Illustration musicale: Jean-Baptiste LULLY - Dies irae - choeur final
Bien que Lully n’occupât jamais de charge à la Chapelle du roi, son influence sur le développement du grand motet, si emblématique du Grand Siècle, fut décisive. Il composa pour les grandes cérémonies de la cour des motets d’apparat célébrant la gloire de Dieu et celle du roi. Des nombreuses funérailles royales, celles de la reine Marie-Thérèse en 1683 comptent parmi les plus grandioses. Le Dies iræ et le De profundis de Lully y furent donnés.