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fin de soirée chez lui


Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Nous étions sur son balcon, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, je sentais ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou.
Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. Je repris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi
Prise d'une serie de legers spasmes, J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Pourquoi se débattre ? J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter lui aussi de plus en plus.

Au travers de ma robe, je sentais pointer un relief explicite ce qui ne nous calmait pas vraiment. Très clairement, je me sentais prête à m’abandonner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main plus bas et testais son désir, déjà tres prometteur. Il me serrait contre lui. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard
- Je suis toute prête !
Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir. Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je l'aidais dans ses va et viens. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais, pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite.
Puis je sentis qu'il accelerait, son sexe se mit à raidir, se durcir. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler. Il s'enfonca d'un coup, s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais un liquide chaud tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était intense. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais même pas son nom, je ne l'ai jamais revu



fin de soirée chez lui (E)
Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Nous étions sur son balcon, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu cont ...

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la chambre d'Elsa


Nous sommes sortis sous la pluie, et comme je l'avais espéré, elle me prit le bras pour marcher contre le vent froid. Le restaurant était à moins de dix minutes à pied, mais j'aurais aimé qu’il soit à l’autre bout de Paris pour faire durer ce moment de complicité. C’était un petit Italien avec à peine dix tables, chaleureux et romantique à souhait. Nous passâmes un dîner très agréable. Elisa se montra volubile et curieuse, me demanda ce que je comptais faire après mes études si peu motivantes selon moi. Elle semblait avoir oublié tous ses soucis, et n’en était que plus belle encore. Nous quittâmes le restaurant les derniers. La pluie avait cessé, et nous primes tout leur temps pour rejoindre l’hôtel d’Elsa. Après toutes ces paroles et ces rires échangés, nous étions maintenant silencieux. Lorsque nous arrivâmes devant la porte de l'hôtel, nous nous sommes regardès en silence. Elle me prit la main et se haussa sur la pointe des pieds pour me poser un baiser sur les lèvres avant de se diriger vers l'interieur.
- Bonne nuit ! C'était une belle soirée !
- Bonne nuit vous aussi ! répondis-je, persuadé et un peu déçu, que nous en resterions la pour cette nuit
Elle ouvrit la porte de l'hôtel, s'arrêta un moment, semblant hesiter, avant de disparaitre à l'interieur. Je m'appretai à rentrer chez moi lorsque je la vis ressortir et se tourner vers moi,
- ... Vous venez ? me demanda-t'elle en me fixant avec un sourire aussi humide que mystérieux.
Je la rejoignis, elle saisit ma main, et elle m’entraina avec elle à l’intérieur de l’hôtel. Je me laissai guider ... Arrivés dans sa chambre, nous n’allumions pas la lumière. Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Elle enleva son manteau et je fis de même. Comme elle restait debout sans bouger, ce fut moi qui m’approchai d’elle. J'effleurai son bras doucement, caressai son épaule, puis son cou. ma main sur sa nuque, mes doigts dans ses cheveux, j'attirai son visage vers le mien. Je crus d’abord qu’elle allait refuser mon baiser, car elle tenta de tourner la tête, et je n’embrassai que sa joue, puis le coin de ses lèvres à la seconde tentative. Et ce contact électrique sembla agir sur Elsa comme un interrupteur.
Elle me regarda dans les yeux, et ce fut elle qui m’embrassa cette fois, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser fut long et humide. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Quand cette dernière glissa sur le sol, j'attrapai Elisa par le bras et la regardai. Elle portait une belle lingerie à fines dentelles blanches. Son soutien-gorge laissait deviner une poitrine joliment proportionnée. Ses hanches étaient étroites et ses jambes très fines. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Nous nous embrassames à nouveau, de façon encore plus sensuelle. Elle avait posé ses mains chaudes sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Je l’embrassai, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. elle me guida aussitôt pour me conduire vers elle.

Mes yeux plongés dans les siens, je lui fis l’amour dans un mélange de tendresse et de force dont elle semblait avoir besoin. Quand elle fut proche de jouir à nouveau elle planta ses ongles dans mes épaules, et j'accélérai encore pour venir en même temps qu’elle, ce qui se produisit. Après quelques dizaines de secondes de spasmes qui nous donnèrent l’impression que nos cœurs battaient exactement au même rythme, nous nous laissions retomber, conscients d’avoir vécu l’un comme l’autre un moment délicieux. Elsa se glissa rapidement sous les draps, je m'appretai à me lever pour m’habiller et partir, mais elle m'attrapa le bras pour m’attirer contre elle.
- Reste avec moi !
Quelques minutes plus tard, elle dormait dans mes bras. Je n'arrivai pas à trouver le sommeil avant les premières lueurs de l’aube. Je connûs ce matin-là le plus agréable des réveils. Des caresses sur la partie la plus intime de mon anatomie. D’abord très légers, puis de plus en plus soutenus. Elisa caressait mon sexe alors qu’il ne bandait pas encore complètement, ce qui, compte tenu du traitement qu’elle me prodiguait, ne dura pas. Je la pénétrai de nouveau. Nous fimes à nouveau l’amour, avec moins d’urgence que la veille, mais avec un résultat tout aussi convaincant. Je la laissai cette fois me chevaucher pendant que je lui caressais les seins. Et quand elle sentit que j'allais venir avant elle, elle se pencha pour me glisser à l’oreille :
- Je veux que tu viennes, là, maintenant…
Et je lui obéis. Je sentis que je me répandais en elle alors qu’elle me souriait, et je me noyai encore une fois dans ses yeux magnifiques en me demandant si je n’avais pas rêvé toute cette nuit.

Nous quittames l’hôtel vers dix heures, comme je le lui avais proposé. Elisa semblait avoir maintenant dix ans de moins. Comme si ses soucis et ses craintes s’étaient envolés. Elle fut peut-être surprise qu'un jeune étudiant put rouler dans une voiture aussi récente et bien entretenue, mais elle n'en fit pas la remarque. Elle se pelotonna sur le siège avant comme un chat sur un coussin, appuyant sa tête contre la vitre. Un léger sourire flottait en permanence sur ses lèvres.
- Ça va ? Fis-je avant de démarrer.
- Je suis bien.
la chambre d'Elsa (E)
Nous sommes sortis sous la pluie, et comme je l'avais espéré, elle me prit le bras pour marcher contre le vent froid. Le restaurant était à moins de dix minutes à pied, mais j'aurais aimé qu’i ...

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chaude soirée


Nous nous étions tous les deux refugiés dans un coin sombre de la salle, à l'écart des autres danseurs. Elle avait 40 ans, de beaux cheveux blonds, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche gourmande et de grands yeux bleus. Elle s'était blottie contre moi, la tête sur mon épaule. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme, elle se serra encore plus fort contre moi. Gêné par un gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille ! ... Et serrez-vous contre moi !
Je me suis alors laissé aller contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt sous la soie pour atteindre la peau satinée. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive, ses cuisses étaient écartées, comme en attente. Elle m'interrompit en me soufflant à l'oreille:
- j'ai envie de vous !
Je la regardais, feignant de n'avoir pas entendu, elle était presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde.
- ça va ? lui demandai-je
- Vous m'avez entendu ? insista-t'elle, ... J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Sa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta un peu plus les jambes me permettant d'acceder à ses lèvres intimes déjà fort humides. Je glissais ma main entre la soie et la peau... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'entendais le frottement de la soie sur ses cuisses...Je fermais les yeux. Le temps s'arrêta. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle esquissa un sourire.
- Oui ... c'est bon ! me souffla-t'elle dans l'oreille
Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle se redressa pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds.
- Venez ! ... Vite !
Mon sexe bandé qu'elle avait pris en main, frottait contre sa vulve chaude qui luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland. Nos corps se rapprochaient, se trouvaient, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. j'avais envie de son ventre. Je l'attirais vers moi, Elle guida mon sexe d'une main experte. Je fermai les yeux ... Je la pénètrais très doucement, profondemment. La respiration bloquée, elle m'embrassa, éperdument .... j'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Elle me caressa la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Elle m'entoura la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... le plaisir était si fort. sa bouche était entrouverte, collée à la mienne, elle me lèchait avec lenteur, me mordillait les lèvres. Je la collai contre le mur .... et je m'enfoncai à nouveau dans sa chair. Elle se laissait embrasser partout ... Nous étions unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sentais sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Mes mains caressaient ses cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer.

Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille qu'elle taquinait avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Je regardais son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donnait, encore et encore. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondulait du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allongea sur mon torse. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
chaude soirée (E)
Nous nous étions tous les deux refugiés dans un coin sombre de la salle, à l'écart des autres danseurs. Elle avait 40 ans, de beaux cheveux blonds, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche gourmande et de g ...

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en apportant le courrier


J'apportai les journaux dans ce petit pavillon. Une belle femme au sourire un peu triste vient m'ouvrir. Elle venait chercher son courrier… Environ 40 ans, des cheveux bruns sur ses epaules, un corsage discretement échancré qui laisse deviner de jolies rondeurs. Je dois lui faire signer un reçu de lettre recommandée. Elle me regarde avec une intensité qui me trouble et m'affole un peu. Je lui presente la lettre et le reçu. Elle se penche pour signer, devoilant sous une gorge troublante la naissance de deux seins genereux. J'ai chaud. Je sens un entetant parfum et le fugitif contact de sa peau. Je perds tous mes moyens. Elle rapproche son corps et son sein s'appuie maintenant sur mon epaule. J'engage la conversation pour me donner une contenance:
- Vous êtes seule dans cette grande maison ?
- Oui. La solitude me pèse. Vous voyez, votre présence me change les idées.
Son sourire me déstabilise au plus haut point. Elle prends la main affectueusement pour appuyer son souci de parager sa solitude, je la prends pa le bras pour la rassurer. Elle me remercie de ma bienveillance. Quelque peu troublé, je m'écarte pour reprendre mes esprits.
- Je m'excuse, mais je dois continuer ma tournée !
- S'il vous plait ? Je vous en prie ! restez un moment !
Je ne sais plus quoi faire ! Je n'en peux plus. Elle approche son visage, puis attire mon visage vers le sien, elle me donne ses lèvres ..... et sans attendre, s'abandonne dans un long baiser qui me laisse figé
- Je m'appelle Louise !
Elle me prend la main et m'entraine chez elle, dans sa chambre, referme la porte et me tend de nouveau ses lèvres. Le baiser est intense. Je caresse en même temps la soie de son chemisier, j'y insinue ma main. Je découvre ses seins, les explore tendrement, ceux-ci, très sensibles, se raffermissent sous la caresse, je sens ses pointes se dresser sous mes doigts. Sa main palpe la bosse à travers l’étoffe rugueuse de mon pantalon. La mienne descend à présent sur la soie de sa combinaison, se glisse dans la fente du tissu pour caresser la peau, toujours lentement, elle remonte sa cuisse, sa peau est chaude et douce. mes doigts atteignent sa douce lingerie intime. Sous la caresse, ses cuisses s’ouvrent et son bassin s’avance, impatient,
Je m'aventure, je glisse une main moite et tremblante. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Ma main s'égare sur la cuisse, encore couverte du tissu soyeux, nouvelle barrière infranchissable ... Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact de sa peau douce ... et chaude. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts tentent d'épouser la forme ... le tissu gêne, les cuisses s'écartent, se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir.
je sens le désir monter profondément de mon ventre et du sien. Franchissant l’ultime barrière du léger tissu, mon doigt se pose sur sa vulve, toute humide, je la masse par de petits mouvements circulaires.
Asphyxiée par l’émotion, elle bascule sa tête en arrière pour reprendre son souffle.
Elle souleve son bassin afin de m'aider à retirer sa combinaison. Je fais glisser son petit slip le long de ses cuisses, pour le laisser tomber au sol, mes mains viennent se glisser sous ses fesses et s'introduisent dans sa fente, elle ressent une violente sensation, une décharge électrique un orgasme semblant durer une éternité envahit son corps entier, la déchire, lui arrache des cris, je la maintiens fermement par les hanches, des spasmes parcourent encore ses muscles. Les contractions s’espacent. J'en profite pour l'allonger sur le lit et la rejoindre. Je recommence alors à stimuler le clitoris, d’abord imperceptiblement, puis plus rapidement. A l’aide de petits mouvements rapides, je la fais alors jouir une deuxième fois, aussi fort que la première, elle s'est raidie, au bord de la crampe, son corps est retombé ensuite, s’abandonnant à la douce torpeur qui suit une telle explosion d’énergie.
Quand elle rouvre les yeux, je suis penché sur elle, je lui souris en lui caressant la joue, nous echangeons un long regard, elle me sourit, ma bouche vient se poser sur ses lèvres, ses mains s’aventurent sur ma peau. Nous nous embrassons pendant que mes mains la caressent, la palpent, la fouillent !
Enfin, elle me guide et je la pénètre profondément. Elle sent qu'elle ne va pas tarder à jouir encore ! Je redouble d’ardeur, elle sent ma verge aller et venir de plus en plus vite. Elle sent mon sexe aller et venir si délicieusement en elle. Elle est comblée. Je la prend de plus en plus vigoureusement, elle se met à gémir, je redouble d’ardeur, je vais et je viens de plus en plus vite le long de son vagin tendu et luisant. J' explose enfin, en criant ma jouissance, elle vient en même temps. Elle me caresse les bourses. Je me cabre et m'enfonce au plus profond de son vagin, je répands ma semence chaude, au fur et à mesure de ses spasmes.
L’extase terminée, nous nous ecroulons, terrassés par un nouvel orgasme,
exténués et heureux.
en apportant le courrier (E)
J'apportai les journaux dans ce petit pavillon. Une belle femme au sourire un peu triste vient m'ouvrir. Elle venait chercher son courrier… Environ 40 ans, des cheveux bruns sur ses epaules, un corsage discretement échancr&eac ...

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Marie et Louis


Ce soir là, nous étions cote à cote, chez elle, dans le grand canapé, était-ce in signe de sa part, elle m'était apparue rayonnante de séduction, ses cheveux en un chignon savamment structuré duquel s’échappaient quelques mèches. Un corsage de voile, laissait apercevoir par un jeu de transparence, une généreuse poitrine. Sa séduction résidait aussi dans le choix de sa jupe moulant à la perfection des rondeurs féminines offrant en une seule vision, une cambrure divine sur des hanches suscitant à elles seules la concupiscence. Je savais que sous le tissu noir moiré se cachait le somptueux corps d'une belle femme, prête, j'en étais convaincu, à être dévorée par un jeune loup affamé de sa maturité érotique.
Marie, était une très belle femme malgré ses 50 ans, j'avais discerné en elle une beauté particulière faite de charme à discrétion. Sa féminité, elle la cachait sous des robes souvent trop longues, trop austères, pour ne pas camoufler des trésors riches en sensualité. Tout dans sa gestuelle appelait à la découverte ... Il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, j'imaginais Marie juste revêtue d'un jupon de tulle noir, ne jouer que pour moi dans l’intimité d’une alcôve, ses cheveux étalés en boucles sur ses épaules de danseuse d’opéra. A la vérité, je ne lui avais jamais avoué que ses cours étaient un faux prétexte visant à dissimuler le désir d'un rapprochement plus intime.
Marie, semblait émue par mon regard. J'en avais baissé les yeux, profondément troublé par ce qui était en train de se passer entre nous. Nous nous somme regardés un moment. Puis, osant l'insensé, j'avais libéré sa chevelure, et étalé les boucles sur sa nuque et ses épaules,
- Que faites-vous Louis ? Que cherchez-vous ? A me faire rougir, vous avez réussi !
Les joues de Marie s’étaient empourprées. J'avais prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Marie, ne manquant pas d’effleurer ses épaules. Elle s’était laissée faire, avec dans son port de tête une nette tendance à l’abandon. Ses yeux s’étaient doucement clos sous mes doigts caressant, et c’est ainsi, lorsque mes mains s’étaient égarées un peu plus loin sous son corsage échancré, et qu’elle avait ressenti des frissons parcourir son corps, qu'elle s’abandonnait doucement vers cet état si doux et si particulier qu'est le début de l'abandon.
Il y avait si longtemps. Elle avait bien eu un ou deux amants, mais rien qui n’imprime son cerveau de souvenirs frappants. Moi, ce jeune homme audacieux, je ranimais, sans son consentement à priori, un érotisme dont elle avait oublié jusqu’à la signification. Au fond, elle espérait que je franchisse ces limites.
Perdue dans ses égarements, elle semblait absente lorsque, dans son cou, ma bouche humide et chaude osa se poser et descendre, d'abord sur son épaule, puis, plus bas ... Les frissons léchaient maintenant ses jambes, de ses chevilles fines jusqu’en haut de ses cuisses. Appliqué à découvrir le goût de sa peau sous mes lèvres, sous ses dentelles, je lui étais apparu comme un divin trublion. Elle s'était retournée soudain et m'avait embrassé avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous.
J'avais enrobé Marie de mes bras. Elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensuels arômes, A chacune de ses respirations, je ressentais sa lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur avait éveillé chez moi une troublante envie de dévorer ses seins. Avec douceur et méthode, j'avais défait un à un les boutons de son corsage, glissant de temps à autre une main chaude sur son ventre. En totale confiance, elle avait redécouvert ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Elle avait redécouvert les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses belles dentelles intimes ...
Elle avait redécouvert, alors que je poursuivais mon effeuillage savant, combien il était bon de désirer et d’être désirée. Elle en avait tout oublié, la différence d’âge n’était plus une barrière. Elle savait dans mon regard qu’elle allait m'aimer, moi ce tendre jeune homme si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je m’étais arrêté de la déshabiller lorsque après lui avoir ôté une douce culotte de soie, alors qu’elle n’était plus que juste vêtue de bas. Elle avait écarté ses cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour que je découvre son sexe peau de pêche et sa fente gourmande. Le regard que je lui portai oscillait entre admiration et exploration.
Cette femme offerte dont j'avais si souvent rêvé était en train de se donner à moi, là sous mes yeux ébahis et brillants de désirs illimités. Mon approche était encore malhabile, imprégnée de désir et de timidité, mais les yeux de Marie, d’habitude si discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle si volubile, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son sein puis sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. M’approchant doucement de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, je m’étais délecté, sous la douceur de mes doigts fébriles de cette humidité que j'interprétais comme un signe d'encouragement, alors même que Marie, déjà plissait ses yeux. Son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité.
Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Louis ! Je vous offre mon corps ! Venez ! Je vous désire tant, et même, si vous saviez, bien plus que ça !
- J'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez y glisser et vous abreuver du plaisir que vous venez de me donner.
J'avais parcouru chaque parcelle de sa peau sous ses frémissements érotiques. Au bord de la rupture, elle se voulait décadente, pour retrouver le goût des amours impudiques. La si respectable Marie, venait entre mes bras d'éveiller en moi le regret de n’avoir pas osé plus tôt. Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour, à la baiser et même plus encore, tellement son abstinence se révélait à présent douloureusement stupide. Son désir à elle était bien différent. Elle était femme à prendre son temps, elle était femme généreuse, tactile et envoûtante, mais aussi tendre amante, quémandant des mots d’amours et des baisers, tout aussi bien que des caresses plus audacieuses. Elle aimait faire l’amour, elle aimait s’offrir en partage dans des étreintes aussi voluptueuses que censurées, mais elle aimait aussi désirer et être désirée. Alors, quand elle m'avait regardé, sa bouche dévorante, elle avait décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi cet homme insolent qui l’avait détourné de ses vœux de chasteté.
Elle était sous mon charme. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle m’avait caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'avais aimé la regarder me caresser ainsi.
- Louis ! J'ai envie de vous sentir ... de vous sentir en moi ! Venez !
Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, je m’étais allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et je l’avais pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Marie avait gémi, puis, honorant l’érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Louis, Je veux que vous vous perdiez en moi, m'avait-elle murmuré, vous noyer dans ma source, aimez moi et donnez moi tout de vous !
Au bord des yeux noirs de Mathilde deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, moi, Louis, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, m'unissant à Marie, désormais ma douce maîtresse.
Blottie contre moi, Marie avait compris les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.
J'étais sous le charme de cette femme qui pouvait, à la moindre caresse, frissonner avant que de se perdre très rapidement dans un plaisir intense. Étaient-ce ses fantasmes qui guidaient la montée du désir, ou bien le désir qui esquissait ses fantasmes. Le fait est, qu’elle était capable de jouir très rapidement, et, très fièrement je m'en étais approprié la légitimité. Je n'avais pas vraiment tort, elle avait confiance en moi, cette confiance qu’elle avait perdu envers la gente masculine. L’honnêteté sentimentale dont je l’honorais, cette générosité peu coutumière chez la plupart de ses rares amants, ces deux qualités essentielles l’avaient émue engendrant une jouissance particulière, doux mélange de tendresse et de jouissance sexuelle.
J'avais emporté Marie à moitié nue dans mes bras et l’avait déposée amoureusement sur le lit défait. Avant de se lover contre moi, elle m'avait délicatement défait ma chemise, puis me l'avait ôtée en faisant glisser ses mains fiévreuses sous le tissus de coton. Nous nous étions allongé tous les deux, nos membres enchevêtrés, nos peaux et nos odeurs mélangées, et Mathilde avec tendresse et sensualité avait laissé longtemps ses doigts parcourir la ma poitrine. Elle aimait ces moments de tendresse qui succèdent à l’impétuosité de la jouissance, puissante, démesurée. Elle aimait ce silence qui s’instaure alors, où l’on peut entendre à nouveau les battements des cœurs s’harmoniser. Elle avait savouré ces instants comme un vrai bonheur presque insolite.
- Vous savez, Louis, m'avait-elle murmuré, j’ai cruellement manqué de tendresse, dans mon enfance, puis ma jeunesse. Je ne parle pas d’amour, de l’amour, j’en ai eu sous des formes détournées...
Emu par cette maîtresse femme redevenue enfant, je caressais les cheveux déliés de Mathilde, de la tendresse au bout des doigts.
S’arrachant à ma voracité voluptueuse, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, par pudeur ou par magie, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs
Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Mathilde se révélait bien plus amante que je n’y croyais.
Marie et Louis (E)
Ce soir là, nous étions cote à cote, chez elle, dans le grand canapé, était-ce in signe de sa part, elle m'était apparue rayonnante de séduction, ses cheveux en un chignon savamment structur& ...

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Mon corps peu à peu s'est offert


Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Plus il me pénétrait, plus son souffle était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes douces caresses !
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait avec tendresse. Nos regards se souderent l'un à l'autre. puis il accéléra, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce membre qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour
Mon corps peu à peu s'est offert (E)
Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ventr ...

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le corps de Barbara


J’adore le corps de Barbara. Barbara est une belle femme délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. Elle m'accueille chez elle ce soir la et sans attendre me serre dans ses bras
- Serre toi vite contre moi, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens vite, je t'emmène dans ma chambre, je suis en manque de tendfresse.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Tu sens ? Je suis toute prête ! Ce moment est à nous.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules,
- Je veux que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu me ramones,
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
- Bref, je veux que tu me chéries, que tu me câlines, que tu m’aimes !
Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je me frotte contre elle, mon bassin contre le sien, mon sexe contre ses cuisses. Je bande sans complexe, elle le sent, ça lui plait. Elle gémit, elle se donne, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Barbara est dans tous ses états, elle se cambre, s’offrant corps et âme.
- Barbara, Barbara, ma douce.
- Nicolas, mon amour !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette.
Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. la vision de mon sexe qui travaille, le leger clapotis de nos va et viens annoncent une jouissance proche. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital.
Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.
le corps de Barbara (E)
J’adore le corps de Barbara. Barbara est une belle femme délicieusement potelée. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. ...

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étreinte amoureuse


Les deux corps enlacés se fondèrent l'un dans l'autre. Ils se serraient, se tordaient, bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient.Les veines se gonflaient. Les langues acérées cherchaient une morsure entre les dents serrées, des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, des élans furieux, des bonds de volupté... Elle se renversa, râlant sous les caresses. Sa poitrine oppressée et dure haletait fortement avec de longs sanglots. Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos, et leurs bouches, et leurs sens, leurs soupirs se mêlèrent.

Plus fort ! Plus vite ! Leurs deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de leurs soupirs. Ce fut enfin la suprême étreinte, le frison convulsif.... Un cri d'amour monta, si fort que des oiseaux effarés s'envolèrent. Comme une lame de fond amenant la vague ... Il sentirent petit à petit monter la puissante rivière rivière, comme la lave crachée d'un volcan déchaîné… Elle l'aspira fort pour le laisser jaillir sa chaude liqueur, fruit de leur orgasme. Les salves se succèderent irradiant leurs sens. Sous leurs baisers brûlants ils se sentirent défaillir, leurs corps agités d'une série de spasmes. Elle, superbe en son désordre, tombant, les seins nus, béante, se tordant, dans un baiser de rage, et mordant l'oreiller en criant des mots inconnus !

Il étouffa ses sanglots, elle avala ses cris, ils bloquerent dans leurs gorges d'agonisantes plaintes et, leurs corps agités par de violents frissons, ils se laissèrent mourir, foudroyés au sein du firmament... Alanguie, éteinte, elle se pâma en un soupir et fléchit sur ses reins ! Ses yeux chercherent le ciel ; son coeur battait sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige, s'arrondissait, s'abandonnait au bras protecteurs de l'amant.

Et ils resterent ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de leurs souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. Lui, heureux et las, se coucha à son côté. Puis tous deux, lourds, le sein doucement agité, comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, rêverent, dans la langueur des voluptés finies. Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers, un lien les unissait, l'affinité des chairs.

(d'après Edmond Haraucourt - Guy de Maupassant - Alfred de Musset)
étreinte amoureuse (E)
Les deux corps enlacés se fondèrent l'un dans l'autre. Ils se serraient, se tordaient, bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient.Les veines se gonflaient. Les langues acérées c ...