Evocation des amours de Francoise Gilot et du peintre Picasso de 1943 à 1953 avec en filigrane la difficulté ou l'impossibilité de vivre avec un génie.
TELERAMA
Qu’apprend-on au long de ces cent vingt-cinq minutes qui paraissent durer le double ? Que Picasso était un monstre pour son entourage. On nous dit aussi que les femmes de sa vie étaient des saintes... La seule qui échappe à la caricature, c’est Dora Maar, sans doute parce qu’elle est interprétée par Julianne Moore. Grâce à elle, on se met à voir Picasso tel qu’Ivory le souhaitait : un être fascinant et cruel, un manipulateur maléfique. Mais Julianne Moore disparaît très vite. Malgré Anthony Hopkins, qui s’agite beaucoup, le film retrouve alors son rythme de croisière. Paresseux.voir sur GOOGLE MAP