A l’abri des dunes et des taillis, nos corps se mêlaient,
cherchant le bonheur subtil et éphémère.
J’étais en elle, et plus rien ne comptait.
elle s’offrait à son plaisir, à mon plaisir.
Nos râles devenaient des cris,
dérangeant la sieste des cigales.
Après une ultime convulsion, nos corps se relachèrent,
épuisés, ne formant plus qu’un seul être. voir sur GOOGLE MAP