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orgasmes


De violentes secousses m'ont traversé les entrailles...
Je me suis mise à trembler, me crisper et m'immobiliser toute,
Je serrais son sexe bandé au fond de mon vagin bouillant
Je clamais ma jouissance, tendue dans une puissante contraction,

Je l'ai alors senti frémir dans mon ventre !
Puis, son corps s'est mis à trembler lui aussi !

Un spasme violent me désarçonna. Je me laissai emporter,
Je me soulèvai, me cambrai, comme tétanisée.
vingt mille volts me remonterent dans les cuisses,
le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice

Il s'est figé lui aussi en plissant les yeux
vibrant de tous ses membres et lachant un long râle

Je me déchaînais, me mettais à crier, la bouche ouverte, haletante,
Je frissonnais, je tremblais.....Tout mon corps se mit à vibrer.
Et je suis partie ... envolée prodigieuse, je jouissais longuement.
je criais, je rugissais, une longue plainte sauvage.

Et j'ai senti son sexe, au fond de mon vagin fremir
Et sa sève humide s'est rependu en moi
en plusieurs vagues chaudes. Il y en avait des litres !

Je me cambrai frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle
Je me déhanchais, me tortillais, tout en soupirant de plus en plus fort.
Je lui attrapais les cheveux, lui serrais la tête,
le suppliant de jouir encore en moi

Je sentais mes contractions, mes mains griffaient les draps,
Mes jambes ne m'obéissaient plus ! J'halètais bruyamment,
emportée par l'orgasme, tournant la tête de gauche à droite
en émettant de petits grognements. la sueur me perlait sur le front.
Mes cheveux blonds commençaient à me coller aux tempes.

Puis je m'abandonnais, me livrais aux flots qui m'absorbaient...
Je m'abîmeais, je sombrais, m'anéantissait... milles bulles éclaterent.

Apres plusieurs dernieres secousses, il s'est effondré sur moi
Nous sommes restés ainsi un moment
l'un dans l'autre, fermement enlaces, nos sexes emboités,
orgasmes (E)
De violentes secousses m'ont traversé les entrailles...
Je me suis mise à trembler, me crisper et m'immobiliser toute,
Je serrais son sexe bandé au fond de mon vagin bouillant
Je clamais ma jouissance, ten ...

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secousses


De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes.
Mon corps se tendit alors et vibra, je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent.
secousses (E)
De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante co ...

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orgasmes


De violentes secousses lui traversent les entrailles...
Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute,
Elle serre mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant
Un spasme violent la désarçonne. Elle se laisse emporter dans un long râle,
Elle se soulève, se cambre, comme tétanisée.
vingt mille volts lui remontent dans les cuisses,
le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice
Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante,
Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps se met à vibrer.
Elle part ... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, une longue plainte sauvage.
Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle
Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort.
Ses yeux dans les miens, elle s'impatiente
Je sens ses contractions, ses mains griffent mon corps,
- Vite ! Maintenant ! Decharge !
Je frémis dans son ventre ! Mes jambes ne m'obéissent plus !
Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête,
A mon tour, mon corps se met à trembler !
Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme,
tournant la tête de gauche à droite
en émettant de petits grognements. la sueur perle sur son front.
Je me cabre, vibrant de tous mes membres en lachant un long râle
Je me repands en elle en plusieurs vagues chaudes.
Ma sève humide gicle au plus profond de son vagin
Elle jouit longuement. Ses cheveux blonds lui collent aux tempes.
Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent...
Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.
Apres plusieurs secousses, je m'effondre sur elle
Nous restons ainsi un moment l'un dans l'autre,
enlaces, nos sexes emboités, délicieusement,











Je l'ai senti frémir dans mon ventre !
Puis, son corps s'est mis à trembler !
Il s'est cabré en plissant les yeux
vibrant de tous ses membres
et lachant un long râle
- Oh Marie !
Sa sève humide s'est rependu en moi
en plusieurs vagues chaudes. C'était bon !
Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi
Nous sommes restés ainsi un moment
l'un dans l'autre, amoureusement enlaces,
nos sexes emboités, délicieusement,
mon bel amant !
orgasmes (E)
De violentes secousses lui traversent les entrailles...
Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute,
Elle serre mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant
Un spasme violent la désarço ...

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Notre union se voulait animale


Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. Nos vetements s'éparpillerent rapidement dans la pièce, et ce fut les premiers contacts entre nos peaux fievreuses. Premières chaleurs de nos muqueuses. Nos visages se rapprocherent. nos lèvres s'écraserent l'une contre l'autre, nos langues se nouerent. Frémissements. Elle s'ouvrit à moi et naturellement, je glissai dans son ventre, ses yeux se fermerent, son corps s'ouvrit. Elle m'absorba au fond d'elle.
Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre.
Elle me sentait l'envahir. Elle s’abandonna, je voyageai en elle. Je m'enfoncai dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens !
De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes.
Mon corps se tendit alors et vibra, je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent.
Notre union se voulait animale (E)
Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, ...

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délices d'une douce fellation


Lucie voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps, le caressant de ses lourdes pitrines. sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe.
Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est tout mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Je sentais la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes qui s'etalaient sur mon torse. De ses lèvres distendues, elle sucait ma verge bandée au fond de sa bouche gourmande. Elle m'avalait, m'absorbait, lentement, tout doucement. Elle aspirait mon sexe avec un rare délice, je m'enfouissai dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Je sentais mon sexe aspiré entre ses lèvres suçeuses, glisser dans sa douce moiteur buccale.
- Tu aimes ? me demanda-t'elle d'une voix absolument fondante
Un va et vient puissant, un glissement onctueux, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissais de bonheur.
Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Mes tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts semblaient l'exciter au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Louise, Attention ! ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers moi.
- Mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur, trempant littéralement la peau de ses cuisses. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Louise ! ... Oh Louise ! ... Aaahhh !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Lucie resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de ce nectar, ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante, encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Lucie m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, je regardai Lucie à mes genoux. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme assouvie.
délices d'une douce fellation (E)
Lucie voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps, le caressant de ses lourdes pitrines. sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bo ...

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orgasme


Lorsque Marthe sentait chez moi l'explosion arriver, elle resserrait ses muscles de façon à bien me garder tout au fond de son corps. Elle devinait que j'étais sur le point de non retour. J'explosais presque aussitôt, tremblant et me figeant au fond d'elle. Je poussais un cri rauque, et mon premier jet venait frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. mes jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je la sentais alors jouir à son tour, emportée par le tourbillon de son plaisir, secouée par une succession de spasmes qui me faisaient hoqueter pendant de longues secondes, de violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle se mettait à trembler, se crispait et s'immobilisait toute, serrant ma virilité bandée entre ses muqueuses gourmandes. Elle clamait sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, avec une série de spasmes violents qui la désarçonnait. Elle se laissait emporter dans un long râle, se soulevait, se cambrait, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontaient dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice qui me laissait pantois.
Elle se déchaînait, se mettait à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonnait, elle tremblait .....Tout son corps se mettait à vibrer. Elle partait ... envolée prodigieuse, elle criait, elle rugissait, comme une longue plainte sauvage. Elle se cambrait frénétiquement en poussant, reins arqués, de longs râles de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, ses jambes ne lui obéissaient plus!
Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perlait sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrapait les cheveux, me serrait la tête, elle jouissait longuement.

Puis elle s'abandonnait, se livrait aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîmait, sombrait, s'anéantissait... milles bulles éclataient. Nos spasmes finis, je sentais ma queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de sa vulve dégoulinante, libérant un flot de semence. Je mettais un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J'étais affaissé contre son corps, épuisé. Elle était aussi épuisée que moi. Nous nous regardions sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là, à tant de jouissance partagée. Nous restions un moment immobiles, imbriqués l'un contre l'autre. Je sentais un liquide poisseux se répandre entre nos fesses et sur nos cuisses que je serrai, par pur réflexe. elle me serra fort contre elle, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Je me rhabillai en hâte, sans mot dire et, après avoir baisé ses lèvres avec une infinie tendresse, je me glissai hors de chez elle, lui donnant un nouveau rendez-vous un jour de la semaine

orgasme (E)
Lorsque Marthe sentait chez moi l'explosion arriver, elle resserrait ses muscles de façon à bien me garder tout au fond de son corps. Elle devinait que j'étais sur le point de non retour. J'explosais presque aussit&ocir ...

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Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette femme plantureuse, suisse-allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, nous étions assis au fond du bar de l'hôtel. Je me suis retrouvé contre elle. elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excité, installés sur la banquette que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma tige. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses tétons roses. La fille, peu farouche, se laissait tripoter sous les regards ébahis des quelques clients encore là.

Nous avons grimpé quatre à quatre les escaliers de l'hôtel. Sabine m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser avec passion et ... pour me calmer. J'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit Elle est montée sur moi après avoir simplement retiré son jean et sa veste. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en ai profité pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait la chamade… Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés. Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit.

Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre. Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…


Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune suissesse avait des formes à faire bander tout un monastere.
J'avais la quarantaine, Je me suis retrouvé contre elle dans l'ascenseur, elle me collait litteralement.
Elle était grande, elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever.
Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi.
Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains.
Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer.
je n'avais qu'une hâte, celle de planter mon sexe dans son ventre.
elle était si mouillée que je sentais sa culotte trempée collée contre sa peau.
Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge : J'ai enlevé son soutien-gorge
et j'ai dégagé sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours.
Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre.
Tout en se frottant à moi, elle s'attaqua à ma ceinture et dégrafa mon pantalon.
En même temps elle accélérait sans cesse le rythme,
Elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps,
j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter…
Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps…
Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle
elle allait et venait lentement le long de ma tige…
Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant…
Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion.
Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche.
Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles.
Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus,
Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment,
ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme
elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme
Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…
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Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette femme plantureuse, suisse-allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, nous étions assis au fond du bar de l'hôtel. Je me suis retrouv&eacu ...

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